Dans le cours : Déjouer les principaux pièges de la langue française
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Concorder sujet de la proposition participiale et sujet de la proposition principale
Dans le cours : Déjouer les principaux pièges de la langue française
Concorder sujet de la proposition participiale et sujet de la proposition principale
Un participe présent ou un participe passé peut être la base d'une proposition subordonnée. Quand vous avez un verbe qui se finit par ant, a.n.t, ou é, en début de phrase, vous avez de grandes chances d'avoir une proposition subordonnée participiale. Par exemple : "chemin faisant, nous sommes passés à côté de sa maison". Le participe présent est ici invariable. Il n'a pas valeur d'adjectif, comme dans "un film plaisant". Il décrit bien une action qui est concomitante avec celle du verbe de la principale, en l'occurrence, passé. Autre exemple : "la route étant embouteillée, je suis arrivé en retard". On dit que la première proposition, "la route étant embouteillée" est une proposition subordonnée participiale à valeur de complément circonstanciel de cause. Elle ne peut exister sans la proposition : "je suis arrivé en retard". Son verbe est le participe présent d'être et elle a un sujet propre, "la route", qui ici n'est pas celui de la principale, qui est je. Alors parfois, on n'a pas…
Table des matières
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(Verrouillé)
Concorder sujet de la proposition participiale et sujet de la proposition principale3 m 10 s
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(Verrouillé)
Utiliser la forme interrogative « Est-ce que »1 m 26 s
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(Verrouillé)
Choisir le bon pronom1 m 38 s
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(Verrouillé)
Connaître le grand danger de la coordination2 m 12 s
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(Verrouillé)
Éviter les ruptures de construction2 m 3 s
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(Verrouillé)
Éviter les ellipses abusives1 m 30 s
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(Verrouillé)
Utiliser le bon temps après « après que » et « avant que »1 m 49 s
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(Verrouillé)
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