Dicionário de Língua Geral Amazônica

Page 1

Jean-Claude Muller | Wolf Dietrich | Ruth Monserrat | Cândida Barros Karl-Heinz Arenz | Gabriel Prudente (organizadores)

DICIONÁRIO DE LÍNGUA GERAL AMAZÔNICA

1ª parte: Português–Língua Geral 2ª parte: Língua Geral–Português

Universitätsverlag Potsdam Museu Paraense Emilio Goeldi



[ DICIONÁRIO DE LÍNGUA GERAL AMAZÔNICA ] 1ª parte: Português–Língua Geral 2ª parte: Língua Geral–Português



Jean-Claude Muller | Wolf Dietrich | Ruth Monserrat | Cândida Barros | Karl-Heinz Arenz | Gabriel Prudente (organizadores e inserção de artigos)

[ DICIONÁRIO DE LÍNGUA GERAL AMAZÔNICA ] 1ª parte: Português–Língua Geral 2ª parte: Língua Geral–Português Manuscrito anônimo e sem título, Ms. no 1136 / 2048 4° da Biblioteca Municipal de Trier, Alemanha Missão de Piraguiri, Baixo Xingu, antes de 1756

Edição diplomática, revisada e ampliada com comentários e anexos por Wolf Dietrich, Ruth Monserrat e Jean-Claude Muller, com a reprodução fotográ¿ca do original do manuscrito Primeira transcrição por Gabriel Prudente

Universitätsverlag Potsdam Museu Paraense Emilio Goeldi


%LEOLRJUDÂżVFKH IQIRUPDWLRQ GHU DHXWVFKHQ NDWLRQDOELEOLRWKHN Die Deutsche Nationalbibliothek verzeichnet diese Publikation in der Deutschen NationalbibliograÂże detaillierte bibliograÂżsche Daten sind im Internet Ăźber http://dnb.dnb.de/ abrufbar.

UQLYHUVLWlWVYHUODJ 3RWVGDP MXVHX 3DUDHQVH EPLOLR GRHOGL http://verlag.ub.uni-potsdam.de/ Am Neuen Palais 10, 14469 Potsdam Tel.: +49 (0)331 977 2533 / Fax: 2292 E-Mail: verlag@uni-potsdam.de DicionĂĄrio de lĂ­ngua geral amazĂ´nica / Primeira transcrição por Gabriel Prudente. Edição diplomĂĄtica, revisada e ampliada com comentĂĄrios e anexos por Wolf Dietrich, Ruth Monserrat e Jean-Claude Muller – Potsdam: Universitätsverlag Potsdam – BelĂŠm/ParĂĄ: Museu Paraense EmĂ­lio Goeldi. 2019 384 pĂĄginas ISBN (Online) 978-85-61377-99-1 Das Manuskript ist urheberrechtlich geschĂźtzt. Umschlagabbildung: DicionĂĄrio de lĂ­ngua geral amazĂ´nica, S.260 in dieser Edition Online verĂśffentlicht auf dem Publikationsserver der Universität Potsdam https://doi.org/10.25932/publishup-41639 https://nbn-resolving.org/urn:nbn:de:kobv:517-opus4-416390



8

Préface française Permettez à l’inventeur du manuscrit dont vous avez l’édition diplomatique sous les yeux d’exposer en exergue les principales étapes qui ont conduit en 2012 à la détermination de la langue et à l’identification de l’auteur. Étant inscrit à la conférence de linguistique missionnaire à l’université de Brème en mars 2012 et conscient que maintes bibliothèques et archives renferment des trésors non identifiés ou mal catalogués, je suivis le conseil d’un collègue de la bibliothèque de l’université de Trèves, Hans-Ulrich Seiffert, d’inspecter le manuscrit 1136 / 2048 4° de la bibliothèque municipale de Trèves. Cette bibliothèque est riche de plus de 2.500 manuscrits et incunables provenant pour la plupart des saisies révolutionnaires françaises dans les bibliothèques des ci-devant couvents trévirois. Parmi ces trésors un manuscrit portugais des missions qui était rentré dans les fonds de la bibliothèque de Trèves dès 1799 et avait été exposé en 1991 dans le cadre d’une évocation des activités missionnaires globales des Jésuites. Michael Embach, alors directeur de la bibliothèque du séminaire épiscopal de Trèves, l’avait brièvement décrit dans une notice qui prétendait qu’il était rédigé en espagnol et en portugais et avait peut-être été composé par un auteur « Meirin » dans le cadre de ses préparations pour partir dans les missions… Dans ma copie du catalogue de 1991 se trouve inscrit « la langue reste à déterminer ». J’allais résoudre le mystère en cette mémorable journée du jeudi 23 février 2012 quand je me résolus à l’autopsier dans la salle désormais historique de la Bibliothèque municipale de Trèves, dirigée depuis peu par le collègue Embach. Il parut à l’évidence que le manuscrit ne contenait aucun mot d’espagnol mais que dans la première partie, les entrées en portugais, strictement numérotées et arrangées dans l’ordre alphabétique, étaient suivies par leurs équivalences dans une langue inconnue qui, cependant, avait pour un linguiste une forte odeur de l’Amérique amazonienne. La partie postérieure du manuscrit présentait l’arrangement inverse. Les entrées dans la langue inconnue étaient suivies de leurs équivalences portugaises. Ce n’est que plus tard que nous avons compris le mystérieux ordre des lemmata dans cette partie, basée qu’elle est sur la rime finale des mots. Deux facteurs ont grandement facilité l’identification de la langue inconnue : 1. la permission du directeur Embach de pouvoir prendre des photos de travail de tous les folios du manuscrit et 2. l’entrée dans le premier catalogue de la Bibliothèque de Trèves de 1802 : “Codex maxime memorabiblis est, cum nondum grammatica praeter Lusitani Anchieta nota sit, et nullum vocabularium huius linguae existet. Sine dubio scriptum est a quodam Missionario Jesuita”. Rentrant de Trèves chez moi, je fis une brève halte dans mon bureau d’alors pour consulter Internet. L’entrée “Anchieta” dans l’encyclopédie électronique Wikipedia m’informait que ce jésuite portugais avait composé une grammaire du Vieux Tupi, publiée en 1595. Sous le vocable “Old Tupi” ensuite, j’appris que l’auto-désignation pour cette langue est ñeengatú (la bonne langue, le parler correct). De là à retrouver au folio 25 de mes photos la traduction du portugais linguagem par nheénga ne prit que quelques minutes. Dès ce premier soir donc, le mystère de la langue inconnue était résolu ! Un projet de recherche international, voire transcontinental allait se mettre peu à peu en place après. À la conférence de Brème, début mars 2012, je fis la connaissance du linguiste et romaniste, le professeur Wolf Dietrich de l’université de Münster en Westphalie, un des meilleurs connaisseurs des parlers amazoniens. Il rentrait avec une copie de mes photos de travail et confirma bientôt l’importance du manuscrit de Trèves pour la connaissance de la Lingua Geral, le parler qui s’était développé à partir du Vieux Tupi moribond. Je communiquai également ma découverte au frère Karl-Heinz Arenz de la congrégation des pères de Steyl, originaire de l’Eifel allemande et enseignant d’histoire aux universités brésiliennes de Belém et de Santarém dans l’État du Pará. Arenz est l’auteur d’une étude sur le jésuite luxembourgeois Jean-Philippe Bettendorf, actif au Maranhão dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Nous avions collaboré en 2007 à une exposition didactique consacrée à ce personnage. Arenz ne tarda pas à passer l’information sur le manuscrit de Trèves aux deux linguistes brésiliennes Cândida Barros et Ruth Monserrat, qui à leur tour présentaient un projet de recherche qui fut accepté par les autorités brésiliennes. Les reals de ce subside furent bien investis en effet : l’étudiant doctoral Gabriel Prudente réalisa une transcription intégrale du manuscrit de Trèves qui fit apparaître des couches dialectales et sociolectales dans le texte, et même quelques mots allemands. La bibliothèque municipale de Trèves, quant à elle, contribua « en nature » les images digitales qui sont consultables sur les pages de gauche de cette édition électronique. Début avril 2014, nous fîmes tous connaissance personnellement dans le cadre d’un colloque à l’université de Belém où fut décidée la présente édition digitale et où furent prononcées la plupart des contributions scientifiques que vous pouvez lire en guise d’introduction. Restait à percer l’énigme du véritable auteur du manuscrit. Cândida Barros avait assez tôt proposé les noms de trois Jésuites allemands, actifs dans les années 1750 dans la région du fleuve Xingu et chassés par les mesures anti-jésuites du pouvoir portugais en 1756. L’étude paléographique des Quattuor vota des trois candidats, aux archives centrales des Jésuites à Rome, me permit début septembre 2015 d’éliminer les pères Eckart et Kaulen et de ne retenir que Antonius Meisterburg, originaire de Bernkastel sur la Moselle, comme le scribe du manuscrit de Trèves. Qu’il me soit permis d’exprimer ma GRATITUDE à toutes celles et à tous ceux qui ont contribué à cette belle aventure de découverte intellectuelle et scientifique et à rendre au Brésil une petite pierre de son histoire. Jean-Claude MULLER, Luxembourg


9

Deutsches Vorwort Ich möchte dem Leser dieser diplomatischen Edition des Portugiesisch-Tupi (oder Lingua Geral)-Wörterbuchs des Jesuiten Antonius Meisterburg aus Bernkastel an der Mosel in wenigen Worten schildern, wie es im Jahr 2012 zur Entdeckung und Feststellung sowohl des Autors als auch der damals noch unbekannten Zielsprache kam. Im Vorfeld der Bremer Konferenz über Missionarslinguistik Anfang März 2012 folgte ich dem Hinweis des Bibliothekskollegen Hans-Ulrich Seiffert von der Universitätsbibliothek Trier, doch einmal einen Blick in die Handschrift 1136 / 2048 4° der reichhaltigen Trierer Stadtbibliothek zu werfen. Von diesem kuriosen Manuskript seien weder Sprache noch Autor bekannt, es sei aber sicher das Produkt eines Missionars aus einem Gebiet der damaligen Missionen. In der Tat war die Handschrift erstmalig im Jahr 1991 in einer der Aktivität der Jesuiten gewidmeten Ausstellung in Trier gezeigt worden. Damals verfasste der Direktor der Bibliothek des Priesterseminars Trier, Michael Embach, eine kurze Katalognotiz, welche aussagte, die Handschrift sei auf Spanisch und Portugiesisch verfasst, vielleicht von einem Autor “Meirin” im Jahr 1756, als Vorbereitung auf seinen Einsatz in den Missionen. Meine Autopsie der Handschrift im mittlerweile historischen Lesesaal der Trierer Stadtbibliothek an jenem denkwürdigen Nachmittag des 23. Februar 2012 ergab sofort als Resultat, dass von Spanisch in der Handschrift überhaupt keine Rede sein konnte; die Wörterbucheinträge im ersten Teil begannen alle mit einem portugiesischen Lemma. Sie waren peinlich genau in strikt alphabetischer Reihenfolge angeordnet und durchnummeriert. Hinter jedem portugieschen Lemma stand ein Ausdruck in einer noch unbekannten Sprache, die für einen Sprachwissenschaftler aber damals bereits stark nach der Amazonasgegend roch. Im hinteren Teil des Manuskripts waren die Sprachen evidenterweise umgekehrt gebraucht, obwohl die Anordnung der Lemmata in der noch unbekannten Sprache rätselhaft schien. Erst später haben wir begriffen, daß in diesem letzten Teil der Endreim das ordnende Prinzip ist. Zwei Faktoren haben dann die Identifizierung der noch unbekannten Sprache gefördert : 1. Direktor Michael Embachs Erlaubnis, von jeder Seite der Handschrift Arbeitsphotographien zu knipsen und 2. der Eintrag des ersten Trierer Bibliothekdirektors Wyttenbach in den Handschriftenkatalog von 1802 : “Codex maxime memorabiblis est, cum nondum grammatica praeter Lusitani Anchieta nota sit, et nullum vocabularium huius linguae existet. Sine dubio scriptum est a quodam Missionario Jesuita”. Auf dem Heimweg von Trier ins westliche Luxemburg legte ich einen kurzen Halt in meinem damaligen Büro auf Buurmecht ein und tauchte in die Wunderwelt des Internet ein. Mich auf die Information im Katalog von 1802 basierend, war es keine Hexerei, beim Namen “Anchieta” herauszufinden, daß dieser portugiesische Jesuit eine Grammatik der brasilianischen Tupisprache verfasst hatte, die 1595 im Druck erschienen war. Der Wikipedia-Eintrag “Alt-Tupi” erläuterte dann, daß die Selbstbenennung in jener Sprache ñeengatú (die gute, die korrekte Sprache) lautete. Einige Augenblicke später hatte ich in meinen Photoaufnahmen auf Seite 25 die Stelle gefunden, wo Portugiesisch linguagem mit nheénga übersetzt wurde. So hatte ich bereits am Abend nach der ersten Konsultation ein wesentliches Rätsel der Trierer Handschrift ”geknackt”. Aus dieser ersten Analyse entwickelte sich über die Monate und Jahre eine internationale wissenschaftliche Zusammenarbeit, die ich zu einem der Höhepunkte meines sprachwissenschaftlichen Curriculum zählen darf. Am Rande der Bremer Konferenz im Frühmärz 2012 lernte ich den Sprachwissenschaftler und Romanisten Professor Wolf Dietrich von der Universität Münster kennen, einen der ausgewiesensten Kenner der Amazonassprachen. Er kehrte mit einer Kopie meiner Trierer Photos nach Hause und bestätigte umgehend die Wichtigkeit des Trierer Wörterbuchs für die Kenntnis der “Lingua geral”, der Sprache, welche sich aus dem aussterbenden Alt-Tupi entwickelt hatte. Auf einer parallelen Schiene informierte ich Bruder Karl-Heinz Arenz, den aus der Eifel stammenden Steylerpater, der in Belém und Santarém im brasilianischen Bundesstaat Pará Geschichte unterrichtet. Ich kannte Karl-Heinz Arenz von seiner Doktorarbeit und unserer Ausstellung über den Luxemburger Jesuiten Bettendorf, der in der zweiten Hälfte des 17. Jh. in Maranhão tätig war. Arenz wiederum zog die Forscherinnen Cândida Barros und Ruth Monserrat ins Vertrauen, die voller Begeisterung für das seltene Sprachzeugnis einen Förderungsantrag beim brasilianischen Staat stellten und genehmigt bekamen. Damit wurde u.a. der Doktoratsstudent Gabriel Prudente bezahlt, um den Text der Trierer Handschrift zu transliterieren und eine Feinanalyse der Schreibschichten zu unternehmen. Das Resultat waren etliche deutsche, in den Text eingesprengte Worterläuterungen, sowie viele dialektale und soziolektale Varianten von Tupi und benachbarten Sprachen. Anfang April 2014 trafen wir uns alle in Belém zu einem Seminar über die Trierer Handschrift, wo diese kommentierte Faksimile-Ausgabe beschlossen wurde. Die Trierer Stadtbibliothek ihrerseits steuerte hoch aufgelöste Digitalbilder gratis bei. Recht früh hatte Cândida Barros vermutet, der Autor der Handschrift sei einer von drei deutschen Jesuiten, die um 1750 am Fluss Xingu, einem Nebenfluss des Amazonas, tätig gewesen waren, ehe sie von der antijesuitischen portugiesischen Politik vertrieben wurden. Im September 2015 konnte ich dann endlich im römischen Zentralarchiv der Jesuiten anhand von Autographen der drei Kandidaten den Bernkasteler Jesuiten Antonius Meisterburg als den eigentlichen Schreiber der Trierer Handschrift identifizieren. Allen, die an dieser faszinierenden sprachwissenschaftlichen und kulturhistorischen Entdeckungsreise beteiligt waren, mein herzlichster DANK ! Jean-Claude MULLER, Luxemburg


10

English Preface I feel that I owe the reader a few words of explanation about the circumstances which led to the discovery and identification of both language and author of the Portuguese-Tupi (or Lingua Geral) dictionary authored by the Jesuit missionary Antonius Meisterburg, who hailed from Bernkastel on the river Moselle, near Trier, in Germany. As I was getting ready to attend the Bremen conference on missionary linguistics a week later, it was on February 23rd, 2012, that I heeded the advice of my librarian colleague Hans-Ulrich Seiffert of the Trier University Library to have a second look at manuscript 1136 / 2048 4° at the Trier city library, which is well known for the rich manuscript and incunabula collection which it has been able to constitute after the French Revolution and the dissolution of the former monastic libraries. This undetermined manuscript had first been exhibited publicly in the context of an exhibition about the activities of the Jesuits in 1991. A brief catalogue entry by Michael Embach pretended it was composed in Spanish and Portuguese, possibly by an author “Meirin” in the year 1756, who was preparing himself for his missionary task. My inspection of the original on that memorable afternoon made it soon clear that the text was only in Portuguese, with no Spanish showing up anywhere. In the first half of the manuscript, the Portuguese lemmata, all well arranged and numbered in alphabetical order, would be followed by entries in an unknown language which, already then, had a smell of the Amazonas river area about it. In the second half of the text, the arrangement of the languages was manifestly reversed, though the order of the lemmata in the unknown target language seemed beyond comprehension. It was only later in the project that it dawned on us that in this final part, the order of the lemmata is based indeed on final rime. Two factors significantly furthered the determination of the as yet unknown language : 1. director Michael Embach’s permission to take working photographs of every page of the manuscript, and 2. the first Trier librarian’s entry in the 1802 catalogue affirming that “Codex maxime memorabiblis est, cum nondum grammatica praeter Lusitani Anchieta nota sit, et nullum vocabularium huius linguae existet. Sine dubio scriptum est a quodam Missionario Jesuita”. Consulting the internet on my way home that day, it was no exercise of witchcraft to learn under the entry “Anchieta” that this Portuguese Jesuit had authored a grammar of the Tupi language of Brazil printed in 1595. Furthermore, the entry “Old Tupi” informed me that the autoreferential word for the now extinct language was ñeengatú (the good, the correct language). Finding the equivalent of Portuguese “linguagem” as nheénga on my photograph of folio 25 just took a couple of minutes. The mysterious target language had thus been identified on the very evening of the inspection of the manuscript in Trier. The international collaboration which developed out of this seminal analysis of the original manuscript in the Trier municipal library counts among the most gratifying experiences in my life as a linguist. At the Bremen conference in early March 2012, a contact was established with professor Wolf Dietrich of the University of Münster, one of the most knowledgeable experts of Amazon linguistics, who took home for study my lot of photographs of the Trier manuscript and would soon attest its importance for the knowledge of “Lingua geral”, the language which had developed out of moribund Old Tupi. On a parallel track, I passed on news about my discovery to father Karl-Heinz Arenz, who hails from the Eifel region of Germany, has presented a doctoral thesis on the Luxembourg Jesuit Bettendorf, – who was active in northern Brazil in the latter half of the 17th century –, and is now teaching history in Belém and Santarém in the Brazilian State of Pará. Father Arenz spread the news to researchers Cândida Barros and Ruth Monserrat, who succeeded in obtaining a research grant from the Brazilian State. Those reals were mostly spent very wisely paying the doctoral student Gabriel Prudente to transcribe the manuscript’s text and proceeding to a first internal analysis which yielded some German word explanations plus many dialectal and sociolectal variants of Tupi and neighboring languages. Then came April 2014 with the Belém Seminar about the Trier manuscript which is at the origin of this digital facsimilé edition and of a series of scientific articles. The Trier library had meanwhile contributed digital images of the manuscript in very high resolution. Cândida Barros had already suggested in late 2012 that the Trier manuscript might have been written by any of three German Jesuits who are known for their missionary activities in the area of the river Xingu in the 1750s, before they had been arrested and imprisoned by the anti-Jesuit Portuguese government in 1756. It was only in early September 2015 that I could ascertain the true author of the present manuscript by comparing the handwriting of the manuscript with father Antonius Meisterburg’s autograph text penned down on the occasion of his four vows, and excluding the other two candidates, fathers Eckart and Kaulen, whose handwritings could also be inspected at the Roman archives of the Society of Jesus. For me this project has opened so many windows of knowledge that I simply want to THANK all who have accompanied, helped and counselled me during the last six years. Jean-Claude MULLER, Luxembourg linguist and cultural historian


11

Viirwuert op Lëtzebuergesch Ech wëll a ménger Heemechtssprooch – grad och wëll et wuel déi ass, di de Jesuitepater Antonius Meisterburg vu Bernkastel mat hirer muselfränkischer Basis verstaan hätt – kuurz festhaale, wéi ech iwwerhaapt dien Tréier TupiDictionnaire den 23. Februar 2012 entdeckt, d’Sprooch bestëmmt an den Auteur identifizéiert hun. Aus Erfahrung wësse mer mëttlerweil, dass an de Bibliothéiken an Archiven dacks onkatalogéiert oder falsch attribuéiert Pabeieren a Manuskripter leien, déi een an all Fäll mat Gewënn studéiert. Sou och an der Staadbibliothéik vun Tréier mat hiren iwwer 2.500 Manuskripter an Inkunabelen, wou e portugiesischen Dictionnaire aus de Missiounen schons 1991 am Cader vun enger Ausstellung iwwer dem Jesuitenuerden säi weltwäit Wiirken ausgestallt gouf. De Kolleg Michael Embach, diemols nach Direkter vun der Bibliothéik vum Tréirer Priesterseminaire, huet a sénger kuurzer Katalognotiz just festgehaal, dass een eigentlech iwwer d’Manuskript kaum eppes wisst mais dass et méiglecherweis vun engem Autor “Meirin” am Joër 1756 op spuenisch an op portugiesisch verfaast gouf, fir séch op de Missiounsasaaz viirzebereeden… Kuriéiserweis hat ech a méng Kopie vun diem Katalog derbäi geschriwwen: “la langue reste à déterminer”. Dat sollt dann op diem mémorablen Donneschdeg 23. Februar 2012 réusséieren, op diem ech als Viirbereedung fir de Missiounslinguistikkongress zu Bremen d’Woch drop de Kolleg Embach – elo Direkter vun der Stadtbibliothéik Tréier – ugeruff hun, hie soll mir w.e.g. d’Handschrëft 1136 / 2048 4° erausleen. Bei der Inspektioun an diem mëttlerweil schons historische Liessall aus den 1950er Joëren war et direkt kloër, dass den Text nëmmen op portugiesisch, an nit och nach eng Partie op spuenisch wir. An zwar esou, dass am éischten Deel vun diem anonyme Manuskript di portugiesisch Lemmata, an alphabetischer Uerdnung duerchnummeréiert, jeweils hannendrun eng Entspriechung an enger nach onbekannter Sprooch stouen haten, déi fir e Linguist awer schons du staark no Süd-Amerika geroch huet. Am hënneschten Deel vun der Handschrëft war d’Uerdnung manifestement ëmgedréint : viir stung jeweils e Lemma an dier rätselhafter Sprooch, an hannendrun d’Entspriechung op Portugiesisch. Wat d’Déterminatioun vun der onbekannter Zielsprooch méi liicht gemeet huet waren zwee Facteuren: 1. den Direkter Embach huet mir erlaabt, vun alle Säiten Aarbechtsphotoën ze maachen, an 2. den Antrag op Latäin am aale Wyttenbach-Katalog vun ëm 1802 : “Codex maxime memorabiblis est, cum nondum grammatica praeter Lusitani Anchieta nota sit, et nullum vocabularium huius linguae existet. Sine dubio scriptum est a quodam Missionario Jesuita”. Wéi ech nämlech um Wee vun Tréier heem nach kuurz a méngem diemoolege Bureau op der Buurmecht an den Internet eragekuckt hun, hun ech ënnert dem Stéchwuert “Anchieta” alles iwwer diem Jesuitepater séng éischt Tupi-Grammatik vu 1595 kënne liesen. Als nächst hun ech op der elektronischer Enzyklopädie Wikipedia “Old Tupi” agin an hun esou d’Eegebezeechnung ñeengatú (déi gudd, déi korrekt Sprooch) kënne liesen. Et war dun nëmme méi eng Fro vu Minutten, bis ech a ménge Photoën de Folio 25 vergréissert kritt hun, wou hannert dem portugiesischen “linguagem”: nheénga stung. Dat war, wéi ee geménkerhand seet, “Bingo !”. De Rescht ass ewëll Geschicht an aus dëser Déterminatioun vun der rätselhafter Sprooch ass een transkontinentale Fuerschungsprojet entstaan. Op der Konferenz zu Bremen krut ech Kontakt mam Professer Wolf Dietrich vu Münster, diem ausgewisene Spezialist vun der Amazonas-Linguistik a villen aaner Gebidder, een extrem gentillen a gedëllege Kolleg. De Steyler-Pater Karl-Heinz Arenz, dien aus der Eifel staamt, iwwer de Lëtzebuerger Pater Bettendorf promovéiert huet an zu Belém a Santarém a Brasilien (Pará) Geschicht dozéiert, huet de Kontakt mat de Fuerscherinnen Cândida Barros a Ruth Monserrat hiergestallt, déi doropshin a Brasilie Fuerschungsgelder beantragt hun, sou dass den Text konnt vum Doktoratsstudent Gabriel Prudente transkribéiert gin. D’Staadbibliothéik Tréier hirersäits huet eng Kontributioun “en nature” geleescht mat de professionelle Photoë vum Manuskript an héichopgeléister Qualitéit. Mir hun äis all fir d’éischt Ufanks Abréil 2014 fir e Séminaire iwwer dat Tréierer Manuskript zu Belém perséinlech kenne geléeirt an doraus sinn dës digital Facsimilé-Editioun wi och eng Rei vu wëssenschaftlechen Artikelen entstaan. Et war och d’Madame Barros, déi schons 2012 d’Hypothes vum Auteur als ee vun dräi däitsche Jesuiten opgestallt huet, déi an de 1750er Joëren am Gebidd vum Rio Xingu, engem Niewefloss vum Amazonas, aktiv waren, ier si vun der portugiesischer Regierung am Cader vun der Jesuite-Verfollegung 1756 verhaft goufen. Dass den eigentlechen Auteur de Pater Antonius Meisterburg vu Bernkastel war, konnt ech definitiv établéieren wéi ech Ufanks September 2015 zu Roum am Zentralarchiv vun de Jesuiten séng handschrëftlech Profess fond hun. De Pater Meisterburg war vun Ufank un jo die wahrscheinlichste Kandidat als Auteur vum Manuskript, wëll Bernkastel bei Tréier un der Musel läit an hie grad an diem Joër 1799 gestuerw as, wéi d’Handschrëft an d’Stadtbibliothéik koum ass. Bis elo war dëse Projet fir méch ee vun dienen, dien am meeschten Diiren op d’Welt opgemeet huet, a grad duefir soën ech hei gären allen diene MERCI, déi méch op dësem Entdeckungswee begleet hun. Jean-Claude MULLER, Lëtzebuerg Sproochwëssenschaftler a Kulturhistoriker


12

Gravura, de 1742, do Pe. Antônio Vieira (*1608 Lisboa - †1697 Salvador), pregando aos índios do Brasil. O Padre Antônio Vieira foi um dos mais influentes missionários jesuitas em terras brasileiras, grande orador e, pelo estilo dos seus famosos sermões, uma das figuras mais importantes da literatura barroca portuguesa e brasileira.


13

Conteúdo Préface française

(Jean-Claude Muller)

8

Deutsches Vorwort

(Jean-Claude Muller)

9

English Preface

(Jean-Claude Muller)

10

Viirwuert op Lëtzebuergesch

(Jean-Claude Muller)

11

Introdução 1. Antecedentes: o achado do Dicionário de Trier

15–16

2. Apresentação geral

17–18

3. As línguas gerais brasileiras (Wolf Dietrich)

19–22

4. Fontes manuscritas sobre a língua geral da Amazônia escritas por jesuitas “tapuitinga” (século XVIII) (Cândida Barros e Ruth Monserrat)

23–36

5. Os padres “tapuitinga”: a atuação de jesuítas alemães na Amazônia pombalina, 1750–1757 (Karl-Heinz Arenz e Gabriel de Cássio Pinheiro Prudente)

37–50

6. Ler e copiar, ouvir e registrar: um dicionário jesuítico como instrumento de aprendizado na Amazônia setecentista (Gabriel de Cássio Pinheiro Prudente)

51–71

7. A identificação do autor do Dicionário de Trier: Anton Meisterburg (Wolf Dietrich) 72–74 8. O Dicionário de Trier em comparação com dois outros dicionários de língua geral amazônica (Wolf Dietrich) 74–79 9. Referências bibliográficas gerais 10. Abreviaturas (usadas na Introdução e nos Anexos)

80–83 83

[ Dicionário de Língua Geral: Dicionário de Trier ] I. II.

[Primeira Parte: Português–Língua Geral Amazônica] [Segunda Parte: Língua Geral Amazônica–Português]

84–265 266–346

Anexos 1. Traduções e explicações em língua alemã: Meisterburg e Eckart

347–349

2. Indícios de escrita do documento por autor de fala alemã

350–358

3. Seleção de paralelismos entre Meisterburg, Eckart e a Prosodia

359–374

4. Citações de Anchieta, Catecismo (Araújo e Leam 1686) e Bettendorff (1687)

375–376

5. Documentação de outras línguas indígenas. Goyapi (Wayãpi), Xapi (Mawé), Coribaré (Ka’apor ?)

377–379

6. Referências das duas partes do Dicionário de Trier

380–383


14

Bernkastel (Alemanha), cidade em que nasceu e morreu o Padre Meisterburg. Fotos de placa com o seu nome em rua da cidade e outra em sua homenagem. (Foto Jean-Claude Muller).


15

Introdução Em 2015 foi feita a publicação digital da letra A da primeira parte do dicionário na Biblioteca Nacional (BN) do Rio de Janeiro. Nessa publicação constavam alguns artigos preparados pelos membros da equipe de pesquisadores para contextualizar o documento. Repetem-se na presente edição três desses subcapítulos: 1. Antecedentes: o achado do Dicionário de Trier; 2. Apresentação geral; 3. As línguas gerais brasileiras (Wolf Dietrich). Como o conteúdo dos demais artigos não corresponde inteiramente aos nossos conhecimentos atuais, o que agora é publicado são versões ampliadas e eventualmente já publicadas de alguns dos capítulos da edição da BN.

1. Antecedentes: O achado do dicionário de Trier Em 2012, Jean-Claude Muller, ex-diretor da Biblioteca Nacional do Luxemburgo, especialista em linguística indo-europeia e atual Primeiro Conselheiro do governo do Luxemburgo, descobriu na Biblioteca Municipal de Trier (Alemanha), a 50 kms da cidade de Luxemburgo, um manuscrito de 65 fólios, isto é, de 130 páginas de duas colunas. As páginas 1–48 contêm um vocabulário Português – Língua Geral Amazônica (LGA), as páginas 48–65 um pequeno dicionário LGA – Português organizado segundo o início da última sílaba da palavra ou expressão, como se fosse um dicionário de rimas. Na capa interior da parte de trás se lê, em letras grandes, a nota “Meirinho” e o ano 1756, isto é, a confirmação do meirinho que, no momento de confiscar o manuscrito, depois da proibição da ordem dos jesuítas em 1755, meirinhou o manuscrito naquele ano. Se não se tivesse devolvido o documento depois, ele não se teria conservado. O manuscrito é anônimo e carece de título. Pouco depois da descoberta formou-se um grupo de especialistas, composto por Cândida Barros, Belém; Karl-Heinz Arenz, Belém; Gabriel Prudente, Belém; Ruth Monserrat, Rio de Janeiro; Nelson Papavero, São Paulo; Jean-Claude Muller, Luxemburgo, e Wolf Dietrich, Münster/Alemanha. Graças a uma subvenção do CNPq do Brasil, Gabriel Prudente, então estudante de pós-graduação, pôde iniciar uma primeira transliteração do manuscrito e, em abril de 2014, o grupo pôde se reunir em Belém para discutir as possibilidades de uma publicação do desse manuscrito em forma digital e impressa. A leitura acurada do documento permitiu concluir que o autor era um jesuíta alemão que trabalhara em diferentes missões jesuíticas no Brasil, no baixo Xingu e no rio Madeira. Karl-Heinz Arenz, historiador da UFPA de Belém e estudioso da vida de João Felipe Bettendorff (1625–1698) – missionário de origem luxemburguesa que atuou na Amazônia –, estudou a história das atividades dos jesuítas alemães na Amazônia na primeira metade do século XVIII. Jean-Claude Muller completou a pesquisa com a análise da história das atividades missioneiras da arquidiocese de Mainz (Mogúncia) e da diocese de Trier (Tréveris). Cândida Barros, especialista em lexicografia brasileira da época colonial, contribuiu com seus conhecimentos da lexicografia setecentista em língua geral amazônica. Nelson Papavero acabava de publicar um livro importante sobre a obra de Anselm Eckart realizada na Amazônia (Papavero & Porro 2013). Os linguistas Wolf Dietrich e Ruth Monserrat, especialistas


16

em línguas indígenas sul-americanas, especialmente em línguas da família tupi-guarani, começaram a estudar a língua documentada no dicionário recém-descoberto. Evidenciou-se que se tratava da língua geral amazônica do século XVIII e que o manuscrito tinha estreita relação com dois outros dicionários anônimos da mesma língua, da mesma região e da mesma época, a chamada Prosodia da Língua e o Vocabulario da Língua Brasil (ver abaixo, seção 8 desta Introdução). Em novembro de 2014, o grupo de quatro pessoas que prepararia a edição (Jean-Claude Muller, Cândida Barros, Ruth Monserrat e Wolf Dietrich) se reuniu na cidade de Trier (Alemanha) para estudar o original do manuscrito na Biblioteca Municipal, na qual ele se conserva desde o ano de 1799. Puderam-se resolver várias questões de leitura e transcrição. No decurso de 2015 e na primeira metade de 2016, Wolf Dietrich e Ruth Monserrat trabalharam intensamente na revisão da transliteração para preparar esta edição. Cândida Barros teve de abandonar a colaboração no fim de 2015. Jean-Claude Muller e Wolf Dietrich reuniram-se de novo em Trier, em 29 de julho de 2016, para discutir alguns problemas restantes.

Fachada da Igreja de Santo Alexandre na Cidade Velha de Belém do Pará (Brasil). A Igreja e o Colégio foram a sede da Companhia de Jesus em Belém na época do Brasil colônia. (Foto Karl-Heinz Arenz).


17

2. Apresentação geral 1 Tapui significa bárbaro; por isso se alguém dá tal nome ao povo daqui, não gostam, embora êles nos dêem o mesmo nome a nós outros que somos brancos, mas não lusitanos: mas acrescentam ao nome a palavra tinga, que significa branco, donde tapuitinga, isto é, bárbaro branco. David Fáy, apud Rónai (1942, p. 268)

Tapuitinga era como os índios chamavam aos jesuítas da Europa Central que chegaram entre 1750 e 1753 na Amazônia, segundo relato de um deles, o padre David Fáy (Rónai 1942:268). Tudo indica que o dicionário da língua geral anônimo, que publicamos aqui pela primeira vez na sua forma integral, foi escrito por um tapuitinga (ver Monserrat e Arenz). Doravante, o dicionário será nomeado ora Trier, a cidade onde se conserva o original, ora 1756, a data que nele consta. O documento é composto de duas partes: português-língua geral e língua geral–português. Há outros dois dicionários semelhantes em língua geral escritos por jesuítas tapuitinga anônimos. Um deles é o Vocabulario da Lingua Brazil (ms. 3143 da Biblioteca da Universidade de Coimbra) e o outro, a Prosódia (cota 569, Série Azul da Academia de Ciências de Lisboa. Os três dicionários foram escritos na década de 50 do século XVIII. A observação dos verbetes permite identificar o contexto sociolinguístico nos quais foram escritos: •

diversidade linguística presente nas missões da época, devido à heterogeneidade dos novos

grupos continuamente nelas introduzidos. O dicionário de Trier ocasionalmente registra tal diversidade, nomeando, por exemplo, Coribaré, Xapi entre outros (ver Prudente); • distanciamento entre a língua empregada em catecismos e gramáticas antigos e a falada no cotidiano das missões, identificada em Trier como “vulgò” (‘vulgarmente’); No contexto em que foi escrito o dicionário, em 1756, já se fazia sentir uma mudança na direção da política linguística colonial. O governador Mendonça Furtado, irmão do Marquês de Pombal, fizera saber aos jesuítas Anselm Eckart e Anton Meisterburg – os jesuítas de língua alemã que ele encontrou nas missões do rio Madeira –, que a catequese deveria ser feita em português (Anônimo. Murr 1785 Apud Papavero e Porro 2013: 311). Temos, portanto, um documento linguístico que mantinha a continuidade da política linguística jesuítica na região em um período em que se dava início ao cumprimento das diretrizes pombalinas de evangelização em português. Uma característica do dicionário de Trier é ter duas “camadas” de escritas. Essas diferenças apontam para diferentes momentos do processo de aprendizado da língua geral pelos jesuítas. Uma primeira escrita distribui os verbetes regularmente em duas colunas no fólio, enquanto uma posterior acrescenta glosas e comentários em letras menores e de forma marginal. A primeira escrita copia outras versões de dicionários, repetindo as mesmas glosas na língua geral. A segunda, posteriormente, intervém nos verbetes acrescentando a experiência linguística do(s) autor(es) adquirida nas missões do rio Xingu e Madeira. Identificamos esses aditamentos pelo uso de negrito na transcrição. 1.

Esta apresentação, embora feita pela equipe de pesquisadores para a edição da Biblioteca Nacional, Rio de Janeiro, mantém parcialmente sua validade para a presente edição. As referências aos artigos preparados para a contextualização do dicionário e o parágrafo final de atribuição de tarefas entre os pesquisadores, bem como o agradecimento pelos apoios recebidos dizem respeito à preparação daquela edição.


18

O dicionário de 1756 só se tornou publicamente conhecido em 2012. Ele não consta na bibliografia de Serafim Leite, nos tomos III e IV de sua obra “História da Companhia de Jesus no Brasil” (1943). Da mesma forma Plínio Ayrosa (1954), responsável pela divulgação de muitas das fontes missionárias sobre o tupi colonial, não o cita em seu levantamento bibliográfico sobre a língua. Devem-se a Jean Claude Muller, linguista luxemburguês, a primeira notícia do códice, a publicação da transcrição de um fólio (Muller 2012) e o contato com os demais pesquisadores que fazem parte desta publicação. Na avaliação do grupo, seria importante divulgá-lo, transcrevendo-o e analisando-o a partir das diferentes perspec-tivas das disciplinas nas quais os pesquisadores atuam (Linguística e História). Para contextualizar o dicionário, artigos acompanham a transcrição do documento, abordando diferentes temas: Os possíveis autores do manuscrito e a conjuntura sociopolítica da Amazônia à época (Karl Arenz); Um inventário de fontes escritas sobre a língua geral, produzidas pelos jesuítas da Europa Central no século XVIII (Cândida Barros); O levantamento e análise de traços de fala estrangeira no português, na língua geral e no latim presentes no dicionário (Ruth Monserrat); A identificação dos grupos indígenas mencionados nos verbetes (Gabriel Prudente); A comparação do dicionário da Biblioteca de Trier com outras fontes lexicográficas tupi para identificar o estado da língua geral no século XVIII (Wolf Dietrich); Gabriel Prudente foi o responsável pela transcrição paleográfica do documento. A supervisão da transcrição esteve a cargo de Ruth Monserrat, Wolf Dietrich e Cândida Barros. Agradecemos ao Prof. Nelson Papavero (USP), autor de um estudo sobre o dicionário de 1756 (Papavero 2015) a valiosa contribuição em vários momentos das discussões para a edição do documento. Para o trabalho, tivemos apoio financeiro da Capes, CNPq e MCT/PCI-Museu Goeldi

2

e do

Instituto de Filosofia e Ciências Humanas (Faculdade de História) da UFPA. Somos gratos à Biblioteca Municipal de Trier que nos permitiu ter acesso direto ao manuscrito e que nos forneceu gentilmente uma cópia digital de alta resolução do mesmo. O Museu Emílio Goeldi e a Universidade Federal do Pará são os patrocinadores da iniciativa de estudo do documento. A equipe de pesquisadores

2.

Apoio do Programa do MCT/PCI-Museu Goeldi para consultoria de Ruth Monserrat.

3.

Referência bibliográfica à edição da Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro: BARROS, Cândida; PRUDENTE, Gabriel. MULLER, Jean-Claude; ARENZ, Karl Heinz; MONSERRAT, Ruth. DIETRICH, Wolf. Extrato de um dicionário jesuítico de 1756 em língua geral. In: Biblioteca Nacional Digital. Disponível em: <http://bndigital.bn.gov. br/dossies/extrato-de-um-dicionario-jesuitico-de-1756-em-lingua-geral/>. Acesso em: 12/02/2018.


19

3. As línguas gerais brasileiras Wolf Dietrich, (Universität Münster, Alemanha) Queremos dar aqui algumas informações aos leitores do Dicionário de Trier que não são familiarizados com a situação linguística do Brasil da época colonial e de hoje. Além do português, falam-se no Brasil até hoje aproximadamente 150 línguas indígenas, delas só 11 com entre cinco mil e vinte mil falantes. Todas estas línguas classificam-se em famílias grandes como as línguas tupi, arawak, carib, macro-jê, pano, famílias pequenas como as línguas chapacura, yanomami, tukano, arawá, etc. e línguas até hoje isoladas como, por exemplo o tikuna, o aikanã, kwazá, irantxe, trumai e máku ou máko. Muitas línguas estão altamente ameaçadas de extinção porque já não se transmitem de pais a filhos e pelo abandono da língua pelos próprios pais. O número de línguas isoladas se está reduzindo também pelo avanço da linguística histórica: cuanto mais se conhecem as línguas e são estudadas as possíveis conexões genéticas, tanto mais se reconhecem filiações entre os grupos e tanto mais se consegue detectar a pertinência de uma língua, considerada isolada durante muito tempo, a um grupo ou uma família de línguas conhecida. Além do português e das línguas indígenas há também o fenômeno histórico das línguas gerais. A melhor descrição e a definição mais consistente está em Rodrigues (1986: 99–109, e 1996). Citamos aqui Rodrigues (1986: 99–102): « A expressão “língua geral” foi inicialmente usada, pelos portugueses e pelos espanhóis, para qualificar línguas indígenas de grande difusão numa área. Assim, na América espanhola, o Quéchua já no século XVI foi chamado de “Língua Geral do Peru” ... e o Guarani, no início do século XVII, de “Língua Geral da Província do Paraguai”. ... No Brasil, entretanto, tardou bastante o uso dessa expressão por parte dos portugueses. A língua dos índios Tupinambá, que no século XVI era falada sobre enorme extensão, ao longo da costa atlântica (do litoral de São Paulo ao litoral do Nordeste), não teve consagrada a designação de “língua geral” nos dois primeiros séculos da colonização. O padre Anchieta intitulou sua gramática, a primeira que dela se fez (publicada em 1595), “Arte de gramática da língua mais usada na Costa do Brasil”. Outros autores referiram-se a ela como à “língua do Brasil” ... Mas o nome cujo uso se firmou, sobretudo ao longo do século XVII foi o de “Língua Brasílica”. Assim, o catecismo publicado em 1618 chamou-se “Catecismo na Língua Brasílica”; a segunda gramática, feita pelo padre Luís Figueira e cuja primeira impressão é de 1621, foi a “Arte da Língua Brasílica”; o dicionário dos jesuitas, cujo manuscrito melhor conhecido é do mesmo ano 1621 [outros pretendem que é de 1622], traz o nome de “Vocabulário na Língua Brasílica”, e assim por diante. O nome Tupinambá, como designação dessa língua, aparece tardiamente, no século XVIII, já com a intenção de distinguí-la, enquanto língua dos índios Tupinambá (do Pará), da língua então corrente da população mestiça, já sensivelmente diferente daquela; mas, no início do século XIX, passou a ser usado para designar essa mesma


20

língua corrente, vulgar na Província do Pará. Já o nome Tupi se torna usual somente no século XIX, quando já tinha desparecido a grande maioria dos índios Tupinambá. ... Já no século XVI a Língua Brasílica passou a ser aprendida pelos portugueses, que de início constituiam uma pequena minoria junto aos índios Tupinambá. Como grande parte dos colonos vinham para o Brasil sem mulheres, passaram a viver com mulheres indígenas, com a consequência de que a Língua Brasílica (isto é, o Tupinambá) veio a ser a língua materna de seus filhos. ... Essa situação atenuou-se em alguns lugares, com o aumento da imigração portuguesa e com a dizimação dos índios, mas intensificou-se em outros. Foi nas áreas mais afastadas do centro administrativo da Colônia (que era a Bahia) que se intensificou e generalizou o uso da Língua Brasílica como língua comum entre os portugueses e seus descendentes – predominantemente mestiços – e escravos (inclusive africanos), os índios Tupinambá e outros índios incorporados às missões, às fazendas e às tropas: em resumo, toda a população, não importa qual sua origem, que passou a integrar o sistema colonial. A essa língua popular, geral a índios missionados e aculturados e a não-índios, é que foi aplicado o nome de Língua Geral. O uso desse nome começa já na segunda metade do século XVII. ... No sul da Colônia constituiu-se uma Língua Geral distinta da Língua Geral do Norte ou Língua Geral Amazônica. A Língua Geral do Sul, ou Língua Geral Paulista, menos conhecida que a outra, teve sua origem na língua dos índios Tupí de São Vicente e do alto rio Tietê, a qual diferia um pouco da língua dos Tupinambá. É a língua que no século XVII falavam os bandeirantes que de São Paulo saíram a explorar Minas gerais, Goiás, Mato Grosso e o Sul do Brasil. Por ser a língua desses pioneiros e aventureiros, penetrou essa Língua Geral em áreas onde nunca tinham chegado índios Tupí-Guaraní e aí deixou sua marca no vocabulário e na toponímia. ... Já a Língua Geral Amazônica desenvolveu-se inicialmente no Maranhão e no Pará, mais tarde do que a do Sul, a partir do Tupinambá. Ao contrário de São Vicente e São Paulo, onde a colonização teve início já na primeira metade do século XVI, no Maranhão a conquista portuguesa começou quase cem anos depois, na primeira metade do século XVII. O litoral do Maranhão, onde primeiro se estabeleceram os portugueses, estava densamente povoado pelos índios Tupinambá, que se estendiam para oeste até a foz do rio Tocantins. Em consequência dessa situação, aí o Tupinambá foi a língua predominante na população colonial durante o século XVII e acabou dando origem à nova Língua Geral, que foi falada pelas tropas e missões que foram penetrando e criando núcleos de povoamento no vale amazônico. Portanto, o Tupinambá e essa Língua Geral em que se transformou, é que foi a língua da ocupação portuguesa da Amazônia nos séculos XVII e XVIII. Aí ela foi o veículo não só da catequese, mas também da ação social e política portuguesa e luso-brasileira até o século XIX. Ainda hoje é falada, especialmente na bacia do rio Negro, sendo que no Uaupês e no Içana, além de ser a língua materna da população cabocla, ainda mantém o caráter de língua de comunicação entre índios e não-índios, ou entre índios de diferentes línguas.»


21

Mapa da repartição das línguas Tupi na América do Sul. As Línguas Gerais nasceram do Tupinambá, uma das línguas Tupi. O mapa não considera as línguas faladas parcialmente por não-indígenas (as Línguas Gerais, o Nheengatu do Alto Rio Negro, o Guarani do Paraguai). Mapa elaborado por Love Eriksen, publicado por Rik van Gijn et alii, “Subordination Strategies in Tupian Languages”, Boletim do Museu Paraense Emilio Goeldi – Ciências Humanas, no. 10,2 (2015), pág. 301.


22

De tudo isso resulta que o Dicionário de Trier é um documento da Língua Geral Amazônica de meados do século XVIII. Documentos comparáveis estão alistados abaixo, na nota 6. O valor histórico do Dicionário de Trier está também na documentação que nele se encontra sobre a evolução desta Língua Geral a partir do Vocabulário na Língua Brasílica (VLB) de 1622 até meados do século XVIII, época da confecção do dicionário. Esta evolução é indicada pelo autor cada vez que ele dá, no verbete português da primeira parte, primeiro a solução em Língua Geral que corresponde à tradição – documentada, de maneira visível para nós, no VLB, que com certeza era uma das fontes do dicionário – e contrastado, em segundo lugar, pela menção vulgò ‘na fala da gente’, ‘habitualmente’, que se refere ao uso contemporâneo na atualidade da confecção do dicionário. Na citação que fizemos acima da obra de Rodrigues (1986), o autor alude às mudanças que caraterizaram a Língua Geral Amazônica em confronto com o Tupinambá original, mudanças que ocorreram na fonologia, na morfossintaxe e sintaxe e no léxico. Estas mudanças gerais estão descritas nas páginas que seguem à nossa citação (veja-se Rodrigues 1986: 104–109). RODRIGUES, Aryon Dall’Igna (1986), Línguas brasileiras. Para o conhecimento das línguas indígenas. São Paulo: Loyola.

Mapa do Baixo Xingu. Na altura de “Pombal”, mais ou menos no centro do mapa, na margem direita do rio, se encontrava o lugar da antiga missão de Piriguiri.


23

4. Fontes manuscritas sobre a língua geral da Amazônia escritas por Jesuítas “Tapuitinga” (seculo XVIII)

Cândida Barros, (Museu Goeldi, Belém) Ruth Maria Fonini Monserrat (Universidade Federal do Rio de Janeiro)

Introdução « Aos lusitanos chamam, mas honestamente, de caraibas, o que também significa branco, [...]. No entanto gostam mais de nós [brancos não lusitanos] e sabem distinguir entre nós e os lusitanos. Um índio veio ao Maranhão, da aldeia de Pindaré; estando todos nós no quarto do P. João Szluha, veio ter conosco, abraçou-nos e disse a cada um de nós: Tapuitinga katu, Tapuitinga katu, isto é: o bárbaro branco é bom barbaro branco é bom » [...] (Fáy 1753 apud RÓNAI, 1942: 269).

A passagem acima identifica jesuítas da Europa Central que chegaram à Amazônia entre 1750 e 1753 como tapuitinga. O relato consta de uma carta do jesuíta húngaro David Fáy aos seus familiares na Europa, quando de sua chegada à Amazônia. A palavra tapuitinga, empregada por um índio da aldeia de Pindaré (Maranhão), é composta morfologicamente por tapuia – referência de “bárbaro” – e tinga, que significa ‘branco’, ou seja “bárbaro branco” (RÓNAI, 1942, p. 268). O termo tapuitinga já havia sido usado no “Catecismo na lingoa brasilica” de Antônio Araújo e Bertholameu Leão (1686) como referência à população da Índia (“India Tapyitinga retâme” ‘Índia país dos bárbaros brancos’), em uma passagem sobre os lugares pelos quais São Tomé teria passado (ARAÚJO E LEÃO, 1686, p. 238). Em dicionários tupi setecentistas em circulação na Amazônia, essa palavra é usada para referir-se aos franceses (DICIONÁRIO, s.d., fl.63; GRAMÁTICA, 1750, fl.299). O comum nesses usos (ARAÚJO E LEÃO, 1686; RÓNAI 1942, GRAMÁTICA, 1750 e DICIONÁRIO, s.d.) é uma identificação do não português para tapuitinga, como explica Eckart: “Sic quoque Brasili exteros omnes, qui no sunt Lusitani, appellant, Tapúiatinga” (ECKART, 1779, p.122). Usaremos também, para denominar esse grupo de missionário, as expressões “jesuítas da Europa Central”

(MEIER e AYMORÉ, 2005) e “jesuítas de fala alemã” (KOHUT, 2007).

Identificaremos como sendo da autoria deles manuscritos sobre a língua geral, em grande parte anônimos e ainda inéditos. Nessa abordagem não se procurará desvendar a autoria individual de cada documento, e sim destacar os traços comuns que eles apresentam ao escrever sobre a língua geral. Para estudos sobre as possíveis autorias individuais de alguns deles ver análises de Jean-Claude Muller (2012), Papavero e Barros (2013), Papavero (2015), Arenz (em fase de edição), Dietrich (em fase de edição), Prudente (2013a). Originalmente publicado : BARROS, Cândida; MONSERRAT, Ruth. Fontes manuscritas sobre a língua geral da Amazônia escritas por jesuítas tapuitinga (século XVIII). Confluência, Rio de Janeiro, v. 1, n.° 49 – 2.º, p. 236–254, 2015.


24

1. Objetivos São dois os objetivos deste trabalho: apresentar o conjunto de fontes manuscritas da língua geral que contêm indícios de terem sido escritas por jesuítas da Europa Central, chegados à Amazônia na década de 50 do século XVIII, e desvendar as estratégias utilizadas por seus autores no aprendizado da língua geral. Para denominar essa língua indígena usaremos tanto o termo língua geral, recorrente no século XVIII, como tupi, mais conhecido na literatura.

2. O Grupo Em termos institucionais, os padres tapuitinga pertenciam à Assistência Germânica da Companhia de Jesus, que compreendia os colégios jesuíticos nas regiões do que é hoje Holanda, Bélgica, Alemanha, Suíça, Áustria, Hungria, Polônia e República Checa (AYMORÉ, s.d). Entre os 12 jesuítas que aqui chegaram na década de 50 do século XVIII, oito eram coadjutores espirituais – cargo direcionado às funções da evangelização dos índios – e, como tal, com obrigação de aprender a língua geral; dois eram coadjutores temporais, que não atuavam diretamente na conversão. Enfocaremos os oito coadjutores espirituais, listados abaixo: Tabela 1 : Lista dos coadjutores espirituais que chegaram à Amazônia entre 1750 e 1753 (MEIER e AYMORÉ, 2005) Nome

Nascimento e Período na Missões de atuação morte Amazônia

ECKART, Anselm

1721–1809

1753–1757

Piraguiri, Trocano, Abacaxis, Caeté

FÁY, David

1722–1767

1753–1757

Tapuitapera, São José, Acarará e entre os índios Amanajés

HOFFMAYER, Henrique

1722–1757?

1753–1757

Santa Cruz

1716–ca.1797

1750–1757

Piraguiri , Mortigura e Sumaúma

1725–1791

1753–1760

Índios Tremembé , São João de Cortes

1719–1799

1750–1757

Trocano, Abacaxis, Arucará, Santa Cruz

1719–1788

1753–1759

Guaricuru, Araticum

1723–1803

1753–1759

Amanajé, Pindaré

KAULEN, Lourenço KAYLING, José MEISTERBURG, Anton SCHWARTZ, Martinho SZLUHA, João Nepumoceno

A vinda dos jesuítas tapuitinga foi organizada em 1749 pelo padre Roque Hundertpfund, então missionário na Amazônia, tendo recebido apoio da Rainha de Portugal Maria Ana da Áustria e do Padre Geral da Companhia de Jesus, Franz Retz, originário da Boêmia. Todos os três eram de “fala alemã”.


25

Por contingências políticas, os religiosos da Europa Central que chegaram a partir de 1750 ficaram na Amazônia por breve período de tempo. Com a morte da Rainha Maria Ana da Áustria, e a entrada em vigência da política do Marquês de Pombal (1750-1777), contrário à Companhia de Jesus, os padres tapuitinga foram especialmente visados pela administração pombalina, como se pode ver no documento anônimo de crítica à Ordem Relação abreviada da república que os religiosos jesuítas das Províncias de Portugal e Espanha estabeleceram nos domínios ultramarinos das duas monarquias (1757). O panfleto denuncia os padres David Fáy, Anselm Eckart e Antônio Meisterburg.

3. Os documentos O quadro abaixo inventaria os códices sobre a língua geral contendo sinais que apontam para autoria tapuitinga. Em seguida, situaremos esses documentos no conjunto das demais obras congêneres da mesma época. Tabela 2 : Códices em língua geral Códice e Biblioteca depositária

Datação e Autoria

Conteúdo

Vocabulario da Lingua Brazil (Biblioteca Nacional de Lisboa, códice 3143)

Anônimo Sem data

Dicionário PortuguêsLíngua Geral

Missão de Abacaxis (rio Madeira)

Prosódia. Dicionário da lingua falada por indios do Brasil (Academia de Ciências de Lisboa, no. 569)

Anônimo Sem data

Dicionário PortuguêsLíngua Geral, lista de termos do corpo humano, canções e sonetos religiosos em tupi, narrativas rimadas com temas profanos.

Missão de Arucará (rio Xingu)

Dicionário PortuguêsLíngua Geral e Língua Geral–Português. (Biblioteca Municipal de Trier, Códice 1136/2048 4°)

Anônimo 1756

Dicionário Português- Missão de Piraguiri Língua Geral e Língua (rio Xingu) Geral-Português

Referências geográficas


26

Doutrina christãa em lingoa geral dos Indios do Estado do Brasil e Maranhão, [...] traduzida em lingoa geral e Anônimo Sem data irregular, e vulgar uzada nesses tempos (Biblioteca da Universidade de Coimbra, ms.1089)

Diálogo de perguntas e respostas e textos exortativos

Material confiscado de Eckart em 1759 (Torre do Tombo m.59 n.4)

1753 (?) – 1759

Pequenas listas lexicais

Correspondência de David Fáy aos familiares na Hungria (apud RÓNAI, 1942)

1753

Oração do Pai Nosso traduzida para o tupi

Por questão de comodidade, nos referiremos à documentação anônima constante no quadro acima, como, respectivamente: Vocabulário da Lingua Brazil (VOCABULARIO , s.d), Prosódia ( s.d), Trier (DICIONÁRIO 1756), Doutrina ( s.d). Não foi incluído no quadro um trabalho impresso de teor gramatical de Anselm Eckart sobre a língua geral. Chama-se Specimen da lingua brasilica vulgaris. Foi publicado na Alemanha em 1778, um ano depois do jesuíta ter saido da prisão em Lisboa. Em 1779, Eckart publicou uma errata ao artigo, com alguns outros acréscimos – “Zusatze sum Specimine Linguae Brasilicae vulgaris”. O trabalho de 1778 foi analisado por Maria Carlota Rosa (1994) e traduzido do latim para o português por Carlos Antônio Kalil Tannus e Miguel Barbosa do Rosário (ECKART, 1994). Os indícios de que os manuscritos anônimos da tabela acima foram escritos por padres tapuitinga são os seguintes:

a) Inserções em alemão e em latim nos dicionários e na Doutrina: Os padres da Europa Central fazem inserções ocasionais em alemão, e, com mais frequência, em latim. Este era usado por eles como idioma de conhecimento. O artigo de Eckart sobre a língua geral, por exemplo, publicado na Alemanha em 1778, estava escrito em latim. Também o Vocabulário da Língua Brazil e o Dicionário de Trier inserem por vezes o alemão, e recorrentemente o latim, como se pode ver nos exemplos abaixo: Esfregar. akytýc v apixíb. alii: apixío. german. reiben (Trier, fl. 18) Aballar. amocüé, v amocatác. v.g. o esteio, que está fincado, ou huma arvore etc o frequentativo faz amocüécüé v amocatácatác e assim fallando dos mais verbos, que poremos adiante, o dto verbo propriamente em latina significa: concutio (Trier, fl.1). Amarella cor do rosto. Tobá jubá. Gelb wie saffran (Voc. da Língua Brazil, f.19)


27

b) Uso de sinal gráfico de parênteses característico da escrita do alemão antigo: Os jesuítas da Europa Central faziam uso de uma forma gráfica de parênteses - /: ;/ - não encontrada na caligrafia portuguesa, que usa apenas barras (/ /). Dois dos códices anônimos citados fazem uso dessa sinalização (Doutrina e Vocabulario da lingua Brazil): [...] Antixto [Anti Christo], coipó abá angaturáma möánga /: Tupã ixé :/ ejágöéra motĩ opabenhé abá pŷtéropé, v[el] icatúpenhé; omombëú ybŷpóra çupé: (Doutrina, fl. 33) [...] o Anti Cristo ou esse fingido homem bom /: sou Deus :/ ele diz no meio de todos homens [ou] bem às claras, ensinou aos habitantes da terra. [tradução RM] [Peito] do pé. Pý cupé. Aquelle pequeno vao /:vadum :/ no meyo delle: Nhyã ou Pý çöã. Topinamba (Voc. da Língua Brazil, fl. 128).

c) Marcas de escrita alemã no registro de palavras em português: Quando chegaram à Amazônia, os jesuítas tapuitinga se dedicavam ao aprendizado não apenas da língua geral mas também do português, como menciona o jesuíta Henrique Hoffmayer, um dos que chegaram em 1753 ( LAMEGO, 1925, p. 340). A pouca proficiência em português fez com que alguns erros sistemâticos estejam presentes nos três dicionários (MONSERRAT, no prelo), como a troca de consoantes oclusivas e fricativas sonoras por surdas (b por p, d por t, g por c,qu,k, z por s), ou o contrário, a troca de surdas por sonoras, entre outros. Isso ocorre também no registro de palavras em latim e em tupi. Exemplos do dicionário de Trier: Affoquear [afoguear]. açapù. a. aiepùucar, fazer affoquearse [afoguearse] (fl.3) Xeẽ efluo. çuguy abé ixui iẽmi. effluit ex illo sanquis [sanguis]. [1ªcol; f.50] Adormecer act. amonkèr [amongèr] neu. akèr. (fl. 2) Amoçác amarrar o fingado [fincado] [2ªcol; f.45] No caso da Prosódia, tais equívocos são os únicos sinais de que o códice foi escrito por autor estrangeiro, uma vez que utiliza apenas o português, sem inserções em latim ou alemão: Oraçaõ. Tupã monketeçába [monguetaçába] (fl. 63) Desemparaçar [desembaraçar] como fio. Ajurào (fl. 31) Destemperado andar de barriga. Xe righé acy. T. Xe marigacỳ [maricacỳ]. Vul. (fl.33) Aas apalpatellas [apalpadellas]. Pococába rupí.(fl.2) A seguir examinaremos os diferentes gêneros de textos sobre a língua geral escritos pelos padres tapuitinga:


28

d) Dicionários Português–língua geral: Os três dicionários bilíngues português – língua geral dos jesuítas tapuitinga seguem um mesmo modelo, também adotado em um códice encontrado na fazenda jesuítica de Gilboé (CÓDICE, 1757). As semelhanças entre essas obras mostram a prática de sucessivas cópias. Aceitamos a sugestão de Capucine Boidin (comunicação pessoal), que propõe tratar essa prática, nos textos guarani coloniais, como sendo de “enésima iteração”, tornando assim irrelevante a ordem de sucessão das cópias. Esses dicionários de língua geral, em circulação nos anos cinquenta do século XVIII, apresentam a mesma organização na estruturação interna dos verbetes (entrada em português com eventual aditamento de variantes diglóssicas – “vulgar” versus “ tupinamba”, “catecismo” e “arte”). Em oposição a esse modelo, há um conjunto de dicionários da mesma época que apontam para outra linhagem na forma de fazê-lo (entrada em português e equivalência na variante vulgar da época). Pertencem a esta segunda linhagem dois dicionários (GRAMÁTICA, 1750 e VOCABULARIO, 1751). e) Dicionário Língua geral–português: Há apenas um códice de autoria tapuitinga – o de Trier – com um dicionário Língua geral-Português. O que o distingue de dois outros documentos setecentistas congêneres (PRAZERES, 1891 e DICIONÁRIO, s.d ) é o sistema de ordenamento das entradas, feito pelo final das palavras, enquanto os outros dois as organizam alfabeticamente, pela ordem das letras iniciais. Segue um pequeno trecho ordenado pelo final da palavra em “ab”. A B ( f. 45) Aba tecocuàb. pessoa prudente. Aberàb. resplandecer. reluzir. Aberáberáb. resplandecer a miudo. Acaangàb, amoçaangàb. medir. aballizar, v assinalar. Açab foiro signū per modū crucis, qualicunq ex re. Acekendab. aliis: acenkendáo. fechar grlmte Acacuab. crecer a pessoa ou aãl. Açokendàb. fechar a porta. Aiàb. nacer o pinto ou qlqr passaro. abrirse a flor.

f) Textos catequéticos: Entre os textos catequéticos de autoria tapuitinga, há duas versões da oração do Pai Nosso traduzido para o tupi, uma na carta de Fáy de 1753 e outra no artigo de Eckart (1778). O códice Prosódia contém uma série de sonetos e canções em tupi. Algumas destas eram inspiradas em música de origem européia, como “Stabat Mater” (Nossa Senhora da Piedade Imitando o Stabat Mater” , fl. 107v). A única amostra de diálogo de doutrina que temos dos autores tapuitinga é o códice “Doutrina christaã em lingoa geral dos Indios do Estado do Brasil e Maranhão, composta pelo P. Philippe Bettendorff, traduzida em lingoa geral e irregular, e vulgar uzada nesses tempos”. O título nos indica que o autor se propõe a fazer uso da variedade “vulgar” da língua geral no diálogo de doutrina, diferentemente do que havia sido decidido pela Companhia de Jesus uma década antes – ou seja, que


29

deveriam ser mantidos no diálogo de doutrina oficial recursos do tupi clássico (MONSERRAT, BARROS e MOTA, 2010). Podemos constatar a diferença no exemplo abaixo. Na versão oficial de 1740, para responder negativamente à pergunta sobre se Deus tem corpo, é empregada a forma tradicional da negação tupi (n-...-i). No mesmo contexto, a Doutrina utiliza a forma “vulgar” (nitiu).

Doutrina Christam de 1740 (apud Códice 1757, fl.132) P. Cetêpe Tupã acê iabe? P. Deus tem corpo como nós? R. Nacetei. R. Não tem corpo.[tradução RM] [neg-corpo-dele-neg]

Doutrina (fl. 10)

P.Tupá Túba, oguerecó ceté, jandé jabé? P. Deus Pai tem corpo, como nós? R. Nitíu ceté: [...] R. Não tem corpo.[tradução RM] [não corpo-dele]

g) Narrativas profanas rimadas: O códice Prósodia contém também narrativas rimadas de conteúdo profano, Algumas delas tratam das incursões dos brancos nas aldeias em busca de índios para o trabalho nas canoas, como mostram as traduções para o português de Eduardo Navarro (2008/2011). Juan Carlos Estenssoro (comunicação pessoal) caracteriza esse gênero de narrativa rimada como destinado a exercitar o conhecimento da língua indígena, sem ligação necessária direta com a evangelização.

h) Pequenas listas lexicais: Entre os materiais confiscados pela administração pombalina quando da entrada de Anselm Eckart na prisão em Lisboa em 1759 (PAPAVERO, BARROS, NEBGEN, 2013) havia uma série de breves anotações avulsas sobre a língua geral, que atestam o interesse do autor no exercício de aprendizagem tanto do português como da língua geral. Uma listagem em latim de peças de roupas pessoais tem uma segunda coluna com a palavra equivalente em português (“1 mantile toalha das maõs”). Numa caderneta há uma lista intitulada “Voces a latina ling.” com 13 itens lexicais na língua geral traduzidos para o latim. Grande parte do material linguístico dos padres tapuitinga foi confiscada pela administração pombalina e está hoje em bibliotecas portuguesas (Biblioteca da Universidade de Coimbra, Biblioteca Nacional de Portugal, Torre do Tombo e Academia de Ciências de Lisboa). O Dicionário de Trier foi o único que escapou ao confisco pombalino e se encontra na biblioteca dessa cidade alemã.


30

4. Estratégias de aprendizado da língua geral 4.1 Consulta às fontes tupi impressas Os jesuítas tapuitinga, adultos e letrados, fizeram uso da literatura tupi jesuítica impressa como recurso para o aprendizado linguístico e como acesso a formulários para os cerimoniais de evangelização. David Fáy, em 1753, utilizou o catecismo de Bettendorff (1687) para auxiliá-lo na extrema unção dos índios: “Havia entre eles muitos doentes. [...] vieram implorar-nos; embora não soubesse ainda a língua vali-me do catecismo em língua lusitana e brasileira, auxiliei como melhor pude aqueles desamparados” (RÓNAI, 1942, p.269). Alguns verbetes dos dicionários de autoria tapuitinga, ao fazerem referência às páginas de “arte” e “catecismo”, permitem identificar sua fonte de consulta. No dicionário de Trier, Prudente (2013b) pôde comprovar que eles tiveram à disposição os catecismos de Araújo e Leão (1686) e de Bettendorff (1687) e a “Arte” de Figueira (1687), como se pode ver abaixo, pelo dicionário de Trier:

“Ama, que cria. mocãbyâra v mocãbyçara, membycambubäè. Cate. fol. 117” (Trier fl.4)

“Purgatorio. tatà. mondycaba. Bett. pag. 51. forte dicdū repymondycaba”(Trier, fl. 34).

Doente. mbäe acymbóra. a arte diz: baeacybóra. pag. 96.

ARAÚJO E LEÃO, 1686, pág. 117: “D.Cunumĩ, cunhã täi, tunhabäẽymâna, goaibĩ ymâna, muruápôra, imembycambubäé, mbäé acybôra, cóâra pucúi morabykyâra, goataçâra abé.”

BETTENDORFF, 1687, pág. 51: “D. Putunuçú tatá mondycâba árybo oçôbäé, pitanga imogaräíbipŷrëŷma recoâbamo cupê.” “[O Limbo] é uma caverna grande acima do purgatório para onde vão as crianças que não foram batizadas”

FIGUEIRA, 1687, pág. 96: “Quecé paié baeäcybóram çubáni, ontem, o feiticeiro chupou o enfermo. Baeäcybóra, he accusativo, & se naõ estivera immediato ao seu verbo activo, diriamos, Ixubáni: ut Quece baeäcybóra paié ixubáni.”

Essas obras impressas estavam disponíveis nas missões e bibliotecas dos colégios. Na missão de Abacaxis, havia uma gramática de Anchieta de 1595 (Eckart 1994). Na de Trocana havia “hum catecismo brazilico com o serimonial [sic] dos sacramentos”, segundo o inventário feito por Eckart dos bens da missão (ECKART, 1756). No século XVIII, esses materiais ainda eram mantidos pela Companhia de Jesus como referência para o aprendizado da língua e a evangelização. Mas, segundo os próprios padres tapuitinga, eles não correspondiam mais à língua usada no cotidiano das missões. E segundo o padre Daniel, mesmo o catecismo já não era compreendido pelos índios (DANIEL, 1976, vol.2, p. 225).


31

4.2 O recurso a Bento Pereira para compreensão do português nos dicionários tupi Segundo Dieter Messner (2008), os dicionários português-latim foram a base para o estabelecimento do ordenamento alfabético de entradas em português de dicionários em línguas das colônias portuguesas. Já os padres tapuitinga acrescentaram um novo uso a esses dicionários português-latim – o de esclarecer o significado das entradas em português nos dicionários de língua geral que tinham a seu dispor. A eficiência de um dicionário bilíngue para o aprendizado de uma língua estrangeira depende do conhecimento que o consulente tiver sobre o significado das entradas dos verbetes. A inclusão ocasional do latim revela que o autor desconhecia aquele termo em português. Dos três dicionários, o mais sistemático na inserção do latim para traduzir as entradas é o Vocabulario da lingua Brazil. Para conhecer o significado dos verbetes em português, o missionário serviu-se do dicionário português-latim de Bento Pereira (1º edição 1634). Vocabulario na lingua Brazil

Bento Pereira (1741)

Cédula, Schedula. Papéra, ut Arecó papera (fl.45) Abainhar. Plicare fimbriam. Amöybŷc v. Amanán (fl.3)

“Cedula. Scheda, ae. Schedula.ae.”(p.39) “Abainhar . Plicare fimbriam.” (p.1)

Às vezes, além de Bento Pereira, o autor do Vocabulario da lingua Brazil consultou também Bluteau (1728), como no exemplo: "Azougado, Traquinas, Ardelio, homu inquietus. Xereçáguyrá" (fl.32). O sentido de azougado como “traquinas, ardelio” está dado em Bento Pereira (1741: p.21); o de “homu inquietus” está presente apenas em Bluteau (1728, v.1, p.697).

4.3 O uso de aliterações O uso das aliterações – palavras com sons parecidos e significados diferentes – no aprendizado de línguas estrangeiras era uma prática usada desde a Idade Média (CLANCHY 2012). Ela está presente em três dos códices: ● nas narrativas profanas rimadas de Prosódia: Xe copixápe catù acýc, Tapyyietà amöapycýc, Xe irunamogoàra çupé, Aimëeng quatro tuibäé (fl.96v) ●

Cheguei à minha roça; matei a fome dos tapuios e aos que moram comigo dei os quatro velhos. (NAVARRO, 2011, p.191)

no dicionário língua geral-português ordenado pelo final das palavras

Acái. queimarse. Açapucái. gritar chamando. Acarái. arranhar a outro.a. (Trier, fl. 45): ● nas anotacões de Eckart confiscadas em 1795, antes de entrar na prisão: Irá mel Itá lapidem et ferrum ( ECKART, 1759)


32

4.4 Reinterpretação da escrita tupi utilizada por autores portugueses A escrita tupi utilizada pelos jesuítas lusitanos era baseada na da língua portuguesa, como se menciona na “Advertencia sobre a ortographia, & pronunciaçaõ” do catecismo tupi de Araújo e Leão: "Este Catecismo como produzido pelos Portugueses, he Portuguez na escritura; que pode admitir a pena Portugueza. E assi se usa nelle de Ç com zeura em lugar do S, cujo natural sibilo naõ consente a língua Brasilica" (ARAÚJO e LEÃO,1686). Os padres tapuitinga mantiveram em muitos de seus textos a forma de registro gráfico do tupi estabelecida pela tradição jesuítica portuguesa. Eckart, por exemplo, reproduz a oração do Pai Nosso dentro de tal padrão (1778). David Fáy menciona que eles o conservaram nas cópias de textos tupi (“nos costumamos transcrever segundo a língua lusitana”). Porém, é possível identificar vários exercícios de reinterpretação dos valores fonéticos de alguns sons da língua à luz não do português, mas de línguas europeias com que o grupo tinha maior familiaridade, como o alemão e o francês. Temos um exemplo no Specimen de Eckart (1994), A grafia em língua geral era a portuguesa, mas ele propõe uma interpretação fonética baseada em sons do alemão e do francês: "Apresenta-se a pronunciação de algumas letras no idioma brasílico. C pronuncia-se como em alemão o Z. X como Sch. Y como o U em francês e um pouco mais alto" (ECKART, 1994). Por outro lado, houve também uma iniciativa de reorientação gráfica, que pode ser vista na versão do Pai Nosso inserida em carta de David Fáy a sua família. Ele propõe uma grafia baseada na língua húngara: « Afinal, para verem os europeus que língua bela nos é preciso aprender agora, transcrevo aquí o padre-nosso, que nos costumamos transcrever segundo a língua lusitana, mas dessa vez o faço segunda a pronúncia húngara para vossas mercês lerem bem.» (Fáy apud RÓNAI 1942, p. 272) A seguir, uma comparação dos primeiros enunciados do Pai Nosso em Araújo (1686) e no elaborado por Fáy para a pronúncia húngara: Oração do Pai Nosso de David Fáy (1753)

Antônio de Araújo (1686)

Oré rub Übáküpe tokoár

Oré rúb, ybákype , tecoár,

Imoëte-püramo nde réra tojko

imöeté pyramo nde rêra toicó

Conclusão A chegada de jesuítas da Assistência Germânica à América Portuguesa para assumirem função de missionários não ocorreu pela primeira vez no século XVIII. Meier e Aymoré (2005) listam os nomes dos vários missionários tapuitinga que foram chegando desde o século XVI, sempre individualmente ou em duplas. Em nenhuma ocasião anterior eles vieram em número de 12, como ocorreu entre 1750 e 1753 na Amazônia. Isso nos motivou a investigar os recursos comuns de que dispuseram para seu aprendizado da língua geral.


33

A iniciativa de trazer um grupo de jesuítas da Europa Central para atuarem como missionários no Brasil mostra que a Companhia de Jesus preferiu formar um quadro bilíngue de adultos (o mais jovem tinha 25 anos) letrados e sem domínio pleno do português a admitir na Ordem filhos de colonos da Amazônia, detentores do conhecimento da língua geral necessário para essa função. No século XVI, foi esta última a estratégia da Ordem na costa do Brasil, com a formação de um quadro de missionários “línguas” (bilíngues) com indivíduos “idiotas” (sem domínio de latim,) porém com pleno conhecimento do tupi (BARROS, 2001, p.122) para atuarem como coadjutores espirituais. Na conjuntura do século XVIII, os padres tapuitinga tiveram a seu dispor escritos sobre o tupi com uma tradição de 200 anos. Consultaram obras impressas entre 1686 e 1687 (Araújo e Leão 1686, Figueira 1687 e Bettendorff 1687) e copiaram um modelo de dicionário na língua geral. A consulta a esse material pressupunha um conhecimento da língua lusitana suficiente para interpretar as entradas dos verbetes dos dicionários, o valor fonético das representações gráficas propostas para o tupi e compreender as traduções em português dos diálogos de doutrina em tupi. O escasso traquejo no desempenho do português do grupo tapuitinga fez com que se socorressem de outras línguas – seja a latina, para explicar significados incompreensíveis, seja a eventual adaptação gráfica à grafia de línguas que melhor conheciam (alemão e francês). Na mesma época em que os jesuítas tapuitinga copiavam e recriavam fontes tupi, havia uma divergência entre os agentes coloniais sobre a língua de evangelização dos índios. Em 1751, o governador Mendonça Furtado, irmão do Marques de Pombal, defendia o uso do português nesse contexto (MENDONÇA, 1963). Também na Companhia de Jesus não havia consenso – entre a posição do padre João Daniel em sua crônica e a expressa pelo grupo tapuitinga em seus documentos sobre a língua geral – a respeito da língua em que se devia evangelizar os índios. Daniel (1976, vol.2, p. 225) e os padres tapuitinga coincidem ao diferenciarem duas variedades de lingua geral: a “ corrupta” (termo de Daniel) e “vulgar” (termo recorrente entre os tapuitinga), usada pelos indios no cotidiano das missões; e a “antiga” ou “verdadeira” (termos de Daniel), ou “tupinambá” (termo usado pelos tapuitinga), presente nas obras impressas e conservada nos textos de doutrinação dos índios. O padre Daniel (1976,v. 2, p. 226) defendeu o uso do português frente à situação de que o catecismo – estabelecido na variedade da língua geral antiga – não era mais compreendido pelos índios. Ao assim fazê-lo, Daniel não considerava a possibilidade de usar a variedade “corrupta” da língua geral para a evangelização. O grupo tapuitinga, por sua vez, não apenas registrou a variedade vulgar nos dicionários, como a introduziu no discurso cristão. Um exemplo é Prósodia, cujo autor declara na primeira página do manuscrito que registrará no dicionário o que os índios falam e não o que havia de impresso: "Me declaro, q nesta peq. Prosodia da lingoa, entenda por as palavras conforme as fallas os Indios ordinariamente, e a maior parte delles e não conforme a arte, que anda impressa, ou segundo o catecismo" (Prosodia, fl. 1). A incorporação da variedade vulgar ao discurso cristão está ilustrada no próprio título da Doutrina (39 capítulos em 125 fólios). que descreve esse processo de uso da lingua geral como sendo de “tradução”( Doutrina christaã em lingoa geral dos Indios do Estado do Brasil e Maranhão, composta pelo P. Philippe Bettendorff, traduzida em lingoa geral e irregular, e vulgar uzada nesses tempos)


34

Esses textos dos padres tapuitinga sobre tupi continuam em grande medida inéditos. Um primeiro trabalho para sua divulgação coube a Rosa, Tannus e Barbosa do Rosário em 1994. No momento atual, um grupo de pesquisadores está finalizando a edição de um extrato do dicionário de Trier 1756, para publicação no Portal da Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro (BNDigital). Há ainda uma dissertação de mestrado em andamento, por Gabriel Prudente, sobre o mesmo dicionário. O dicionário de Trier 1756 foi encontrado só recentemente, por Jean-Claude Muller, na Biblioteca Municipal de Trier, Alemanha (Muller 2012), o que aponta para a possibilidade de que outras bibliotecas alemãs conservem documentos inéditos sobre a língua geral escritos por missionários tapuitinga.

Fachada da primeira gramática do tupinambá escrita por José de Anchieta, Coimbra 1595.

Página 1 da gramática do Anchieta, Coimbra 1595.


35

Referências bibliográficas ARAÚJO, Antônio de. Catecismo na Língua Brasílica. Rio de Janeiro: Pontifícia Universidade Católica do Rio de Janeiro, [1618] 1952. ARAÚJO, Antônio de & LEÃO, Bertholameu. Catecismo Brasilico da doutrina Christaã, com o cerimonial dos Sacramentos, & mais actos Parochiaes. Composto por Padres Doutos da Companhia de Jesus, Aperfeiçoado, & dado a luz pelo Padre Antonio de Araújo da mesma Companhia. Emendado nesta segunda impressão pelo P. Bertholomeu de Leam da mesma Companhia. Lisboa: Officina Miguel Deslandes, 1686. ARAÚJO, Domingo. Chronica da Cia de Jesus da missao do Maranhao pelo Padre Domingos de Araujo, 1720. ARENZ, Karl Heinz. Os possíveis autores do Dicionário de Trier (1756). In: Extrato de um dicionário jesuítico de 1756 em língua geral da Amazônia – Letra A: Português-Língua geral. Portal BNDigital (em fase de edição). AYMORÉ, Fernando Amado. A literatura etnográfica dos jesuítas alemães sobre o Brasil e a América Espanhola nos séculos XVII e XVIII. Palestra apresentada no Museu Goeldi, Belém. BARROS, Cândida . A portrait of the religious tupi interpreter in Bazil in the sixteenth century. Itinerario. Leiden, v. 25, n.2,, 2001, p. 110–140. BETTENDORFF, João Felipe. Compêndio da Doutrina Christaã na Língua Portuguesa e Brasílica. Lisboa: Imprensa Miguel Deslandes,1687. BLUTEAU, Rafael. Vocabulário Português e Latino. 1728. Disponível em: <http://www.brasiliana.usp.br/dicionario/ edicao/1>. Acesso em 14 de agosto de 2015. CLANCHY, Michael T. From Memory to Written Record: England 1066–1307. Wiley-Blackwell, 2012. Códice tupi. Fazenda de Giboé. Londres: British Library, 1757 DANIEL, João. Tesouro descoberto no Rio Amazonas. 2 volumes, Rio de Janeiro: Biblioteca Nacional, 1976 Diccionário da Lingua geral do Brasil que se falla em todas as villas, lugares e aldeas deste vastissimo Estado. Escrito na Cidade do Pará. Coimbra: Biblioteca da Universidade de Coimbra, 1771 Dicionário da Lingua Brazilica. Coimbra: Biblioteca da Universidade de Coimbra. ms. 94, s.d. Dicionário Português-Língua Geral e Língua Geral-Português. Ms. 1136/2048. Biblioteca Municipal de Trier, 1756. DIETRICH, Wolf. O dicionário de Trier em comparação com dois outros dicionários de língua geral amazônica. In: Extrato de um dicionário jesuítico de 1756 em língua geral da Amazônia – Letra A: Português-Língua geral. Portal BNDigital (em fase de edição). Doutrina christaã em lingoa geral dos Indios do Estado do Brasil e Maranhão, composta pelo P. Philippe Bettendorff, traduzida em lingoa geral e irregular, e vulgar uzada nesses tempos. Biblioteca da Universidade de Coimbra, s.d. ECKART, Anselmo. Rol de alguns trastes da Missaõ que era do Trocano, e hoje Villa deBorba a Nova depozitados na ditta Vila por serem empedidos por Ordem do Exmo. Governador Clapitam [?] Gen[ner]al deste Estado Snr Fran[cis] o Xavier de Mendoça Furtado pertendendo eu Levallo pela Ordem que tinha do meu prelado de M. Rdo P. Fran[cis]co de Toledo da Companhia de Jesus Visistador geral, e vice Provincial do Maranhão, os quais trastes sao os seguintes. (Coleção Pombalina) fol 194. Biblioteca Nacional de Lisboa.10 de junho de 1756. ________. Papéis do P. Ancelmo Eschard. Torre do Tombo, 1759. ________. Specimen Linguae Brasilicae vulgaris. Journal zur Kunstgeschichte und zur allgemeinen Litteratur, 1778, p. 195–213. Disponível em: <http://www.ub.uni-bielefeld.de/diglib/aufkl/journkunst/>. Acesso em 14 de agosto de 2015. ________. Zusätze zum Specimine Linguae Brasilicae vulgaris. Journal zur Kunstgeschichte und zur allgemeinen Litteratur 5., 1779, p. 121–122. Disponível: http://www.ub.uni-bielefeld.de/diglib/aufkl/journkunst/. Acesso em 14 de agosto de 2015. ________. O Exemplário da língua corrente do Brasil. Tradução do latim de Carlos Antônio Kalil Tannus e Miguel Barbosa do Rosário. Terceira Margem, UFRJ, Rio. ano 2, n. 2, 1994, p.176–180. FIGUEIRA, Luis. Arte de grammatica da língua brasílica. Lisboa: Officina de Miguel Deslandes, 1687. Gramática da Lingua Geral do Brazil. Com hum Diccionario dos vocabulos mais uzuaes para a intelligencia da dita língua. Pará. (Ms. 69). Biblioteca da Universidade de Coimbra, 1750. LAMEGO, Antônio. A terra goytacá. Tomo 3. Bruxelles: L´edition D´Art Gaudio, 1925. MENDONÇA, Marcos Carneiro de. A Amazônia na era pombalina: correspondência inédita do governador e capitão general do Estado do Grão Pará e Maranhão Francisco Xavier de Mendonça Furtado, 1751–1759. 3 v. Rio de Janeiro: IHGB, 1963. MESSNER, Dieter. Anotações aos primeiros dicionários português-tupi.. Miscelánea lexicológica iberorrománica. Salamanca: Luso-española de Ediciones. 2008, p. 255–272. MEIER, Johannes & AYMORÉ, Fernando Amado. Jesuiten aus Zentraleuropa in Portugiesisch- und Spanisch-America.


36

Ein bio-bibliographisches Handbuch. Band 1: Brasilien (1618–1760). Münster: Aschendorff Verlag, 2005 MONSERRAT, Ruth. Marcas de escrita de falante de alemão no Dicionário de Trier. In: Extrato de um dicionário jesuítico de 1756 em língua geral da Amazônia – Letra A: Português-Língua geral.Portal BNDigital (em fase de edição ). MONSERRAT, Ruth; BARROS, Cândida; MOTA, Jaqueline. Comparação entre dois diálogos de doutrina jesuíticos tupi: João Filipe Bettendorff (1687) e José Vidigal (1740) In: Anais da XIII Jornadas Internacionais Missões Jesuíticas, Dourados. XIII Missões jesuíticas, 2010. MULLER, Jean-Claude. Die Identifizierung eines Sprachschatzes in der Trierer Stadtbibliothek das jesuitische Wörterbuch Alt-Tupi/Portugiesisch. Kurtrierisches Jahrbuch, v. 52, p. 371–387, 2012. NAVARRO, Eduardo. A escravização dos índios num texto missionário em língua geral do século XVIII. Revista USP, v. 78, 2008,pp. 105-114 ________. Um texto anônimo, em língua geral amazônica, do século XVIII. Revista USP, v. 90, 2011, p.181–192. PAPAVERO, Nelson; PORRO, Antonio (orgs.). Anselm Eckart S. J. e o estado do Grão-Pará e Maranhão setecentista (1785). Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi, 2013 PAPAVERO, Nelson. Nomes de animais em três manuscritos jesuíticos em Língua Geral do século XVIII (Eckart, ma 569 da Academia de Ciências de Lisboa e manuscrito da Universidade de Trier). Arquivos de Zoologia. São Paulo, volume 46 (1), 2015, p. 1–39. PAPAVERO, Nelson; BARROS, Cândida. O “Vocabulario da lingua Brazil” (códice 3143 da Biblioteca Nacional de Portugal) e os Zusätze o Pe. Anselm Eckart, S.J. (1785): Obras do mesmo autor”. In: PAPAVERO, Nelson; PORRO, Antonio (orgs.). Anselm Eckart S. J. e o estado do Grão-Pará e Maranhão setecentista (1785). Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi, 2013, p. 337–351. PAPAVERO, Nelson; BARROS, Cândida; NEBGEN,C.. Lista dos papéis apreendidos de Anselmo Eckart em 1759. In: PAPAVERO, Nelson; PORRO, Antonio (orgs.). Anselm Eckart S. J. e o estado do Grão-Pará e Maranhão setecentista (1785). Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi, 2013 PEREIRA, Bento. Prosodia vocabularium bilíngüe latinum, et lusitanum digesta. Nona editio. Eborae. Typ. Academiae, 1741 PRAZERES [Maranhão], Frei Francisco de Nossa Senhora dos. Poranduba maranhense, ou Relação historica da provincia do Maranhão [...] com [...] um dicionario abreviado da lingua geral do Brazil. Revista Trimensal do Instituto Historico e Geographico Brazileiro. v. 54, pt. 1, p. [4]–277. Inclui ‘Nota sobre o Poranduba Maranhense’, de César Augusto Marques, p. 279-281]. Disponível : <http://biblio.etnolinguistica.org>. 1891. Acesso em 15 de agosto de 2015. Prosodia. Dicionário da língua falada por índios do Brasil. Lisboa: Academia de Ciências de Lisboa. no. 569, s.d. PRUDENTE, Gabriel. Grupos indígenas e lugares amazônicos no dicionário de 1756: um breve mapeamento histórico Extrato de um dicionário jesuítico de 1756 em língua geral da Amazônia – Letra A: Português-Língua geral. BNDigital (em fase edição) ________. Marcas germânicas: possibilidades de autoria de um dicionário em língua geral através do estudo dos verbetes. In: Anais do IX Jornada de Iniciação Científica dos Grupos PET. (CD-ROM). Belém: IX Jornada de Iniciação Científica dos Grupos PET, 2013. ________ . Identificando catecismos e gramáticas de língua brasílica em um dicionário de língua geral do setecentos. In: Livro de Resumos do XXI Seminário de Iniciação Científica – PIBIC. Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi, 2013, p. 108. Relação abreviada da república que os religiosos jesuítas das Províncias de Portugal e Espanha estabeleceram nos domínios ultramarinos das duas monarquias; e da guerra que neles tem movido e sustentado contra os exércitos espanhóis e portugueses, formada pelos registos das secretarias e dos dois respectivos principais comissários e plenipotenciários e pos outros documentos autênticos. 1757 RÓNAI, Paulo. As cartas do P. David Fáy e a sua biografia. Contribuição para a história das missões jesuíticas no Brasil no século XVIII. Anais da Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro, vol. LXIV, 1942, p. 193–273. Disponível: <http:// biblio.wdfiles.com/local--files/ronai-1944-cartas/ronai_1944_cartas.pdf>. Acesso:7 de agosto de 2015. ROSA, Maria Carlota. Um exemplo de descrição pedagógica no século XVIII: O Specimen linguae brasilicae vulgaris e a tradição jesuítica de ensino de segunda língua. Terceira Margem. Revista da Pós-graduação em Letras da UFRJ. Ano II, n.2, 1994, p. 181–189. Vocabulário na língua brasílica.. Rio de Janeiro: Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro. 1751 Vocabulário na Língua Brazil. Biblioteca Nacional de Lisboa, Códice 3143, s.d.


37

5. Os padres “Tapuitinga”: a atuação de Jesuítas alemães na Amazônia pombalina (1750-1757) Karl Heinz Arenz, (Doutor em História – Universidade Federal do Pará) Gabriel de Cássio Pinheiro Prudente, (Mestrando em História – Universidade Federal do Pará)

Entre os anos de 1750 e 1753 um grupo de jesuítas centro-europeus chegou ao Estado do Grão-Pará e Maranhão. Estes missionários eram oriundos de diferentes partes do então Sacro Império RomanoGermânico ou, também, de domínios da casa de Habsburgo fora do espaço imperial, como Hungria ou Croácia. Dentre eles, o grupo que mais nos interessa aqui veio da Renânia, na parte ocidental da Alemanha atual. De fato, até meados do século XVIII, muitos padres da Assistência Germânica da Companhia de Jesus 3 haviam sido enviados para as missões inacianas nas Américas, tanto espanhola como, porém em número menor, portuguesa 4. Os jesuítas analisados neste trabalho – que, por conveniência, designamos aqui de “alemães” (por serem de língua alemã ou de regiões influenciadas pela cultura germânica)5 – permaneceram pouco tempo na Amazônia lusa: somente entre três e seis anos. Apesar disso, produziram uma documentação considerável composta de cartas oficiais e pessoais, relatos sobre a região, memórias e, sobretudo, dicionários em Língua Geral. O objetivo deste trabalho é compreender a atuação deste grupo específico de jesuítas centro-europeus, atentando, sobretudo, para os motivos de sua deportação e pela longa retenção em cárceres portugueses durante o governo do secretário régio Sebastião José de Carvalho e Mello, futuro Marquês de Pombal, mas também, para sua produção linguística. A documentação utilizada serão, além de diversas fontes jesuíticas, as cartas de Francisco Xavier de Mendonça Furtado, então governador do Estado do Grão-Pará e Maranhão (1751–1759), e outros documentos administrativos. No 3

4

5

A Assistência Germânica da Companhia de Jesus compreendia as seguintes províncias: Baixa Renânia, Alta Renânia, Alta Alemanha, Boêmia, Áustria, a Província Flandro-Belga, a Província Galo-Belga, a Província Anglo-Irlandesa, Polônia e Lituânia. Cf. MAINKA, Peter Johann. A Companhia de Jesus: modelo inovador e modernizante do ensino no início dos tempos modernos. Interfaces Científicas – Educação, Aracaju, v. 4, n. 1, Out. 2015, p. 24. MEIER, Johannes. “Totus mundus nostra sit habitatio”: Jesuítas del territorio de lengua alemana en la América portuguesa y española. In: SANTOS, Zulmira Coelho dos (ed.). São Francisco Xavier nos 500 anos do nascimento da Europa para o mundo 1506–2006. Porto: Universidade do Porto, Centro Interuniversitário de História da Espiritualidade, 2007, pp. 57–86; KOHUT, Karl & PACHECO, María Cristina Torales (eds.). Desde los confines de los imperios ibéricos: los jesuitas de habla alemana en las misiones americanas. Frankfurt/Madrid: Vervuert/ Iberoameriana, 2007. Desde a Idade Média formou-se um espaço cultural denominado Mitteleuropa, isto é, Europa Central, marcado pela forte influência da língua e cultura alemã. Em termos políticos, a referida área ficou, até o último quartel do século XIX e o primeiro do XX, quando se constituíram os estados nacionais, extremamente fragmentada.

Originalmente publicado : ARENZ, Karl Heinz; PRUDENTE, Gabriel de Cássio Pinheiro. Os padres «tapuitinga»: a atuação de jesuítas alemães na Amazônia pombalina (1750–1757). In: Anais Eletrônicos do VI Encontro Internacional de História Colonial: mundos coloniais comparados: poder, fronteiras e identidades. Salvador: EDUNEB, 2017, p. 950–963.


38

entanto, antes de tratarmos destes assuntos centrais, convém discorrer brevemente sobre as razões e circunstâncias da vinda dos jesuítas de língua alemã para a Amazônia em meados do setecentos. O articulador da chegada de missionários da Assistência Germânica da Companhia de Jesus, no início da década de 1750, foi o padre João Roque Hundertpfundt. Este religioso atuava na Amazônia lusa do ano de 1739 até 1755, quando foi deportado.6 Durante o período de seu trabalho missionário, Hundertpfundt trocou correspondências com a então rainha de Portugal, D. Maria Ana de Áustria (1683–1754), esposa do rei D. João V (1689–1750), por intermédio do padre José Ritter que exercia o papel de confessor na corte. Através de missivas, o religioso mantinha a rainha informada sobre o seu trabalho missionário, realçando as dificuldades enfrentadas no vale amazônico, principalmente acerca da catequização dos índios e das contendas entre jesuítas e colonos.7 Além de Hundertpfundt, D. Maria Ana de Áustria tinha boas relações com outros padres jesuítas que atuavam no Estado do Grão-Pará e Maranhão, como os padres Francisco Wolf e Gabriel Malagrida, que também lhe enviavam cartas tratando sobre a missão.8 Em 1749, Hundertpfundt viajou para Lisboa como procurador da Vice-Província do Maranhão. Ao chegar à corte, pediu à rainha Maria Ana de Áustria a permissão de levar novos padres alemães para o Maranhão. Segundo o relato do padre Anselmo Eckart: « Esta devota princesa austríaca interrogou o Pe. Hundertpfund sobre o estado das missões da sua Vice-Província. Ele respondeu que elas estavam relativamente bem, mas que floresceriam melhor se contassem com mais missionários, de preferência alemães. A rainha então encaminhou correspondência ao Geral da Companhia, o Pe. Franciscus Retz, pedindo doze padres alemães. Já em 1750 chegaram dois da Província do Baixo Reno a Lisboa, num navio de Amsterdam, ou seja, o Pe. Laurentius Kaulen e o Pe. Anton Meisterburg, que no mesmo ano partiram para a América com o P. Hundertpfund. A 19 de agosto de 1752, dois outros padres chegaram a Lisboa, vindos de Gênova num navio inglês, o Pe. Martin Schwarz, da Província da Alta Alemanha e o Pe. Anselm Eckart, da Alta Renânia. E no dia 31 de outubro do mesmo ano o número aumentou com quatro da Província Austríaca: Pe. David Fay, Pe. Henricus Hoffmayer, Pe. Johann Nepomuc Szluha e Pe. Joseph Kayling. No ano seguinte de 1753, todos os seis foram com a frota portuguesa para o Maranhão.9» 6

7

8 9

O padre Johannes Rochus Hundertpfundt (1709–1777) era natural de Bregenz (Áustria) à margem do Lago de Constança. Entrou na Companhia de Jesus em 9 de outubro de 1724 em Landsberg am Lech (Alemanha), fazendo seu noviciado na mesma cidade entre os anos de 1724 e 1726. Foi para Lisboa em 1738, seguindo para o Brasil em 1739. Desse período até 1755, atuou como missionário no rio Madeira, nas missões de Abacaxis e Santa Cruz. Fez seu quarto voto no dia 15 de agosto de 1742 no Pará. Entre 1747 e 1749, acompanhou o padre visitador Gabriel Malagrida em suas viagens pelo Amazonas. Em 1749, foi a Lisboa para tratar de assuntos da Vice-Província. Pouco depois, voltou à Amazônia, trazendo consigo dois padres alemães (Antônio Meisterburg e Lourenço Kaulen) e cinco noviços portugueses (Manuel Luís, Antônio Nogueira, Manuel Pinto da Mota, João Correia e Pedro Marques). Em seguida, a partir de 1750, atuou no rio Xingu. Ele foi preso e deportado para Lisboa em 19 de novembro de 1755. Conseguiu permissão do rei para retornar a sua Província de origem que ocorreu em 3 de maio de 1756. A partir deste ano, exerceu a docência nos colégios de Trento, Augsburg e Feldkirch. Desde 1770 aproximadamente, foi bibliotecário no colégio de Freiburg. Faleceu em sua cidade natal em 15 de janeiro de 1777. Cf. MEIER, Johannes & AYMORÉ, Fernando Amado. Jesuiten aus Zentraleuropa in Portugiesisch- und Spanisch-Amerika: ein bio-bibliographisches Handbuch.V. 1 [Brasilien (1618–1760]. Münster: Aschendorff Verlag, 2005, pp. 276–278; LEITE, Serafim. História da Companhia de Jesus no Brasil. Tomo VIII. Rio de Janeiro/Lisboa: Livraria Portugalia/Instituto Nacional do Livro,1938, p. 319. Algumas cartas escritas por jesuítas alemães foram traduzidas e publicadas por Alberto Lamego. Na obra deste autor foram disponibilizadas apenas duas cartas do padre Hundertpfundt endereçadas à rainha de Portugal. Infelizmente, não foi possível ter acesso às cartas enviadas pela rainha aos missionários do Grão-Pará e Maranhão. As missivas de Hundertpfundt encontram-se em: LAMEGO, Alberto. A terra Goytacá: á luz de documentos inéditos. Tomo III. Bruxelles: L'Édition d'art Gaudio, 1925, pp. 277–281. Idem, pp.317–325. ECKART, Anselmo. Aditamentos do Senhor Pe. Anselm Eckart, Ex-pregador da Companhia de Jesus na Capitania do Pará no Brasil, à “Descrição das Terras do Brasil” de Pedro Cudena e às “Notas à Sexta Contribuição de Lessing para a História e a Literatura, dos Tesouros da Biblioteca Ducal de Wolfenbüttel, Braunschweig, 1781, gr. 8º” do


39

Enquanto rainha, D. Maria Ana de Áustria reuniu em torno de si, na corte de Lisboa, um séquito de estrangeiros originários, sobretudo, da Europa Central, dentre estes alguns padres jesuítas.10 Hundertpfundt aproveitou esta simpatia da monarca pela ordem, solicitando o apoio da rainha para conseguir confrades “conterrâneos” para as missões no Grão-Pará e Maranhão. A conjuntura para isso era favorável, pois o superior geral da Companhia de Jesus na época, o padre Franz Retz (1673–1750), era originário da Boêmia, uma região que pertencia aos domínios da casa imperial dos Habsburgo de Viena, dinastia da qual provinha a rainha portuguesa que, afinal, era filha do imperador Leopoldo I (1640–1705) e irmã dos imperadores José I (1678–1711) e Carlos VI (1685–1740) do Sacro Império Romano-Germânico. Tudo indica que a rainha usou sua influência junto ao padre Retz, um súdito dos Habsburgo da Áustria, para que atendesse ao pedido de Hundertpfundt. Os padres alemães foram recrutados de diferentes regiões da Assistência Germânica e enviados para Lisboa, de onde seguiram viagem para o Maranhão. Num primeiro momento, em 1750, o padre Hundertpfundt, ao retornar à Amazônia, trouxe consigo os padres Lourenço Kaulen e Antonio Meisterburg. Depois disso, em 1753, outros seis padres alemães chegaram à Amazônia após terem passado sete meses em Lisboa.11 Um deles, o padre Henrique Hoffmayer, enviou à rainha um longo relato sobre a travessia para o Maranhão e Grão-Pará.12 Parte desses jesuítas centro-europeus atuou nas missões da Capitania do Maranhão e outros trabalharam na Capitania do Pará13, sobretudo nas missões ao longo dos rios Madeira e Xingu. O padre David Fáy, de origem húngara, mas formado na Província Austríaca, em uma carta dirigida à seu irmão pouco tempo após sua chegada ao Maranhão, afirmou que os índios reconheciam diferençasentre os missionários portugueses e os não lusitanos, chamando estes últimos de tapuitinga, que em Língua Geral significa “bárbaro branco”.14 Durante o período relativamente curto em que atuaram na Amazônia, estes jesuítas “alemães” não só aprenderam a Língua Geral, através de vocabulários, gramáticas e catecismos jesuíticos, mas também eles mesmos produziram dicionários, em forma manuscrita, desta língua indígena amplamente difundida e empregada na colônia. A análise do material elaborado pelos missionários centro-europeus permite ter uma ideia das estratégias de aprendizado da Língua Geral no século XVIII.15 Um destes dicionários, datado de 1756, foi descoberto em 2012 na Biblioteca e Arquivo Municipal da cidade de Trier (Alemanha) pelo linguista luxemburguês Jean-Claude Muller.16 Este documento será enfocado mais adiante.

10 11 12 13 14 15 16

Senhor Reitor Christian Leiste. In: PAPAVERO, Nelson & PORRO, Antonio (orgs.). Anselm Eckart, S.J. e o Estado do Grão-Pará e Maranhão (1785). Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi, 2013, pp. 63. LOURENÇO, Maria Paula Marçal. Os séquitos das rainhas de Portugal e a influência dos estrangeiros na construção da “sociedade de corte” (1640–1754). Penélope, Lisboa, nº 29, 2003, pp. 49–82. ECKART, op. cit, p. 63. “Relação da viagem do P. H. Hoffmayer S. J., de Lisboa ao Pará enviada á rainha de Portugal D. Maria Ana d'Áustria”, datado de 23 de outubro de 1753. In: LAMEGO, op. cit., pp. 326–350. Atuaram no Maranhão: os padres David Fáy, José Kayling, João Nepomuceno Szluha; no Pará: os padres Anselmo Eckart, Antônio Meisterburg, Lourenço Kaulen, Henrique Hoffmayer e Martinho Schwartz. Carta do P. David Fáy ao seu irmão, datada de 16 de julho de 1753. In: FÁY, David. As cartas do P. David Fáy e sua biografia. Tradução do húngaro e do latim por Paulo Ronai. Anais da Biblioteca Nacional, Rio de Janeiro, volume LXIV, 1942, pp. 268–269. BARROS, Cândida & MONSERRAT, Ruth Maria. Fontes manuscritas sobre a Língua Geral da Amazônia escritas por jesuítas “tapuitinga” (século XVIII). Confluência, Rio de Janeiro, n° 49, 2.º semestre de 2015, pp. 236–254. MULLER, Jean-Claude. Die Identifizierung eines Sprachschatzes in der Trierer Stadtbibliothek das jesuitische Wörterbuch Alt-Tupi/Portugiesisch. Kurtrierisches Jahrbuch, v. 52, 2012, pp. 371–387.


40

Em 14 de agosto de 1754, a rainha Maria Ana de Áustria, viúva de D. João V (1689–1750) e mãe de D. José I (1714–1777), faleceu em Lisboa. Com seu desaparecimento, os jesuítas alemães perderam uma importante aliada na corte, o que, de certo forma, contribuiu para a articulação posterior de uma política abertamente antijesuítica por parte do secretário régio Sebastião José de Carvalho e Melo. Assim, já em 1755, o padre Roque Hundertpfundt foi preso e expulso do Grão-Pará, juntamente com os padres portugueses Antônio José e Teodoro da Cruz17. Segundo Frei Miguel de Bulhões, um frade dominicano, então bispo do Pará, o rei determinou a deportação dos ditos inacianos por meio de uma carta datada de 3 de março do mesmo ano. O religioso comunicou, em sua função de governador em exercício – pois era vice-governador –, a decisão ao superior e visitador da Companhia de Jesus, o padre Francisco de Toledo, para que este ordenasse a retirada dos referidos religiosos para o Reino.18 Roque Hundertpfundt foi acusado de participar deu uma conspiração malograda, organizada por moradores do Pará que, como tudo indica, não queriam aceitar a emancipação dos índios, prevista pelas novas medidas jurídicas.19 O padre foi preso enquanto estava ministrando os exercícios de Santo Inácio em um engenho no rio Acará, uma região de intensa atividade agrícola nos entornos da cidade de Belém.20 Segundo o juiz de fora Francisco Rodrigues de Resende, o objetivo da conspiração era enviar uma proposta para o Reino que permitisse aos moradores do Acará manter os índios escravos para seus serviços, a despeito da lei de liberdade.21 Além disso, o padre Hundertpfundt foi acusado, juntamente com o padre Antônio José, de tentar persuadir Gaspar Barbosa e Leandro de Araújo a deixarem na aldeia de Trocano às margens do rio Madeira, onde o padre austríaco era missionário, cerca de quatrocentas oitavas de ouro que os dois mineiros estavam transportando da região de Cuiabá, no Mato Grosso, para o porto de Belém.22 Com base nestas queixas, os ditos religiosos foram deportados 17

Referentes a estes dois padres portugueses, cf. LEITE, op. cit., p. 272 e 320. Enquanto o padre Antônio José, conhecedor dos vales dos rios Negro e Madeira foi considerado um religioso muito influente naquela região remota e, por isso, suspeito, o padre Teodoro da Cruz foi acusado de ter assassinado um clérigo secular com veneno na missão de Caeté no Pará. 18 Carta do Frei Miguel de Bulhões ao Reverendo padre Vice-Provincial e Visitador P. Francisco de Toledo, datado de 16 de maio de 1755. In: LAMEGO, op. cit., pp. 276–277. 19 Segundo Francisco Jorge dos Santos e Patrícia Maria Melo Sampaio, no ano de 1755, cinco atos legislativos determinaram uma remodelação da sociedade colonial luso-amazônica: uma carta régia criando a Capitânia do Rio Negro (3 de março), o alvará promovendo a miscigenação (4 de abril), a lei restituindo a liberdade dos índios (6 de junho), o ato de fundação de uma companhia de comércio (6 de junho) e o alvará definido o afastamento dos padres regulares da administração temporal sobre os índios (7 de junho). Cf. SANTOS, Francisco Jorge dos & SAMPAIO, Patrícia Maria Melo. 1755, ano da virada na Amazônia portuguesa. Somanlu, Manaus, ano 8, nº 2, 2008, p. 80. 20 Ofício do [governador interino do Estado do Maranhão e Pará], Bispo do Pará, [D. fr. Miguel de Bulhões e Sousa], para o [secretário de Estado dos Negócios Estrangeiros e da Guerra], Sebastião José de Carvalho e Melo, remetendo cópia de uma carta enviada ao [governador e capitão general do Estado do Pará e Maranhão, Francisco Xavier de Mendonça Furtado], sobre [os excessos praticados pelos padres da Companhia de Jesus daquela capitania, Teodoro da Cruz, António José e Roque Hunderpfundt, administradores da Aldeia do Trocano, devendo, por isso, ser enviados para o Reino a fim de serem julgados por um Tribunal apropriado]. Anexo: requerimentos, informação e ofício (cópias), datado de Pará, 18 de Agosto de 1755. Arquivo Histórico Ultramarino, Pará, Cx. 39, D. 3634. 21 Ofício do juiz de fora da cidade de Belém do Pará, Francisco Rodrigues de Resende, para o ouvidor geral do Pará, João da Cruz Dinis Pinheiro, sobre a prisão de Manuel Pinheiro, morador no rio Acará, como denunciante de uma conspiração preparada por alguns moradores daquela capitania, que, via Caiena, teriam remetido ao Reino uma proposta para conservar os índios cativos existentes em seu poder, isentando-os do cumprimento da Lei de Liberdade concedida aos indígenas. Anexo: auto (treslado), datado de Belém do Pará, 7 de Setembro de 1755. Arquivo Histórico Ultramarino, Pará, Cx. 39, D. 3649. 22 Ofício do [governador interino do Estado do Maranhão e Pará], Bispo do Pará, [D. fr. Miguel de Bulhões e Sousa], para o [secretário de Estado dos Negócios Estrangeiros e da Guerra], Sebastião José de Carvalho e Melo, sobre a extradição de dos padres da Companhia de Jesus do Pará, António José e Roque Hunderpfundt, assistentes na Aldeia de Trocano, por seu envolvimento nos descaminhos do ouro transportado das minas de Mato Grosso para a do Pará.


41

para Portugal para serem julgados. Embora se trate de um evento ocorrido na periferia do império, a perseguição infligida a Hundertpfundt reflete o impacto da reviravolta política que os decretos reais acerca da emancipação dos índios, do afastamento dos religiosos e da introdução de uma companhia comercial significou para a sociedade da colônia amazônica.23 O governador Francisco Xavier de Mendonça Furtado mantinha seu irmão, o ministro Sebastião José de Carvalho e Mello, informado dessas contendas com os jesuítas no Grão-Pará e Maranhão. Numa missiva, ele tratou da conduta dos inacianos em geral, mas da dos padres Antônio José e Roque Hundertpfundt em especial. Em resposta à Mendonça Furtado, Carvalho e Mello instruiu o irmão a dar cumprimento à ordem régia de expulsão dos ditos padres e que informasse ao padre vice-provincial, apenas em termos gerais, sobre a decisão do rei, sem entrar em detalhes acerca das acusações. Na mesma carta, o ministro ainda usou as queixas contra os padres como exemplo para sustentar seu argumento contra os religiosos regulares que, nas palavras do ministro, “só servem de fazer contrabandos e de impedirem o comércio dos moradores desse Estado”.24 Hundertpfundt foi deportado para Lisboa em 19 de novembro de 1755, mas conseguiu do rei a permissão para retornar à sua província natal na Áustria em maio do ano seguinte, aparentemente sem sofrer uma condenação oficial por causa das acusações levantadas contra ele na Amazônia. ∗∗∗∗∗ Outros padres alemães também tiveram problemas com as novas medidas da Coroa portuguesa para o Grão Pará e Maranhão, executadas pelo governador Mendonça Furtado. No processo de secularização das aldeias administradas pelos missionários, o governador relata, em suas cartas, vários casos de jesuítas que se opuseram à perda do poder temporal das missões. Em 20 de dezembro de 1755, o governador chegou à aldeia de Trocano, no rio Madeira, com o objetivo de transformá-la em vila. Em 31 de dezembro, Anselmo Eckart, então missionário residente daquela missão, recebeu uma carta de Mendonça Furtado avisando que, por decisão real, aquela localidade passaria a chamar-se Vila de Borba a Nova e ordenando que o padre alemão fizesse “uma lista dos moradores que se acham dentro, fora ou fugidos da aldeia, bem como dos bens que nela constam”.25 Segundo o governador, o inaciano alegou que não havia bens a declarar.26 Mendonça Furtado, ao informar o superior Francisco de Toledo acerca da elevação de Trocano à condição de vila, comunicou-lhe que o padre Eckart tinha declarado que o destino dos bens pertencentes à aldeia deveria ser decidido unicamente pelo viceprovincial.27

23 24

25 26 27

Anexo: ofício (cópia), datado de Pará, 1 de setembro de 1755. Arquivo Histórico Ultramarino, Pará, Cx. 39, D. 3642. Francisco Jorge dos Santos e Patrícia Maria Melo Sampaio, designam 1755 “o ano da virada na Amazônia portuguesa”. Cf. SANTOS & SAMPAIO, op. cit., pp. 79–98. Carta de Sebastião José de Carvalho e Mello para Francisco Xavier de Mendonça Furtado, datada de Lisboa, 14 de março de 1755. In: MENDONÇA, Marcos Carneiro de. A Amazônia na era pombalina: correspondência do Governador e Capitão-General do Estado do Grão-Pará e Maranhão, Francisco Xavier de Mendonça Furtado: 1751–1759. 2. ed. 2º Tomo. Brasília: Senado Federal, Conselho Editorial, 2005, p. 322. Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado ao Padre Anselmo Eckart, datada de Borba a Nova, 31 de dezembro de 1755. In: MENDONÇA, op. cit., 3º Tomo, pp. 64–65. Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado ao Padre Anselmo Eckart, datada de Borba a Nova, 1º de janeiro de 1756. In: MENDONÇA, op. cit., 3º Tomo, p. 65. Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado ao Padre Francisco de Toledo, datado de Borba a Nova, 2 de janeiro de 1756. In: MENDONÇA, op. cit., 3º Tomo, pp. 65–67.


42

De acordo com a missiva de Mendonça Furtado, a aldeia de Trocano era muito pobre em bens, restando apenas “duas outras canoas velhas, uma forja de ferreiro e uma balança de pesar o seu negócio; o sino, e duas peças de artilharia”. O armamento serviria para a defesa da aldeia contra os ataques dos índios da nação Mura.28 Eckart confirma que, quando chegou à missão de Trocano, as duas peças de artilharia já estavam na aldeia e haviam sido adquiridas no tempo do governador João da Maia da Gama, sendo muito úteis para repelir os Mura.29 Contudo, justamente por causa da presença destas armas pesadas, o padre Eckart e seu confrade Antonio Meisterburg, missionário da aldeia vizinha de Abacaxis, foram acusados de serem engenheiros militares disfarçados, o que foi decisivo para a deportação de ambos que ocorreria, de fato, em 1757. Meisterburg foi acusado por Mendonça Furtado de influenciar Eckart para que este atrapalhasse a fundação da vila de Borba a Nova, de tentar monopolizar a produção de farinha dos índios em Abacaxis e de manifestar posição contrária à ordem de estabelecimento de escolas para o ensino da língua portuguesa aos índios.30 Quando o governador saiu de Borba, foi com sua tropa para a aldeia de Abacaxis, perto da foz do rio Madeira, para pedir seis índios e doze alqueires de farinha; porém, Meisterburg alegou que não podia dar aquela quantidade de índios, “porque tudo estava no mato” e não permitiu que os aldeanos vendessem a farinha, o que desagradou Mendonça Furtado.31 Após a fundação da vila de Borba a Nova, Mendonça Furtado deixou um dos capelães seculares que acompanhavam a sua tropa para confessar e dizer a missa. De acordo com o governador, Eckart se uniu ao capelão, juntamente com alguns leigos, em uma revolta contra o tenente Diogo Antônio. O oficial comunicou ao governador o ocorrido e este ordenou que o clérigo secular saísse da vila, enviando em seu lugar um padre carmelita. Contudo, o carmelita também teria se entrado em conluio com Eckart, supostamente aconselhado por Meisterburg, chegando a escrever cartas ao governador com graves queixas contra Diogo Antônio. A partir deste exemplo, Mendonça Furtado insiste junto ao seu irmão, o principal ministro régio, sobre a necessidade de retirar os regulares das aldeias e substituí-los por padres seculares.32 Outro jesuíta alemão que sofreu acusações de tentar perturbar a secularização das aldeias foi o padre Lourenço Kaulen. Quando este missionário atuava na aldeia de Piraguiri, no rio Xingu, esta localidade foi elevada à condição de vila sob o nome de Pombal. O tenente Luís Bertinis Courat foi designado como diretor da dita vila, tendo sido recepcionado por Kaulen. De fato, os missionários haviam recebido ordens para que deixassem nas vilas todos os bens que pertenciam a elas quando ainda estavam na condição de aldeias. O padre alemão foi acusado de desrespeitar esta orientação, retirando e queimando várias ferramentas da vila, um conhecido lugar de pescaria e fabricação de canoas.33 Após este episódio, Kaulen teria se dirigido à fortaleza de Gurupá onde foi acusado de 28 29 30 31 32 33

151ª Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado a Sebastião José de Carvalho e Mello, datado de Mariuá, 12 de outubro de 1756. In: MENDONÇA, op. cit., 3º Tomo, p. 120. ECKART, op. cit., pp. 62–65. 153ª Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado a Sebastião José de Carvalho e Mello, datada de Mariuá, 13 de outubro de 1756. In: MENDONÇA, op. cit. 3º Tomo, pp. 133–134. 156ª Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado a Sebastião José de Carvalho e Mello, datado de Mariuá, 13 de outubro de 1756. In: MENDONÇA, op. cit., 3º Tomo, p. 172. 67ª Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado a Sebastião José de Carvalho e Mello, datado de Pará, 19 de abril de 1757. In: MENDONÇA, op. cit., 3º Tomo, pp. 220–223. Carta ânua de Lourenço Kaulen. Piraguiri, 1756. Archivum Romanum Societatis Iesu, Roma, Cód. Bras 10/II, ff. 482r–482v.


43

ridicularizar o comandante da fortaleza “tratando-o de ignorante, e chegando-lhe a dizer que ele era um grande soldado, e que podia ensinar a todos”.34 O missionário não gozava de boa reputação junto a Mendonça Furtado que o definiu como “um verdadeiro régulo e absoluto, e que depois que chegou a este Estado viveu sempre como tal, e de cujas ações dei já conta a S. Maj. há 4 anos, quando ele era Missionário da aldeia de Sumaúma, e nestas abomináveis imaginações convêm quase todos os que vivem destas partes”.35 O governador fez uma referência a uma carta enviada, em 1752, ao futuro marquês de Pombal que tratava sobre a expedição de demarcação dos limites conforme o Tratado de Madri e a oposição dos jesuítas às ordens régias. Quando Kaulen era missionário em Sumaúma, o governador enviara um ajudante de oficial à aldeia “buscar carpinteiros para principiar a fatura das canoas”. Um carpinteiro chamado Diogo fora escolhido para ir a Belém, mas após o ajudante de oficial deixar a aldeia, Kaulen teria mandado açoitar o carpinteiro e prendê-lo em um tronco. Questionado pelo ajudante de oficial sobre o motivo do castigo infligido ao carpinteiro, Kaulen teria respondido que “estava em sua casa, e que podia nela fazer o que quisesse, sem que a ninguém lhe importasse”.36 Este aparente gênio impetuoso do próprio Lourenço Kaulen vem à tona numa carta ânua, redigida por ele mesmo, na qual apresenta sua versão acerca da expulsão da aldeia de Piraguiri, em 1755. Segundo o relato, tudo indica que seu jeito intrépido havia criado uma desavença séria com a “nação dos Muruanos [talvez os Mura]” que vivia na missão, a ponto de ele temer a vingança dos indígenas.37 Kaulen – que se refere a si mesmo em terceira pessoa – afirma que os índios se revoltaram contra ele, levando a contenda ao conhecimento do governador e ao vice-governador, o que acabou acelerando a sua expulsão da missão. Ele escreve: « Com toda certeza, foram espíritos infernais que enviaram um homem para que pisasse com má intenção a boa semente e semeasse o joio por cima e, no excelso nome de El-Rei, proferisse publicamente que tudo lhe era permitido aqui. É assim que, de noite, ele rondava com seus comparsas, igual a morcegos, as casas dos que dormiam, tentando conspurcar as mentes e os corpos das mulheres imprudentes e instigar para a inobediência as mentes dos índios em relação ao ministro de Deus, que se consome inteiramente pela salvação deles, tanto a temporal como a eterna. Ele provocou abertamente tumultos, repetindo as coisas que revelaram a todos seu comportamento escandaloso e desaforado. Mas, estas coisas estimularam um deles, tendo com um caráter ainda mais perverso em comparação com os demais e sendo menos favorável a seus benfeitores [os jesuítas], a blasfêmias. Este começou a zombar publicamente do missionário e das coisas sagradas, enquanto o padre estava se dirigindo ao altar, e a vomitar várias indecências, e, afinal, a sair da aldeia com um soldado, que ele havia induzido para isto, como se pode suspeitar. Sem cessar, repetiu que os missionários haveriam de ser jogados fora da aldeia ... Agitado por estes delírios, ele se apoderou do barco do missionário, foi para junto do Governador, que nos é muito pouco favorável e, certamente também, para junto do Bispo. Eu não sei que fábulas ele foi delatar a estes. O passar o tempo há de desvendá-las. Estando de volta, após um intervalo de algumas semanas, quando ele viu o missionário sozinho em sua casa na aldeia, ele se aproximava, bêbado de cachaça, cheio de raiva e armado de um bastão, gritando em voz alta contra o padre desarmado, etc. Ao ouvir esse responder muito calmamente e pedir suavemente que contivesse a raiva, começou a tornar-se insolente ... e a bater o chão com o pé e o bastão, já não pedindo, mas dando ordens, etc. Quando ele viu que o missionário ia retirar-se para dentro de casa ..., ele voltou à aldeia, provocando um tumulto e pegando uma escopeta com a qual queria atirar no missionário.38 »

34

Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado ao Secretário de Estado Tomé Joaquim da Corte-Real, datado de Pará, 21 de outubro de 1757. In: MENDONÇA, op. cit., 3º Tomo, p. 366. 35 Idem, p. 368. 36 29ª Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado a Sebastião José de Carvalho e Mello, datado de Pará, 11 de novembro de 1752. In: MENDONÇA, op. cit., 1º tomo, pp. 375. 37 Carta ânua de Lourenço Kaulen, op. cit., f. 483r. 38 Idem, f. 484r. Tradução do latim pelos autores.


44

Kaulen foge da missão, mas é preso e, em 28 de novembro de 1757, foi deportado para Lisboa no navio Nossa Senhora do Atalaya, junto com quinze jesuítas portugueses e estrangeiros, dentre os quais os centro-europeus já mencionados, Antônio Meisterburg, Anselmo Eckart e David Fáy. Os padres Kaulen e Meisterburg foram acusados por Mendonça Furtado de terem “corrupitissimas ideyas, todas abominaveis”, o que lhe serviu de argumento, ante seu irmão, para justificar a necessidade da expulsão.39 Em 12 de fevereiro de 1758, os exilados chegam a Lisboa, sendo logo designados a diferentes cárceres. O secretário de estado Tomé Joaquim Corte Real, em carta a Mendonça Furtado, informa o destino dos padres recém-chegados da colônia amazônica, destacando que ordenara que houvesse especial vigilância sobre Meisterburg e Kaulen. Por enquanto, estes deveriam ficar presos na residência da família Roriz e o oficial esclarece ainda que “a ambos mandei com o preceito de obediência sub culpa gravi que não façam digressões fora da sobredita Residência”. 40 Antes mesmo de chegarem a Lisboa, as acusações feitas contra Eckart e Meisterburg foram divulgadas em um libelo antijesuítico, conhecido como “Relação abreviada”.41 O documento começou a ser distribuído em 3 de dezembro de 1757. Sua autoria é atribuída a Sebastião José de Carvalho e Melo, embora a relação tenha sido publicada anonimamente.42 Nela, os dois jesuítas são acusados de sublevação aberta, usando as duas peças de artilharia pertencentes à aldeia de Trocano. O libelo menciona, além disso, a suposta conspiração orquestrada pelos padres Antônio José e Roque Hundertpfundt que mencionamos acima. ∗∗∗∗∗

39

Ofício do [governador e capitão general do Estado do Maranhão e Pará], Francisco Xavier de Mendonça Furtado, para o [secretário de estado dos Negócios Estrangeiros e da Guerra], Sebastião José de Carvalho e Melo, comunicando a partida para o Reino de vários padres estrangeiros, destacando o padre Lourenço Kaulen e António Meisterbourg, devido às ideologias contrárias que divulgavam naquele Estado, datado de Pará, 29 de novembro de 1757. Arquivo Histórico Ultramarino, Pará, Cx. 43, D. 3927. 40 Carta de Tomé Joaquim Corte Real para Francisco Xavier de Mendonça Furtado denunciando certos “atentados” cometidos pelos Jesuítas. S/data. Documento anexo à carta anterior, discriminando os lugares para onde partiram os 15 Religiosos da Companhia de Jesus que vieram do Grão-Pará e Maranhão. In: MENDONÇA, op. cit., tomo III, pp. 390–392. 41 O título completo é “Relação abreviada da República que os Religiosos Jesuítas das Províncias de Portugal, e Espanha, estabeleceram nos Domínios Ultramarinos das duas Monarquias, e da guerra, que neles tem movido, e sustentado contra os Exercitos Hespanhoes, e Portugueses; formada pelos registos das Secretarias dos dous respectivos Principaes Comissarios, e Plenipotenciarios; e por outros documentos autênticos”. Lisboa, 1757. 42 Para uma análise deste documento cf. FRANCO, José Eduardo. Os catecismos antijesuíticos pombalinos: as obras fundadoras do antijesuitismo do Marquês de Pombal. Revista Lusófona de Ciências das Religiões, ano IV, n.º 7/8, 2005, pp. 249–252.


45

No entanto, os padres “tapuitinga” se destacam não somente pelas gravidade das acusações e das punições que lhes foram infligidas, mas também pela sua produtividade no campo linguístico. Neste sentido, sobretudo, as contribuições dos padres Anselmo Eckart e Antônio Meisterburg merecem realce. Até pode-se levantar a hipótese de que a perseguição sofrida por esses e outros jesuítas, em meados da década de 1750, esteja também ligada ao evidente interesse dos mesmos pela Língua Geral. Este idioma foi considerado, no contexto das reformas pombalinas, como um dos maiores obstáculos para a integração eficaz dos índios – aldeados ou não – ao novo projeto colonial. De fato, a Língua Geral era o idioma de comunicação cotidiana entre missionários, indígenas e moradores em todo o vale amazônico, em detrimento da língua portuguesa que era mais utilizada pelas autoridades ligadas à estrutura burocrática do estado luso na região. Os jesuítas foram os responsáveis por grande parte da produção linguística em Língua Geral em toda a América portuguesa. As principais gramáticas, dicionários e catecismos neste idioma de raiz tupi foram escritos – e, em alguns casos, publicados – pelos inacianos tanto no Estado do Brasil, a partir do século XVI, quanto no Grão-Pará e Maranhão. Esses documentos contribuíram para sistematizar as línguas indígenas, sobretudo do tronco tupi, e criaram uma fala estandardizada e supraétnica empregada, primeiramente, nos aldeamentos entre missionários e indígenas. Mas, esta língua difundiu-se logo para além das missões, tornando-se, principalmente na Amazônia lusa, a língua de uso comum entre as camadas da sociedade colonial.43 A partir do segundo quartel do século XVIII, a Coroa portuguesa, por meio de cartas régias, tentou controlar a situação linguística no Maranhão e Grão-Pará, buscando limitar, com certa insistência, o uso da Língua Geral no trato com os índios e ordenando o ensino da língua portuguesa. A responsabilidade deste ensino recaiu, por lei, sobre os missionários que administravam os aldeamentos, mas também sobre os moradores que recebiam índios para seu serviço.44 Na primeira metade do setecentos, estas medidas não surtiram nenhum efeito, pois os missionários jesuítas continuavam a evangelizar os índios em Língua Geral. Além disso, muitos moradores tratavam com os índios mediante a “língua da terra”, como se dizia. Quanto aos colonos que chegavam da metrópole ou das ilhas atlânticas, eles logo acabavam por aprendê-la. Com a ascensão de Sebastião José de Carvalho e Mello à frente do governo português e o envio de seu irmão Mendonça Furtado para assumir o governo do Maranhão e Grão-Pará, em 1751, a política linguística de Portugal em relação à Amazônia se tornou ainda mais severa. O emprego da Língua Geral era, com alguma frequência, um dos temas das cartas enviadas por Mendonça Furtado a seu irmão ministro. O governador pretendia restringir o uso da Língua Geral em prol do português. Em certas ocasiões, mostrava-se indignado por não conseguir se comunicar com os índios45 e, até, com muitos moradores, pois muitos deles revelaram ser pouco proficientes na língua de Camões.

43

Sobre o uso da Língua Geral na Amazônia, cf. FREIRE, José Ribamar Bessa. Rio Babel: a história das línguas na Amazônia. 2ª edição. Rio de Janeiro: EdUERJ, 2011. 44 Carta régia ao Superior das Missões do Estado do Maranhão sobre se lhe ordenar que os índios da sua repartição se lhe fação práticos na sua Língua Portugueza, datado de 12 de fevereiro de 1727. Anais da Biblioteca Nacional, vol. 67, 1948, p. 214–215. 45 Carta a Diogo de Mendonça sobre o disposto no § 16 das Instruções de 31 de maio de 1751, datada de Pará, 8 de janeiro de 1752. In: MENDONÇA, op. cit., p. 227–228.


46

O governador acusou principalmente os jesuítas de trataram com os índios exclusivamente na Língua Geral e não obedecerem à ordem real referente ao ensino do português.46 Certamente, as constantes reclamações do governador influenciaram seu irmão Carvalho e Mello, pois no sexto parágrafo do Diretório dos Índios, promulgado em 1757, o uso da Língua Geral foi formalmente proibido. Assim, nas antigas missões, transformadas em vilas, os diretores tinham a obrigação de estabelecer escolas para o ensino da língua portuguesa às crianças.47 Mesmo com a oposição do governador, os missionários, sobretudo os jesuítas, continuaram a utilizar a Língua Geral no trabalho catequético juntos aos índios, não abrindo mão da diretriz da ordem inaciana que previa a utilização da língua do catecúmeno para a evangelização. Instrumentos linguísticos, como catecismos e vocabulários, continuaram a ser produzidos no século XVIII, revelando, inclusive, a dinâmica desta língua indígena de amplo uso cotidiano. Também, os jesuítas “tapuitinga”, apesar do pouco tempo que permaneceram na Amazônia, redigiram, ao que tudo indica, dicionários na Língua Geral. Como base, eles usaram obras manuscritas neste idioma, mas também agregaram, ao longo dos verbetes, novas palavras ouvidas na convivência direta com os índios nos aldeamentos. Desta forma, suas produções nos dão uma ideia da língua falada no dia-a-dia nas missões em meados do setecentos. Um exemplo desta prática é um dicionário anônimo, descoberto pelo linguista luxemburguês Jean-Claude Muller na Biblioteca Municipal de Trier, na Alemanha, em 2012.48 O documento é dividido em duas partes, português-Língua Geral e Língua Geral-português. O dicionário contém diversas referências a outras obras, como a gramática de José de Anchieta (1595) e os catecismos de Antônio de Araújo (1686) – com os acréscimos de Bartolomeu de Leão (1686) – e de João Felipe Bettendorff (1687). Há referências ao rio Xingu e a povos indígenas e missões ao longo deste rio. Embora o manuscrito não tenha a autoria especificada, a presença de algumas passagens escritas em alemão, além de erros de português, típicos de uma pessoa com pouca proficiência na língua lusa, nos faz inferir que, com muita probabilidade, este dicionário tenha sido escrito por um jesuíta de origem germânica.49 Muller levantou a hipótese de que Antônio Meisterburg seja o autor do dicionário de 1756, pois no final do códice, há uma folha com diversas reproduções aleatórias – parecendo um simples exercício caligráfico – do nome “Antonius”, versão latina do primeiro nome de Meisterburg.50 Contudo, o documento apresenta algumas passagens com letras cursivas distintas da grafia predominante, o que indica que mais de uma pessoa interferiu no texto. Como o padre Anselmo Eckart estava designado, 46

Carta de Francisco Xavier de Mendonça Furtado ao irmão Sebastião José de Carvalho e Melo, na qual trata dos limites e da extensão do Estado do Grão-Pará e Maranhão; do Regimento das Missões, das Religiões, isto é, das Comunidades Religiosas ali existentes; das relações entre os Regulares da Companhia de Jesus com os índios; com os colonos e com o próprio Estado, datada de Pará, 21 de novembro de 1751. In: MENDONÇA, op. cit., p. 112. 47 Directorio, que se deve observar nas povoaçoens dos indios do Pará, e Maranhão: em quanto Sua Magestade naõ mandar o contrario. Lisboa: Officina de Miguel Rodrigues – Impressor do Eminentíssimo Senhor Cardeal Patriarca, 1758, pp. 3–4 48 ANÔNIMO. [Dicionário Português-Língua Geral e Língua Geral–Português], Rio Xingu, 1756. Stadtbibliothek/ Stadtarchiv Trier, manuscrito 1136/2048, 4°. 49 Referente à uma primeira análise deste dicionário, cf. PRUDENTE, Gabriel de Cássio Pinheiro. Ler e copiar, ouvir e registrar: um dicionário jesuítico como instrumento de aprendizado da língua geral na Amazônia setecentista. Boletim do Museu Paraense Emílio Goeldi. Ciências Humanas, v. 10, n. 3, set./dez. 2015, pp. 641–657. 50 MULLER, op. cit., p. 380.


47

entre 1753 a 1755, à aldeia de Piraguiri e o padre Lourenço Kaulen era, em 1755 e 1756, missionário residente desta mesma missão51, que, por sinal, está claramente desatada no dicionário, é provável que os dois sejam, junto com seu confrade Meisterburg, co-autores da obra. Outro documento linguístico produzido por um jesuíta “tapuitinga” é o “Vocabulario da Lingua Brazil”.52 O manuscrito, que contém só a parte português-Língua Geral, apresenta ainda mais trechos escritos em alemão do que o dicionário de 1756, além de fazer menção da aldeia de Abacaxis. Apesar de o Vocabulário ser anônimo, Nelson Papavero e Cândida Barros levantaram a hipótese de que o autor poderia ser o padre Anselmo Eckart,53 que exerceu seu ministério missionário também na referida missão.54 Um terceiro documento linguístico, provavelmente redigido por um dos jesuítas alemães, é a “Prosódia”55, um códice que contém um vocabulário, sonetos e canções em Língua Geral. Embora este dicionário seja menos rico em detalhes do que o de 1756 e o “Vocabulario da Lingua Brazil”, que, ao menos, permitem identificar os prováveis autores, as linguistas Cândida Barros e Ruth Monserrat conseguiram, ao menos, apontar algumas características típicas da língua alemã na escrita de certas palavras em português que, segunda elas, denunciam a origem germânica do autor.56 A continuidade da produção de instrumentos em Língua Geral pelos missionários jesuítas, sobretudo entre os de língua alemã, indica que, apesar da política oficial do estado português de tentar restringir o uso desta língua, os padres não seguiram as novas orientações. Talvez essa forma de resistência linguística tenha contribuído, também, para a tomada de medidas contrárias aos inacianos por parte do governador Mendonça Furtado que, como revela sua correspondência, pretendia banir categoricamente a Língua Geral do quotidiano na colônia em prol da língua lusitana. ∗∗∗∗∗ Apesar de suas reações às primeiras medidas pombalinas, os jesuítas foram, gradativamente, perdendo uma série de suas prerrogativas até serem expulsos dos territórios ultramarinos lusos por ordem régia de 3 de setembro de 1759. Contudo, vimos que antes mesmo do início oficial da expulsão, diversos inacianos, dentro os quais um bom número de não-lusos – sobretudo, os que eram originários da Europa central e próximos à falecida rainha-mãe de origem austríaca –, foram expurgados da América portuguesa. Enquanto a maioria dos jesuítas portugueses foi deportada para a Itália, os estrangeiros e, principalmente os centro-europeus que aturam nas colônias, permaneceram retidos em Portugal, a maior parte no forte de São Julião da Barra. Mesmo após a supressão da Companhia de Jesus em 1773, os jesuítas alemães continuaram presos, ganhando apenas em 1777 sua liberdade, quando o rei D. José I faleceu e o seu ministro plenipotenciário, o Marques de 51 52 53 54 55 56

LEITE, op. cit., p. 321; Catalogus Personarum & Officiorum V.Prov.æ Maragnonensis Societatis IESU, 26 de agosto de 1753. Archivum Romanum Societatis Iesu, Roma, Cód. Bras 27, f. 189r. ANÔNIMO. Vocabulário da LinguaBrazil. Biblioteca Nacional de Lisboa, Cód. 3143, s.d. [175–]. PAPAVERO, Nelson; BARROS, Cândida. O “Vocabulario da lingua Brazil” (códice 3143 da Biblioteca Nacional de Portugal) e os Zusätzedo Pe. AnselmEckart, S.J. (1785): obras do mesmo autor”. In: PAPAVERO & PORRO, op. cit., pp. 337–351. LEITE, op. cit., p. 278. Inclusive, Eckart fez sua profissão solene na aldeia de Abacaxis em outubro de 1755. ANÔNIMO. Prosodia: dicionario da língua falada por índios do Brasil. Lisboa: Academia de Ciências de Lisboa, s.d. [175–]. BARROS & MONSERRAT, op. cit., pp. 241–242.


48

Pombal, foi obrigado a sair da cena política.

57

De acordo com Stefan Gatzhammer, a manutenção

dos jesuítas alemães nas prisões portuguesas foi interpretada como uma estratégia política para evitar a divulgação de informações mais detalhadas acerca das áreas coloniais lusas.

58

Além disso,

como esses religiosos eram oriundos de um espaço politicamente extremamente fragmentado, não havia soberanos com influência política ou diplomática suficiente para reclamar sua libertação. José Alves de Souza Junior observa também que a maioria dos jesuítas que atuava nas áreas fronteiriças entre as Américas lusa e castelhana era de origem alemã, como os padres Hundertpfundt, Eckart e Meisterburg. 59 De fato, a partir do Tratado de Madri de 1750, houve uma redefinição das fronteiras americanas das coroas ibéricas. Nesse sentido, podemos levantar a hipótese de que as acusações feitas contra os jesuítas “tapuitinga” ganharam, também, maior atenção em virtude da preocupação de Portugal em salvaguardar estes espaços contra estrangeiros que há muito tempo transitavam por eles, sobretudo em um período de consolidação do estado português com o projeto reformador de teor (proto)nacional de Pombal. Após sua soltura em 1777, os jesuítas alemães sobreviventes que atuaram na Amazônia lusa produziram uma série de relatos em forma de diários e memórias sobre suas experiências missionárias e “carcerárias”; muitos desses documentos permanecem manuscritos enquanto outros foram impressos. 60 A maioria dos padres voltou para a Europa Central. No entanto, dos que mais foram destacados aqui, Anselmo Eckart foi, após uma passagem por sua cidade natal no vale do Reno, para a Rússia Branca – a atual Bielorrússia –, lugar que se tornou um dos poucos refúgios para os (ex-) jesuítas após a supressão da ordem em 1773,61 onde trabalhou como mestre de noviços até falecer em 1809; Lourenço Kaulen saiu da prisão muito doente e permaneceu em Lisboa até sua morte por volta de 1797; Antônio Meisterburg retornou para a sua cidade natal, Bernkastel, no vale do rio Mosela, onde faleceu em 1799, num convento capuchinho. Estas trajetórias e fins, de certa forma, trágicos mostram o quanto o marquês de Pombal conseguiu, com eficácia, impor seu projeto reformador numa colônia que ganhou destaque durante seu governo, não só no que se refere ao aspecto econômico, mas também social e cultural.

57

58 59 60

61

FERNÁNDEZ ARRILLAGA, Inmaculada & GARCÍA ARENAS, Mar. Dos caras de una misma expulsión: el destierro de los jesuítas portugueses y la reclusión de los missioneros alemanes. Hispania Sacra, Madrid, LXI, 123, jan.-jun., 2009, pp. 227–256; FERNÁNDEZ ARRILLAGA, Inmaculada & GARCÍA ARENAS, Mar. Jesuitas alemanes em las misiones de Portugal: expulsión, confinamento y escritos. In: KOHUT & PACHECO, op. cit., pp. 231–261. GATZHAMMER, Stefan. Antijesuítismo europeu: relações político-diplomáticas e culturais entre a Baviera e Portugal (1750–1780). Lusitânia Sacra, Lisboa, 2ª série, 5, 1993, p. 219. SOUZA JUNIOR, José Alves. Tramas do cotidiano: religião, política, guerras e negócios no Grão-Pará do setecentos. Belém: ed.ufpa, 2012, p. 118. KAULEN, Lourenço. Relação de algumas cousas que succederão aos religiosos da Companhia de Jesus no reyno de Portugal, nas suas prisões, desterros de cárceres, em que estiveram por tempo de 18 annos, isto he do anno 1759 athe 1777, no reinado del Rey D. Jose I. Biblioteca Nacional, Lisboa. Cód. 7997; ECKART, Anselmo. Memórias de um Jesuíta prisioneiro de Pombal [1791]. Braga/São Paulo: Loyola, 1987. Sobre o diário escrito por Eckart, cf. FERNÁNDEZ ARRILLAGA, Inmaculada. Deportação do Brasil e prisão nos cárceres portugueses de um jesuíta alemão: o P. Anselmo Eckart. Brotéria, Lisboa, v. 156, 2003, pp. 171–187.Além disso, cf. os diferentes escritos apologéticos do padre José Caeiro, no Archivum Romanum Societatis Iesu, Roma: De Rep. Maranoniensi. In: De exilio Provinciæ Lusitaniæ SocietatisJesu, s/d. Cód. Lus 93, ff. 22v–24r; De Provincia Maranonensi. In: De Exilio Provinciarum Transmaritarum Societatis Jesu, 1771, Cód. Lus 94, ff. 235r–302r. A rainha Catarina II, a grande, permitiu que os jesuítas permanecessem nos territórios russos mesmo com a supressão papal da Companhia de Jesus. Cf. WRIGHT, Jonathan. Os jesuítas: missões, mitos e histórias. Tradução de André Rocha. Rio de Janeiro, Relume Dumará, 2006, p. 214.


49

Dois aspectos da fachada da Igreja de Santo Alexandre na Cidade Velha de Belém do Pará (Brasil). A Igreja e o Colégio foram a sede da Companhia de Jesus em Belém na época do Brasil colônia. (Foto Wolf Dietrich).

(Foto Jean-Claude Muller).


50

Altar (e detalhe) da igreja paroquial de São Sebastião de Bernkastel (Alemanha), pequena cidade situada na margem direita do rio Mosel (Mosela). Em cima do altar está a estátua de São Francisco Xavier, apóstolo dos Índios, batizando dois indígenas (Fotos Jean-Claude Muller).


51

6. Ler e copiar, ouvir e registrar : um Dicionário jesuítico como instrumento de aprendizado da Língua Geral na Amazônia setecentista

[ Reading and Copying, Listening and Registering : A Jesuit Dictionary as a Tool of Learning of the ‘Língua geral’ in the seventeenth century in Amazonia ]

Gabriel de Cássio Pinheiro Prudente, (Universidade Federal do Pará. Belém, Pará, Brasil)

Introdução Este artigo tem como objeto de estudo um dicionário anônimo jesuítico escrito em língua geral, datado de 1756, encontrado recentemente na Biblioteca e Arquivo Municipal de Trier (Stadtbibliothek/ Stadtarchiv Trier) 62 na Alemanha, pelo linguista luxemburguês Jean-Claude Muller (2012). Este documento, até então inédito, era desconhecido dos especialistas em tupi e instrumentos linguísticos do período colonial. O manuscrito é dividido em duas partes, português-língua geral (fólios 1–48) e língua geral-português (fólios 48–65). O dicionário também apresenta diversos comentários pessoais feitos pelo autor em alguns verbetes. Estes comentários foram escritos, na maioria dos casos, em latim, mas também alguns em português e alemão antigo, o que demonstra que o autor interferiu em diferentes momentos no documento, incluindo novas informações.

62 ANÔNIMO. Dicionário Português-Língua Geral e Língua Geral–Português. Alemanha: Stadtbibliothek/Stadtarchiv Trier. Ms 1136/2048 4°, [1756].

Originalmente publicado : PRUDENTE, Gabriel de Cássio Pinheiro. Ler e copiar, ouvir e registrar: um dicionário jesuítico como instrumento de aprendizado da língua geral na Amazônia setecentista. Boletim do Museu Paraense Emílio Goeldi. Ciências Humanas, v. 10, n. 3, p. 641–657, set./dez. 2015.


52

A análise do documento permitiu identificar que, com muita probabilidade, o dicionário foi escrito por um missionário de língua alemã que chegou à Amazônia na década de 1750. Sabe-se que um grupo de oito jesuítas da Europa Central desembarcou no Estado do Grão-Pará e Maranhão em 1750 e 1753 (Leite, 1943, p. 357–358). Provavelmente, um dentre estes religiosos foi o autor do manuscrito, pois há evidências no dicionário que permitiram estabelecer esta hipótese. O dicionário de 1756 foi transcrito a partir de uma cópia digitalizada fornecida pela Biblioteca Municipal de Trier, em vista de ser editado de forma impressa e digital e, assim, ser disponibilizado para pesquisadores de diversas áreas. Durante este processo, percebeu-se que o documento apresentava inúmeras referências a catecismos e gramáticas em língua geral, a grupos indígenas e lugares amazônicos além de comentários que expressam nuances da experiência missionária do autor que precisariam ser contextualizadas. Neste sentido, o objetivo deste trabalho é compreender o processo de “construção” do dicionário de 1756, através de indícios encontrados nos verbetes, que também podem ajudar, ao menos parcialmente, a entender o processo de aprendizado da língua geral na Amazônia pelo missionário-autor. Este aprendizado era indispensável para o religioso executar com êxito seu trabalho de conversão junto aos indígenas. Para tanto, era imperiosa a produção de instrumentos linguísticos, como o documento aqui analisado, que viabilizassem a sistematização e aprendizado da língua indígena (Pompa, 2003, p. 84–85; Altman, 2003, p. 64). O documento é analisado a partir do conceito de mediação cultural, pois este se constitui “como um processo de comunicação – isto é, construção de situações e textualidades que engendram sentidos compartilhados nas zonas de interculturalidade” (Montero, 2006, p. 59). Sendo assim, o missionário é um mediador entre os saberes ocidentais e indígenas ressignificando práticas e códigos culturais. A tradução cultural se dá essencialmente no campo da religião, código privilegiado de conversão de sentidos (Montero, 2006, p. 56–57; Gasbarro, 2006, p. 81; Agnolin, 2007, p. 139). A necessidade de tradução linguística e cultural levou os missionários a produzirem instrumentos que servissem de auxílio para esta conversão de sentidos através da sistematização e homogeneização das línguas nativas a partir do modelo gramatical latino e do catecismo tridentino (Agnolin, 2006, p. 200; Agnolin, 2007, p. 21–33). Logo, o dicionário de 1756 é interpretado como um instrumento para a mediação cultural que permite a seu autor o aprendizado da língua geral e a viabilização de sua atuação missionária na Amazônia. Primeiramente, recorrendo à historiografia especializada, buscar-se-á entender como se delineou a política linguística jesuítica da qual o dicionário de 1756 faz parte. Posteriormente, será abordada, em linhas gerais, a chegada e atuação de um grupo jesuítas de língua alemã na Amazônia em meados do século XVIII. Concomitantemente, será feita uma contextualização histórica do documento, delineando a situação política durante os primeiros anos do governo pombalino, quando os jesuítas foram sendo paulatinamente expurgados do império português, com destaque à América. Por fim, serão analisados alguns verbetes no dicionário que ajudam a entender como o autor construiu o manuscrito e suas estratégias de aprendizado da língua geral. Os dados encontrados no dicionário foram cruzados com duas gramáticas e três catecismos para verificar o que o autor consultou e copiou destas. Para uma breve contextualização dos grupos indígenas e lugares amazônicos citados, foram utilizados relatos dos séculos XVII e XVIII.


53

Política linguística jesuítica e a Língua Geral na América Portuguesa Ao chegar ao Brasil, colonos e missionário se depararam com uma imensa variedade étnica e linguística entre os nativos. Dentre as mais de setecentas línguas indígenas que se estimou existirem nos primeiros anos da colonização na América portuguesa, uma em especial, a dos Tupinambá, chamou a atenção por ser “a mais usada na Costa do Brasil” como definiu o padre José de Anchieta. Por esta característica, o idioma dos Tupinambá se tornaria a língua franca da colônia sendo um “instrumento de mediação entre vários grupos indígenas e os missionários” (Almeida, 2014, p. 454). Tão logo os europeus, colonos e missionários perceberam a diversidade de línguas, entenderam que para a viabilização do projeto catequético-colonizador havia a necessidade de se estabelecer comunicação com os nativos. Para tanto, o entrave linguístico deveria ser superado através do aprendizado do tupi, língua que era entendida pela maior parte dos indígenas na costa brasileira. A apreensão desta, que se se tornaria a língua de comunicação supra-étnica entre índios e agentes coloniais, foi elemento indispensável para o controle colonial (Freire, 2004, p. 50–51; Freire, 2008, p. 138; Altman, 2003, p. 64). A expressão “língua geral” começou a ser usada na América portuguesa a partir do século XVII para “qualificar línguas indígenas de grande difusão numa área” (Rodrigues, 1986, p. 99), o que aconteceu também em outras regiões como a América espanhola, e que era falada: «[...] por toda a população originada no cruzamento de europeus e índios tupi-guarani [...] à qual foise agregando um contingente de origem africana e contingentes de vários outros povos indígenas, incorporados ao regime colonial, em geral na qualidade de escravos ou de índios de missão.» (Rodrigues, 1996, p. 6)

Segundo Cristina Altman, especificamente no caso das Américas "as línguas gerais foram as línguas autóctones inicialmente escolhidas pela administração colonial e pela Igreja como veículo supraregional de contato entre as diversas populações colônias” (Altman, 2003, p. 58). A sistematização e aprendizado dessas línguas foi uma estratégia primordial para a ação colonizadora. Catequese e dominação territorial eram diretrizes que uniam Igreja e Estado no Novo Mundo. Outro importante ponto são as variações do tupi, ocorridas ao longo do tempo, de acordo com a região. Rodrigues (1986, p. 100–103, 1996, p. 8–9) afirma que a língua geral apresentou diferenciações linguísticas no Estado do Brasil e, posteriormente, no Estado do Grão-Pará e Maranhão. A variação do tupi falado no norte da América portuguesa ficou conhecida como língua geral amazônica (LGA); mais ao sul falava-se a língua geral paulista (LGP). A LGA foi a que resistiu mais tempo, falada por uma significativa parcela da população até a primeira metade do século XIX decaindo seu uso após este período (Freire, 2004, p. 17). Inicialmente, o aprendizado da língua geral pelos europeus se dava através do convívio e imersão cultural em meio aos indígenas. No entanto, logo se iniciou a “redução” da língua geral do plano oral para o escrito a partir do modelo gramatical latino (Agnolin, 2006, p. 207) para, dessa forma, torná-la apreensível para os europeus. A partir disso, determinados conceitos (em especial religiosos), inexistentes na língua tupi, foram criados a fim de possibilitar a transmissão da mensagem cristã. De


54

acordo com Agnolin (2007, p. 115) a redução da língua geral se desenvolveu de forma correlata à redução dos povos indígenas. No século XVI essa política linguística de "redução" do tupi ao plano escrito começou a ser delineada na América portuguesa, capitaneada principalmente pelos missionários em seu trabalho de conversão dos nativos. Esta política caracterizou-se pela escolha e sistematização de uma língua que servia como mecanismo de contato interétnico. Segundo José Ribamar Bessa Freire: «O termo política de línguas vem sendo usado pela sociolingüística para designar um conjunto de medidas, explícitas ou implícitas, adotadas predominantemente pelo Estado – mas também por outros agentes sociais – para ordenar as línguas faladas em um determinado território.» (Freire, 2004, p. 90)

Para o sucesso da empresa colonizadora era necessário fazer com que o tupi fosse homogeneizado através de gramáticas para facilitar o aprendizado por parte dos colonizadores. Neste processo, línguas ágrafas como o tupi foram "reduzidas" do plano oral para o escrito. Era, portanto, imprescindível adotar a língua nativa para então realizar esta transformação (Agnolin, 2007, p. 293). No Brasil colonial os jesuítas tiveram papel fundamental no processo de formulação e execução de uma política linguística com o objetivo de solucionar o problema da comunicação com os nativos. Sendo a Companhia de Jesus uma ordem missionária, a questão do aprendizado de línguas era fundamental na criação dos quadros de religiosos que iriam para as missões. As Constituições jesuíticas, como orientadoras das ações dos padres da Companhia, prevêem o aprendizado de línguas como elemento essencial para a formação jesuítica. As experiências jesuíticas na América portuguesa fizeram com que os missionários se apercebessem da grande necessidade de aprendizado das línguas locais para o seu trabalho de conversão. Sendo assim, uma política linguística foi institucionalizada através de instruções de decretos da Companhia. Na década de 1580 o padre visitador Cristóvão de Gouveia instituiu um Regimento no qual a questão do aprendizado da língua geral ganhou um caráter obrigatório (Castelnau-L’Estoile, 2000, p. 148–153; Pompa, 2003, p. 72). Nesta situação, os missionários precisavam adaptar-se ao Novo Mundo, aprendendo a língua nativa para assim poder ensinar ao indígena a palavra cristã. Neste sentido, o processo de gramaticalização da língua era essencial para conhecer não somente a língua, mas também a cultura indígena. Começou a formar-se na América portuguesa um quadro de intérpretes coloniais, os chamados “línguas”, homens que dominavam a língua geral e que por isso eram arregimentados para ajudarem na tradução entre missionários e indígenas (Barros, 1995, p.4–5). Alguns destes, inclusive, chegaram a entrar para a Companhia em virtude de sua proficiência em tupi, mesmo tendo pouco ou nenhum conhecimento do latim, então obrigatório na formação religiosa. A escrita tem um papel fundamental no trabalho missionário de conversão, que começa com a dicionarização e gramaticalização das línguas nativas, como afirma Daher (1998, p. 34). Assim, em diversas partes do mundo, foram produzidos textos de tradução/conversão linguística, religiosas e culturais com o objetivo de serem instrumentos tanto de catequese quanto de dominação colonial. Neste esforço de estabelecimento de uma língua franca na colônia, foram produzidos diversos instrumentos linguísticos como gramáticas, catecismos, dicionários, lista de palavras etc. Dessa forma formou-se "uma língua-padrão, a partir de uma homogeneização de diferentes dialetos tupi, conformados à lógica da gramática latina”. (Pompa, 2003, p. 86).


55

O processo de criação de instrumentos linguísticos tupi, como o dicionário de 1756, analisado neste trabalho, permitiu o aprendizado da língua geral e também ajudou na compreensão do “significado das práticas e das representações culturais dos próprios indígenas” (Agnolin, 2007, p.77). De acordo com Luiz Borges: « A política de homogeneização da língua tupi, correlata à política de hegemonização do discurso missionário e de interpretação controlada dos textos sagrados, impunha a criação de instrumentos lingüísticos que facilitassem a implementação dos fins visados pela empresa catequético-colonial. O instrumento lingüístico é a materialidade da consciência, em sua dimensão de consciência política de um grupo de falantes, ou do grupo que domina a política lingüística. » (Borges, 2003, p. 120)

Segundo Pinheiro (2005, p. 75–76), os instrumentos linguísticos são textos de tradução que serviram para a execução do projeto catequético-colonizador empreendido por colonos, mas, sobretudo por religiosos. Os autores destes textos estavam diretamente ligados à administração colonial ou às Ordens religiosas. Para isto, embasaram-se em modelos de dicionários e gramáticas latinos e, no caso dos catecismos, no modelo estabelecido pelo Concílio de Trento com o objetivo de preservar os “conteúdos da fé” (Agnolin, 2007, p. 26). Dessa forma, a criação de instrumentos linguísticos vai além da tradução linguística e cultural; foi também ferramenta de dominação colonial produzida por e para os colonizadores. Um exemplo disto são os catecismos analisados por Agnolin (2007), sendo esses textos de uso exclusivo dos missionários; pois, na falta de imprensa na colônia, eram muitas vezes difundidos entre os missionários através de cópias manuscritas. As gramáticas e os dicionários, embora não tivessem a função religiosa dos catecismos, serviam como instrumentos de aprendizado da língua geral, fundamentais para a leitura dos catecismos. Todavia, a função desses textos ia além da tradução de sentidos. Especificamente sobre os dicionários, o antropólogo Cláudio Costa Pinheiro, estudando os léxicos que remetem à relação de dominação, faz a seguinte reflexão: «[...] os dicionários funcionam, tanto quanto as espadas, armas e canhões como instrumentos de conquista, mas da conquista de um espaço epistemológico aberto pelo confronto de sistemas cognitivos. São armas de um império e não simples listas, ou por outra, são listas de classificação que se remetem a todo um universo de embates de sistemas classificatórios, de cognição e significação associados à língua e à cultura e tomados a partir dos processos Moderno de ação e conquista imperiais.» (Pinheiro, 2005, p. 157, grifo do autor)

Portanto, fica evidente que esses textos serviam tanto para a conversão de sentidos e comunicação quando para a imposição de novos significados linguísticos culturais e religiosos. Destarte, ao reduzir as línguas indígenas ao plano escrito, de acordo com modelos textuais europeus, mais do que buscar equivalências, os autores buscam sistematizar linguística e culturalmente as línguas, para assim tornálas inteligíveis ao universo cultural europeu. No caso de textos produzidos por missionários jesuítas, estes cumpriam ainda outra função. Segundo Montero (2006) os missionários buscavam classificar e comparar as culturas com o objetivo da evangelização, produzindo novos significados. Neste processo, criam-se entre missionários e indígenas códigos comunicativos compartilhados, produzindo textualidades e situações de interações generalizadas que ocorrem em lugares interculturais, como as missões, sendo este “espaço da mediação cultural” (Montero, 2006, p. 23–59).


56

O processo de construção de códigos comunicativos compartilhados é feito tanto pelos missionários quanto pelos indígenas, produzindo uma nova linguagem e percepção cultural e religiosa de ambos os lados. Seguindo a assertiva de Paula Montero sobre a mediação cultural, podemos afirmar que textos como gramáticas, catecismos e dicionários, como o que é objeto de análise neste trabalho, estes são instrumentos para a mediação feita pelos religiosos. Sendo assim, o dicionário de 1756, objeto deste trabalho, é entendido como parte de um “corpus" textual criado com a pretensão de traduzir linguística e culturalmente e ser um instrumento de mediação de aprendizado da língua geral. O esforço de análise desses gêneros textuais deve levar em consideração as condições sob as quais foram produzidos e quais os agentes que os confeccionaram. Esta é a discussão do tópico seguinte.

Jesuítas alemães na Amazônia no período pombalino O dicionário de 1756 foi escrito no período das reformas promovidas pelo ministro português Sebastião José de Carvalho e Melo, futuro Marquês de Pombal, e executadas por seu irmão no Estado do GrãoPará e Maranhão, o então governador Francisco Xavier de Mendonça Furtado. Pombal era favorável ao regalismo, linha de pensamento que visava o fim da intervenção da Igreja nos assuntos do Estado e a sua subordinação a este último (Maxwell, 1997, p. 102; Souza Junior, 2012, p. 73). Pombal embasava sua política no despotismo esclarecido. Tentava transformar Portugal em um Estado política e economicamente forte e avançado, fazendo com que a imagem do atraso português fosse superada. Se por um lado o ministro português queria que o progresso da ciência chegasse ao povo português, por outro isto deveria acontecer sob os olhos e controle do Estado. Recuperar a economia portuguesa e diminuir sua dependência da Inglaterra estava na pauta principal do governo português. Para a execução deste plano, a Amazônia tinha um papel fundamental, pois a reorganização das relações política e econômica no norte da América portuguesa poderia dar subsídios financeiros que ajudariam no processo de atualização histórica de Portugal (Souza Junior, 2012, p. 90). Os poderes temporais que os jesuítas foram acumulando, bem como sua influência na Corte portuguesa, representavam um perigo para os interesses da Coroa. Pombal entendeu que esse poder adquirido pelos jesuítas era pernicioso ao Estado, pois abalava a economia portuguesa e a própria ação real (Maxwell, 1997, p. 63). Paulatinamente, as tensões entre a política pombalina e o pensamento político jesuítico influenciado pelos teóricos da Segunda Escolástica – que não aceitava o poder absoluto dos monarcas como direito divino – foram se tornando cada vez maiores. De acordo com José Alves de Souza Junior: «O choque entre o regalismo de Pombal e o corporativismo da filosofia política jesuítica foi-se tornando inevitável e colocando os jesuítas no centro do turbilhão provocado pelas reformas pombalinas, pois eles passaram a ser considerados como grandes obstáculos à concretização destas, o que, em parte, justificou a sua expulsão.» (Souza Junior, 2012, p. 76)

As tensões entre jesuítas, moradores e autoridades coloniais no cotidiano dos aldeamentos, o conflito de interesses políticos e econômicos entre a colônia e a metrópole foram se intensificando. Este fator, agregado à oposição jesuítica ao Tratado de Limites de 1750, que visava demarcar as terras entre as possessões portuguesas e espanholas na América, foram convencendo Mendonça Furtado,


57

e este a seu irmão, de que os jesuítas representavam um obstáculo para a execução das reformas do governo no Grão-Pará e Maranhão (Maxwell, 1997, p. 55). Para Souza Junior (2012, p. 93) as medidas criadas no governo pombalino como o Diretório dos índios, a Companhia de Comércio do Estado do Grão-Pará e Maranhão e a expulsão dos inacianos foram articuladas a partir das conjunturas políticas e econômicas na colônia, percebidas por Mendonça Furtado. A intensa troca de missivas entre o governador e seu irmão na metrópole foram tornando-o ciente daquilo que estava acontecendo e sendo executado na região norte. Progressivamente, a política pombalina foi se chocando com interesses dos padres da Companhia de Jesus. Primeiramente com a decisão de retirar o poder temporal dos jesuítas sobre os aldeamentos; depois o confisco do patrimônio arregimentado pelos inacianos na colônia, sob a acusação de acumulação ilícita. Ambas representaram um duro golpe no projeto jesuítico de conversão. O estopim para a expulsão dos inacianos dos territórios lusos foi o atentado ao rei D. José I em setembro de 1758, em que foram acusados os membros da prestigiosa família Távora e os padres jesuítas Gabriel Malagrida, João de Matos e João Alexandre (Assunção, 2004, p. 42). Pombal aproveitou este incidente “como meio para esmagar tanto a oposição aristocrática como os jesuítas em Portugal” (Maxwell, 1997, p. 92). Em 1759 decretou a expulsão dos jesuítas de todos os territórios portugueses, iniciando assim uma campanha difamatória pela Europa que culminaria com a expulsão da Ordem de outros países e, finalmente, a sua supressão em 1773. Na prática, o processo de expulsão dos jesuítas na Amazônia começou antes de 1759 e afetou principalmente os padres “estrangeiros”, ou seja, não lusitanos, o que também ocorreu em outras colônias portuguesas. A partir de 1755, alguns missionários de língua alemã presentes no norte da América portuguesa como os padres Roque Hundertpfund, Anselm Eckart e Anton Meisterburg foram sendo gradativamente expulsos devido a comportamentos considerados pouco ortodoxos. O padre Hundertpfund, que gozava de prestigio junto à rainha de Portugal, Maria Ana da Áustria (1683–1754), fora acusado de conspiração em meio aos índios, o que gerou preocupação do governador Mendonça Furtado, como fica explicitado em cartas trocadas com Pombal (Mendonça, 1963, p. 798–821). O missionário alemão acabou sendo deportado em 1755, com outros jesuítas. Eckart e Meisterburg sofreram a acusação de serem engenheiros militares disfarçados, que tentariam atrapalhar a secularização da aldeia de Trocano, no rio Madeira (que seria posteriormente transformada em vila de Borba, a nova), utilizando duas peças de artilharia. Ambos foram deportados em 1757 (Fernández Arrillaga; García Arenas, 2009, p. 228–234; Souza Junior, 2012, p. 117–118). Segundo Souza Junior (2012, p.118) os jesuítas alemães eram os responsáveis pela administração das áreas fronteiriças no norte da Amazônia sob domínio português como, por exemplo, os padres Eckart e Meisterburg e Hundertpfund nas missões de Trocano e Abacaxis, que ficavam no rio Madeira. Os alemães também estiveram presentes na região do rio Xingu, como o padre Laurenz Kaulen que solicitou a Dom José I a permissão para que os jesuítas alemães atuassem na região (Souza Junior, 2012, p. 147). A preocupação com zonas de fronteira serviu de incremento para as acusações contra os jesuítas alemães, pois a administração portuguesa temia uma possível invasão estrangeira por estas áreas. Na ocasião do processo de expulsão dos jesuítas das terras lusas os ditos “estrangeiros” receberam maior vigilância. Enquanto os jesuítas portugueses foram levados para a Itália, os “estrangeiros”, em especial os alemães, permaneceram em prisões portuguesas como São Julião da Barra (Fernández


58

Arrillaga; García Arenas, 2009, p. 247–248), em sua maioria, até serem liberados a partir de 1777. O presente trabalho interessa-se especialmente sobre os jesuítas de língua alemã e sua atuação na Amazônia no período pombalino. Foram identificados no dicionário de 1756 sete verbetes (três na parte português-língua geral e quatro na parte língua geral-português) nos quais aparecem verbetes acompanhados de palavras e comentários escritos em alemão, seguidos de comentários em latim, como se pode observar na tabela abaixo. A grafia utilizada nas passagens em alemão é a grafia alemã da época. Tabela 1: Exemplos de verbetes com grafia alemã no dicionário de 1756 Escorregar o que anda. ou escorregarem lhe os pés xepycyrỳc. fallit pes. germanice: stolpern a [fl. 17v,2ª coluna, grifo meu] Perna. tetýma. ut: xeretýma. curva delle. andaguýra xeretyma omanomanò. modus loqdi. das bein ist mir ein geschläfferet.b ita dicit v.g. mulier de marito absente ejus reditū augurans [fl. 32r,1ª coluna, grifo meu] Tombýra. o bicho do pè. Tombúra cerã nde pỳ. modus adhortandi ad properandū. hast du wūrm in den füßen? c alius dicit: nde pýi. quod videtur juxta artem de litt.i.p.125. [fl. 56v,1ª coluna, grifo meu] a. b. c.

Grafia alemã antiga: tropeçar. Grafia alemã antiga: A perna me adormeceu. Grafia alemã antiga: Tu tens vermes em teus pés? No alemão atual a escrita correta seria: Hast Du [einen] Wurm in den Füßen ?

As ocorrências em escrita alemã são poucas, mas suficientes para comprovar a tese da origem germânica do autor do dicionário, pois somente um missionário de língua alemã poderia fazer essas observações. Outros indícios que reforçam este argumento são as inúmeras passagens escritas em latim presentes no dicionário como também pode ser observado nos exemplos acima. Sendo assim, no fundo, o dicionário de 1756 é um documento trilíngue. Certamente o autor do manuscrito não tinha conhecimento elevado da língua portuguesa, embora existam alguns comentários escritos em português. O latim no dicionário tem a função de “língua mediadora” para o missionário-autor, pois o auxilia na compreensão das palavras em português, para assim, esclarecer o significado dos termos em Língua Geral. O aprendizado do latim fazia parte da formação dos membros da Igreja Católica. Esta língua foi adotada por ter um caráter estável, sendo por isso, conveniente aos ritos e escritos católicos (Waquet, 2001, p. 42). O domínio do latim era de muita importância para os missionários; pois, sendo “uma língua internacional era um recurso valioso para uma organização internacional” (Burke, 1995, p. 54) como a Igreja Católica, garantia a comunicação entre seus membros, mesmo se fossem de origens diferentes. Além disso, a alfabetização na Alemanha da época era feita primeiramente em latim. Isso talvez ajude a explicar o porquê de o missionário usar muito mais o latim nos comentários pessoais nos verbetes do que a sua língua materna. Inicialmente, o pesquisador que encontrou o dicionário, o linguista Jean-Claude Muller, defendeu a hipótese de que o autor do manuscrito seria um missionário de língua alemã que atuou na Amazônia, sendo este, possivelmente, o padre Anton Meisterburg (1719–1799). Muller chegou a esta conclusão


59

devido a uma série de assinaturas com o nome “Antonius” presente na última folha do documento (Muller, 2012, p. 379–395). No entanto, a questão da autoria ainda está em aberto, pois se sabe também que os padres Laurenz Kaulen (1716–1797) e Anselm Eckart (1721–1809) também são Cândidatos em potencial, haja vista que também passaram pela região amazônica. Tem-se conhecimento, através da obra do padre Serafim Leite, que um grupo de oito missionários jesuítas centro-europeus chegou ao Estado do Maranhão e Grão-Pará entre os anos 1750 e 1753 63. Dentre estes, muito provavelmente, estavam os acima referidos candidatos a autor do dicionário. O padre Anselm Eckart, em seu relato 64, afirma que a vinda desse grupo de jesuítas alemães foi articulada pelo padre Roque Hundertpfund. Este missionário, que estava na Amazônia na década de 1740, foi chamado à Corte pela rainha Mariana de Áustria. Segundo Eckart: «Esta devota princesa austríaca interrogou o Pe. Hundertpfund sobre o estado das missões da sua Vice-Província. Ele respondeu que elas estavam relativamente bem, mas que floresceriam melhor se contassem com mais missionários, de preferência alemães. A rainha então encaminhou correspondência ao Geral da Companhia, o Pe. Franciscus Retz, pedindo doze padres alemães.» (Papavero; Porro, 2013, p. 63)

Dos doze missionários pedidos pela rainha, somente oito chegaram ao Grão-Pará e Maranhão. Apesar de ser um grupo de oito jesuítas da Europa Central que esteve na Amazônia na década de 1750, apenas os três, os padres Kaulen, Meisterburg e Eckart são considerados os principais candidatos a autor do dicionário, pois foram encontrados indícios no dicionário que levam a crer que o documento foi escrito no Grão-Pará. Os três padres supracitados são os candidatos mais prováveis, pois atuaram em missões do referido estado. Entender suas trajetórias pode ser elucidativo quanto à questão da autoria. Laurenz Kaulen era originário da cidade de Colônia na Alemanha, nascido em 1716. Entrou para a Companhia de Jesus em 1738, fazendo seu noviciado entre 1739 e 1741, ambos em Trier. Era mestre de artes e lecionou Humanidades entre 1742 e 1745. Segundo Serafim Leite, Kaulen embarcou para o Estado do Grão Pará e Maranhão em 1750 a pedido da corte lisboeta. Atuou como missionário na Amazônia nas missões de Mortigura, Sumaúma e Piraguiri (no rio Xingu), nesta última esteve entre 1754 e 1757. Foi desterrado em novembro de 1757 para Portugal ficando preso no Colégio Nossa Senhora da Lapa, Beira em 1758 e Almeida em1759, sendo transferido para S. Julião da Barra em 1762, saindo de lá em 1777. Faleceu por volta 1797 (Leite, 1943, p. 357; Leite, 1949, p. 307–312; Meier; Aymoré, 2005, p. 285–296). Anton Meisterburg nasceu em 1719 em Bernkastel (Alemanha), localizada próxima de Trier, onde entrou para a Companhia de Jesus em 1737, fazendo seu noviciado. Era Mestre de artes e foi professor de humanidades entre 1741 e 1745. Embarcou juntamente com o padre Kaulen para o Estado do Maranhão e Grão-Pará em 1750. Atuou nas missões de Aricará e Abacaxis e Santa Cruz. Foi deportado 63

Em 1750 chegaram ao Grão-Pará e Maranhão os padres Anton Meisterburg e Laurenz Kaulen. Em 1753 aportaram na Amazônia os padres David Fáy, João Nepomuceno Szluha, Joseph Kayling, Martin Schwartz, Anselm Eckart, Heinrich Hoffmayer. (Leite, 1943, p. 357–358; Meier; Aymoré, 2005). 64 O relato do padre Anselm Eckart é intitulado “Aditamentos do Senhor Pe. Anselm Eckart, Ex-pregador da Companhia de Jesus na Capitania do Pará no Brasil, à “Descrição das Terras do Brasil” de Pedro Cudena e às “Notas à Sexta Contribuição de Lessing para a História e a Literatura, dos Tesouros da Biblioteca Ducal de Wolfenbüttel, Braunschweig, 1781, gr. 8º” do Senhor Reitor Christian Leiste”. Publicado em alemão no ano de 1785 por Christoph Gottlieb von Murr. Esta obra foi traduzida do alemão para o português pela professora Thekla Hartmann. Sua edição em português foi organizada por Nelson Papavero e Antonio Porro (2013) tendo a colaboração de outros pesquisadores.


60

em novembro de 1757, embarcando no mesmo navio e passando pelas mesmas prisões que Kaulen 65. Após sua libertação em 1777 foi para a sua cidade natal, onde morreu por volta de 1799, no mesmo ano em que o dicionário de 1756 foi registrado na Biblioteca Municipal de Trier (Leite, 1943, p. 357; Meier; Aymoré, 2005, p. 303). Anselm Eckart, nascido em 1721, era natural de Mainz na Alemanha. Entrou na Companhia de Jesus em 1740, fazendo seu noviciado na mesma cidade entre 1740 e 1742. Chegou ao Estado do Grão-Pará e Maranhão juntamente com outros jesuítas da Europa central e de Portugal em 1753. Passou rapidamente pela missão de Piraguiri, mas atuou nas missões de Abacaxís e Trocano. Foi deportado para Portugal em novembro de 1757. Ficou preso em S. Fins (Minho) em 1758, Almeida (1759) e S. Julião da Barra (1762), quando foi libertado em 1777. Foi para a Rússia Branca (atual Bielorússia) país que aceitou a presença de membros da Companhia de Jesus na época da expulsão. Morreu em Dünaburg (atual Daugavpils na Letônia) em 1809 (Leite, 1943, p. 358; Leite, 1949, p. 204–207; Meier; Aymoré, 2005, p. 247–254). Como os três missionários passaram por missões da região do rio Xingu, são os candidatos mais prováveis a autores do dicionário. Os candidatos a autor se conheciam e dois deles, Kaulen e Meisterburg, fizeram sua formação religiosa em Trier, onde foi encontrado o dicionário. Eckart foi o que ficou menos tempo na Amazônia, apenas quatro anos. Kaulen veio junto com Meisterburg em 1750. Somente Eckart e Kaulen estiveram na missão de Piraguirí. O primeiro passou apenas alguns meses nesta missão para aprender a língua geral, enquanto o segundo ficou nela aproximadamente três anos, antes de a missão ser laicizada com o advento do Diretório dos Índios. Embora não seja possível afirmar com precisão quem foi o autor do dicionário, pelos dados colhidos no dicionário e as informações biográficas sobre os jesuítas alemães que chegaram à Amazônia na década de 1750, pode-se estabelecer um perfil do autor. Certamente foi um jesuíta de origem alemã entre 30–40 anos, letrado e com domínio de latim que passou menos de dez anos na Amazônia. Tinha pouca proficiência com a língua portuguesa, o que justifica o amplo uso do latim ao longo do manuscrito. O estabelecimento deste perfil pode ajudar a entender as condições de produção do dicionário de 1756.

Ler e copiar Neste tópico serão analisados alguns verbetes do dicionário de 1756 que talvez possam elucidar como o missionário-autor construiu o documento, deixando indícios que revelem seu processo de aprendizado da língua e sua trajetória na missão. O missionário certamente utilizou como base outro dicionário, que se desconhece, mas que, segundo a hipótese de Dietrich (2014, p. 601–604) pode tratar-se da Prosodia da Lingoa, outro dicionário anônimo. Todavia, o autor não se limitou a copiá-lo, mas também se utilizou de outras obras e de suas experiências linguísticas vivenciadas no cotidiano das missões amazônicas nas quais atuou. Na construção dos verbetes o autor menciona frequentemente catecismos e gramáticas. A partir dos dados colhidos, pode-se inferir que leu e copiou algumas palavras em língua geral apreendidas nos referidos gêneros de texto. No manuscrito, essas menções aparecem, em muitos casos, ao final dos 65

Os padres Eckart, Kaulen e Meisterburg foram deportados do Estado do Grão-Pará e Maranhão no dia 28 de novembro de 1757 no navio “Nossa Senhora do Atalaya” chegando em Lisboa no dia 12 de fevereiro de 1758 (Meier; Aymoré, 2005, p. 250, 286 e 302).


61

verbetes com uma cor de tinta e tamanho de letra diferente o que indica que foram incluídas em um segundo momento, posterior à primeira cópia dos verbetes, como se vê na tabela abaixo. Tabela 2: Menções a catecismos e gramáticas em língua geral no dicionário de 1756 Mbába pro paba, acabamento. Anchi. pag. 2 d [fl. 47v, 2ª coluna, grifo meu] Confirmação sacramento: ace cybapè. pai goaçu jandy caraiba nonga: v Tupã rerobia. iepytaçocaba: ita Guarani e [fl. 11r, 1ª coluna, grifo meu] Ama, que cria. mocãbyâra v mocãbyçara, membycambubäè. Cate. fol. 117. f [fl. 4r, 1ª coluna, grifo meu fortalecer a alguém. amokyrỹbáb. Bettendorff: amopyãtã pag. 130 g [fl. 21r, 2ª coluna, grifo meu] Doente. mbäe acymbóra. a arte diz: baeacybóra. pag. 96. h [fl. 15r, 2ª coluna, grifo meu] d. “Cap. II. Da mesma maneira o P. in medio dictionis, fica em mb: posto absolute in principio, vt Abâ, acabome, Mbába, acabamento, pro Paba, &c.” (Anchieta, 1990 [1595], p. 2v, grifo nosso).

e.

Latim: “ita Guarani” = assim o Guarani; “Sobre los Sacramentos. P. Mbaepé (Tupã rerobiâ hába yepitaçó caba) raé?. (Montoya, 1640, p. 122, grifo nosso).

f.

“Do quarto Mandamento da Igreja. D.Cunumĩ, cunhã täi, tunhabäẽymâna, goaibĩ ymâna, muruápôra, imembycambubäé, mbäé acybôra, cóâra pucúi morabykyâra, goataçâra abé.” (Araújo; Leão, 1686, p. 117, grifo nosso).

g. “Breve instrucçaõ para ajudar a bem morrer algum moribundo, com todos os actos necessarios em aquella hora. Actos de Contriçaõ. Tupã cŷ xe Mãy etéramo, xe ierobiaçâbetéramo, nde mäenduár xe recé; xe mopyatã iepé, xe pycyrõ iepé.” (Bettendorff, 1687, p. 130, grifo nosso).

h. “Annotaçoẽs geraes sobre alguns tempos, & formaçoẽs dos verbos. Quecé paié baeäcybóram çubáni, ontem, o feiticeiro chupou o enfermo. Baeäcybóra, he accusativo, & se naõ estivera immediato ao seu verbo activo, diriamos, Ixubáni: ut Quece baeäcybóra paié ixubáni.” (Figueira, 1687, p. 96, grifo nosso).

Foi feito um trabalho de identificação das obras mencionadas pelo autor e dos trechos por ele provavelmente consultados. Ao todo foram identificadas cinco obras (três catecismos e duas gramáticas) conforme a tabela abaixo:


62

Tabela 3: Obras mencionadas no dicionário de 1756 Ano de Publicação

Obra

1595

Arte de Grammatica da Lingva Mais Vsada na Costa do Brasil

Pe. Antonio Ruiz de MONTOYA

1640

Catecismo de la lengva Gvarani, Compvesto por el Padre Antonio Ruiz de la Compañia de Iesus. Dedicado a la purísima Virgen Maria. Concebida sin mancha de pecado original.

Pe. Antonio de ARAUJO e Pe. Bartolomeu de LEÃO

1686

Catecismo brasilico da doutrina christãa, com o ceremonial dos sacramentos, & mais actos parochiaes

1678 [1687]

Compendio da Doutrina Christam na lingua Portugueza e Brasilica

Autor

Pe. José de ANCHIETA

Pe. João BETTENDORFF Pe. Luís FIGUEIRA

Felipe

1687

Arte de Grammatica da Lingua Brasilica

Em geral, essas obras impressas aparecem mencionadas através do nome do autor (o caso das obras Anchieta e Bettendorff) ou pelo titulo (caso das gramáticas de Luis Figueira e Antonio Montoya e o catecismo de Araujo e Leão). Foram contabilizadas 152 menções no dicionário, sendo: 26 referências à gramática de José de Anchieta; 5 referências ao catecismo de Antonio Ruiz de Montoya; 83 referências ao catecismo de Antonio de Araujo e Bartolomeu de Leão; 6 referências à doutrina de Bettendorff e 32 menções à gramática de Figueira. No original, as menções são, em algumas ocasiões, acompanhadas do número da página consultada, o que facilitou a identificação do trecho que o autor copiou. Mas na maioria dos casos as referências às obras não indicam com precisão as páginas em que o missionário verificou o termo em língua geral. Não se sabe, com precisão, onde e como o missionário-autor teve acesso aos catecismos e gramáticas supracitados, mas certamente sua leitura ajudou-o no processo de aprendizado da língua geral. É possível que o autor tenha consultado cópias manuscritas de algumas das obras mencionadas, já que estas, bem como outras, circulavam nas missões dessa maneira; ou então, em um momento posterior, tenha tido acesso às obras em uma biblioteca européia, hipótese menos provável. Esses textos foram compostos, em sua maioria, no século XVII, em um momento em que a situação linguística na América portuguesa era diferenciada da que se configuraria no século seguinte. No entanto, permaneceram sendo obras de referência para os missionários no trabalho de conversão e para o aprendizado da língua nativa mesmo “não refletirem mais a variedade do tupi em uso nas missões” (Barros, 2003, p. 139) o que fica explicito nas inúmeras menções a estas obras no dicionário de 1756.


63

O catecismo de Araujo e Leão (1686) é a obra mais citada no dicionário. Trata-se de uma segunda edição revisada e ampliada pelo padre Bartolomeu de Leão do catecismo de Antonio Araújo de 1618, o primeiro catecismo impresso em tupi (Agnolin, 2007, p. 61). Esta obra foi uma importante referência para os missionários jesuítas na América portuguesa. No dicionário, ao fazer o autor menção às obras, demarca, na estrutura do verbete, os termos que aparecem no catecismo de Araújo e Leão e nas demais obras impressas 66. Essa delimitação presente no manuscrito ajuda a demonstrar que o tupi sistematizado e homogeneizado no século XVII, registrado nos catecismos e gramáticas, era diferente do tupi falado no século XVIII. Por meio da identificação das obras consultadas pelo autor é possível inferir que uma das estratégias de aprendizado da língua geral eram a leitura e a cópia dessas obras. O missionário fez um trabalho de comparação textual entre aquilo que copiou da estrutura-base de outro dicionário para fazer o seu próprio e o que copiou de gramáticas e catecismos. No fundo, o missionário-autor precisava aprender duas variedades de tupi: o primeiro seria um tupi cristalizado nas obras impressas (em sua maioria forjada no Estado do Brasil no século XVII), mas que os índios da Amazônia no século XVIII apresentavam dificuldade de compreender, devido às mudanças ocorridas na língua geral com o passar do tempo, como afirmou o padre João Daniel em seu relato: «[...] se foi corrompendo de tal sorte a língua geral tupinambá, que hoje são raros os que a falam com a sua nativa pureza, e vigor; de sorte que já os mesmo índios não percebem o catecismo, nem os que estudam a arte se entendem com os índios especialmente no Amazonas, como muitas vezes têm experimentado e confessado os mesmos missionários, e índios, de [tal] sorte está viciada e corrupta que parece outra língua diversa; mas a qual é a que se usa em todas as missões portuguesas do Amazonas, e a que aprendem as novas nações que vão saindo dos matos, e a que estudam os missionários brancos que tratam com índios não com regras, e preceitos da arte, mas pelo uso e trato dos mesmos índios » (Daniel, 2004, p. 334, grifo meu).

O segundo seria um tupi “corrente”, que missionários e índios estavam usando em meados dos setecentos para se comunicarem no cotidiano das missões. Ou seja, o autor tinha que aprender tanto a língua geral que se falava entre os índios no momento de sua atuação na Amazônia para se comunicar no cotidiano, especialmente nas atividades temporais. Mas também precisava saber ler e compreender o tupi “livresco” sistematizado nas gramáticas e catecismos, pois nas atividades espirituais era esta variedade da língua a ser utilizada. Para os religiosos, era necessário demarcar uma linguagem a ser usada nos ritos religiosos e outra para a comunicação cotidiana. A Igreja tinha a preocupação de estabelecer uma forma fixa tanto de catecismos e gramáticas como das línguas nativas, baseada no modelo do catecismo tridentino e gramatical latino, respectivamente (Agnolin, 2007, p. 21–26). Na América portuguesa o esforço de sistematização e homogeneização do tupi tinha como objetivo garantir que a mensagem cristã fosse compreendida e difundida da mesma forma por toda a colônia. Todos os índios deveriam ser convertidos pelos mesmos métodos e com os mesmos instrumentos. Todavia, as transformações linguísticas que inevitavelmente ocorrem ao longo do tempo, fizeram com que a língua geral "falada" se diferenciasse cada vez mais da que fora reduzida ao plano escrito, através dos instrumentos linguísticos. Apesar de conscientes destas diferenças, os missionários continuaram a utilizar as obras escritas em tupi, como no caso do dicionário de 1756. 66

Vide o exemplo do verbete "Ama, que cria" no quadro 2 na tabela 2.


64

Ouvir e registrar Além da prática de cópia, outra estratégia de aprendizado da língua geral foi a experiência de contato com falantes nativos no interior das missões. O autor, imerso em meio aos índios, passa a registrar algumas palavras variantes em língua geral que apreendeu no cotidiano de sua atuação missionária. Ao todo, foram encontrados no dicionário 13 verbetes em que o autor registra, através de um comentário em português ou latim, uma palavra variante em língua geral que afirma que ouviu, de acordo com a tabela abaixo: Tabela 4: Exemplos de verbetes com registro de palavras ouvidas pelo missionário Amargar. xerõ. irõ. rel. alii. xeròb. et ita arte, atq ita audivi. i [fl. 4r, 2ª coluna, grifo meu] Barboleta. panáma. alii : paná panáma. audivi etiam j: panàpanà [fl. 7r, 1ª coluna, grifo meu] Comprar. aiàr v apyrupàn. Top. aiporepyàn. inusit. aporypàn ouvi no Xingu. [fl. 10v, 2ª coluna, grifo meu] Enfadado estar ou aborrido. xecoerái. mas sgfca pprmte enfadado pelo lugar doença etc que se he outro enfado que pertence ao animo, se uza desta palavra: xepyàíba. v xeputupáb. ouvi dizer: Aporái, estar enfadado [fl. 16v, 1ª coluna, grifo meu] i. Latim: “outros. xeròb. e assim a gramática, e assim ouvi.” j. Latim: “ouvi também” No verbete “Comprar” o autor assinala que apreendeu a palavra “aporypàn” na região do Xingu. Por este dado, pode-se inferir que provavelmente o autor atuou na referida região. Nos Verbetes “Amargar” e “Barboleta” comenta em latim que ouviu as palavras “xeròb” e “panàpanà”, que correspondem a uma outra forma em língua geral para designar os respectivos verbetes. Especificamente, nos verbetes “Comprar” e “Enfadado” o verbo “ouvir” está na primeira pessoa, o que indica, provavelmente, tratarse de um comentário pessoal do autor e não cópia de outra obra. A análise dos dados demonstra que a confecção do dicionário e o aprendizado da língua geral pelo autor não ocorria somente pelo processo de cópia. O autor também percebeu e registrou variações linguísticas aprendidas na missão, provavelmente através de contatos com outros sujeitos que compunham o espaço do aldeamento. Outro exemplo deste contato são os verbetes que fazem menção aos habitantes da aldeia de Piraguirí, um dos três aldeamentos jesuíticos que existiram na região do Xingu 67. Nos verbetes encontrados, o autor aparentemente tentou escrever um comentário em língua geral para mostrar como os habitantes da referida aldeia falavam alguns termos, como nos exemplos da tabela a seguir: 67

As missões jesuíticas na região do Xingu eram: Itacuruçá, Piraguiri e Aricará, que após sua secularização se tornaram as vilas de Aveiros, Pombal e Souzel, respectivamente.


65

Tabela 5: Menções a missão de Piraguirí no dicionário de 1756 Machado. gỳ. piragoaranheeng: ybyhab

[fl. 26r, 2ª coluna, grifo meu]

Papagayo. paragoà. piragoara dicit: ahùd.

[fl. 30v, 2ª coluna, grifo meu]

meju forte ab miu: piragoara dicit: man

[fl. 52r, 2ª coluna, grifo meu]

Nitíu. naõ. Xap. üdii. piragoara: üd

[fl. 52r, 2ª coluna, grifo meu]

Ygoára. morador, ou natural, ajuntando a cousa ou lugar donde he. mortigurigoara, piraguigoara. Mairì igoára etc. [fl. 56r, 1ª coluna, grifo meu] Nos verbetes “Papagayo”, “Meju”, “Nitíu” e “Ygoára” aparecem os termos piragoara e piraguigoara. Como indica o último verbete, o sufixo -ygoára significa "morador" ou "originário de algum lugar"; sendo assim, decompondo a palavra, piragu / igoara, significaria “morador de Piraguirí”; a palavra é seguida do termo latino “dicit” 68 que significa “se diz”. Este mesmo significado se aplica a “piragoara”. A palavra "pira" poderia ser traduzida da língua geral como "peixe" (pirà) 69, mas neste caso esta tradução tupi não faria sentido acompanhada do sufixo -goara (morador). Por isso, entendese “pira” nestes casos como referência à missão jesuítica de Piraguirí no Xingu. O primeiro verbete é ainda mais interessante, pois o autor escreve “piragoaranheeng” que numa tradução poderia significar "fala" (-nheeng) do "morador" (-goara) de Piraguiri (-pira). Ressalta-se aqui que no original essas menções a Piraguiri – em especial as três primeiras – foram claramente inseridas posteriormente à primeira cópia, o que indica que, com muita probabilidade, são comentários pessoais do autor e não cópia de outra obra. Também foram encontrados no dicionário de 1756 menções a grupos indígenas e outras missões no Xingu. O trabalho de contextualização dessas referências, juntamente com as demais, auxiliou na identificação da trajetória do autor e a possível autoria do dicionário. Dos grupos indígenas mencionados, provavelmente dois certamente se encontravam na região do Xingu e outro, possivelmente, na região do rio Madeira. O primeiro grupo identificado foram os Coribaré. Diversas fontes do século XVII e XVIII, a despeito da variação dos etnônimos, apontam que este grupo estava na região do rio Xingu neste período 70 (Bettendorff, 1990, p. 35; Fritz, 1691, 1707; Moraes, 1987, p. 353; Noronha, 1862, p. 19; Eckart, 2013, p. 90). O etnólogo Nimuendaju (1948, p. 217) identificou os Coribaré como sendo os Kuruaya. Segundo Leite (1943, p. 352) este grupo foi descido por volta de 1730, para a missão de Piraguiri pelos padres Manuel Afonso e Sebastião Fusco. Na tabela abaixo se pode se conferir os verbetes em que os Coribaré são mencionados: 68 69 70

No Latim é a conjugação do verbo “Dire” na terceira pessoa do singular do presente do indicativo ativo. O próprio dicionário apresenta um verbete: "Peixe. pirà. peixinho. pirà mirì." [fl. 31v, 1ª coluna]. Variações de etnônimos acerca dos Coribaré encontradas nas fontes: João Felipe Bettendorff (Curubares); Samuel Fritz nos mapas de 1691 e 1707 (Curivarés); José de Moraes (Curibaris); José Monteiro de Noronha (Cariberiz, Curiueré); Anselm Eckart em 1785 (Coriberés).


66

Tabela 6: Os Coribaré no dicionário de 1756 Castanha. nhã. Coribaré diz: nhũ.

[fl 9v, 1ª coluna, grifo meu]

Espelho goaruà peqno Goaruai. usitatū apud Corib. k [fl. 18r, 2ª coluna, grifo meu] Madre ou may. cỳ v xemaia. Coribarè diz tamì. xeramì. minha may. [fl. 26r, 2ª coluna, grifo meu] Kycè. faca. Coribarè diz: Kytce, dictū K pronuntiando leniter, ut Germani g gutturale. l [fl. 49r, 1ª coluna, grifo meu] k. Latim: “usado entre os Coribaré”. l. Latim: “dito K a ser pronunciado de maneira sonora, como o g gutural do alemão”.

O segundo grupo identificado foram os Goyapi. Foram encontradas menções a este grupo no Xingu desde o século XVII 71 (Bettendorff, 1990, p. 115–116; Heriarte, 1874, p. 33; Fritz, 1691, 1707). Este grupo iniciou um processo migratório gradual em meados do século XVII, partindo do Xingu até se instalarem na região hoje correspondente ao Estado do Amapá, principalmente em sua fronteira com a Guiana francesa (Gallois, 1986). Um dos primeiros a identificar os Waiãpi do Oiapoque como sendo os Goyapi do Xingu foi Nimuendaju (2004, p. 114–115), o que décadas depois foi confirmado pela antropóloga Dominique Gallois. Em outro dicionário de língua geral, o “Vocabulario da língua Brazil” 72, foram identificadas referências muito similares às encontradas referentes aos Goyapi no dicionário de 1756, (vide tabela 7) o que pode indicar que possivelmente um dos autores copiou do outro, ou que ambos os dicionários tomaram como base outro dicionário em comum.

71

Variações de etnônimos acerca dos Goyapi encontradas nas fontes: Mauricio de Heriarte (Guaiapes); João Felipe Bettendorff (Guayapis); Samuel Fritz nos mapas de 1691 e 1707 (Guayapís). 72 O "Vocabulario da língua Brazil" é um dicionário anônimo do século XVIII que se encontra na Biblioteca Nacional de Portugal. Possui apenas uma parte português-língua geral e sua estrutura é semelhante à primeira parte do dicionário de 1756. Porém, o autor utiliza alguns verbetes que não se apresentam no dicionário aqui analisado. Certamente o autor do "Vocabulario" era alemão, pois faz inúmeras anotações nesta língua ao longo do manuscrito. Papavero e Barros (2013, p. 335–351) comparando esta obra com os “Aditamentos” do missionário alemão Anselm Eckart defendem a hipótese de que tenha sido este o autor do "Vocabulario".


67

Tabela 7: Os Goyapi no dicionário de 1756

TRIER

VOCABULÁRIO DA LÍNGUA BRAZIL m

Salve. o Guarani diz: Tupã tanderããrö Salve. o guarani diz: Tupã tanderããrõ; o q entende Dios te salve. o que entenda tambem o taõbem goyapi. Arããró vel xerããrõ. [fl. 169, grifo Goyapi. Arããró v xarããrö. [fl. 37v, 2ª meu] coluna, grifo meu] Temer. acykyiè. Goyapi diz: akyjè v Temer. Acykyié, çüí. goyapi diz: Akyjé ou xekyjé. [fl. xekyjè. [fl. 40r, 1ª coluna, grifo meu] 153, grifo meu] m. ANÔNIMO. Vocabulario da lingua Brazil. Códice 3143 da Biblioteca Nacional de Portugal, Lisboa, [18– –].

O terceiro grupo indígena localizado foram os Xapi. Este grupo é o mais mencionado no dicionário (20 menções), no entanto não foram encontradas referências nas fontes a este etnônimo; portanto não foi possível identificar onde este grupo estava no século XVIII. Todas as referências a este grupo no dicionário aparecem com uma cor de tinta diferente do restante dos verbetes, o que indica que foram incluídas em um momento posterior. Análises linguísticas preliminares apontam que este grupo poderia ser os Sateré-Mawé 73, que no século XVIII vivia na região do rio Madeira; todavia, é somente uma hipótese que precisa ser aprofundada. Na tabela abaixo, alguns exemplos de referências aos Xapi no dicionário de 1756: Tabela 8: Menções aos Xapi no dicionário de 1756 Aiabáb. fugir. vul. aiavau. Xapì: punarëì. pynareita ibórì. queres tu fugir [fl. 45r, 1ª coluna, grifo meu] Aiapixàb. v aiapixáo. dar cutilada na cabeça. xapi: atiacỳc [fl. 45r, 1ª coluna, grifo meu] Amäè. olhar. recè. Xap. Oivàd. emäè xerecè: eriacà xetè [fl. 45r, 2ª coluna, grifo meu] Amocaẽ. secar ou tostar ao fogo. Xap atoncaẽ [fl. 45r, 2ª coluna, grifo meu] .

A partir das referências aos três grupos indígenas podemos inferir que o autor, possivelmente, entrou em contato com nativos que lhe forneceram os dados linguísticos dessas respectivas tribos. Haja vista que pelo menos dois grupos (os Coribaré e os Goyapi) estavam na região do Xingu no século XVIII; de acordo com as fontes, podemos afirmar que o missionário provavelmente esteve nessa região. As menções a grupos indígenas do Xingu e à missão de Piraguiri ajudam a entender o processo de confecção do dicionário e a trajetória do missionário. Além de copiar de outras obras, o autor registrou variações da língua geral e de línguas de outros grupos indígenas, o que revela que o aprendizado da língua também se dava em meio ao contato com os índios. 73

Wolf Dietrich (Universidade de Münster), comunicação pessoal. Veja-se o Anexo 5, abaixo.


68

Demonstra também a miscelânea étnica e linguística da missão que agrupava diferentes grupos indígenas; o missionário, imerso neste ambiente, percebeu e registrou dados linguísticos apreendidos no contato com os indígenas. Isto talvez seja um esforço incipiente de comunicação do missionário para comunicar-se com os grupos indígenas na missão através da língua materna destes índios e não a língua geral. Como a missão de Piraguiri mencionada nos verbetes era um aldeamento jesuítico, certamente o autor do dicionário também era inaciano. Além do fato de a referida missão está situada no Xingu, dois dos três grupos indígenas mencionados no dicionário estavam nesta região no século XVIII, como demonstra o cotejo das fontes. Desta forma, podemos afirmar com alguma segurança que o autor do dicionário atuou na região, mais precisamente na referida missão.

Conclusão O trabalho de transcrição do dicionário de 1756 possibilitou conhecer a estrutura do documento e entender como seu autor o confeccionou. As análises dos verbetes permitiram identificar, ao menos parcialmente, a trajetória e o processo de aprendizado da língua geral pelo seu autor, além de fornecer algumas pistas sobre sua identidade. O cotejo desta fonte com outros documentos da época permitiu elucidar estratégias de aprendizado da língua por um jesuíta letrado, lançando luzes sobre este processo, algo pouco estudado na historiografia. Foi possível entender que o autor do dicionário aqui analisado não se limitou a copiar; lançando mão das fontes tradicionais sobre a língua geral, também registrou, através de comentários pessoais, variações linguísticas apreendidas no cotidiano da missão, através da convivência com os grupos indígenas nela aldeados. Nesses comentários, o autor revela um pouco de si, de sua trajetória missionária na Amazônia e de sua experiência de aprendizado da língua geral, mostrando que era um processo continuo, haja vista ser possível perceber no documento diversas inclusões e modificações feitas pelo autor em momentos diferentes. O presente artigo é um esforço inicial não somente para entender a confecção do dicionário, mas localizá-lo historicamente a fim de entender como esta fonte e seu autor estão inseridos em processos e contextos históricos mais abrangentes. A análise minuciosa dos verbetes do documento permitiu a apreensão de dados que, em um tratamento mais geral, poderiam passar despercebidos. Numa reflexão mais ampla, foi possível compreender que o dicionário de 1756 foi como um instrumento de aprendizado redigido por um jesuíta letrado, que necessitava aprender a língua para realizar seu trabalho missionário dentro de um projeto catequético-colonizador que se desenvolvia a mais de dois séculos na América portuguesa. O dicionário permite múltiplas abordagens; no entanto, este artigo representa apenas uma tentativa de abordagem histórica dele.

Agradecimentos Agradeço a Cândida Barros (Museu Paraense Emílio Goeldi) e a Karl Arenz (Universidade Federal do Pará) pelas discussões que possibilitaram o amadurecimento da pesquisa que culminou neste artigo. Ao Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico pela bolsa de Apoio Técnico à Pesquisa a qual fui agraciado nos anos de 2013 e 2014.


69

Referéncias AGNOLIN, Adone. Catequese e tradução: Gramática cultural, religiosa e linguística do encontro catequético e ritual nos séculos XVI–XVII. In: MONTERO, Paula (Org.). Deus na aldeia: missionários, índios e mediação cultural. São Paulo: Globo, 2006. p. 143–207. AGNOLIN, Adone. Jesuítas e selvagens: a negociação da fé no encontro catequético-ritual americano-tupi (séculos XVI–XVII). São Paulo: Humanitas, 2007. ALMEIDA, Maria Regina Celestino de. Catequese, aldeamentos e missionação. In: FRAGOSO, João; GOUVÊA, Maria de Fátima. O Brasil colonial: volume 1 (ca. 1443–ca.1580). Rio de Janeiro: Civilização Brasileira, 2014. p. 435–478. ALTMAN, Cristina. As línguas gerais sul-americanas e a empresa missionária: linguagem e representação nos séculos XVI e XVII. In: FREIRE, José Ribamar Bessa; ROSA, Maria Carlota (Org.). Línguas Gerais: política linguística e catequese na América do Sul no período colonial. Rio de Janeiro: EdUERJ, 2003. p. 57–83. ANCHIETA, José de. Arte da grammatica da lingoa mais usada na costa do Brasil. Coimbra: Antonio de Mariz, 1595. ANCHIETA, José de. Arte da grammatica da lingoa mais usada na costa do Brasil.; 7. ed., São Paulo: Loyola, 1990. ANÔNIMO. Dicionário Português-Língua Geral e Língua Geral–Português. Alemanha: Stadtbibliothek/ Stadtarchiv Trier. Ms 1136/2048 4°, [1756]. ANÔNIMO. Vocabulario da lingua Brazil. Códice 3143 da Biblioteca Nacional de Portugal, Lisboa, [18– –]. ARAÚJO, Antonio de; LEÃO, Bartolomeu de. Catecismo brasilico da doutrina christãa, com o ceremonial dos sacramentos, & mais actos parochiaes. Composto Por Padres Doutos da Companhia de Jesus, Aperfeiçoado, E dado a luz pelo Padre Antonio de Araujo da Mesma Companhia. Emendado nesta segunda impressão Pelo Bertholameu de Leam da mesma Companhia. Lisboa: Officina Miguel Deslandes, 1686. ASSUNÇÃO, Paulo de. Negócios Jesuíticos: o cotidiano da administração dos bens divinos. São Paulo: Editora da Universidade de São Paulo, 2004. BETTENDORFF, João Felipe. Compêndio da Doutrina Christaã na Língua Portuguesa e Brasílica. Lisboa: Imprensa Miguel Deslandes, 1687. BETTENDORFF, João Felipe. Crônica da missão dos padres da Companhia de Jesus no Estado do Maranhão. Belém: Fundação Cultural Tancredo Neves, Secretaria de Estado da Cultura, 1990. BARROS, Maria Cândida D. M. Os línguas e a gramatica tupi no Brasil (Seculo XVI). Amerindia - Revue d’ethnolinguistique amérindienne, Paris, v. 19–20, p. 3–14, 1995. BARROS, Maria Cândida D. M. A relação entre manuscritos e impressos em tupi como forma de estudo da política linguística jesuítica no século XVIII na Amazônia. Revista Letras, Curitiba, v. 61, n. esp., p. 125-152, 2003. BORGES, Luiz C. A língua geral: revendo margens em sua deriva. In: FREIRE, José Ribamar Bessa; ROSA, Maria Carlota (Org.). Línguas Gerais: política linguística e catequese na América do Sul no período colonial. Rio de Janeiro: EdUERJ, 2003. p.113-131. BURKE, Peter. A arte da conversação. São Paulo: Editora da Universidade Estadual Paulista, 1995. CASTELNAU-L’ESTOILE, Charlotte de. Les ouvriers d’une vigne stérile: les jésuites et la conversion des indiens au Brésil (1580–1620). Lisboa: Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses; Paris: Centre Culturel Calouste Gulbenkian, 2000. DAHER, Andréa. Escrita e conversão: a gramática tupi e os catecismos bilíngues no Brasil do século XVI. Revista Brasileira de Educação, São Paulo, , n. 8, p. 31–43, Mai./Jun/Jul./Ago. 1998. DANIEL, João. Tesouro descoberto no máximo rio Amazonas. Rio de Janeiro: Contraponto, v. 2, 2004.


70

DIETRICH, Wolf. O conceito de "Língua Geral" à luz dos dicionários de língua geral existentes. DELTA: Documentação de estudos em linguística teórica e aplicada, São Paulo, v. 30, n. esp., p. 591–622, 2014. ECKART, Anselm. Aditamentos do Senhor Pe. Anselm Eckart, Expregador da Companhia de Jesus na Capitania do Pará no Brasil, à “Descrição das Terras do Brasil” de Pedro Cudena e às “Notas à Sexta Contribuição de Lessing para a História e a Literatura, dos Tesouros da Biblioteca Ducal de Wolfenbüttel, Braunschweig, 1781, gr. 8º” do Senhor Reitor Christian Leiste. Tradução de Thekla Hartmann. In: PAPAVERO, Nelson; PORRO, Antonio (Org.). Anselm Eckart S. J. e o estado do Grão-Pará e Maranhão setecentista (1785). Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi, 2013, p. 54–120. FERNÁNDEZ ARRILLAGA, Inmaculada; GARCÍA ARENAS, Mar. Dos caras de una misma expulsión: el destierro de los jesuítas portugueses y la reclusión de los misioneiros alemanes. Hispania Sacra, Madrid, v. 61, n. 123, p. 227–256, jan./jun. 2009. FIGUEIRA, Luis. Arte de grammatica da lingua brasílica. Lisboa: Officina de Miguel Deslandes, 1687. FREIRE, José Ribamar Bessa. Rio Babel: a história das línguas na Amazônia. Rio de Janeiro: Eduerj, Atlântica, 2004. FREIRE, José Ribamar Bessa. Nheengatu: a outra língua brasileira. In: STOLZE, Ivana Lima; CARMO, Laura do (Org.). História social da língua nacional. Rio de Janeiro: Edições Casa de Rui Barbosa, 2008. p. 119– 149. FRITZ, Samuel. El gran rio Marañon, o Amazonas, con la mission de la Compañia de Jesus geograficamente delineado / por el P.Samuel Fritz, missionero continuo en este rio.P.J. de N. Societatis Jesu, quondan in hoc Maranone missionarius, sculpebat. 10 leguas castellanas. 1707. Bibliothèque Nationale de France, GED-7855. Disponível em: <http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b844661z>. Acesso em: 12 jan. 2014. FRITZ, Samuel. Mapa geographico del rio Marañón o Amazonas, hecha por el P. Samuel Fritz, de la Companñía de Jesus, misionero en este mesmo río de Amazonas . 1691. Disponível em: https://en.wikipedia.org/wiki/ Samuel_Fritz#/ media/File: The_Marañon_or_Amazon_River_with_the_Mission_of_the_Society_of_Jesus_ WDL1137.png. Acessado em 2017/04/21. GASBARRO, Nicola. Missões: a civilização cristã em ação. In: MONTERO, Paula (Org.). Deus na aldeia: missionários, índios e mediação cultural. São Paulo: Globo, 2006. p. 67–109. GALLOIS, Dominique Tilkin. Migração, guerra e comércio: os Waiãpi na Guiana. São Paulo: FFLCH, USP, 1986. HERIARTE, Mauricio de. Descripção do estado do Maranhão, Pará, Corupá e Rio das Amazonas. Vienna d'Austria : Imprensa do filho de Carlos Gerold, 1874. LEITE, Serafim. História da Companhia de Jesus no Brasil. Rio de Janeiro: Instituto Nacional do Livro; Lisboa: Livraria Portugália, v. 3–4, 1943. LEITE, Serafim. História da Companhia de Jesus no Brasil. Rio de Janeiro: Instituto Nacional do Livro Lisboa: Livraria Portugália, v. 8, 1949. MAXWELL, Kenneth. Marquês de Pombal: paradoxo do iluminismo. 2. ed. Rio de Janeiro: Paz e Terra, 1997. MEIER, Johannes; AYMORÉ, Fernando Amado. Jesuiten aus Zentraleuropa in Portugiesisch- und Spanisch-America. Ein bio-bibliographisches Handbuch. Band 1: Brasilien (1618–1760). Münster: Aschendorff Verlag, 2005. MENDONÇA, Marcos Carneiro de. A Amazônia na era pombalina: correspondência inédita do governador e capitão general do Estado do Grão Pará e Maranhão Francisco Xavier de Mendonça Furtado, 1751–1759. 3 v. Rio de Janeiro: IHGB, 1963. MONTERO, Paula. Índios e missionários no Brasil: para uma teoria da mediação cultural. In: MONTERO, Paula (Org.). Deus na aldeia: missionários, índios e mediação cultural. São Paulo: Globo, 2006. p. 31–66. MONTOYA, Antonio Ruiz de. Catecismo de la lengva Gvarani, Compvesto por el Padre Antonio Ruiz de la Compañia de Iesus. Dedicado a la puríssima Virgen Maria. Concebida sin mancha de pecado original. Madrid: Diego Diaz de la Carrera, 1640. MORAES, José de. História da Companhia de Jesus na extinta província do Maranhão e Pará. Rio de Janeiro: Editorial Alhambra, 1987.


71

MULLER, Jean-Claude. Die Identifizierung eines Sprachschatzes in der Trierer Stadtbibliothek das jesuitische Wörterbuch Alt-Tupi/Portugiesisch. Kurtrierisches Jahrbuch, Trier, v. 52, p. 371–387, 2012. NIMUENDAJÚ, Curt. The Ayapi. In: NIMUENDAJÚ, Curt. In Pursuit of a past Amazon: archaeological researches in the Brazilian Guyana and the Amazon Region. Edited by Per Stenborg. Göteborg, Sweden: VärldsKulturmusseet, 2004, p. 113–114. NIMUENDAJÚ, Curt. Tribes of the lower and middle Xingú river. In: STEWARD, Julian H. (Ed.). Handbook of South American Indians. Washington: United States Government Printing Office, 1948, v. 3, p. 213–243. NORONHA, José Monteiro de. Roteiro da viagem da cidade do Pará, até as ultimas colonias do Sertao da Provincia. Escripto na villa de Barcellos pelo vigario geral do rio Negro o padre Drº José Monteiro de Noronha no anno de 1768. Pará: Typographia de Santos & Irmaos, 1862. PAPAVERO, Nelson; BARROS, Cândida. Apêndice V – O “Vocabulario da lingua Brazil” (Códice 3143 da Biblioteca Nacional de Portugal) e os Zusätze do Pe. Alselm Eckart, S. J. (1785): obras do mesmo autor. In: PAPAVERO, Nelson; PORRO, Antonio (Org.). Anselm Eckart S. J. e o estado do Grão-Pará e Maranhão setecentista (1785). Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi, 2013, p. 335–351. PINHEIRO, Cláudio Costa. Traduzindo Mundos, inventando um império: língua, escravidão e contextos coloniais portugueses dos alvores da modernidade. 2005. 227 f. Tese (Doutorado em Antropologia Social)Museu Nacional Universidade Federal do Rio de Janeiro, Rio de Janeiro, 2005. POMPA, Cristina. Religião como tradução: missionários, Tupi e “Tapuia” no Brasil colonial. Bauru, SP: EDUSC, 2003. PRUDENTE, Gabriel de Cássio Pinheiro. Ler e copiar, ouvir e registrar: um dicionário jesuítico como instrumento de aprendizado da língua geral na Amazônia setecentista. Boletim do Museu Paraense Emílio Goeldi. Ciências Humanas, v. 10, n. 3, p. 641–657, set./dez. 2015. DOI: http://dx.doi.org/10.1590/198181222015000300008. RODRIGUES, Aryon Dall’Igna. Línguas brasileiras: para o conhecimento das línguas indígenas. São Paulo: Loyola, 1986. RODRIGUES, Aryon Dall’Igna. As línguas gerais sul-americanas. Papia – Revista Brasileira de Estudos Crioulos e Similares, São Paulo, v. 4, n. 2, p. 6–18, 1996. SOUZA JUNIOR, José Alves de. Tramas do cotidiano: religião, política, guerras e negócios no Grão-Pará do setecentos. Belém: EDUFPA, 2012. WAQUET, Françoise. The “Latin Stronghold”: the Church. In: WAQUET, Françoise. Latin or the empire of a sign. London: Verso, 2001. p. 41–79.

Autor para correspondência : Gabriel de Cássio Pinheiro Prudente. Universidade Federal do Pará. Faculdade de História. Rua Quinze de Agosto, 1308, Ponta Grossa. Belém, Pará, Brasil. CEP 66812-480. E-mail: gabrielprudente1@yahoo.com.br


72

Estátua de padre jesuita com um indígena “convertido”, na Basílica Santuário Nossa Senhora de Nazaré, em Belém. (Foto Wolf Dietrich).


73

7. A Identificação do autor do Dicionário de Trier : Anton Meisterburg Wolf Dietrich, (Universität Münster, Alemanha) Nesta breve nota queremos informar sobre a identificação de Anton Meisterburg como autor do Dicionário de Trier. Sobre o contexto da confecção dos três dicionários de língua geral amazônica, de Meisterburg, de Eckart e do autor da Prosodia da língua, aludido já no artigo de Arenz, no. 5, podemos dar agora mais alguns detalhes (vejam-se Kohut-Torales Pacheco 2007: 236–238, e os aditamentos de Eckart (“Zusätze”) reproduzidos em Papavero & Porro (2013:159–296). Destas fontes resulta que o padre Roque (Rochus) Hundertpfund (*1709 Bregenz/Austria, †1777 Bregenz) chegou ao Maranhão em 1740, esteve na missão de Abacaxis (Rio Madeira) até 1747, foi chamado a Lisboa em 1755, antes da explusão geral dos jesuitas e conseguiu voltar à sua pátria em 1756. Daí resulta não ser plausível a suposição de Arenz no artigo publicado na Biblioteca Nacional do Rio de que Hundertpfund possa ser aquele a quem Meisterburg entregou seu dicionário para salvá-lo e levá-lo à Europa. Por outro lado, Hundertpfund foi quem obteve o favor da rainha Ana Maria de Austria, em 1749, de fazer mandar mais missionários de língua alemã para o Brasil e não para as colônias espanholas. Hundertpfund também é um dos possíveis autores do dicionário chamado de Prosodia da língua (cf. Dietrich (2016). Meisterburg (*Bernkastel 1719, †1799 Bernkastel, a 40 kms de Trier) chegou ao Brasil em 1750, junto com Lorenz Kaulen. Anselm Eckart foi o último, tendo chegado só em 1752. Entre 1752 e 1756, Kaulen e Meisterburg trabalharam, um depois do outro, nas missões do Madeira (Abacaxis) e do Xingu (Piraguiri). A partir de 1752 Eckart se juntou a essa tarefa. Os três, e outros também (entre eles Martin Schwarz), foram desterrados no fim de novembro de 1757, data que aumenta a probabilidade de que o dicionário de Meisterburg tenha sido confiscado e devolvido pelo meirinho em 1756. Podese imaginar que foi durante o período decorrido entre a devolução do dicionario e o desterro no fim de 1757 que Meisterburg apressou-se em agregar a maioria dos aditamentos do seu dicionário. Mas voltemos agora ao problema da identificação de Meisterburg como autor do dicionário: Depois dos argumentos de Arenz (veja-se a nota anterior, já mencionada), que resultaram, no fim de 2014, no impasse de não poder decidir entre dois ou três candidatos a autor(es) do dicionário, as análises pormenorizadas dos três editores do Dicionário primeiro chegaram à conclusão de que o manuscrito fora escrito por uma única mão, com a excepção de muito raras intervenções tardias de outra mão. Uma delas pôde ser identificada como sendo de Anselm Eckart (v. nota de rodapé no. 2). As demais intervenções tardias são da mesma mão que a do autor do documento, embora apareçam em letra menor, intercaladas e, muitas vezes, com cor de tinta diferente. A identificação de Meisterburg como autor do Dicionário só foi possível no momento em que Jean-Claude Muller, no fim de 2015, teve acesso, no Arquivo central dos jesuitas em Roma, a autógrafos indubitáveis de Anton Meisterburg. O documento adjunto – sua carta de profissão por ele assinada –, mostra claramente que a mão que escreveu a carta é a mesma que escreveu o Diconário de Trier. Isto ficou evidenciado pela análise de letra por letra e de grupo de letras, minúsculas e maiúsculas. Consequentemente, para nós a problemática da autoria está resolvida.


74

Carta de profissão assinada por Anton (Antonius) Meisterburg

(Foto ARSI, Archivum Romanum Societatis Iesu)

Autoria do dicionário de Eckart : O dicionário anônimo e sem data, códice 3143 da Biblioteca Nacional de Lisboa, resultou ser escrito da mão de Anselm Eckart pelo cotejo da letra do manuscrito com um autógrafo dele reproduzido em Papavero & Porro (2013: 323, 350–351). Estes autores partem da autoria de Eckart como um fato indiscutível.


75

8. O Dicionário de Trier em comparação com dois outros dicionários de Língua Geral Amazônica Wolf Dietrich, (Universität Münster, Alemanha) A análise do Dicionário de Trier levou o grupo de pesquisadores que preparou esta publicação a estudar também o ambiente lexicográfico em que se integra essa obra. Intentou-se identificar os dicionários historicamente mais ou menos paralelos para compará-los com os anteriores que podiam ter servido como modelos ou fontes destes. Tomam-se em consideração aqui o Vocabulário na Língua Brasílica (VLB), o Vocabulario da lingua. Brazil de Eckart e a Prosodia de lingua. 1. A Língua Geral Amazônica era a língua falada pelos colonizadores portugueses e suas famílias dos séculos XVII e XVIII, língua que teve suas origens no tupinambá da costa brasileira. Segundo Rodrigues (1996 e 2010), o fato de os primeiros colonos portugueses chegarem ao Brasil sem mulheres e casarem-se com mulheres indígenas teve como consequência “a rápida formação de populações mestiças cuja língua materna foi a língua das mães e não a língua europeia dos pais.” (Rodrigues 1996: 6). Esta situação deu-se nas partes da costa brasileira que se encontravam afastadas dos centros da colonização portuguesa, Salvador e Rio de Janeiro. É assim que no planalto de Piratininga se formou a chamada Língua Geral Paulista (LGP), mal documentada, e, nos atuais estados brasileiros do Maranhão e do Pará, a Língua Geral Amazônica (LGA). Essa língua foi adotada, como língua veicular, também pelos índios da região amazônica nos seus contatos com os colonizadores e com outras populações indígenas. Por isso, igualmente se empregava na catequese dos missionários jesuítas da região, fato que motivou a compilação de numerosos dicionários de LGA. 1.1. Todos esses dicionários são anônimos. Em geral, sequer têm título, ou indicam o lugar e a data da composição. O dicionário de Língua Geral Amazônica mais antigo, que com certeza existiu em muitas cópias e assim serviu como modelo para inúmeros dicionários posteriores, é o VLB, já composto, provavelmente, já em 1621. Para os autores que nos interessam aqui, o autor da Prosodia, Eckart, e o autor do dicionário de Trier, o VLB representa a “tradição”. Embora ambos sigam e respeitem a tradição, também a negam e corrigem em muitíssimos casos, substituindo o termo tradicional pela expressão em uso 130 anos depois da confecção do VLB. Este tipo de mudança linguística diacrônica indica-se pelo signo “ł” (latim licet ‘ou seja’) na Prosodia, por “vul.” (latim vulgo, ‘na fala da gente’, ‘habitualmente’) no dicionário de Trier e, finalmente, por “vulgò” (latim vulgo, ‘na fala da gente’) ou “vel” (latim vel ‘ou seja’) no de Eckart. 1.2. O caráter exemplar do VLB evidencia-se, por exemplo, no caso do verbete ‘cantor’. O VLB oferece Nheẽgaraipara, de nheengára ‘música’ + i-para ‘é variado’, ‘música variada’; a Prosodia tem nheengaçàra ‘cantor, orador’, Eckart nhëengaçára; o dicionário de Trier nheengaçara, agregando “e se he o mestre do canto, nheengaráiba”. O que é importante aqui não é a uniformidade das soluções oferecidas pela Prosodia, Eckart e o Trier, mas o absurdo de adotar um verbete que pertence


76

a um ambiente urbano da costa, mas não tem mais sentido, já que corresponde à realidade numa missão amazônica. Eckart e Trier, ambos anotam ao final do verbete “Não tem uso. Porque nem tem canto, nem mestre”. 2. Quase todos os dicionários de LGA são dicionários unidirecionais português-LGA. Somente o Diccionario da Lingua Brazilica (ms. 94 da Biblioteca da Universidade de Coimbra) é um dicionário LGA-português. Alem disso, o dicionário de Trier é o único bidirecional: sua segunda parte é um dicionário LGA-português. 3. Se o VLB é o dicionário de LGA mais rico (cerca de 9.300 verbetes), o dicionário de Trier é o segundo em riqueza de verbetes (cerca de 6.100 na primeira parte, português-LGA, mais 2.500 na segunda, LGA-português). O dicionário de Eckart contém uns 5.700, a Prosódia, cerca de 5.480 verbetes. Todos estão organizados na ordem alfabética dos verbetes, com exceção da segunda parte do dicionário de Trier, a qual mostra a ordem mais ou menos alfabética das sílabas finais dos verbetes de língua geral, como se fosse um dicionário de rimas. Seguem-se um ao outro grupos de verbetes organizados na ordem -ab, -aé, -aí,-aí/-aú, -am-, -an, -ang, -áo, -ar, -aú, -ba/-aba, etc. 4.1. O dicionário de Trier, manuscrito 1136 da Biblioteca Municipal de Trier (Alemanha), identificado em 2012 como manuscrito de um dicionário de LGA, consta de um caderno, com encadernação de couro, de uns 30 por 21 cm. A numeração das páginas está feita só na parte da frente das páginas, de maneira que uma página numerada inclui o verso da folha anterior. As páginas assim dobradas, tanto da primeira parte (págs. 1–48) como da segunda (págs. 48–65), estão subdivididas em quatro colunas. Esta disposição explica a grande riqueza de verbetes em aparentemente poucas “páginas”. O dicionário, apesar das numerosas correções, rasuras e aditamentos em letra menor, na mesma linha ou interlineares, parece estar escrito por uma única mão. Logo no primeiro fólio se lê, em letras grandes, a nota “Meirinho” e o ano 1756, isto é, a confirmação de um servidor judiciário que, no momento de confiscar o manuscrito depois das primeiras prisões infligidas a certos jesuítas em 1755 e 1756, “meirinhou” o manuscrito. Isto significa que o dicionário deve ter sido compilado antes de 1756. Porém, se não se tivesse devolvido depois, ele provavelmente não se teria conservado (ver Arenz). 4.2. O dicionário que leva, na página 1, o título Vocabulario da Lingua. Brazil está conservado na Biblioteca Nacional de Lisboa (cod. 343). Trata-se de um caderno de 172 páginas. Nas margens amplas encontram-se muitos aditamentos, porém, em comparação com o dicionário de Trier, praticamente não há correções e expressões riscadas. Se o dicionário de Trier dá a impressão de uma obra não acabada, diariamente modificada, o Vocabulario da Lingua aparenta ser uma obra escrita com mais calma e serenidade. Na sua totalidade, o dicionário parece estar escrito por uma única mão. Como pudemos verificar pelo cotejo da letra do dicionário com a de um autógrafo de Anselm Eckart, incluído em Navarro & Porro 2013, Eckart é o autor desse dicionário. Sabemos que Eckart se encontrava nas missões jesuíticas da Amazônia entre 1753 e 1757, praticamente no mesmo período que o autor do dicionário de Trier. Nas págs. 2–166 do Vocabulario da Lingua. Brazil temos um dicionário português-LGA e nas págs. 167–172 aditamentos de verbetes português-LGA antes omitidos. 4.3. Chamamos de Prosodia um dicionário manuscrito de LGA em cuja introdução, na página 1, o autor anônimo o qualifica como “pequena Prosodia da Lingoa”. Por sua forma exterior, é um caderno


77

de 110 páginas duplas organizadas como as do dicionário de Trier: a numeração é feita por páginas duplas, o número encontrando-se no canto superior da página de frente, incluindo a página anterior, isto é, o verso da folha anterior. Cada página tem duas colunas, de maneira que as 110 páginas duplas totalizam 110 X 4, isto é, 440 colunas. As páginas 1–85 contêm um vocabulário português-LGA. Segue (pp. 85–86) uma lista alfabética português-LGA das partes do corpo. Ficam vazias as pp. 87–88, e nas pp. 89–102 encontramos coplas rimadas em LGA sobre temas vários, profanos, seguidos, nas pp. 102–110, por coplas rimadas em LGA com temática religiosa. Tanto o dicionário como as coplas rimadas dão a impressão de uma obra acabada; há poucos aditamentos interlineares, e praticamente não há correções. 5. O cotejo dos três dicionários mencionados deve-se aos paralelismos observados entre eles. Em primeiro lugar, os verbetes que se seguem em ordem alfabética muitas vezes são os mesmos, mostrando até os mesmos exemplos. No grupo AB, por exemplo, vemos que os verbetes 1 a 7, numerados no dicionário de Trier, são praticamente idênticos aos do de Eckart, inclusive as correspondências em latim; e os da Prosodia são muito similares: 1 Meisterburg: Aba do vestido. Aóba rembiúba, do chapeo, ala galeri. applica vocem: rembiúba. Eckart: Aba do vestido. Aoba rembiuba. Prosodia: Aba do vestido. Aóba rembiúba. 2 Meisterburg: Abado ou prelado. Abarè goaçù. Eckart: Abade ou Prelado. Abarégoaçú. Paý goaçú. Prosodia: Abade ou prelado. Paí goaçù 3 Meisterburg: Abafar, cobrir. Aiaçöi Eckart: Abafar ou cobrir. Aiaçöí. Prosodia: Abafar cobrindo. Aiaçöí 4 Meisterburg: Abainhar. Amoybýc v amamán v açambé maman plicare fimbriam Eckart: Abainhar, plicare fimbriam. Amöybýc v Amaman _ _ _ Açambémaman. “Einsämen [expressão em alemão da época; hoje einsäumen] Prosodia: Abainhar. Amoybýc. ł Amaman 5 Meisterburg: Abaixar a cabeça chamando ou assentindo. aieaitýc v acanhagitýc. cum præp. cupé. Eckart: Abaixar a cabeça consentindo. Aiëaitýc v Anhacangaitýc. pede çupé Prosodia: Abaixar a cabeça chamando ou aconsentindo. Aiëaitýc. ł Anhacangaitýc. pede çupé 6 Meisterburg: Abaixar, id est fazer fundo. Amoybyçóc. Act Eckart: Abaixar, fazer fundo. Amoybyçóc, ou a cabeça fazendo cortesia. Prosodia: Abaixar. Amoybyçóc. A. 7 Meisterburg: Abaixar, ex alto demittere. aimogýb. Act Eckart: Abaixar, ex alto demittere. Aimogýb. Amogoegŷb, Amojejŷ Prosodia: ‒


78

6. Certos lapsos, porém, que se observam na Prosodia fazem pensar na hipótese de que o exemplar do dicionário conservado em Lisboa, que chamamos de Prosodia da Lingoa, seja uma cópia da obra original do padre Hundertpfundt feita por uma pessoa desconhecida, caraterizada por conhecimentos mais limitados na Língua Geral do que os do pressuposto autor da obra. Um exemplo dos lapsos mencionados encontra-se no verbete “Corda qualquer” (f. 25 verso, 2. coluna): A correspondência Cupaçáma, por tupaçáma, é errada, já que palavra inexistente. No verbete seguinte, “Cordinha”, a correspondência Túpaçáma mirí é correta. Meisterburg e Eckart, em ambos casos, oferecem a solução correta. Hundertpfundt, naturalmente, também podia fazer um lapso deste tipo, mas parece menos provável. A hipótese de a Prosodia ser uma cópia do original, evidentemente perdido para nós hoje, explicaria também o fato de a mão que escreveu o exemplar conservado não ser a de Hundertpfundt. Isto se vê claramente pelo cotejo entre sua escrita na carta de profissão que assinou, em Belém, em 15 de agosto de 1742, e a mão que escreveu, isto é copiou a Prosodia. Pode-se imaginar o seguinte cenário: o Pe. Hundertpfundt compilou seu dicionário, a Prosódia da Lingoa, até 1749, levou um exemplar consigo quando viajou a Lisboa, deixando-o já aos novos missionários alemães que, no ano seguinte, viajaram com ele para o Brasil. Pensando nas coplas em Língua Geral é mais provável, porém, que ele lhes deixasse a Prosodia completa, enriquecida das coplas que escreveu depois de sua volta de Lisboa, no período em que atuou como Procurador da Vice-Província do Maranhão, quando os novos missionários alemães já tinham adquirido conhecimentos básicos do português e da Língua Geral, podendo tirar vantagem da Prosodia para seus próprios dicionários. Um dos missonários presentes, seja em Abacaxis, seja em Piraguiri, que não era nem Meisterburg nem Eckart, terá copiado a Prosodia para o uso local da missão. Não sabemos o que aconteceu com o original da Prosodia. Meisterburg passou a maioria dos verbetes da Prosodia para seu dicionário, mas ampliou bastante as informações, incluindo muito da tradição do VLB que não estava na Prosodia, e também o que tinha aprendido do uso quotidiano da língua. Eckart, por sua parte, tirou vantagens tanto da Prosodia, quanto do que acrescentara Meisterburg. O que não combina bem com a ideia de a Prosodia ser uma cópia é o fato de existirem também verbetes intercalados, ou de haver informações encaixadas na parte final de uma linha, obviamente acrescentadas em momento posterior ao da redação inicial do verbete. Dado que os casos não são numerosos, teria o copista querido repetir também a forma exterior do original? Ou é imaginável que o próprio copista acrescentasse tais informações posteriormente? 7.1. Eckart, em geral, está mais conforme com a Prosodia do que o autor do dicionário de Trier. Porém, este e Eckart concordam tão patentemente com a Prosodia que uma dependência comum parece evidente. A razão de presumir esta dependência e não a inversa, a da Prosodia em relação a Eckart ou do Trier, se deve ao fato de o autor da Prosodia mostrar uma segurança incomparável no manejo da LGA. Ele deve ter permanecido no Norte brasileiro por muito mais tempo do que os dois outros missionários. São as coplas rimadas da segunda parte da Prosodia que testemunham o domínio da língua e as múltiplas experiências da vida de um missionário europeu, que conhecia claramente os costumes da sede dos jesuítas de São Luis do Maranhão. Se o Vocabulário da Língua. Brazil de Eckart e o dicionário de Trier são obras contemporâneas dos anos 50 do século XVIII, a Prosodia


79

deve datar de alguns anos anteriores a estes. Talvez seja da autoria de Roque Hundertpfundt, missionário importante da época, chegado ao Brasil já em 1740 (cf. Dietrich ms., e Arenz/Prudente no subcapítulo 7 acima). 7.2. As três obras, a Prosodia, o Vocabulário da Língua. Brazil e o dicionário de Trier formam um grupo de dicionários de LGA que documenta o estado da língua na última década da presença dos jesuítas na Amazônia. O que sabíamos até agora sobre esta época resultava da documentação inicial, do VLB, do muito lacônico Caderno da Língua, de João de Arronches, de 1739, e do Vocabulario da Lingua Brasilica de certo Frei Onofre, de 1751 (publicado em 1795). Com os três dicionários aqui examinados aumenta, de maneira considerável, o conhecimento sobre a LGA dos anos entre 1750 e 1757. Todos os demais dicionários de cuja existência temos conhecimento datam da época posterior à presença dos jesuítas na Amazônia; alguns deles ainda não foram analisados por linguistas. No Anexo 3 apresentamos uma seleção mais ampla de paralelismos entre os três dicionários mencionados.

Referências bibliográficas ARRONCHES, Frei João de. 1739/1935. O Caderno da Língua. Vocabulário Portuguez-Tupi, Notas e commentarios à margem de um manuscrito do século XVIII”, publicado por Plínio Ayrosa, Revista do Museu Paulista 21: 3–267; ms. da Biblioteca do Museu Paulista. BARROS, Cândida. 2006. Alguns dicionários tupi setecentistas da Amazônia. In: Cândida Barros e Antônio Lessa (orgs.), Diccionario da língua geral do Brasil, Belém: Editora da UFPA, CD-ROM, 10 pp. BETENDORF [BETTENDORFF], P. João Filippe (1681/1800), Compendio da doutrina christãa na lingua portugueza e brasilica, reimpresso ... por Fr. José Mariano da Conceição Vellozo, Lisboa: Simão Thaddeo Ferreira. DIETRICH, Wolf. 2014. “O conceito de “Língua Geral” à luz dos dicionários de língua geral existentes”, D.E.L.T.A, 30 especial (Homenajem a Aryon Rodrigues), 591–622. DIETRICH, Wolf. ms. “Prosódia da Língua, an unpublished anonymous eighteenth century dictionary of Língua Geral Amazônica”. LEITE, Fabiana Raquel. 2013. A Língua Geral Paulista e o “Vocabulário elementar da Língua Geral Brasílica”. Campinas. UNICAMP. Diss. de mestrado. MONSERRAT, Ruth Maria Fonini. 2006. “Observações sobre a fonologia da língua geral amazônica nos três últimos séculos”. In: Cândida Barros e Antônio Lessa (orgs.), Diccionario da língua geral do Brasil, Belém: Editora da UFPA, CD-ROM, 11 pp. [FREI ONOFRE] Diccionario Portuguez-Brasiliano e Brasiliano-Portuguez. 1795/1934. Ed. preparada por Plínio Ayrosa, Revista do Museu Paulista 18: 17–322. PAPAVERO, Nelson & BARROS, Cândida. 2013. O “Vocabulario da lingua Brazil” (Códice 3143 da Biblioteca Nacional de Portugal) e os Zusätze do Pe. Anselm Eckart, S.J. (1785): Obras do mesmo autor. In: Papavero/Porro (orgs.), Apêndice V, 335–351. PAPAVERO, Nelson & PORRO, Antônio (orgs.). 2013. Anselm Eckart, S. J., e o Estado do GrãoPará e Maranhão Setecentista (1785). Belém: Museu Paraense Emílio Goeldi. RODRIGUES, Aryon. 1996. “As línguas gerais sul-americanas”, Papia 4,2: 6–18; (2010). RODRIGUES, Aryon. 2010. “Tupí, tupinambá, línguas gerais e português do Brasil”, in: Volker Noll & Wolf Dietrich (orgs.), O português e o tupi no Brasil, São Paulo: Contexto, 27–47.


80

9. Referências bibliográficas gerais ANCHIETA, Joseph de (1595), Arte de grammatica da lingoa mais vsada na costa do Brasil, Coimbra: Antonio de Mariz. ANÔNIMO (s.d.) [1622], [Vocabulario na Lingua Brasilica] (VLB). Manuscrito Português-Tupi do século XVII, coordenado e prefaciado por Plínio Ayrosa, São Paulo: Coleção Departamento de Cultura, vol. XX, 1938. ANÔNIMO (s.d.), Prosodia. Dicionario da língua falada por índios do Brasil. Lisboa: Academia das Ciências de Lisboa, no. 569 ANÔNIMO (Eckart, Anselm, S.J.) (s.d.), Vocabulário da Língua Brazil. Biblioteca Nacional de Lisboa, Códice 3143. ANÔNIMO (Meisterburg, Anton, S.J.) (< 1756), [Dicionário Português-Língua Geral e Língua GeralPortuguês]. Ms 1136/2048. Biblioteca Municipal de Trier. ANÔNIMO (Frei Onofre) (1751), Dicionário Portuguez-Brasiliano (DPB) e Brasiliano-Portuguez. Reimpressão integral da edição de 1795, seguida da segunda parte, até hoje inédita [de 1751], ordenada e prefaciada por Plínio M. da Silva Ayrosa. Rev. Mus. Paul. 18, 1934, 17–321. ARAÚJO, Antonio de & Bertholameu de LEAM (1686), Catecismo Brasilico Da Doutrina Christãa, ..., Lisboa: Miguel Deslandes. ARRONCHES, Frei João de (1739), “O Caderno da Língua ou Vocabulario Portuguez-Tupi”. Notas e commentarios á margem de um manuscrito do sec. XVIII, por Plínio Ayrosa, Revista do Museu Paulista 21, 1935, 49–322. AYROSA, Plínio (1954), “Apontamentos para a Bibliografia da Língua tupi-guarani”. Boletim da Faculdade de Filosofia, Ciências e Letras, Universidade de São Paulo, n. 169. BARROS, Cândida (2006), “Alguns dicionários tupi setecentistas da Amazônia”. in: Cândida Barros e Antônio Lessa (orgs.), Diccionario da língua geral do Brasil, Belém: Editora da UFPA, CD-ROM, 10 pp. BETTENDORFF, João Felipe (1687), Compêndio de Doutrina Christiana na lingoa portugueza e brasilica, Lisboa: Miguel Deslandes. BETTENDORFF, João Felipe (1990), Crônica da missão dos padres da Companhia de Jesus no Estado do Maranhão. Belém: Fundação Cultural Tancredo Neves; Secretaria de Estado da Cultura, 1990. BLUTEAU, Raphael (1712), Vocabulario Portuguez e Latino, ..., Coimbra: Collegio das Artes da Companhia de Jesu. DANIEL, João (2004), Tesouro descoberto no Máximo Rio Amazonas. T. 1. + 2. Rio de Janeiro/Belém: Contraponto/Prefeitura Municipal de Belém. https://ufpadoispontozero/wordpress.com/2013/11/6/tesouro-descoberto-no-maximo-rioamazonas-vol-i-ii DIETRICH, Wolf (2014), “O conceito de ‘Língua Geral’ à luz dos dicionários de língua geral existentes”, DELTA 30, volume especial, Homenagem Aryon D. Rodrigues, 591–622. DIETRICH, Wolf (2016), “Prosódia da Língua, an unpublished anonymous eighteenth century dictionary of Língua Geral Amazônica” (ms.)


81

Fachada da Igreja de Santo Alexandre, a sede da Companhia de Jesus em Belém na época do Brasil colônia. – Sua porta de entrada com o sinal jesuítico (Jesus Hominum Salvator). (Fotos Jean-Claude Muller).


82

ECKART, Anselm (1890), Anselmi Eckarti Specimen Linguae Brasilicae Vulgaris. Editionem separatam alias immutatam curavit Julius Platzmann, Lipsiae: Teubner. ECKART, Anselmo (1994), “O exemplário da língua corrente do Brasil de Anselm von Eckart”, tradução de Carlos Antônio Kalil Tannus e Miguel Barbosa do Rosário. Terceira Margem. Revista da Pósgraduação em Letras da UFRJ, Ano II. N.2, pag. 176. FRITZ, Samuel (1707), El gran rio Marañon, o Amazonas, con la mission de la Compañia de Jesus geograficamente delineado / por el P. Samuel Fritz, missionero continuo en este rio. P.J. de N. Societatis Jesu, quondan in hoc Maranone missionarius, sculpebat. 10 leguas castellanas. Bibliothèque Nationale de France, GED-7855. Disponível em: <http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/ btv1b844661z>. Acessado em: 21/04/2017. FRITZ, Samuel (1691), Mapa geographico del rio Marañón o Amazonas, hecho por el P.Samuel Fritz, de la Compañia de Jesus, missionero en este mesmo rio de Amazonas. Disponível em: https:// en.wikipedia.org/wiki/Samuel_Fritz#/ media/File: The_Marañon _or_Amazon_River_with_the_ Mission_of_the_Society_of_Jesus_WDL1137.png. Acessado em 2017/04/21. GALLOIS, Dominique Tilkin (1986), Migração, guerra e comércio: os Waiapi na Guiana. São Paulo: FFLCH/ USP. HERIARTE, Mauricio de. Descripção do estado do Maranhão, Pará, Corupá e Rio das Amazonas. Vienna d'Austria : Imprensa do filho de Carlos Gerold, 1874. HOUAISS, Antônio & VILLAR, Mauro de Salles (2001), Dicionário Houaiss da Língua Portuguesa, Rio de Janeiro: Editora Objetiva. KOHUT, Karl & María Cristina TORALES PACHECO (2007), Desde los confines de los imperios ibéricos: los jesuitas de habla alemana en las misiones americanas, Frankfurt-Madrid: Vervuert – Iberoamericana. LEITE, Serafim (1938–1950), História da Companhia de Jesus no Brasil. 10 tomos. Rio de Janeiro / Lisboa: Instituto Nacional do Livro / Civilização Brasileira / Portugália. LOPES, Mário Alexandre Garcia (2009), Aspectos gramaticais da língua Ka’apor. Belo Horizonte: UFMG. Tese de doutorado. <http://www.etnolinguistica.org/tese:lopes_2009>. MORAES, José de. História da Companhia de Jesus na extinta província do Maranhão e Pará. Rio de Janeiro: Editorial Alhambra, 1987. MONSERRAT, Ruth Maria Fonini (2006), “Observações sobre a fonologia da língua geral amazônica nos três últimos séculos”, in: Cândida Barros e Antônio Lessa (orgs.), Diccionario da língua geral do Brasil, Belém: Editora da UFPA, CD-ROM, 11 pp. MULLER, Jean-Claude (2012), "Die Identifizierung eines Sprachschatzes in der Trierer Stadtbibliothek das jesuitische Wörterbuch Alt-Tupi/Portugiesisch", Kurtrierisches Jahrbuch 52, pp. 371–387. NAVARRO, Eduardo (2003), “O Corista Europeu. Tradução de um texto anônimo em língua geral da Amazônia, do século XVIII”, Língua e Literatura (São Paulo) 27. pp. 383–398. NAVARRO, Eduardo (2008) , "A escravização dos índios num texto missionário em língua geral do século XVIII", Revista USP, v. 78, pp. 105–114 (“Lida dos Missionários com os Sertanejos”). NAVARRO. Navarro, Eduardo de Almeida (2011), “Tradução de um texto anônimo, em língua geral amazônica, do século XVIII”. Revista USP, v. 90, pp. 181–192 (“Narração que faz um sertanejo a um seu amigo de uma viagem que fez pelo sertão”). NORONHA, José Monteiro de (1862), Roteiro da viagem da cidade do Pará, até as ultimas colonias do Sertao da Provincia. Escripto na villa de Barcellos pelo vigario geral do rio Negro o padre Drº José Monteiro de Noronha no anno de 1768. Pará: Typographia de Santos & Irmaos.


83

PANAPUY, James (2016), “Sur les traces des Teko, Teko-l-eloawöt-al-upi”, in: Guerriers de la Paix: les Teko de Guyane – Eric Navet, 40 ans d’ethnologie (coord. C. Riehl). Paris: Ed. Borealia, 71–81. PAPAVERO, Nelson & Antonio PORRO (orgs., 2013), Anselm Eckart, S. J., e o Estado do Grão-Para e Maranhão Setecentista (1785), Belém: Museu Paraense Emilio Goeldi. PAPAVERO, Nelson (2015), “Nomes de animais em três manuscritos jesuíticos em Língua Geral do século XVIII (Eckart, ma 569 da Academia de Ciências de Lisboa e manuscrito da Universidade de Trier)”. Arquivos de Zoologia, volume 46 (1): 1–39. PAPAVERO, Nelson & BARROS, Cândida. 2013. O “Vocabulario da lingua Brazil” (Códice 3143 da Biblioteca Nacional de Portugal) e os Zusätze do Pe. Anselm Eckart, S.J. (1785): Obras do mesmo autor. In: Papavero/Porro (orgs.), Apêndice V, 335–351. PEREIRA, Bento (1697), Prosodia in Vocabvlarivm bilingue, Latinum et Lusitanum digesta ... Septima editio ... Eboræ: Ex Typographia Academiæ. PRAZERES [Maranhão], Frei Francisco de Nossa Senhora dos, (1891) “Poranduba maranhense, ou Relação historica da provincia do Maranhão [...] com [...] um dicionario abreviado da lingua geral do Brazil”, Revista Trimensal do Instituto Historico e Geographico Brazileiro. v. 54, pt. 1, p. [4]–277. [Inclui ‘Nota sobre o Poranduba Maranhense’, de César Augusto Marques, p. 279–281]. Permalink: <http://biblio.etnolinguistica.org>. ROBOREDO, Amado (1619/2007). Methodo grammatical para todas as linguas. Edição facsimilada. Com prefácio e estudo introdutório de Carlos Assunção e Gonçalo Fernandes. Colecção Linguística. Vila Real: Centro de Estudos em Letras. Universidade de Trás-os-Montes e Alto Douro. RODRIGUES, Aryon Dall’Igna (1986), Línguas brasileiras. Para o conhecimento das línguas indígenas. São Paulo: Loyola. RODRIGUES, Aryon Dall’Igna (1996), “As línguas gerais sul-americanas”, Papia 4,2: 6–18. RODRIGUES, Aryon Dall’Igna (2010), “Tupí, tupinambá, línguas gerais e português do Brasil”, in: Volker Noll & Wolf Dietrich (orgs.), O português e o tupi no Brasil, São Paulo: Contexto, 27–47. RONAI, Paulo (1942), “As cartas do P. David Fáy e a sua biografia. Contribuição para a história das missões jesuíticas no Brasil no século XVIII”, Anais da Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro, vol. LXIV, 193–273. Disponível: http://biblio.wdfiles.com/local--files/ronai-1944-cartas/ronai_1944_cartas.pdf. Acesso: 21 de abril de 2017. ROSA, Maria Carlota (1994), “Um exemplo de descrição pedagógica no século XVIII: O Specimen linguae brasilicae vulgaris e a tradição jesuítica de ensino de segunda língua”, Terceira Margem. Revista da Pós-graduação em Letras da UFRJ. Ano II, n.2, p. 181–189.

10. Abreviaturas (usadas na Introdução e nos Anexos) ARR: dic. de 1751: Eck: pmo:

Arronches, Caderno da lingua Dicionário Portuguez-Brasiliano, de 1751 (DPB) [Anselm Eckart], Dicionário da Língua Brazil paralelismo (com)

Pr VLB:

Prosodia ocabulário na Língua Brasílica


84


85

Edição Diplomática Primeira Parte: Língua Geral Amazônica – Português (antes de 1756, Biblioteca Municipal de Trier, Alemanha) Reprodução da capa externa do manuscrito. As páginas 82 a 87 reproduzem fotografias das capas internas e das primeiras páginas, vazias, do manuscrito. Seguem, na pág. 89, as abreviaturas usadas pelo autor do manuscrito e suas extensões. Embora muitos verbetes da primeira parte tenham correspondência na segunda, não indicamos as correspondências de maneira sistemática. Também não se mencionam os casos de não-correspondência, No Anexo 6, págs. 376–379, se encontram algumas das correspondências relevantes entre as duas partes do dicionário. Explicação do uso dos colchetes […], das parênteses (...) e das barras verticais [|]: Colchetes [...]: extensão de todas as formas abreviadas do latim e do português; correção de formas erradas da Língua Geral e do Português (até do Português da época). Parênteses (...): extensão de tudo quanto se agrega por parte dos editores, como comentários dos editores e traduções de exemplos em Língua Geral (com a indicação do significado entre aspas simples ‘...’). Barras verticais [|]: marcam a separação das linhas do manuscrito lá onde houver verbetes de mais de uma linha. negrito : aditamentos posteriores, do autor ou de outras pessoas. itálico : expressões em línguas estrangeiras (latim, alemão, etc.).


86


87


88


89


90


91


92


93

Primeira parte: Dicionário Português – Língua Geral Amazônica Abreviaturas que se encontram no dicionário Ɔ ʒ ͡ ) ARR: dic. de 1751: Eck: pmo: Pr VLB: a., A. = abs., absl., absltè = Cat., Cate. = o a os as d,d.d ,d = etʒ = freqʒ = de g = mte mte ger , gerl = i.e. = itʒ = ł = to ta os as m , m , mt , mt = n., N. = a p = partl͡ a = pqno, pqna, pqnos, pqnas = pro, pra, pros, pras = pte, pt͡ e, pte = qʒ = qdo = ͡ qlqr, qlqr = rel. = sgfca = sgfcaõ = sgnfcat = sigf(ca) = Top. = v = v., vi., vid. = v.g. = vul., vul =

abrev. inicial, con-; abrev. final, -(d)em, -tem, -(d)um, -tum, -tur; omissão de letras internas sinal que indica a omissão de letras finais Arronches, Caderno da lingua Dicionário Portuguez-Brasiliano, de 1751 [Anselm Eckart], Dicionário de Língoa paralelismo (com) Prosodia Vocabulário na Língua Brasílica verbum activum (verbo ativo) absolute catecismo dito, dita, ditos, ditas etc. frequentativo grande geralmente id est item licet, vel muito, muita, muitos, muitas verbum neutrum (verbo intransitivo) para partícula pequeno, pequena, pequenos, pequenas primeiro, primeira, primeiros, primeiras parte que (também em aindaque, porque) quando qualquer com relação significa significaõ, significam significat significa Topinambá, Tupinambá vel vide verbi gratia vulgo


94


95 [folio 1 recto – 1° col.] 1 2

3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32

33 34 35 36

A præposiçaõ, que serve ao dativo. pe v çupé A præposiçaõ de movimento. pe v me mutato p in me [|] Segundo a composição v.g. oçó paranáme. foi ao mar. [|] oçó çocupe [çoc-upe]. foy v vay a sua casa. A, v conforme. juxta. rupí. Tupã nheenga rupí. secundū [|] legem Dei. A’ basta. aujé. v auié. A bem, deitar a bem. A boa fé A boccados. morsim A bocca chea. jururerycéma. A bocca de noite.carucmé. carucramé. ita vul.Top: carucumé. A bom recado. tutò. A bom tempo. A cada hora. iepí, iepinhé. A cada passo. iepí, iepinhé. A caso. nhó v nhote. v.g .ajúr nhóte. venho a caso. v nhe juxta artem. A cinte. scienter, data operâ. xeremimotára rupí. v [|] xerecó cuapába rupí. A falsa fé. dolosè, fraudulenter. xe inganán. vul. A fé. certè equidem. çupí. çupicatú. A força. cum violentia. potest dici: cemimotáreýma rupí. [|] attendendo ad personas, quibus fit violentia v.g. xeremimotareýma, nderemimotareýma etc rupí v çaçy rupí v ipopyãtã rupí A formiga per manus. Ah! Interjectio de tristesa. acái A’ huma. simul, unà. irunamo v irumo. v oiepe uçu. A larga discinctè licentiosè. Alerta. vigilanter. A maneira. v. assim. A maõ. prae manibus, in promptu A maõ tente. cominus, validè. A primeira face. prima fronte. A pressa. celeriter. eçapyá, v çapyá. y exprimitʒ [exprimitur] ut: u gallicū. A puridade. ad aurem Á quem. intra, cis. citra. A tarde. carúcme v carucaramé. ita vulgò, v carucramé. [|] As ad v in. Ás apalpadélas. não tem o adverb. se usa de verbo: [|] apocóc v de frequentativo: apocopóc. v pococába [|] rupí. As avessas. cupé cotý. v.g. icupé cotý eremonháng có [|] mbäe. Fizeste isso as avessas. v ipycotý, alii. As cegas. inconsultè, temerè. icüabeýma rupí. As cláras. palam. As cutiladas. cæsim.

[folio 1 recto – 2° col.] 37 As dentadas. 38 As estocadas. punctim. 39 As escuras. pytúname. v pytúna rupí. Sgd° o sentido. 40 As furtadelas. clandestinè. nhemima rupí. 41 As maõs cheas. poderá se dizer: porerycéma. 42 As mil miravilhas. elegantissimé. catú v catú eté. 42 As rebatinhas. raptim. jiára remi|motareyma rupí. coriteiramo 43 As [aos] revezes. vicissim, mutuò. cecobiaramo 44 As vezes. aliquando, interdum. amóremé. His adjunge: 45 A’ pro ad v in circa personam. pýri. v.g. töúr xe [|] pýri. venha ter comigo. pay pýri. ad patrem. 46 A bordo 47 A cima. ybaté. 48 A deleve. levi brachio. 49 A deshoras. intempestivè. 50 A eito. ordine. cicirunga rupí. jecirungába rupí 51 A estacãm [estação]. sub missarū solemniis.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

14

A B. Aba do vestido. Aóba rembiúba. do chapeo, ala galeri. [|] applica vocem: rembiúba. Abade ou prelado. Abaré goaçú. Abafar, cobrir. aiaçöi. Abainhar. amoybýc v amamán v açambé maman = plicare fimbriam Abaixar a cabeça chamando ou assentindo. aieaitýc [|] v anhacangitýc. cum præp. çupé. Abaixar, id est fazer fundo. Amoybyçóc. Act. Abaixar, ex alto demittere. aimogýb. Act. Abaixarse. N. Aieaybýc. Abaixarse muito pª ver, o que lhe cahio anhemombéb. Abaixar se, id est. inclinare se sedendo. anhemöapýc. Abaixo. ybýpe. gyripé [guyripé]. infra. Aballado estar. acüé. v acatác N. Aballar. Amocüé, v amocatác. v.g. o esteio, que está [|] fincado, ou huma arvore etc o frequentativo faz: [|] amocüécüé v amocatácatác. e assim fallando dos [|] mais verbos, que poremos adiante, o dto verbo [|] propriamente em latina significa: concutio. Aballizar i.e. medir açaangáb v amoçaangáb.


96


97 [folio 1 verso – 1° col.] 15 Aballizar. i.e assinalar. amoçäangáb. ita vulgo [|] sine i ante a. 16 Aballizado. i.e͡ . affamado. céra poembäé. relat. Topi=[|]namb. porem se naõ uza vulgò. abá moacára [|] v aba reté. 17 Abalroar com alguem. aiapí. recé 18 Abalroar com a náo. aiapí v amoiár. recé 19 Abalroar. id.é. empurrar. Amoiár: Amöanhán. [|] o pro signif. empurrar pª qʒ encoste: o 2°, pª que corra 20 Abalroar se hum com outro. oronhomoiar. 21 Aballar se na rede. aiatimóng. 22 Aballar a outro. amoiatimóng. assim se diz [|] mandãdo [mandando] à outro, que move o turibulo. 23 Abanar. apejú. v apeiú . A. alius dicit: apijù 24 Abanarse. anhepejú v aiepeiu N. vulgo sine i [|] rasteiro. 25 Abanar a arvore, ou esteio. amocüé v amocatác. 26 Abanar os ramos da dª arvo [arvore] amotomóng 27 Abano. flabellum, que serve pª huma pessoa [|] refrescarse. pejuçába. 28 Abano pª o fogo. tapecoába. 29 Abanos de camisa. pytúra. ut: äopytúra. alibi habet: potyra. 30 Abarcar ou pegar. apycýc. 31 Abarcar com os braços pª a cintura à alguem. [|] acüápycýc. 32 Abarregado estar. xeagoaçábóra. v agoaçá iru=[|]namo aicò. 33 Abastado estar, id est, cheo de dinheiro. Xerecémo [|] iepé itájúba çuí. v arecó cetambäé. v arecó [|] cetá itájúba. 34 Abater como matto ou herva. amombéb. v acä=[|]ánupã. 35 Abater pª desfazer. comminuo. amonguí. 36 Abater ou rebater razoẽns. aipypýc nde nheénga. 37 Abater mal tratando. amomoreauçúb 38 Abelha. eirúba. eirarúba, outra especie. 39 Abençoar. açobaçáb. vul. açovaçáb. 40 Abençoarse. anheçovaçáb. 41 Aberta ter a bocca. xejurúiái. v xejurúbóc. 42 Abertura ou fenda. bóca. inde: bocáva v mocáva. [|] espingarda. 43 Abil ser de maõs. xepójabáb. vul. xepójaváu, v [|] xepobebýi. 44 Abilitar, fazer abil de maõs. amopójaváb v amo=[|]póbebýi. 45 Abido [abito]. Vestido. aóba ut xeäóba. vul. xeóba, nde óba [|] ióba. Topin. xeäóba. nde äoba, i äóba. 46 Abobara saõ de varias castas. jurumú. jurumú= [|] göacú [goaçú], jurumúpeba, jurumú mirĩ. etʒ

[folio 1 verso – 2° col.] 47 Abocanhar, mordendo. aixüú. v açüú. freqʒ. açüú=[|]çüú. 48 Abocanhar sem morder como fazem as crianzas [crianças], [|] Apytér. 49 Abominar. aroirõ. 50 Abolinar, ir a bolina. aieréieréb. vul. aieréieréo. 51 Abolorecer. Xerabẽ [xerabé]. çabé, relat. vul. çauẽ [çaué]. muceo, putresco 52 Abonaçar [abonançar] o tempo. ára catú. 53 Abonar, ficar por outro. apytá, pede recè. ut: apytá [|] nde recé. fico em teu lugar. 54 Aborrecer. naiamotári. vulg. aiamotarëým. 55 Aborrido [aborrecido] andar, id est, enfadado: xeputupáb. v xepý=[|]äíba. et etiā: axecoeräi [xecoeräi], e isto he proprio. 56 Abordar, id est, chegar, acýc. 57 Abortar a femea. xemembýrakyrár v solum: [|] xekyrár. ut: xekyrár üan [‘já abortei’]. relat. ikyrár. 58 Aborto, abortivo, kyrára. 59 Abraçado bailar com outro. xeandára, jandáramo [|] aicó. alii: inhandáramo äicó. 60 Abraçado bailar, digo, trazer assim em bailes: [|] xeandáramo recó. 61 Abraçado, assim trazido. andára. 62 Abraçado ter v.g. o menino nos braços. amocüé [|] pitánga. 62 [sic] Abraçar de qual͡ r sorte: anhanhubán v aiaiubán. 63 Abraço. joanhubána. v jajubána. 64 Abrandar ao irado. amonhyrõ. 65 Abrandar se . anhemonhyrõ. N. 66 Abranger, i.e. bastar. acýc. 67 Abrasar. Açapú. Açapúçapú freqʒ. 68 Abrasar se. aieapú. 69 Abreviar ou despachar. naimomucúi. vul. nití [|] amomucú, v niti amopucú. 70 Abrir como carta v caixa etʒ. Apirár. vul topina: [|] aipirár. 71 Abrir a porta naõ estando af fechada com chave: [|] Açokendavóc. estando fechada com chave: amo=[|]xavióc. 72 Abrir germte. apirár v aipirár. 73 Abrir como matto sem cortar. Apecá. 74 Abrir por deflorar. açapúmõnbóc [açapúmõbóc]. amombúc. a. 75 Abrir estendendo algodaõ. apecá v apopirár. 76 Abrir se gerlmte aiepirár, anhepirár. 77 Abrirse a terra. aiecá v abóc; aiecáiecá. freqʒ. 78 Abrir se a flor. aiáb. vul. aiáo v apóc. 79 Abrolho, ou estrepe. mína 80 Absterse, anheronhén. ita catech. çui. Vul. apoír. [|] çuí, exprimindo a cousa.


98


99 [folio 2 recto – 1° col.]

[folio 2 recto – 2° col.]

81 Absterse de fallar. aiubýc xe nhëenga. 82 Absterse de comer. aiegoarú çui. mas isso he propmte [propriamente] [|] ter nojo. logo se poderia dizer: nití ambaeú potár [‘não querer comer’]. 83 Abundante. vid. abastado. 84 Abundantes cousas. cetá mbäé. 85 Absolver. atupãmonhyrõ. amonhyrõ tupã ndébo.

25 Accender com huma brasa ou tiçaõ outros. amoiepotár [|] tatá. 26 Accender fogo de novo, e tiralo com fuzil. amöár [|] tatá. 27 Acepilhar, id est polir, ou aplainar. anhopín. aio=[|]pín. 28 Acerca. pýri. 29 Acertar v.g. com o tiro. aiapí catú. se he com frecha [|] ou cousa que tem ponta, anhymbó. se he com [|] harpaõ. acotúc. 30 Acha. instrumento bellico. ita marána. 31 Acha, machado de carapína. gỳ. 32 Achacoso andar, ou mal disposto. Naxecatuí. v [|] naicó marácatuí [marãgatui] v naxemaragatúi [naxemarãgatui]. vul. niti xe catú. v [|] xe mbäé acý mirí. 33 Achamboadamente. äíb no fim do verbo, ut: amon=[|]hangaíb. fazer grosseiraramente [grosseiramente]. 34 Achaque, doença ter, xembäeacý. 35 Achar. agoacém. achei o que queria. agoacém [|] xe potaçába. 36 Achar o muito desejado aiecoçúb recé. naõ se uza. 37 Achar v.g. fazendo mal os amancebados, ou fur= [|] tando, ou outro mal qualquer. apocuçú. 38 Accidentes padecer. Amanómanó. 39 Acodir a alguem v.g. ajudalo. aipytybõ. vulgò: [|] apytymõ. 40 Acodir v.g. a briga. açopenhán. 41 Acolà. amongotý. 42 Acola, aonde sabes. acoipe. axäé äépe v akueipe [|] id est: ahi mesmo. 43 Acolher, ou recolher em caza. aröiké, id est, [|] cousa, que se leva as costas. 44 Acolher, id est recolher gente. amomytá v amopytá. [|] Topin. aimomytá. 45 Acolher id est apanhar alguem. apycýc vul. 46 Acolher se, fugir. aiabáb. 47 Acolher se ou recolherse. aiké. 48 Acolherse a alguem, que valha. aiepycyrõ [|] v anhepycyrõ. recé. 49 Acommeter os inimigos. açopenhan. v açopenhé. 50 Accommodar. amocatyrõ. amongatyrõ 51 Acompanhar. i irúmo v i irúnamo aço. 52 Aconselhar. amotecocüáb. 53 Acordado estar. apác, ajubé. 54 Acordarse ou lembrarse. xemaenduár. recé. 55 Acordar a outro. amopác. v amobac. 56 Acostumado estar. apocüáb. amopocuáb. a. acostumar a outro 57 Acovardarse. anhemomembéc v xemembéc. 58 Aço. itá eté. 59 Açoutar de qualquer modo. ainupã vul. anupã [|] freqʒ anupã nupã.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

12

13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

AC Acaba já. imperat nde catunhé. vul. emoaujé v emoauié. Acabar o começado. amoaujé v amõbáb. o catech. uza [|] do verbo aipymondỳc. Acabar se, gastar se tudo. Apáb. N. vul. Apáo. opabine [|] fut. Acabar por morrer. Amanó. A cada v.g. a cada passo. iepí iepinhé. Acachaparse. anhemombéb v anhemombeo . N. Acallentar v.g. o menino, que chora. amöí [amoĩ] ajunt [ajuntando] [|] tayna [v] pitanga. Acalmar o vento. jarguè ybutú. rel. Acamar como herva. amombéb v apyçõ. A. acäá= [|] nupã. v. abater como herva. Acamarse assim, ou deitar se. aiemombéb, v an=[|]hemombeb. v anhepyçõ. Acantoar. amombór. v ainóng xeróca pupé. [|] v ainóng xerocapýracapyrpe vidʒ agostū ex oca et purakè cotovelo, cujus incurvati formā hbt angulus. Acaretar [acarretar]. aruarur # sigfcat ppriè deferre humeris. # est freqtativū abarur acigí. Acatada cousa. imoetepyra. rel. Acatar. aimoetè. vul. amöeté. Acautelarse anhemoçaçuí v anhemoçaçái. çuí. Acção. temimonhánga. ut: xeremimonhánga. Açacalar como espada. polire. akytingóc. v amoen=[|]dypýc. Açaçar [açacar] crimen imponere. v. imputar. Acaçapar. subsideo, lateo. Acenar com a maõ. aiepoitýc, aiepoerúr çupe. [|] querd° [querendo] que traga. Acenar com a cabeça chamando. aiaitỳc v anha= [|] cánga itýc çupe. Aceitar o que se da. aiár çuí. Aceitar de palavra como o partido. aujé äé v aujé [|] ipó [aipó] äé v aujebete et etiam sine i. rast. Accender fogo. açapú. v amondýc. ajunt [ajuntando]: tatá he o mesmo. [|] primo verbo se uza. accender candea candea, campos, [|] casa. v aiatapú.


100


101 [folio 2 verso – 1° col.] 60 Açoutar se. anhenupã nupã. 61 açoutar nas nadegas com a maõ. acebipetéc: 62 Açoutes. arauragué [azorrague]. nupãçaba. o pro°rùguè.talvez serà: aru 63 Açoutes, ou sinaes delles. nupãçagoera. 64 Acoucear. Apyrúng. recé. pedibus contundere, calcibus impetere 65 Acrecentar o curto, ou acrescentar, e fazer, que se [|] acabe, o que ainda naõ chega. amöiapýr. assim [|] também em numero: amoiapyr papaçaba. 66 Acusar. aimombëu vul. amombëu v acüáb ucár [|] o seg° he para qudo [quando] se seque [segue] castigo. 67 Açucar. uubäe rupyáca. vul. açukarí. 68 Açucarar. aimoiëe [aimoceẽ] v amoeẽ. 69 Achega. cycába. vul. cycáva. 70 Achegarse, id est, accedere. Acýc. ut: ocýc uán [|] pachicú. chegou o Francisco.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

A D. Adarga, ou qualquer escudo. goaracapá. Adargarse. aiepiar. n. parvo scuto se protegere. Adéga do vinho. caoĩ róca. Adéga de azeite. jandý róca. Adéga de mel. íra róca. Adegeiro [adegueiro] cerecoára, ut: caoĩ rerecoára etc Adelgaçar como vara, aiopin, anhopin. Adelgaçar com fio. amopöí. Adam o pro homem. jandé = [jandé rubypý].v acé rubypý. Adem. potirí. anas. Adestrar. vid. exercitar. Adiantiarse. acenondear. Adiante. adv. tenondé. Adevinhar. anhemopaié. Adevinhador. paié. Admirar. Act. amoputupáb. vul. amoacanhém. Admirarse. xeputupáb. ita cat. vul. acanhecanhém. Adoecer. xembaeacý. Adoçar. amoeẽ. sign. também salgar. Adormecer act. amonkér. neu. Akér. Adornar. amocatyrõ v amongaturõ. Adornarse. anhemongaturõ. Advertir a outro. amöacüáb. Á eito, a saber bom ou mal, ou seu ou alheyo, pequeno [|] ou grande. Tetiruã.

[folio 2 verso – 2° col.] 25 Adobar [adubar]. amocatyrõ. v amongatyrõ. 26 Adubo. mocatyrõçaba. 27 Adversario v inimigo. motareymbára. e si he mto [|] inimigo: Tobanhána. ut: xerovanhána.

1 2 3 4

5 6 7

8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

21 22 23 24 25 26

27 28

A F. Affavel ser. xeangaturám. v nití xerouáacý. Affavel em palavras. xenheéng angaturàm. Affabilidade. angaturáma. Affadicado [afadigado] estar por gde tristeza aicotebetebè. [|] vul. aicotemètemé. e assim porei adiante esta [|] palavra. Affagar com a maõ pela cabeça. aiapixìb. vulgò: [|] aiapixío. Afagar como quer, affagos fazer. arecò catù. amorỳb. affamada cousa em boa, em ma parte cérapöa=[|] nimbäe. naõ se uza. alio loco dicit: céra poembäe. v. abal= lizado affamado ser assim. xe réra pöá. inusitatū. affastarse do lugar. aiepëá. n. affastar do lugar, act. aipeà Affastar pª huma e outra cousa ou pte como [|] matto v gente. apecà. Affastarse assim da muita gente. oroiepecà. Affear. amoaíb. v amopoxí v amomoxí. Affeites do rosto. tobápoçánga. Affeites semelhantes pór no rosto. açobapoçanong. [|] ut: xé ndé rovápoçanóng [‘eu te afeito o rosto’]. Afferrar de alguma cousa. apycýc. Affiada estar a faca, fouce. çaembé. Affiar. amoçaembé. Affigurarse me. Raméi. naõ se uza. direi: amo=[|]angeté. Affilhada do homem taiýrangába. cat. mas se uzem [usam] [|] tagirangába. ut: xeragirangába [minha afilhada’]. Affilhado do mesmo. taýrangába. xeraýrangába [‘meu afilhado’]. Affilhado v da [affilhada] da molher: membýrangába. Affirmar. anhé äé v anheranhé. v héhé vul. Affligir com terrores. amongotemé. Affligirse. aicotemé. Affligir se com suspeita de algū mal que se teme. [|] xeang=ecoaìb. ndeangecoaíb. iangecoaíb. assim [|] diz a arte, e o cate. faz xeanghecoaíb. ut: iang= [|] hecóäí catu. fol. 73. Affogar. aiubýc Affogarse. aieiubýc.


102


103 [folio 3 recto – 1° col.] 29 Affoquear [afoguear]. Açapú. a. aiepú ucar, fazer affoquearse [afoguearse]. 30 Affrontar de palavras. amomoxí. 31 Affrontar ou envergonhar. amotĩ 32 Affrontado mandar a alguem. amondoaíb. ut: ndé xé [|] mondoaib. mandaste me afrontado. 33 Affrontar se assim. atĩ v anhetĩ 34 Affrontado estar. aicotemé. 35 Affroxar o estirado. amomebéc. act. 36 Affroxarse. xemembéc. neut. 37 Affumar. amotimbór. a. 38 Affumarse. atimbór. n. 39 Affugentar. amoiabáb. a. 40 Affugentarse . aiabáb. aiáváu. N.

1

2 3 4 5

6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

A G. Agachado andar por naõ ser visto. anhemõbémo=[|]béb. v apunhé punhé. videtʒ [videtur] idem, qd: [quod] per terrã reptarè. Agachado estar, esperando, o que passa. aiepearõ. [|] v açarõ. Agasalhar dando pousada. amomytá v amopytá. [|] v amorýb. este sign. fazerlhe boa praça Agasalhador ser. xemorerecoár v xeporomytaçára. Agasalhar dando bom trato ao hospede. xemorerecó= [|] ár v aimocüar catú. recé. Agalsall Agasalhar se recolhendo se em caza de alguẽ. apytá Agastadiço. e também melancolico. nhemoyrõdo=[|]ára inusit. vul. angaipába. Agastamento. nhemoyrõ. Agastarse. anhemoyrõ. vul. xemarámotár v [|] xeputupáb. v xepyaíb. n. Agastar a outrem. amoputupáb. amopyaib. a. Agastamento interior, sentir ou affligirse com [|] suspeita de algũ mal.qʒ teme. xeangecóaíb. Agora pouca [pouco] há. coritéi [coriteĩ] Agora poucos dias ha. coecé. v coecé pýrý. Agora neste instante. coýr. coyrbé. Agourar por via dos passaros. amomóraigoán. Agouro. moroaigoána. Agra cousa ao gosto. xeracý [xerái]. çay. rel. Agradavel ser. amorýb. amomoráng. Agoureiro xemoraigoána. agourar v adevinhar. anhemopaié. Agradecer. cobe catú meénga. v cobé catú.

[folio 3 recto – 2° col.] 22 Agravar a alguem. arecó memoã. v arecoaíb. v. [|] arecó mará [marã]. 23 Agoa. ý. 24 Agoado, rio, fonte. ý foy a fonte. oçó ýpe. 25 Agoa, em que se tem cosido algu͡ a cousa. typoéra 26 Agoa branca ytínga 27 Agoa doce. ý eté. v yëé. 28 Agoa da chuva. amána ý. 29 Agoa do mar. paranáý. v ý ëẽ. 30 Agoa limosa. ý typytinga. typytínga. rel. ut: có [|] ý typytínga. esta agoa he limosa. 40 Agoa ardente commun. caoĩ tatá. da cabeça caoĩ [|] acánga. 41 A agoa se torva. typytíng. v ýpytínga. 42 Agoar a caza. acepýi. acepýcepýi. borrifar. 43 Agoas vivas. ý apogoaçú. v y apoaçú 44 Agoas mortas. ý apoypába. 45 Aguardar. açarõxe 46 Aguçar. amoçaembè. aguçar a ponta. amoçattí [amoçantì] 47 Aguilhoar. aioçocçoc v acotúcutúc. 48 Aguda vista. teçá pyçó. ut xereçá pyçó catú. tenho [|] boa vista. 49 Agudeza, ou fortidaõ o como de agoa ardete [ardente]. çacý. rel. 50 Agudeza, industria. tecocuába. 51 Agulhãm [aguilhão]. cotucába v cotucáva 52 Aguilha [agulha]. Aguí. 53 Ahi, aonde estas. üíme. 54 Ahi onde dizemos v sabemos, äepe. aqueipé. 55 Ahi mesmo. aépe. aqueipé. acoipe.

Ai. Ai, interjectio. acái. Ainda. bé. posto no fim do verbo. ut: amonhángbé. [|] ainda estó [estou] fazendo. ovatarbe. deest adhuc 3 Ainda de dia. aruobé. etiam in usu est. 4 Ainda agora v.g. foy. coriteiramó, oçó. 5 Ainda agora o faço, e esta he a prª vez. coýramo [|] amonhang. v amonhangamo. 6 Ainda agora venho. ajuramo. 7 Ainda naõ. deiranhe. aaniranhe. Topin. 8 Ainda que. aujebétemó. vul. aujebété 9 Ainda bem. jamurú. v jamurucatú. 10 Ajoelhar a outrem. anhenepyaĩ ucár. a. 1 2


104


105 [folio 3 verso – 1° col.] 11 Ajoelharse. n. anhenepyäĩ. 12 Ajuda. pytymoçába [pytymõçaba]. 13 Ajudar. xepytybõ. v apytymó [apytymõ]. ajuda me a fazer isso. [|] xepytymó [xepytymõ] cobäe monhang. 14 Ajudador. pytymoçara [pytymõçara]. 15 Ajudar se huas [huns] aos outros. oiopytymõ 16 Ajuntamento da gente. mira reýia. 17 Ajuntamento de qualquer cousa. teyia. ut: ita reýia 18 Ajuntamento de macho e femea. oioiemenó 19 Ajuntar, acrescentar. amoiapýr. 20 ajuntar em cumulo. amoatýr. 21 Ajuntar o espalhado. açanhan. amonöóng. 22 Aya ou Ayo. moço ou moça, que tem cuidado de [|] alguma cousa. cerecoara. ut: xererecoára.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

18 19 20 21

22.

A L. Alacrão. jacoagíra. [jagoagíra] Alagadiça cousa. Alagar. amoiapypýc. a Alagarse. aiepypýc. Alagoa. ÿypaba v ÿpába. Alargar v.g. a boca do sacco apirár Alagadiço. ygapó. Alargar cavando, e dilatando a borda. aiobaóc. Alargar assim a roda como a cova com a chuva ou [|] chaga aiobaóc. Alarido fazer. apocépocém. vociferari. Alastrar pelo chão como hervas. amombéb, v aipyçó. sternere. Alastrarse assim. anhemombéb. anhepyçó. procumbere. Alcaçúz. Ycypoẽ. cycinthisa, æ. radix dulcis. Alcaide mór. ybyrárerecoáruçú. Alcaide que prende. ybyrárerecoára. Alcançar a alguem. açopitic. porque naõ apycýc? Alcançar o mto desejado. aiecoçub. inusit. por isso se pode fazer. agoacem xepotaçaba. achei, o que quiz. v. achar Alçar. amopüám. Alçarse id est rebellarse. apuám. recé. Alcotivar [alcovitar]. aicó manaié v amanaié. Alcotiveiro [alcoviteiro] ou alcotiveira [alcoviteira]. amanaié. ut tenhé eicó ama=[|]naié vg exeamanaié [tenhe eicó xeamanaié] ixupé [‘não me alcovites para ele!’]. leno, onis. Alcunha. ceraiapýra. prænomen.

[folio 3 verso – 2° col.] 23 Aldea. tába. Aldea que foy, destruida. tapéra, ut tapéréra. 24 Aldeaña [aldeana], v aldeano. tabigoára: 25 Aldrava. potáia. pessulus, obex. okena potáia. pessulus [|] januæ. 26 Allegar. assero. acenoĩ. 27 Allegrar o triste. amoeçai. v amorýb. 28 Allegrarse assim anhemoeçai, v xerorýb. 29 Allegrase por algum bem ou nova. xerorýb v xerory. 30 Alegria por algũ bem, ou festa. torýba. 31 Aleijado, que anda, seja de maõ, ou braço, ou pe, ou [|] perna. mári. xepári. 32 Aleijado ser. xeapár. 33 Aleijar assim act. amopári, que anda: que naõ anda: [|] amöapar. incurvare. 34 Alem da banda dalem. çobäi. alem disso: proterca: ïáribe 35 Alento tomar, i.e. enfortalecerse. anhemokyrỹbáb. N. 36 Alento dar, sustentar. aiopói. amongarù. 37 Alentada cousa. kyrýbáb. Alentar: ac. amokyrỹbáb. 38 Alevantar. amopuám. a. 39 Alevantarse. apuám. N. 40 Alliviar. v. ajudar 41 Alfayas da casa. mbäé etá. 42 Alfayate. aoba monhangára 43 Affanete [alfanete]. túnga júba. 44 Alforge. urù. pena 45 Alforria dar. v. forrar. manumittere. 46 Algemas. moropoaçába. quer dizer: fechadura de gente 47 Algodaõ. Amandijù vul. amanijú. 48 Algodoal. Amanijutýba. 49 Algoz por officio. morojubucára. 50 Algum ou alguma. amò v amöaè. 51 Algum dia futuro. amò arà pupè. v amo aremè alii: amoràmè. 52 Alguma cousa. mbäè. v mbäè amò v amombäé 53 Alguma traversura [travessura] fazer. amonháng tecó äíba. 54 Alguma pessoa. Abá v abá amó. 55 Alguma vez. amôme. amóramé. vul. 56 Alguidar. nhäé. Cymbium. 57 Algum tanto mais. pyrý v amó mirĩ. 58 Algurez. usquam, uspiam. acóipé. quando se sabe, aonde, [|] quando se naõ sabe coipé. 59 Alho. ybánéma [ybaréma]. 60 Ali, lugar que vejo üíme. aonde sei ou sabemos: aépe [|] v acoipé. acoipé 61 Alimentar, manter. aiopói. amongarú. 62 Alimento. tembiu. xerembiu. meu comer.


106


107 [folio 4 recto – 1° col.] 63 Alimpaduras do joeirado, as grandes: curéra. as miúdas: [|] curuéra 64 Alimpar. aiocýb. alimpar da ferrugem. akitingóc. 65 Alma. Ánga. Alma separada do corpo. ángoéra. 66 Almagre ou almagro. piránga. v tagoapiránga. rubrica [|] fabrilis. 67 Almagrar como quer. amopiráng. rubricã tingere. 68 Almario de cousa. nhäè rupába. e se já la esteve: nhäé [|] rendába. 69 Almesiga v almecega. mastichè. ycýca. a dura qʒ serve [|] pª couça [lousa]: itá ycýca. 70 Almofada. Acángapaba. aramapára. cervical. 71 Almofariz de bronze. ità induà. de pao: ybyrà induà. 72 Alimpar a roça de herva. acäapír. 73 Almorreimas. tëicoaracy 74 Alta cousa, ou altura pª cima. ybaté. 75 Alto ser de corpo. xepucú. 76 Alto ser o rio. xerypý. typý. rel 77 Altura do rio. typý. 78 Altercar com alguem. anhëẽpopýc. 79 Altivo ser. abà morerobiareýma. 80 alva cousa. tínga. morotínga. 81 Alvo [alva] do olho. teçá tínga. xereçátínga. da [do] meu olho. item: tenho nevoas no olho. 82 Alva de manhaã. cöéma. 83 Alvoreçarse [alvoroçarse] ou levantarse. apuá [apuã]. v apuam. N. 84 Alvoreçar [alvoroçar] a outrem. amopuám. 85 Allumear [alumiar] amöendy. v amocendỳ v. açapé. 86 Allumeador [alumiador]. moendyçara 87 Allumear [alumiar] pª ver ou achar alguma cousa no obscuro. [|] ut: açapé iké.

A M. Ama i e. senhora. iára. Ama, que cria. mocãbyâra v mocãbyçara, mem=[|]bycambubäé. Cate.fol. 117. 3 Ama ou amo, que, que serve. cerecoára. 4 Amada cousa. çauçubipýra. 5 Amágo da arvore. medulla. pytera. ipytéra. rel. 6 Amago ter assim. xepytér. 7 Amadurecer. itiarõ uán. itáua üàn v imembéc [|] uán. icatù üán. tiarõ etiam dicitur de puella [|] pubere et nubili. 8 Amainar, as velas. amamán çotinga. 9 Amainou o vento. iargöè ybytú. oputüú uán ybytú 10 Amaldiçoar. arõirõ v açovaçabaíb 1 2

[folio 4 recto – 2° col.] 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32

33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45

46 47 48 49 50 51 52 53

Amamentar, i e, dar a mamar. amocambý. Amancebada ou =do [amancebado]. Agoaçá. Amancebado estar. xegoaçá. A maneira. iabè. Amanhaã oirandè. v corí coéme. Amanhar. i e, concertar. amongatyrõ. Amanhecer. coemiá. coéme potár üan. Amansar ao irado. amonhyrõ. Amansarse. anhyrõ, xenhyrõ, anhemonhyrõ. recé. Amansar hum animal. amorýb. Amar, açauçub. amarse. aieauçub Amante rauçupára. Amar deshonestamente. aipotár v apotár. Amarella cor. júba. v itavá. Amarello ser. xejúb. Amarello estar como doente. xerobá júba. Amarello cor do rosto. toba júba. Amargar. xerõ. irõ [xeró. iró]. rel. alii. xerób. et ita arte. atqʒ [atque] ita audivi Amargosa cousa. mbaë róba. irõ [iró] rel. Amarra. ità çama. funis v quodvis ligaculum. Amarrar. aiapotí. e si pelas maõs: apocoàr. vul. se uza [|] sempre do seg°. Amassar como pao, barro, e de qualquer sorte acambic [|] acambiríc. v amuum [amoum] qdo he barro, amotuum, hbt [habet] alibi Ambar. pirá puáma repotí. Ambos. mocoĩbe Ameaçar. aiangäo, anhangäó v amomorú. Ameaçar com o pao ou maõ. açaobár. Ameaçar por detraz. amomurú. Ametade. pytéra. Amedrontar, amocykyjé. amoacanhém. v amondýi. Amigo. rauçupára. xerauçupára. Amigos fazer discordes. amonhyrõ. A mim ou pª mim. ixébo. v xébo. Amimar. amorýb. v arecó catú. Amiudar. amopöi. a. continuare. A miudo. iepì. posto no fim do verbo. ut: áço iepì vou [|] a miudo, seu [se] vou frequentemente. itʒ [item] depressa. coritéi [coriteĩ] Amizade. joauçuba. Amofinar. amopitýba. a. Amofinarse. xepityba. Amolláda estar a faca et çaembè üàn gycé [kycé]. Amollar. amöacembé [amoçaembé]. Amoestar. amoapyçáca [amoapyçacá]. Amoestação möapyçacaçába Amolgar. amombéb. flectere collidere. contundere.


108


109 [folio 4 verso – 1° col.] 54 55 56 57

58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

Amolgar se. aiemombeb. Amollentar. amomembéc. a. Amollentarse. xemembéc. N. Amollentar, idẽ [idem] por de molho, como couro, peixe seco. [|] amorurú. amorurú pirà. alii: amururú. Amontöar. Amoatýr Amontes ou amontoẽs jatyatyrá [atyatýra] Amor. v. amizade Amor deshonesto. ïopotára. Amores ou de amores tratar. xenheéng porángaíb. Amorosamente. megué megué v mevé mevé. Amortalhar. apokéc. Amortecer. a. amoacanhém. Amortecerse. n. acanhém. Amotinar gente. aporomoaiú. Amotinar a alguem. amoaiú. Amotinarse. n. anhemioaiú Amuarse. indignari. anhemoyrõ. vul. xeputupáo . v páb. [xeputupáb] Amuar a outrem. Amoyrõ. Amuado estar. id e. [id est] estar desconfiado. aiemurõ. A N. Anao homem. i.e.[id est] curto. iatuc rel. v ïmirĩ eté. Anca. cebíra. coxendix. Ancorar. aitýc itá çama v aitaçamitýc. Andar. Aguatà. Andar de noite. aguatà pytuna. arte. Andar ou voltar a roda, como a do engenho. anhatimán, [|] v aiatimàn ainda q, seja pessoa. Andar de gatinhas. apunhé. Andar a roda como piaõ. apyryrým. Andorinha. taperá. Anel da mesma maneira. o Topin. diz: moanhäá. vul. [|] anéra. Angustiarse. v. Affligirse. Animal, que se come. çoó. que se naõ come : çoò aíba. Animar, esforçar. amopyãtã. Animar, id est, dar vida. atecobémeéng. Animoso ser, xekyrymbáb. vul. xekyrymbáo. v aicó eté. Anjo. Caraibebé. anjo da guarda, caraibebe acerarõãna Anil. cäaobý. Anno. ceixú. vul. Acajù. Anojarse. N. aiegoarú. ac. Amoiegoarú, fazer nojo. Anoitecer. oár pytúna. v pytúna potar uán. Antes ide͡ [id est], diante . Tenondé ut: xerenondé. diante de [|] mim.

[folio 4 verso – 2° col.] 21 Ante ontem. coecé coecé. 22 Antepassados nossos. jandé ramýia. vul. jandé ramúnha 23 Antes de, antes que ianondé. 24 Anticipar. acenondeár. 25 Antiga cousa. Jnhymána. vul. iymána. rel. kycé ymána [|] antiga faca. 26 Antigamente. erimbäé. v coecenheým. 27 Anzol. pindá. isca do anzol. pindá potába. anzol [|] grande, pindà goaçù. anzol branco, pindá tínga. [|] anzol do [de] ferro. pindá úna. 28 Anteciparse. sobejamente. aieçapyá.

1

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

A O. Ao. in v ad. pe v me. sgdo a composição. ut: oçó çócupe. [|] oçò paranáme. oicò çócupe. oicò nhúme. oicò cetáme. Ao longe. apecatù. A olhos, vistos. jcatupénhé v míra pytérpe. Aonde, em que lugar. umápe. umámepe. mamópe. [|] vul. mametäé? ut mametäé oçó, oicó? Ao perto. iké nhóte. Ao presente, cöýr, coýrbé. Ao redor. cembeúba rupí, com moviment. sem elle: cembeúpe. Ao revez. Ao vivo. çupí. v çupí catú. forte Gupi catu ut Cate. Aos couces. opyrúnga. Ao travez. joaçába. ybyrá joaçába. paos travessados. A outra parte. cecotý Aousadas [a ousadas]. copiosè. aujé.

A P. Apacentar. aiopói. amongarú. Apagar fogo ou candea. amogoéb. a. Apagar se o fogo. n. agoéb. Apaixonarse. v. Agastarse. Apalpar. apocóc. recé. Apalpar cousa molle. açúnga. Apalpar o vaõ do rio. atypyäáng. Apanhar ou ajuntar do espalhado. amonöóng v açanhán 9 Apanhar como frutas, estando na arvore. Apöóc. [|] poocára [‘colhedor’]. [|] pooçaba [poocába] [‘lugar da colheita’] verbaes [‘nominalizações de raízes verbais’] 10 A parde [A par de]. perto, em presencia. tokaké [tobaké]. xerobaké. em minha [|] presença. [Bluteau: A par de outro, ao lado de outro. Está sentado a par delle.] 11 Aparar pẽna. amocatyrõ. 1 2 3 4 5 6 7 8


110


111 [folio 5 recto – 1° col.] 12 Aparar fruta. anhopín. v aiopín: vul: apiróc. 13 Aparelharse, anhemoçainán v anhemoçacüí. recé 14 Aparelhar. act. amoçainán. porém [por em] a meza ou altar [pôr em mesa ou altar] [|] amõcatyrõ. 15 Apartar, afastar. aipëá. 16 Apartarse. aiepeà. v. aieiaóc 17 Apartar, ou dividir, repartir. amoiäoc. 18 Apartar o mao do bom. aparabóc. v acatuóc. vul. [|] aparavòc. alii aporavóc. 19 Apartar como os emancebados [amancebados]. amopöir v apöír ucár [|] çuí. v aipëá. Cate: amomboír. 20 Apartarem se estes. oiopoír v oioipëá. rel. 21 Aparecer. aiecuáb. 22 Apeçonhentar. apoçanongäíb. 23 Apredrejar [apedrejar] aiapí. qdo porem as pedras acertãm, se [|] diz: aiapí catú. 24 Apedrejar a miudo. aiapiapí. 25 Apegar. apycýc 26 Apegarse como fogo, ou doença; aiepotár v aiár. ut: [|] nde mbäé acý oiár xe recé [‘tua doença me pegou’]. 27 Appellido céra äiba. rel. 28 Aperceber. amoçainán. se he meza etʒ amongatyrõ. 29 Aperceberse. anhemoçacüi. v anhemoçainan recé. o [|] pr° he pª o que se espera. 2° he do necessario. 30 Apercebimento de alguma cousa de armas contra o [|] inimigo, nhemoçacüiába v anhemoçacuiçaba v ava [anhemoçacuiçava] 31 Aperfeiçoar. amòbàb [amõbáb] catù: amò aujè catù. v amonhang [|] catú. o pro parece vicioso em lugar: amombáb. v. acabar. 32 Aperfeiçoarse no officio. aiemboecatú xerecó. 33 Aperrear. amomoreauçub v amoporeauçub. 34 Apertar. id est. adstringo. aiubýc. 35 apertar huma cousa com outra. amoiarãtã. 36 Apertar com a maõ. apycýc ãtã. 37 Apetecer. aiucéi. 38 apetite torpe. iopotára. 39 aplacar. amonhyrõ. 40 Aplacarse. xenhyrõ 41 Apodrecer a carne. xejúc. ut ijúc uán pirá. idem [|] se diz do pao, fio etc 42 Apolegar. attrectare. açúnga. 43 Apontar como com ponteiro. acuábeéng. 44 Apontar a barba. apopór. ut: apopór cendybába 45 Aportar. acýc. ocýc ygára. veyo a canoa. 46 Aposentador. momytaçára. 47 Aposento. mytaçába. 48 Aposentar. amomytá v amopytá. a. 49 Aposentar se. apytá. N.

[folio 5 recto – 2° col.] 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14

1 2 3 4

Apoquentar diminuindo, gastando. aiaróc. Apoquentarse assim. aceiaróc. Apostéma. pungá. Apreçar. acepyenóĩ. Apregoar. amoçapucái. Aprender. aiemböé. v anhemböé recé. Aprendiz. nhemoeçára. Apressado estar. xeranhé. Apressadamente. anhe anhé. no fim do verbo. Apressar alguem. amöanhé. Apressar se. xeranhé. anhemoanhé. Apresentar. aieacameeng. v acamëeng. Apresentarse. anhecamëeng. Apròpiar alguma cousa pª si. oiár xembäérãma. Aprovar. aujè äé v aujé aipó äé. Apto ser. aujé catú. Apupar apocém. recé. vociferari Apupar chamando. açapucái çupé. vociferari

A Q. A qual, o qual. umambäè. A que ???? mbäé recepe? v mbäé recetäé? Aquella ou aquelle. üimäé Aquella, ou aquelle ou aquillo, que sinto, e não vejo. [|] aipó v aipobäé. A quem? aba çupépé? A que desta parte. kymongotý. A que proposito? mbäérama recépe? Aquentar]. amöacú. v aiopé. aliás: aimoacúb. Aguentarse [aquentar-se]. anhemöacú v aiepeé. Aquietar. anhonóngatú. Aquietar se. aiocatú. hoc est de pluribus. de uno dicetur: aie= [aiecatú] v anhecatu. Aquietarse no interior. xeapycýc. Aquirir. agoacém. Aqui.iké.

AR Ar, o mesmo que vento. ybytú. aranha. nhandú v jandú. aráme. ita embó. v itá rembó. Arca e tudo o que disto serve. caramöá, Top. vul. patüá.


112


113 [folio 5 verso – 1° col.] 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46

Arcabuz. espingarda. mocába. Arcar. amöapár. arcuare, per modū arcus incurvare. Arcarse. xeapár. se inflectere, demittere, incurvare. Arco de atirar. ybyrapára. Arco de [da] velha. boiuçú Ardega cousa. mbäé kyrymbáb. v bau [kyrymbáu]. Ardega ser. xekyrymbáb. v bau [xekyrymbáu]. Ardencia do mar. paranáendý. Ardencia fazer o mar. xerendý. cendý. rel. Arder como pimenta nos olhos ou outra parte. aiöó. n. [|] amoiöó. act. Arder. acái. Aréa. ybýcuí. preta area. ybýcuí úna. Arisca estar qualquer caça. xeacuáb. Á risca. ad amussim. çaangába rupí. Armadilha. mondé. tendicula. vg. guyra oáruan mondepe o passaro está apanhado iʈ [item] oáruan monde. cahio, fechou se a armadilha. Arpão. itaçüuçama. Arpear. acotúc. Arraya, peixe. jabebýra. v vul: javevúra. Arrancar como espada. acekýi. Arrancar como as hervas junto com as raizes. açapöóc. [|] sem as raizes: apöò. Arrancar como o cabello. apöò xeacángarába. Arrancar como o fincado. acekýi. v aiöóc. v amoçác. [|] se usa deste. Arrancado estar. óçac [açác]. rel. Arrancar o moribundo. aiekýi. Arranhar aiecaräi. N. unquibus [unguibus] se lacerare Arranhar a outrem. acaráii. a. unquibus [unguibus] lacerare. Arrastar se, ou a rastos ir, como a rupa [roupa] pelo chaõ. [|] atyrýc v aticýc. N. per terram repere. Arrastar assim. a. amotyrýc. Arrebatar, tomar por força. aipöekýi. tirar das maõs [|] tambem dizem: aiöóc. Arrebentar n. abóc. v aiecà. Arrebentar a. amobóc v aiucà. Arrebentar fio. v. quebrar. Arrebentar as arvores. v. brotar. Arrecadas. nambipóra. inaures [in aures] Arrecear de alguem, que faça, o que naõ deve. anha=[|]angú [anhëangu]. recé. Arrodondar [arredondar]. amöapöá. Arrefecer. xeröiçang. frigescere. Arrecanhar [arreganhar] os dentes como o caõ. xeräimitír. xerai=[|]migái Arrecearse de alguma cousa anheangú. çuí. Arregoar como figo. abóc. Arremedar. açaáçaáng. Arremeçar v bottar. projicere

[folio 5 verso – 2° col.] 47 Arremeçar, empurrar a alguem. amoanhán. 48 [sic] Arremeter com alguem. açopenhán. 49 Arremeter o animal, ou ser bravo. anharõ v aiarõ. 50 Arrenegar. aroirõ. v amomburú. 51 Arrepender se, do que se fez mal, ou ter pezár como [|] dos seus pecados. aimoacý. v aimböacý. 52 Arrependimento. mböacyába 53 Arrepentementos [arrepiamentos] ter de frio ou doença. acepoia [aiepocá]. 54 Arrepiamentos da carne. tetépirínga. 55 Arrepiamentos ter assim. xepiríng. horrorem 56 Arrepiamentos causar assim. amopiring. horrorē incutere 57 Arrepiaremse os cabellos. xerabybýr. 58 Arrepiarse.v. estremerse [estremecerse]. 59 Arrevessar se. evomere. auëém. 60 Arrezoar. aporomonghetá. abs. 61 Arriba. ybaté. mais arriba. ybaté pyrý. áço [açó] ybaté [|] e não se diz: ybatepe. ita etiā: áço [açó] çobái, e naõ: [|] açó çobáipe. 62 Arribar o navio. aiebýr. v anhatimán. e se he muitas [|] vezes: aiebýiebýr v anhatimátimán. o mesmo se [|] diz de qualquer embarcaçaõ: renavigare. 63 Arrimar. v. encostar. 64 Arrimarse. aiecoc. n. inniti. 65 Arrogante. robiáçareýma. 66 Arroido ou estrondo de gente. nhemöaiú. 67 Arrotar. xe ëú. ructare. 68 Arroto. ëú. ructus. ructatio. 69 Arrotar fedorento. äuren. v aurẽ. 70 Arroto, com que vomita ou bota alguma cousa, que [|] comeo, pelas ventas. xe ëú aparár. 71 Arrouparse. aiëaomondéb. 72 Arroz. abatý. 73 Arrufarse, id est Agastarse. xeputupáo. 74 Arrufarse id est, estar desconfiado. aiemurõ. tomar por [|] mal alguma cousa. aimböacý. 75 Arrugar no rosto. amonhynhýng. com [como] tobá. ut: omon=[|]hynhýng nde rová [‘tua cara está enrugada’]. e se lhe ajunta a cousa, ou o [|] nominativo. 76 Arrugado estar. xh xenhynhýng. 77 Arrugar se assim no rosto, ou estar arrugado no rosto: [|] xerovanhynhyng. 78 Arruinar act. id est, fazer vicioso amoangaipáb. 79 Arruinarse, ou fazer se vicioso anhemoangaipáb. isso [|] he no moral. 80 Arruinar alguma cousa. amoaíb. amocanhém. 81 Arruinarse assim alguma cousa. jäíb uán e se he cousa [|] que apodrece jäib uán, v ijúc uán v nití catú. 82 Arrumar id est conservar. ainongatú. si quer dizer [|] concertar. amocatyrõ se he ordenar ou dispor bem [|] algumas cousas. napatucái ut: tenhé epatucá [‘não arrumes!’].


114


115 [folio 6 recto – 1° col.] 83 84 85 86 87 88 89

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

22

23 24 25 26

Arquejar de cançado. xe ucüár. vul anhepocá v aiepocá Artelharia [artilharia]. mocába. Artelhos. pÿapé. Artifice. monhangára. Arvore. ybyrá úba. aliás: yba. Arteria. jande ragýca. Artemija [artemisia] jatiunána. As AS As vezes. amóramé As avessas. cupé cotý. Asa do passaro. guyrá pepó. Asa do vaso. nambí. rel. inambí. v pycycába. idem de [|] asa do cesto. Asco. jegoarú. tædium Asco ter. aiegoarú. çuí. tædio offici Asnerão ou pouco entendido. tecoab tecocuabeýmuçú [|] vul. jacuáymuçú. Asno. tapití goaçú. vul. tapirí goaçú. aspera cousa ao tacto. icorói v çaimbé rel. Aspero ser assim. xecorócorói. Aspero ser o matto. cäáaíba. Aspero ser o caminho. peäíba. Aspero ser na falla. xenheéngacý. Assada cousa. mbäé mixíra. pirá mixíra. peixe assdo [assado] [|] geralmente cousa assada. mixíra. Assar. amixír. Assanhado estar. anhemoyrõ. N. vul. xepyäíba v xeputu=[|]páb. excandescere. irasci. Assanhar. amo nhemoyrõ. act. vul. amopÿäíba. exasperare. Assanhar o animal. amonharõ v amoiarõ. irritare. Assanhado estar assim. aiarõ. ut: iagoára oiarõ [‘o cão está assanhado’]. Assentado estar, v assentarse. agoapýc N. Assentar. act. amogoapýc. fazer ou mandar, que se [|] assente. amogoapýcucár o pro se diz também [|] de huma cousa, que se abaixa com a maõ vg. de [|] herva em huma panella. Saõ com tudo, que dizem [|] neste sentido: amopýc [amoapýc]. sic in priore neutro: apýc [aguapýc ‘estar sentado’]. Assim, como já. jabè, nungára. Assim nem mais, nem [|] menos. jabetenhé, v icatútenhé. assim desta ma=[|]neira como tu dizes. jabé – assim desta, e naõ de [|] outra maneira. jabé catú. Assim assim. voz de alegria. héhé. assim he. anhé [|] v anheté. Assinalar, designare. açaanganóng. vul. ainong çäan=[|]gába Assinar em carta. subscribere nomen. acoatiár xeréra [|] ou só o dito verbo. Assoar, aiambüóc. v aiabüóc. act. nares emungere

[folio 6 recto – 2° col.] 27 Assoarse. aieambüóc. 28 Assolar. destruere. amocanhém. 29 Assombrar a outrem. amocykyié. v amóacanhém. v [|] amondýc. terrere 30 Assombrar como viçaõ [visão]. os dos verbos 31 Assoprar. apejú. apejúpejú. freqʒ. 32 Assoprador. pejuçába, id est instrument. pessoa que [|] Assopra: pejuçara. 33 Assoviar. atumunheéng. v atomonheeéng. 34 Assoviar com os beiços. ajempý [ajemepý] sibilare. 35 Assoviar com as maõs. aipopý.

1 2 3 4

5 6 7 8

9 10 11 12 13

14 15 16 17 18 19 20 21

22

A T. Atabafar. aicüacúb. occultare. Atadura. pocoaçába. ligamen Atalhar, ao que foge. acenondeàr. açokecým. Atalhar ao que falla anheénga renondeár, ut: tenhe [|] ecenondear xenhëenga naõ enterrompas minhas palavras. Atalhar. impedire. amöabaíb. Atambor. goarágoaçú. Atar como hum caõ pª naõ fugir. anhapotí. vul. aiapotí [|] item apocöar. Atar as maõs com qualquer cousa. apocöar. esta palavra [|] vulgo se uza em qualquer modo de atar, seja pelas maõs, [|] pernas etc sendo disso a propria palavra: [|] aiapotí. Atear se o fogo de huma cousa a outra. aiepotár. ut: [|] oiepoár tatá óca recé [‘o fogo pegou na casa’]. Atemorizar. amocykyié. Atemorizar se . acykyié. Atizar [atiçar] o fogo. amocatyrõ tatà. ignem construere, componere. v ignē excitare Atizar [atiçar] o fogo ao que se cose. açatupú [açatapú]. vul. amocatyrõ [|] v amongatyrõ tatá. ignem supponere. [Tupinambá asatapy] Atirar, præcisè, sem attender ao acertar. açaáng. Atoleiro. tujúca. v tujúcuçú. Atordoar. se he render a outro meio bebedo .a. amore=[|]çáguyrú Atordoar se do d° modo. xereçáguyrú Atormentador. memöãçáruçú. Atormentar. arecómemöã eté v arecóäibeté. Atraz de alguma cousa. çakypoéri vul. çakycoéra. [|] ut. nde rakycóera. atráz de ti. Arib Atribolado estar interioramente [interiormente]. aicótemé. v aico=[|]temétemé. v xepýaíbeté Atribolar [atribular] assim. amoingotemé. vulgo amopÿaíb.


116


117 [folio 6 verso – 1° col.] 23 Atrigarse, nimis festinare. aieçapyá. v xeranheté. [|] tambem algumas vezes se lhe ajunta a cousa, qdo se naõ [|] tem fallado ainda, em que tem pressa. 24 Atrapalhar. aiapatucá. v aiemöapatucá. a. 25 Atrapalhar se. aiëapatucá v anhéapatucá N. 26 Atropellar, id est, vexare. aicó. recé. 27 A troco. cecobiárarama. 28 Atulhar. Aporacár. v amotynycém. v amopór 29 Aturar. aicó pucú. durare. 30 Atolar de qlq͡ r modo, ou em cama ou arca, ou terra, [|] xepyeráo.

1 2

3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

1 2 3 4 5

6 7 8 9 10 11 12 13

A U. Avanar. v. abanar. Avantajado ser a outro. çocé ut nde çocé ixé. sum te melior. [|] naõ se uza. vul. pyrý. ut: ixé catú pyrý nde çuí [‘eu sou melhor do que você’]. Avantajado ser, ou levar vantajem em correr. aieiocöén v aie=[|]ioquén. Avante. adiante. adv.amongotý. ut tába amongotý. da aldea [|] para diante. Avaro ser. v. escasso. Ave. guirá v guyrá. ave de rapina: guyrá goaçú v uçú Avesso, contrario do direito v.g. no panno. pý. ipý rel. Aviarse se. v. aparelharse. Avizado, entendido, discreto ser, xetecócuácatú. abá tecó=[|]cuácatú. pessoa discreta. Avizar. amomorandub. v amocüab. v acuábucár. Avò. homem. tamýia. vul. tamýnha v.g. xeramynha. Avò [avó], femea. arýia. Avoar abebé. Ausentarse. aïegoacèm N. amoiegoacèm. act. removere alium Ausente. jegoacémbára Austera pessoa. aba äíba. Autor. monhangára. AZ Azeda cousa. çái. rel. Azedo ser. xerái. Azedar alguem contra outro. amoirõ. Azedar o caõ, pª qʒ aremetta [para que arremeta]. amonharõ. amoiarõ. incitare. Azeite. nhandý, v jandý. azeite de peixe, pirá jandý. [|] azeite de tubaraõ ou balea, iandynéma. azeite [|] de coccos. iandý eté. Azeitonas. iandyá. Azinhabre. itánéma repotí. Azougado. xereçaguyrú. Azogue. itá ecobé. Azul cousa cäa obýbäe. vul. cäá obýväé Azul ser. xerobý. çobý v çový. rel. Azinha celeriter. eçapyá. coritéi [coriteĩ] Azinhaga, angiportus. ocapú piaçava. v = aba [piaçaba]

[folio 6 verso – 2° col.] Quædam, quæ desiderari possunt in littera A.


118


119 [folio 7 recto – 1° col.]

[folio 7 recto – 2° col.]

BA 1 Baba. tendýcyrýca. saliva. 2 Babarse. xerendycyrýc. Salivare 3 Baça cor, id est, fusca. pytãnga. 4 Baço. peré. 5 Baceira, ou baço doença peré. 6 Bacia, ou bacio do [de] estanho. itanhäé prato. nhäé, ou pratu 7 Bacio, servidor. cäápába. Topin. potiába. 8 Bocaro [bácoro], id est, porculus, v nefrens. taiaçu raýra. 9 Bafejar, ou vaporar. atimbór. e se he pessoa, ou cousa viva, xeputüé v xeputüentüé. freqʒ 10 Bafio ter. xeiuruném. 11 Bafo de pessoa. jurutimbóra. 12 Bafo como de cousa quente ou vapor. timbóra. 13 Bahía. paraná goaçù. 14 Bailar. aporacéi. 15 Bailo. moracéia. vul. dicunt, ut mihi videtur, vitiosè: poracé. 16 Baixa cousa. atúca. id est, curta. 17 Baixo, ou baixio. typyeýma. vul. niti typý. 18 Baixo fallar anheéng meué. 19 Baixa maré. typáva. typátaë paraná? R. typáuàn. 20 Balanzar [balançar] se na rede. aiatimóng. 21 Balanzar [balançar] a outro. amoiatimóng. e assim se diz, balanzar [balançar] o turibulo. 22 Balanzas [balanças]. mbäé raangába. 23 Balizar. amoçaangáb. v açaangáb. 24 Banca redonda. Apycábapoá 25 Banco. apycába pucú. – Banquinho. apycába mirí. 26 Banda ou parte. cotý. própriè: versùs. 27 Bandeira. beráberápába. 28 Banha ou qualquer gordura. cába. tirada ja do animal cabacóera. icába rel. 29 Banharse. v. lavarse. 30 Banhos, ou denunciacoẽns fazer dos que querem cazar. amoçapucái 31 Baquete [banquete]. carugoaçú. vul, jantar uçú. 32 Baratta, animal. arabé. 33 Baratta ser no preço. naxerepýeté. vul nití cepýgoaçú, rel. 34 Barba pelo queixo. tendýba, e pelos cabelos: cendybába. 35 Barbear. acendybába apín v acendybauóc v amonhang cendybaba 36 Barbeiro. moroapindára. 37 Barboleta. panáma. alii: paná panáma. audivi etiam: panápaná 38 Barca ou barco. ygára. 39 Barra de portos. tymbyaçába v yrymbyaçaba ut: ygarapè rymbyaçába (‘a barra do rio’). 40 Banda de alem. çobaia. 41 Barranseira. ybyáma. 42 Barrancos. ybyáma. 43 Barrar como caza. aiapetéc. aybypetèc. limo obducere. alibi: amo tuúm v amuúm 44 Barreiras junto ao mar, ou em terra alta. goarapiránga. 46 [sic] Barrete. Acángaoba poá. 47 Barriga. tighé. vul. mariga. de virilha a virilha também

49 [sic] Barriga da perna xeremitymarõo [xeretymãroo]. 49 [sic] Barriga [barrica] de louça. tujúca. 50 Barro. nhäuúma vul. tujúca. o amarello: tagoá. o vermelho com que se pinta: tagoá piránga. de outra casta, que naõ he muito vermelho. corí. 51 Barqueiro. ygára rerégoara [rerecoara]. 52 Basta, imperat aujè. alii auié meliùs. 53 Bastardo.agoaçá membyra. 54 Basto ser o matto. xeaibuçú. ïaíbuçú rel. 55 Batalhar. apocóc. recé. 56 Batáta. jetýca. 57 Batel do navio. mergantímuçù membýra. 58 Bater com a maõ ou cousa, que nella tem, como sino etʒ amoapú. e se se bate com a pedra ou pao: amotác. ut: abápe omotác okéna? (‘quem bate (n)a porta?’) 59 Bater com os dentes por frio. xerembebatác v xerembe jetic [xerembétitíc] v xeranhatatác. 60 Bater a porta. amotác. 61 Bate me o coraçaõ. xepyatitic. 62 Bastão. mococába. alibi: pococába. 63 Bautizado. imoiaçukipýra v imongaraibipýra v cerokipýra. 64 Bautizar. amoiaçúc v amongaraíb v aceróc. pe ͫ pprium [per nomen proprium] 65 Bautizar se. aiaçúc m v anhemoiaçúc. idem qd [quod] lavarse. hinc addi potest: y caraíba pupé. mihi videtur magis ppriū: amoiaçúc et magis theologicū [theologicum] si valorē [valorem] specto 66 Bautismo. nhemoiaçúca. cur non: y caraiba nhemoiaçuca ? 67 Bäu [baú]. patuá. BE 1 Bebado. çabeúpóra. 2 Bebedo estar. açabeúpor. n. amoçabeúpór. act. embebedar a outro. 3 Bebedice. çabeupóra. 4 Beber aü. beber agoa. aúỹ [aúý] beber vinho, acäú. dar de beber vinho: amocäú. – beber poçánga, apoçangüú. 5 Beberagem medicinal. moçanga v poçanga. 6 Beiço de cima, apoá. de baixo: tembé. 7 Beiço ou bordo das vasilhas. cembé. rel. 8 Beiçudo. tembégoaçú. 9 Beijar. apytér. 10 Beijar no rosto. açovápytér. v açobápytér. 11 Beijar na boca. ajurúpytér. 12 Bella cousa. mbäé poránga. 13 Bellesa. moránga. 14 Belliscar. apixám. 15 Belliscar a comida. apipín v apopín. 16 Bem. catú. 17 Bem está. anhé. Bem está assim: auienhé. 18 Bem estar. aicò catù auié. v auié xeracò. 19 Bem fazer a alguem, tratar bem. arecó catú e se he ainda com obras: aimocuár. recé. 20 Bem querer. açauçúb. 21 Benignidade. morauçubára. 22 Benignidade usar. açauçubár. 23 Benigno ser. aporauçubár 24 Bens de fortuna. mbäé. xembäé arecó. tenho bens


120


121 [folio 7 verso – 1° col.] 25 26 27 28 29 30 31

32 33

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

1 2 3 4 5 6 7 8

9 10

Benta cousa. mbäé caraiba. jmongaraibipýra. rel. Benzer ou consagrar. amongaraíb. Benzer ou dar a bençam. açobaçáb. Bespas cába. Benzer se. aiobaçáb v aieçobaçab. Bestial. tecócuabeýmuçú Bexiga, doença. vul vexiga. Topin. biratí v biráiba v bitatá. miraiba v piraiba. miraibora. o qʒ tem bexigas Bexigoso ser no rosto. xerouapupuc. doente da dª doença vexiga rembiàra. Bexiga de ourina. týurú. v carucába v carúca ruru, v tyrurú. B I. Bica qualquer de agua ou corrente estreita. ýtororóma vg. a bica do lavatorio. alii: ytorõbaba. Bichinhos de agoa sediça, que se geraõ nella. yreçá Bichos, que entraõ nos pes. túnga. tumbúra, alius: tombúra. Bichos dos paos ou da terra. yçóca. Bicho, que costuma gerarse no biscouto, algo rodondo [redondo] e vermelho. corëá. Bichos, que se comem, e nascem dentro dos paos e canas. turú. Bichos, que comem e roem pannos, paos etʒ. cupií. Bichos da carne et peixe podre. tapurú. Bicho, que se gera no milho algo comprido et preto çoçóca Bico do passaro. tĩ, em quando esta no passaro. se he cortado: tĩcoéra. bico da frecha. uubatĩ. Bizouros. mamangá. Bicodes [bigodes]. apöá ába Bisavó. tamýia. vul tamúnha Biscoito. miapé antã v ãtã. Bispo. Abaré goaçú. Blasphemar. Atupán momburú. v amomburú. Blasphemo. Tupã momburuára. v momburuçára. Blasonar. Se poderà dizer: anheengatú xeioecé. a tertia pessoa faz: oioece ut: onheengatú oioece, id est: falla bem de si. B O. Boa cousa. mbäé catú Boa condiçao, ou homẽ de boa condiçaõ. ába [abá] catú v angaturáma Boa disposição ter. xecatú aicó. v xekyrymbáb. Boamente, ultro. xeremimotára rupí. Boas noites. jandè pytúna. Boca gerlnte . iurú. Boca pôr em alguem xejurüar recé. fallar contra alguém anheeng. recé. Bocca ou entrada do rio. tymbyacába [tymbyaçába]. tambem chamaõ aos indios das aldeas de baixo tymbyaçaba ygoára. ou a canoa que vem de baixo. ygára öúr tymbyaçába çuí. Bochechas de gordo. xeretovápegoaçú. Bochecha iandé ratypý Bocca do estamago [estomago]. xepyá.

[folio 7 verso – 2° col.] 11 Bocca da noite. pytúnypý. 12 Bocadinho, ou pouco. miri. 13 Bocado ou pedaço. acicoéra v pecemoéra. ïacicoera v ipecemóera. rel. 14 Bocal [boçal]. homem. ába [abá] iacüaým. 15 Bocejar. oscitare. aieiurú piràr. 16 Boceta. patuá miri. çurú. 17 Bode çuacuména [çuaçuména] apyába. 18 Bofe. pyá bebýia. 19 Bofetada. tobápetéca. Bofetada dar. açobá v açóvápetéc. Tobapetecara, o que dá; tobapetecaroera, o que deu bofetadas. 20 Bofete. ybyrapepa [ybyrapeba]. trapeza (Bluteau: do grego ´mesa´) 21 Boy ou vacca. tapiira. ajuntando lhe Apyába, se he macho. e: cunhã, se he femea. 22 Boy sylvestre. tapiíra cäápóra. 23 Bolicozo [boliçoso] teconhoteýma. v ábä [abá] oiconhoteýma. 24 Bolicozo [boliçoso] ser. bolir muito. naicónhóte. vul. niti aiconhóte. 25 Bolinho de pao [paõ]. miapé mirí. 26 Bons dias. jande cöem. 27 Bolir em alguma cousa. aiabyký. 28 Bolirse como prego, ou dente mal fixo etc acüé v acatác. 29 Bolirse por levantarse, qʒ está deitado. abýr. 30 Bolorenta cousa. çabé. 31 Bolsa. itá júburú. 32 bom em condição. mará catú. bom ser de condiçaõ; xeangaturám vul. xecatú. 33 Bomba de fogo. tatá goaçú. 34 Bombarda. mocába. 35 Bombardeiro. mocamondycára. 36 Bonazoso [bonançoso] dia. ára catú. 37 Bonazoso [bonançoso] estar o mar. paraná catú. paraná poránga 38 Bondade. angaturáma. 39 Bonita cousa. iporanghi. v iporangáira [iporangaíra] v icatú äíra. rel. 40 Boquejar ou fallar por entre dentes. aiururúc 41 Boquejar ou abrir a boca. aieiurupirár. 42 Boquejar ou com a boca provando. açäáng 43 Boquejar, como o que está morrendo. xejurujúruiai v xeiurúiár. se quer dizer, que está arrancando aiekýi. 44 Boqueiraõ. icoarána 45 Bocquinha. iurú mirí. 46 Borbulhas como de sarna. curúba. 47 Borda de qualquer cousa. cembeýba. 48 Bordaõ, ou pao que se traz nas maos [maõs]. ybyráçánga v mococáva., alibi pococáva 49 Bordinha. cembeýi 50 Borde [borda] de canoa, ygárembé. 51 Borra de licor. typyáca v tepotí addendo o liquor. 52 Bornir. akytýc v amocym. polire. lævigare. 53 Borracha. urú. caoĩ rurú. 54 Borrado, ou çújo. ikyá. 55 Borralho 56 Borrar, ou risgar [riscar]. açair. delere. oblitúrare. amogoeb ita m̅ [em] Guarani 57 Borrar ou çujar. amokyá.


122


123 [folio 8 recto – 1° col.] 58 Borrasca. ybytú aiba v guytú aiba. 59 Borrifar. acepýi. acepycepýi. freqʒ. Cate. acypyi. pag. 20. borrifarse aieypyi, Cat. pag. 19. 60 Bosqo [bosque] v bosqʒ. [bosque] cäaeté 61 Bosque, viveiro de muitos passaros. guyrátýba. 62 Bosta. tapiíra repotí. 63 Botãm do vestido. potäi. aóba potái. 64 Botar, id est, lançar fora da casa, ou levar fora, o que ha de ir por si. amocém. o que se ha de levar. arocém. 65 Botar ou lançar gerlmte. aimombór v aitýc. 66 Bote de nao. mergantinuçú membýra. 67 Botica. moçanghetá róca. 68 Boticario. moçánga rerecoára. 69 Boubas. piã: (rasura ilegível) Anchieta: miã. miãbora: o qʒ tem boubas 70 Bozina. Mimbýgoaçu. tudo que se tange com folego, se diz: mimbý. se he peqª mimbý mirĩ. xeremimbý 71 Bozina tocar. aiopy mimbý v aimimbý. composto. B R. 1 Braça ou braçada. çaangába. 2 Bracinho. gýba [gybá] mirí. 3 Braço gýba [gybá]. sovaco delle. pepuyra v gýba [gybá] guyrá. 4 Braçudo. gýba [gybá] goaçú. 5 Bradador. çapucáitára. 6 Bradar chamando. açapucái. recé. açapucápucái. freqʒ 7 Bradar, pª que lhe acudam, ou com dores. xeracém. 8 Bradar assim mto a miudo. xeracéracém. çaceçacém. rel. 9 Bradar com alguem reprehendendo o aiacáb. vul. aiacáo. 10 Bradar qualqr animal. anheéng. 11 Bradidos. nheénga. se he por dores. xeracém. çacema. rel. 12 Branca cousa. tínga bäé v morotingabäé. vul. uäé [morotingauäé] 13 Branca ou branco, fallando de gente. abá tinga. caraíba. 14 Brandir arco, aurapapirár. devia estar: aybyra etc pairapirar v apirár. 15 Branquejar. amoting. v amomoroting. dealbare. 16 Brasa morta. tatapunha. viva tatapúnha cendýbae v uäe [cendýuäe] 17 Braseiro. tata urú v tatárurú. brasinha. tatapúnha miri 18 Brasil pao. ybyrá piránga. 19 Bravo ser de condiçaõ. angaipáb. aporoiucaíb. 20 Brear. akytýc. vul. amoycýc. 21 Breu ycyãtã [ycycãtã]. vul cycãtã. 22 Briga. marmamonhanga. (rasura ilegível) maramonhanga 23 Brigar com alguem. amaramonháng 24 Brigoso ser. xemaramotár. 25 Brigosa pessoa. abá maramotára. 26 Brilhar, aberáberáb. freqʒ. 27 Bringador [brincador]. moçaraîtara. 28 Brincar dos meninos. nhemoçaráia. os dtos brincos idʒ [id est] o lugar: nhemoçaraitába. 29 Brincar assim. Aiemoçarai. anhemoçarai.

[folio 8 recto – 2° col.] 30 Bringar [brincar] com alguem deshonestamente. amomorang. amoiarú. este sg° pode ser sem peccado. 31 Brincos deste genero pr° nhemomoránga. 32 Broquel do [de] ferro ou bronze itagoaracapá. 33 Broquel do [de] pao ybyragoaracapá. 34 Brotar as arvores. cenhýi. rel. 35 Bruto, ou homẽ que naõ sabe nad.[nada] abá cüabeýma. vul. jacuábeýma. 36 Bruto. animal. çoó. 37 Brutamente, id est stolidè. ïacangäíba rupí. rel. 38 Bravo ser. xerecá eté. 39 Bravo,qʒ arremte [arremete]. aiarõ.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

BU Bucho. tyghégoaçú Bucho do braço xegybá röó. Buço da barba. xerendebáb ypy. Bulhaõ, se he de agoa yrurú. se he de doce: ceẽrurú etc Bulha. maramonhánga. Bullir fervendo. apopýr. aliás: apupúr. v. ferver. Bullirse, movere se. acatác. Bulraõ. impostor. aba poxí. aíb Buraco, ou buraca. coára. Buraquinho. coára mirí. Burnir. akytýc. akytýkytýc. freqʒ. lævigare. Buraco no chaõ, ou cova. ybycoára. Buraco fazer em algu͡ a cousa. amombúc alii: amopúc item amobúc v. in fine. uc. item furar. Burbulha. curúça [curúca]. Buscar. acecar. buscar a miudo. acecacecár. freqʒ Bustela. moréba. vul. poréva. aliás: peréva Bustelas ter. xeperéu. xeperéperéu. freqʒ. Buzio. goatapù. seu grande, seu peq°. Buscar em casa, e virar os cantos da casa pª buscar. amomurõ xeróca.


124


125 [folio 8 verso – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39

40

C A. Cá v aqui. ke v iké. Ca ou pª cá pª esta ou pª estoutra parte. kimongotý. v cocotý. Caãs ter. xeatíng. Cabaça, cucurbita. jurumú. Cabaço ppriè. cúia. ut: xerecúia. nde cúia. cerecúia. Cá. mais pª esta pte kymongotýbe v kymongotý pyrý v cocotý pyrý v cocotýbe. Cabeça. acanga. fora do seu corpo. acangoéra. v acangagoéra. Cabeça do rio. yapýra. v ygapyra Cabeçada dar eu mesmo. anhecamutác [anheacamutác]. Cabeçada dar em outrém. aiacamutác. Cabeçal. acangapába. v aramapára. Cabeceira como quer. ut sup [supra]. Cabeça do monte. ybytýra racapýra. Cabeçudo ser. xeacánguçù. Cabelleira postiça ou fora da cabeça. agoéra. Cabello da cabeça. aba. Cabello, qʒ naõ he da cabeça. rába: ut xerába. Cabo de qualqr cousa. çopytà v çacapýra. Cabo ou fim do lugar. çacapýra. Cabo como de carta. apýra. Cabo como de fouce ou qualqr outra cousa. yba. ut: kycé ýba (‘cabo de faca’). gý ýba (‘cabo de machado’). Cabo, ou ponta de terra. çopequá v çopecoá. Cabra. çuacuména. alii: çuaçúme. este he a cabra. o pr° he o bode. Caçador. cäamondoçára. andar a caça. caäbo aicó. vul. aço cäamondó v acaamondó. caõ caçador. çoó rupiára ut: iagoara çöó rupiára. Caçaõ peixe. cucurí. Caçar de qualqr sorte. acaamondó. Cachinho. rarýba mirí. Cachoeira. Cacho de pacovas etc rarýba. ut: pacóva rarýba. Cada, cada hum pabe jabiõ. vul. pejabejabé. Cadarrão [catarrão]. üú Cadarro [catarro] ter. xeüú Cada dia. ára jabiõ, e assim todos os mezes etc vul. ára iabé Cadea de ferro ou corrente. itapucúçáma Cadea, prizaõ. mondé róca. os preços [presos]: mondepóra. Cadeira, ou qulqr [qualquer] assento. apycába. Cadeiras parte do corpo. tumbý. v cüá. Cacado [cagado] de agoa. jurará. da terra jabutí. Cacar [cagar] apotí. vul. acäao. ir a este effeito. acäápe açó. v caápe açó. Caga fogo. ouá

[folio 8 verso – 2° col.] 41 42 43 44 45 46 47

48

49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75

76 77

Cayar, branquear. amoting v amomoroting. Cahindo estar com sonno. xekerár. Caindo de tudo com sono. xekeräár. Caindo o que está assentado, ou semelhante. äár. Cair como pote, baril [barril] eʈ [etc.] rodar. aiereieréo. xeaparaieréo. Cair, como quer. äár. Cair como fruta de arvore, ou o cabello etʒ que caem por si mesmo. acúi. acúcúi. freqʒ. ocúcúi oca. cahio a casa. Cair em rede ou qualquer armadilha. äár e tanto monta que se refira a armadilha como ao cair de maneira que se diz: öár çoò mondépe. cahio a caça na armadilha. ou: öár mondé. cahio a armadilha. caçóu. Caixa, caixaõ. caramemoã Topin. vul. patüá, e se for grande: patüà goaçú, peqª mirí. Cal de pedra. itã [itá] cuí. Cal de ostra. rericuí. Calafate. ygaraoçára. vul. ygára mocatyrõçara. Calafatar. aiöó. Callar. anheengumé. Topi diz: anheengdóc. Callar pª penetrar. aipyamonghetá. Calcanhar. mytá. ut: xepytá (‘meu calcanhar’). alii pygta. Calcar com os pes. apyrýng. apyrúpyrúng. freqʒ. recé. alii: apyróng. Calcar com a ponta do páo. aioçóc. Calcar com as maõs. apypýc. alii: aiapypýc. Calçado, çapato. pyäóba. Calçar o çapato. amondéb pỳ aóba. vul. çapatú. Calças, meias. retymaóba. Caldeira, caldeiraõ. jtanhäé pepó. e se for grande como do engenho itá nahe nhäé pepó göaçu. Caldo. cekycý. tycoéra. Caldear ferro. amopirángatú itá. ut: emopirángatú gý (‘caldeie o machado!’) Calhaõ [calháo]. itá goaçú. Caliz. itá camocí Callejar gerlmte. amopirüá, callum obducere. a. Callejar as maos. amopópirüá. act. indurare manus. a Callejar os pes. amopypiruý. act. indurare pedes. Callejar se as maõs. neu. anhemopopiruà. v xepopirüà Callejarse os pes. anhemopypiruà. v xepypiruà. n. Calma, calor. piracubóra. Calma ter. xepiracubór. vul. xeracubór. Callo. piruá. os já duros. piruácoéra. e se há sempre de nomear a parte em que estaõ. ut. xepo piruá. callos das maõs. xepypiruá. callos dos pes. se saõ muitos. xepopiruá piruá. Calvo ser. xeapyteréb. v xeapytecuì. Calva. apyteréba. apytecuì.


126


127 [folio 9 recto – 1° col.]

[folio 9 recto – 2° col.]

78 Calumniar. amopuã maranduba çupiýma rupi. amopuám marandúba. 79 Camaraõ. potí. 80 Camaras do sanque [sangue]. teicóaruguy. ter esta enfermidade xereicóaruguý. vul. xerepotí piránga. nota ruguy exprimiʈ [exprimitur] ut: ruguig. 81 Camaras ter com agoa. acäacäao. 82 Camaleaõ. cenembú. 83 Camera. ocapý. 84 Cameréiro. ocapý rerecoára. v xererecoára. 85 Cambada de qlq͡ r cousa. apytáma. 86 Cambada fazer. amöapytám. 87 Caminhante. atára. vul. vataçara. 88 Caminhar. agoatá Topin. vul. avatá. 89 Caminho de gente. pé. xerapé, meu caminho. 90 Caminho de animal tambem pe. ut: páca rapé. çuaçurape. bóiarapé (‘caminho de paca. caminho de veado. caminho de cobra’). 91 Campa. itá maracá. grande: goaçú v uçu, pqª mirí. 92 Campanario campanario itá maracá ambába v rendába. 93 Campo, campina. nhúm. 94 Cana de assucar. tacoareẽ. vul cana v uubaẽ. 95 Cana brava. tacóara. 96 Cana de leme. çopytà erobaçaba. v leme ýba. 97 Cana de braço. cánga. 98 Cana ou vara de pescar. pinda ýba. 99 Cana fistola. marímarí 100 Canal de tomar peixe. parí. 101 Canal de agoa. ý rapé. 102 Canastra. balaia. 103 Canaveal de assucar. uubäetýba. 104 Candieiro. tatárendý urú. 105 Canella da perna. tetymacánga. de braço. gybacánga. 106 Canóa. ygára. 107 Canoa que naõ tem rodela. ubäá ouvi obá 108 Cans na cabeça. atínga. ter cans v caãs. xeating. caãs ter as barbas. xerendýbating. vul. xerenduating. 109 Caõ animal. jagoára. v jagoamimbába. naõ se diz: xeiagoara. mas: iagoára xereimbaba. 110 Caõ de agoa. jagoára uúù. – de caça: çoó rupiára. ajuntando lhe: iagoára. 111 Cançado estar. xecaneõ. 112 Cançado de trabalho e fazer trabalhar. caneõçabuà [caneõçabuã] 113 Cançaso. canëõ. 114 Cançarse. anhemocanëõ. N. 115 Cançar a outro. amocanëõ. 116 Cantar. anheengár. 117 Cantar a ave anheéng. ao cantar do gallo. çapucáia nheéngaramé. canto do passaro. guyrá nheénga. 118 Canto ou solfa. nheengaçába. iʈ [item] cantiga, idem.

119* Canto da casa. ocapý çoã v ocapýracapyra. v çoã. 120 Cantor. nheengaçara. e se he o mestre do canto. nheengaráiba. naõ tem uso. Porqʒ [porque] nem tem canto, nem mestre. 121 Capado. çapiaokipýra. 122 Capador. çapiaokára. 123 Capar. açapiaóc. 124 Capitaõ ou qlq͡ r principal, que tem mando. Tubixába e se tem muita gente sugeita. morobixába. 125 Capitulo, lugar do conselho. nhemonghetaçába. ordinarie s ante a in ultima syll. faciunt u 126 Capoeira. çurú. çapucáia rurú. 127 Cara, rosto. tobá ut: xerobá (‘mina cara’). 128 Cara cousa. çepý eté mbäé v cepýmarãgatubäé. 129 Caro ser. cepý eté. rel. v cepý goaçú 130 Caranquejo [caranguejo]. uçá. 131 Caranguejos tirar. aoçaóc. saõ de varias castas. os de duas pontas agudas, e se prendem pelo fundo, e entre as pedras: cirí. que sobem pelas arvores: çarará. 132 Carapado [carrapato]. jatiúca. 133 Carapuça. acangäóba. 134 Carecer. narecói. vul. aicotebé v nití arecó. 135 Carcere. mondé. 136 Carcereiro. mondé rerecoára. 137 Carga, onus. pocýitába. 138 Cargo, officio tecó. ut: xerecó, meu officio. 139 Caridade rauçupaba. Tupã rauçúpába amor Dei. 140 Carne gerlmte çoó. assim tambem se diz carne a polpa do peixe, ou fruta ou pao. ut: ybyra röó (‘polpa da fruta’). 141 Carne já tirada do animal. çöocoéra. 142 Carpentejar. aibyrapán v anhopán v aiopán v abyrapán 143 Carpenteiro. ybyrapandára. carapína. 144 Carrancudo. çobáacý. 145 Carranca. míra robá. 146 Carregar trazendo. arúr. 147 Carreiro, caminho estreito. pe mirí. 148 Carreto, ou carro. ybyrápararánga vul. panacú. 149 carta ou escrito. jcoatiaripýra. vul. papéra. 150 carvaõ. açapù tatapúnha.fazelo: açapú tatapúnha 151 Carvoeira ou carvoeiro. tatapúnha monhangára. 152 Casa. óca. casa de pedra. itá óca. 153 Casada ou casado mendaripýra. vul. mendaçára. 154 Casar. amomendár. act. recé. 155 Casar se. amendár. recé. 156 Casca antes de ser tirada. píra. tirada piréra. 157 Cascavel. itá maracá mirí. 158 Casco da cabeça estando ao corpo. acánga. tirando ou a caveira acángoéra. 159 Caseiro, ou que tem cuidado da casa. óca rerecoára. *

Os números dos verbetes estão colocados na extrema margem direita da página.


128


129 [folio 9 verso – 1° col.] 160 Caseiro animal. mimbába 161 Caso fazer de alguem. aimoetè. vul. amöetè. naõ fazer caso de alguem. naimotéi. v niti amoeté vul. 162 Castanha. nhã. Coribaré diz. nhũ. 163 Casta. parentela. mú. v anáma. 164 Castidade. moropotareýma. 165 Castigar por obra. arecó aib. arecó mará [marã] v arecómemoã 166 Castigar de palavras. aronhén. inusit. vul. aiacáo. 167 Casto ser. naxeporopotári. abs. vul. nití aporopotár. 168 Castrar. v. capar. 169 Catar. akybóc. ut: xekybóc. fricare caput. item dicunt: acemõni. v. coçar 170 Cataratas. teça tínga v teça túnga. 171 Cativa. miauçúba. 171 Cativar. amomiauçúb. aporomomiauçub. cativar gte 172 Cava na terra ou fossa. ybycoára 173 Cavacos. ybyrá acicoéra. v pecẽcoéra. segmenta ligni. 174 Cavar terra com as maõs. acybycói. he ppmte [própriamente] fazer algum caminho a canaõ [canoa] ou lugar pª g alguma cousa. acybycói. 174[sic] Causar act. amonhang. 175 Cauterizar. açapú. 176 Caveira. acánga pé. 178 Cavallo. cabarú. CE 1 Cebola. Ybanémuçu. cebolinha. ybaraném uçú mirí. tambem ybaremuçú, ut V [vide] Anchieta ait 2 Cedo pela manhaã. jeibé. 3 Cea. cearáma. 4 Cebolar. ybarémuçu týba. 5 Ceder aimonhang cemimotára. v cemimotára rupí aicó hoc est, cedere alicujus voluntati v dictis. 6 Cedula. papéra. 7 Cegar alguem lancando [lançando] lhe po nos olhos. aceçatýb. 8 Cegar gerlmte . amocanhém ceça. act. 9 Cegar, ou estar cego. namaëi. naxereçapyçói. v nitì xereçápyçõ [xereçápyçó] v ocanhém xereçá. qdo de todo os olhos estaõ perdidos. 10 Cego. teçaýma. 11 Cequeira [cegueira], como quer. teçá pyçõ eýma. 12 Cella do frade. ocapỳ. 13 Celebrar missa. açäang missa. vul. amonhang. 14 Celestial. ybakypendoara. vul. ybakigoara v ybacupóra. 15 Cem. oiepé papaçába. 16 Cemiterio. teõcoéra róca. 17 Cenacúlo tembiú róca. 18 Centopéa. ambùà. japevá. 19 Centro de qualquer corpo mossisso [massisso]. apytéra. 20 Ceo. ybáca. ceo ou paraiso. ybáca torýba. 21 Centro de qualq͡ r circulo. pytéra.

[folio 9 verso – 2° col.] 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44

45 46 47 48

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

Ceo da boca Cepo do pao, que fica na terra. ybyrá ybycoéra. Cepo, tronco. mondé. Cepó, armadilha. juçana. id est laço. Cera. iraitý. branca. iraitý tínga. Cerar algu͡ a cousa agtgi aikykytýc iraity pupé. Cerca. cekendapába. Cerca id est junto. tobaké. Cercar ao que foge, tomando lhe a dianteira. açokecím alii: açokicém. v acenondeár. Cercar em roda. anhamán. vul anhatimán. Cerebro. aputüuma. Cerradura. cekendapába. vul. cekendapáva. Cerrar gerlmte. acendáa. acekendáb v. [acekendáo]. Cerrar a porta sem chave ou fecho. açokendáo. Cerrar com chave. amoxaví. Cerrarse, o que estava aberto, como caminho. aiekendáo. Certaã. piriricába. sartago. frigideira. amopiriric. frigir. Certamente. anhé v anheté v çupícatú. Certaõ. ygapýra. Certificar. anheaé. v anheté. v amoçupí. Certo quidam. abá amó. v amó abá. Cerva. çuaçú cunhã. Cervo. çuaçú apyába. Cerveja. caöĩ v mocororõ. Cessar de alguma cousa. apoír. e se compoem tambem com a cousa de que cessamos. ut: açauçupoír. cesso de amar. xearybé. Cesto. panacú. cestinho. panacú mirí. Ceva ou esca. potába v potáva. Cevar, alere. aiopói. amongarù. Cevador. jopóitára. C H. Chaã cousa, como taboa. péva. Chaga qlq͡ r. mereva. xeperéva, minha chaga. Chagado estar. xeperéu. e se saõ muitos xeperéperéu. Chagar. amoperéu. Chama ou lavareda. cendỳ, tatá rendý. item: tatá, só. Chamador. cenoindára rel. ut: nde renõindára (‘teu chamador’). Chamar. acenõi. oiecenõi kicé cobäé Chamar a miudo. acenõicenõi. Chamuscar. acaberéc [açaberéc] sendo caça. chamejar. xerendý rendý. Chamar nomes. acuráo. acurácuráo freqʒ. aceróceróc. Chãm. ybý. Chapeo. acángaaóba. Charco. yypába. alii: ypába Chavasco. ába iacüaeým. Chave. xaví. chave peqª. ah xaví mirí Chaveiro. xaví monhangára.


130


131 [folio 10 recto – 1° col.] 18 Chea cousa. mbäé tynycém. vul.tynycé. ut: patuá tynycém üán item tyrycem (‘a cesta já está cheia’). encher de tudo: amotyrycem. 19 Chea do rio. turuçu paraná. 20 Chegar huma cousa a outra. amoiár recé. 21 Chegar o que caminha. acýc. 22 Chegar o que navega. aiepotár. 23 Chegar como a corda ao poço, e tudo que he chegar. acýc. 24 Chegar huma cousa pª outra. acýc ut: pachicú ocýc xerecé (‘Francisco chegou a mim’). tambem se diz modestmte [modestamente]: apyába ocýc täé nde recé? e quer dizer em bom [boa] linguagem entendeo comtigo algum homem? 25 Cheirar, tomando cheiro. acetýn. N. uzaõ tambem desse verbo, quando [querem] dizer beijar alguma imagem do Sto Christo, ou de algũ Sto ou à [a] maõ de alguem. 26 Cheirar, lançar cheiro de si. xerëapoán. vul. xeracoén ceacoën. relat. 27 Cheirar o assado. xepixé. porq pixé sigfca o cheiro do tal assado. ipixé. rel. 28 Cheiro de peixe fresco ou crú. mitiú. cheirar assim: xepitiù. xepitiúgoaçú. ipitiú rel. 29 Cheiro de rapozinhos. catínga. 30 Cheirar ou feder assim. xecating. 31 Chiar o passaro. anhëéng. guyrá onhëéng. capú onhëéng. 32 Chiar o passaro por dor. xeracém. çacém rel. falldo [fallando] do passaro ou qlq͡ r animal. iagoára oçacém 33 Chiar o ratto. guavirú onhëeng. e falldo [fallando] dos mais animaes. 34 Chico. o chamar dos porcos. curé. 35 Chiqueiro ou coral [curral] dos porcos e dos mais animae tocáia. ut: taiaçu rocáia (‘chiqueiro de porcos’. etʒ çapucáia rocáia (‘chiqueiro de galinhas’). 36 Chimpar. percutio. anupán. vul. 37 Choça tejupába v áva [tejupáva]. 38 Chocar, estar em choco a ave, gallinha. vul. aguapýc. ut: oguapýc çapucáia. Topin. oioupiáerub. 39 Chocar ou tirar o [os] filhos. amoiáb. nacer dos dos fos:oiáb. 40 Choco ovo. çupià ijúc v ijucuán. 41 Chorador. jacéoçára. 42 Chorãm. Aba reçangá. th tenhé nde reçangá. não sejas chorãm. 43 Chorar. aiacëó 44 Chorar ao modo, ou a o que vem de fora. açapirõ. 45 Chover. akýr. ut: okyr amána. oker amána. pára de chover (‘dorme/adormece a chuva’). 46 Choviscar. açaybir v opipíc amána. 47 Choupana. teiupába rel =áva [teiupáva]. 48 Chumaço. cervical. acangapába. amaraaramapára. 49 Chumbo. itá membéca. v jtágycá. 50 Chupar. apytér. 51 Chupar o feiticeiro. apytér. qdo porem o d° feiticeiro aperta com as mãos, e depois assobra [assopra] a pte doente: aixubán.

[folio 10 recto – 2° col.] 52 Chuva, amána. 53 Chusma. mira reýia 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

CI Ciar, ou ter ciumes. xeroirõ. nde roirõ. çoirõ. ut: xe mena çoirõ xe recé (meu marido tem ciumes de mim’). Cidade tabuçú. alii: mairí Cigarra. jakyrána. Cima de cousa aguda çacapýra. por cima. iára rupí Cinco. ambó. Cingir. aicüapoár. vul apocoár abá cuá. apocoár nde cuá. Cingirse. aiecuápoár. v anhecuápoár v aiecuápocoár v anhecuápocoár. Cinta ou cinto. cuápocoaçába v va [cuápocoaçáva] Cinta ou cintura parte do corpo. cuá. Cinza tanimbúca cinza benta. tanimbúca caräíba Cinzento na cor. pytánga. Ciranda, id est vannus. urupéma. Circularmente andar. anhatimatimán. v aiatimatimán Circulo. amandába. Cisco. ytý. Cisterna. y coára v tycoára. Citar. amomorandúb. Ciumes tyyrõ. ciumes ter. xeryyrõ. Cilada. cotti [coty].

C L. Clamar chamando. açapucái. Clamar por dor. xeracém. xeracéracém. freqʒ. Clamor da dª sorte. tacéma. Clara do ovo. çupiá tinga. falldo [falando]. se de ovo de gallª se for de algũ outro passaro; o tal se nomeará. 5 Clara ou descuberta. jcatúpe. v icatúpenhé. 6 Claro estar o dia. ára catú v icatú ára. 7 Clara ser a falla. oiecüacatú nde nheenga. claro està o que dizes. oiecuäcatú xenheénga. claro he, o qʒ digo. 8 Clemencia, piedade. morauçubára. 9 Clemente ser. aporauçubár. v aporauçúbacatú. 10 Claridade de casa. cendý catú oca. nde róca cendý catú. 11 Clerigo de missa. Abaré vul. paí abaré.

1 2 3 4

1 2 3 4 5 6 7 8

CO Coalhada cousa. typyáca. vul. çagic. çatã Coalhar se. amöagìc. estar coalhado: çagíc uán Coar. amogoáb. Cobertor ou cobertura. açoiába v iaçoicáva [iaçoiçáva]. Cobiça. nhemomotára. Cobiçar. amhemomotár. recé. Cobiculo. ocapý . no cubiculo. ocapúpe. Cobra. bóia. saõ de muchmas [muitíssimas] castas. as que mataõ, jararáca. boipeba. çurucúcú. boicoatiára. ybyiára. piririon.


132


133 [folio 10 verso – 1° col.] 9 10 11 12 13 14 15

16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38

39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51

Cobrar o perdido. v. achar. Cobre. itá néma. v itajunéma. Cobrir. v. cubrir. Coça v pancada. Coçar anheỳi N. v aieýi. act: aceýì. v. catar. Cocegas. juçára. Cocegas fazer a alguem. titillationē causare. apokiríc. o freqʒ. faz: apokiríkiric. ut: apyába xepokiríc. hum homẽ me fez cocegas. alii. xemokiric. amokiric Coche. panacũ. e assim carro. Cocheiro. panacũ rerecoára. Coco ou coqueira [coqueiro]. jndaiágoaçú Codea do [da] arvore. ybyrá piréra Codea de paõ. miapé ãtã. Codorniz. inambutínga. Coelho. tapiti v tapiixí Cofo. urú Cofre. patuá mirí Cola. ycýca. Collegio, ou ajunta da gente. mirá reÿia. Colera, bílis. Colher o espalhado. amonöóng. Colher como frutas. apöóc. Colher, id est, tomar. aiar Colher a alguem, fazendo elle mal. apocuçú. Colligir. aipyámonghetá. Coitado e pª pouco. Abá poreauçúba. Coitado estar por algũ cazo. xeporeauçùb. Colchedes [colchetes]. aóba potáia. inusit. Coldre de frechas. uúburù. Collo de pote. ajúra. ut: camutí ajúra. Collo mto delgado: ajúri. ao collo trazer algu͡ a crianza [criança]: amöì [amoĩ] pitánga, ou taýra. e assim dizem, qdo querem a aquietar. ut: amoí [amoĩ] xemembýra (‘ei ponho meu filho no colo’). Coluna de pedra. itá okytá. cat. naõ se uza. Coluna geralmte. okytá. Com præposiçaõ de instrumento. pupé. ut: xe nde nupã ybyrá pupé. Com, sendo de companhia. irúmo v irúnamo. Comadre. atoaçába. Combóça de fem. nhemóia Combate. marána. vul. maramonhãga. Combater. amaramonhang. v apocóc. v apuám recé. Começar aipyrúng. alii. aiypyrung. ppriè [proprie] hoc. Começar a fazer. aiypymonhang. Começo, initium. ypý. Comedor. aba carù. ser comedor. xecarú. Comer gente aporú. v aporuú. Comer. aú. ambäeu

[folio 10 verso – 2° col.] 52 Cometer peccado. anhemoangaipáb. v amonhang teco angaipáb. 53 Cometer ou dar seus poderes. amëéng xetecó. çupé. 54 Cometer aos inimigos. açopenhán. 55 Comechaõ [comichão]. juçára. vul. ivára. fazela. amoiuçár. 56 Comida. miú. tembiu. ut: xerembiú (‘minha comida’). 57 Comigo. tacitmte [tacitamente]. xeioupé. inusit. 58 Como. v. assim como. 59 Como, de que maneira? marampe? vul. maiavetáë. 60 Como está fulaõ [fulano]? marampe oicó fulaõ. vul. maiaveté etʒ 61 Compadecerse de alguem. açauçubár. 62 Compadre atöaçába. 63 Companheira – ou _ ro [companheiro]. explica se per irúmo v irunámo. jrũ irunagoera Bettend [Bettendorff]. pag. 93. in psenti dícitʒ [in praesenti dicitur]: irunaçara v irunamoçara 64 Compassar, ou medir. açäang. v açaangab v moçaangab. 65 Compasso. çaangába. 66 Compor obra. amonhang. 67 Comprar. aiár v apyrupan. Top. aiporepyán. inusit. aporypán ouvi no Xingu. 68 Comprazer. amorỳb. amoapycyc. act 69 Comprazer se. xerorýb. v anhemoapycyc. vul. xeryrỳ, 70 Comprida cousa. mucú. ut: xepucú. sou comprido. 71 Comprimentos fazer. amorýb. v amomorang. 72 Comprir a promessa. amopór. v aporacár xenheénga. 73 Commum cousa usada ser em alguẽ týba. ut: có xepratú týba. 74 Commutar. acecobiár. 75 Computar, numerare. apapár. 76 Com razaõ. çupí rupí. 77 Comsigo. oioirumo. inusit. 78 Communemente. jepí. jepinhé. 79 Comungar. atupãrar. v aiár tupã. N. amotupãrar act. 80 Comunicar com cartas.acöatiár. 81 Communicaçaõ ter. aiecotiár. recé 82 Communicar com algu͡ a. rem habere. aicó cunhã recé. 83 Concavidade. ybycoára. rel. 84 Conceder de palavra. neĩ äé. vul. eré. v aujebéte. 85 Conselho fazer. oioporomonghetá. rel. 86 Conselho joporomonghetáçába v áva [joporomonghetaçáva] 87 Consertar gerlmte. amongatyrõ. amocatyrõ. 88 Consertar, ou fazer bem alguma cousa. aiapó. v aiapó catú. 89 Consertar como o pote mal assentado ou a espada mal posta no prego, et tudo que he consertar: amongatyrõ. 90 Consertar, ou conciliar os discordes. anhomóngatú vel amonhyrõ oioupé. 91 Conchas de tartarugas do salgado. curuána piréra. 92 Concha de qualquer marisco. piréra. ajuntando o nome. 93 Concha grande, que he para colher: itã. 94 Concluir. amoaujé v amopáb. vul. amombáo. 95 Condenado a morte. jucápyráma. 96 Condecender com alguem. amorýb. 97 Condiçaõ. tecó. acüab nde recó. 98 Condiscipulo. nhemboeirúm. 99 Conduto. cembaë este he conforme o portuguez. obsonium


134


135 [folio 11 recto – 1° col.]

[folio 11 recto – 2° col.]

NB 100 Outro nome ha commum ao paõ, e a tudo, que com elle se come; a saber týra. de maneira, que tendo paõ peço itýráma, que he peixe, carne. e tendo peixe, carne peço ityráma, que he farinha. äú öì týreýma. como fª [farinha] sem conduto, o que se ouve a miudo desta gente. öì tyreýma. 101 Confessar. descobrir. act. amombëú. 102 Confessar, ouvi de confissaõ sacmtal [sacramental]. amonhemombeú. 103 Confessar, absltè [absolutè], ouvir de confssaõ [confissão] a gente: aporomonhemombeú 103 Confessor de alguem. monhemombeuçára. 104 Confessor de gente. poromonhemombeuçára. v poromonhemombeugoára. 105 Confessarse. N. anhemombëú. 106 Confessionario. noromonhemombeugoába v moromonhemombeuçába. 107 Confessaõ [confissão]. nhemombëú. 108 f Confiar de alguem ou em alguẽ. aierobiár. recé. 109 Confortar. amöapycýc. porque naõ: amokyrỹbáb?. Confirmaçaõ sagramento [sacramento]: ace cybapé. pai goaçu jandy caraíba nonga: v Tupã rerobia. iepytaçocaba: ita Guarani 110 Confirmar o dito. aenhé. amoçupi. . 111 Conforme a quantidade da cousa. ijabe. rel 112 Confundir, ou misturar amoiecëár. 113 Confundir ou atrapelhar [atrapalhar]. aiapatucá. 114 Confundirse do do modo. aieapattucá [aieapatucá]. 115 Confuso ou envergonhado. v. Corrido. 116 Confutar. v. abater. 117 Congelar. amõatã v amoagíc: alii amogic 118 Congelarse. xeãtã. xeragíc. çagíc rel. 119 Congeiturar [conjecturar]. amöáng. amoangeté. anhandú. amoäú 120 Congeiturar [conjecturar] com fundamento. amoangeté. 121 Conhecer. aicüáb. v acuáb. 122 Conhecer o macho a femea. aicó recé v apotár. v ameno [amenõ]. este he menos politico, e he pouco modesto, como fornicar no portuguez. pois isso sgfca o do vbo [verbo]. 123 Conhecerem se assim. oiopotár. oioiemenõ. rel. 124 Consagrar, benzer. amongaräíb. 125 Consagrada cousa ou benta imongaráibipýra. vul. mbäé caräíba. ut ý caraíba. 126 Consentir com outro. amorýb. 127 Consentir, dissimular, permittir. acepiáki. 128 Considerar. anheangerecó. vul. aipyámonghetá. 129 Consolado estar. xeapycyc. v xerorýb v xerorý. 103 Consolar. amoapycýc. v amorýb. 131 Consistorio lugar. nhemonghetaçába. v jemonghetaçába 132 Consistorio fazer. ou tratar mtos entre si. oiomonghetá. rel. 133 Constante ser. aicó eté xepyaãtã. 134 Constituiçaõ. tecomonhangába.

135 Constituir. amoingó. ut: oromoingó tubixábamo (‘eu te constituo chefe’). 136 Conta gerlmte papaçába. 137 Conta de algarismo, mbäé papaçáva 138 Contas. globos quasqr. mboýra. contas bentas, ou rosario. mboýra caraíba vul. boýra cruzá. 139 Contar, narrare. amombëu. 140 Contar. numerare. apapár. 141 Contaminar. amoaíb ser tal: xeaíb. ïaíb. rel. 142 Contender com alguem. aicó recé. 143 Contentar. amoapycýc. aporacár cemimotára. 144 Contentar se, estar contente. xeapycýc v xerorýb. 145 Continuadamente. memenhé v jepí vul. jepinhé. nhenhé 146 Continuar. napoíri. nití apoír 147 Contra tal ou tal pte. cotý. 148 Contradizer, ou contrariar. aänaé v aanhé. vul. nití jabé. ou nití javé. nití maiavé erenheeng. naõ dizes bem. 149 Contrafazer ou remedar. açäang. açäaçäang freqʒ. 150 Contrario. inimigo. motareymbára. 151 Contratar. aporepyán. Top. vul. aporypán. v. comprar 152 Contrato. moropyána. 153 Contumacia. morerobiareýma. 154 Cost Contumáz ser. naxeporerobiári. vul. nití aporobiár 155 Convalecer. acoeráb. vul. acoeráo. Cate. apoerab. 156 Conveniente cousa. aujé catú. 157 Conversar. amonghetá. aliqui meliùs: aiomonghetá. oiomonghetá. estaõ conversando 158 Convidar ou dar de comer. aiopoi. convidar a comer: acenõi mbäé göabo. 158 [sic] Convidar a roçar. apytirõ. 159 Convite banquete. carugoaçú vul. jantar uçú. 160 Convocar. acenõi. 161 Copia. multidaõ. teýia. mira reýia. 162 Copioso ser em palavras. xenheéng eté catú. 163 Copia de cousa. cetá mbäé. 164 Copo. 165 Copula ter. ameno [amenõ]. v aicó recé. 166 Coraçaõ. pyá. Topin nhyã. 167 Corcova e qualqr cousa de tumor de natureza. candura. i cupé candura corcova v icupekitá. 168 Corcovado ser. xe cupé candúr uçú. itacetyma candyra etʒ 169 Corsa ou corso. çuaçú v çugoaçú, os de campina: çuaçútínga. 170 Corda ou cordam. çáma. mas naõ se poem so por si, senaõ junto com a cousa em que serve. como se he de anzol: pindaçáma. tupaçáma. absl. id est, qualquer corda. cordinha. tupaçáma mirí. cordel. idem. 171 Corisco. tupá. a dffrtia [differentia] de Tupã, que sgfca [significa] Deos. *

Os números dos verbetes estão colocados na extrema margem direita da página.


136


137 [folio 11 verso – 1° col.]

[folio 11 verso – 2° col.]

172 Corno áca. já tirado. acacóera. ïáca. seu corno. 173 Cornuda peixe. paná paná. 174 Coroa qualq͡ r na cabeça. apytéra. 175 Corpo. teté. xereté. meu corpo por este nome se noméa tudo aquillo, que necessmte [necessariamente] psuppoem [pressupõe] alguma cousa, ut: yagaratè ygarareté. – Corpo morto: teõboéra. vul. teõgoéra, si he humano. porq de de outra sorte se ha de nomear, o de que he ut: pirá reõgoéra etʒ v pirá reõcoéra (‘peixe morto’). teõcoéra. – Corpinho. teté mirí. 176 Corporea, cousa corporal. cetébäé. vul. ceteväé e assim outros semelhantes ut: ipixúnaväé. imembauväé. rel. 177 Correo. papéra reraçoçára v papera reraçoára: hoc est qdo o do correo leva as cartas. qdo as traz: paperareruçära 178 Correger [corregir]. castigare. arecóaíb v arecó memoã. 179 Corrença. dissenteria. tepotí piránga. 180 Corrença id est cursos ordrios [ordinários]. acáacaáo. id est ter estes cursos. v apapo apotípotí. Topi. 181 Corrente da agoa no rio ou mar. tycoacoéna. v ycyríca. v typyacoéna. 182 Correr. anhan. anhanhan. freqʒ. 183 Correr a cavallo. aronhán. 184 Correr o liquido. acyrýc 185 Correr a alguem, fazer que se corra, se envergonhe. amotĩ. amotĩmotĩ freqʒ. 186 Correrse. ficar envergonhado. atĩ. 187 Corresponder. acecobiár 188 Corrimaça pocépocéma. irrisio clamosa cachinni. [Em Bluteau: Vaya, & carreyra, que se dá outrem.] 189 Corrimaça dar. apocépocém freqʒ. 190 Corrimbos [corrimtos] [corrimentos]. carüára. 191 Corroborar. amokyrýbáb. 192 Corromper, vitiare. amoäíb. 193 Corromper virgem. amombýc v buc [amombúc]. e tambem: amoäíb amomoxí 193 Corromperse o saõ. xeaíb. xejúc. 194 Corrupta mer [molher]. mombukipýra. v ïaibipýra rel. vul. ïaibuán. 195 Cortar bem. ou ter bom corte a faca etʒ xeraembé. ut: çaembé kycé (‘a faca corta bem’). 196 Cortar como com faca. etʒ amondóc. 197 Cortar em muitos pedaços. amondoçóc. 198 Cortar a cabeça. aiacángóc. ut: aiacangóc bóia (‘cortei a cabeça da cobra’). 199 Correr os mattos dando busca. acaámomurõ. acaambói 200 Cortar com serra. akitĩ. akitikitĩ. freqʒ. 201 Corte do [da] ferramto [ferramenta]. çaembé. rel. v.g. kicé çaembé v çaimbé as castas do [da] ferramento [ferramenta] vg. faca: kicé çupé. 202 Cortiça da rede. bebytava [bebyitava]. 203 Cortiça. morotí. v murutí. murutí týba. cortiçoal. iʈ [item] nomen [nome] de hũ jgarapé no Xingú 204 Corvina, peixe. goatucupa. 205 Corvo. urubú. Urubú tinga corvo branco. 206 Cos id est com os iirúnamo v ïirúmo. rel. 207 Cos dos calçoéns. turino cüá. se saõ cerólas: cerola cüá. 208 Coser como Alfayate. amoybýc

209 Coserse, como dizem, com a parede. anhemoiár. recé. 210 Coser como cosinheiro. amimói. 211 Cosido, em qto [quanto] se distingue do assado. mimóia. 212 Cosido estar já. ogiouán. rel. 213 Cosido, id est estar assado. imixiruán. rel. 214 Cosinha. mbäé mogipába v miumogipába. 215 Cosinheiro. tembiumogipára. 216 Cosida cousa com agulha. imoybykipýra rel. 217 Cosida cousa ao fogo. imoimóipýra. rel. 218 Cospir. v. cuspir. 219 Cosquear. anupã ybyrá pupé. 220 Costa do mar. paraná rembiýba. aliás: rembeúba. 221 Costa ou ladeira. ybyáma. 222 Costas. scapulæ. cupé. xecupé. po cupé. costas da maõ. 223 Costear. aço cembiýba rupí. 224 Costela. arucánga. xearucánga. 225 Costumado estar. apocüáb. N. 226 Costumar a outrem. amopocüáb. 227 Costúme. tecó. 228 Costume das [dos] mezes nas mres [molheres]. cunhã recó. v tuguý. v jacý. v.g aicó cunhã recó rupí. v xeruguý. v aicó iacý. v iacý irùmo aicó. v aicóaib. v aicó xerecó rupí. v arecó xe ruguý. ter ou vir a pra vez a regra: anhemondeár. 229 Costura. mombykipýra. moybycáva. fartura. 230 Costureira. panna moybycára. pannus consertus. 231 Cotovelo. puraké. cubitus. 232 Cova na terra. ybycoára. em qlq͡ r outra cousa. icoára. rel. 233 Cova dos olhos. ou olhos encovados. teçacoáropé v teça pycoárera. v teça typý. 234 Cova de defuntos. typycóera. 235 Covarde. abá membéca. abá pitúba 236 Couce. pyrýnga 237 Coucear. apyrúng. apyrúpyrúng. freqʒ. alii: apyróng. 238 Çoò piréra. Couro. çoó piréra. 239 Cousa. mbäé – Cousa que me foy emprestada. xeremiporucoéra. 240 Couve. taióba. 241 Coxa da perna. úba. 242 Coxa ou polpa da perna. úba roó. 243 Coxear. xepári [xeparĩ] v xeapári [xeaparĩ].

1 2 3 4 5 6 7 8

CR Cravejar. aiatíca ita pyvá Craveiro. ybyrákyỹtýba Cravo do certaõ. ybyrákyýnha. Cravo, prego. itá pyvá. itá pygoá escreve o Cat. Cravinho. itá pyvá mirí. Creatura. Tupã remimonhánga. Crecer a pessoa ou animal. acacuáb. Crecer maré. aiké oiké paraná.


138


139 [folio 12 recto – 1° col.] 9 10 11 12 13 14

15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 154 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14

Crecer a agoa na boca, como, o que começa a enjoar. xerendýrendý. Crer alguma cousa, ou em alguem, dar credito. arobiár. Crespe [crespo] de cabello, ou qlq͡ r outra cousa crespa. Apixái. Cristar. acapiáóc. Cristador. capiaocára Criaçaõ de aves, e outros animaẽs domesticos. mymbába ut: xerymbába. tenho criaçaõ. xerymbáb. alii. xereymbába. a minha criaçaõ. Criada ou criado. xerecoára. Criança, menino. pitánga. taýra. v tayra Criar de [do] nada. nambäé çuí amonháng. v nitimbäé çuí etʒ Criar de peq°. amoyacuáb. v amotyruçú. isto se ouve à miudo. Criar pennas a ave. çavitúguyrá. rel. Criar materia. ipéu uán. rel. (‘já tem pus’) Criar bichos. itapurúuán. rel. Criar raizes. çapó uán. Criar aos peitos. amocambỳ xeremicambý. sigfca. tenho f° pprio [filho proprio], que crio aos peitos. Crime. tecó äíba. Crista do gallo. iavánha. ariragoá Cristaõ. cerokipýra. v imoiaçúckipýra v imongaráibipýra. Tupã rerobiaçára. Crivar. amogoáb. cribrare Crivo, joeira. urupéma. gnde: urupemuçú. Crú ou cruel ser. naxeporeauçubári. vul. nití aporëauçubári Crua cousa. niti ogío v niti membéc. Crucificar. amoiár ybyrá ioaçába. recé. vul. amoiár. cruza recé. Crueldade. moreauçubareýma. Cruz. vulgò: cruzá. arte: ybyrá ïoaçaba C U. Cú. teicoára. xereicoára. podex Cubiça, cubiçar. vi. cobiça. Cubrir. aiaçöi. Cuja? Aba? ut: Abaraýratäé nde? cujo f° [filho] tu es ? Cuidado bom ter de alguem. aimocüár. recé. Cuidar. imaginar. amoáng. amoäú Cuidar em alguma cousa, como examinando a. anheangherecó. vul. aipyámonghetá. Culpa. tecó angaipába. grave tecó angaipabuçú, leve: tecoangaipába mirí. Culpar a alguem. acenõi. culpar falsmte [falsamente] acenõi tenhé. v iereragoái rupí. Cultivar. aimocuár recé. Çume [cume] da casa e serra. apýra. ut: ybytýra apýra ‘(cume da serra’). Çume [cume] como de arvore ou cousa semlte [semelhante] çacapýra. Cunhada do homem. muatý. de mer [molher]: ukeĩ. Cunhado do varaõ ou irmaõ, ou pro de sua molher. toba iára; vul. xerovaiára. alii: xerovái: meu cunhado, diz o homem.

[folio 12 recto – 2° col.] 15 Cunhado da femea, ou irmaõ mais moço de seu marido. menibýra. 16 Curar, como quer: apoçanong (riscado ilegível) 17 Curador. poçanóngára. 18 Curral do gado. tocáia. ut: tapiira rocáia. çuacuména [çuaçuména] rocáia. 19 Curta cousa. atúca. 20 Curto ser. xeatúc. 21 Curva da perna. jande andà guýrá. 22 Curvar . amoiapár ac. 23 Curvo ser. xeapár. N. 24 Curva cousa. ïapára. rel. [25] Curvarse. anhemoiapár. N. 26 Cuspir. atumon. atumotumón. freqʒ. aliis freq : atumún. 27 Cuspir o que tem na boca. anhumon. anhumonhumon. freqʒ. 28 Cuspo. tendý. – Cuspinhar freqʒ ut sup. [supra] 29 Cuspidor. tumuçára. 30 Custar muito a cousa. xerepý eté. xerepygoaçú, vel xerepýmara catú. 31 Cutello. kicé. 32 Cutilada, ou semelhante ferida na cabeça. apixapába vul. páva [apixapáva]. se for em outra parte. cotucába. 33 Cutilada dar na cabeça. aiapixàb. vul. aiapixáo em qlq͡ r outra parte do corpo: aicotùc. vul. acotúc. 1 2 3 4 5 6 7

Ç U. Çuja cousa. mbäé kyá. ikyá. rel. lugar, casa, canoa mto çuja. iaibtyba v iaityba Çujar. amokyá. Çujidade de gente ou animal. tepotí. Çumo. tý. se he ja expremido. tycoéra. Çurra. nupãcába [nupãçába]. isso porem he o instrumento, com o que se da. Çurrador. nupãçára. Çurrar. anupã. Top. ainupã. Quædam, quæ desiderantur in littera C.

8

Caícaí. delgado como v.g. delgado homem.


140


141 [folio 12 verso – 1° col.] [vacat]

[folio 12 verso – 2° col.] 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33

Dativoso [dadivoso] ser. naxerecateỳm. vul. niti xerecateỳm. Dahi donde estàs. ebovì. vul. äe çuí v ixuí. e assim da li [dali]. Da me cá. emboúr. Da mesma maneira. Jabememé. v iavé tenhé. Danado estar, o que era saõ. xeaíb. tambem: danarse. N. Danar. amoäib. a. isso he no physico. Danarse em costumes. anhemoangaipáb]. Dança. moracéia. Dançante. moraceitára Dançar. aporacéi Dantes. ante. tenondé. oçó xerenondé. Daqui. keçuí. ike çui. Dar sinal gerlmte . aicuápamëéng. dar sinal com a maõ: aicópoméeng. Daqui a pouco, e naõ logo. coritéi [coriteĩ]. v coritéi [coriteĩ] corí. – Daqui a pouco e logo. coromó v corí. Dar a benção. açobaçáb. vul. açovaçáb. Dar. aimëéng. vul. ameéng. Dar de graça. ameéng nhote. Dar a vela. aiepabóc. vul. vóc [aiepavóc] Dar em rosto. amoapyçáca. amotĩ. Dar em troco ou paga. cepyramó. v ameéng cepyráma. Dar tal por tal. acecobiár. Dar alguma cousa, que está no chaõ ao que esta na janella ou que está algo apartado de outro. amondó. Dar palmatoada. apopetéc. Dar a alguem com as maõs. apoár. recé. Dar remoques. amoapucáia. Dar em alguem com instrumento. ainupã – vul. anupã. Dar de comer. aiopói. amongarú. Dar de beber agoa. amoboaý [amboaý]. vinho. amocaú v amongaú. Dar saude amocoeráo. a. Dar bem, como cousa plantada. anhemonhangatú. ut: onhemonhangatú (‘deu bem’). Dar couces. apyrúng alii: apyróng. Dar se ou entregarse. anhemeëng.

DE De præpo. çuí.. Debaixo. guyripe. v guýrpe. Debalde. tenhè. ut: aço tenhè. fuy debalde. De baixo da gbapapra.goajaveira. guaiába yguýrpe. me parece: goabalgbo goajaba yba guyrpe 5 Debate ou combate. maramonhánga. 6 Debater. amaramonháng. 7 Debil cousa. mbäé membéca. Debil ser. xemembéc. 8 Debilitar. amomembéc. 9 Debruçarse. aieaybýc. 10 Decollar aieceokitĩ. aiecëómondóc 11 Debulhar com amaõ [a maõ] como milho. aieký alii: ayky. 1 2 3 4


142


143 [folio 13 recto – 1° col.] 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43

44 45 46 47

48 49 50 51 52 53 54 55 56

Debuxar. açair. De cada dia. ara iabiõdoára. vul. ara iave igoára. De cara a cara tobacké [tobaké]. Decente ser. aujé catú. Decer ou decerse. agoegýb. N. Decer ou abaixar o pendurado, ou o que está em alto. arogỳb. fazer, obrigar a decer amogoegýb. De certo. çupí. De cima ybaté çuí. Declarar o escuro. amombëú. Declararse. anheengatú. De continuò. jepí. nhenhé. De coraçaõ, xepyã çuí catú. Decorar. ainóng xe pyapé. De costas. cupé ybý cotý. De costume. xerecó rupí. Decretar. amondó. iabé omondó abaré goaçú. Decreto. mondoçaba. De dentro. i py çui. rel. ut: ocapý çuí erúr. v ocapú çuí (‘traga de dentro da casa!’). De dia. arivo. Top. aribo. de dia ainda. arivobé De dia em dia. araiavé. Dedicar. se he a Deos ou SSos [santos] ameëng Tupã çupé. Dedo da maõ. xepoacánga. do pe: xepyacánga. Dedo pollegar. xepoacánguçú. Defamar. amocanhém íangaturáma. Defender. anhéengatú abá recé. v apycyrõ. Deferir. concedere. aporacár cemimotára. Defençaõ. pycyrõçába. ou instrumento. Defensor. pycyrõana v pycyrõçára. De fora da banda da rua. ocára cotý. Deforme cousa. mbäé poxí. Deforme ser. xepoxí. xepoxicatú. De fronte. xerobaké çovaindáva cotý. conforme ao sentido em que se falla. defronte da aldea taba robaindápe v robaindaba coty. conforme ao sentido Defumar. amotimbór. Defumador. motimboçara. o lugar: motimboçába. Defumadouro. motimbóra. Defunto, que morreo, que Deos haja. ambýra. ut: pachicú ambýra (‘o finado Francisco’). hanc vocē m̅ [multum] audivi adjungi a͡ alibʒ [ad arbitrium libidinemque (?)] q˜re [quare] simplicitʒ [simpliciter] sgfct [significat] dftus [defunctus] et non que Deos haja. Defunto, pelo cadáver ceoboera [ceõboera] vul. teõcoera. Dogollar [degolar]. aiecëókytýc. aieceómondóc. a. v ajurámondòc. Degradar. aipëá. Degraçador [de graça dar]. aimeéng noh nhóte. Degradado. ipëápýra. Deitar de maõ. amombòr. aitỳc Deitar a perder. amocanhém. Deitar em rosto. amombòr çovápé. Deitar em terra. amombór ybýpe

[folio 13 recto – 2° col.] 57 58 59 60 61 62 63 64 65

66 67 68 69

70 71 72 73 74 75 76 77

78 79

80 81 82 83 84 85 86 87 88 89

90 91

Deitar raizes. çapöuán. aiúb. Deitarse. anhenong. v aiepyçó v anhepyçó. Deitar. amonhenóng. Deitar ou lançar, o que vay por seu pé. amocém. Deixar ver. acepiác ucár. çupé. Deixar. acëàr. acëárcëár freqʒ. Deixa estar. tenupán v teinhé toicó. alii: teinhe teicó. Deixa estar, ou deixaõ fazer, tenupá, o pro. o sgdo. tëí omonhang. deixaõ andar. tenhè tëí oçó. Deixar fazer, consentindo expressmte [expressamente]. ucár no fim do verbo. ut: araçó ucár. o fiz levar. Deixarse estar sem se bullir, nem fazer mudança. naxemaráni. vul. nití xe mará. Deleitar. amorýb. amoapycýc. Deleitar se. xerorýb. xeapycýc. Deleite torýba– deliciæ. arū. exprimiʈ [exprimitur] per pyá hoc snu [sensu]: hic psittacus qʒ [qui] illi est loco deliciarū [deliciarum] ae paragoa ipyá (rorýba) (‘este papagaio é o (deleite) do seu coração’) De la, daquella pte donde tu dizes ou longe . apecatú. ut: apecatú çuí öúr. donde tu estás. äé çui. Della, delle, como de paõ, agoa etʒ. jxüi ut: emeéng ixuí ixebo. da me delle algum. Delgada cousa, como linha eʈ [etc.] pöí. ut: nimbó v inimbó pöí. píndaçáma pöí ipöí. rel. Delgado ser. xepöí. Delirio padecer. xeacangaíb. delirar, idem. Delirio. acangaíba. De má mente ou vontade. cemimotareýma rupí. rel. De madrugada. ogiybé. v coém mirí eté. v çapucáia onheéngaramé. v nheengaripyreme cū 1ū [cum primum] cantavit De noite. pytúneme. v pytunaramé. v pytaname [pytuname] Demarcar cousas vivas, pondolhes algū sinal de panno ou fio etʒ. amotapacurá. mas se he sinal. na pelle, que se faz aos animaes, como cortandolhes a orelha, ou a ponta do rabo, ou com algum ferro, como fazem no gado. amoçaangáb. Demarcaçaõ do [da] pra sigfcacaõ [significação]. tapacúra. da 2ª. çaangába. Demo. demonio. anhánga. juruparí. gurupíra. este he do matto. Demonstrar. acameéng. aicuapamëeng v acüa etʒ De nenhuma maneira. aanangái. aanangáité. De novo. iebýr. amonhang iep iebýr. Densa cousa. çagýc v çagíc. Dente. os dianteiros. iandé ránha. çánha. rel. Dentes queixais. der iandé ránhypý. Dentudo. çanhuçú. rel. Dentro præp. naõ ha. em seu lugar serve a præp. do ablat. pe v pupé. ut: oicó çokipé. oicó ygára pupé (‘está em casa’, ‘está na canoa’). etʒ alqdo [aliquando] mutato p in me. ut: oicó paranáme, nhúme (‘está no rio, no campo’). Denunciar. amombeú. aicuábucár. DEOS Tupã. Tupána.


144


145 [folio 13 verso – 1° col.]

[folio 13 verso – 2° col.]

92 De outra parte, ou banda: çovaindába çui vul. Top. çobaiindába çuí. 93 Deparar. ministrare. ameéng. 94 De passagem. coritéĩgoaráma. v coriteĩgoáramo. ut: oçó coritéigoaráma. foy de passagem. 95 Depennar como ave. açaboc v açaboóc. e se somente tiralhe as pennas das azas: apepöóc. 96 Dependurado estar. aiatecó. 97 Dependurar. act. amoiatecó. 98 Depenicar como cousa de comer, como qʒ naõ tem vontade de comer e vay tirando huns bocadinhos. apipín v apopín 99 De perto. nití apecatú çuí v ikenhote çuí. 100 Depois. äé riré. äé riré ereçóne? irás depois disso? 101 De primeiro ou antigmte [antigamente]. erimbäé. coecenhéĩ. 102 Depôr ou privar. aiöóctecó. ut: morobixába oioóc tecó xe çuí (‘o chefe me depôs’). 103 Depositar. arecó ucár. çupé. 104 Depravar. amoacángaíb. 105 Depressa. eçapyá v coriteĩ v çapyá. 106 Deprimir. v. abaixar. 107 De proposito. xe pyá çuí catú. xeremimotára rupí. 108 Deputar. amomorandúb. 109 De quando em qdo. amóramé. 110 De qualqr modo tu queres nde remimotára rupí. 111 De que parte ou lugar? umaçuipé? vul. maçuitäé? 112 De quem he isso? aba mbäé täé cobäé? 113 De que modo? maiavetäé? 114 De repente. eçapáà. coriteĩ. çapyá. 115 Deriba [de riba] ybaté çuí. 116 Derradeira cousa. mbäé racapýra. 117 Derrobar [derrabar]. amondóc çogoáia (‘cortar o seu rabo’). 118 Derramar. anhocén v aiocén. 119 Derramarse assim. aiecén. N. 120 Derreter. amomembéc. aticoár. a. 121 Derreter se. xemembéc, e se he os [eu] mesmo, que eu derreto, ou destaço [desfaço] na agoa. aticoár. a. e se por si mesmo se desfez, ou derreteo como sal etʒ aieticoar. oieticoár iukýra. desfazer na agoa.. aticoár. a. 122 Derribado cousa como o ramo com o pezo da fruta: iäticapýra. 123 Derribar prosternere. aitýc. amombór. 124 Derribar como edificio. amonguí. Derribar o assentado como pote etʒ acaparaitýc. e se caindo rodar. amoparaiereo. 125 Desabafar. amoeçãi xepyá. 126 Deabitar [desabitar]. amotapéra. 127 Deabitada [desabitada] cousa como aldea. tapéra v taperéra. 128 Desacatar. naimoetéi. vul. nití amoeté. aroirõ. 129 Desacordar. xereçarai. 130 Desacostumar a outro. apocuáb ucarúme. 131 Desacostumarse. apocuábume. 132 Desafeiçoar se. açauçub poír.

133 Desafiar. amomburõ. amomurõ. 134 Desagradarme alguma cousa. naxemoapycýc. recé. v nití xemoapycýc 135 Deaferrarse [desaferrarse] de alguma cousa. apoír. çuí. 136 Desamar o antes amado. açauçupoír. v açauçupëá. 137 Deamarrar [desamarrar]. ajuráo. 138 Deandar [desandar]. aiebýr. aieby iebýr freqʒ. 139 Desandar huma bofetada. açobápetéc. 140 Desanimar. amoacanhém. 141 Desanimarse. acanhém. v acanhecanhém. freqʒ 142 Deaparecer [desaparecer]. naiecüábi. vul. nití aiecuáb. ut: jandé ánga noiecuábi (‘nossa alma não é vista = é invisível’). 143 Desaparecer ou perder se. acanhém. 144 Desapegar o pegado. a. amböĩ. 145 Desapegarse o pegado. aieioóc. 146 Desapartar. aipëá. a. 147 Desapartarse. N. aiepëà. N. 148 Desapropriarse. ameéng. ut: ameéng xecúia (‘dei minha cuia’). 149 Desarreijar [desarreigar]. açapoóc. 150 Desarrugar. anhynhyngóc. 151 Desassombrarse a outro. acykyieúme. ecykyieúme. v tenhe ecykyié. 152 Desacatar. aiuráo pocoaçaba. 153 Desatar o nô ou atado. aiuráo. e se de tudo se tira a corda: aixambóc. alii: aioráo. 154 Desattentar, non considerare: naipyámonghetái. v nití apyá monghetá. 155 Desattinar. xeacángaíb. N. 156 Desattinar a outrem. amöacangaíb 157 Desattinadamente. xeacángaíba rupí. 158 Desattinos fallar. xenheénghetá. 159 De saude. xe catú: nde catú täé v nde catúpe ereicó? 160 Desavergonhado ser natĩ. vul. nití atĩ. 161 Desbaratar. v. esperdiçar. 162 Desbarratar os inimigos na guerra. aitýc. v amoatýc. v amocanhém. xeroanhanetá. a. 163 Desbarratarse. acanhecanhém. N. 164 Desbarbarse. xerendybaóc N. 165 Desbarbar. a. acendybaóc. 166 Desbastar pao. anhopán. v aiopán. 167 Descabeçar. ajuramondóc. meliùs: aiacangóc. 168 Descabellar. acangaraóc. 169 Descaida de gallinha. çapucáia repoticoéra. 170 Descalçar. aipý aoóc. vul. aioóc nde çapatú. 171 Descalçarse. aiepy aoóc. vul. aioóc xe çapatú. 172 Descansar. apytüú. N. dar ao outro: amoputüú. 173 Descanso. mutüú. 174 Descarregar navio, canoa ou despejar huä casa. aporóc. 175 Descarregar bofetada. açobapetéc. 176 Descarregarse. anhemopocyóc. 178 Descascar. apiróc. 179 Descascar favas etʒ legumes. apiróc. açaýnhóc.


146


147 [folio 14 recto – 1° col.]

[folio 14 recto – 2° col.]

180 Descobrir. aiaçöióc. 181 Descobrir segredo. amombeú. acüáb ucár. assim também confessa o delinquente. 182 Desconcertar. amomemöá. v amoabaíb. 183 Desconcertarse. anheabaíb. 184 Desconfiar. despero. naierobiári. v nití aierobiár. recé. 185 Desconfiar, de que ante se confiava. aiemurõ. çuí. 186 Desconhecer. vix agnoscere. nacuábi v nití acuáb. 187 Desconsolar, desconfortar. amopyaíb. 188 Desconsolarse. xepyaíb. h tenhé nde pyaíb. naõ sejas triste. 189 Descontentar. amopyaíb. 190 Descorticar. apiróc. 191 Descoserse. aieráo v aieporáo. 192 Descoser. a. aiuráo. 193 Desdobrar. amamandóc. ajuráo. [v. 228 Desenrolar. amamaròc] 194 Descuidarse. nanhemoçainán v nanhemoçacüí vul. nití anhemoçainán. 195 Desculpar. anheéngatú. recé. 196 Desdenhar. aroirõ. 197 Desdentado ser. xeranheým. v naxerãi. vul. nití xeránha. 198 Desde entaõ. äé ára çuí. 199 Desdentado. tanheýma. 200 Desdentar. aioóc. çanha. v açanhóc. 201 Desdizer se. acecobiár xenhéenga v acecobiarõ. 202 Desejar. anhemomótar. recé. nhemomotaçára. 203 Desejar algu͡ a cousa. aipotár. vul. apotár. xepotár. 204 Desejar mto apotácatú. v apotáreté. 205 Desejar de fazer algu͡ a cousa, posto apotár, posto no fim [206] do verbo, ou do que se deseja. ut: açopotár. ambaéupotár (‘quero ir, quero comer’). 207 Desejor mimotára. ut: xeremimotára. 208 Desafiar. acycỹboír. a. dubio. vul. amomurõ. 209 Desejar de comer. aiucéi. 210 Desembainhar como a espada. acekýi itágapéma. 211 Desembaraçar como fio. aiuráo. 212 Desembarcar. N. acém. act. amocém. 213 Desempedir. aioóc. moabaibába. 214 Desencaminhar. amöacangäíb. 215 Desencarcerar. amocém mondé çuí. 216 Desenserrar, ou abrir a porta. açokendavóc. item se he pessoa, que se ha de tirar. amocém. 217 Desencolher. apyçoóc. ajuráo. 218 Desencovar. abyóc. 219 Desenfadar a outrem. amoeçãi. 220 Desenfadarse. anhemoeçãi. 221 Desenfastiar. amoiurué. 222 Desenfeirar [desenfeixar]. aiuráo 223 Desenferrugar [desenferrujar]. aioóc cepotí. v acepotíóc. 224 Desenfiar. acycyboír. acycyboóc. 225 Desenlaçar. aiuráo. 226 Desenquietar a outro amoaiú. a.

227 Desenquietarse. anhemoaiú 228 Desenrolar. amamaróc. ajuráo. [v. 193 Desdobrar. amamandóc] 229 Desentesar. amombéc. v amoãtãume. tenhé emoãtã. 230 Desenterrar. amocém. 231 Desenapida [desenxabida] cousa. nití cëé. rel. [pmo Pr: Desexabida (sic) cousa; Eck: Desentupida (sic) cousa] 232 Deserto. cäá. cäáetèé 233 Desesperar . nití aierobiár v aiemurõ. 234 Desestimar. naimotéi. vul. nití amöeté 235 Desestir. namonhangi. apoír. çuí. na 2ª pess. imp. pode se dizer. teinhe monhang. 236 Desfalecer com cançaço ou fome. amanoaíb. isto he padeco [padeço] accidentes. ou amanomanó sendo de doença. meliùs: xemaraár; alii, xeapopúc. 237 Desfazer como letra ou pintura. amomemoã. v amocanhém. 238 Desfazer qualqr obra. amonguí. 239 Desfazer, resolvo. aticoár. 240 Desfechar o fechado, sendo porta. açokendavóc. fechada ella com a chave. amoxavióc. 241 Desfechar huma caixa, cofo janella etʒ. apirár. 242 Desfeita cousa como sal na agoa etʒ. oticuaruán. rel. 243 Desfeita id est magra. ïangaibár. rel. rel. 244 Desfiar o tecido. ajuráo v aporáo. 245 Desfiar se. aieráo. v aieporáo. 246 Deforme ser. xepoxí. ipoxí rel. 247 Desfigurado estar. xerepiacába nití catú. ou nití catú xerepiacáva. estar de bom aspecto: icatú repiacáva. em lugar de repiaçába [repiacába], que naõ dizem. 248 Desfolhar a arvore com a maõ. aipöóc v açoboóc. vul açovoòc. e servelhe de cazo tanto a folha, como a arvore, e se he abonado [abanando] a avore [arvore] amongúi. 249 Desfolhar se por si. xerocúi. e se se referir a mesma folha: acúi. ocucúi çóva rel. pro çoba. 250 Desgostar. amopyaíb. 251 Desgrudar. amboír 252 Desgrudarse. aír. Deiteé ipó teco catu oíreymete catuabo ianga çuí cate. fol. 4. in medio 253 Deshonestidade. mbäé poxí. 254 Deshonesto homem. abá poxí. 255 Deshonesto ser. xepoxí. xepoxi catú. assim tambem chamaõ hum homem roim, malvado. 256 Deshonrar. amomoxí. 257 Deshonrar de palavras. amotĩ. ut sup. [supra] amomoxí. 258 Deshumana pessoa. abá poxí eté 259 Desmaiar de tudo. xereõar. amanomanó. 260 Desigual cousa. nití co nungára. nití iavé niti oiepegoaçú. 261 Desinchar o inchado nhynhyng potár uán pungá. 262 Desinchado de tudo. inhynhyng uán. rel. 263 Deslear. solvo. ajuráo. aporáo. 264 Desmembrar cortando ou arrancando. amböí. 265 Desmembrar ou apartar. aipëá. 266 Desmentir ao que falla. amoiereragoái. 267 Desoutra parte. amongotý.


148


149 [folio 14 verso – 1° col.]

[folio 14 verso – 2° col.]

268 Desmentir o pe ou maõ. pulso. oporúc. ajuntandolhe a pt͡ e desmenda [desmentida] 269 Desmiuçar. amocucui. 270 Desnarigado. iatĩ acýca. 271 Desnargar [desnarigar]. atĩmondóc. alii: xeatĩ mondoc. 272 Desobedecer. narobiári. vul. nití arobiár. propriè: naçapiári. vul. nitì açapiár. a pra palavra he naõ crer, aindaqʒ [aindaque] vulgò se servẽ della, qdo se quer sigf [significar] desobedecer. 273 Desoccupado estar. nambäé aimonháng. vul. niti mbäé amonháng. 274 De sol a sol. coaracý ocem çuí, té ocanhemaramé. 274 Desordenar. amoapatucá. 275 Desorelhado inambicýca. rel. 276 Desorelhar. anambimondóc. 277 Desossada cousa. cangoereýma. 278 Desossar. acangoeróc. se os ossos se haõ de tirar do corpo: acangóc. 279 Despachar. amondó. 280 Despacho do juiz tecomonhangába. 281 Desparar a arma. açapú mocáva. 282 Despedaçar amboimboí. meliùs: amondoçóc. o pro he pprmte [propriamente] despedaçar hum panno em varias partes o 2° he como quarto da carne fazelo con [em] partes. 283 Despedir como criado. amocém. ajuntandolhe: xeróca çuí. 284 Despedirse. acém. açó çuí. 285 Depegar [despegar]. amoioóc. 286 Despegarse. aieioóc. 287 Despegado estar o vaso. nití ipori rel. v niipóri. 288 Despejar hum vaso em outro. acecabóc. v aiocén. 289 Despejar a casa, canoa etʒ aporóc. 290 Despender. v. gastar. 291 Despença. mbäé rurú. mbäé rupába. mbäé rendába. 292 Despenseiro. mbäé rerecoára. 293 Desperdiçar. amocanhém. 294 Desperdiçador. mocanhembára. 295 Despertador. homem. mopacára. 296 Despertador, relogio, com que se desperta. mopacába 297 Despertar. amopác. a. alii: amõbác. 298 Despertar. N. apác. 299 Despeza mbäé pyráma, e tudo o qʒ leva pª comprar etʒ 300 Despido estar. naxeaóbi. v icatupé aicó. v nití arecó aóba. 301 Despir a alguem. aiaobóc. 302 Despirse aieabóc. v voc v anhëaobóc. 303 Despojar como salteador. ambae pycyrõ. 304 Despojos abá mbäé poéra. vul mbaé coéra 305 Depois. roiré v riré 306 Depois de manhaã. amó oirandé. 307 Depois que v.g. depois que eu parti. aço riré sendo por terra, que se for por mar. aiepavóc riré. arte diz: xeço riré

308 Despor. amoçainán v amoçacuí. 309 Desporse, præparare se pª receber algũ hospede. anhemoçainán. v anhemoçacuí. recé. 310 Despovoado. tabeýma. e se no lugar já houve povoação, se diz: tapéra v taperéra. 311 Desprazer. v. desconsolar. 312 Despregar. aitápyvaóc. v itá pyvá. 313 Desprezar. naimoetéi. vul. nití aimoeté. 314 Desprezar. anhemomoreauçúb. 315 Desqʒ [desque]. postquam. riré. 316 Desquitar se os casados. aieporáo. aieiuráo. N. 317 Desquitalos. aporáo v aiuráo. 318 Desrabar. açovaimondóc. 319 Desrabado. çovaiacýca. rel. 320 Desecar amotiníng. como he peixe, carne, taboa, folhas, qdo se quer, que sejaõ secas. 321 Desecar pannos folhas etʒ molhados, querendo que se enxugaõ [enxuguem]. amoticáng. v amocáng. 322 Desecada cousa no pro sentido. otiníng. no 2°: oticáng. 322 Desecada cousa no pro sentido. otiníng. no 2°: oticáng. 323 Desemelharse. nití xe iavé v niti xeaenungára. v niti oiepegoaçú. falldo [fallando] de duas cousas quero dizer que saõ desemelhantes. 324 Desuadir a alguem algo. aioóc mbäé icanga iacanga çuí. (desuadir por dissuadir está no Bluteau) 325 Destapar. aioöc cekendapába. v acekendapabóc. 326 Destecer. ajuráo. aporáo. o mesmo destorcer. 327 Desterrado. ipeápýra. 328 Desterrar. aipeá. 329 Desterrarse. aiepeá. 330 Destetar. amopoír. alii: amõboír. 331 Destillar. atykýr. 332 Destroçar. amocanhém. idem destroir. 333 Desvariar. xeacangaíb. 334 Desviarse. aiepeá. N. act. aipeá. desviar a outrẽ. 335 Deter. amopytá. v amomytá. a. deterse. N. apytá. 336 Determinar. acecomonháng. 337 Determinaçaõ. tecomonhangába. 338 Detestar. aroirõ. 339 De tudo. reté. ut: oçó reté (‘ele foi mesmo’). 340 Detrahir. anheéng poxí eté. recé. 341 Detraz de algu͡ a cousa. cupé. ut: patuá cupépe (‘atrás da cesta’). a parl͡ a pe no fim se poem por ser estado in loco. 342 Detraz. a pte contraria adianteira. cupé ut: icupe cotý pª detraz delle. 343 Devaçar algu͡ a cousa. acuábucar opabinhé. çupé. ac. 344 Devaçar de alguem. aporandúb. recé. vul. aporandú. 345 Devassar se a mer [molher]. cunhã onhemëeng. 346 Dever. adever. vul. 347 Devisa. çaangába. 348 Devez [de vez] estar a fruta, e qualqr outra cousa, que chegou a sua perfeiçaõ. atyarõ. ut: ityarõ uàn pacova rarýva (‘a banana já está de vez’) v xetyarõ, ndetyarõ. ityarõ. rel 349 Dez. opacombò. v xepò.


150


151 [folio 15 recto – 1° col.] 350 Destro ser em alguma cousa xepoiabàb. v xepobebýi. vul. xepoiavàn v xepò. 351 Destorcer fio alem de aiuráo se diz tambẽ. aporáo. ac. 352 Destorcer se. aieiuráo v aieporáo. N. 1 2 3 4 5 6 7 8

9 10

11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40

D I. Dia. ára. cada dia. arébo [árebo] v ara iabiõ. vul. de dia. aríbo [áribo] Dia ser ja. coèm. v coèm uàn. Dia de festa. aretè v tupã ára. Dia do [de] trabalho. morabykyára. Dia bom, sereno. àra catù. Dia sequinte [seguinte] a outro dia. uirandè. Dia pequeno. ara mirì; grande: aruçù v turuçù ára Dia de Domingo. mutüú. feira 2. morabykỳpỳ… 3. = [morabykỳ] mocoĩ. feria 4. moçapỳr … 5. çoò papàba feria 6. jecüacúba… sabbatho [sábado]. sabarù. Dia santo entre a semana. mutüú mirí Diabo. anhánga, nome grico [generico]. as especies saõ: juruparì, curupíra tagoáiba. diabrinho [diabinho], v diabrete. iuruparì mirì Diabrúra. iurupari remimonhánga. assim tambem chamaõ o que foy feito fora de matrimonio. Diante. tenondé. ut: xerenondé (‘diante de mim’). Diante a vista. tobacké [tobaké]. ut: xerobacké [xerobaké] (‘na minha frente’). Diante ir a tomar, ao que vay ou foge. acenondeàr v açokecým. vul. acikycem. Dianteira cousa. tiãpýra. Disciplinas. nupãçába v áva [nupãçáva] v meliùs: nhenupãçáva. Discipulo ou =la [discipula]. nhemboeçára v jemboeçára Disciplinarse. anhenupã. N. act: ainupã v anupãnupã. Diffamar. amombeüaíb. Differente. nití iavé. Diffïcultar. amoabaíb. Dilatar. amopucú v amomucú. Dilatarse. aicó pucú. Diligente ser. xp xepoiaváb. Diluvio yporú. Diminuir. aiaróc. ac. Diminuirse. aieiaróc. N. Dinheiro. itá júba. Direita cousa. çantabúc. rel. alius dicit: atambuc amoçatambúc direitar [endireitar] Direita maõ. catuába. icatuába. rel. Dirigir. dirigo. aimocüár. Dirigir. dedicar. amëeng. Discernir. acuáb. Discordia. nhemotáreýma. Discorrer. avatavatá. Top. agoatagoatá. Discreto. aba. tecócuab catú. Discriçao [discriçaõ]. tecocuába. Disforme ser. xepoxí catú. Dissimular. aicuacúb. Dissoluto ser, como a mer [molher] que mto olha ou falla. xereçainá v xereçaíb. quid verò, si mores dissolutos velint significare ? ego dicerem xerecoangaipàb v xerecòpoxì

[folio 15 recto – 2° col.] 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29

Dacio Distar. naicói. nití aicó v apecatú oicó. Distribuir fazendo porçoẽns. amoieoc. v amoiaóc. Dito. morandúba Ditoso ser em pescar. xepindá poránga. e se he com rede: xepyçaporánga Ditoso ser em buscar ou achar cravo também dizem: xeybyrakyýnha poránga. e assim em outras cousas, e seml=hantes [sic, semelhantes] modos de fallar. Divida. angaipába. Cate. p. 2= razaõ = porque lá divida sgfca: peccado. Dividir. distribuir. v. Divulgar, amombeú opabinhe çupé. Dizer. äé eu digo. tembem uzaõ do verbo amombeú. ut: amombeú uán ndébo. eu já te disse. amombëubeú. Disfarçar. acepíakĩ. isto he Top. acepiác mirí. D O. Do præp. a, ab. çuí. Do [dó] ter de alguem. açauçubár. Doar. amẽeng nhóte. v ameénghi. Dobrar. amamán. Dobrar os sinos a defuntos. amoiacëó itámaracá. hoc est: fazer. chorar os sinos Doce cousa cëembae. doçinha cousa. ceẽmirí. rel. Doce ser. xereẽ. ceẽ. rel. Doces. ceẽ Doença. mbäe acý. Doente estar. xembäé acý. qdo estiver mto doente, e mto fraco. xemaräár. alii: aanangaité. flldo [fallando] do doente. rel. Doente. mbäe acymbóra. a arte diz: baeacybóra. pag. 96. Doer como ferida. xeracý. ut: çacý xeacánga xeçuí. art pag. 123 ubi scribit: çacýg. Doer ou pezarme. xeracý. mas em lugar de çuí, se poem çupé. ut: çacý ixebo (‘me dói, me dá pesar’). mbäépe çacý pachicú çupé. que cousa doem [doe] ou da pezar ao Francisco vul. porém sempre uzaõ deste modo de fallar, aindaqʒ [aindaque] se seja de ferida ou de qlq͡ r dor corporal: ut: mbäé täé çacý ndebo? pachicù çupébe. que cousa te doe e ao Francisco? Doerse de alguma cousa. aimboacý v aimoacý. Dois. mocõi Dom. potába v va [potáva]. Domar. amoiarõume v amorýb. Do mesmo modo. jabé. iabé catú vul. iavé. v conungára. Dominar. arecó tecó. recé. Dominio. xembäé. ut: ae igara xembäé. tenho dominio eʈ [etc.] Dona ou avó. aria v aryia meliùs. Dona ou senhora. iára. Donde. çuí. e se he de algum lugar. namoçuìtäé? umaçuítae tour [our]? donde vem? Donzella. angaturáma. ut: äé cunhã angaturáma, top. ababycagoereýma. hoc ppriè [proprie] sgfcat virginẽ idemqʒ [idemque] ac: nondum a viro perforata. Dor qlq͡ r . mbäé racý. Dores do parto padecer. xemembyracý. Dormente estar ou ter o corpo. xececýi e se só for o pe. xepycecýi. alii: xepyiecý [xepyiecýi]. Se for a maõ: xepoiecýi. Dormir. akér. Dormir a miudo. akerkér.


152


153 [folio 15 verso – 1° col.] 30 31 32 33 34

35 36 37 38 39 40 41 42 43 1 2 3 4 5

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

Dormir ou: coire cum aliqua: ameno: aicó recé. Dorminhoco. okér iepí. rel. Dormitorio. kérupába. Doudo. acángaíba. Dormir mto tempo cum algũ mao sentido. arokeretá. ut: ererokéretapé iamotareyma. dormiste mtas noites no teu odio? Dourar, como quer. amojúb ita júba pupé. Dous. mocoĩ. dous dias. mocoĩ ara. dous annos: mocoĩ acajú. mezes: iacý. Doutor cuaparuçú Doutra maneira. nití coiaveramé, no tempo futuro. doutra banda. çobaindába. Doutrina escrita. nhemboaçába. v va [nhemboaçáva]. Doutrina. acto della. nhemboë. Doutrina fazer. aporõböé Dragaõ. boiuçú. Drogas mbäé oquena. id est: aromata. DU Duas vezes. mocõiýi. noites, mocoĩ pytýna v putúna. Duque. morobixába. etʒ Dura cousa. ãtã. xerãtã. çãtã rel. ser duro. Durar tempo. aicó pucú. durar pouco naicó pucúi. vul. nití aicó pucú. Duvidar em algũ sentido, açaáng. no [nullo] rigore: niti aicuáb catú. Ea. Ec. Ed. Ei. El. E. conjunção. be. abè Eà. age. erè. Eco. popù. Eclipsarse o sol. coaracỳ onhemoputùn. Eclipsarse a lua. öú iacỳr mbaè (‘algo comeu a lua’) v où mbaè çacỳ. v iacý omano (‘a lua morreu’). Edificar amonhàng. Edificio. monhangába. Eis aqui. cocecói. Ei futuro. ne posto no fim do verbo. ut: açonè irei. Eia ora sus. do que consente. neĩ, eneĩ plu. peĩ. alii: aujebète. idem que embora. et ita vulgo. Eilò. aqui està. cocecói. Eilò sentindo, sem o ver. aipò. Eis me aqui. aicò íkè. Eixado [enxada] do [de] ferro. itacýra. Eixò de cortar. pyrurè Eleger. aparavòc v acatuòc. Elle ou ella. ahe v äè. elle mesmo. no fim äè. Elegancia de palavras. nheénga poránga. Eloquente ser. cetà cetà anheèng. anheéngatú. bem fallante. Elma [elmo] jta acángaóba. El Rey. morobixába uçù etè.

[folio 15 verso – 2° col.] 1

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45

E M. Em. præp. in. pe v me, conforme a composiçaõ. ut: oçò çocupe [çoc-upe] (‘foi para casa [de alguem]’. oico çocupe [çoc-upe] (‘esta na casa [de alguém]’). oço paranamè [paranáme] (‘foi para o rio’). Em no, na, nos, nas. pe, v pupè præp. do ablat. Embaçar. acanhècanhèm. N. Em algũ tempo præterito. erimbäè. – em algũ futuro: jrã. vul. amò ára pupè. Ema v hema. ave. nhandugoaçù Em alto ibatè alii. ybatè. Em baixo. ybype. guýrpe. Em baxo [baixo], no fundo da agoa. ybýpe. Embainhar a espada. ainòng itagapéma çurúpè. Embainhar o panno. amamán. cẽbeúba. Embaixada trazer. arùr inheénga. marandúba. Embaixador. inheénga rerucáva [reruçára]. rel. Embalançar na rede, na corda. amoiatimòng. act. Embalançarse. aiatimong. N. Em balde. tenhè. tenhè tenhè. panéma. in aliquo sensu. v.g. oùr paranà çuì panema. veyo debalde do mar. Embaraçar. acatapucà [aiapatucà]. v apatúca [apatucà]. Embaraçarse. anheapatúca [anheapatucá]. Embarcaçaõ. ygára. v urù. Embarcar a outrem, que pode andar pelos seus pes. aimoàr ygàra pupè. que naõ andaõ por si . aroár. catechismus etiã videʒ [videtur] uti hoc verbo in rebus viventibus. fol. 52. in fine. Embarcarse. aar. quare non dicetur: anhemoar ? Embargar os bens. apycyrõ. Embarrar ou encalhar. aiàr. ut: oiàr ygàra (‘a canoa encalhou’). Embarrar com barro. amotuüm. Embebedar a outrem. amoçabeypòr a. Embebedar se. açabeypòr. N. Embeber como o vaso novo o licor. atykykỳr. e se o vaso súa por fora, se diz: çyái. Embeberse assim o licor. xerupàb. tupàb. vul. tupau. rel. alii tupáva. idẽ [idem] fica no fundo ou pelo fundo o pote de agoa mel etʒ. Embigo. puruã. Empiscar [piscar] o olho. amomirì xereça çupè. Embouar [embocar] amondè xejurúpe. ut: emondè nde jurúpe v iurú pupè (‘abocanha!’, ‘põe na boca!’). Emboldrear. amokyà. Embora. aceitando sem receyo, o que lhe diz. aujebéte. Emborcar. amoieréo. Emborrachado. çabeypóra. N. Emborrachar. amoçabeypòr. a. Emborrachar se. açabeyór. Emboscar se. anhomìm caápe. Embostearse. tapiíra repotì pupè anhemokyà. Embranquecer. xeatìng. Embravescer ao animal. amonharõ. v amoiarõ. a. Embravescer se anharõ. v aiarõ. Embuçar. aiaçuì íacánga. obvelare alicui caput. aiaçoi idem quod: cobrir, hinc ita scribdm [scribendum] videtʒ [videtur] Embuçarse aiaçuí xeacánga. obvelare sibi caput. Embrulhar como panno. apokèc. Embrulhador iapatucáçára.


154


155 [folio 16 recto – 1° col.] 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91

92 93 94

Embrulhar ou atrapelhar [atrapalhar]. aiapatucà a. Em continente [incontinente]. eçapyà v coriteĩ. alii çapyà Em diante. amò àra pupè. Emendar arecoaìb. activ. Emendar se dos erros. anheronhèn. vul. apoìr xerecò aíba çuì v xerecò poxi çuì. Emmagrecer. anhemoangaibàr. xeangaibàr. estou magro. N. Emmagrecer a outrem. amoangaibàr. Emmagrecida cousa. mbäè angaibàr. ïangaibàr. rel. ut: iangaibàr ipýra (‘a pele dele está emagrecida’). Emanquecer. xeapàr. Emanquecer a outrem. amoapàr Emondar [amontoar]. amöatỳr. id est: coacervare. Emontoẽs [em montoẽs]. atýra. Emmouquecer. xepyçareýma surdescere. Em nenhum lugar. niti mamè. Empachar. amotynycèm. vul. amotyrycèm. Empanar. apokèc panna pupè. Empanturar [empanturrar]. amöapúng. indurare. v.g. fructus multi comesti indurant ventrē Empapelar. apokèc papéra pupè. embrulhar. involvere. Emparar [amparar]. apytymõ. adjuvare. Em particular. ixupè nhóte rel. em 1. pessoa. ixébo nhóte Empeçar. intricare. aiapatucà. Empecilho. möabaiçába Em pedaços. acicoéra v pecemcoéra. Empedir. amoabäíb. Empennar. criar pennas. çábuàn. çáva. Emperador. morobixabauçu etè. Empigem. goäurána Empinar qlq͡ r cousa. amopuàm. Empinarse assim. apuàm. Empinarse o sol. coaracỳ ybatè. Empobrecer. xeporeauçùb. N. amomoreauçùb. act. Empoçar. N. apytà. ut: ỹ [y] opytà ikè (‘a água empoçou aqui’). Empoçar. a. amombòr ybycoára pupè. Em poder. i pópe. ut. xepópe. nde pópe. ut: pachicù pópe nde gỳ. em poder do Fran. està o teu machado. Empola de agoa. mimingába. alii. yryiuapýra. id est, principio da espuma. Empolar fazer assim. amimìng. Empolar no corpo. piruà. se são mtas: piruà piruà. Empolar se o mar. paranà aíb. Empòs. post. takycoéra. xerakycoéra. Emprenhar. xepuruà. N. amopuruà. act. Em presença. tobackè [tobakè]. xerobakè. Emprestado tomar. apurù çuù. Emprestar ao outro. apurú. çupè. Empulhar ou zombar. aiemoçarài. recè. Empunhar a espada. apycỳc itagapéma. Empurrar. amoanhàn. hoc ppriè [proprie] sgfcat: impellere ad cursum si verò sigfcet [significet], extrudere dicere) emocẽ [emocém] v erocẽ [erocém]. si dejicere amoàr Em quanto v.g. pedro naõ vier. até pero oúrame. Entãm. äeremè vul. äérame. Em çima. aribò [áribo]. alii aripe. ut: patuà aripe (‘em cima da cesta’).

[folio 16 recto – 2° col.] 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37

38 39 40 41

42 43 44 45 46 47 48 49 50 51

EN. Encabeçar a alguem para hum mal. amöcángaíb. Encadear, pôr na cadea. ità pucuçáma pupè ainòng abá. Encadear, enfiar. acicimò. Encaixar. pôr na caixa. ainòng patuà pupè Encaixar na cabeça. ainòng xeacánga pupè. Encalhar no baixo, na terra, area etʒ aiàr. recè. hærere. estar pegado. hoc verbū aiár est regulare Encalmar o dia. çacù ára. Encaminhar. apecomeèng çupè. Encarar. amaèmaè. recè. oculos in aliquem defigere. Encarcerar. amondèp. v ainòng mondépe. einòng cò apyába mondépe. [‘ponha este homem na cadeia’] Encarecer. aimoetè vul. amoetè. ego dicerem: anheéngatú, et si esset supra modum, adderem çupìreyma rupì. Encarnar a ferida. ocäẽ pereva. vulnus cicatricem obducit. v = seca se a ferida. Encarniçarse. aicò ete. recé. alicui rei vehementer incumbere. Encarregar. amondó. imponere. injungere. Cate aiopoái. Encarvoàr. tatapunha pupè amopixùn. Encasquetar. ainòng amò abà acánga pupè. ut: ainóng xe acánga pupè. me encasquetou [encasquetei]. Encender. açapú. ac. açapùçapù. freqʒ Encenderse. acái. ocái óca. Encensar. amotimbòr. Encenso. ycycãtã. cyápuãbäè. Cat. vul. eodē modo. Encerrar. acekendà. Encerrarse. anheekendà v aiekendà. Encharcarse. xeapùng. xeapùng pacóva çuì. enchei [enchi] me etc Encher como vaso. aporacàr v amopòr v amotyricèm. Encher a mare. oikè paranà. Encolerizarse. anhemoyrõ. Encolher. aiapoapỳc como panno. v aiapuapỳc. a. Encolherse como panno molhado. aieapoa [aieapoapýc] = v puapỳc [aieapuapýc]. Encolherse como quem dorme havendo frio. aieapoapỳc. Encolher se o nervo. xeragycapàr. v xeragycacapàr Encolhido ter o nervo. xeragyciapàr. Encomendar algõ [algum] deixando o em poder d’outro. arecò ucàr çupè. Encontrada dar a alguem. aiapì . recè. Encontrar alguem no caminho. açobaitĩ vul. açovaitĩ. Encontrarse. aieiovaitĩ. Encostar algo, pondo o em pe. aimoàm. vul. amopuàm. Encostar se com a parede. aiemoàr v aiaticóòc. v aiecòc recè. v anhemoiàr: e se entende encostarse mto para qlq͡ r cousa. ut: erenhemoiartäè cecè? [‘você se encostou nele?’] Encovados olhos. teçapycoaréra v teça typỳ. Encourar a ferida. ocaẽ peréva v. sup [supra] encarnar. Encravar. aiaticà ita pyvà. v ita pygoà Encrespada pessoa. abà apixái. cousa encrespada. mbäé apixái [apixaí]. ut: co panna apixái [apixaí] [‘esse pano está encrespado’]. tapixái [tapixaí]. rel. [VLB pixaĩ, português pichaim] Encrespado estar como caõ ou gllha [gallinha] para pelejar. xeãtyrã. Encresparse assim. anhemoãtyrã. Encrespar hum a͡ al [animal]: amoãtyrã. Encrespar se hũa pessoa para outra. aiemurõ. Encrespar cabellos. amoapixái ába. Encruecerse. anhemopyaíbetè Encubridor. jeuacupára. item dici poterit iiaçöitára [rasura ilegível] aiaçöi Encubrir. aicuacùb. Encurtar o comprido. aimoatùc. vul. amoatùc. Encurvar. amoiapàr v aiapàr.


156


157 [folio 16 verso – 1° col.]

[folio 16 verso – 2° col.]

52 Encurvarse. aieaybỳc 53 Endireitar o torto. aiaparòc. cptm [compositum] ex apára et aiooc. 54 Endereitar o peixe o anzol. amoaparãtã. 55 Endiabrado. homem. aba poxì etè. 56 Endoudecer ao outro. amoacángaíb. a 57 Endoudecer. xeacangaíb. 58 Endurecer a outro. amoãtã. a. 59 Endurecerse xeãtã xerãtã. 60 Endurecida cousa. çãtã. rel. 61 Enfadado estar ou aborrido. xecoerái. mas sgfca ppr̃mte [propriamente] enfadado pelo lugar doença etʒ que se he outro enfado que pertence ao animo, se uza desta palavra: xepyàíba. v xeputupáb. ouvi dizer: Aporái, estar enfadado 62 Enfadamento do pro modo: moeráia. da 2ª putupaba. 63 Enfarar. aiegoarú. nauseo. ou enfastiarse 64 Enfastiar a outro. amoiegoarù. faldo [fallando] de comida. que causa fastio 65 Enfastiarse, desprezar, rejeitar. aroirõ. 66 Enfaixar. apokèc. 67 Enfeitar. amogatyrõ v amongatyrõ v amoporáng. 68 Enfeitar com riscos. v. pintar. 69 Enfeitarse como quer. anhemongatyrõ v aiemocatyrõ. 70 Enfeites. porangába. vul. va. [porangáva.] 71 Enfeixar. amamàn. v amonhang mamána 72 Enferma cousa. mbäè acỳ v nitì catù. 73 Enfermar. xembäè acyàr. 74 Enfermaria. mbaeacýbóraupába 75 Enfermeiro. mbaè acybóra rerecoàra. 76 Enfermo. mbäè acybóra. 77 Enfermidade. mbäè acỳ. 78 Enfesar a alguem. amopyaíb. 79 Enfiar contas peixe, agulhas. aycybó. vul. aycymò. supra encadear scribit: acicimò. [veja-se acima EN 3] 80 Enfiarse. xepyaíb. 81 Emfim. coytè. 82 Enforcardo. jubykipỳra 83 Enforcar. aiubỳc. v aiaiubỳc. quod est. affogar. 84 Enforcarse. aieiubỳc. 85 Enformar. docere. aimböè. 86 Enformar gente. aporomböè 87 Enformarse aporandù 89 Enfornar. amondèb iapúna pupè 90 Enfraquecer como quer. xemembèc. 91 Enfraquecer a outro. amomembèc. 92 Enfraquecida cousa. membeckipýra [membekipýra]. 93 Enfronte. in conspectu. çobaindába 94 Enfundir roupa. amorurù panna. 95 Enfusa. camotí. peqª: camotì mirì. 96 Enganar anganàn. arecò memoà. 97 Enganarse. aiabỳ. v aiavỳ 98 Engasgar comendo xeiubỳc xerembiù. e se he sahir pelas narizes algu͡ a cousa da comida se diz: xe ëú aparàr. 99 Engasgar fallando. namocèm catù xenheénga v nitì catù amocèm, xenheënga. [‘não fiz sair bem minha fala’]

100 Engatinhar. apunhé. 101 Engeitar. aroirõ. 102 Engelharse. tabescere. xeangaibàr. etè. v xecangoéra nhóte ut: nde cangoera nhò. 103 Engenho. tecocuába. 104 Engelhada cousa, enrugada. mbäè nhynhýnga: ut: nde rovà nhynhýnga [‘tua cara está enrugada’]. 105 Engelhar assim. anhynhýng. N. amonhynhyng. ac. 106 Engenho, trepiche. ybyràparánga. vul. ybyrabáka v áca [ybyrabáca]. (trepiche aparece no Bento Pereira) 107 Engenhoso ser de maõ. xepo catù. xepoporánga mbaè monhang. 108 Engordar. xekyrà. anhemokyrá. ouvi tyràb v tyrào 109 Engordar a outro. amokyrà. 110 Engraçado, ou gracioso. xenheénga poránga. 111 Engraçar [engraxar]. apixì cabacoéra pupè. 112 Engrandecer. aimoëté v amoetè. vul. v. Encarecer. 113 Engrossado [engrossada] cousa. mabaè [mbaè] kyrá. ut: ikyrà nde reimbába (‘tua criação está gorda’). 114 Engrossar. xekyrà. 115 Engrossar a outro. amokyrà. 116 Engrandecer com soberba. aierobiàr. v anhemöetè v.g. aierobiàr xeioecè. 117 Engrudar. amoiàr ycýca pupè. 118 Engulir. amocòn. freqʒ amocòmocòn. 119 Engulir mtas cousas huãs atraz das outras, como a galla [gallinha] os graõs do [de] milho. amococòn. 120 Enjoar, estar enjoado. xereçaguyrỳ. N. 121 Enjoar a outro. amoreçaguyrỳ. act 122 Enlaçar gerlmte aiapotì. e se he pelas maõs: apocoàr. 123 Enlameado estar. xerüùm. enlamearse, idem, ou enlodar. 124 Enlamear a outro. amotüùm. 125 Ennegrecer. act. amopixùn v amoùn. 126 Ennegrecer. N. xepixún. xeún. 127 Ennobrecer. amomoacàra. amoabáretè. 128 Ennobrecerse. anhemomoacára. anhemoabaretè. 129 Ennovellar. amoapöà. 130 Ennovellarse, ou estar ennovellado. aieapoàpỳc. 131 Ennovellado estar o fio. xeapöà. iapoà. rel. 132 Enorme cousa. mbaè poxì etè. 133 Enquerir. aporandùb. alii: aporandù. ita vul. 134 Enriquecer. naxeporeauçùb. 135 Enriquecer a outro. aporeauçubòc. ut: xe nde poreauçubòc [‘eu te enriqueci’]. 136 Enrodilhar. involvo. apokèc. 137 Enrodilhar como corda ou pao com ella. amamàn. 138 Enrolar corda. idem. 139 Enroquecer [enrouquecer]. xenheeng pyoù v xeaieoc pyoù. Raucesco. 140 Enrouparse. amondèb. aóba. aieaomondèb. meliùs. 141 Enrugar. amonhynhỳng. act. 142 Enrugar. n. anhynhỳng 143 Ensaboar. itagíva [itayjúia] pupè akytỳc [‘raspar com sabão’]. vul. ainòng sabaõ 144 Ensavar. [ensacar] ainong çáva [saca] pupè. 145 Ençalçar [exalçar]. aimoeté. 146 Ensangoentar. amopiràng. 147 Ensangoentada ser algua cousa. xepirang çuì. reça pirànga


158


159 [folio 17 recto – 1° col.]

[folio 17 recto – 2° col.]

148 Ensaiar. aimböè 149 Ensaiarse. aiemböè. anhemböè v açaàng. freq. açaaçaàng 150 Enseada. çabaã, vul. çavaã. gde çavaã goaçù. 151 Ensenhorearse. aipycyrõ. N. 152 Ensevar. akytỳc cabagóera [sabacoera] pupè. 153 Ensinador. mboeçára. 154 Ensinar. aimböè. ensinar gente. aporomböè. 155 Ensino ou doutrina. iemboeçába. 156 Ensoado. lanquidum [languidum]. membéc. 157 Ensoarse. xemembèc. lanquesco [languesco] 158 Ensobrebecerse [ensoberbecerse]. aierobiàr. aierobiacatù xeioecè. 159 Ensopar. amoiakỳm. immergere aliquid jusculo. 160 Ensurdecer. napyçacai. v apyçà ýma. nitì apyçára. v xe apyçà canhem. 161 Ensurdecer a outro. amoapyçaýma v amoapyçà canhem. 162 Entalar. aimoiàr. v aiopỳc. intercipere. 163 Entalhar. incído. akitĩ. akitĩkitĩ. 164 Entam. äèremè v ramè [äèramè]. 165 En tanto. ranhè. ut: taço ranhè (‘em tanto vou’). 166 Entapar. acekendà. 167 Enteada ou enteado do homem. xeremirecò membýra. 168 Enteado da mer [molher] xeména raýra. enteada da dª xeména ragíra. 169 Entender. aicuàb. vul. acuàb. 170 Entendimento. tecocuába. 171 Enternecerse. xepyá membéc v açauçubár. recé. sgfcdo [significando] ter compaixaõ. 172 Enterrador. jotymbara. 173 Enterrar. anhotym v aiotým. 174 Enterrar gente. aporojotým v aporotỳm. 175 Enterrarse. aietým. 176 Enterrada cousa ou plantada. jotympýra ut: goajará iotympýra. 177 Enterromper. anheénga renondeár. v acenondeár. nde nheénga ut: erenondearúme xenhéenga, naõ me enterrompas. 178 Enterter. amomucú. amopucú. 179 Entesar. como quer. amoãtã. amopyrãtã.v amoãtãbuc. 180 Entesar como arco. amoaparãtã 181 Enteso ter. amoãtãnhé. vul. amoãtã. alii: amoãtã. 182 Entornar farª [farinha] ou licor. anhocén [anhocém] v aiocén [aiocém]. effundere. [VLB Pr, Eck: anhocen, DPB 1751: anhocém] 183 Entornarse. aiecén. freqʒ aiecéiecén 184 Entortar. aiapar. amoiapár. 185 Entortador. moaparaçára. 186 Entopir. aiöó. ac. aieó. N. 187 Entrançar. anhopẽ v aiopẽ. intorquere. 189 Entranhas. righé. 190 Entrar. aiké. 191 Entre. int. pé v pupé 192 Entre dia. aribobé vul. arivobe. ut: arivobé eporabyký [‘trabalhe entre dias’]. 193 Entregar. aimeẽng. 194 Entregarse, anhemeéng. ut: onhemeéng ixébo. se me entregou. 195 Entrelusco. fusco da noite pytúnaramé mirí. de manhaã coe [coem] mirí eté ramé v çapucáia nheengaramé. 196 Entre maõs xepópe. 197 Entremeterse. anhemondé.

198 Entrepeçar [tropeçar] aiapí pondo a cousa, na qual entrepessou [tropeçou] offendere 199 Entretanto. ranhé. tambae ú ranhé. taço ranhé. 200 Entretecer. aiemoiear. interere. 201 Entreter. amomucú. ut xemomucuúme iepé, naõ me entretenhas. 202 Entroduzir alguem. amoinké. dentro pª hum lugar. 203 Entristecer a outro. amoingotemé. vul. amopyaíba. 203 Entristecerse. anhemoingotemé. vul. xepyaíba. 204 Entropessar [tropessar]. aiapí. explicd̃ o [explicando] a cousa entropeçada [tropeçada] cespitare v offendere ut supra entrepeçar: N 205 Entrudo. iovámotínga. 206 Entulhar. aporacár amotyricém. 207 Entupir. acekendáb vul. dá [acekendá]. 208 Envasar. ainóng çurú pupé. v çurúpe. 209 Enveja. ába [abá] mbäé catú moacý. 210 Envejar. amboacý ába [abá] mbäé catú 211 Envelhecer pessoa. acacuáb. 212 Envelhecer outra cousa com o uzo. xeaíb. anhemoaíb. v ymána. 213 Envelhecido estar. xe tuibäé. isso he de gente. 214 Envelhecer a outro. amotuibäé. ut: pe xemotuibäé (‘vocês me envelheceram’) 215 Enverdecer. cenhy [cenhýi] uán rel. piár uán rel. 216 Envergonhar a outro. amotĩ. 217 Envergonharse. atĩ. anhemotĩ. idem estar enverg. [envergonhado] 218 Envermelhecer. xepiráng. 219 Envestir com os inimigos. açopenhán. v amoiár. 220 Enviar. v. mandar. 221 Envinagrada cousa. çáì eté N. 222 Envinagrar. amoçái. a. 223 Envoltorio ou trouxa. mbäé pokéca. ut: eraçó co pokéca [‘leve essa trouxa’] 224 Envolver. apokéc. 225 Enxada. pyruré goaçú. 226 Enxaguar. amocoçoc. 227 Enxame de abelhas. eirúba. 228 Enxerir. amondéb. a. 229 Enxerirse. anhemondeb. N. 230 Enxarope moçánga v poçanga. xepotar poçánga 231 Enxergar. acepiác. 232 Enxergarse. aiecuáb. 233 Enxó. asca. pyruré. 234 Enxofrar. apixí [aiapixíb (ou aiapixio)] anhánga repotí pupé [‘esfrego no esterco do diabo’]. 235 Enxofre, anhánga repotí [‘esterco do diabo’]. 236 Enxotar. amopú. 237 Enxugar o molhado. amoticáng. 238 Enxundia [Bluteau: gordura, que está no ventre ou oveiro da galinha, & outras aves]. cába. já tirada. cabacoéra. ut: çapucaia cabacoéra [‘gordura de galinha já tirada’] gordura adeps 239 Enxuto estar. como panno lavado. aticáng. ut: oticang uán panna, ybyrapeba. etʒ 240 Enzol [anzol]. pindá. anzol branco pinda tínga. de ferro: pinda úna. gde goaçú. 241 E pois, perguntando. Aépe? 242 E quando cazo for. aeipó.


160


161 [folio 17 verso – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

ER Era. verbo. naõ ha expresso: mas inclue se em certas frazes. ut: ixe racó. v ixé racó äé. era eu. nití racó naõ era. Eranza [erança]. mbäe coéra Erbolario v ervolario. caapií catú rerecoára. Erguer o ja caido. açupír, que naõ he gte [gente] ou cousa caida. Erguer a alguem ja cahido ou deitado. aimopuám. vul. amopuã. Erguer se o deitado. apuám. Ermida Tupãroca mirì. Ermidaõ [ermitaõ]. Tupã róca mirí rerecoára. ou: paí apína. Ermo. tabeýma. Ernia. çapiá goaçú. rel. Eroica cousa. mbäé catú eté ut: pacicú catú eté [‘Francisco é um herói’]. Errar como quer. aiabý. vul. aiavý. aiaby Tupã nheénga eté peccare graviter in Deum Errado ir de caminho. xeropar. xeropáropár. Erva. caapiĩ. erva doce eodē modo. Erva santa. petýma. Erva setta. uubacý. Ervar as settas. aimoacý uubac guirarí pupé. Ervagem. caapií túba. ervinha. caapií mirĩ. Ervecer. caapií uán. Ervolario. vi. erbolario. E S. Esbofar. xecanëõ. N. esbofado estar. xecaneõ uán. Esbofatear [esbofetear]. açobapetéc. v acóvapetéc. Esborrachar. amocambìc. v amocambiríc. eté. Esborracharse. anhemocambiríc eté, v anhemocambíc eté. Esbravejar. nhemoirõ çuí. xeacangaíba. v xepyaíba çuí. Esborralhar como fogo. amoçaĩ. amoçãmoçáĩ. e assim qlqr cousa que se espalha. Esbulhar. furtar. xemondá: vul. amondá. Esburacar. amõbúc v amopúc. Esburacada cousa. mombuckipýra [mombukipýra]. Esburgar. apiróc. decorticare. Escabello. apycába v áva [apycáva] escabellinho. apycáva mirí. Escabrosa cousa. aspera. mbäé curucurúba. v úva [curucurúva]. Escacear o vento. ovatár ybutý [ybytú]. ventus deficit. Escada. mytá mytá. Escalador. mondaboruçú. Escalar. amondarõ eté. vul. xemondá eté. Escalar como peixe. amobóc. exenterare Escalavrar. acotúc. na cabeça aiapixáo. sauciare. Escalavradura da pra casta. cotucába = ava [cotucáva]. 2. iapixápába. Escaldar. amoacúb eté. Escaldar se. anhemoacúb. eté. Escamager [escama ger = geralmente]. píra. ja tirada. piréra. Escamar. apiróc vul. aipemóc. Top. Escama. meliùs péma. ipéma. rel.

[folio 17 verso – 2° col.]

25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42

43 44 45 46 47 48 49 50

51 52 53 54

55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69

ES Escamoso ser. ipeipém. rel. Escaminha. péma mirí. Escampar a chuva. oputüu amána. Escandalizado estar. anhemoyrõ. çupé. Escandalizar. amoyrõ. Escanno. apycába v áva [apycáva]. Escapar fugindo. aço iepé. aiabáb. Escaravelho. enéma. scarabæus. Escarcavar v escavar. acybycói. excavare. Escarlata. panna piránga väé. naõ repare no vaé: porq assim dizem et naõ: piráng mbäé ou pirangbäé. Escarnecer. aioiái. freqʒ aioiáioiái. illudere. deridere. Escarnecer gente. aporaiái. abs. Escarpa do muro. ybyóca. putococába Escarrar. xeüú. excreare. Escarro. üú. Escasseza. tecateýma. Escasso ser. xerecateým. Escasso ser op o pezo ou metida [medida], ou o que se reparte. agoatár. v nacýki. nití ocýc. ou ovatár. cacáo rel. Escavar açybycói. Escoar como agoa. aiocén. v acecabóc. v acecavóc. vul. – Escoarse elabor. aiabáb. vul. aiaváu. ut: oiavau uán. escöou se. alii: ia oiauáu. Escodear como paõ. apiróc miapé. Escola morõboëcába [morõboëçába]. v nhemboecáva [nhemboeçáva]. vul. Escola de danzar [dançar]. poracéia nhemböecaba [nhemboeçába]. Escolhedor. parabocára. Escolher entre mtos . aparabóc. acatüóc. aindaq sejaõ poucos. escolher o melior. alii: aporavóc. idem de escolher feijoẽns etʒ Escomungar. açovaçáb aíb. Esconder anhomím. a. Esconderse. anhemím. aiemím. N. Escondimento. nhemíma. ut: nhemíma rupí ereçó xeçuí [‘você se foi de mim sorrateiramente = escondido’]. clam [a] me abis. Escontra. cotý. Escopeta. mocába. áva [mocáva]. Escoria qlq͡ r . Tepotí. Escorpiãm. Jagoagíra. Escorregar o que anda. ou escorregarem lhe os pes xepycyrỳc. fallit pes. germanice: stolperen. Escorregar qlq͡ r outra cousa. acyrỳc freqʒ acyrycyrỳc Escorrer. açururù. Escova. tapixába. – va [tapixáva]. Escovar. apiìr. alibi habet: apëir. Escrava ou escravo. miauçuba. Escrementos tepotì. mirà repotì [‘escrementos de gente’]. iagoára repotì [‘excrementos de cão’]. Escrever. acotiar. acoatiár. Escrevente acoatiaçára. Escrever a miudo acoatiatiár. Escrito coatiaçába v áva [coatiaçáva].


162


163 [folio 18 recto – 1° col.] 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83

84 85 86 87 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116

Escritorio. patüá. Escudeiro. goaracapá rerecoára Escudo. Goaracapá. Escudela. pratú. Escudarse. aiepiár. clypeo se protegere. Esculpir acoatiár. Escultor. coatiaçara. Escultura coatiaçába. Escuma. tyjuía. videtur scribendum: tyuìa v tygui, et secundū hoc exprimunt gutturalitʒ [gutturaliter]. Escumadeira. tyjuia ioçába Escumador tyjuíaiocára. Escumar. atyjuòc. Escumar lançar escuma da boca. xerendyjuì. Escura cousa. mbäé pytúna. ut: pytúnuan ára [‘o dia já escureceu’]. pytúnuçú có óca [‘esta casa é muito escura’]. Escura ser a noite. pytunuçú. Escurecer. amopytún. act. Escurecer. n. anhemopytún. Escuro ser o lugar. xepytún. Escuridão da chuva. amapytúna. Escutar. acendúb. v dú [acendú]. aieapyçacá mais pprio [próprio] cum recé. verbale. cendupára. Esfarrapar. amboí. Esfolador. pirocára. Esfolar. apiróc. detrahere pellem. excoriare. Esforçar. amopyãtã. v amopyrãtã. Esforçarse. anhemopyãtã v pyrãtã [anhemopyrãtã]. Esforço. myãtã. Esfregar. akytýc v apixíb. alii: apixío. german. [germanice] reiben Esfregarse. anhekytýc. anhepixio. Esfriar. amoroyçáng v amoroý. Esfriar se. xeroyçáng. iroyçáng. rel. Esfusiar o vento. ybytú v yvytú oteapú. Esfusilar o relampago ou rayo. otupaberáb v veráb [otupaveráb]. Esgalho. çacá [çacã]. ybyraracá [ybyrarakã]. isso he ppriè [propriè] ramo. Esmagar. acambiríc. aiami. ut: eiamí peréva [‘esprema a ferida’]. meliùs ocamiríc. Espremerse. aieiamí. anhecambiríc. o pro ppriè [proprie] espremerse. Estimar. aimoeté. Esmechar. aiapixáo. ferir na cabeça. Esmigalhar. amboimboí freqʒ Esmiolar v aputüubóc. aiaputüubóc Esmiuçar. amocuruí. amocuí. Esmola. tupã potába v va [potáva]. Esmolar, fazer esmola. atupã potameéng. Esmoler. Tupã potáva meengára. Esmondar. apiróc. verbal. pirocára. decorticare. Esmorecer. acanhecanhém. animo linqui. Espada do [de] ferro. jtagapéma. do [de] pao: igapéma.

[folio 18 recto – 2° col.] 117 118 119 120 121 122 123 124 125

Espadana de peixe. uubarána. Espadarte. aragoágoá. Espadoa. gibá pecánga. Esmerarse, no que se faz. aiapo catú catú. Espalhador. moçaindára. meliùs moçaĩçara. Espalhar. amoçãi. Espalharse. anhemoçaĩ. Espancar ainupã v anupã. Espantar. amoacanhém canhém. fre. simpl. [(ação) simples] amoacanhem. 126 Espantarse. acanhém. freqʒ acanhecanhém. 128 Espantoso ser. xeabaeté. v xeabaetégoaçú. ïabaeté. rel. 129 Esparecer. anhemoeçãi. 130 Especular. anheeangherecó [anheangherecó] [v. EX3: examinar]. vul. aipyamonghetá. 131 Espedaçar. amböí. 132 Espelho goaruá peqno goaruai. usitatū apud Corib. 133 Espenicar. vellico. apokiríc. 134 Espeque. potuoçocába [putoçocába] falerum. 135 Esperança. jerobiaçába. v tupã recé ierobiára. 136 Esperar. sperare. aierobiar recé. 137 Esperar por alguem. açarõ. 138 Esperar caça ou inimigo em algum posto, pª onde [139] ha de passar. açapearõ. 140 Esperar por alguem fazendo prestes para elle. anhemoçacüí. [141] v anhemoçainán recé. 142 Espera. çarõçába. a qtte que espera. rarõçára. 143 Esperdiçar. amocanhém. dissipare. 144 Esperdiçador. mocanhempára. 145 Esperto ser. v. diligente. 146 Esperta o vento. ybytú kyrybáb [kyrymbáb] v. [AN 14 Animoso ser. kyrymbáb] 147 Esperdador [espertador]. mopacára 149 Espertar do sono. apác. n. 149 Espertar a outro. amopác. a. alii: amobác [amombác]. 150 Espessarse. anheagíc. çagíc uán. está denso. rel 151 Espeto. mixiçába v va [mixiçáva]. 152 Espia qlq͡ r. manhána. 153 Espiar. amanhán v manhánamo aicó, v açó. ut: ereicope manhánamo [‘você é vigia?’]. 154 Espiga como de milho. abatí úba. 155 Espiga. xeiá. iiauan. espigou. 156 Espingarda. mocába. espingardinha. mocáva mirí 157 Espingardear. açapú mocába. 158 Espingardeiro. mocába monhangára. 159 Espinha qlq͡ r. cánga. ja tirada: cangoéra. 160 Espinha do rosto. tobá curúba. vul. tová curúva. 161 Espinhas ter no rosto. xerová curúva. 162 Espinhaço. cupè cánga, ainda no corpo. tirado. pytéra cangoera 163 Espinhar, picar o espinho. acotúc. ut: ju xecotúc [‘um espinho me picou’]. 164 Espinheiro ou espinhal. jutýba. 165 Espinho. jù. 166 Espinharse sentire v.g. dicta aliorū. aiemurõ.


164


165 [folio 18 verso – 1° col.]

[folio 18 verso – 2° col.]

167 Espinhela. muçuã. ter a espinhela caida. xepuçuaàr [xepuçuãàr] 168 Espiolhar. akybóc. ut: nde xekybóc. espiolha me. 169 Espirar. id est morrer. amanó. 170 Espirito, alma. ánga estando no corpo. 171 Espirar [espirrar]. xeaçám. alii: xeeàm v xeacím. dubio hoc [rasura ilegível] ultima. 172 Espirar [espirrar] a candea cendýcendý rel. 173 Esplandor [esplendor]. mbäé rendý v mbäé endý. 174 Espojarse o animal. aiereieréo. 175 Espora. pyãtĩ. espora do gallo. o mesmo. 176 Esposa. ou desposada. temirecó potaçaba. – ua [potaçaua]. 177 Esposa ou ja casada. temirecó. 178 Espreitador. manhána. 179 Espreitar. amanhán. 180 Espremedor de mandióca. tipití. 181 Espremedor. gerlmte . miamĩçára. 182 Espremerse. anheamĩ. N. v aieiamĩ. 183 Espremer. aiamĩ v anhamĩ. 184 Espremedouro ou lugar, onde se espreme. miamĩama. vul. miamĩçába. 185 Esquadrinhador. poranduçára 186 Esquadrinhar. aporandú porandú. scrutari. 187 Esquartejar. amboí. 188 Esquecer. océm xeacánga çuí. 189 Esquecerse de algu͡ a cousa passada, ou estar esquecido della xereçarái. çuí. ut: nde reçarái xe çuí [‘você se esqueceu de mim’]. se porém se esqueceo de fazer algu͡ a cousa por inadvertencia, ou esquecimento: se uza do mesmo verbo com a præposiçaõ recé. ut: xereçarai nde nheénga recé [‘eu esqueci de tuas palavras’]. 190 Esquentar. amoacúb. 191 Esquentar se. anhemoacúb. 192 Esquentado estar como de trabalho ou furia pª batalhar ou por qlq͡ r outra cousa. xeracubór. 193 Esquerda. jaçú. rel. ut: giba açu. braço esquerdo. oaçú goty [coty]. ad dexterā suā Cate. fol. 62. [confusão entre ‘esquerdo’ e ‘direito’ na tradução] 194 Esquize [esquife] da nao. bergantím uçú membýra. 195 Esquize [esquife] de enterrar. teõ coéra rurú. 194 Esquina. çacapýra. rel. angulus. 195 Esquivo ser, como a crianza [criança], que repunha ao que a quer tomar. xeieiái. nde membýra ieiái. ou: iieiái nde membýra. repugnare. 196 Essa parte. ahi. äépe. 197 Essa ou essa. äé. 198 Esse mesmo, que tu dizes, ou que te disseraõ. äé v aémbäé v aipó v aipobäè. 199 Essoutro. coëamó v amó aé. 200 Esta, este, cobaé vul coväé. 201 Estabelecer se uza de rodeo, como a dizer. estabeleci de confessarme. xepáà çuí catú anhemombeú potár. 202 Estalajadeira, ou eiro [estalajadeiro]. mutaçára 203 Estalagem. mutaçába. ut: xeputaçába pupé. v xeputaçápe oico. estive [esteve] em minha estalagem. 204 Estalar como rebentando. apóc. ouvi tambem oxiríc de vidro rebentar o vidro v. esturrar. 205 Estalar, ou stridere sicut arbor, pa cahir ou a trave

da caza. apuruc. atitíc. 206 Estalo. crepitus. teapú. 207 Estamago [estomago]. pyá. 208 Estancar o sanque [sangue]. amoputüú çuguyí. ut: có poçanga omoputüú nde ruguyí [‘este remédio vai estancar teu sangue’]. 209 Estancia, aonde se dorme kerupába. 210 Estanho. itaiýca. v itagýca. 211 Estar como quer. aicó. aicobé. 212 Estar em pe. apuám 213 Estar assentado. agoapýc. 214 Estar deitado. anhenong. v anhepyçõ [anhepyçó] v aiúb. 215 Estar de cocoras. apunhé. flexo poplite sedere. 216 Estar de joelhos. anhenepuáĩ. 217 Estar de costas. anhenóng xe cupé ybý cotý. 218 Estar pª vir, cair. apýri. ut: aço apýri Top. vul. açopotár oár potár. 219 Está bem desfeita huã cousa. aietucutĩ, alii: aietucuxí. 220 Estar se quedo, sem fazer estrondo. ou sem se levantar. naxemaráni. vul. aicó nhóte. 221 Estarse (se) quedo sem fallar. akiritĩ [akirirĩ]. logo quando se quer que huã pessoa ou muitas naõ façaõ estrondo, se lhe diz. peiconhote [‘fiquem quietos’]. e qdo se quer, que naõ falem, nem façaõ algum mormorio com a boca se diz: pekirirĩ [‘fiquem calados’]. 222 Estar triste. akirirĩ. 223 Estar a mira. amaé maé [amaẽ maẽ] 224 Estatua. míra raangába. v abá raängába. 225 Estatuario. míra raangába monhangára. 226 Estatura de corpo. abá pucúçába vul: áva [pucuçáva]. 227 Estatuto. tecomonhangába. 228 Esta ou este ou isto. có, icó, cobäé. 229 Estar mto tempo com algũ mao sentido. arokeretá. 230 Esteira. pirí. 231 Esteiro do mar. yembý. 232 Estender o dobrado. aipyçó. a. 233 Esteo. putoçocába. 234 Estercar a terra. amokyrá ybý. a. 235 Esterco de qlq͡ r animal. tepotí. 236 Estirilidade de mantimentos. tyabóra. 237 Esteridade [esterilidade] tal padecer. atyabór 238 Esteril. femea. v. maninha 239 Estilar. amotykýr. a. 240 Estilarse. atykýr. freqʒ atykytykýr. f. 241 Estimada cousa. mbäeté catú eté. 242 Estimar ou ser em dar estima. aimoëté. Bettendorff: amombae sic: supra alios: anhemombae amo amo abá çuí 243 Estimarse. anhemöeté. n. 244 Estimular alguem pª fazer algu͡ a cousa maa. amoacangaíb. a. 245 Estimulos da carne. teté pirínga 246 Estimulos taes causar. amopiríng. 247 Estimulos taes padecer. xepiríng. freqʒ xepiripiríng. 248 Estirado estar. çãtã e assim dizem, qdo a porta está bem fechada.


166


167 [folio 19 recto – 1° col.] 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267

268 269 270 271 272 273

274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293

Estirar como corda ou panno. amoãtã Estirarse. anhemoãtã. v anhepyçó. v aiepyçó Estocada dar. acotúc. sem ferir: aioçóc. Estopa. ymbyra v ymbira. Estorvar, impedir. amoabaíb. Estorvinhado gemer, ou confragerse [confrangerse]. xekeraíb. n. Estorvinhado [estrovinhado] levantarse. xepacaíb. (A grafia “estorvinhado” está também no VLB, na Prosodia e no Vocabulario da lingua Brazil de Eckart). Estourar. apóc. N. disrumpi, v magís: crepare. Estouro. mocaba ou bocaba. Estrada publica. mira rapé. Estrado tendába. Estragar. amocanhém. Estragarse. acanhém. Estrangeiro, amó yby igoára v vataçara. Estranhar o mal feito. aroirõ. Estranhar com palavra, prinplmte [principalmente] em ausencia. anheéng. recé Estranhar. naõ conhecer. naicuábi v nití acuáb. Estrabuxar. como para se soltar. ababác v anhemobabac Estreita cousa, como çapato. çantãbúc. como taboa [as duas últimas palavras estão numeradas, indicando sua ordem: ´taboa´ 2, e ´como´ 1]: nití tepopír. primū m̅ [maxime] reddi potest per açaráceyma vid. largo. Estreitar. aiubyc. Estrella. iacý tatá. a estrella, dª alva. iacý tatá goaçú Estremada cousa ou excellte [excellente] icatú eté. rel. Estremar. segregare. acatuóc. v aparabóc: vul. aporavóc. Estremar os que pelejaõ. aipëá. Estremecer de medo. acýi. xepiríng. v acanhém. fazer estremecer assim. amondýi. amopiríng. v amoacanhém. se pode fazer freqʒ amoacanhecanhém. Estremidade. çacapúra. Estremidades, pontas dos pes e maõs. apýra. Estrepe. mína. Estrepar. ainóng, aiatíca mína. paxillos terræ infigere. Estrepes de ferro. itá mína. Estrepido [estrepito], estrondo qlq͡ r . teapú. alibi. teapy. Estrepido [estrepito] fazer qlq͡ r cousa. ateapú. fazer, qʒ alguma cousa faça estrondo. amoteapú. emoteapú tambor. Estribar. ou estribarse com os pes. aiepytaçóc. recé. Estripar. acyeoc. alii: aioóc cepotícoéra. exenterare. Estrondo. teapú. Estudante papéra recé jemboeçara. Estudar. aiemböè papéra recé. Esturrar. amoxiríc. Esturrado estar. oxiricuán. rel. Esvaecer por fraqueza, ou olhando de mui alto. ou esvaido estar de naõ dormir. xereçaguyrý. Esternamente. aujeramanhé. Etica. enfermidade. angaibabiára. Etico ser. xeangaibabiár. Eu. xe, ixé. eu mesmo. xe äé. eu mesmo faço, venho etʒ xeaté et alii xete amonhang. ajur et. Evacuar. aiocén. v acecabóc. Evaporar. atimbór.

[folio 19 recto – 2° col.] 294 Eunuco. çapiáockipýra [çapiáokipýra]. 295 Evitar. naimonhang v amonhangume [emonhangume] [sic: -umé é a marca de negação do imperativo, e não é usado na primeira pessoa]. nití amonhang.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22

23 24 25 26 27 28

EX Exalçar. aimoëté a. Exalçar gente amoabareté. Examinar. anheangherecó. vul. aipyámonghetá. n. Exasperar a alguem. amoputupáb. v amoirõ. Exasperarse. xeputupáb. Excellente cousa. mbäé catú eté. Excitar. provocare. pª o mal. amoacangaíb. Exclamar. açapucái. Exclamar por dores. xeracém. Excluir aipëá. Excrementos. tepotí. Execrar. aroirõ. a. Executar a vontade alheya. aporacár abá remimotára. v arobiar abá nheenga. Executar a ppria paixaõ, ou o que lhe suggere o demonio. aporacár iuruparí nheénga Exercitar o seu officio. aporacár xerecó. Exercitar. amonháng Exercitarse em algu͡ a cousa. açaáng. v aiemboé recé. Exercito. míra reýia. Exercitio [exercício] ter de alguma cousa. aipocuáb. Exhortar. aimonghetá v amongetá. Exhortador. monghetaçára Exhortaçaõ. monghetaçába. a mtos poromonghetaçába. e assim exhortar muitos: aporomonghetá. Expellir. expellere. aimocém. Experimentar. açaáng. Explicar. anheengatú. Expirar. amanó. Expor. ainong çobacké [çobaké]. Extinguir, apagar fogo, candea. amoguéb [amonguéb] tatá [‘apaguei o fogo’].


168


169 [folio 19 verso – 2° col.]

[folio 19 verso – 1° col.] [vacat] 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43

F A. Fabricar. aimonháng. aimonháng óca. Fabricador das casas. óca monhangára. Fabula. morandúba. Faca de cortar. kycé. facaõ. giçe [kycé] goaçú. Facada. cotucáva. vul. Facada dar. acotúc. Face. tobá. robá. v rová. vul. Facetear. amoiarú. Facha [facho]. tatá. Fachada. cepiacába v áva [cepiacáva]. Facil cousa. nití igoagoaçú [´não é muito difícil’]. Facilitar. amoîgoagoaçuúmé. çupé. Facinoroso. aba poxí. abá angaipabóruçú. Fadiga de coraçaõ. tecó teme temé. Faim. lança. itá mína. Faisca. tatá piriríca. Faiscas lançar. apiriríc. faiscar idem. Faixade [Faixa de] pª apertar o ventre. cuápocoaçába v áva [cuápocoaçáva]. Faixa do peito. putiá pocoaçáva. faixinha: mirí etʒ pondo lhe atraz a pte do corpo, que se enfaixa. Falla. nheénga. xe. nde. i. fallinha: nheénga mirí. fallador. nheengára. Fallar com alguem. amonghetá v amonketá. Fallar alto. anheengãtã. idem fallar aspero. hoc etiam: anheeng accy [acy] – v ací ixupe. Fallar baixo. anheeng meve mevé. Fallar contra ou de alguem. anheeng recé. Fallar bem de alguem. anheengatú abá recé. Fallar hum com outro, ou huns com os outros. anhomonghetá v aiomonghetá. alguns: aimonghetá. Fallar diante de alguem, que me ouve. anheeng ába remiendubamo. v anheéng abá robaké. Fallar de entre dentes. aiururúc. Fallar liviandades. anheéng poxí poxí [‘falo muito mal’]. v anheéng poráng [‘falo bem’]. Falcaõ. guyrá goaçú. Falecer. amanó. acanhém. Falecido. teõcoéra. Falecimento. mors. teõ. Falhar. avatár. ut: ovatár pacicú. Falquejar pao. anhopán. aiopán. Falsa cousa mbäé nití çupí. mbaé çupíúma. Falsamente. tenhé. Falsario, que diz falsidades. jereragoaindára. melius: jereragoaitára. Falsar. açaáng. acaaçaáng. Falta mingoa de algu͡ a cousa. tybeýma. vul. nitimbaé. Faltar como [com] algũ dos comphros [companheiros] naicói. avatár.


170


171 [folio 20 recto – 1° col.]

[folio 20 recto – 2° col.]

44 Fama. morandúba. 45 Familia tayretá. v taynetá. e serve aos machos e femeas. 46 Familiar. xe cuapára v xerauçupára. vul. xecamarára. 47 Faminto ambyacybóra. 48 Faminto estar. xeambyacý. 49 Fantasear. aipyámonghetá. 50 Fantasma. mbäé aíba. 51 Faqueiro, que faz facas. kycé monhangára. 52 Farauta mimbý mirí. [assim em Bento Pereira, ‘flauta’, < frauta]. 53 Faraute ou lingoa. nheénga iára. nheénga rerecoára [assim em Bento Pereira, do occ.-cat. faraut do frc. héraut] 54 Farça. morandúba. 55 Fardel. pokéca. 56 Farelo e tudo o que fica da mandioca rallada e espremida a que chamão typyrantí, este peneirorado ou joeirado o que fica na peneira, he o farelo. sendo gde, o chamaõ mindó curuéra. se he peqº curéra. 57 Farelo como de pao serrado. cuí ut: ybyrá cuí. petýma cuí. a mesma partl͡ a serve pª tudo, o que se pisa ou faz em po. ut: ybyrákyynha cuí [´pimenta em pó´]. 58 Farinha. oí. ut: xe oí. a arte o poém üí farinha da guerra oĩ ãtã. – farinha de agoa: oí catú. – farinha seca: öí xica. 59 Farinha poenta. öí tuguýra. 60 Farnetico. acángaíba. 61 Farrapo. panna aíba. 62 Fartar a vontade. a. xeapycýc. anhemoapycýc. 63 Fartar a vontade a outro amoapycýc. 64 Fartar ou estar farto de comer. xeapúng. 65 Fartar a outro. amoapúng. 66 Fartura. saturitas. apúnga. 67 Fartura ou abundancia. cetá mbäé. 68 Fastio. iegoarú. 69 Fateixa [fatexa] de canoa. ygára pycycába. 70 Fatia do [de] pãm. miapé acicoéra. pecemcoéra. 71 Fatiar pãm. amocicoéra miapé. 72 Fato. mbäé. 73 Fato de casa. xembäé etá. 73 Fato. bando, ou cardume de peixe ou de qlq͡ r animal: teýia ut: pira reýa. ceýi oicóbo. andavaõ em bandos. 74 Fava. comandá. pqnas comandaí. alii: comandagoé. 75 Favor dar ou favorecer. arecó catú. 76 Faval. comandátýba. 78 [sic] Favoravemte [favoravelmente] falar. xenheéng marágatú [marãgatú]. çupé v anheengatú. 79 Fazedor. monhangára. 80 Fazenda ou riqueza mbäé etá. 81 Fazenda roça. có. copixába. 82 Fazer aimonhang. v amonháng. 83 Fazer. outros fazer. amonhangúcar. 84 Fazer depressa. xepoiabáb. v iaváu [xepoiaváu]. xp xepobebýi.

85 Fazer a vontade a alguem aiporacár abá remimotára v amonháng amoryb [abá nheénga] [`fazer de acordo com as palavras de alguém´]. amopór aba nheénga [‘cumprir as ordens de alguém’]. 86 Fazer huma parede, ou taipa lisa com outro barro. amotöóm, ou amotüúm, ita ut pronuncietur nec planè ut: o, nec planè ut: u. mas o fechado. 87 Fazer caminho. açapemonháng. 88 Fazer estremecer de medo. amoacanhém. amondýi. v. estreʒ [estremecer] 89 Fazer a saber. amombeú, çupé v amomorandúb. 90 Fazerse ver. aiepiac ucar. v anhepiacucar. 91 Fazer ver acepiác. acepiác ucar. 92 Fazer sabedor. amocuáb. v amomorandúb. 93 Fazer tornar. amoiebýr. 94 Fazer agoa como navio, casa. açururú. oçururú óca [´a casa fez agoa´]. 95 Fazer se temer. anhemoabaeté v anheabaeté. 96 Fazer amizade com alguem aiecotyár. recé. amigo: cotyaçára. amizade cotyaçaba v áva [cotyaçáva]. 97 Fazer se. anhemonháng. 98 Fazer o que deve. aimonháng xerecó [‘fazer o que se tem’]. v aporacàr. oporacár cecó [‘faz o dele’]. 99 Fazer o que naõ deve. naiporacár v aporacár [naporacár] 100 Fazer bem amonhánga mbaé catú. v ambaécatumonháng. 101 Fazer fogo. abslto [absoluto]. aiatapú. 102 Fazer farª [farinha]. apucúi. pucuitára, mer [molher] que faz. pucuitába. o rotolo, com que se mexe. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26

FE Fe em Deos. Tupã rerobiára. Fe ter. credere. arobiar. Fe ter em alguem. sperare, confidere. aierobiár. recé. Fea cousa. mbäé poxí v aíba. xepoxí. sou feio. Febre. tacúba, vir a sezaõ da febre ao que a padece. xeracuár. Febre ter. xeracú. ter febrinha. xeracú mirí. Febres terçaãs. tacúba rerýia. reyia Fechada cousa. ïekendapýra. Fechadura, e qlq͡ r ferrolho. okendapába. Fechar gerlmte acekendá v açokendá Fechar os olhos. açapumí. Fechar porta sem chave. anhokendáb. vul. açokendá. Fechar com a chave. amoxaví. Fecharse. aiekendá. Fecho, ou altrave [aldrava]. okénapába v okénapotáia. Feder. xeném. xeaké. ïaké rel. Fedor. néma. Feder a boca ou bafo. xejuruném. xejurunéma. o fedor. Fedorenta cousa. mbäénéma: castanha néma. Feiçaõ do rosto. cepiacáva. vul. feijao Feijaõ, legumen. comandá. Feijoal. comandaitúba. alibi týba [comandaitýba]. Feita cousa. monhánghipyra. Feita de ferro. ita çuígoéra Feiticeira ou feiticeiro, que mataõ gente com feitiços morocanhémpára v maracanhembóra. Feitiços pª matar. moçangaíba.


172


173 [folio 20 verso – 1° col.] 27 Feitor de fazenda. copixába rerecoára. de engenho: ybyrabáca rerecoára. 28 Feitura minha. xeremimonhánga. ut: iande tupã remimonhánga [‘criação de nosso d deus’]. 29 Feixe qlq͡ r. mamána. 30 Feixinho. mamána mirí. 31 Feixe fazer de alguma cousa ou fazela em feixe. amamán. 31 Fel. pyá piára. 32 Feliz. aba nití poreauçúb [‘homem rico’]. 33 Felpa. çába. rel. villus. i. 34 Felpudo ser xerabuçú. mto felpudo: çabuçúeté. 35 Femea assim gente como animal cunhã, ajuntandolhe o nome do animal, se tal for. ut: iagoára cunhã [‘cachorro fêmea, cachorra’]. 36 Fenda. bóca. 37 Fenderse. abóc v aiecá. fenderse por diversas partes abobóc. aiecáiecá. freqʒ 38 Fender.act. amõboc. aiucáiucá. freqʒ 39 Fenecer acanhém. v amanó. freq act. [act. é erro do autor, em lugar de neut.] 40 Feno. caapĩĩ otiníng [‘o capim secou’]. v caapĩĩ tinínga [‘capim seco’] 41 Fera. çoó poxì. v çoo aibeté. 42 Ferida. naõ tem genero. da cabeça. iapixapába. de outra parte do corpo. cotucába. v cotucáva. 43 Ferir. da pra maneira. aiopixáo. da 2ª acotúc. e qdo he com instrumento, que corta, como espada: amondóc. 44 Ferir de ponta com cousa que penetre. acotúc. se naõ entra: aioçóc. 45 Ferir fogo ou tiralo com o fuzil. aimöár. 46 Fermosa cousa. mbäé poránga, mbäé catú. 47 Fermoso ser. xeporáng. 48 Fermosear. amoporáng. a. 49 Fermosura. moránga. 50 Fermosinha cousa. i poranghi v i catú aíra. rel. 51 Ferocidade da pessoa. maramotára. 52 Feroz homem. abá angaipábuçú v poxí eté. 53 Ferramenta gerlmte. itá. 54 Ferreiro itá monhagára. 55 Ferraõ do [de] ferro. itá ãtã [atĩ]. (Eckart apresenta a forma atĩ correta enquanto Meisterburg corrigiu a ĩ original em ã). 56 Ferro. itá. 57 Ferrugem. itá repotí. 58 Ferros de priçao [prisão] ou corrente. itapucúçama 59 Ferver como agoa no fogo apupúr. e se levanta a fervura e sahe o mel chocolate etʒ se diz: abúr. abubúr. freqʒ 60 Festa grande. Tupã areté v mutuü goaçú, festa qlq͡ r de qlq͡ r santo. mutüùúmiri. sic explica per priores voces festa Natalis, paschæ etʒ. [veja este verbete no Anexo]. 61 Festas seculares e profanas. nhemoçarái. festejar taes: anhemoçarái. 62 Fez ou borra qlq͡ r tepotí. fezes de azeite. iandy repoti de vinho. caoî repoti etʒ. 63 Feria 2. 3. 4. 5. 6. sabbatho [sábado]. vide dia.

[folio 20 verso – 2° col.] 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23

24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38

1 2 3 4 5

F I. Fiandeira. pobandára. Fiar. apobán. Fiarse de alguem. aierobiár recé. Ficar. apytá n. Ficar por outro. apytá. recé. Fidalgo. moacára. abá reté. Figadinho. pyá mirí. Figado. pyá. Figo ou fiqueira [figueira]. ambaýba. a que chamaõ do inferno. ambaýtínga. do matto ambaýbeté. Figura. çaángába. Figurar. fingo amoáng. Figurarse. nungára oiecuáb. ut: pachicú nungára figura se o Fraco entende se o verbo. Filar. capio. apycýc. Fileira. iecirungába. Filha do varão. taiýra. vul. tagýra. ou tagíra Filho do mesmo. taýra. Filha ou filho da molher. membýra. Filha ou filho da puta. maragoéra v cunhã poxí membýra. Filho bastardo do varaõ. xeagoaçá membýra. Filosomia [fisionomia]. cepiacába v áva [cepiacáva]. Fim ou cabo, do que se faz. papába v áva [papáva]. v apýra. Fina cousa. mbae pöí. panna pöí. ipoí. rel. Final cousa. mbäé recapúra, se he de cousa continua. mas se he de cousas contiguas ou liquidas: cembýra. rel. racapyragoara v racapyrigoara. o que está no fim. Finalmente. coyté Finarse. amanó v acanhém. Fincar como quer que seja. aiaticá Fingir que faz. aúb. vul. möang v äúmoang. fingo quase estiuesse comendo. poem se no fim do verbo. Fio. nimbó. alii: inimbó. ut: xerenimbó. cerar fio. aikytyc iraity pupe. v ajamoboycýc. Fio grosso de rede. nimbó goaçu. yymapára. novello Fio fino pª cozer ou linhas. nimboí. alii: inimböí. Fio do lombo. cupé. ut: xecupé (´minhas costas´). Firmar com o sello. amoçaángáb. e assim se diz firmando com sua firma, ou nome. açaangáb. Firme cousa. mbäé çãtã. Fisico medico, que cura. moropoçanongára. Fistola. peréva. Fita. fita. ou vita. fitinha. vità mirí (com certeza empréstimo do português: fita > vitá) Fixar. aiaticá. Finados3 dia1 dos2. tybypoia [Sistema de notação da “Janua Linguarum” empregado pelo jesuíta Amaro Reboredo para ensinar “os estrangeiros que desejão a Portuguesa e a Espanhola”. No caso, deve-se ler – seguindo a ordem dos algarismos – Dia dos Finados] F L. Flor gerlmte botýra. floroẽs. botyruçu. florha [florinha] =mirì: aliis: potýra Flor de mandioca. typyáca Florecer. xepotýr. florecer de novo ou começar. xepotýramo. ut: ipotyramo acajú yba [´o cajueiro floresceu´]. Floresta. botýra týba Floxo ou froxo de sangue. tuguýgoaçú. ut: cunhã oporará tyguygoaçú v cuguygoaçú [çuguygoaçú] äé cunhã [´a mulher sofreu um fluxo de sangue´].


174


175 [folio 21 recto – 1° col.]

1 2 3 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47

F O. Foam [foão, fulano]. quis. ahé. aé. Foçador cybycuitára. Foçar. acybycói v açubucói. Foçinho de qlq͡ r animal. tĩ. itĩ rel. ja tirado: tĩcoéra Foçinho fazer. ou foçinhado estar. xerobá acý v xereçagoaracý. Fogagem, que sahe pela boca dos meninos. jurú peréva. [afta: Bluteau] Fogãm. tatá upába. fogamsinho. tataupába mirí. Fogareiro. tatà rurù. Foqueira [fogueira]. tatá goaçú. Foço. fovea. ybycoára. Fogo pôr, acender fogo a qlq͡ r cousa. açapú tatá v aiatapú Fogo pôr ao tiro. açapú mocáva. Folle de ferreiro. tapecóabuçú v tatapejuçába. folle peq° tapecoába mirí. tatapejuçába mirí. Folego. putú. ou folgo. Folego muito ter como quem mergulha. xeputúmucú [xeputumuçú]. Folego tomar ou resfolegar. xeputüé v xeputucém. Folga ter. aputuü. Folgar com os meninos. aiemoçarái. Folgar por algum bem. xerorý recé. Folgar o contrario de trabalhar. aicó nhote. aputüú. Folgar de palavras com alguem. aimoiarú. vul. amoiarú Folgar de fazer. potár catú no fim do verbo. ut acendùb pota catú. folgo de ouvir. Folgedo [folguedo]. nhemoçarái Folha qlq͡ r . çóba. çóva. rel. Folha ter. xerób. ou xerou. Folharse a arvore. çóvauán [‘já tem folhas’]. Foliãm. poraceitára v moraceitára. Foliar. aporacéi. Folia. moracéia. Fome. ambyacý. Fome ter. xeambyacý. Fome canina ter xe ambyacý eté. Fomentar. amoacúb. v aiopé. Fonte. ý. açó ýpe. foi a fonte. fontinha: ý mirí. Fonte em qlq͡ r parte do corpo. peréba v peréva v meréva Fontes de cabeça xeretovápý. ego scriberem: xeretovypý. Fora na rua. ocaripe. v oico coipe ocáripe. vul. ocarpe. Fora ir. aço ócaripe v aço coipé. ir algures qdo se naõ sabe. Fora estar. naicói. nití aicó. nóicoi, nití oicó, estes saõ rel. Forasteiro. atára. vul. ijataçára Forca. morojubucába. Força. myãtã. Força fazer. xepyãtã v anhemopyãtã. Força ter assim. xepopyãtã. xekyrỹbáb. Forma. raangába. ut: pý raangába. forma de çapateiro. Forma, com qʒ se faz algo gerlmte. monhangába.

[folio 21 recto – 2° col.] 48 Formar. amonháng. açaáng. 49 Formiga. naõ tem genero, a gde que he vermelha, e come as plantas: yçaúba. há outra semelhante à dª com a cabeça mais pequena: aryrý. outras que tambem comem as plantas, se chamaõ: tanárga [tanajura], juvá, ikijú. 50 Formiga preta e fedorenta: taracöá. 51 Formiga gde e preta, que mordendo mto doe, e causa ainda febre. tocankýra [tocandýra]. outra tambem gde e preta tapiaí. – outra mais peqª que todas as das, que mto morde e queima. taçýba. outras formigas que tem dentes como anzoẽs [anzoes]: taóca, a que come a madeira, roupa etʒ cupií. 52 Formigueiro. tetáma, nomeando as especies das formigas ut: tacýba retáma. yçaúba retáma etʒ. 53 Fornecer. munire. amoçãtã. amokyrỹbáb conforme o sentido. 54 Forneira, que faz fornos pª coser fª [farinha]. nhaeapúna [nha’ẽ apúna] monhangára. 55 Forneiro, que faz forno pª coser paõ . iapúna monhangára. 56 Fornicar. absltè [absolutè] aporopotár. amenó. 57 Fornicação. moropotára. 58 Fornicador. menóçára. 59 Forno de cozer pão. iapúna. pª fª [farinha] nhaeapúna. 60 Fornalha. tatá goaçú. 61 Forquilha de páo. ybyrá cambý. 62 Forquilha semelhante fazer. açacambyóc. 63 Forquilha absltè [absolutè]: cecambý e pela semelhança, que tem se se chama assim o vaõ entre as coxas v.g. xeracamby. ybyrá cambý sendo de pao. 64 Forra, que nunca for escrava. miauçubeýma v cunhã eté 65 Forrar assim. amocunhã eté. 66 Forrar homem. aba etéramo amoingó 67 Fortaleza. mocabóca. 68 Fortalecer a alguém. amokyrỹbáb. Bettendorff: amopyãtã pag. 130 69 Fortalecerse. anhemokyrỹbáb. 70 Forte cousa. mbäé ãtã. ut: çãtã co ybyrá. çãtã rel. 71 Fortissima cousa. çãtã ete. 72 Fortaleza virtude. myãtã. 73 Foz do rio. ygarapé romboaçába v rumbú açaba 74 Fosca cousa. mbäé pixúna mirí. 75 Fouce. kicé apara. FR 1 Fraca cousa. mbäé membéca. 2 Frade. pai. de missa pai abaré. leigo, pai apína. 3 Francelho. carácará. 4 Fragoa. iapúna. 5 Fralda. aoba rembiúba. 6 Fralda de monte. ybytúra rembiúba. 7 Frango. çapucaia apyába mirì [‘galo pequeno´]. 8 Frama [flamma] tatá. 9 Franga. çapucáia cunhã mucu [muçu] 10 Franzir. amamán.


176


177 [folio 21 verso – 1° col.] 11 12 13 14 15 16 17 18

19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31

32

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

Frauta. mimbý mirí. Frecha. üúba. xeruúba. çüúba Frechar. anhimbó. v anhĩbo Frecheiro por officio. uúba rerecoára. Frecheiro gerlmte nhimboçára. Frecheiro bom, que acerta. çuúba catú, çuúba poránga. Frequentar. açò iepì v áço nhenhè. Frematico ser. xemevé. xemevémevé, ajuntandolhe a cousa na qual he frematico ut: mevé mevé avata [´andar muito devagar´] anhéëng, aimonhang etʒ Top. diz megué v megoé. Fresca cousa, nova. pyçaçú ou puçaçú. peçaçú Fresca nova ser a cousa. xepyçaçú. Fria cousa ser. xeroý. v xeroyçáng Frio. roý. frio ter. xeroý [´tenho frio´]. Frigideira. piriricába. vul= cava [piriricava]. Frigir. amopiriríc. Frita cousa como peixe. pira piriríca. v pirikipýra Fronta [fronha]. acángupába v aramapáraóba. Frontespicio cepiacába. rel Froxa cousa. mbäé membéca Fruta. ybá Frustrar. amoabaíb. Frutificar. ameengýba v anhemonhang. ut: äé ybý pupé onhemonhang catú mandióca [‘nessa terra a mandioca dá bem’]. Fruta ter ou dar a arvore. xeá. ïá. rel F U. Fugida ou fugido [fugitiva ou fugitivo]. jababóra. Fugir. aiabáb. vul. et sic catech. Fugir dos que o querem tomar. aiegoacém. Fumaça de gde fogo. tatá tinguçú [‘fumaceira’]. Fumaça, menor e ordinaria. tatá tínga. Fumegar, sendo do fogo. xeratatíng. Fumaça de qlq͡ r vapor. timbóra. Fumegar assim de vapores qs͡ qr. [quaesquer] atimbór. Fumo pela herva. petýma. Funcho. urupé. Fundar amonhàng, fazendo a cousa, e se a manda fazer amonhángucar. Fundador da pra sorte. monhangára. da 2ª cerecoára. Fundir metal. amomembéc. Fundo de qlq͡ r vaso da banda de dentro. cöá. de fora. cicoára hoc exprimunt ut: xeicoára Fundo do rio ou mar. ypy typý. rel Fundo ser. xerypý [rypý] typý. rel Fundo de agulha, aguí apyçá. Furada cousa. mbäé mobuckipýra [mombukipýra]. Furar. amombúc. desta palavra alguns uzaõ pro deflorare virginem. Furia ou furor maramotára.

[folio 21 verso – 2° col.] 21 Furioso estar ou ser. xemaramotár. 22 Furioso, doudo, amens. acangaíba. 23 Furo absltè [absolutè]: icoára. se he na terra: ybycoára. 24 Furna, caverna. ybycoaruçú. 25 Furtadela. nhemima. ut: oço nhemíma rupí [‘ele foi escondido’]. 26 Furtar. xemondá. v apycyrõ. o pro pede recé. catech. uza de mondarõ. 27 Furto mondá. 28 Fusco ou fusca cor. pytánga. 29 Fuzil de ferir fogo. tatàmoaçába. tirar fogo delles ou dos paos: amobár [amoár] tatá. 30 Fuso yýma 31 Fustigar. anupã. 32 Fuzilar o tempo. tupáveráb vul. overáveráu. rel. GA Gabador. moeteçára. Gabar. amoeté. vul. a. Gabar algu͡ a pessoa. amoabareté. Gabarse. anhemoabareté. Gado. gerlmte. çoómymbába. Gafanhóto. tucúra. Gafo. leprosus. píra. oporará píra [‘tem doença de pele’]. 8 Gago ser. Balbutire. o Topi. xenheeruerúr. poderia se dizer tambē: xenheénga pytá pytá. v.g. paçicú nheénga pytá pytá [‘a fala do Francisco pára muito’]. 9 Gayola. çurú. guyrá rurú. 10 Gayola fazer. açurumonhàng. flldo [fallando] de passaro v amonháng guyrá rurú [‘eu fiz gaiola de pássaro’]. 11 Gayta qlq͡ r . mimbý mirí. 12 Gayteiro. mimbyçára. 13 Galantear. anheénga poráng v xeporanguté [xeporangeté] aicó. estou galanteando. ita vul. 14 Galardaõ. cepý. 15 Galho da arvore. ybyrá racá. 16 Galardoar. amocepy. çupé. acepymeéng. 17 Gallar o gallo a gallinha. opycýc çapucáia [‘o galo agarrou [a galinha]’]. flldo [fallando] do gallo. 18 Gallinha. çapucáia cunhã. 19 Gallinheiro. çapucaia rocáia. 20 Gallo. çapucaia apyába. çapucaia iéreme ad galli cantū [‘quando canta o galo’] 21 Gallo de cabeça. pungá. 22 Gancho. tyánha 23 Ganiro o cãm. aiaceó, se se [he] porqʒ lhe daõ: xeracém. 24 Gansa ou ganso. potirígoaçú 25 Garavato. uncinus. h tyánha. 26 Garavatos secos pª o fogo. çacái 27 Garça ave. guyrátánga [guyrátínga]. 29 [sic] Garfo. mbäé pycycába. 30 Garganta. ieieóca v curucába. 31 Gargarejar. amocororóc. 32 Garras. pyapé. 33 Garrido [garrida]. sino peqno itá maracá mirí. 34 Gasnete. occiput. atoá.

1 2 3 4 5 6 7


178


179 [folio 22 recto – 1° col.] 35 Gastador. mocucaondára. 36 Gastar ou despender. amocuiáo. v amobáb [amõbáb] 37 Gastarse logo a cousa de pouca dura. naicopucui [‘não durar’]. nití oicó pucú [‘não durou’ ou ‘gastou-se logo’]. 38 Gata caseira. pixána cunhã. 39 Gato caseiro. pixána apyába. 40 Gato do matto. maracajá. 41 Gavião. guyra goaçú. tem varias species

1

2 3 4 5. 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

19 20 21 22

GE geito ter pª algu͡ a cousa. xecatú mbäé recé. ut: xecatú amonhangoaráma ygára [‘tenho jeito para fazer canoa’]. naõ ter geito. naxecatú, nitì xecatú. Geada. ou agoa dura. ýãtã Gema de ovo. çupiá júba. Gemeo. cõî v cõiagoéra v xemundú Gemeos ter. xecõi v xecõiagoéra. v xemunduagoéra. Gemer. apyacém. Top. xepoacém. Gemido. pyacéma Catech General. morabixabuçú [morobixabuçú]. Genero. v. casta. Generoso homem. apyába kyrybába [kyrỹbába]. Generoso vinho. caoĩ acý. ou çacý co caoĩ Generoso nobre. moacára. Gengiva. iande raimbíra. Genro do homem: taiyména ou tagiména. ut: xeragiména. da femea peũma. alii: peúma. Gente a diffrtia [differentia] dos brutos. míra. Gentil homem. abá poránga. abá catú. ut: äé curumí goaçú icatú [‘ele é um rapaz gentil’]. Gentil mer [molher] cunhã poránga v cunhã catú. Gentio. tereýma [‘sem nome’, ‘pagão’]. ut: nití nde réra [‘não tens nome’]: ou nití tupã réra nde [‘não tens nome cristão’, ‘és pagão’]. Geracaõ [geração], parentela. anáma. Gerar. aporomonháng. absl. Gerarse. anhemonháng. Gesso. tabatínga.

G I. 1 Gibboso. xe cupé candúra. 2 Gigante. Apyabuçú v apyába pucú eʈ 3 Gingibre. maniaratáia. 4 Giolho. tenepyã. ut: xerenepyã. 5 Globo ou cousa rotonda [redonda]. mbäé apoá. 6 Gloria ou paradiso [paraíso] celeste. ybáca torýba. 7 Gloriarse vaãmente. aierobiaraúb v aierobiár tenhé xeioece [‘vangloriar-se’]. 8 Gloriarse de qlq͡ r sorte. aierobiár. recé. 9 Glotãm. aba carú. 10 Glorificar. aimöeté.

[folio 22 recto – 2° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29

1 2 3 4 5 6 7 8

9 10 11 12 13

G O. Gola [gula] caruçába. Goloso [guloso] ser. xecarú Golfo de mar. paraná uçú. Golpe ou pancada. nupãçába. Golpe ferida da cabeça. iapixapába. em outra pte do corpo. cotucába. Golpear de pro modo. aiapixáo. do 2º: acotúc. Golpear, retalhar akitĩkitĩ. a. Goma. ycyra. ycýca. Gomo de laranja. laranja pytéra v çoó. Gomo [miolo] de qlq͡ r arvore pytéra, nomeando a arvore ut: goaiaba yba pytera v çoó [´miolo da goiaba ou carne dela´] Gorda ser a pessoa. xekyrá v xekyrágoaçú Gordura qlq͡ r caba. ja tirada cagoéra. in voce manteiga diz: cabagoéra. Gorgulho. çocóca [çoçóca] v aramandáia [aramandaiá é uma espécie de inseto que ataca os coqueiros]. Gostar o comer. ou bebida. açaáng. Gostoso ser a comer. ceẽ. ceẽcatu tembiú. rel. Gosto hum dos sentidos. mbäé iupýra raánga. Gota de agoa. ytykýra. Gota coral padecer. amanómanó. Gota, goteira de qlq͡ r licor. tykýra. Goto ou garganta. curucába. Gotejar. atykýr. atykytykyr. freqʒ Gotoso das maõs. xe po pungá. Gotoso ser dos pes. xe pý pungá. Governar ou cargo ter de algu͡ a cousa. aimocuár. recé Governar se. aimocuàr xeioecé. Governador de pouca gente. Tubixába. Gozar. xerorýb. recé. xerorý. Gozarse. arecó xe pópe . Gozo alegria. torýba. G R. Graça ou fermosura. moránga. Graça no falar . xenheega poráng. Graça ter em algu͡ a cousa. poráng no fim do verbo ou nome. Gracejar com alguem. amoiarú Gral. jnduá. se he de bronze. itá induá. de pao ybyra etʒ Gral peqno . jnduá mirí. Gralhar os passaros. onheeng guyrá. Gram ou graõ, ou gde. turuçú. isso he de qtidade [quantidade]. – gde na qldade [qualidade] goaçu ut: paí goaçú. e as vezes he peqno. paí turuçu, he grosso, cheo, alto, gde absltè turuçú. Grande homem. abá goaçú. id est, de prestimo, juizo etʒ Grande mer [molher] cunhã goaçú, id est, superiora, que as outras governa. e se he por razaõ do governo, e mando que tem: cunhã moacára. Graõ. çaýnha. rel. Graos [graõs]. testiculos. tapiá. ut: nde rapiá [‘teus testículos’]. Gratificar. aimeéng cobé catú. ou: [aimeéng] cobé catú ndébo. te ga te gratifico.


180


181 [folio 22 verso – 1° col.]

14 15 16 17 18

19 20 21

22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

20

GR. Gratuitamente. nití cepý rupí rupí [´não através de preço´]. ameéng nhóte [´dar simplesmente´]. Graudo, ou pessoa grave. abá moacára Grave ser em suas obras. xerecopocýi. xerecopocý catú. id est sou pezado em minhas obras. grave ser nas palavras e bem considerando [considerado]. xenheénga pocýi. Grave cousa. mbäé pocýi. alii: pocí. ut: icó ybyrá pocí. v ipocí co ybyrá (‘esta árvore é pesada´), mas erradamente se uza do pro modo de fallar. Gremio. xe úba aribo [‘no meu colo’]. Greta. móca v bóca. fissura. Gretar. abóc. aiecá. frqʒ abobóc, aiecáiecá. apóc. apopoc. rimas agere gretar as maõs onhemboi xepó [‘gretaram-se minhas mãos’]. Grita por dor. tacema. gritar assim. xeracém. Gritar chamando. açapucái. Gritar pª que lhe acudãm. xeracém. alii: açacém. Grossa cousa, como taboa, pao, panella. anàma. anamuçú Grosseira cousa mal feita. aibuçú. iaíbuçú. Grosseiro ser assim xeaibuçú. Grosso ser o panno. xepogoaçú v xepoaçú ipoaçú rel. Grudar. amoiár. a. Top. aimoiar. conglutinare Grude. ycýca. gluten. Grundir [grunhir] xenhemoäbú [xenhemoämbu]. ut: taiaçú nhe möabú [möambú] (‘o porco grunhe’). N. Gruta. ybycoaruçú. G U. Guarda, ou o que tem cuidado, e proteçaõ. rerecoára. Guarda custos. rarõána. rarõçára. verbaes. Guardar como gado e criaçaõ qlq͡ r aimocuár. recé. Guardar por o [pôr a] bom recado. ainongatú. Guardarse. andar sobre aviso [de sobreaviso]. anhemoçacuí. çuí. N. Guarda vento ou guarda porta ocapú piaçába. Guarecerse da doença. acoeráo. N. convalescere. Guardate avizando, ou ameaçando. teume. v úme [umé]. ut: emonhangúme [´não faças!´] Guardas, vigias. manhana Guardiaõ dos frades. paí goaçú. Guarnecer. ornare. amongaturõ. amomoráng. Guarniçoẽs da dª casta. porangába [‘arranjos’] mocatyrõçába. Guela. aieóca. curucába. Guelras de peixe. iatíra. rel. bronchiæ, arū. Guerra civil. maramonhánga. Guerra campal. goarinĩ. Guerrear desta maneira. agoarinĩ. açogoarinĩ. Guerrear civilmente. amaramonháng. Guia do caminho. pe iára [‘dono do caminho’]. pe cuapára [‘conhecedor do caminho’] v pe coméengára [‘mostrador do caminho’]. Guia ou cabo. rerecoára. ut: iande rerecoára [‘o nosso guia’].

[folio 22 verso – 2° col.]

21 22 23 24 25

G U. Guiar, ir diante dos outros no caminho, id est, pessoa dianteira. tĩapýra [‘que tem o nariz na frente’]. Guiar por encaminhar. apecomeéng çupé. [‘mostrar o caminho’]. Guisar o comer. amongaturõ tembiu. Guitárra. goararapéba [‘tambor achatado’]. lyra Gula. mbaeu eté eté [‘comer muito’].

H A. Ha. est, erat, aicobé, ereicobe, oicobé. ut: oicóvetäé pachicú. a. [‘Francisco está?’] 2 Ha dous annos ou tres. mocoĩ acajú v mocapýr [moçapýr] acajú oçaçáo uán [‘já se passaram dois ou três anos’]. 3 Habil ser de maõs. xepoporáng. id est, saber fazer mto 4 Habil ser ou fazer depressa. xepoiabáb. xepobebýi. 5 Habilitar a outro da d° modo. amopoiabáb. amopobebýi. A. 6 Hái! acái. v etiā [etiam] hái. 7 Habitaçaõ. xerecóbeçába. xerecobeçaba 8 Habitar. aicó. çobackè [çobaké] aicó. moro ao pé delle. 9 Habito. costume. tecó. nde recó rupí [‘segundo o teu costume’]. 10 Habito, vestido. aóba v óba. 11 Habituar. aimopocuáb. a. 12 Habituarse. aipocuáb v apocuáb. 1

1

2 3 4 5 6 7 8 9 1

2 3 4 5 6

1 2 3 4

HE He. na pra pessoa v.g. sou eu aicó. e também perguntando: que he? se responde só: ixé. e perguntando: quem es tu. quem he elle: se diz: abápe nde? abatäé nde? abatäe äé apyába? He esse, essa, esta. äépe, äétaé. He certo? çupitäé? R. [resposta]. çupí. He possivel. anheraupe v çupítaé? interrogando. Herança. mbaé coéra iára v goéra. Herdeiro. mbaé coéra jára. Herdar. arecó imbaécoéra. Herege. tupãrerobiaçareýma. malè exprimit. Herva qlq͡ r . caapĩĩ H I. Hidropesia. pungá. a de barriga em latim e grego: tympanites: maríga pungá uçú. a das pernas: tetymá [tetymã] pungá. a dos bofes. caneõ. Hidropico. pungá poraraçára. Historia. marandúba. Historiador. marandúba mombeuçára [‘contador de histórias’]. Historiar. amombeú morandúba [‘contar histórias’]. Historias ou cronicas. marandubagoéra livrú [´livro de historias´]. H O. Hoje. jëi. ogii. oiéi. agora. coýr. cóara pupé Hoje bem cedo. geibé. hoje pela manhaã. coemaramé. Hombro. atiýba. Homem branco. abá tinga. vul. caraíba.


182


183 [folio 23 recto – 1° col.]

5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

21 22 23 24 25 26

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

H O. Homem a dffrça [differença] de mer [molher] e brutos. abá. vul. apyába. Homem nobre. abá moacára. homem baxo. abá poxí. Homem zarraõ [homenzarrão]. abá turuçú. apyabuçú. Homicida. mira iucaçára. Homicidio fazer. aiucá míra [‘matar gente’]. Honesta e justa cousa. mbäé catú. Honestidade. angaturáma. Honrada cousa. mbäé moetépýra. Honrar. amoeté. a. Top: aimoeté. Hontem. coecé. Hora. ara. Hora rir, hora chorar. coyr apocái. coyr aiaceó. v apocá. Horas pª rezar. Tupã iemboeçába livrú [´livro dos ensinamentos de Deus´]. Horta. mitýma. Horrenda, medonha cousa. mbäé abaetégoaçú. ut: acepiac oiepé mbäé iabaetegoaçú ixebo. vi huã cousa que me deou [deu] mto medo, e horror. Hospedagem. pytaçába v áva [pytaçáva] Hospedar. amopytã [amopytá]. v amomutá. a. Hospedarse. apytá recé. Hospedal. mbaé acỹboretá róca. Hospede. atára. vul. vataçára. Hostia consagrada. Tupã pyá [´o coração de Deus´]. H U. Huma cousa. mbaé amó. Huã cousa de duas. oiepé mocoĩ çuí. Huã vez. oiepeýi. Hum oiepé. Hum só. oiepé nhóte. Hum e outro. Ou huã e outro. mocoĩbe. Humide [humidade]. royçanga. Hum dos mtos. oiepé ixuí. Hum pouco. mirí. acicoera, pecẽcoéra. estas duas pprmte [propriamente] sgfcaõ pedaço. Humilde. poreauçúba. Humilhar a alguem amomoreauçúb v amoporeauçúb. amomiri Humilharse. anhemomoreauçub v anhemoporeauçúb. anhemomirí. Hum certo. huã certa pessoa. abá. amó aba. Hum par. mocoĩ. Hum a traz outra [atraz do outro]. oioakycoéra. alii: aiakycoéra. Hum pouco de tempo. coritéi [coriteĩ] nhóte. Hum tamanino [tamaninho] mais. pyrý amó mirí. Humida cousa. mbaé iakým. ut: iiakým xe camixá [‘minha camisa está úmida’]. iiakým xerecúia [‘minha cuia está úmida’]. v. molhar.

[folio 23 recto – 2° col.] [vacat]


184


185 [folio 23 verso – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 1 2 3 4 5

6 7 1 2

1 2 3

4 5 6 7 8 9 1 2 3 4

J A. Ja. uán no fim do verbo. ut: oçó uán. oúr uán. ja foy, veyo. Ja agora. coýrbé. Ja. ja, como dizendo. ja me lembro. hehé v ëé. Jactarse. anheabareté ou, e me parece melior [melhor]: aierobiar xeioecé. Ja dias. jam pridem. erimbäé Ja ha hum pedaço. jeibé. ut: ieibé oço. ja ha hum pedaço, qʒ foy. Janella. upúca. Topin. Ja mais farei. nití amoiaebýr. v nití iebýr. ut: nití ereço iebýr. ja mais irás. Jangada. ybyrábebýia. Top. yapéba. Jantar, nome. tembiú. verbo: ambaeü. Jardim. v. horta. Jardineiro. temitýmarerecoára. Jarro ou púcaro. yrurú. Javali. taiaçú iarõ [‘porco bravo’]. Jazer. anhenong v anhepyçõ. J D. J E. Jda ou partida. ço ut: xeçó rire tereçóne [‘depois que eu fôr, você pode ir’]. Jdade mta ter. acacuáb. Jdiota. jacuaým Jdololatra [jdolatra]. Tupã cuapareým [‘que ignora Deus’]. nití Tupã cuapára [‘que não conhece Deus’]. Jodololatrar [idolatrar]. aimoeté juruparí [‘prezar o diabo’]. nití amöeté tupã v natupã möeté. [‘não prezar a Deus’]. Jdolo. Tupã moánga [‘imagem de Deus’] v nití tupã eté [‘não é deus verdadeiro´]. Jdonea cousa. mbaé catú goaráma. Jejum ou dia de jejum. ara iecüacupába. Jejuar. aiecuacúb [literalmente, ‘abster-se’]. alii: nambaeu. v nití aú mbäé [‘não comer nada’]. J G. J L. Jgnorancia natural. tecocuabeýma [‘falta de inteligência’]. Jgnorante assim. aba tecocüabeýma [‘homem com falta de inteligência’]. Jgnorante ser assim. naxetecocuábi. nití xetecócuáb. v niti arecó tecocuáb [´não sou inteligente´ou ‘não tenho inteligência’]. Jgnorante. idiota. jacuaým. Jgnorar. naicuábi. vul. nití acuáb. Jgreja. Tupã óca v Tupã róca [‘casa de Deus’]. Jgual cousa, ou igual ser a outro jabé v javé. ut: pachicú nde iavé. Francco he igual a ti. Jguaes serem duas cousas, ou mtas. oioiá. ut: oioiá iande. tu e eu somos iguaes. Jgualar o desigual. aimoieiáb. alii amói iavé [amoiavé]: alii aimoioiáo. forte. anói. Jlha. caapoõ. Top. cäapaú. Jlheta caapoõ mirĩ. Jlha em agoa. ypaú. Jlharga. yké. ordmte [ordinariamente] xecüá. Jllicita cousa. mbäé aíba [‘cousa ruim’] v mbäé nití catú [‘cousa não boa’].

[folio 23 verso – 2° col.]

5 1

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31

1 2 3 4 5 6

J L. Jlluminar. amoendý. v amocendý. Jllustrar o mesmo. J M. Jmagem ou figura. çaangába. ajuntandolhe de que cousa he. ut: mira raangába [‘imagem de gente’], taiaçú raangába. [‘figura de porco’] Jmagem de hum ja defunto. v.g. de Frco pachicú ambýra raangába [‘imagem do defunto Francisco’]. Jmaginar. aimoáng. Jmaginario quem faz imagens. míra raangába monhangára [‘fabricante de imagem de gente’]. Jmbigo. murüã. ut: xepurüã Jnimigo. motareymbára. Jmitator. çaangára Jmitar. açaang. açaáçäáng. freqʒ Jmaculada cousa. mbäé catú eté. mbäé aanángaité ikyá [‘cousa de nenhuma maneira suja’]. Immensa cousa. Jmmodesta cousa. mbäé poxi. Jmmunda. mbaé ikyá. Jmmortal cousa. omanóeymbäé v nití omanoväé [‘o que não morre’]. vul. Jmpaciencia. angaipába [‘ruindade, maldade’]. xeroçángeýma [‘sou impaciente’]. Jmpedimento. moabaipába. Jmpedir. amoabaib. a. Jmpedirse. anhemoabaib. N. Jmperfeita cousa. mbäé nití aujépýra. v auie eýma. Jmpeto. myãtã. Jmpeto fazer. ou fazer força. amopyrãtã. a. Jmpia cousa. mbäé aíbeté. Jmpigem. goaurána. Jmplorar aieiuré çupé. Jmportante cousa. ou me he de importancia. aicótemé. recé Jmportar. jnterest jcatú eté ixébo. ut: icatú eté ndébo cobäe monháng [‘te interessa fazer isso’]. Jmportunar. amoaiú. a. aporomöaiú. abs. Jmportunaçaõ. poromoaiú. Jmpossivel cousa a fazerse. nabái omonhang cuáb. v nití abá omonhang cuáb [‘ninguém saber fazer’]. Jmprudencia. tecocuabeýma. Jmprudente ser. naxetecocuábi. Jmputar a alguem algũ crime, ou algu͡ a cousa boa. päé posto no fim do verbo v.g. pacicú omonhang päé có aíb tecoaíb [‘diz que Francisco fez esta injúria’]. pachicú oiucá päé Domingú. imputaõ a Frco a morte de Domingos. J N. Jnadvertencia. xeremimotareýma rupí. inadvertenter. Jncapaz. nití catu mbäé ráma. v.g. nde nití catú mbäé ráma. es incapaz pª cousa alguma. Jncensar. amotimbór [‘defumar, queimar’]. Jnchaçaõ, ou inchaço. pungá Jnchada estar qlq͡ r parte de corpo. xepungá Jnchada estar a fruta. xeapú. iapú rel. forte xeapung [apung significa ‘opilado; ‘estufada [a barriga]’


186


187 [folio 24 recto – 1° col.]

[folio 24 recto – 2° col.]

Jnchar se a outrem. anhemopungá v xepungá ut: ipungá. uán. está inchado. 8 Jnchar a outrem. amopungá. a amöapúng, este he fartar. 9 Jncitar a fazer mal. amoacangaíb. a 10 Jncitar a fazer cousa boa. amonháng ucar. çupé. 11 Jnclinarse. v. abaixarse. 12 Jnconstante. abebyinhé. v naxerecópocýi. v nití xerecópocýi [‘ser pouco considerado nas ações’]. 13 Jncontinencia. moropotára. 14 Jncontinente. abá poropotára [‘homem luxurioso’]. 15 Jnculcar. amombeú catú. çupé. 16 Jnda bem. folgando com o mal alheyo. iamurú. v iamurúcatú [‘bem feito!’]. 17 Jndignaçaõ. nhemoyrõ. 18 Jndignar alguem. a. amoyrõ. 19 Jndignarse. anhemoyrõ. çupé. 20 Jnduzir. amonhangucar. a. 21 Indouto. jacuaỳm. iiacuaým. rel. [‘não inteligente’] 22 Jndustriar. aimböé. 23 Jndustriarse. aiemböé. 24 Jnfamar. amombeú aíb. v anheengaíb. recé. Top. aimoerapoanaíb. a. Cat. fol. 341. 25 Jnfamarse. amombeú v anheengaíb xeioecé. Top. anhemoerapoanaib. 26 Jnferno. anhanga ratá v juruparíratá [‘fogo do diabo’]. 27 Jnfanta ou infante. tayna v pitánga. 28 Jnfiel. Tupã rerobiaçareýma. 29 Jnflammaçaõ. piránga. ut: xeretýma [xeretymá] pirang [‘minha perna está vermelha’]. ipiráng nde reçá [‘teu olho está vermelho’] etʒ. 30 Jnflammar. amopiráng, 31 Jnflammarse xepiráng. 32 Jnformar a alguem do que passa. amomorandúb. amoacuáb. 33 Jnformar em bons costumes. amotecócuáb. a. 34 Jnfundir. aiucén v acecabóc. acecauóc. a. vul. 35 Jnimigo qlq͡ r . motareymbára v xerovanhána. 36 Jnjuria. tecoaib. ut: omonhang tecó aíb ixébo. me fez uma injuria 37 Jnjuriar. amomoxí. ac. v amonhang tecoaib. çupé. 38 Jnnovar. amopyçaçú. v amonhang pyçaçú. 39 Jnnocente. angaturáma. 40 Jnnocente. infante. pitánga. 41 Jnquietar. amoaiú. a. 42 Jnquietar gente aporomoaiú. 43 Jnquietarse. anhemoaiú. vul. xepyaíb. N. tenhe nde pyaíb naõ te inquietes. 44 Jnsolente. abà poxì etè. 45 Jnstigar pª o mal. amoacangaíb. 46 Jnstituir. acecomonháng. 47 Jnstruir. aimboé. a 48 Jntruirse. aiemböé. p anhemböé. 29 [sic] Jnstrumento. mbaé pupé v.g. mabäé [mbäé] pupetäé ereiucá bóia [‘com que mataste a cobra?, ou ‘como mataste a cobra?’].

50 Jnteira cousa. goetépe. alii oetépe ut oetépe cecóu [cecói] [‘está inteiro’]. 51 Jnteiramente. catú. 52 Jnteiro estar sem lhe faltar. nada. goetépe 53 Jnteriçado estar como cousa morta. xerãtãrãtã freqʒ cãtã [çãtã] rel 54 Jntentar açäáng. 55 Jntentar sem poder effeituar açoangiepé. 56 Jnterceder anheengatú. çupé personæ apud quam recé personæ pro quâ. ut. anheengatú paí çupé nde recé [‘intercedi com o Padre por ti’]. 57 Jnteriormente comigo mesmo. xepyápe. xepyápe nhóte. 58 Jnterpretar [o] escuro. aicuabuár [‘ser conhecedor’]. çupé. 59 Jnterprete da lingoa. nheéngaiára v nheénga rerecóara. 60 Jntimar. aimocuáb vul. acuabucár. çupé. 61 Jntitularse cerabäé v ceriväé. 62 Jnterromper. amondóc nde nheénga [‘corto tua palavra’]. tenhe emondóc xenheénga [‘não me cortes a palavra!’]. 63 Jntestinos. tepoticoéra. 64 Jntrepido. kyrỹbába v nacykyié [‘não ter medo’]. 65 Jntricar. aiapatucá. a. 66 Jntricarse. anheapatucá. v aieapatucá. N. 67 Jntroduzir, ou ser o pro em fazer. aiypymonháng a. 68 Jnventar, o mesmo com [como] introduzir. 69 Jnverno. amana ára [‘estação das chuvas’]. amánaguýrpe 70 Jnvestir. açopenhán. sigf. tambem ir ter enfadado com alguem. 71 Jnvocar. acenõi. 72 Jnutil cousa. nití mbae ráma [‘não presta para nada’] 73 Jnutilmente debalde tenhé. oçó tenhé. foy debalde.

7

1 2 3 4 5 6 7 8 9 1 2 3

4 5 6

J O. Joeira. urupéma. Joeira rala. urupéma mocánga ou: urupéma çacacánga. Joeira miuda. urupéma pöí. Joeirar. amoguáb. v amogoáb. v aimorupéma. Joelho. tenepyã. ut xerenepyã Jogo. nhemoçarái. Jogar. aiemoçarái. Jogos quasqr [quaesquer] ou festas. nhemoçarái. Jogos de mer.[molher] cunhã porangába. JR Jr. áço [açó]. Jr ter enfadado com alguem. açopenhán Jr por alguma cousa. piarámo áço v áço piáramo [piáramo açó v açó piáramo]. áço [açó] ipiáramo. öúr ipiáramo. o i relativo denota a causa, de que se falla, e quer dizer: vou eu, v elle veyo a buscar esta cousa. Jr ter com alguem. aço ipýri. Jr a pe avatá. Top: agoatá. Jr diante. aço tenondé.


188


189 [folio 24 verso – 1° col.]

7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 19

1 2 3 4 5 6 7 8

1 2 3 4 5 6 7

8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

JR Jr rebolindo. anhán. Jrse. aço iké çuí [‘ir-se daqui]. Jr se me o lume dos olhos. xereçaguyrý. Jrarse. anhemoyrõ. çupé. guarani addit. aí, quod idem est ac aiba. Jrmaã do varaõ. tendýra. xerendýra. Jrmaã da mer [molher]. amó: xeamó. Jrmaõ do varaõ. mú. xemú. irmaõsinho. xemú mirí. Jrra. eodem modo. Jrremediavel cousa. nití poçánga [‘não tem remédio’]. Jrritar a alguem amonhemoyrõ. vul. amopyaíb. a Jrritarse. anhemoyrõ. v xepyaíb. Jrritar (sic) ou annullar. acecobiár xh xenhénga [xenheénga] [‘troquei minhas palavras’]. JS J U. Jsca. pª apanhar peixe, pirá potába [‘oferta para peixe’]. Jsca de ferir fogo tatá potáva [‘oferta para fogo’]. Jscar amorýb. Jsentarse. anhepycyrõ v.g. poraykyçáva çuí. em lugar de porabykyçaba v aiegoacém. Jsso, esta. äé, aebäé. – isso mesmo äé. Jsto. cobäé. có, icó, icobae vul coväé, que se mostrar. Jsso, que se ve. üí v uimbäé. Jsso, pelo que somente se ouve, sente, sabe, mas naõ se ve aipó. aipóbaé. Jugador. nhemoçaráitára Jugar. anhemoçarái. Jugar a miudo. anhemoçaráçarái. Jugar as punhadas. apoápoár. recé [‘agredir’]. Jugar as dentadas açüúçüú [‘morder’] Jugar aos couces apyrúpyrúng [‘pisar em’]. Jugar as pedradas. aiapiapí. parece ao author do dictionario: que os dos verbos se devem dizer: aiopöapoár aioçüuçüú. aioiapiapí. aiapyrúpyrúng. qdo entre si alguns vaõ as pedradas. Juiz qlq͡ r, que tem vara ybyrárerecoára. Juizo. v. entendimento. Julgar o duvidoso. aicuáb v acuáb. Julgar ou sentenciar. acecomonháng. Justamente como eu disse etʒ. çupí. çupí catú. Justiça abá çupé imbaé méenga [‘dar o seu ao homem’]. Jurar. acenõi Tupã [´invocar a Deus´] Jurar falso. acenõi Tupã iereragóaia rupí [‘invocar a Deus através de mentira’] Justa cousa. icatú mbaé. rel. Junco piripipóca.

[folio 24 verso – 2° col.] [vacat]


190


191 [folio 25 recto – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36

37 38 39 40 41 42 43

L A. Lá onde tu estás, ou dizes. aépe. Laã. çoórabacoéra [‘pelos de animal’]. Laço pª apanhar. nhuçána v juçána. Labarda [alabarda]. mína Ladraõ mondaçára. o que costuma furtar. mondabóra. Ladeira ybyáma. a qʒ naõ he mto alta ou gde: ybyatýra. Ladino ser. xetecócuàb [‘ser inteligente’], acuáb mbäé [‘saber/entender das coisas’]. Lado, jlharga. yké. Ladra, ou ladraõ. mondaçara ou mondabora. Ladrar o caõ. anhéeng. ladrido: iagoára nheénga. Lagarta que come plantas. tapurú. Lagarta da terra. teiú. Lagarto de [da] agoa. jacaré. Lagarto do braço. jybaypý v gibaypý. Lagarto de [da] perna. ubypý. xeubypy. ip ibu ïubypý. rel Lago. ypába. Lagoa o mesmo . Lagosto [lagosta]. potí. Lagrima. teçay [teçai]. Lagrima por doença, ou como quer. xereçayçai v reçaytykýr. este verbo se uza, chegando a correrem as lagrimas. lagriminha. teçaỹ [teçai] mirí. Lama. tujúca, ybycýma. alii. tuiúca. Lamaçal como quer. tuiúc uçú. Lamber. aceréb vul. aceréo. Lamentar. v. chorar. Lambrea [lamprea]. caramurú. Lança. mína. de ferro: itá mína. Lançar. aitýc. amombór. Lançar rede para pescar. apyçáitýc. Lanceta. teyuocába [tuguyocába]. – mihi vdʒ [videtur] tuguyocába Lançarse. anheitýc. anhemombór Lapa ou couva [cova]. ybycoára Lapas marisco. reripéba. Lar de fogo.tatá upába. v tatá rendába, aonde ja esteve fogo. Larga cousa ser, como v.g. çapatos, meyas, turinos. açarác.ut: oçarac turino. chapeo. açaraçarác. Larga cousa, como fitta, panno, taboa. tepopír. Larga cousa como paneira, ou joeyra, id est rala. çacacánga v mocánga. Largar de maõ. apöír. çuí: iƫ [item] amondo fallando v.g. de corda emondo ixama. larga mais corda Largo. v. liberal. Lataõ. itajúba aíba. Latejar a ferida ou fonte de cabeça. otitic xeperéba [.] otitìc xeretovapú. palpitare Latrinas. cäápiaçába. cäápába Lavandeira. aopetecára.. Lavar a roupa. aopotucá v aopetéc. Lavar como quer, e qualqr cousa aiocéi. vul. akytýc v aiocýb.

[folio 25 recto – 2° col.]

44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 1 2 3 4 5 6 7

8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30

L A. Lavarse, banharse. aiaçúc. N. Lavarse a boca. ajuruëi. a. Lavarse as mãos. aiepoëi. Lavatorio da roupa ou banco, em que lavaõ a roupa aapotucaçába. aopetecapába [aopetecába]. Lavar a outro amoiaçúc.a. Lavatorio das maõs jepoéiçába. Lavor. coatiára v coatiaçába. Lavoura ou roça. có v copixába Lavoura fazer ou lavorar terra. acopír. Lavrar ou pintar. acoatiár. Lavrador, o que rossa. copiçara. Lavrador, pintor ou entalhador coatiaçara Lazaro. píra rembiara. Lazeira. Scabies. píra. ou pereperéva. LE Leal. abá catú. Legiaõ. míra reýia Legitimo filho. xeremirecó membýra Lei. tecomonhangába. Lei. costume. tecó. Leicenso. atiĩ. iatiĩ. rel. Lei ou regimento dar. acecomonhàng. Leitão tajaçú raýra Erimbäé tába Abacaxís jába, pupé [‘filho de porco, na aldeia antigamente chamada Abacaxis’]. Leite. cambý. Leite de algum páo v folha. cambý. Leite ter assim a mer [molher] ou arvore. xecambý. naõ ter: na=xecambýi v niti xecambý. Leito. kérarendába. ou kerupába. Lembrar a outrem. amomäenduár ucar. v xemaenduár ucár recé. Lembrarse ou lembrado estar. xemaenduár. recé Lembrança. maenduaçába Lembrança, monitū. pyçacaçába. Leme. jacumá. qdo saõ naqlles dois etʒ Leme que todos sabemos. eodem modo se poderia porem dizer: ygára ropytá robaçába. [‘base cruzada da canoa’]. Lenha. jepeába. vul. jepeáva, hoc vidʒ [videtur] derivatū ab aiepeé. Lenho ybyrá. Lepra. píra. Leproso ser. aporará píra. Ler o escrito. açaáng v acepiác papéra. Letrado. mbäé cüapára. Letras ou cartas. jcoatiaripýra. v papéra Levantar. açupir. cousa que está no chaõ. Levantar ou pôr em pe algum caido ou o mastro da vela [|] huã taboa amopöám. Levantarse o que está deitado. apuám. Levantarse contra alguem. apocóc. v apoám recé. Levantarse nas pontas dos pes. xepytaám. Levantar falso testemunho amopuám morandúba. recé. [|] Top. xeremoém.


192


193 [folio 25 verso – 1° col.] 31 Levantar anchora. acekýi itaçama v aitaçam akýi [ekýi] 32 Leve ser, contrario de pezado abebýi. ut: bebýia. 33 Leve ser em suas cousas. naxerecopocýi v nití xerecó pocýi. 34 Leve ser em suas palavras, e pouco considerado em fallar [|] naxenheénga pocýi v niti xenheenga pocýi. 35 Levantada algu͡ a cousa comigo. aropüám v aropöám. 36 Levar. araçó. 37 Levar boa vida. aimocüár xeioecé. 38 Levar por força. apycyrõ v araçó mbäé ijáraremimo=[|]tareýma rupí [‘levar uma coisa contra a vontade do dono’]. 39 Levar pª fora. araço ocaripé. 40 Levemente. megué v mevé. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34

LI Liberal ser. naxerecateým. v nití xerecateýma Lidar ou trabalhar aporabyký. vul. aporavyký. Ligar gerlmte aiapotí v apocoár Ligar algum pelas maõs. apocoàr. aiapotí. Ligadura. iapotiçába. pocoaçába. Ligeiramente. eçapyá v coritéi. Ligeira cousa. levis. mbäé bebýia. niti pocýi. Ligeiro ser. xebebýi. sum levis. Ligeiro ser de maõs. xepoiabáb. xepobebýi. vul. xepoiavau. Lima. ita kitiçába. Limaõ. ybaáia. Limar. akitíc v akytýc. Limitada cousa. mbäé çaangába rupí. Limitar. amoçaangáb. Limites. çäangába. Limoeiro. ybá áia yba. vul. limaõ ýba Limo. tuiúca. v tujúca. Limo de agoa. typytínga Limpa cousa. mbäé catú. mbäé nití ikyá Linda cousa. mbäé poránga. Lindesa. moránga Lingoa apecũ. a p͡ te debaixo della. apecùguýra. lingoa [|] ja tirada. apecũcoéra. Linguagem. nheénga Lingoa saber. anheengatú. v.g. onheéngatu. sabe bem a lingoa Lingoa[,] interprete. nheengaiára v nheénga rerecoára. Lingoa ou ponta de terra. çapecoa v çapequá Liquor. Tý. ja tirado de seu lugar panella etʒ. tyicoéra Linha de coser. nimbói alii inimbói. Linha grossa. nimbó. alii. jnimbó. mto grossa nimbó goaçú Linha de pescar. pinda çáma. Lisa cousa. mbäé cým. Lisboa. caraíba retáma. Lisonjear. eu diria anheéng cemimotára rupí. Lista. papéra.

[folio 25 verso – 2° col.] 31 Livrar çaangába. [´balança ou peso´] 32 Livrador. pycyrõana v pycyroçára. Livrar. apycyrõ. 33 Livreiro. livrú monhangára. 34 Livre cousa. como homem livre. niti abá remiauçuba xe. ou [|] 35 nití aba remiauçúba [‘não ser um homem livre’]. 35 Lixo. cisco qlq͡ r . ytý. fimus. 36 37 L O. 1 Loba vestido. aóba. 2 Lobo animal. jagoáruçú. 3 Lodo. tuiúca 4 Logo. coritéi [coriteĩ]. eçapyá v çapyá 5 Logo logo. coriteité [coriteĩte]. 6 Logo agora. coýrbé. 7 Logo daqui a pouco corí v coromó. cori mirí. logo logo. 8 Lograr ou possuir. arecó. 9 Lombo pyiycëõ. ja tirado. pyiycëõcoéra. 10 Lombos[,] a pte inferior das costas, que chamamos cadeiras, [|] tumbý. xerumbý. 11 Lombrigas çovöí [cevöí]. alii cemböí. 12 Longa cousa. mbäé pucú. 13 Longamente. Pucú. ut erenheéng pucú. tu fallas longmte [longamente]. 14 Longe apecatu. arte apoé v apoecatú. 15 Losna cäarõ [cäaró]. 16 Louça. nhaẽ. vul pratú etá. 17 Louceira. nhäẽ monhangára pratú monhangára. 18 Loura cor. júba. 19 Louro ser. xejúb. 20 Louvada cousa. imombeú catupýra. 21 Lovar. aimombeú catú v amombeú poráng. 22 Lovarse. amombeu catú xenheéngatú xeioecé 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16

LU Lua jacý. lua chea jacý róba [robá] goaçú. Lugar povoado. tába Lua nova jacy cemamó [cemanó] v jacý pyçaçú. v jacý angaibár Lua mingoante. porque naõ se poderá dizer: jacý tuibäé [‘lua velha’] v jababäé [‘cortada, aberta’] v opabäé [‘acabada’] Lua cris öú iacý mbaé v öú mbäé iacý. vul iacý omanó. [veja-se “lua cris” no Anexo] Luar jacý endý v jacy rendý. lueta iacý mirí. Lugar do que está assentado. tendába. do que está [|] deitado. tupába. xerendába. xerupába. Lugarete, povoaçao pqna. tába mirí. Lugar. máme. lugar aonde alguem mora: pytaçaba. Lume. fogo. tatá. luz de fogo. tatá rendý v tatá endý. Lume, luz da candea. candea rendý v sine r. Luminaria. tatá. Lusco v fusco. deiranhé pytýna catú v pytúna mirí. [‘ainda não estar bem escuro’]. Lustrar, fulgere. aberáb. Lutador oioitytycára. Lutar aitytyc ut: oroioitytýc pedro recé lutamos com o [|] pedro. lutai, falldo [fallando] a huns rapazes: peioitytýc v peiotytýc


194


195 [folio 26 recto – 1° col.] 17 Luto trazer, id est dor. anhemoaib. 18 Luvas. pöaóba v porurú. scribit alius: pururú sed videtʒ [videtur] male 19 Luxar [sic], çujar. amokyá. 20 Luxuria. moropotára. 21 Luxuriar. aporopotár. absl. 22 Luxurioso. abá ou cunhã poropotára. 23 Luxurioso ser. xeporopotár. 24 Luz do dia. ára. 25 Luzir, ser luzente. aberáb. aberaberáb. v xerendypýc. 26 Luzir como o mar da noite. xerendý ou xerendyrendý. [|] ut: paraná cendý cendý. ou cendý cendý paraná. 27 Lugar das canoas ou porto. ygarupába. 28 Lugar de descansar. pytaçába.

[folio 26 recto – 2° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

19 20

21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31

32

33 34 35 36

37 38

M A. Ma ou maa cousa. mbäé aiba. mbäé poxí v niti catú. Ma ou mao em costumes. angaipába. aba poxí v poxíeté Ma ou mao ser assim. xeangaipáb. xepoxí. Ma indisposiçaõ, enfermidade. mbäé acý. Machado gý. piragoaranheeng: ybyhab. [veja-se o Anexo] Macho qlquer . apyába Machucar. atucá atucátucá. freq Maciça cousa anámamuçú [anámuçú] Maço. eodʒ modo se quer dizer feixe ou molho: mamána. Macula. i kyá. Macular amokyá. Madeira. ybyrá. Madrasta. cyyra. vul. xemaia recobiára. Madre ou may. cý v xemaia. coribaré diz tamí. [|] xeramí. minha may. Madre das molheres. membyrurú v membyrarypý. [|] v membynhemonhangába. v pitangamonhangába. Madre do rio. tý eté. Madrinha e padrinho do bauptismo e crisma. xemai=[|]angaba. paiangába. Madrugada. coemeté. de madrugada. coemetéreme [|] vul. coemetéramé ou jeibé. ut: jeibeté apác, açó [|] acordei me madrugada. fuy bem cedo. Madrugar. apác coemetérame. Madura ser a fruta gerlmte. xeaujé. ut: iaujé uán [|] biribá v imembecuán v itiarõuán v itavá uán [´o biribá já madurou´] Magnanimidade pª cousas arduas. tecó eté. Magnanimo ser. aicó eté. Magnanimo na guerra. kyrỹbába. Magoa ou macula. ikyá. Magoar. offendere. act amopyaíb Magoarse. dolere aimboacý. Magresa. ou magra cousa. mbäé angaibár. Magro ser. xeangaibár. Magro ser extremadmte [extremadamente] a parecerem os ossos. xecan=[|]goéra. May ter. xecý. vul. xemaia. Maior, çocé, ou sobre. ut magìs quám. açauçub [|] Tupã opacatu mbäé çauçubipýra çocé amo a Deus mais do que a todas as coisas mais queridas´. vul pyrý. Maior ou mais grosso. turuçú pyrý, çuí. pachicu [|] turuçú pyrý nde çuí [‘Francisco é maior do que você’]. Maior algum tanto. turuçú mirí. maior de mto: turuçu eté v turuçú catú eté. Mais. mto mais, se he numero cetá eté. Mais hum pouco. ou algum tanto mais. pyrý. I Mais ou outra vez avantajado em qlidde [qualidade]. çocé ut. ixé [|] nde çocé [‘sou mais que você´]. vul. xecatú pyrý nde çuí [‘sou melhor que você’]. Mais vezes. cetá ýí. Mais para cá. kimongotý. Mais para lá. amongotý. mais para outra banda. coecotý.


196


197 [folio 26 verso – 1° col.]

39 40 41 42 43

M A. Mais alto. ipucú pyrý. rel. Mais baixo no compmto [comprimento]. iatúca pyry. Mais outro em numero. be amó. posto no fim do verbo. ut: [|] eimeeng bé amó alii: eimeengamó [‘dê outro!’]. Mais delgado. ipöi pyrý. rel. Mal ou malado andar. vul. nitìí xe catú . naxemarácatúi. [Existe malato no Bluteau e no Bento Pereira. É uma forma do português antigo, igual ao malade do francês. O malado de Meisterburg pode ser uma pronúncia de alemão ou uma influência do francẽs, língua muito conhecida na Alemanha do séc. XVIII, sobretudo na região de Trier].

45 Maldade. teco aíba. 46 Maldizer de alguem. amombeu aíb v anheeng. recé. hoc [|] est: mormorar. ou dizer mal. 47 Malefico fazer algum dos casados a seu consorte. amon=[|]darõ. çuí. 48 Maleitas tacubaryryia. v coaracý ryrýia. 49 Maleitas padecer. aporara tacuba ryrýia. 50 Malenconia [melancolia], que quebranta o corpo de pode [poder] obrar. pitu=[|]bára. [Malenconia é a forma do italiano até hoje e a do espanhol medieval].

51 Malenconico [melancólico] ser assim. xepitubar. v xepitúbuçu. 52 Malhar. atucá. freqʒ atucátucá. freqʒ 53 Malhado ou manchado ser o animal. xepinipinim 54 Malicia. tecomemöá naõ se uzaõ 55 Malicioso aba memoã 56 Malquerenza [malquerença]. odio. nhoamontareým. 57 Malquerer. aiamotareým. 58 Malquerente. motareymbára. 59 Mal tratar. arecó memoã. arecó aíb. 60 Mama. teta do homem e da mer. [molher] cáma, e assim de [|] qlq͡ r animal. maminha. cáma mirí. v camaíra. 61 Mamar. acambý. desejar mamar. acamby céi 62 Mamentar, dar de mamar. amocambý. 63 Mamar [manar]. stillare. atykýr. 64 Mamar [manar] em burbulhoens. abur. freqʒ abubúr. tambem [|] assim se diz, quando levanta a fervura, e sahe [|] fora da panela, ou o peixe, que salta no rio. 65 Mancebo ou manceba. agoaçá. tal por mto tempo: [|] agoaçabora. 66 Mancebo ou moço. cunumí goaçú v curumí etʒ. 67 Mancebo fazerse. acacuáb. 68 Manchado ser o animal. xepinim v xepinípiním. freqʒ [|] ipiním. rel. 69 Manchas diversas do animal. pinima. assim tambē [|] de qlq͡ r cousa dos paos, pedras. ìtá pinima, ybyrá etʒ 70 Manchar assim. amopimím. a. 71 Manchar. maculare. amokyá. a. 72 Mandado, lei. tecomonhangába. 73 Mandar de ca para lá. amondo[.] a[.] 74 Mandar de la para ca. amböúr. a. 75 Mandar que se faça, leve; etʒ ucar no fim do verbo. [|] como mando que se mate. aiuca ucar etʒ. 76 Mandar diante. amondó tenondé. amondó nde renondé [´mando na tua frente´]. 77 Mandar, desterrar. amocem. çuí. 78 Manga do vestido. ao iýba v ao giba.

{

[folio 26 verso – 2° col.]

79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119

120

121 122 123

M A. Manha costume. tecó. Manhaã do dia. coema. Manhaã a manhaã. uirandé v corì coéme. Manjar qlq͡ r. miú. xeremiu. v tembiú. xerembiú. Manjar, mastigar. aixüú v açuú fre. .açüu çüú. Manifesta cousa. icatupendoára. naõ se uza. vul. çupí Manifestmte [manifestamente]. icatúpe. Manifestar. acuabucar. amombeú. Maninha femea. membyreýma. Manquejar, coxear. xepári [xeparĩ]. alii xeapári [xeaparĩ]. ïapári [ïaparĩ] rel. [|] ixeapar. Mansidaõ. nheraneýma. Manso aba nheraneým. Manso animal, domestico. mimbába. ut: xereimbába [´minha criação´]. [|] e naõ se diz: xeçapucáia, xe tapiira. Manta, cuberta. açoiçába v jaçoicába [jaçoiçába]. meliùs. Manteiga, gordura. cába. ja tirada: cabagoéra. Mantimento. miú. tembiú. Manter. aiopoi, v amongarú. Manterse. äú. Manto äoba. Mao angaipába v poxí. mao homem. aba angaipába v [|] aíba v poxí. Maõ. pó. xepó, nde po, ipó. Maõ direita catuába. ecatuába. Cate. iecatuába. Maõ esquerda. açu. ïaçu. rel. Mar. paraná. Marrar. aiocamutác. rel. Maravilharse. acanhém. Top. xeputupáb. Miravilhosa [maravilhosa] cousa ou mto boa. icatú eté. rel. Marca, como de caixa, vacas. icuapába vul. çaangába. Marcar assim. aicuapomoin [aicuapamoin]. vul. amoçaangáb. Marco da terra. ybycuapába v ybyraangába. Maré. v. enchente. Margem. cembeúva. v cembeuba o pro vul. Margulhar. aiapomí. N. Margulhar a outro. amoiapomí. v aipomí. vul. a. Maridar. amomendar. a. Marido. mena. Mariola. ceraçoára v ceraçoçára. Mariscar. aieporacár. o quem [que] marisca. jeporacaçara Marisco. paranápóra v paranabóra. Martello. mbäé tucaçába. Mas. ruã. pondo adiante, ou pª melior [melhor] dizer atraz [|] a negaçaõ. na xe rüã [‘não sou eu’]. [Vejase a explicação dada no Anexo]. Marrar. aiapí. acamutác. ut: cuaçuména [çuaçuména] aioacamutác [‘os veados estão marrando’]. Martelar. atucá. Martyrizar. arecó aíb eté. Mascar ou mastigar. açuú.


198


199 [folio 27 recto – 1° col.] 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140

1

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23

Matadeiro. jucaçába Matador. jucuçára [jucaçára] Matar como quer. aiuca v aiapití. Matar gente. aporoiucá v aporapití. Matarse. aieiucá v anheiucá. Matarse. aieiucáaíb. recé Materia das feridas. vul. méva v peva. ut: ipéu uán [‘já está com pus´; ou ´já está purulando´]. rel. Materia ter a pessoa ou ferida. xepéu. ipéu. rel. Matinada como de vozes quaesquer. nhemoaiú. Matinada fazer. anhemoaiú. Matinar alguem. ou com alguem importunando o, ou fa=[|]zendo estrondo com razoẽns. aimoaiú. Mato virgem. cäa eté. Mato que ja foy roçado. cäacoéra. ou cócoéra. isso porem [|] sgfca aquelle mato ja roçado, et plantado. Matraca dar a alguem. apocémpocém. recé. Matrimonio. mendára. Matrona. cunhã moacára. Mascara. tobá raangába. vul. tova etʒ ME Meya. meyo, pelo meyo. ametade e partindo hum pao ou [|] pam. ipytéra rupí vasando porém huã vasilha, [|] ou enchendo pelo meyo. icuá rupí. rel. item: ipytéra rupí. Meya estar huã vasilha. icuá rupí. rel. Meyar ou partir pelo meyo. amondóc icuá rupí. v ipy=[|]tera rupi. Mear o gato. onheéng pixána. Medianeiro. v. ferzeiro [terceiro]. Medicina. moçanga. alii: poçanga Medicinar. apoçanóng. Medico. poçanongára. Medida. çaangába. Medida cousa. çaangabipýra. Medida falsa. çaangabaiba. Medir grlmte. amoçaangáb. alii: açangáb. Mediocre, naõ mto grande cousa.[nitiu] turuçú catú. mediocre [|] no numero. [nitiu] cetá catú. Meditar. aipyamonghetá. Medo. cykyie. Medo ter. acykyie çuì. Medo fazer. ou causar medo. amocykyié. Medonha cousa abaeté täè v abaetegoaçu. sendo mto medha [medonha] Medonho ser xeabaeté. v xeabaetégoaçú Medonho fazer a outro. amoabaëté. a [‘fazer impressão séria’]. Medrosa cousa. cykyiebóra. Meyo dia. arapytéra. Meyo. pytéra. ipytéra. rel.

[folio 27 recto – 2° col.]

24 25 26 27 28 29 30

31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45

46 47 48 49 50 51 52 53 54 56

57 58 59 60 61 62 63 64

ME Meyrinho. ybyra rerecoára. Mel. jra. grlmte. Mel das abelhas ou arvore. ybyrá íra. Mel de tanque ou engenho. uubäé íra vul canna íra. Melancolico. pyaíba. Melancolizar assim. amopyaib a. Melhor cousa. mbäé catú pyry comparat. – melhor cousa [|] se quer sigfcar [significar] superlativo, ou melhor de todos. catú [|] eté eté. a qual partl͡ a se pode ajuntar ao [a] qualquer nome [|] turuçu eté eté[.] ceé [ceẽ] eté eté. Melhorar de doença. v. convalecer. Memoria. maenduaçába. mbaé recé maenduaçába Mendicar [mendigar] aieruré tupã recé. Mendico [mendigo] poreauçubóra. Membro parte do corpo. mbäé. ut: mbaepé erenhĩbo. que [|] parte frechaste ? Membro viril. tacoanha. çacoánha. rel. Menino. curumí. v cunumí Menina cunhã téi. mas se hum e outra saõ crianças: [|] tayna ou pitánga. Cate. cunhã téi. Menor cousa. mirí pyrý. Menosprezar naimoetéi. vul. nití amöeté Mensageira ou = ro [mensageiro]. xenheenga reraçoçára. se he das [|] novas. morandupára. Mensageiro, que chama algu͡ a mer a alguem. amanajé. Mensageiro como quer. mimondó. Mentira. jereragoáia. Mentir. aiereragoái v xeiereragoái. Top xeiurura=[|] goái. ita Cate. hum Topinamba dizia ao author [|] deste livro, que naõ. Mentiroso. jereragoaitára. Mercadorias. mbäé. Mercar. v. contratar. Mercador. porepyandára. Merda. tepotí. Mergulhar a outro. aipomĩ. a. Mergulhar. N. anhapomĩ. aiapomĩ. anheapumĩ, mais polit [político]. Mez iacý Mergulhador. iapomiçára. Mez das molheres. ut: arecó iacý v areco xeruguy v aicó [|] xerecó rupí. v aicóaíb. e sgfca tenho o mez. padecelo a [|] pra vez: anhemondëár. Meza. ybyrapéba. mezinha. ybyrapéba mirí. Mesma ou mesmo. äé. Mesquinho. ou avarento. cecateýma rel. miserável. [|] iporeauçub. Mesquinho ser. xerecateým. miseravel. xeporeauçuba. Mestra ou mestre, que ensina. mboeçára. mestre que [|] ensina mtos: moromboeçára. Mesturar huã cousa com outra da mesma especie. amoiecëár. Mesturarse. aieceár. anheceàr. Mesura fazer. aceroký pupé. alii acerogiý.


200


201 [folio 27 verso – 1° col.]

65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79

1 2

3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26

Me Mesura. jeroky. alii: jerokiý Meter. amondéb v amondé. Meter em casa, o que vay as costas. aroiké. aroique. Meter, o que vay por si. amoinghé. Meter do [de] baixo de [da] agoa, princplmte [principalmente] que costuma ir em [|] cima. aipomĩ. Meter em aperto como pelejando, disputando. aiapypýc. Meter na cabeça. ainong icánga pupé. Meterse, ou pôr se em alguma cousa. anhemondé. Meu, minha cousa xembäé. xerecúia [‘minha cuia’]. Mexer, apüur. mexer agoa: ypüur Mezinha. poçanga. v moçanga. Mezinha pôr. v. curar. Mesquinhar se. anhemomoreauçúb. Mesquinho, ou pobre. aba poreauçúb. Mexer a fª [farinha] qdo [quando] se cose. apucúi. o rodo, com que se mexe: [|] oipucuitába. Mi Migalha. acicoéra. isso pprmte sigfca [propriamente significa] pedaço. unde meliùs [|] curéra, sendo peqna. Migar o caldo com a farinha. atypyrõ. as papas ou o caldo [|] feito assim com a farª [farinha]: myndypyrõ v marapyrõ. Mijar. acarúc. Mijo. carucába. v ty v carúca. Mijadeiro. carucába v = áva [carucáva]. Milho gerlmte. abatí. Milho saburro. abatí goaçu v abati ãtã. Milho mais molle, de que se faz paõ, o que chamaõ verda=[|]deiro milho abatí eté. Milho miudo como do reyno, o que chamaõ arroz: abatii. Mimo. potába v = ava [potáva]. Mina de ouro ou prata. itá jú coára. Mina qlq͡ r de baixo da terra. ybycoára. Mingoar. typauán [‘já estar seco’]. rel Minha criaçaõ. xereimbába v xerymbába. Minha cousa. xembäé. Minha ida. xeçó. Minino – na [minina] que naõ falla. pitanga. taýna pitanguí v pitanghi. Minina dos olhos. teçáúna [‘o preto do olho’]. Minino – na [menina], ate doze v 14 annos. cunhã téi o 2°. – cunumí o 1°. Ministrar. ameéng. Miolo da cabeça. aputüúma Miolo de paõ ou semelhante. apytéra. alii: çoó; Mirra. cyãtã rová. Mirrar ou secar. amotiníng. Mirrada cousa ou m° secca. otiníng. otiningatú. rel. Miseravel de qlq͡ r modo. abá poreauçúbi. nde poreauçúbi

[folio 27 verso – 2° col.] Mi 27 Miseravel ou coitado delle. iporoauçúbi. rel. 28 Miseravel ser ou estar. xeporeauçub. 29 Miseria semelhante [miséria e sinônimos]. moreauçúba. 30 Misericordia. moreauçubára. 31 Misericordia usar com alguém. açauçúbar 32 Misericordioso ser. xeporauçubár v xeporauçúba catú. 33 Misero, escasso ser. xerecateým. 34 Missa dizer. amonhang missa v açaang missa. 35 Missal. Tupã monghetaçába. ou : tupana livrú. 36 Misturar huã cousa com outra ejusdʒ spee͡i [eiusdem speciei]. amoiecëár. 37 Misturar se. aiecëar. 38 Mitigar a dor. amoputüú. a. 39 Mitigarse a dor. aputüú. 40 Miuda cousa. mbäé miri 41 Miuda cousa ou ferida in mtas migalhinhas. mbäé cuí [|] ut: petyma cuí [´pó de tabaco´]. 42 Misturar. alem do verbo supra d° dizem tambem: amo=[|]nan. emonan ico mamanetá [‘misture estes molhos!’]. Mo. 1 Mó e toda a pedra de affiar. itaký. 2 Moça, ate 12 annos, cunhã téi, e dahi ate 30: cunhã [|] mucú. dahi por diante ate 45, 50, cacuába. dahi [|] por diante. guaimí. 3 Moça de serviço de portas a dentro, ou criada. cunhã [|] rerecoára. xererecoára. 4 Moço. ate 14 annos, cunumí. dahi te 30, curumí goaçú. [|] dahi ate 55. cacuába. dahi tuibäé. alii: tuiväé. 5 Moço que serve em casa. xererecoára. 6 Mocha cousa sem orelhas de natureza. nambieýma. [|] se foraõ cortadas: nambí acica. e assim: çovaia acica [´sem rabo´]. 7 Modestia. cunuçáia. naõ se uza. pode se dizer: angaturáma. 8 Modesto ser. xecunuçái. pode se dizer: xeangaturám. 9 Moeda. ita júba 10 Moer. pizando como em gral. açoçóc. 11 Moer pizando, mas fazendo em pó. amocuruí. amocuí. a. [|] vide in fine hujus: mo. 12 Moida cousa do [da] 1ª maneira çoçokipýra. da 2ª imocuipýra. rel. 13 Moida cousa ou po della. cuí. ut: pirá cuí [´farinha de peixe´]. petyma cuí [‘pó de tabaco’]. 14 Molde. çaangába. rel. 15 Molduras. cembeúba. 16 Molestar. amoaiù. a. 17 Molestarse, ou affligirse por algum successo. xeangecoaíb. [|] v xeanghecoaib. iangecoaíb. rel. 18 Molestia, importunaçaõ. poromoaiú. 19 Moleta. xepococába. 20 Molhada cousa. mbäé iakým 21 Molhado estar. xeiakým [xeakým]. N 22 Molhar. amoiakým [amoakým]. a. 23 Molher. cunhã. molher consorte. temirecó. 24 Molho ou caldo. jekecý. 25 Molho, em que se molha peixe por ser mais gostoso. mouy ~ = [|] tagi


202


203 [folio 28 recto – 1° col.] Mo 26 Molle cousa. mbäé membéca. 27 Moller [molle] ser ou estar. xemembéc. ut: membecuán pirá [´o peixe já está mole´]. N. 28 Molle, molle. mevé mevé. Top. megué megué. 29 Molleira da crianza. pitánga pytéra. 30 Mollificar o duro. amomembéc. a 31 Momento. ou em hum momento coritéi [coriteĩ]. coriteité [coritéĩté]. 32 Moncos. ambúba. v uva [ambúva] alii: amuma. tiralos: aiombuóc [aiambuóc]. a. [|] e tiralos a si. aieambuoc. N. 33 Mondar a planta, ou tirar as hervas com o ferro de cova [|] caãpir [cäapir]. ut: pecaapír [‘mondem!’]. a. 34 Montanhas. v. montes. 35 Monte alto. outeiro. ybytyra. ybytýra aripe. in monte 36 Monte ou montaõ de qlq͡ r cousa. atýra. ut: ybý atýra [‘montão de terra’]. 37 Monte ou montaõ ser de alguma cousa, ou estar assim [|] em montaõ. xeatýr. n. 38 Montear com caẽs. acäamondó. v caabo aicó. v çoó recé [|] oicó. 39 Montear sem caẽs cercando e correndo o mato com mta [|] gente. aiaamontyrõ. alii: acaamondó. 40 Monturo, ou monte de cisco. yty apýra. forte dicendʒ [dicendum]: atýra. 41 Morada. v. casa. 42 Morada cor, que tira ao vermelho. pytanga, o mesmo [|] he pardo. 43 Morador ou natural. igoára. ut: mortigurigoára. mairí=[|]igora [mairiigoara] [´natural de Mortigura. morador da cidade´] vide: pertencer. 44 Morador antigo, ou que está assentado. tapijára. tapi-iára 45 Morar em algu͡ a parte. aicó. ut: icó taba pupe aicó. v co [|] tape aicó [‘moro nesta aldeia’]. 46 Morar com alguem. jrúmo v irúnamo aicó. 47 Morcego. andirá. 48 Mordidura ou sinal della. çuú agoéra. 49 Morder. açuú. alii. aiaçuú. arte: aixüú. 50 Morena v parda cousa. pytánga. 51 Morna estar a agoa, e qlq͡ r outro liquor. xeracubaíb. vul. [|] çacú mirí. rel. 52 Morrer. amanó. acanhem. 53 Mortal. o Ɔtrario [contrário] de immortal. teóaráma v amanogoaráma 54 Mortandade. pába. se for de animaes, se ha de exprimir. [|] ut: çoo pába [‘extinção da caça’]. 55 Mortandade padecer. apàb. freqʒ apapab. ut: apapàb [opapáb] mira [‘acabou-se o povo’]. 56 Morte. Teõ. 57 Mortifera cousa. oporapitibaé. oporoiucabäé. vul. o d° [|] b se pronuncia como v. espelmte [especialmente] nos verbaes. 58 Mortifero ser. aporapití v aporoiucá. alii: aporopití. 59 Morto corpo humano. teõboéra vul. teõcoéra. qlq͡ r outro [|] corpo, naõ humano se esprime: çoó coéra. 60 Mortificar. amopyaíb. 61 Mortificarse. anherecoaib. aierecoaib. 62 Mosca. merú. 63 Mosca de gado. mutúcuçú 64 Mosquito. saõ de varias castas. os que mordem mto [|] e saõ pequensmos piũ. os de pernas compridas

[folio 28 recto – 2° col.]

65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15

16

17 18 19 20 21 22 23

Mo e g agulhaõ comprido, tambem o que canta como tro=[|]betinha [trombetinha]: carapaná. os peqnos mariguí, que naõ faltaõ [|] no caminho pa maranhaõ. os que se pegaõ nas pernas [|] mocuí. etʒ Mostarda. caatáia. Mosto. caoĩ etè eẽ. v caoĩ pyçaçú. Mostrar. acameeng. v acuabeeng. v acepiac ucar v [|] amocameeng. Motejar de alguem rindo se delle. aioiói Motejar chamando nomes. acurao. freqʒ acuracuráo. Mouco. pyça yma. ut: nde pyça ýma [‘você é mouco’]. Mover. v. bolir. amocatac. Mover a mer [molher] akyrár. v xemembyrakyrár. [“mover” significa ‘abortar’]. Moverse ou levantarse. apuám. Mover se ou bolir se comsigo. anhemocatác. Movito [móvito]. kyrára. Mofino. manéma v pitúba. Mofino ficar ou sem porçaõ. xepaném . ou sem preça [presa]. Mu. Mudar, se he huã cousa, e pondo outro em seu lugar [|] como mudar a camisa. acecobiár camisá. Mudar casa ou aldea findoi [indo] pª perto ou mesmo sitio [|] aceyi v acegiy xeroca alii: acegí. Mudar se assim. aieiý [aceiý] Mudarse pª longe. acém çuí. Mudo que naõ falla. nheengheýma. Muito tempo ha. jéi. jeibé v oiéi v oieibé. Mui bem, catú. Mto bem está ou estou nisso. héhé. Mta cousa. cetá mbäé. Mto bem está aprovando. auje. v aujé ipó. alii: auié. Mto em qtidde [quantidade]. turuçú. Mtos em numero. cetá catú. Mtas vezes. cetá ýi. Mtos serem em numero, scilicet nos: oreretá. Mltidaõ [multidão] de pessoas teyiá e assim qlq͡ r multidaõ de cousas, [|] ajuntando lhe o nome v.g. da gente, das canoas. etʒ Mltiplicar [multiplicar] ou ajuntar fazendo, que cresca [cresça] o numero: ai=[|]moetá. porem se he qtidde [quantidade]: amoturuçú v amoiapýr sendo o modo ou sentido de fallar. Mundo. ára. icó ara. Murchar amonhynhyng N. Murcharse. anhynhyng. ou murcho estar. xenhy nhyng Murmurar de alguem. anheeng. recé. Muro. yby oca [ybyoca] Musica. nheengáva. vul. Musico. nheengaçára.


204


205 [folio 28 verso – 1° col.]

1

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15

16 17 18 19 20 21 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34

1 2 3 4

Na. Na prepos. in. pupé, v pe. ygárapupé v ygárpe [‘na canoa’]. xeroca [|] pupé xerocupé [xeroc-upé] (‘na minha casa’). Naçaõ de gente. tapyyia Nacer. v. nascer. Nada. nitimbäé. Nada de nenguma calidade [nenhuma qualidade]. aanangái. v aanangaité. Nadar. aytáo. saber nadar. xeytáo. v xeytá cuáb. Nadegas. cebira. rel. Namorada ou namorado, que peccaõ por obras. agoaçá. Nam. nitibí v nitiui. Top: aán v aáni. Naõ ja, nam ja que. na – ruã. interposito o que nega. [|] ut: nãba ruã [‘nenhuma pessoa’, ou ‘ninguém’]. Naõ ha de ser. aanixeuéne. Naõ se achar bem, com qʒ está fora do seu natural, ou como [|] quer. naipocüábi. vul. niti apocuáb. Naõ deve ser assim ou naõ será assim escusando. aanipó. [|] vul. nití ipó. Naõ querer. naipotari. vul. niti apotar. alii: nití xeapotár Naõ saber. naicuábi. vul. nití acuáb v niti xecuáb. differem [|] porem, porq o pro conjuga se, e sgfca tambem: naõ [|] entendo. o 2° naõ se varia, nem rege cazo. nem tem [|] outra sigfcaçaõ [significação], e serve so a pra pessoa. Narigaõ. tĩgoaçú. Nariz, foucinho [focinho] ou bico da ave: tĩ. ja tirado: tĩcoéra. Nariz atillado [affillado] e alto: tĩ goaçù péma. Nariz escarapuchado. tĩ béba. Nascente do sol. coaracý cembába. Nascer a crianza [criança] de alguma maneira descostumada, como [|] com os pes para diante. aár aíb. Nascer gerlmte como quer. anhemonhang. Nascer o semeado ou plantado. xerenhýi. cenhýi rel. Nascida. atiĩ. Natura do macho qlq͡ r . tacoanha. çacoánha. rel. Natural de algu͡ a terra. jgoara. tapijara. ut: guaricurú igoara [‘natural de Guaricurú’]. Natural cousa e naõ facticia. cecoabanhé. Natureza ou patria, aonde hum nasceo, ou mora: tetáma. [|] ut xeretáma [´minha pátria´]. Navegar. paraná, ý rupí aroat auata v agoatá. Na verdade. ipó Navio. bergantimuçú. Naufragio fazer. aiepypýc. Natal do C. N. Sor. [Cristo Nosso Senhor] Missa pytúna. Ne Necedade. tecó cuabeýma. Necessaria cousa. mbäé teco temé goaráma. Necessidade ter de alguma cousa. aicò tebe. vul. aicó temé çuí Necio ser. naxetecocuábi. vul. nití xetecocuáb.

[folio 28 verso – 2° col.]

5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

1 2 3 4

Ne. Negar. acuacúb. çuí. ut: erecuacubae [erecuacutae] paí çuí nde recó=[|]angaipagoéra? [‘você oculta do padre teus pecados passados?’] Negociar. aporepyan. alii: aporypán vul. Nefando tebira. Negro ser. xerún. vul. xepixún. Negro ou preto flld° [fallando] de pessoa. tapanhúna v tapyúna. Negrejar ou fazer negro. a amoun. v amopixún. Negrejarse. xepixún v xerún. N. Nem ainda. ou ainda naõ. deiranhé. Nem mais, nem menos. jabé catú. Nenhum, nenhuã. Nitimbäé fallando [fallando] de cousa. de pessoa: [|] nití abá. Nem por isso. nití äé recé. Nervo. taiýca. assim se acha impresso, como tajýra taiýra. [|] porem se diz sempre xeragýca, xeragýra. Neto ou neta da femea. temiairõ [temiarirõ] ut: xeremiarirõ. Neta ou neta do homem. temiminõ. ut: xeremiminõ. Nevoa. ou nevoeiro. ybytínga. Nevo nos olhos. teçá tinga v teça tunga. Nevoa ou belida ter nos olhos. xereçating v xereçatyúng. Ni. Ninguem. nití abá. Ninharias, ou cousas de pouco momento. mbäé mirí aíra Ninho de aves e ratos. rovaitĩ. çovaitĩ. rel. çaitĩ relat: çapucaia raitĩ [‘ninho de galinha’] v forte raitỹ. disse me hũ. Ninhos fazer. aieatĩ monhang. alii: guyra omonhang çoca [‘a ave faz sua casa’]. guavirú omonhang çoca [´o guabiru faz sua casa´]. alii dicunt: aieovaitĩ. monhang. ut: guyrá oieovaitĩ monhang. e assim se diz gallª [gallinha] faz ninho. [ieovaitĩ significa ‘fazer ninho’, e monhang significa ‘fazer’; não se sabe se essa redundância era normal na época ou se é confusão do autor].

5 6

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

Nisto ou nesta cousa. icobaé pupé. ou icobaé recé. con=[|]forme o verbo, que o rege. vul. icobäé. Nisto, id est, neste lugar. iké. No No, na, em. pupé v pe v me. conforme os adjetivos. Nó do fio ou corda. ipokytã v ikytã. rel. Nó dos dedos. pó acánga apyrcába [apyrçába]. Nó do cipó ou vara kytã. ikytã. rel. Nó enterior do pao. japuterüa [japyterüã]. v ikytã Nó da garganta. jeceókytã v aiá. mas esta palavra [|] pprimte [propriamente] sgfica [significa] papo. Nó fazer no fio ou corda. amopokytã v amokytã. Nó ter o fio ou corda. ipokytã v ikytã. rel. Nó desfazer ou desatar. aiuráo. aporáo. v alii: ajuráo. No chaõ. ybýpe. No meyo. pytérpe. ut: tatá pytérpe. Nobre cousa. mbäé moacára. No cabo. tandem. coyté. Nociva cousa. mbäé aíba v mbäé racý. mbäé nití catú. Nodoa kyá. ikyá. rel. Nojente [nojenta] cousa, ou, o que causa nojo. mbäé omoiegoarú Nojo. v. asco.


206


207 [folio 29 recto – 1° col.] 18 Nojo ter. aiegoarú. çuí. 19 Nojo ter tomar por algu͡ a cousa. anhemurõ recé v [|] aiemurõ. id est: desconfiar. 20 Noite. pytúna ou putúna. esta noite. corí putunumé [putunemé]. 21 Noite ser pytunuan. de noite. pytuneme v pytunaramé. 22 Noite alta v.g. meia noite. piçaje catú v ete [piçajé eté]. cada noite [|] piçarebo. 23 Nome. rera. xerera. tera. abs. 24 Naõ mais. basta. auié. 25 Naõ mais, somente. nho v nhóte v anhó. ut: ajúr nhóte. [|] venho, naõ mais. 26 Nome pôr de novo. aceróc. 27 Nomes ruins chamar. acoráo. acuracuráo. freqʒ 28 Nome tomar de novo. aieróc. 29 Nomeada, quase o mesmo que nome. tenoindába. cenoindába. rel. 30 Nomeadamente ou partclmte [particularmente]. catú. ut: nde catú nde renõi [´a ti em particular te chamam´]. 31 Nomear por seu nome. acendoi. meliùs acenói [acenõi]. 32 Nome por. motejando. aceróceróc. 33 No mesmo lugar. aepe. 34 No mesmo tempo. äé ara pupé. 35 Nora do homem. taytatý. ut: xeraytatý. 36 Nora da mer [molher] membytatý. 37 Norte, sul. como dizem muito longe ou fora ou ao revez, [|] do que he. aroaneym. idem que: talvez. 38 Nos, nosoutros, incluindo a pessoa com que se falla. jandé. [|] excluindo porém: oré. 39 Nossa, nosso, nossas, nossos, excluindo a pessoa com que [|] falla: oré. ut: ore mbäé. incluindo: jandé 40 Notar só com a vista, pª depois conhecer a cousa. acepiacatú. 41 Notoria cousa por vista icatupendoára. 42 Nova cousa. pyçaçú. 43 Novamente. ramó v amó. ut: ajuramó [‘venho novamente´]. 44 Novas. morandúba. 45 Novas dar a alguem. amomorandúb. v amoacuáb. 46 Novel ser em algu͡ a cousa. aicóramó cobäé monháng. 47 Novello de fio. nimbó apoá. alii inimbó apöá 48 Novilho. tapi= iraýr uçú [tapiiraýruçú]. 49 N’outra parte. aicopé, qdo se sabe aonde está ou foy. qdo [|] se nao sabe, se diz: coipé. ut: oço coipé. foi em algures, [|] naõ sei, pª aonde. 50 Novelleiro. morandúba monhangára. Nu 1 Nu. despido. icatúpe. 2 Nu andar. icatúpe aicó. 3 Nu, nua cousa. icatupe ndoára. 4 Nuca. iandé atöá [atuá] 5 Numero. papaçába. 7 (sic) Numerar. apapár. 8 Nunca. aán v aaní. v aaninhé. 9 Nunca, nunca. aanangái.

[folio 29 recto – 2° col.] Nu. 10 Nuncio. xenheénga reraçoçára. v goeruçára. 11 Nutrir. aiopói. v amongarú. 12 Nuvem ybytínga. Top. ybatínga. nuvesinha ybytinga=[|]mirĩ


208


209 [folio 29 verso – 1° col.]

1

2 3 4 5 6

7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

21 22 23

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

OB. OC. O. partl͡ a de chamar. guí v gué. dizem os homens. as [|] molheres: jú. ao prezente elles e ellas uzaõ destas [|] part͡ las. Obedecer açapiár. v composto: ainheengapiár. alii: apo=[|]racár inheenga. v arobiar inheenga. Obra de maõs fazer. aporabyky. alii: aporavyký. Obreiro. morabykyára v morabykyçára. xeporabykyçára [|] catú [‘ser bom obreiro’]. Obrigaçaõ. tecó. ut: aporacár xerecó. faço a minha obri=[|]gaçaõ. eu ouvi dizer: tocó. Obrigar como a fazer algu͡ a cousa. aimonhang ucár ixupé [|] cemimotareýma rupí [‘obrigar [alguém] a agir contra a sua vontade’]. Obrigarse. naimopaném xenheénga [‘não ser forreta [‘avaro’] com as palavras’]. Obra. morabykyçába. meliùs: porabykyçába. obrinha porabykyçába mirí. xerembiapó: guarani. Ocasiaõ dar a alguem pª que se faça algu͡ a cousa. amon=[|]hangucar. vul. sine i. Oca cousa. mbäé nití ipór. v mbäé iporeyma. Oceano. paraná ẽ goaçú. Ocidente coaracýreikeába v coaracý canhembába. Ocioso estar. aicó tenhé v aicó nhóte v amocanhem ára Ociosamente, ou sem porq) [porquê] tenhé v tenhé tenhé. Oculos. xereçagoaruá pucú abs. teçagoaruá pucú. id est: [|] oculo de longa vista v mira. Oculos ordinarios. teçá goaruá. Occulta cousa. nitì abà ocuàb. Occupaçaõ. morabykyçába. Occupado estar pela vinda de alguem. anhemocainán [anhemoçainán]. [|] recé. Occupado estar trabalhando. aporabyký. ut: aporabyký [|] nde remiu recé. estou occupado em fazerte comer. Occuparse. amonhang. ut: mbäé täé eremonhang? [‘o que estás fazendo?’] Occupar alguem. amonhang ucár v aporabyký ucár. O bico da teta, aonde pega crianza [criança], qdo chupa. cáma [|] rapecoái. OD. OF. OJ. Odiada cousa. motareymipýra. Odiar a outros. aiamotareym. a. Odiarse. anhemotareym v aiemotareým. N. Odio poromotareýma. Odio mutuo. nhomotareýma. Odiaremse alguns. anhomotareým [onhomotareym] ut: oronhomotar=[|]eým. queremo nos mal. Offender. amonhang tecó aíba çupé. Offerecer. acuabeéng. v acameeng. Official qualquer. mbäé monhangára. ut: igára monhangára Official alfaiate. aoba monhangára. Offerta. potáva Officina. mbäé monhangába. tembiú monhangába. cosinha. Offício. tecó. ut: xerecó.

[folio 29 verso – 2° col.]

14 15 16 17 18

1 2 3 4

5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

1 2 3 4 5 6 7

8 9 10 11 12 13 14 15 16

Oi. OJ. Oje preterito. jei. oiei. v ieibé. Oje futuro. corí. Oje em dia. coyrbé. Oito vezes. oito ýi. Oitavas. ou mtos dias santos juntos. areté ioapýra. OL. Oleo. nhandy. alii: jandý. oleos santos. nhandý caraíba. Olha, mostrando algu͡ a cousa notavel. emaé ranhé. Olhar. amaé. recé. id est, simplicemente [simplesmente]. Olhar pª algu͡ a cousa, pª que se naõ perga [perca], ou fuga [fuja]. aman=[|]han. recé. v açarõ. ut: xeapytá oca rarõçara [‘sou oo guarda da casa’]. Olhar ao redor. amäé mäé. Olhar ao longe. amäé apecatú. çuí. Olhar pª dentro. amäé ipycotý. Olhar pª abaixo. amäé ybycotý. Olhar fixamente. aiatica xe reçá. Olhar com maos olhos. amäé xereça guyra rupí. Olharse no espelho. acepiac v anhemäe goaruá pupé. Olhinho. teçá mirí [mirĩ]. v teçáí. Olho. teçá. xereçá Olhos esbugalhados. teça popóra. Olhos azuis. teçá çubý v teça y. Olhos ligeiros. teça cuira v teçainána. Olhos vesgos. teçáapára. Oliveiro [oliveira], e tudo, o que da azeite ou toda arvore que da [|] azeite. nhandy yba v jandy úba. Olho da arvore. çobakýra v çovakýra. Olival. jandý úba týba. Olhos encovados. teçá coaroré v teçápýcoaréra v teça typý. OM. ON. OP. Ombro. atiýba. Omnipotente. opacatú mbäé monhangára. Ondas. ygapenónga. Ondas fazer o mar. xerygapenóng. Onça animal macho jagoareté apyába. femea = cunhã. Ontem. v. hontem. Onde, em que lugar. umáme. mamó. ou com interro=[|]gaçaõ umamepé? mamópe? vul mametäé oçó pachicú? [‘aonde foi Francisco?’] Opa, túnica. aóba. Operaçaõ. temimonhanga. Operar. amonhang. Opilaçaõ. pungá. Opilado estar. xeapúng. N. Opilar. act. amoapúng. Oporse a outro. açovaixár. v acecobiár. Top. acobaixoár [açobaixoár]. Opprimir. arecó memoã. v arecó aíb. Opprimida pessoa. aba poreaucúb [poreauçúb]


210


211 [folio 30 recto – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

25 26 27

OR. OS Ora sus. de quem exhorta. nëĩ. enëĩ. inusitat. Oraçaõ. Tupã monghetaçába. iemboeçába. vul =va [iemboeçáva]. Orar. atupã monghetá [‘conversar com Deus’]. aiemböé. Ordenaçaõ. tecómonhangába. Ordenar fazer ley. acecomonhang. Ordinar em carreira. amoiecirúng. Ordinarse em s carreira. aiecirúng. v aiecicirúng. ut: [|] peiecirung. ponde vos em fileira. Ordir tea. amonhang panna. Orelha. nambí. Orelheiras. nambipóra. Orelhudo. nambí goaçú. Orgaõ. itá mimbý. Orfaõ de pay. tubeýma. paieýma. de may: cyeyma. vul [|] maiaeýma. Oriente. coaracý cembába [‘saída do sol’]. Origem ou principio. ypý. Orla. cembeúba. Ornar como quer. amongatyrõ. amocatyrõ. Ornarse. anhemongatyrõ v aiemocatyrõ. Ortalaõ. temitýma rerecoára. Ortigas. pynó. alii: pynó pynó. meliùs. Orvalhos. yçapý v yapý. Orvalhada grande. yçapý goaçu. yapý goaçú. Osga. tarapupé. Ossada de animaes. cangoéra ajuntandolhe de que he [|] ou o nome que o supra. ut: pirá cangoéra v baé [|] cangoéra. porq o d° bäé dist͡ que [distingue] todo o genero de [|] animaes, que naõ he homem. cangoéra só sigfca [significa] [|] ossada humana. Ossada humana enterrada. tybý. Osso. canga, com a limitaçaõ de cima; e tirado da carne: [|] cangoera com a mesma limitaçaõ. Ostra grlmte. rerí. unde: rericuí, cal de ostra, ou [|] ostra feita em po.

OU. 1 Ou. coipó. 2 Ouvar. çupiá monhang 3 Ouvos de gallª çapucaia rupiá. 4 Ouvos de peixe. pirá rupiá 5 Ouvo qlq͡ r . çupiá com o nome do passaro ou animal 6 Ouvos por. açupiá mombór. vul oimbór [oimombor] çupiá. 7 Ouriço de castanha. castanha rurú. 8 Ourina. tý. v carúca v carucába. 9 Ourinar. acarúc. 10 Ourinol. ty urú. carucába. 11 Ouro. itá júba.

[folio 30 recto – 2° col.]

12 13

14 15 16 17 18 19 20 21 22

Ou. Outeiro. ybytýra. Outra vez. be. benhé. posto no fim do verbo. ecoaĩbenhé (vá de novo!’) [|] erurbé amó [‘traga isso outra vez!’]. Outro mais. amó abé v amobé. Outro ou outra pessoa. amó. amoäé. Outro dia e naõ hoje. erimbaé, falldo [fallando] do passado. porem [|] do futuro se diz. amó ára pupé. Outro tanto, da mesma maneira äé iabe. Ouvido. apyça. Ouvidos dar, ou pôr se a ouvir aiepyçacá. recé. Ouvir como quer. acendúb. vul. acendú. Ouvidos jande apyçá. Ovaosinho [o vaõsinho], ou aquella parte funda que temos no meio do [|] peito. jandé nhyõ [nhyã].


212


213 [folio 30 verso – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43

Pa. Pacer o animal. acarú. ambae ú. paciencia. toçánga. paciencia ter. xeroçánga. Pacifico. nheraneým. Pacificar. amonhyrõ. Paços. ocuçú eté [‘casas muito grandes’]. Pacoval. pacotýba. Paladar. aieopyaia. Top. Pacifico ser. aicó nhote. Padecer aporará. Padeira. Padeiro. miapé monhangára. Padrasto. cyména. alii: xepaia recobiára v xemaia [|] ména. Padre demissa. paì abaré. alii só: abaré. Padrinho da [de] pia paiangába. Paga de algu͡ a cousa. cepý. Pagamento de gente. xeporepý. Pagaõ. cerokipyreýma v cereýma rel. tereýma. abs. Pagar o comprado. acepymeeng çupé. alii. amocepy [|] aporepymeeng. pagar gente. Pagem que serve em casa. rerecoára. Pay. tuba. vul. paia. xepaia Pay que foy. tugoéra. paiagoéra. Paixão. v. paxaõ. Passagem. via. pé. copixába rapé. tába rapé. etʒ. Painel. quatiaçába v coatiaçába. = áva [coatiaçáva]. palavra. nheénga. Palador [paladar]. aceiopyáia. Top. alii: jande cuánha. [v. 8 paladar. aieopyaia. Top] Palavrada. nheénga poxí. Palavreiro ser. anheengeté. Palha. caapĩĩ tininga Palpitar. atitíc. Palhagem. caapĩĩ tining atýra. Palma da maõ. po apytéra [pytéra]. iande pytéra. xepopytéra Palmada. pó petéca. id naõ maõ Palmada dar. apopetéc. apetéc. dar palmaõ. Palmatoria. popetecába=ava [popetecáva] Palmeira. pindova. cuja fruta he: inaja. ha pindóva [|] úna, pindovareté, ha (pindova) ubuçú etʒ. Palmito. inajá roã: çoã. rel. Palmito que se come. inajá ybuá alii: inajá röã. Palrar. anheeng v anheenheeng e he mais proprio. Palraria. nheenheenga. Palratorio. nheengába. Panella nhaé [nhaẽ] pepo. alii: iapepó. Panella de cobre itanhäé [itanhaẽ] pepó. alii: nhaé [nhaẽ] pepó itá [|] çuí goára.

[folio 30 verso – 2° col.]

44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 67 68 69 70 71 72 73 74

75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86

Pa. Panno. panna. aóba. isto he vestido. palpar v. apalpar. panninho. panna mirí. Panno de linho. panneté. Panno pintado. panna pinima. Pao. ybyrá. Pao pintado. ybyra pinima. Paõ. miapé. xeremiapé. Papagayo. paragoá. piragoara dicit: ahúd. Pappar. devorare. amocón. vi. in fine p. Papas de comer. mingaú. Papeira doença. curucába pungá. Papel. papéra. Papo. aia. Papo ter. xeái. xe ai uçú. sendo grande. Par de qlq͡ r cousa. mocoĩ. Para. prep. dativo. çupé. rel. a pra e 2ª pessoa bó [|] v be. ut: ixebe v ixébo. ndebo, ndébe. Para bens dar. xerorý catú. Parabola. morandúba. Parafusar. aipyámonghetá. Paragem. tecóçába. v tendába. xerecoçába. Paraiso. ybacatorýba. Para que? mbaerama täé? Parar. apytá. N. Parar. act. amopytá v amomytá. Parceira = ro [parceiro]. xeirumogoára v ixeirunamo goára [|] v xecamarára vulgo. xerapixára. Parda cousa. mbäé pytánga. Parecer. ou enxergarse. aiecuáb. Parecer. ou assimilharse se cobäé nungára. aé nun=[|]gára. ut: acepiac nungára, parece que tenho [|] visto. i paya nungára v i paya iavé catú. [|] parece se com seu pay. Parede. ybyoca. paredinha. ybyoca mirí. Parelha. iavé catú. Parente por consaquinidade [consanguinidade]. anameté. xeruguy çuí [|] goára. Parente so de naçaõ. anáma. Parida, mer [molher] que pario. membyraripýra. membyraçára. Parir. xemembyrar. querer parir, estar pª parir, [|] xemembyracý Parir gemeos. xemembý mocoĩ. Parlesia. [Bluteau: parlezia, variante: paralisia] Parola. nheénga pucú. v mongetaçába pucú. Parte de algu͡ a cousa. acicoéra v pecemcoéra. parte peqna acicoera mirí. etʒ. parte, lugar ut: em qʒ lugar està. mametäé cecoi unde [|] lugar: mamé


214


215 [folio 31 recto – 1° col.]

87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98

99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129

Pa. Parte, aviso. morandúba. Parteira. pitánga. tayna reitycára [pitánga reitycára (vel) tayna reitycára]. Top. pitamoaçára Participar. Partida cousa. mbäé mondokipýra. Partidor. mondocára. se he com faca. Partir com faca. amondóc. Partir pelo meio com a faca. amondóc ipytéra rupí. Partir sem faca, ou rachar. amböí. Partir do ponto. aiepabóc. vul.=vóc [aiepavóc]. Partir do que tenho com alguem sendo de comer. aiopói. Paschoa. mutüúgoaçú v areté. Pasmar. acanhé canhem [acanhecanhém] Top. xeputupáb v anhemo [|] putupáb. porem estes dous verbos naõ se uzaõ no [|] d° sentido. Passo a passo. megué megué. vul. mevé mevé. Passador, o que passa. vataçára Passagem. via. pé. Passar. ir passando. açaçáo: passar o rio aygaçao (a-yg-açao / eu rio passar / ‘passei o rio’) Passar o tempo. oçaçáo ara. Passar a frecha. oçaçáo uúba. Passar o inverno. açaçáo amána ara. Passarinho. guyra mirí. Passaro. guyrá v guirá. Passear. avatávatá. Passeio. uataçáva mirí. Passadouro. iebyiebyçába Passear. aiebyiebýr. Passeador jebyiebyçára Passar por diante de alguem sem saudalo, querendolhe [|] mal. aipynecoáo. Pastar o gado. tapiira ocarú. v ombaöú [ombäeú] Pasto. tembiú. Pastor. çoómimbába rerecoára. Pata. ipeca cunhã. Patarata. patarateiro. apyába iereragoaindára Patear amoteapú. Pateiro, que guarda os patos. ipéca rerecoára. Pateiro ou frade leigo. paí apína. Pastar o gado. act: amongarü aiopói. Pasto do gado caruába v tembiú. Pato. ipéca apyába. Patria. tetáma. xeretáma Patrimonio que deou [deu] o pay vivendo, ou qlq͡ r cousa. xe [|] paia mbäé coéra. xe paia potábacoéra. Pavez. guaracapá. Paxaõ agastamento. nhemoyrõ Paxaõ ter ou tomar. anhemoyrõ

[folio 31 recto – 2° col.]

130 131 132 133 134 135 136 137 138 139

Pa. Paixaõ de tristeza tecotemé. xeanghecoaíba. Paixaõ ter assim. xeanghecoaib. v aicó temé. paz e qlq͡ r quietaçaõ. tecó catú. paz fazer. amonhyrõ. parte do corpo ou membro delle mbäé. ut: mbaepé erenhy=[|]mbo. em que parte o frechaste? para onde foy? motus ad locum v per locum. marupitäé? para outra parte. cocotý. Para outra parte do rio. çobaindava cotý. vul. para cima. ybaté cotý. para traz takicoéra cotý. para diante. tenonde cotý.

Pe. Pe. py. pe de banco meza. tetymá [tetymã]. ut: apycába retýmá [retymã]. 3 pe de arvore. ybyráypý. 4 pe de copo[,] pucaro etʒ çopytá. 5 peca cousa. mbaé aíba. 6 peça de qlq͡ r cousa. mbäé. 7 peça de panno. panna mamána. 8 peccadaço. tecó aíbuçú v teco angaipába uçú 9 peccadinho. tecó angaipába mirí. 10 peccado. angaipába v tecoángaipába. pª mortal adde [|] no fim: uçú. pª venial: mirí. 11 peccador qlq͡ r angaipabóra v angaipába itʒ [item] peccatrix. 12 peccar. anhemoangaipáb v aicó angaipab. N. aiaby, aimo[|]marã Tupã nheénga. mbaé [|] poxi rece aicó 13 peçonha qlq͡ r. mbäé aiba. 14 pedacinho. acicoéra mirí v pecemcoera. 15 pedaço. acicoéra, pecemcoéra. 16 pedaço. ha dudum. oy ibé. v jeibé. 17 Pederneira. itá úna. 18 Pedidor – ora [pedidora]. jerureçára. 19 Pedir. aierure. çupé. 20 Pedir esmola. aierure tupã recé, v tupã potáva. 21 Pedra. itá. grlmte 22 Pedra marmore e toda outra branca. itá tinga 23 Pedra de affiar. itaký. 24 Pedra hume itäẽ. 25 Pedra ou saraiva. y ãtã. 26 Pedra pretiosa [preciosa] itá catú eté. 27 Pedra de beiço. metára. a comprida: metára apöã. do [|] beiço de cima. apoãtĩ. 28 Pedra pomes. ita bebyia. itá veýia [vevýia]. 29 pedradas dar. aiapí. freqʒ aiapijapi e tambem quer [|] dizer, acertar ao que se atira ou com pedra, ou [|] com outra cousa, como naõ seja de ponta, e que [|] passe, aindaque seja frecha, que naõ passa. ut [|] pachicú xeiapi. Fraco me deou [deo] mas naõ entrou. 29[sic] pedra que se poem de baixo da panella ou forno. itá [|] curúba e o lugar, aonde ha. itá curúba týba. 30 pedreira itá tyba. 1 2


216


217 [folio 31 verso – 1° col.]

31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52

53 54 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72

Pe. Pedregulho itá curúbi. Pedreiro. itá monhangara Pedrouço. itá atýra Pegada, o rasto do que tem. pypóra. Pegado ou perto. tobaké. Pegar de alguem. apycýc. a Pegar com grude. amoiar. a. Pegar fogo. oiepotar tatá. Pegadiça cousa. mbäé pamong. v. [vide] visco. Pegarse ou estar pegado. aiár. Pegarse ou cozerse com a parede como dizẽ. anhemoiar=recé Pego. paraná ẽ goaçú. id est pelagus. Pejada, ou prenhe. cunhã muruabóra. Pejado estar o lugar, caixa. xepór. ipór. rel. iporuán ja está cheo Pejar ou occupar. amopór. a. Pejarse verecundari. anhemotím. Pejo ter de alguem. atĩ çuí. atĩ nde çui. tenho pejo [|] de ti. apouçú. Peidar. pedo. apynõ. Perdo [peido]. pynõ. Pejor [peor] cousa. mbäé aibeté. mbäé poxí eté. [veja-se o número 98] Peito. mutiá. xeputiá. Cate: potiá Peito por aquella parte mais funda entre as tetas. tacapé. [|] ut: xeracapé. çacapé rel. – aquelle pqno vao [vaõ] no [|] meio dello [delle]: nhyã. v pyçoã Top. o bico da teta: cáma [|] rapecoái. Peitos por mamas. cáma. Peito do pe. pý cupé. Peixe. pirá. peixinho. pirá mirí. Peixe boy. ygoaragoá. Peixe eixa ou eixada. parú peixe pescada. goatucupá. peixe tainha. paratí. pelar outro. aiabóc. isso he tirar os cabellos da cabeça. Pelarse assim. anheiabóc [aieabóc]. N. Pelarse por si ou pelado estar de cabeça. xeacúi. forte: xeabacúi. Pelejar. maramonhánga. pela manhaã. coem v coemaramé. pelar como leitaõ, gallª [gallinha] etʒ açaboóc. Pelejar. amaramonhang. pelle em quanto esta no corpo. píra. fora delle: piréra. pellejar no sentido ordrio [ordinario] de reprehender. aiacáo. aiangáo. [|] v aiáo. pelo qualqr, excepto o hum de cabeça. çába. v çáva. pelo de cabeça ou corpo humano. aba[.] iaba rel. pelo como de panno. çabiiú. v çovír.

[folio 31 verso – 2° col.]

73 74 75 76 77 78

79 80 81 82 83 84 85 86 87

88 89 90 91 92 93 94 95 96

97 98 99 100 101

102 103 104 105 106 107 108 109 110

Pe. penna das aves, a miuda: çaba. das azas: pepó. penna ter o passaro. xeráb. nderáb. çab. rel. pena interior padecer por algu͡ a cousa. xeanghecoaíb. pena causar. amoanghecoaíb. Penar. v. padecer. Penacho. acánga potýra. os que ccostumaõ trazer os [|] Tapujas novos. acangatára. podera suprir a voz: coröa Pendente cousa. iaticopýra. Pendentes das orelhas. nambipóra. Pendente estar. aiaticó. Penedo. itá. itá goaçú. Peneira. urù péma [urupéma]. Peneirada farª [farinha]. mogoabipýra [mõgoabipýra]. Peneirar. ai= [aimõgoàb] v amõgoàb Penetrar, entrar mto dentro. aikè catù. Penitencia fazer dos seus peccados. acepýmeéng xerecè [|] reangaipagoéra [angaipagoéra] recé. v xeangaipagoéra recé. Pensamento. pyá monghetaçába. Penitente, ou que se confessa. nhemombeuçára. Pensamento ter ou dizer no pensmto [pensamento] aipyámonghetá, [|] çecé. tive pensamento della. Pensamentos torpes ter. xemaenduapoxí. Pensar, cuidar. aipyámonghetá. Pentear a outro. aiemöacapýc. v aiacapýc.a. Pentear se. aieacapýc. Pentem. kygoába. alii kyvába. pentem dos homens: [|] jande racoanhypý. das meres [molheres] tamatiã ypý. Pentelhos. jande rabypý [‘nossos pentelhos’]. cunhã rabypý [‘pentelhos da mulher´]. apyába rabypý [´pentelhos do homem´]. Pegada. py póra. Peor cousa. aíba pyrý. poxí pyrý. peqna cousa. mbäé mirí. pera, ou: por causa, por amor. recé. ut: nde recé [|] aporará. padeço por amor de ti. pera. ad v in. cum motu ad locū, et etiā cū statu [|] in loco. pe v me. ut: perge ad pagum, domū tuam: [|] ecoaĩ nde rócupe [róc-upe] (´vá para sua casa!´). ecoaĩ tape (´vá para a aldeia!´). ecoaĩ paranáme (´vá para o rio!´). [|] cum statu in loco: epytá nde rocupe, tápe. [|] fica na casa, aldea. Pª sempre. auieramanhè. pª ca. ike cocoty [coty]. v kymongotý. Pª cima. ybaté cotý. Pª la. amongotý. v uimongotý alii: uincotý. Pª fora. ocára cotý. v ocárpe. Pª traz. iakicoéra cotý. Pª diante. tenondé cotý. Pª o diante. irã. corí. vul amo ára pupé. Perceber. acendúb v acendú.


218


219 [folio 32 recto – 1° col.] Pe. Perdam. nhyrõ. nhirõ. Perder. amocanhem. a. Perder o caminho. xeropar. Perder as cores. xerobajúb. Perderse. acanhem. v amanó, qdo sgfca morrer. Perderse de memoria, ou de vista. cacanhem [acanhem] çuí. ut: [|] ocanhem igára xe çuí. perdei [perdi] a canoa de vista. v perdei [perdi] smpl [simpliciter] 117 Perderse ou andar perdido o caminhante. xeropár. freqʒ [|] xeroparopár. fazer perse [perderse] a outro. a. aimopar 118 Perdoar. xenhirõ v xenhyrõ. 119 Perecer. apáb. acanhem. apapáb v apapau freqʒ 120 Perecer a fome. ambyacý. N. 121 Peregrino. atára. vul. vataçára. 122 Peregrinar. agoatã [agoatá]vul. auatá. 123 Perfazer. amoauje. catú. perfeiçoar nos costumes: [|] amoangaturãgatú. a. 124 Perfeita cousa. mbäé catú. mbäé catú eté. mbäé auié [|] catú. 125 Perfeitamente estar. auié catu. 126 Perfumar. amotimbor. 127 Perfumarse. anhemotimbor. 128 Perfumes. nhemotimboçába. 129 Pergunta. poranduçába. 130 Perguntar. aporandúb. vul. = dù [aporandù]. çupè personæ, quæ interrogatur. recé rei de qua interrogatʒ [interrogatur] 131 Perguntador. poranduçára. 132 Perjudicar. nití catú ixébo. 133 Perjurar. acenoĩ tupã iereragoáia rupi, v çupí yma [|] rupí. 134 Perlongar. amopucú. v amomucú. 135 Permanecer. aicó eté. v. durar. 136 Permittir. cemimotára rupí. rel. v.g. permito a pedro [|] ir a sua roça: toçó peró copixápe cemimotára [xeremimotára] [|] rupi. v toporacár cemimotara [xeremimotara] etʒ v amoryb per=[|]mitir, consentindo explicitè. forte: aimboryb, quæ vox toties occurrit in examine confessionis. 137 Permittir dissimulando. acepiac. juxta arte [artem]: acepiakĩ 138 Permudar. acecobiár. 139 Permudarse. icet permutar. aieiý. v acém. çuí. 140 Perna. tetýma [tetymã]. ut: xeretýma [xeretymã]. curva delle [della]. andaguýra xeretyma [xeretymã] omanomanó. modus loqdi [loquendi]. das bein ist mir eingeschläfferet. [Grafia alemã antiga que significa: ‘A perna me adormeceu]. ita dicit v.g. mulier de marito absente ejs [ejus] rdtū [redditum] augurans. 141 Pernear. apyrang. alii. apyrón. 142 Per onde, quamobrem. ceeçápe, vul. äé recé. 143 Pernicioso. v. mao. 144 Perpetuamente. aujeramanhé. 145 Perpetuar. amoaujeramanhé. 146 Perpetuo ser. aujeramanhé aicó. 146/7 [sic] Perreiro. iagoára. mocẽbára v iagoára moçupára 111 112 113 114 115 116

[folio 32 recto – 2° col.]

148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159

160 161 162 163 164

165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185

[Bluteau: Perreiro. Em algumas Igrejas de Portugal, & Castella, he o que tem cuidado de lançar os perros fora da Igreja. canum expulsor]

186

147 Persequir [perseguir] como quer qʒ seja aicó. recé. ut: tenhe [|] eicó xe recé. naõ me persegues [persigas]

187

Pe. Perseverar. napoíri. v niti apoir. v deiranhe apoir. Persinar se. amonhang santa cruz. Personagem. ába [abá] moacára. abá reté. Persuadir. amongheta catú. Persuadirse. amoáng eté Pertencer. igoára. v.g. Tupã okigoára. mortigur igoára [|] pertence a igreja, a mortigura. Pertender. apotar. Pertinacia. morerobiareýma. Pertinaz ser. naxeporerobiari. abs.[absolutè] v nitíarobiar vul. Pertinaz ser porerobiareyma. Perto, naõ longe. iké nhóte. Perto ou estar perto. ou venho de perto. ou está perto [|] de mim. nití apecatú. v nití apecatú aiur. iké [|] nhóte cecoi. v xerobaké cecói. Perto estar de fazer, dizer. mirí nhóte ovatar nití [|] amonhang. mirí nhóte ovatar, nití aiucá. etʒ. Pertubar. amoaiú. aporomoaiú. abs. Pertubador. moaiuçára. poromoaiuçára. Pertubar se. anhemoaiú. vul. xepyáiba Perversa cousa. mbäé poxí v [mbäé] aíba. assim: abá poxí [‘homem perverso’] [|] abá aibeté [‘homem muito perverso’]. Pesada cousa. mbäé pocýi. v sed male, aliqui: xepocý, [|] v pocí. pesar. amoçaangáb. alii açaangáb. Pesar, dolor mboacý. Pesarme de algu͡ a cousa. aimboacý. çacý ixebo alii: [|] aimoacý. Pescada. goatucupá. Pescado grlmte. pirá. Pescador de rede pyça itycára Pescador de linha. pindaitycára. Pescar com a rede apyçaitýc Pescar com a linha. apyndaitýc. Pescar com a rede peqna ou frecha. aieporacár. Pescador deste modo. jeporacaçára. o mesmo que mariscar. Pescoso [pescoço]. ajúra. de qlq͡ r animal. ajúra mirí. Pesinho. çaangába mirí. Peso. balanza [balança] mbäé raangaba çaangába rel. Pespegar. anupã. Pespontar amoybýc. Pesqueira. pirá týba. Pesquiscar [pesquisar]. aporandúporandú. Pesquiça [pesquisa] poranduçába Pessima cousa. se he em costumes angaipabeté. no physico: [|] mbäé aibeté. poxí eté. Pessimo ser em costumes ou no moral xeangaipabeté. Pessimo ser in phisico xeaibeté xepoxíxeeté.


220


221

188 189 190 191 192 193

[folio 32 verso – 1° col.]

[folio 32 verso – 2° col.]

Pe. Pi. Pessoa abá. Peste. morapitiçába Pestifera cousa. mbäé morapitiçába Peticaõ [petição]. jerureçába. Pevide qlq͡ r . çaýnha Pegas. vatá möabäiçába [´impedimento de andar´. No

Pi. 35 Pincel de coiar [caiar]. coatiaçabuçú. 36 Pinga [pingo] de agoa. ytykyra. yty kyra. yty kyra mirí. 37 Pingar. atykýr. 38 Pinotes ou couces. pyrungába. 39 Pintada cousa. mbäé coatiaripýra. icoatiaripýra rel. 40 Pintor como quer. acoatiár. 41 Pintor. coatiaçára. 42 Pintas ter. xepinim. xepinipenim. 43 Pinto de gallª [gallinha] çapucáia membýra. 44 Piolho qlq͡ r ainda os de cabeça. kyba v cýva [kýva]. 45 Pipa. caoĩ rurú. 46 Pisador. çoçocára. 47 Pisar gerlmte aioçóc v açoçóc. 48 Pissa. ou membrū virile. tacoánha. 49 Piscar. innuere oculo. amomirí xereçá çupé. 50 Pisar com os pes. apyrúng. alii: apyron. PL 1 Plaina cousa. mbaé péma. 2 Plaina do carpinteiro. eoʒ [eodem] modo. 3 Planta [plantação]. mitýma xeremitýma. 4 Planta do pe. pypytéra. 5 Plantada cousa. jotympýra. 6 Plantador. jotymbára. 7 Plantar. aiotým. Po 1 Po qualqr. tuguýra. 2 Po que se levanta da terra seca. ybytimbóra. 3 Po gerlmte. cuí. ajuntando lhe a cousa de que he. ut: [|] petyma cuí [´pó de tabaco´]. moca cuí [´pólvora´]. cuí partl͡ a diz cousa [|] pisada ou feita em po. 4 Pobre. moreauçúb. xeporeauçub. sou pobre. 5 Pobre estar, ou ter necedade [necessidade]. aicó temé. recé. 6 Pobreza. mbäé eýma. moreauçúba. 7 Pobrissimo ser. xeporeauçúb eté. 8 Poço de agoa. ycoára. 9 Podar. açacamondóc. 10 Poder. acuáb. vul. Top. äé catú. naõ se uza 11 Poderoso ser amonhanguab cetá mbaé. ser todo poderoso [|] omonhánguáb opabenhe mbäé rel. quod solū de [|] Deo dicitur. 12 Podre estar ou ser. xejuc. alii: xetujú. alii xeaíb. [|] Top. atujúc. tujukipýra 13 Poeira que se levanta com o vento. ybytimbóra. 14 Poeira grlmte tuguýra. ou poente [poenta] cousa. ut: oí tuguýra [|] poente [poenta] farª [farinha]. 15 poir. vel polire, akytykytýc. e sgfca tergere. aiocýb. 16 pola. ob. äé recé. alii: ceeçápe.

dicion. Melhoramentos, pega é “braga de ferro com que se prendiam os pés dos escravos fugitivos”]

194 Pez. breu. cicãtã. 195 Pestanas dos olhos teça ába. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27

Pia da [de] agoa. yrurú. da [de] agoa benta. ycaraíba rurú. Pia de bauptizar. jeroca rendába v jorocaba [jerocaba] rendába [|] v moromongaraipába Pia cousa. mbäé angaturáma. Piadosa cousa; mbäé morauçubára. Píedade. morauçubába. Piedoso ser. aaçauçubár [açauçubár]. xeporauçubár. Piar o passaro ou qlq͡ r animal. anheeng. Picar o passaro com o bico. apixám.a. Picar, como o boy com agulhada. acotúc v aioçoc. Picar como a bespa ou lacraõ [lacrao]. aiopí. Picar o peixe o anzol. amotyc. amotytyc. freqʒ Picaro. aba poxí. Picaro de barrete. acangaóba racapýra. Picarse, ægrè ferre. aimboacý. Picarse o mar. paraná aíbã [aíba]. Piedade ter de alguem. açauçubár. amoraucùb [amorauçúb]. Pifia cousa. mbäé aíba. Pigarro. v. catarro. Pilador. çoçocára. Pilar, ou pisar no pilaõ. açoçoc. Pilar as taipas. ab aybyçoçóc. v açoçóc ybý. Pilãm de pilar. induá grlmte Pilaõ de pao. ybyra induá. o paõ [pao] com qʒ se pila: induá ména. Pilaõ de bronze. itá induá. Pilaõ com que se pilao [pilaõ] as taipas. ybyçocába. v yby=[|]çoçocába. e assim se diz tambem o soquete. Pilhar. aiöóc. çuí Pilheira [pilhéria] nuce [nugæ]. nhemoiaruçába [pilheria no sentido moderno se encontra no. B. Pereira. O autor fez confusão entre pilheira e pilhéria]

28 Piloto. jacumaúba. 29 Pimenta da india. kyynha çobaigoára. vul. çovai etʒ 30 Pimenta qlq͡ r . kyynha. tem mtas especies pouco necessá=[|]rias, salvo que hu͡ as compridas pequeninas e me=[|]dicinaes, a que chamaõ. kyynha áuí. outras [|] redondas e amarellas. kyynhái. 31 Pimentaõ. kyynhauçù. 32 Pimenteira. kyynhaúba. 33 Pimentoal kyynhatýba. 34 Pincel do pintor. coatiaçaba vulg. = áva [coatiaçáva].


222


223 [folio 33 recto – 1° col.]

17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43

44 45 46 47 48 49

50 51 52 53 54 55

Po. Pola manhaã. coem. uirandé. Pola major parte. cetá pyrý. pola qual razaõ. por isso. ceeçápe. äé recé. polegar. poacanguçú. Poleiro. çapucaia rocáia. Polita [polida] cousa. mbaé catú. poránga. polo contrario. ypycotý. polo mesmo teor. jabé tenhe. conungára. polo mesmo preço. äé cepý rupí. Polpa grlmte. çoó. piráröó. Pollucãm [polluçam]. porepúc Top. vul. mbaé poxí. Polvarinho. mocáva cuí rurú v mocacuí rurú. Polvora. mocáva cuí. vul. Pomar. temitýma. Pomba. pycacý. [ver abaixo, rola: pycaçú]. Pomareiro. temitýma rerecoára. Pomo. yba: yba piránga. Ponderar. aipyá monghetá. Ponta qlq͡ r. çacapýra. çattí. v.g. pepó çattí, v myrá çattí. ponta do [de] pao Ponta de faca. kicé racapýra. item: kicé çattí [çatĩ]. ponta fazer: mo amoçattí [amoçatĩ] Pontelete. pytaçoába. Ponte. mutá mutá. Popa da nao, e qlq͡ r embarcaçaõ. çopytá. Por. prep. recé v rí. este se naõ uza. Pôr. ainóng. o Top. diz: amoin. naõ se uza. pôr em renque o [ou] fileira. v. renque. Pôr em algum cargo aimoingo. amondé. ut: xe nde monde [|] Tubixába ráma [´eu te nomeio chefe´; literalmente, ´eu te coloco no cargo de chefe´]. Pôr de molho. amorurú. Pôr em lugar de outro. ainong cecobiáramo. v acecobiár. Pôr em maõs de outro. ainóng amó abá pópe. Pôr em paz. anhonongatú. Pôr ahi algures. coipe. ut: oçó coipe. foy por ahi algures. Pôr a gallª [gallinha] o [ou] qlq͡ r ave. aiupiãmombor [aiupiámombor]. v açupiãmombor [açupiamombor]. [a forma correta está em ´gema de ovo´. çupià juba]. Por a maõ. aipöé [aipoẽ]. por agora. coýr. por aquella parte. aépe, e cum motu perlocū: äé rupí. Por detraz. cupé cotý v cupé rupí. segdo o verbo sive ou [|] moto sive se s estiver no loco. cupépe. xecupépe Por comprimento. möanga. Por ventura. jpó, presumindo. e sgfca tambem: na verdade. [|] ut: anhemombeu ipó corí, pai recoreme [‘me confessarer’ certamente logo quando tiver hum padre]. – além [|] de ipó tambem se diz: aruaneým. 2° assenta melhor [|] ou ut o pede a composiçao das palavras. ut: aruaneym [|] our uán v oúr ipó. que sigfca o mesmo, que: talvez [|] veyo, ou veyo por ventura

[folio 33 recto – 2° col.] Po. 56 Porfiar. nití arobiar v naxeporerobiári 57 Por onde, cum motu per locum. marupitäé. cum motu [|] ad locum. umámepe. vul. mametaé oçó. 58 Por la. por onde tu estas, ou por essa pte. äé rupí. 59 Por cima. aríbo. alii. aripe cum statu in loco. ara [|] rupí. cum motu per locum. 60 Por baixo. guyrybo. guyra rupí, qdo sgfca movimento [|] o pro he cum quiete, utí etiā guyrpe. 61 Por de mais. frustra. tenhé. 62 Por isso. emonanamo. vul. äé recé v aipó recé v ceeçápe 63 Por mais que. adv. jepé ut: acenoĩ iepé. por mais que eu [|] o chamáva [chamasse]. 64 Porca. taiaçú cunhã. porco. taiaçú apyába. 65 Porco manso. taiaçú goáia 66 Porco do matto. taiaçú eté. 67 Porco bravo. taiaçú iarõ. 68 Porco peqno que destroe as roças. taytetú. 69 Porco castrado. taiaçú rapiaokipýra ou çapiäoki= [|] pýra. rel 70 Porque? porqʒ [porque] causa? maranamope. vul. mbäé recetäé? 71 Porqueiro. taiaçú rerecoára. 72 Pôr se, entrometterse. anhemondé. 73 Pôr se, deitar se. anhenong v anhepyçõ [anhepyçó]. 74 pôr se o sol. coaracý canhem. v ocanhem coaracý 75 Porta. okéna. gde okéna uçú. 76 por tanto. aé recé v ceéçápe. ideo 77 Porteiro. okena rerecoára. 78 Porto. ygarupába. 79 Possessor. cerecoára. 80 Possuir. arecó. 81 Posta de carne. çöó acicoéra. postinha. mirí. 82 Posta do partido. acicoéra. pecemcoéra. 83 Postema. pungá. 84 Posto ou sitio. copixába. aba recoçaba 85 Postrarse [prostrarse], entregarse. anhemeeng. 86 Postrarse [prostrarse], prosternere. anhenong ybýpe. 87 Posturas do rosto das mlres [molheres]. tobá poçanga. 88 Posturas por a outro. açoba poçanong. 89 posturas desta casta polas em si. aiobá poçanóng 90 Pote qlq͡ r. camucí v camutí. 91 Pote em que fazem suas vinhaças. ygaçába 92 Potra. hernia. çapiágoaçú. rel. padecela. xerapiágoaçú 93 Pôr se em fileira. aieurung. aiecicirúng 94 Por a outros. amoiecirúng. amoiecicirung. v. acecirung 95 pouca cousa. mbaé mirí. pouco ha coritéi v coýr. 96 pouco a pouco. mevé mevé. 97 Poucas vezes. amoramé. 98 pouco tempo. coritéigoaráma v coritéi goárama.


224


225 [folio 33 verso – 1° col.] Po. Pr. 99 pouco em quantidde. mirí. 101 [sic] pouco em numero. nacetay. niti cetá. 102 Povoaçaõ tába 103 Povoar de novo. atamonhang. amonhang tába. 104 Povoador. tába monhangára. 105 Poupador. abá recateyma. 106 Poupar. xerecateým. 107 Pousada do caminhante. mytaçába v tupába. 108 pousada dar amopytá v amomytá. 109 pousar o caminhante apytá recé v.g. apytá pacicú recé [´pouso com Francisco´]. 1 2 3

Praça ou lugar forte mocabóca. Praça terreiro ocapytéra. Prado nhym [nhúm] itʒ campo. [v. Campo, campina. nhúm] 4 prado. herva. caapiĩ. 5 Praya ybycuí 6 Prata. ita jutinga. 7 pratica. poromonghetaçába. 8 Praticar. abs. aporomonghetà. itʒ [item] pratica fazer. 9 Praticar com alguem amonghetá çupé. 10 Prato. nhaẽ. nhaẽ péba. vul. pratú. 11 Prazer torýba. ut: xerorýba. 12 Prea. præda xeremiára. cemiára. rel. alii: cembiára [Bluteau: Prea. Presa] 13 Prear. apycýc. v apycyrõ. 14 Precatar a outro. Amoçacuí. çuí. 15 Precatarse. sibi cavere. anhemoçácuí: çuí 16 preceder. aço renondé v ianondé 17 preceito. teco monhangába. 18 preciosa cousa. mbaé ete, catú eté. 19 preço de alguma cousa. cepý. rel. 20 prefeito de qlq͡ r cousa. mbaé rerecoára, pondo atraz [|] a cousa da qual he prefeito. 21 pregar o pregador. v. praticar cū reliquis. 22 pregam moçapucaitára. 23 pregoar. amoçapucái 24 pregar o prego. aiaticá ita pyvá v itá pygoá Cate. 24 [sic] pregado na cruz vg. imoiaripyroéra. Cat. pag. 90 26 prego. ita pyva. 27 preguiça. ateýma. 28 prequiça [preguiça] ter. xeateým. 29 prequiceraõ [preguiceraõ] aba ateým uçú. nde aba ateým uçù [‘você é preguicerão’]. et [|] iateym uçú [‘ele é preguicerão’]. etʒ 30 premiar. acepymeéng. 31 premio. cepý. 32 prenhe ser ou estar. xepuruá v puruabóra. ut: cunhã [|] muruabora [‘mulher grávida’] 33 prender, pondo na cadea. amondó itá pupé. 34 prender pelo pe ou pescoso [pescoço] como animal, paraque

[folio 33 verso – 2° col.] 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58

59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74

Naõ fuga [fuja] aiapotí alii: apocoár. prensa de espremer. cambiacába [cambicába] prensar assim. acambíc. preparaçaõ. nhemoçacuiçába. preparar. fazer prestes por algũ hospede. anhemoçacuí. [|] anhemoçainan. recé. preparar em outro sentido como o comer etʒ amocatyrõ etʒ prepor. amombeu. çupé. præpucio. apíra. Cate. fol. 120. iapira mondokí. preza na caça ou guerra. tembiara. xerembiára. presenciar. acepiac. v acendub.| ouvir sgdo o sentido da oraçaõ. presencialmente. tobacke [tobaké]. xerobaké. presencial remedio. poçánga catú eté. presente potáva. potava miri. presentinho. presente estar. xerobaké. ut: çobake aicó aeremè. eu [|] entaõ lhe estava presente. presentear. ameéng potába. apotameeng. preservar. apycyrõ. livrar. preservar, guardar bem. ainongatú. presidente. tubixába. presedir. tubixabamo aicó. preso na cadea. imondebapýra [imondepipýra]. vul. mondepora v teco=[|]aíbóra. preso estar em ferros. ità recè aicò pressa. tanhé. ut: xeranhé. xeranhé ranhé. freqʒ tenho [|] pressa. idem pressa ter prestar, ser bom. icatú. rel. prestes fazer pª o caminhante, ou que ha de vir, e se [|] espera. anhemoçainan. anhemoçacuí. recé. [“prestes” = ´preparativos’] prestimo ter por alguma cousa. icatú mbaé ráma. [|] ut: co caá icatú nde poçanga ráma. presumir. amoang. presumir como superbo [soberbo]. aierobiar xeioecé. presumçaõ. jerobiara. jerobiaçába. presumtuoso. jerobiaçára. preta cousa. úna. alii: pixúna. preto ser. xerún. çún. alii ipixún rel. preto homem. aba úna. vul. tapanhúna. valet idem [|] ac. tapyyúna. tapanhúna miri. prevalecer. aimoçaçái. vul amoçaçái. prevedor [provedor]. cerecoára prevenir. anhemoçacuí. anhemoçainan. recé. prever. oar xe pyape. preser [prezar]. aimoete. prezar se. anhemoeté. mto: catú. prezada cousa. imoetepýra. prima ou irmaã. xe amó. ou fª [filha] da sua tia, o [ou] do seu tio. [|] assim vul hu͡ a mer [molher] chama a sua irmaã ou prima.


226


227 [folio 34 recto – 1° col.] Pr. 75 Primo a dª mer [molher] chama, xecyýra. e assim tambem os ir=[|]maõs 76 Prima e irmaãs o homem chama xerendýra 77 Primo e irmaos o mesmo os chama. xemũ. 78 Primeiro pay. iande rubypý v iande paia ypý. 79 Primeiro grlmte ypý. ita etiam principio 80 Primeiro dos dois. xerenondé igoára. 81 Principal sobre os outros. Tubixába. principal sobre os [|] outros principais. morobixaba. 82 Principiar. aiypyrung. 83 Prior dos religiosos. abaré v pai goaçú 84 Prior de officio. goaçú ou rerecoára pondolhe atraz [|] o officio. ut: ybyrarerecoára uçú. igararerecoára. 85 Prisaõ. monde róca v mondepora roca. Cate: mondé. 86 Privar do officio. aieioóc. aioóc cecó. 87 Privar a alguem de alguma cousa. aiöóc mbäé abá çuí [|] aioóc kice nde çuí [‘tirei de você a faca’]. 88 Privarse de alguma cousa. ameèng aé mbäé. v amombór. 89 Proa de qlq͡ r embarcaçaõ. Tĩ. ygatĩ v yatim 1º he pprio [proprio], [|] et e quer dizer: nariz da canoa. proeiro: ygatĩýba . 90 Proceder ou nascer. aár çuí. 91 Proceder bem, viver bem. aicó catú 92 Procedimento, ou bons costumes. angaturáma. 93 Procurador. cerecoára. ut: pai etá aóbúna rerecoára [‘procuradores dos padres de hábitos pretos’] 94 Procurar ai= [aimocuàr] v amocuàr. procurar, id est ter cuidado, [|] reddi potest per ucar vid. lib. fol. 5. ver. 5. 95 Procissaõ. tupa [tupã]. rerovatá. 96 Procissaõ fazer. oro tupã rerovatá v jebyiebý çába rupí. 97 Prolixamente. mucú v mucueté. 98 Prolixo ser em fallar. aporomonghetá pucú 99 Prohibir. amoabaib. a 101 [sic] Prolongar. amopucú v amomucú. a. 102 Promover. 103 Promulgar. aicuab ucar. vul. acuáb ucár. amoçapucái. 104 Pronosticar. anhandúb. anhemopaié. 105 Pronunciar como o que he. açaáng. 106 Promptamente. coritéi. eçapyá. çapyá. 107 Propagar a generaçaõ [geração] aporamonhang. 108 Propagar fazer saber a varios aicuáb ucar. amombeú=[|]beu 109 Propor com razoens. amoin. inusit. 110 Ppriamente [propriamente]. jabé catú. ut: xe nde rereco xe raýra iabé [|] catú. vul. iavé [‘eu te tenho como verdadeiro filho’]. 111 Ppria [propria] cousa eté. xembäé eté 112 Proprio no sentido no que dizemos elle pprio [proprio]. äé ut: [|] xe äé aço. eu proprio, eu mesmo fui. 113 Prorogar [prorrogar]. amopucú. v amomucú. 114 Prosequir [prosseguir]. amoauié emoauié nde porabykyçaba [|] proseque [prossegue] teu trabalho. alii: amoujé.

[folio 34 recto – 2° col.]

115

116 117 118 119 120 121 122

123 124 125 126 127 128 129 130

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27

Pr Prospera cousa angaturáma. v catú v catú eté. rel [|] iangaturama. ut: nde ygara our catú eté ygapýra [|] çuí. tua canoa veyo prospera do certaõ. Prosperamente. idem. Provar como quer. açaáng Prover a outrem. ameéng çupé. Prover no sustento. aiopoi. Proverse. caveo. anhemoçacui çuí. Proverse de necessario. anhemoçainán. anhomoçacui [anhemoçacui] recé Proverse para o que está para vir ut supra ut: anhemoça[|]cui pachicú rura recé [‘eu me provi para a vinda de Francisco’]. Provimento de qlq͡ r cousa. nhemoçacuiçába. Provocar a ira. Amoirõ. amonhemoirõ. Provocar o animal, que arremetta. amonharõ. Proximo. apixára. Prudencia tecocuába. Prudente. abá tecocuab Prudente ser. xetecocuáb. ou com catú: xetecocuáb catú Prudente ser em fallar. nheentecócuáb catú. Pu Publica cousa por fama. icuabipýra. rel. Publica cousa por vista. cepiakipýra. rel. Publicamente. icatupe. Publicamente, diante da gente. tobaké. Publicar o segredo. amombeu beú. Publicar ley. atecomonhang. Pucarinho. ygoaburú miri. Pular. salto. apór freqʒ apopór Pular a arvore ou brotar. ybyra yba cenhýi. ut: [|] cenhyi uán amaniju uba [‘o algodoeiro já brotou’]. Pular como a agoa na fonte abubúr. Pulga. tymbýra. Top. tymbyruçú. alii: iagoára cýva [kýva] [‘piolho de cachorro’]. Pulpito. poromonghetaçába. Pulso. poapú. e tambem punho da camisa Punho. xepoiekendapýra. Punhada dar em alguem apoär. recé. se forem mtas [|] apoapoár. Punhal ou adaga. morocotucába. Punho da espada. pycycába Punir. arecó aíb. v arecó mará. Pureza. poxi eýma. Purga. moçanga. aiár poçanga. Purgar ameeng poçanga. v purga. Purgar se. aiar purga. Purgatorio. tatá mondycába. Bett. pag. 51. forte dicdū [dicendum] repy mondycaba Purificar. aiocýb. Purpura. aoba piránga. puta. patakéra. idem putãm. putear. aicó patakera.


228


229 [folio 34 verso – 1° col.] Pu 28 Puxar arrancando, se he herva. acapióc [açapióc]. v açapoóc: com [|] as raizes. – puxar arrancando os cabellos da [|] cabeça. apoóc ába v aiabóc. 29 Puxar. acecui [acekýi]. [ver: ‘tirar como corda’: acekyi]. 30 Puxar pela corda. aixamecýc v. aixamecúi.

[folio 34 verso – 2° col.]

1 2 3 4 5 6

Quædam quæ desiderantur in littera P. 40 Pappa gente Seu [ser] comedor de carne humana. míragoára.

7 8 9 10 11 12 13 14 15

16 17 18

19 20

21

22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35

Qua. Qua ou cà. iké Qua [cà] por esta banda. kymoncotý v cocotý. Qua [cà] mais por esta parte. kimoncotybe. cocotybé. Qual destes. umambaépe? Qualquer delles v.g. maiaveitenhe erúr. trazes qualquer Quando taõ preterito, como futuro. erimbäé. interrogando [|] se lhe ajunta a part͡ la täé ou pe. usus: baeremetäe, quando Quando quer que. mé v reme. ut: xeçoreme, quando quer [|] que eu for. Quantas vezes fizeres, dizeres [disseres]. jabé vul. javé. ut: eremon=[|]hang iavé [‘você fez igual’]. Quantas vezes. mobýpe. v mobyryitäé Quantas ou quantos em numero. mobype. Quanto mais? memeté. memetipo. memeteme. v.g. quanto [|] mais eu. meméte ixé. Quarto dianteiro, tirado do aãl. gibacoéra. Quarto trazeiro ja tirado. cetymacoéra. Que. comparat. çocé. vul. çui. Que interrogaçaõ. marãpe marandúba v marã maran=[|]dúba täé? [´quaes são as novas?´] mbaé täé erepotar? [‘o que queres?’] mbaetäé erececár? [o que procuras?’] Quebrar a boca alguem. aiurú mopén. act. Quebrado estar ou moido com dores por causa do tempo, [|] ou a mer [molher] pejada. xeracý. Quebrar, se he cousa oca como cana ou concava ou ro=[|]tonda [redonda] como cabaço pote etʒ [etiam] aiucá [aiecá]. amombóc. Quebrarse isso. aieca. N. abóc. abobócc. – si a cousa [|] he pao, vara etʒ se diz: apén. Quebradura. çapiápena. [çapiá-pén ´testículosquebrar´; parece que essa era a explicação para ´hérnia´]. Quebrarse isso por si ou estar quebrado apén. apén. apepén freqʒ [|] se he linha ou corda, amondóc amondoçóc act. – [|] quebrarse ou rebentar a linha etʒ açóc v açondóc [|] N. apenine. fut. quebrar isso por mtas partes: a=[|]mondoçoc v amoçondóc freqʒ amonoçonoçóc. a. Quecer [aquecer]. estar quente. çacú. rel. Quejo. camby atã. quejo fresco. camby atã pyçaçú Queda dar, ou derrubar. aitýc. a Queda dar, cair, aár. Quedo estar sem se bolir. aiconhote. naxeramáni [naxemaráni]. Queimar a fogo ou como o fogo. açapú. açapúçapú Queimarse como quer. acái. N. Queimar como a pimenta. xetái. tái. rel. isso he no [|] saibo. – nos olhos e outra pte . aiöõ .n. Queimador. çapuçára. Queimadura. ocái acoéra. Queixarse ou doerse. aimboacý. aimoacý. Queixarse de alguem. anheeng recé. Queixa. iande ragýba v raiyba. Queixoso estar contra alguem. anhemoyrõ çupé


230


231 [folio 35 recto – 1° col.]

36 37 38 39 40 41

42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54

55 56 57

Que. Queixa fazer de alguem. anheeng, amombeu. recé. çupé Quem. aba. interrogando: abape, abatäé. Quente cousa. çacú mbaé. rel. Quente acúba. agoa quente. yacuba Quente estar. xeracú isso he de febre. se naõ he febre, [|] se diz: xeracubór. estou quente. Quentar ou aquentar. amoacúb. v aiopé pro se diz [|] de qlq͡ r cousa. o 2º de gente. fazer aquentar: amoiopé. Quentarse ao fogo, ou ao sol. aiepeé. n. se for de outra [|] sorte. anhemoacúb v aiepé. Querer. ai = [aipotar] v apotar. Querer velhacaria com outra pessoa. anhemomotar. rece. Querer bem. açauçúb. Querer mal. aiamotareým. Questaõ. v. pergunta. Questoẽs ter com alguem anheeng recè. fre. anheenheeng. Quisà. v. por ventura. Quietar alguem. aimoapycýc. a. Quietarse intermte [interiormente]. xeapycýc. n. Quinhaõ. potába. Quinta. copixába v có Top. Quitarse da mer [molher]. aieiuráo. aieporáo xeremirecó çuí. [|] alii: xepoír. ut: nitiu xepoir ixuí: e isso he commum Quitar o casado. aiuráo. aporáo a. Quilha da embarcaçaõ. icupepéma. inusit. Quotidiana cousa. ara iabiõ ndoara. vul. ara iabé [|] igoára.

[folio 35 recto – 2° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41

Ra Raã. juí. iuicanga. huã especie de vellorios pretos. Raã grande joue. outra nos rios canta de noite cotáva. Rabanho [rebanho] çoó mimbába reyia. Rabiscar. acecár mamaipóca. Rabisco. mamaipóca. Rabo de qlq͡ r animal ou ave. çováia. ja tirada: [|] govaiacoéra [çovaiacóera] Rabugem dos daens [caens]. píra. Rabugento. agaipába [angaipába]. Ração. potáva. Racha, fenda. titíca. Rachar. amotitic. sendo rachas peqnas . Rachar. findere. amobóc. em mtas ptes: amobobóc. Racharse. atitíc. abóc. aiecá v abobóc. Rachadura. boca. Rachador. mombocára. Raya peixe goabibura v goavivýra. Rayo. v. relampago. Rayva. nhemoyrõ. Rayvar o animal. anharõ v aiarõ. n. Rayvar a pessoa. anhemoyrõ. çupé. Raiz. çapó. Raiz de de pao largo como huã taboa. çapopéma. Raizes ter ou lançar. xerapóçapò. rel. çapó. rel. tem raiz. Rala cousa como a joeira çacacánga [çaçacánga.] o mesmo se diz [|] do panno ralo. v mocanga. Ralar. akytýc. a. Ralhador. nhyac nhangaoçára Ralhar. anhangaó. Rala pª ralar. ybecé vul yecà yvecè. Ramada como pª a calma. coaracý möabaibába Rama de arvore. ybyra racapýra [racãpýra]. Ramalhete. potyra mamána. Raminho. çacánga mirí. Ramo qlq͡ r de arvore, ybyrá racã. Rançosa cousa, como manteiga, ou sabor de ranço [|] aiporomobúc v aporomobúc. Ranger. stridere. ateapú. Ranger os dentes. amokiririĩ xeranha. Ranho. ambúba alii. amúma. tiralos a si mesmo: [|] aieambuóc. a outro: aiambuóc v ambúva. Rancor. v. odio. Rapagaõ. cunumí goaçú. Rapar a navalha. rado v tondeo. anhopín. v aiopín. [|] se he rapar o cabello da cabeça humana. aiapín. Rapar. furtar. amondarõ. vul xemondá. aliis placet [|] amondá.


232


233 [folio 35 verso – 1° col.]

42 43 44 45 46 47 48 49 50

51

52

53

1 2 3 4 5 6

7 8 9 10 11 12 13

14 15

16 17 18

Ra. Re. Rapariga te [té aos] 12 annos. cunhã teí. Cat. cunhã tai Rapaz. curumi v cunumí. Raposinhos. fedor. catinga. feder assim. xecatíng. Raposa avará v iagoapytánga. Raramente. amoramé. Raspar. anhopin. aiopin. Rasgar. amondaróc. amboí. Rasto de tetudo [tudo] o que tem pes. pypóra. Rasto do que não tem pes. cuapagoéra. ut: boia cua=[|]pagoéra v boia rape [‘rasto de cobra v caminho de cobra’] Rato goabirú. goavirú. ha varias castas. çaboiá [|] v çavoia outros. aturá. hum e outro andaõ pelos [|] mattos. e dto çaboia chamaõ tambē: goavirú goaçú Ratoeira, com que os mataõ. goavirú rupiára: qual [|] palavra he commum a todo o instrumento, com [|] que se mata ou toma algu͡ a cousa. ut: goavirú [|] rupiára. có xe mbaeacý xe rupiáramo oicó [‘esta minha doença é a minha ratoeira, ou seja, me pegou’]. Razaõ ter. no que diz. çupí. ut: çupí äé v anheracó [|] assim he como dizes. Re Rebanho de gado. mimbabetá. Rebate ou nova. morandúba. Rebatar [‘arrebatar’]. apycyrõ. Rebate do inimigo. nhemoajú. Rebate dar a alguem de que passa. amomorandub. Rabater [rebater] razoẽns. aipypyc abá nheenga. tenhé eipy=[|]pýc xenheenga [‘não rebatas minhas palavras’]. oipypýc xenheenga [‘ele rebateu minhas palavras’]. Rebentar. abóc. se he em varias ptes : abobóc Rebocar as paredes. amotuüm. Reboliço. nhemoaju v sine i. Reboliço fazer estorvando a outro. aimoaiu. apo=[|] romoaiú. abs. Rebolo de pao. ybyrabáca. Rebolo de pedra. itakybáca. Recado que se manda nheenga. ut: xh xenheenga [|] ixupé [‘meu recado para ele’]. araçó nde nheenga ixupé [‘levei a ele teu recado’]. Recado ou cobro pôr. anhemocainán [anhemoçainán]. çuí. Recatado estar, precatarse. anhemoçacuí. çuì. se sigfca [|] acautelarse de alguem. se sgfca precatarse [|] pª vinda de algum hospede, pede: recé. Recambiar. acecobiár. Recear que algum faça o que naõ deve. anhaangú. [|] recé. alii: anheangú. Receber o que se da. aiár.

[folio 35 verso – 2° col.]

19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56

Re Recebedor, em cuja maõ se deposita algu͡ a cousa [|] cerecoára. Receber mer [molher] ou marido. amendar. recé. Receberemse os noivos. onhomendar. oiomendar. Recente cousa. mbaé pyçaçú Rechaçar. amoabaíb. Recolher a semente ou fruta. aroiké. Recolher o pedido. aiár. Recolher hospedar. amomytá, amopytá. Recolher o que há de entrar por seus pes, como [|] gado. amoiké. se vem as costas. aroiké. Recolherse. aiké. Recompensa. cepý. Recompensar. amocepý. aimeeng cepyramo, çupe. [|] v aipoepýc. Reconciliar discordes. amonhyrõ. Reconciliar se com alguem. anhyrõ. çupé. alii et [|] vul. anhecamarar iirúnamo. Reconciliarse, confessando se. anhemombeu mirí Reconhecer o bem. acüáb Reconhecimento. cobe catú. Recrear. aimoeçãi v aimoapycýc. alii: amorýba. Recrearse anhemoeçãi. xeroryb. v xerory. Recordar fazer a memoria. xemaenduar. recé. Recordar meditar. aipyamongheta recé. Recorrer. aço ipýri. recorri a elle. Recostarse ou estar recostado. anhenongv anhepyçó [|] v aiub. Recoser. amimoi iebýri. Recuar a traz. atyrýc v atyrytyryc v atiritiríc [|] v aieby iebyri. Recuperar o perdido. agoacém. Recuperar o que outro tinha levado. oimeeng iebyri [|] ixébo. omoiebyri ixébo. recuperei etʒ Recusar, naõ querer. naipotari. vul. nití apotar Recusar, negar. aicüacúb. v acuacúb Rede de dormir. kyçába. Rede de pescar grlmte. pyçá. de maõ e peqna: mirí. Redemir. apycyrõ. Redemptor [redentor]. moropycyrõçara. v moropycyrõana. Redobrar. amaman iebýri. Redondear. amoapoá. Redonda cousa. mbäé apöá. Redondo ser assim. xe apöá. Redondo fazer assim. amoapoá.


234


235 [folio 36 recto – 1° col.]

57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87

88 89 90 91 92 93 94 95

Re. Refazer o caido. amocatyrõ. Refazerse. anhemocatyrõ. Refeitorio. tembiú róca. Referir. amombeu. çupé Refinar. aiocyb iebýri. Refincar. aiatica iebýri Refocillar. aiopoi. amongarú. Reforçar como hu͡ a cousa, que està pª cair, como [|] casa arvore. aipytaçoc v apytaçoc. Reformar os costumes. acecomonhang. Refrear. amoabáib. Refrescar como hum doente. amoapycýc. v amoeçãi. [|] v amorýb. Refrescar, refrigerar. amoroyçáng. Refrigerio ter, ou tomar. aputüú. Regar. acepýi. fre. acepycepýi. a. Regalar. aimocuar catu. recé. a. Regalarse. aimocuar catú xeioecé. n Regalharse. subrideo. apóca mirí. Regra das mes [molheres] v. mez. Regedor da justiça. ybyrarerecoáruçú. Regente. cerecoara. rel. Reger. aimocuar. assim tambem regalar. recé Reger na dança e musica. aimböé. aporomböé. abs. Regiaõ. yby. tetáma. Regimento. tecomonhangába. Regimento e ley dar. acecomonhang. Rey. morobixaba uçú eté. Reitor. paí goaçú Reixa, rixa. maramonhánga. Relatar. amombeú. Relaxar. soltar o amarrado. ajuráo v aiuráo. se [|] quer dizer, largar o que tinha prezo com minhas [|] maõs. apöír. Relampago. amãberaba. vul. tupáverába, tupáveráva Religioso. abaré. sendo da missa. Relogio. ara raangába. Relucente [reluzente] cousa. mbäé rendý púca. Reluzir. xerendypúc. aberáb v íaveráb. Remanecer. apytá. opytá pirá. remaneceo [remanece o] peixe. Remar. aiapucúi Remate ou fim. çacapýra.

[folio 36 recto – 2° col.]

96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114

115 116

117 118 119 120 121 122

123 124 125 126 127 128 129

Re Remar de ilharga, pª que se vire a canoa. atiár. ut: [|] petiár [‘remem!’]. Remediar. curar. apoçanong. Remedio. poçánga. Remeiro. iapucuitára Remendar. aiöó. Remendo. jooçába alii: joçava sed malè. Remendam. jaoçára. Remeter. amoiebýri. Remexer. apöúr. Remo. iapucuitába. Remoques dar. amopyçacá Remolhar. amorurú catú. Remorder. açüu çüú. Remontar cousa. mbäé apecatú. Remontarse. aiegoacém n. Remunerar. acepýmeéng. Render. amoiebýri. reddere. Render. frangi. aiecá. Render se aos inimigos. anhemeeng xerovanhaneta [|] çupé. assim tambem a mer [molher]: anhemeeng ixupé Renovar o velho, ou desmanchado. amocatyrõ. [|] amopyçaçú a. anhemopyçaçú. n. renovarse. Renque ou carreira, por em renque. acicirúng. v [|] amoiecicirúng. v amoicyrúng. por se assim, aieci=[|]rung v aiecicirung. Renuntiar [renunciar]. regeitar. aroirõ. apoír, çuí, isto he pprè [proprie] [|] largar. Repararse, defenderse. anhepycyrõ. Reparar notando. acendú catú. Repartir. amoiaóc. çupé. alii: amoieóc. amoieoióc. fre. Repassar. furar. amombúc v amopuc. Repetir, tornar a fazer dizer. benhé v benhéno. [|] no fim do verbo. ut: açobenhé. ou jebyri torno a [|] hir. advertindo, que o d° b o pronunciaõ como u [|] consoante, assim como os outros varios b, par=[|] ticularmente dos verbáes. Repicar como os sinos. amororýb itá maracá alii: [|] amoçoryb itá maracá. alii: amoçarái itamaracá Repizar. apyrupyrung. freqʒ Replicar ao que se diz. aipoepýc v anheeng poepýc [|] v.g. anheeng poepýc peró [‘eu replico a Pedro’]. Replica. ipoepycába. rel. Reposta [resposta]. nheënga. se he reposta [resposta] replicdo [replicando] nheeng poepycába Repousar; aputüú. Reprehender. amoapyçáca v aiacáo v aiangáo v anhangáo


236


237 [folio 36 verso – 1° col.]

130 131 132 133 134

135 136 137 138

139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150

151 152 153

154 155 156 157 158

Re Reprezar, deter, ou reter. o pro amopytá. a. o [|] seg°: apycyrõ. n. Representar, arremedar. açaáng. se sgfca: apresen= [|]tar. amocameéng. Repremir calcar com as maõs. aiapypýc. se sgfca [|] espremir. aiamí. Reprovar. aroirõ. Repudiar gente. amocém xeçuí. repudiar outra [|] cousa, ita ut idem sit ac nauseare: naipotari. [|] vul. nití apotar. v aroirõ Repunhar. naïmonhang. potar. v narobiári. vul [|] niti amonhang potar v nití arobiár. Reputar. existimare. amoangeté Requeimar como pimenta. tai. o requeimar della: [|] táia. Requeimar, naõ como mostarda, rabaõ: mas como algu͡ as [|] frutas, que ainda chegando as ao rosto, ou outra [|] parte ardem. aimojuçar vul. amoiuçár, causando [|] tambem comichaõ. Requentar. amoacúb. v amoacúb iebýri: he mais pprio [proprio]. Rescrever. acecobiar papéra. Reservar. aimongatú. Resfolegar, respirar. xeputué, alii et vul. xeputucém. Resgatar. aiár. acepymeéng. Resgate por tudo, o que pª isso se leva. mbaé. v mbäé [|] repyráma [repýramo] Resguardar. amäé catú Residente, assistente. terecoára. ut: xerecoára. Resistir. amoabaib. Resoar: ateapú teapú. freqʒ . Resonar. xekerambú. Resina. ycyca. a que serve pª brear as canoas: [|] cycatã. outro [outra] mais dura e negra: iraitúna. o Cate. [|] fol. 121. icycatã. variæ especies resinæ exprimuntur pponedo [præponendo] nomē arboris, ex qua effluit vg iutaicyca, acajucyca. [‘resina de jutaí, de acaju’] Resolver desatar. ajurao. aiporáo. v aiurao Resolverse assim. aieiurao. v aieporáo. Resolverse a postema. apýc: ùt opýc uán pungá [‘o postema já rebentou’. No Bluteau este nome ainda é feminino]. Respeitar ou ter conta. aimocuár. Respeitar, venerari. aimoeté. Respirar. v. refolegar [resfolegar]. Resplandecer. aberáb. xerendypýc. Resplandor. berába.

[folio 36 verso – 2° col.] Re 159 Responder. anheengobaixöár. ita Cat. vul: açovai=[|] xár inheenga. 160 Responder pelos mesmos termos. aipoepýc. v aiáo v an=[|]heeng poepýc. 161 Restar. apytá. ut: opytá mirí. 162 Restaurar. amocatyrõ. v aimocatú. 163 Restinquir [restinguir] [há restinguir no B. Pereira e no Moraes Silva]. v. apagar. 164 Restituir, se he o mesmo o que se tomou: aroiebýri [|] vul. amoiebýri. se he o mesmo somente em espécie [|] como remo por remo etʒ acecobiar, v ameeng ceco=[|]biára. dando se porem o valor da cousa, se diz: [|] acepymeéng. 165 Resto. cembýra. cembyréra, o que sobejou. 166 Resurgir. aicobé iebýri. cecobé iebýri. rel. 167 Resuscitar neutro idem, que resurgir. 168 Resuscitar activo: excitare aliquē: amopác v amobac. 169 Retabolo. ybyrapebetá. 170 Retalhar a miudo. akitĩ kitĩ. alii: aikitĩ kitĩ. 171 Retalho do panno. panna acicoéra v pecemcoéra. 172 Reter a alguem, que naõ torne. ou o naõ deixar tor=[|]nar. amomyta v amopytá. 173 Retirar. aipëá. a. 174 Retirarse. aiepeá. n. 175 Retirarse como o que peleja: atyryc. freqʒ atyryty=[|]ryc. v atiritiríc. 176 Retorcer. retorquere. amoiebýri. 178 Retorcer como cipó. apucã v apukám. 179 Retorcerse a pessoa com prequiça [preguiça] ou arrepiamentos [|] aiepucã. meliùs: aiepukám. 180 Retorno. retributio. se he da mesma especie: cecobiára [|] se he pagando. acepy meeng. cepy. rel. hoc 2m est [|] retorno dar. verbo do pro he: acecobiar. v ameeng iebýri. 181 Retractar. acecobiar xenheénga. 182 Retratar. acoatiar çaangába. açaangoatiár. 183 Retrato. çaangába. 184 Retribuir. compensare. acecobiar. 185 Revelhusco. ymána. ser assim: xeymán 186 Reverse ao espelho. anhemäé goaruá pupé. 187 Reverdeser a arvore. xerenhýi. 188 Reverenciar. aimoeté. v amoeté catú. 189 Revez. ao revez. icupé cotý. rel. 190 Revestirse. aomondé. v amondé óba. 191 Resolverse. aiereiereo. v ababác. 192 Rezar. aiemboé. anhemboé.


238


239 [folio 37 recto – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

12 13

14 15 16 17 18 x 19 20 21 22 23 24 25 26 27

1 2 3 4

Ri. Ribaldia. tecó aíba. Ribaldo. abá aíba. impostor: morandubaiba monhangara Ribeira do rio. yrembeúba. ut: tiaçó cembeúba rupí [‘vamos pela beira do rio!’]. Ribeira ou ribeiro. ygarapé. sendo grande: paraná. Ribanceira naõ mto [muito] alta. ybyáma. Ribanceira alta e vermelha. goarapiránga Ricamente. rica cousa. mbäé catú eté. Rico em fazenda. cetà mbäé arecó. xembäé cetá. Rifaõ. proverbiū. nheengába. Rija cousa ou dura como quer que seja, xerãtã. çãtã. rel. Rija ser como vara, que por mais, que a dobraõ, naõ [|] quebra. xeragíc. çagíc. rel. e porqʒ [porque] o estanho tem [|] esta qldde [qualidade], o chamaõ , itá gica, e o mais desta qldde [qualidade]. Rijo ser o homē ou qlq͡ r animal. xeratãgatú. v aico eté. v xepyatã. Rijo ser de maõs e braços. xepopyatã. alii: xeky=[|] rymbáb o mesmo de tudo se diz, o que puxa [|] se com força, ainda que naõ tenha maõs, como [|] o peixe a linha. he verdade, que as das [ditas] palavras [|] xepyãtã, xepopyatã se uzaõ só de alguns, que [|] fallaõ bem a lingoa: os demais dizem: xekyrymbáb. Rijo fazer se. anhemopyrãtã. Rijo fazer ou entesar. amopyrãtã v amoãtã. Rijo, ou ryjamente. çãtã ut: ecekyiãtã. puxa rijo. Rigoroso ser. naxerauçubári. vul. nití etʒ Rio grlmte ygarapé. Top. ygoaçú sendo grande. [|] vul. paraná, sendo tal. Rins do animal. pyrykytiĩ, e assim tambem os da [|] gente. ja tirados pyrykytiĩcoéra. Riqueza. mbäú. catù v mbäé eta. Rir ou rirse. apocái. freqʒ apocápocái: fr. vul. apocá. Rir se de alguem. aioiái. aporoioiái. recé. Risada solta dar. apocápocái. vul. apocãtã. apocápocá Riso. mocái. ut: nde pocái. teu riso. alii: nde pocà. Risca. çaiçába vul. = áva [çaiçáva]. Riscar. açaír. Rio ou aquelle [aquella] pte delle que he baixo [baixa], e naõ se pode [|] navegar, e tem lodo. tuiucypába. Ro Roça de qualquer mantmto [mantimento]. có v copixába. Roçar grlmte . acopír. ouvi eu: acupír Roçar huã cousa com outra. akitíc. alii: akytýc. Roçador. copiçára

[folio 37 recto – 2° col.]

5

6 7 8

9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41

Ro Roçar se, id est ir se aparecendo [parecendo]. äé nungára. ut: [|] pacicú imú nungára. Fraco aparece [parece] com seu ir=[|]maõ. alii: i mú iavé catú. Rocha. ybyáma. Roda como de carro, e toda que se move pelo chaõ: ybyrá [|] paránga. Roda que anda no ar, como a mó de barbeiro, de engenho, [|] de algodaõ. ybyranhatimána vul. ybyrábáca. Rodar pelo chaõ. aparang. alii: apararang, como as [|] rodas de carro. Rodear. anhatimán, como roda de engenho. Rodear como algu͡ a ponta da terra. v. dobrar Rodear andando como o que se perde, ou busca algu͡ a cousa. anha=[|]timãtimãn Rodella. goaracapá. a do joelho: penaránga. Rodilha ou trapo. panna aíba. Rodilha da cabeça pª levar pezo. apyterendába. Roer. açuú. freqʒ açuuçuú. Rogar. v. pedir Roim cousa. mbäé aíba. v poxí. Roim ser. xeaíb. xepoxí. Top. naxecatui. vul. nití xecatú. Roim ser em costumes. xeangaípáb. v amoangaipáb. act. Roindade assim. angaipába. Rol. coatiaçába. Rola. ave. pycaçú. tem mtas especies. Romper algu͡ a cousa. amondoc. v amondoróc. Romper em mtas ptes ou por mtas ptes amondómondóc. [|] v amondarondoróc. Romperse como o panno. açoróc. Romper os inimigos ou pelos inimigos. aipeká = v cá [aipecá]. Roncar como caõ. xeambú v xeambugoaçú. sendo mto. Roncar o que dorme. xekerambú. xekerambúgoaçú [|] sendo mto. Ronda. manhána. Rondar. amanhan. Roza ou qualqr flor. botýra Rosto. tobá. xerobá vel. xerová. Rosnar. açururúc. Rota estar ou ser algu͡ a cousa. açoroc. açoroçoroc freqʒ Roupa. grlmte. aóba. Roupaõ ou saya. aobuçú Roxa cor, ou roxa cousa. pixuna íba. v pixunbäé. Rozario. mboýra cruçá. Roubar. xemonda. amondarõ. alii: apycyrõ, com çuí Roubo. mondá.


240


241 [folio 37 verso – 1° col.] RU 1 Rua ou caminho. pé. 2 Rua da cidade ou aldea. ocára. 3 Ruça cousa. mbäè pytanga. mas isso ppmte [propriamente] sigfca [significa] [|] pardo. melius: mbäé pixúna mirí. 4 Ruga nhynhynga. 5 Rugas ter. xenhynhýng. 6 Rugas causar. amonhynhýng. 7 Ruma como de lenha. atýra. 8 Ruma ser assim. xeatýr. 9 Ruma fazer assim de qlq͡ r cousa. amoatýr. 10 Rumor. teapú. 11 Rumor fazer. amoteapú. 12 Rustico. jiacuaým. rel. ut: iiacuaým äé apyába [‘esse homem é rústico’].

[folio 37 verso – 2° col.]

1 2 3 4 5

6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

22 23 24 25 26 27 28 29 30

31 32 33 34 35 36 37

Sa Saã cousa. mbäé catú. ut: xecatú uán. ja estou saõ. Sabaõ Sabedor. cuapára Saber, sciencia, a natural. tecó cuába. a acquisita [acquirida]. [|] mbäé cuába. Saber bem, ter sciencia natural, isso he de bom enten=[|]dimento xetecocuáb. ter sciencia aquisita [acquirida]. acuáb. [|] mbäé. xembaecuáb. Saber abslte [absolute] de qlq͡ r cousa sorte qʒ seja. aicuáb v acuáb. Saber bem o comer. ceé catú. rel. [ver adiante: Sem sabor. nití cëẽ. ita sem sal]. Saber mais que etʒ aicuáb eté, çuí. ut: aicuáb eté nde çuí [‘sei mais do que tu’]. Saber fazer. amonhangcuáb [amonhanguáb] Sabida cousa ou naõ occulta. icuabipýra. rel. Sabio na opiniaõ dos outros, e sem verdadeiro saber [|] cuapára moánga. Sacar. aiooóc. amoçac Sacerdote. abaré. vul. pai missa monhangára, ad [|] diffrtiā [differentiam] de pai apína. leigo. Saco. saca Sacramento. eodem modo. Sacudir. amocaác. v amocué. sacudir mtas vezes: [|] amocatácatác. Sacudir pôr em balaio, panno. amotomong. v amopapáng. Sacrada [sagrada] cousa. caraiba. jmongaraibipýra. Sagrar. aimongaraíb. v amongaraib. Saial. aobuçú. Sair fora. acem, çuì. Sahir id est effluere. xeēm. v xeem. Cat. pag. 93. cuguy [çuguy] iemi. Sair ou nacer o pintaõ ou outro qlq͡ r passaro. aiàb. [|] o mesmo se diz da flor qdo nace ou rebenta. Sair ao encontro. açobaitĩ vul. açovaitĩ. Sair do siso. xeacangaiba. Sair a nado. aytáo. Sair a seu pay ser semelhante a elle. pai nungára [|] v iavé. do mesmo modo: sair a sua may. Sal. jukýra. paõ de sal. jukýra pöá. Salpimenta. jukytáia. exprimunt: jykytaia Saleiro. jukyrurú v jukýra rurú. Salgada cousa, ser assim. xereẽ. ceẽ rel. ser assim [|] mto xereẽ eté. ut: ceẽ eté [‘está muito salgado’]. alii: ceẽbýc. Salgar. amohete [amoẽte] v amoeẽ. alii: amoieẽ [amoceẽ]. Salobra ser a agoa. xerembyc. ceembýc. rel. Saltar como quer. apór. Saltar de prazer. apopór. Salto dar aos inimigos. apuám recé. Salvagem homem. apyaibaiba. v apyaba poxí. Salve. o Guarani diz: Tupã tanderããrõ. Dios te sálve. o que en=[|]tende tambem o Goyapi. arããrõ v xarããrõ.


242


243 [folio 38 recto – 1° col.]

38 39 40 41 42 43 44

Sa. Salvar ou livrar. apycyrõ. çuí Saluçar de frio. xeieióc. Saluço. ieióca. Salvador. pycyrõçára. pycyrõána. Salvarse. anhepycyrõ. Salutifera cousa. mbaé catú. Sambixuga. cevoi péba [A palavra não está nos dicionários antigos, mas há a forma ‘sambexuga’ como variante de ‘sanguessuga’ no dicionário Aurélio]

45 46 47 48 49 50 51 52

Sanear. reparare. amocatyrõ. Sangrador. çuguyocára. Sangrar. açuguyóc. Sangria. jeguyóca. Sangrarse. aieguyòc. Sanque [sangue] qlq͡ r. tugúy. çugúi rel. Sanquinario[sanguinario]. v. cruel Sanchristaõ. tupã óba rerecoára. [sacristão; sancristão em Bluteau]

53 Sanchristia. tupã óba róca. [sacristia; sancristia em Bluteau]

54 55 56 57 58 59 60 61 62

63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75

Santa cousa. mbäé caraiba. Santificar. amongaraib. Santo. angaturàm. ut: nde angaturám. Saõ estar. aicobé. v aicobé catú v naxemaráni. v xecatú. Sapiencia. tecocuába. Sapiente. cuapára v aba tecocuáb. v ogoereco tecó cuáb. Sapo. cururú. Sarar. apoçanóng. Sardas do rosto. pinima. ut: tobá pinima. çova piníma [|] sardas ter no rosto. xepiním. xerova pinim. se for [|] em outra pte , se repete a dita pte . ut: xepopiním [´tenho sardas nas mãos´]. Sarna. curúba. alii: curúva. Sarjar. akitĩkitĩ. v akitĩ. v açaír. Sartaã de frigir. piriricába v cáva [piriricáva]. Sartaõ. ygapýra. Satisfazer, contentar. amoapycýc. Satisfeiro estar. xeapycýc. xeapycy catú cecé. xerorý [|] catú. Saudades. jojepiacaúba. Saudades ter de alguem. acepiacaúb. Saudar. anheeng. çupé. Saudavel cousa. mo= [moçánga] v poçánga. Saude. tecobé catú. ara catú. ut: tupã oimeeng ara [|] catu ixebo. Deos me da saude. Saude ter. aicobé catú. v naxeramáni [naxemaráni] v aicó catú. [|] v niti maiavé. Sabbatho [sábbado]. dia. sabarú,

[folio 38 recto – 2° col.]

76

77 78 79 80 81

82

83 84 85

86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 x x

99 100 101 102 103 104 105 106

Se Se conjuçaõ. pª ella se uza do conjunctivo, tanto [|] com verbos, como com nomes e adverbios. ut: ju=[|]cáremé. se matar. yreme. se houver agoa. vul [|] rame. ut: ajucaramé. se eu matar. ýrame. Seca cousa como quer. tinínga. Ser ou estar seco. atiníng. Secar act. amotiníng. Secamente se haver com alguem. nití amorýb. ut: xe [|] pai niti xemorýb. o pai ha se comigo secamente. Secar se o molle ou molhado. aticáng. oticang uán [|] panna? [‘o pano já secou?’] secar assim act. amoticang. Secar se o licor ou embeberse no vaso. xerypáb. ty=[|]pab rel. vul. xerypáo. tupáo rel. o mesmo se diz [|] do que vay seco com o veraõ ou na baixa mar. [|] ut: p tupábuán paraná [‘o rio já secou’]. Seco de condiçaõ. abá poromorybeýma ut: nde moro=[|]rybeyma. tu es seco. Secreta cousa. jcuabipyreýma. rel. Secretamte [secretamente]. nhemima. v nhemimonhóte [nhemimanhóte]. com o mo=[|]vimento se lhe ajunta: rupí. ut: nhemíma rupí oçó [|] foy secretamente. Secretas. tepotí róca. v morobixába róca. oca potiába. [|] ruru potiába. servidor. Securas padecer na garganta. xeaceotiníng. Sedas como de porco ou qlq͡ r pelo. çába. se he fora [|] do corpo: çagoéra. Sede. uceia. sedente [sedento]. uceibóra. Sede ter. xeucéi. Sedela de pescar ou qlq͡ r linha delgada de pescar. [|] pindaçá pöí Segador. kitiçára. o instrumento. kitiçába Segar. aikitĩ. vul. akitĩ. okitĩkitĩ freqʒ Segundo das pessoas. aba mocóia. Sequir [seguir] a outro. aço çakicoéra. Segunda feira. morabykypý. Segunda vez. mocoiyi. Seja embora. neĩ. aujebéte. vid. fin. litteræ S. [o que falta aqui se encontra em Su 29 e 30] Sem duvida. çupí catú. Sem sabor. nití cëẽ. ita sem sal. Semeador. jotymbára. o lugar. jotymbába. Semear ou plantar. anhotym. v aiotym. Cousa [|] plantada ou semeada. jotympýra. Semelhança se [de] algu͡ a cousa. çaangába. id est: imago. Semelhança ter com algu͡ a cousa minha ou nossa [|] xe mbäé tyba. xepratú týba. Semelhante ser com algu͡ a cousa. aé jabé v äé [|] nungára v apixára. Semente, pevide, caroço qlq͡ r . çaýnha rel. amaniju raýnha


244


245 [folio 38 verso – 1° col.]

107 108 109 110 111 112

113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124

125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138

139 140 141 142

Se Semblante. xerepiacaba = ava [xerepiacava]. Semente humana. tayraráma. Sementeira. mitýma. v co, copixába. Sem porque. tenhé. v tenhe tenhé. se sgfca por [|] nenhuma razaõ: niti mbäé recé. Sempre. iepí. iepinhé. v aujeramanhé v memé. pª [|] sempre: aujeramanhé. Senhor, cujo [cuja] he a cousa. jára. o mesmo he senhora. [|] assim o poem em varios lugares o catec e a arte; [|] e assim os jndios fallaõ. Senhor em vocativo, o qual naõ possue, mas por [|] reverencia. paí. o que naõ se uza. Senhorear. arecó. Senhorearse de algu͡ a cousa. aipycyrõ. Sentença tecomonhagába. Sentençar a outro. acecomonhang. Sentir ou sentir se de algu͡ a cousa, que lhe fazem [|] aimoacý v aimboacý. Separar. aipëá. separarse. aiepeá. n. Sepulchro. tybyupába. vul. teõcoérarendába. Sepultar. aiotym Ser. aicó. Ser alcoviteiro. aiamanaié. aicó manaié. Ser amigo de alguem. aiecotyár. ita Cate. fol. 237. n.8. [|] e diz: ereicotyape nde nhemoia recé [‘Você se faz amigo de suas amásias’?]. Seraõ. porocéia [poracéia] Ser a agoa torva ou limosa. typyting v ypyting. Sereno estar o dia. ára catú. Sermaõ, pregaçaõ. poromonghetaçába. Ser melhor. xe catu ete ndé çuí. Serpente. boia. boiuçú. Serra monte. ybytyra. Serra de ferrar. ybyrakitĩába. ybyrakitĩçába. Serrador. ybyratĩçara v = açára [ybyratĩaçára]. Serrar com a serra. akitĩ. aybyrakitĩ. Serviçal. taygaíba. naõ se uza. vul. kyrỹpába [kyrỹbába] Servidor pelo vaso. cäapába. vul mas limbo [limpo]: potiába. Servidor, criado. xererecoára. Servir como em serviço de maõ. aporabyký. çupé. [|] servir como criado ao sor [senhor] ou rapaz ao pe [padre] aimocuar [|] mbae recé. Seta. sagitta. uúba. Seu sua cousa. jmbäé. rel. Sevo e gordura qlq͡ r cába. se o d° sevo ou gordura [|] esta fora do a͡ all [animal] ou peixe: cacoéra Sempre da mesma maneira. memé. jepí. nhenhé.

[folio 38 verso – 2° col.] Se 143 Sempre, perpetuamente. co ára pucui. id est: em [|] quanto durar este mundo. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

13 14 15 16 17 18 19

1 2

Silencio. nheengheýma. Silva. cäá. gde caagoaçú. Silvestre cousa. caaigoára. Sim do homem pa. da mer [molher] hehé. hoje porem apenas [|] algum homem uza do d° pá. Sinal. çaangába. ainda os do rosto. Sinal fazer pª se conhecer. amoçaangáb. idʒ [idem] sinalar Sinal pª conhecer. cuapába. Sinal falso: çaangába moánga. Sinal da ferida. perebacoéra. Sinal ou lembrança. maenduaçába. Singular excllte [excellente]. catú eté. Sinal do gado ou bestas se for nas orelhas ou rabo [|] cortado. çaangába. mas se for com algū sinal do [|] panno ou semelhante: tapacorá. Sinalar do d° [dito] 2° modo. amotapacurá. Sinaes dos azoutes. nupãçagoéra. Sinal dar. acuapameéng çupé. Signfcar [significar]. amombeu. Sino. ita maracá. gde adde no fim goaçú. Sitio v situs. mira recoçaba v capixába. Situar. amonhang oca. So So sem comphro [companheiro] nhó v anhó. xe anhó. eu só. Soada id est fama. morandúba. [Tem no Moraes Silva, mas como `toada da cantiga’ opondo-se à letra. No B. Pereira está como aquí].

3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14

Soar. sonare. xereapú. teapú. rel. Sobaco. jande pepuýra. Sobejar. xerembyr. cembýr. rel. Sobejos que ficaõ. cembýra. cembyréra. Soberana cousa. mbaé catú eté. Soberania. robiaçareýma Soberbo ser. naxeporerobiari. v nití aporerobiár. Sobir. aiopir. aieupir. Cate. Sobmergir. amoiepypýc. Sobrado da casa. ocaybaté. Sobrar. v. sobejar. Sobre. aribo. aliqui et vul aripe. qdo [quando] porem se [|] quer sgfcar præeminentia entaõ se uza de: [|] çocé. vulgo em lugar de çocé pyrý. ut: xe catu pyry nde çuí [‘eu sou melhor do que você’]. 15 Sobre nome. cera ioapýra. alii: cerapýra. 16 Sobrepor. ainong iaribo. v ïaripe. 17 Sobrinha. fª [filia] fratris tagýra v tagira.


246


247 [folio 39 recto – 1° col.]

18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41

42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52

So Sobrinho da femea, o pro f°[filho] do seu irmaõ. pénga. Sobrinho da femea f° [filho] macho de sua irmaã. mem=[|]byrayce. vul. xemembýra. Soceder a outrem. cecobiaramo aicó v açó Socessor. cecobiara. Socegar. aputüú. Socego. mutüú. Socorrer. apycyrõ. se quer dizer ajudar: apytymõ. Soccorro no sentido pro pycyrõçába. no 2°: pytymõçaba Sodomia. patico. tibira. Sofrer ter paciencia. xeroçáng. Sofrimento. pacientia. toçánga. Sojeitar. subjicere. amomoreauçub. v amoporeauçub Sogra do varaõ. taixo. xeraixó. da femea: [|] mendý. xemendý. Sogro da femea. mendúba. do varaõ: tatuúba. [|] xeratuúba. Sol. coaracý. Sola do pé. pypytéra. Solapar. acybycoi. Soldar hu͡ a cousa com outra. amoiár. Soldarse por si. aiár. Soldado. sorára. Soldo. cepý. rel. Selennizar [solennizar]. aimoetémöeté. Solicitar a alguem. amoaiu. pª o mal: amoacangaíb. Solicitar algu͡ a mer [molher] pª o mal. aimongheta mbäé [|] aiba recé. v aicó recé. et etiam: amoacangaib. [|] a dª palavra: aicó com recé uzaõ tambem, [|] qdo hum solicita a outro, para qʒ lhe faça a [|] vontade, ainda qdo he cousa boa. ut: pacicú [|] oicó xerecé, aço aoama v goaráma ygapyrpe [‘Francisco me pediu para ir à nascente’]. Sollicito andar por algua cousa. anhemoçainan [|] v xeputupáb. recé. Solteiro ou ou solteira. mendareyma v mendaçar=[|] eyma. tambem: temirecó eyma: meneýma. Soltar. aiurao v aporáo. Soltarse. aieíuráo v aieporáo. Soluçar. xeieióc. alii: xeiaióc. Soluços. ieioca, iaioca. iiaioca rel. Som. teapú Soar. Xereapú Soma grde. teyia. se diz essa palavra de todas as cousas Sombra de algu͡ a cousa ao sol ou luar. anga Sombreiro so sol. coaracý moabaibába.

[folio 39 recto – 2° col.]

53 Somente. nhó. nhoté. anhó. 54 Sonhar. xeapoçauçub. recé. 55 Sonho. moçauçuba. xepoçauçuba pupé nde repiác [‘eu te vi no meu sonho’]. 56 Sono. kera. 57 Sono ter. xeropocí [xeropocýi]. 58 Sonso. aba aiba, aba poxí. 59 Sopas. mingáu. 60 Soprar. apejú. 61 Sopro. pejú 62 Sorrirse. apóca mirí v apóca mirí. 63 Sorriso. móca mirí. nde poca mirí niti catú. 64 Sorvas fruta, as de [da] pte de marajo: mangába: as [|] no sertaõ: comaí. outras: comagoaçú. alii: juvá. 65 Sorver. sorbeo. äú. 66 Sospeitar algu͡ a cousa. anhandúb. 67 Sospeitar mal. aimondar. recé. alii: amondar: alii [|] xereguyrõ. recé. 68 Socegado estar. aicó nhóté 69 Sostentar. aiopói. v amongarú. aiopoiopói. 70 Sostentarse. ambaeú. 71 Socegarse intrmte [interiormente] xeapycýc n. 72 Socegar o inimigo anhonongatú v amoapycýc. 73 Secego [socego] da vida. tecó catú. 74 Soterrar. anhotym. 75 Soturno. tobá acý. ut: nde robá acý v rová etʒ x Sou, estou, aicó. 77 Soverter. amocanhem. perdere 78 Soverter, pervertere animū alicujus: amoacangaib. 79 Sobrancelhas. jande reçá pucanga. Cat. typytába 80 Sovaco do braço. pepyýra v gyba guýra. Su. Suar. xeryai. fazer suar. amoyái. Suor. tyaia. cyaia rel. Soudouros [suadouros]. nhemoýaia Suave cousa. xeẽbaé. ceẽcatú. Subdito ou sojeito. boiá. vul. voiá. Subir. aiopir v aiupir. Top: aieupír. Subida ou costa. arriba ybyáma. Subitamente. coritei v eçapyá Sufficientes. cetá catú. Sumar. apapár. Sumidouro. ycoarána. Sumir, beber, sorver. aú. se quer dizer: esconder: [|] acuacúb. se quer dizer gastar v. gastar. 13 Sumirse acanhem. 14 Sumo. tý. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


248


249 [folio 39 verso – 1° col.]

15 16 17 18 19 20

Su Superficie de algu͡ a cousa. cepiacába. ut: nde [|] recepiacába catú eté. Supplicar. aierure. çupé. Supprir. aicó cecobiáramo. ut: xe pai goaçú receco=[|]biáramo aicó. suppro as vezes do pdre gde Surdo. apyçayma. nde apyçayma. Surdo ser. naxeapyçacái. vul. nití apyçacá. Surgiãm [cirurgião]. poçanongára. morapoçanongára. abs. [nos dicionários de B. Pereira e Bluteau a forma surgião aparece com referência a cirurgiam, resp. cirurgiaõ]

21 22 23 24 25 26 27 28

Surgir a embarcaçaõ aiepotár. Suspirar. anheangherúr. Suja cousa. mbaé kyá. ikyá rel. Sujar. amokyá. Sujo ser, estar. xekyá. Sus. neĩ. in sing. Sustentar ter maõ. apytaçóc v aioçóc Sustentarse assim. aiepytaçoc v aiçóc.

Quædam quæ desiderari possunt in littera S. 29 Sem. potest exprimi per eyma, ut: teĩhé [tenhé] ejori panna= [|] eyma. guarda te, naõ venhas sem panno. 30 Senaõ; entendendo se alguma cousa juntamente. v.g. se naõ [|] fizerdes. aaneýme. vulg. nitiuramé.

[folio 39 verso – 2° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31

32

1 2 3

Ta Tabaco. petyma Taboa. ybyra péba. – péva [ybyra péva]. taboinha: mirí. Taçalho. acicoéra v pecẽcoéra, ajuntandolhe a cousa de [|] que he pedaço. ut: pirá acicoéra. Tachar. anheeng recé. Tachas ou preguinhos. ita pyvá mirí. Tainha, peixe. paratí. Taipa. ybyoca. id est parede. Taipa de pilaõ. ybyçoçokipýra. Taipa de maõ fazer. aiepetéc. v aybypetéc. composto. Taipa de pilaõ fazer. aybyçoçóc. Taipeiro, que faz taipa. ybyçoçocára Tal, como isso, isto, aquillo. nungára. v jabé Tal id est puro sem mistura. anhé. Talha e pote qlq͡ r. camucí v camutí. Talhada de agoa algua cousa v. pedaço. Cat. acycoéra. Talhar, secare secui, sectum. akitĩ. se quer sgfcar [|] rachar ou rasgar. vid. ibid. Taluda cousa. turuçú Talvez. aroaneým Tamanho fazendo demonstraçaõ com a maõ. jabé. Tambem. bé, abé. no fim do verbo. ecoaĩ nde abé [‘vai tu também!’]. Tambo. cekendapába. rel. Tambor. goararà. gde adde turuçú Tanger se he batendo como os sinos. amoapú. Tanger tocar o tambor. amoteapú. Tanger com o sopro como a frauta. aiopý. Tanque. ypába. tanque de peixe. pirá rendába. Tapado ser com o panno. ocend ocekendá catú rel. v [|] nití çacacánga. Tapadoura. cekendapába. açoiába v iaçoiçába. Tapar cousa que tem boca como vasilha. ackendáo [acekendáo]. [|] o d° o vix auditur; ideo: acekendá Tardar. aicó pucú. Tarde nome do tempo. carúca. a tarde: carúcumé. [|] alii: carucaramé ita vul. esta tarde. corí carúcamé. Tartaruga. as do rio. jurará. alii: goarará. do matto, [|] ou cacados [cágados]: jabutí: outros com pescoso [pescoço] comprido e [|] torto. matámatá. outras: tracajá. Te Tea. panna. Tea da aranha. jandú pyçá. Tear. panna monhangába.


250


251 [folio 40 recto – 1° col.]

4 5 6 7

Te Tecedor, tecelaõ. panna monhangára. Tecer. panna 2 amonhang 1 [= amonhang panna] Teimoso: acanguçú. Teimar. narobiari. v nití arobiár. itá P. Fuscus. [Provavelmente referência ao padre italiano Sebastião Fusco (1691–1760). Ele atuou nos aldeamentos do Estado do Maranhão e Grão-Pará entre 1720 e 1760].

8

9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22

23 24 25 26

27 28 29 30 31 32

Temerosa cousa, id est, qʒ causa medo, amocykyjé: hæc [|] vox idem est. ac: metū incutere. cousa que faz [|] medo: abaeté v abaeté goaçú. nde abaete goaçu [|] tu es mto medonho, horrorē incutis. Temeroso fazer assim. amoabaeté. ut: anhanga [|] nde moabaetebo. ita Cate. Temer. acykyié. Goyapi diz: akyjé v xekyjé. Temor. cykyié. Temperar com sal amoeẽ v amoceẽ, alii. Temperar grlmte. amocatyrõ. Templo. Tupã roca. alii: Tupana róca, Tupã óca. Tempo. ára. tempo bom. ara catú. roim: aiba v ara [|] nití catú. da chuva: amána ára. Temporada. ára pucú. Tempestade do vento. ybytugoaçu. ybytu aíba. Tempestade do mar. yaiba. ybytu aíba. Tença. cepý. rel. Tençao [tençaõ]. xeremimotára. xepyá. Tenra cousa. mbaé membéca. Tenra cousa como crianza [criança] concebida de poucos dias ou [|] mezes, e qlq͡ r outro a͡ al [animal]. kýra. alii: akýra. ut: [|] membykyra [‘recémnascido’]. ïakýra. rel. Tentador. raangára. ut: emocanhem xe raangára. Cat Tentar. açaang. a Tentarse. anheçaáng. n. Tentear. Acepiac. Theologica virtudes [virtus]: Teco marãgatu Tupã rece jande momaeçaba. facientes nos respicere ad Deū. Ter arecó. Ter roupa. xeaob. Ter odio. aiamotareým. Ter febre. xeracú. Ter razaõ de parentesco. xeanáma mirí. Ter necessidade. aicó temé. P. Tavarez diz: aicó teveĩ. [Provavelmente referência ao padre José Tavares (1704– 1789) missionário português que atuou no Estado do Maranhão e Grão-Pará, entre os anos de 1724 a 1760, e também em Piraguiri].

33 34 35 36 37 38 39 40

Ter conta de algu͡ a cousa. aimocuár. recé. Ter vergonha. atĩ v apouçú Ter gosto. xeroryb. v rorý. Ter em muito. aimoeté. Ter em pouco. naimoeté vul. niti amoeté. Ter por certo. arecó xepyápe v amoangeté. Ter por si. arobiár. Ter por bem, naõ ha esse verbo: em lugar delle: aujebeté.

[folio 40 recto – 2° col.]

41 42 43 44 45 46 47

48 49 50 51 52 53 54

Ter fome. ambyacý. Ter sede. xeucéi. Ter sono. xeropicí [xeropocýi] Ter ancias [ânsias], affliçaõ. xeanghecoaíb. Ter gente. aporerecó. Ter maõ, sustentar pª naõ cair. apycýc. Terceiro ser, flld° [fallando] em favor de alguem. anheeng recé. [|] ut: anheeng ixupé pacicú recé. se lhe pode ajuntar [|] a partl͡ a catú pª dffrtia [differentia] de palavra: murmurar, [|] que tambem se diz pola palavra: anheeng. igr [igitur] [|] v.g. anheengatú nde recé paí goaçú çupé. Terminar se sgfca pôr termo: amoçaangáb alii: açaan=[|]gáb. Terminar, ou acabar. amoaujé. Termino, finis. çaangába. Terra. ybý. terra firme yby eté. terra boa. ybý catú. Terra pela patria. tetáma. ut: xeretáma ou pelo [|] lugar, aonde eu vivo ou resido. Terra maninha. yby nití catú. Terrãm: ybý akytã. [B. Pereira documenta as formas terram e torram, Bluteau terraõ e torraõ; o nosso autor tem também torrãm, v. To 58]

55 Terreiro. Tába pytéra. 56 Terræmoto. ybycatácatáca. v yby tomotomonga. [|] tremer a terra: ybycatecatàc ybyocatácatác v [|] yby otomotomong. 57 Terrivel por esperto. kyrỹbába. 58 Terrivel por cousa medonha. abaeté v abaetegoaçú. 59 Teso ou tesa cousa. çãtã rel. sou teso. xeratã. 60 Testa. cyba. xecyba. 61 Testemunhar. amoçupí. 62 Testemunha. cepiacára. entende de vista. 63 Testiculos de qlq͡ r a͡ al [animal]. rapiá. çapiá. rel. 64 Teta de qlq͡ r a͡ al [animal]. cáma. peqª camaaíra v mirí. 65 Texto de cobrir ou ponte de panella. cekendapába. 66 Testudo. pertinaz. açanguçú [acanguçú] 67 Teu, ob ou tua cousa. nde. nde mbäé.

1 2 3 4

5

Ti Tia. irmaã do pai. aixé. Tia irmaã da may. cyýra. Tia jrmaã dos avós. aryia ou may do pay. Tio irmaõ da may ou primo della assim do varaõ [|] como da femea: tutíra. xetutira. tambem os [|] fos [filhos] da irmaã chamaõ o mesmo aos fos [filhos] do seu tio, [|] irmaõ de sua may utriusqʒ [utriusque] sexus. Tio jrmaõ do pay ou pro delle alii vocant xepaia. xetutira.


252


253 [folio 40 verso – 1° col.]

6 7 8 9 10 11 12

13 14 15 16 17 18 19 20

22 23 24 25 26 27

28 29 30 31 32 33 34 35

Ti. Tibia cousa negligente. ateýma. Tibia. v. morna. Tiçaõ. titio, onis. tatapyaçúca. Tigela. eodʒ [eodem] modo. Tigre. jagoareté. Timido, covarde, membeca, manéma. Tingir de preto. amoún. amopixún, e assim das mais [|] cores ajuntandolhes no principio amo ao nome [|] da cor. ut: amopiráng [‘tingir de vermelho’]. amomorotíng [‘tingir de branco’]. Tio irmaõ dos avos. vul: xeramunha v xeramýia. Tirar de panno. panna acicoéra. v panna pecẽcoéra Tirannizar. aicó aibeté. Tirar a [à] ave os fos [filhos] amoiáb. Tirar se. aieiöóc. Tirar grlmte. aioóc. Tirar o fincado ou cravado aioóc. amoçác. Tirar pª fora. amocem, sendo cousa que anda com [|] seus pes. sendo cousa que naõ anda arocem, o [|] que quer dizer: botar fora. Tirar por força das maõs algu͡ a cousa, aioóc. Tirar da cabeça. aioóc ïacanga çuí. Tirar do seu siso alguem. amoacangaíb. Tirar fogo. amöá tatá. Tirar devassa. aporandú porandú. Tirar como dizemos a branco, preto etʒ aib ou pyrý, [|] no fim do verbo ou nome da cor. ut: pirangaib. [|] pirangapyry. pixunaib. Tirar a vida. aiucá. Tirar como corda. acekyi. Tirar de dum lugar pª outro. aceyí. a. Tirarse se de hū lugar pa outro. aiepëà. tira te [|] dahi. eipeà aè çuì. Tirarse do peccado. aiepeà. meliùs apoìr. çuì. Tiro de fogo. mocába. Tisico. iangaibar uçú. Tiricia. çobajúba. Top: itĩ júbi [B. Pereira tem tericia e tiricia, Bluteau menciona tericia com referência a icterícia].

36 37 38 39 40

Tiritar do frio aryrýi v xeryrýi. Tizoura. piranha. Tisoureiro. itajúba rerecoára. Tisouro. itajuba reyia. Tisourinhas fazer. provocar. amonhemoyrõ. amopyaib. 41 Titulo. coatiaçába, ou çaangába, se diz distinçaõ. 42 Titubar. nacuábi v nití acuáb. [A tradução por nacuábi, niti acuáb ‘não sei’ só é justificada quando se entende titubar não como movimento físico, mas como ‘indecisão, vacilação’].

[folio 40 verso – 2° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8

9 10 11 12 13 14 15

16 17 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33

To Toalha de maõs. xepoiocypába tocar a gaita. aimimbý. toca ou buraco. ybycoára. Tocar. tangere. apocóc. recé. Tocar aindaqʒ [aindaque] naõ seja com a maõ, quasi o mesmo [|] qʒ chegar. acýc. tocar, pertencer. xembäé. ut: pacicú mbäé. toca ao [|] Fraco. pacicu potába. sendo cousa de mimo. Tocar instrumento musico. amoapú. emoapú goarará [|] péba toca a viola. aiopy mimby tocar a flauta. Toda ou todo, todos etʒ apinhe v apocatu. ut: opabinhe [|] cobäé ameeng indebo. te dou todas as cousas, que [|] mostro: se naõ mostro: opabenhe aipobaé. o d° [|] todos, fallando de gente, se da pelo: pabẽ. Toda noite. pyçaré v pyçarébo. vul. pytunoetépe. Todo o dia. ara pucúi. co ára pucúi. Todo o caminho. pé pucúi. Todo inteiro. goetépe. v oetépe. Todos juntos. oiepegoaçú. Todas as vezes. ramé. arecepiacaramé. naõ uzaõ [|] do remé da arte. Tomada ou preza qlq͡ r . mbiára. de baixo deste nome [|] se aprende tudo, o que se toma ou morto ou vivo, [|] ou caça ou peixe: e se he cousa tomada em [|] guerra serve o mesmo nome. e assim dizem: [|] xerembiara. nderembiára. cembiára. Tomar paixaõ. xeanghecoaíb. xepyaib. Tomar eu. tomaramo xe. v sine xe. Tomar como que afferrado. apycýc. Tomar de qlq͡ r modo. aiár. Tomar com anzol. acekýi. Tomar com rede ou laço. amoár. Tomar por força o alheyo. apycyrõ. xemondá. amo=[|]darõ. v amondarõ. esse ultimo inusit. Tomar o encontro. acikicém. Tomar emprestado. apurú. çuí. Tomar as costas. açopir. item: aiár. Tomar mal com pezar. aimoacy. v aimboacý. Tomar por si o que se diz. aiár. Tomar na empreza ou com o furto na maõ, como [|] se diz. aipouçú. vul apocoçú. Tomar a alguem ou com alguem caminhando [|] açobaitĩ. vul. açovaitĩ. Tomar na maõ. apycýc. Tomar conselho. aporandu. çupé. Tomarse com alguem. aicó. recé.


254


255 [folio 41 recto – 1° col.]

34 35

36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48

49 50 51 52 53 54 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68

69 70

To Tomarse, agastarse. anhemoyrõ. vul. xepyaiba. Tomar exemplo. amaẽ. recé. ut: emaẽ pachicú recé [‘toma o exemplo do Francisco’. Literalmente: ‘olha o Francisco!’] [|] ou se poderia usar do verbo aiemboe. çuí. ut: [|] eiemboe pachicú çuí. toma exemplo do Fraco. Tonto. acangaiba. Toparse. v. encontrarse. Topate. çaçumba. Tope [topo] da escada. mytamutá pytéra. toque. v. tocamento. torcer como camisa lavada e sipó. apucã v kã. Torcer como corda o fio. apomombýc. Torcerse com prequiça [preguiça] ou arrepiamentos do frio [|] aiepukã. ut: ereiepukã eté. Torcer o pé ou qlq͡ r outra pte. luxare pedem. opurúc [|] rel. ajuntandolhe a pte que torceo. Tormenta ybytuaíba. vul. yvytu aíba. Tormento dor. mbäé acý. Tornada. jebyra. Tornar a fazer, dizer etʒ iebýri v benhé junto ao [|] verbo. ut: ajurbenhé [‘tornei a vir’]. ajur iebyri [‘vim de novo’], aço iebýri [‘fui de novo’]. aiebýri [‘voltei’]. Tornar a fazer ou mando fazer outra vez, mando ir [|] outra vez. amonhangucar iebýri. amoiebýri. Tornarse do caminho. aiebýri. Tornarse ou converterse em algu͡ a cousa. anhemonhang. Tornarse vermelho. xepirang. tornarse amarello. xerobajúb v xerovajúb. tornozelo. jande. pynhoã. torpe cousa. mbaé poxí. mbäé aíba. Torpeza. tecó poxí. torrãm de terra. ybyakytã. [veja-se também terrãm] Torrar. amoxiric. amotiric alii: sed malè. Torrado estar. axiríc. torta cousa como vara. apára. ybyrá apára torta ser a cousa. xeapári [xeaparĩ] v xeapár. torto dos olhos. teca apára v teçatung. Torto de pè. py apára. Tortulho. arapé. toçar [tosar], pentear. aiemöacapýc v aiacapýc. toçarse [tosarse]. aieacapýc. n. Tosnequenar [tosquenejar, toscanejar]. xeropocýi. isso he pprmte [propriamente] ter sono, estar [|] caindo de sono. xekerár Tosquiar. aiapin. a tosquiarse. aieapin. fazer tosquiar. aieapin ucar.

[folio 41 recto – 2° col.]

71 72 73 74 75 76

1 2 3 4

5 6 7 8 9

10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33

To Tr Tosse. üú. tosse ter. xeüu. tostada ao fogo como caça. caẽ. ut: pira caẽ. Tostar assim. amocaẽ. alii etiā: xemocaẽ. Toucinho taiaçu cabacoéra. sendo do porco. Touro. tapiira apyabuçú. Toutiço. xe atoá. Tr Trabalhador morabykyçára. nde porabykyçára catú Trabalhador. aporabyky vul. aporavyky. Trabalhar mto e cançarse por algu͡ a cousa. Aieiucá [|] aib. recé. Trabalho, obra. morabykyçaba. o lugar de trabalho idʒ [idem] [|] oço porabykyçápe (‘foi ao lugar de trabalho’). fazer trabalhar: amopora=[|]byky v aporabyky ucar. Traçar. dimetior. amoçaangáb. Tragador. mocondára. Tragar. amocón. Trago e tambem bocado de algu͡ a cousa. jurú. oiepé [|] iurú nhóte. hum bocado só. Traiçaõ usar. cupébo v cupé. junto aos pronomes [|] ut: nde cupé coty eremonhang mbaé amó [‘você faz coisas pelas costas’]. Traidor. meengára. Trair. aimeeng v.g. nde xemeéng teõ çupé [‘tu me traiste à morte’]. Trajar. aieaomondé catú. trajo bem. eu visto bem. Traje. aoba. mbäé täé oieaomondeb. que traje tem? Trama, inchaço. pungá. Trama, enganno. Tramar. aipyamonghetá. Trampa tepotí. Trança. jopẽçába. Tranças fazer. aiopẽ. Trança [tranca] da porta. imoãtãçába. Transformar. aimonhang. Transformarse. anhemonhang. Transluzir ser translucente [transluzente]. xerenepyc. cenepýc. rel. Traquejar. apygnó. alii: apynó traque. tepynó. traz. cupé. Tratar algum negocio. aicó. recé. traspassar de hum vaso pª outro. aiocén. acecabóc. [|] vul. acecavoc. id est: despejar. Tratar bem. arecó catú. aimocuár catu. recé. Tratar mal. arecó aíb. arecomará [arecomarã]. areco memoã. Tratar se bem. aimocuar catu xeioecé. Tratar se mal. naimocuar. xeioecé. itʒ [item] oieereco memoã Cat. pag. 51 Travar, pelejar. amaramonhang.


256


257 [folio 41 verso – 1° col.] Tr 34 Travar como a fruta. apecũ mombýc.ut: xeapecũ mon= [|] mombýc icó yba. esta fruta trava. aporoapecũ mombỳc absl [absolutè] 35 Trave. ybyra goaçú. 36 Travesseiro. acangupába. aramapára. 37 Travesso. abá aíba. 38 Trazer. arur. 39 Trazeiro, anus. teicoára. 41 trazer a memoria. xemaenduar recé. 42 tremer de qlq͡ r sorte. aryrýi. xeryrýi. 43 tremer ou bater o coraçaõ como por medo. xepyatytyc v titíc [xepyatitíc]. 44 tremor. oryryi. ruryia meliùs. 45 tremor da terra. yby catácatáca. 46 trepar. aiopir v aiupir. 47 tres. moçapýr. o terceiro: imoçapýra. tres vezes: [|] mocapýr [moçapýr] ýi. – tres dias: moçapýr ára. – tres [|] mezes: moçapýr iacý. – tres annos: moçapýr a=[|]cajú. – tres noites: moçapýr pytúna. 48 Tresandar, feder mto. xenem eté. inem eté rel. ïaké. rel. 49 tresbordar. abubur. freqʒ abúr. simp [ação simples]. 50 tresmontar, evanescere. naiecuábi v nití aiecuáb. 51 tresaliar [tresvariar]. xeacangaib 52 trevas. pytúna v putúna. gdes pytún uçú. 53 triaga. poçánga. 54 Trilhar, ou pisar. apyrung. alii: apyron. 56 Trilhos de gente. mira rapé. 57 trincar. açuuçuú. 58 trincar no dente. amokyryrýi. v amokiririĩ 59 trinchar. amondomondóc. 60 tripas. tepoticoéra. nde repoticoéra. 61 trisca. maramonhanga. 62 triste estar. aicó temé. vul. akirí [akirirĩ]. xekirirí [xekirirĩ] 63 tristesa [tristeza]. tecomé [tecotemé]. vul. kiririçába [kirirĩçaba] 64 troca. cecobiara. 65 trocar tal por tal. acecobiar. 66 trocar o nome. acecobiar xeréra. 67 trocarse. aietrocar. vul. 68 trombeta. ita mimbý. 69 trombeteiro. mimbý pejuçara. 70 tronco, prisaõ. mondé. Cat: mundé. 71 tronco da arvore. ybyrá racá [racã]. 72 tropel de gente e qlq͡ r outro. teyia. 73 trosquiar [tosquiar] como sobre o pente. aiapín. 74 trovaõ. tupá. e naõ: tupã alii: Tupã pororóca. amaporóca. 75 Trovoada do vento. ybytu aíba. 76 Truz id est carrancando. toba acý. nde rova acý. [Parece que o modelo é B. Pereira, que escreve “Truz, id est carrancudo. Trux, trucis”]. 78 [sic] Transante ontem [trasanteontem]. amó coecé coecé

[folio 41 verso – 2° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9

Tu Tu. tua, teu. nde v inde. ndembaé: tua cousa. [|] nde recuia. tua cuja. Tuberos, testiculos. çapiá rel. rapiá. abs. Tudo. opacatú, opabinhé. Turbar a alguem. amopyaíb. Turba multa. míra reyia. Turvar a agoa. amoypyting v amopytingỹ. Turva estar a agoa. xerypyting. typyting rel, [|] falldo [fallando] do rio ou agoa turva. Tutor como do orfaõ cerecoára. rel. Tumor qualquer candúra 2 de natureza 1 [= de natureza candúra]. icupe candura [|] v icupekitã. corcovado


258


259 [folio 42 recto – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7

8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25

26 27 28 29 30 31 32 33

34 35

Va Vaã cousa. mbäé moanga. Van gloriarse [vangloriarse]. aierobiar xeioecé. Vaã gloria [vanglória]. jerobiaçába. Vaãmente moánga. Vacca tapiira cunhã. Vacca peqna tapiira cunhã teĩ v mucú. idʒ [idem] vacca novilha Vagado padecer. xereõar. isso he perdindo [perdendo] os sentidos. [|] estes se se naõ perdem, padecendo a pessoa so vertigē, [|] se dirá: xereçaguyrý. Vagarosamente. megué vul. mevé. Vagarosamente ser. xe mevé. Valle. yby tygoára. inusit. cate. goáia Valente e saõ. xecatú. naxemará [naxemarã]. Valente fazerse, causando medo anhemoabaeté v [|] xeabaeté. Valente ou esforçado ser xerãtã. xekyrymbáb v xekirĩbab. Valer ou custar mto a cousa que se vende. xerepy mará=[|]catú. cepygoaçú v cepymaracatú. rel. Valer, succurrere. apycyrõ. Valor. cepy. rel. Vaõ soberbo. morerobiareýma. Vanguardia. tĩ apýra. Varaõ. apyába. Vapor. timbóri. Vaporar. atimbóri. Vaqueiro. tapiira rerecoára. Vara. çaangába. Varrer. apeír. Vaso qlq͡ r camuti. meliùs: çurú. ajuntandolhe a cousa [|] que conserva, ou da qual he vaso, ut: jandy rurú, [|] caoĩ rurú: e se he de servir pa azeite vinho etʒ [|] se dira: jandy rururáma. caoĩ rururáma etʒ Vaso privado. caápába. potiába, mais politico. Vasante de maré. ycyrýca. Vasar a mare. acyrýc. Vasar o licor. anhocén, v aiocén v acecabóc. = avóc [acecavóc] Vasar se o licor. aiecén. açururú, qdo he por algu͡ a [|] abertura. Vasia deixar a caixa, casa etʒ aporóc uán v nití ipóri [|] nitimbäé ogoerecó. está vasio. rel. Vasar como quer. aporóc. servelhe de accusat a casa [|] caixa etʒ ut: peporóc ygára. descarregay a canoa Vasia estar. qlq͡ r cousa sem ter nada dentro. naipóri v [|] nití ipóri. rel. noipóri camuti. está vasio o pote, v iporeyma Vazoura [vassoura]. tapixába. tapixáva mirí, vazourinha. Vasallo [vassallo]. boiá. vul. voiá.

[folio 42 recto – 2° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40

Ve Vea do corpo qlq͡ r . taiýca v tagýca. ceragýca. Veado. çuaçú. Vedar. vetare. amoabaib.a. Vela, vigia. manhána. Vela de cera. candea tínga. Velar. vigilare. amanhán.a. Velejar. avatá çotinga irúmo. avatá ybytú irúmo. Vela de imbarcaçaõ. çotinga. Velha. goaimí. Velha cousa. antiga. ymána. Velhacaria. cate. tecoangaipába, qlq͡ r maldade. Ɔtra [contra] [|] a castidade. tecó poxí. mbäé poxí. Velhacaria assim fazer. aicó poxí. cate: aicó angaipáb. Velhaco ser ou velhaca no pro sentido xeangaipáb. no 2° [|] sentido. xepoxí. Velho na idade. tuibäé. Velhosinho. tuibaé mirí. Velida dos olhos. teça obý. vul. teça túnga v teça tínga. Velocemente [velozmente]. eçapýa. coritéi. Vencer como em guerra. aitýc. a Vender como quer. ameeng. Vender caro. acepygoaçú potár, quero vender caro. acepý=[|]goaçu meeng. vendo caro. a. vender barato: na=[|]cepy goaçu potar. a. Veneno. mbäé aíba. Venerar. aimoeté. Ventar o vento. apuám. apuám ybytú. v.g. coromo v [|] corì ybytu püámene. daqui se levantará vento. Vento. ybytu v yvytú. vento Ɔtrario [contrario]: ybytu xerobaitĩ. Ventre. v. barriga. righé. Ventosidade. tepynó. Ventosiar, lançar ventosddes [ventosidades]. apynópynó. v apygnópygnó Ventrecha. xeracapé. çacapé rel. çacapecoéra. tirada. Veo. jaçuiçába [jaçoiçába]. – áva [jaçoiçáva]. Ver. acepiác. Ver em sonho. xepoçauçupé acepiác mbäé. Ver bem, ter f boa vista. xereçapyçó – ver pouco: [|] naxereçapyçoi. vul. niti xereçapyçó. Veraõ. coaracý ára. Verbo. nheenga. Verdadeira cousa. mbäé eté. Verdadeiramente. çupí v anhé. Verdadeira ser a cousa. anhé. v äé. Verde na cor. obý. çobý. rel. Verde ser. xerobý. caá obý. mas isso he pp͡ rmte. [propriamente] azul. Verde naõ maduro. akýra. v kyra. iakýra. rel.


260


261 [folio 42 verso – 1° col.]

41

42 43 44 45 46 47 48

49

50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67

Ve Verde ser a fruta, naõ madura. xeakýr v xekýr. e ainda [|] se estende a tudo que naõ he devez [de vez], como crianza [criança] no [|] ventre. Verga. ybyrái. Verga, vergontea. vimen. cembó. ut: maracuiá rembó. Verga de ferro, arame. itá embó. Vergonha ter. atĩ. apouçú. çuí. Vergaõ de azoute [açoute] ou pancada. nupãçagoéra Vermelha cor. piránga. Veronica. Tupã. v Tupana. Ego dicerem ante: Tupã raan=[|]gába, v si sancti sit effigies: ybacupora raangába, [|] quod idem est, ac imago. Dei v sancti. Verilhas tanto do homem como da mer [molher]. tapupé. v xeracam=[|]bý. vul. ou so as da mer [molher] tapupír. Topin. mimborára. Verrugas. nhynhýnga. verrugas ter. xenhynghyng. ter [|] no rosto: xerobánhynhyng. íta vul. Verruma eodē modo. se poderia dizer: mõbucába. Verrumar. amõbúc v amopúc Verrumador. mõbucára. Verter. effundere. aiocén. Vertigem padecer. xereçaguyrý. Verse em espelho. aiepiac. anhepiac goarua pupé v [|] anhemäé. Vesco [vesgo]. teça iapára Vespa. cáva Vespera, tarde. carucume. alii: carucrame. Veste. aóba. branca. aotínga. Vestir a veste. aieaomondeb. Vexar. amoaiú. Vexiga. carucába. carucarurú. ty rurú. Vezarse. v. acostumarse. Vezes. cecobiára. Ventas. jande apúnha Verendas ptes das mes [molheres]. tamatiã. çamatiã. rel.

Vi. Via. pé. Vianda. tembiú v miú. xerembiú. nderembiú. cembiú. Vibrar. fazer tiro. aiapí. Vicio. tecó aíba. Vida. tecobé. vida boa tecobé catú. Vigia espia. manhána. Vigiar assim. amanhán. Vigia. vigilia alicujus sancti. ára ipiaçába iecuacu=[|]pába. v ipiaçaba ára iecuacupába. 9 Vil baixa cousa. mbaé aíba. mbäé nití catú. 10 Villa. tába 11 Vilhaõ. ába áiba. ába poxí. 12 Vime. ycipo. alii: cipó. 1 2 3 4 5 6 7 8

[folio 42 verso – 2° col.]

13 14 15 16 17 18 19 20 21 22

23

24 25 26 27

28 29 30 31

32 33 34 35 36 37 38

39 40 41 42 43 44

Vi. Vinagre. caoĩ çái. Vinda. rúra. xeroryb nde rúra recé. gaudeo de adventu [|] tuo Vingar se. aiepýc. recé. Vinha. mitýma. Vinho. caoĩ. vinho tinto: caoĩ piranga. Vinho forte. caoĩ acý. ut: çacý caoĩ có caoĩ. Vinho velho. caoĩ ymána. novo: caoĩ pyçacú. Vinte. xepó, xepý. Viola. lyra. goararápéba. Violar ou deflorar a virgem. amombuc, ajuntando [|] lhe a sojeita, ou no confessario [confessionário] só: cunhã. Violentar. vim inferre. amonhang v aioóc ou qlq͡ r [|] outro verbo segdo o que se diz ajuntandolhe: [|] cemimotára [cemimotareyma] rupì]. ut: araçó peró xeirúmo cemimo=[|]tareyma rupí [‘levei Pedro comigo contra a vontade dele’]. petrum invitum mecū duxi. Vir. aiur v aiori. Virar como o espeto ou a ponta ou cabeça, ou a pipa, [|] pao, arca, embarcaçaõ qlq͡ r. arobác. Virar pondo o que estava da parte de riba pª a baixo. [|] aimoiereb. vul. amoieréo. Virarse a pessoa pª outra banda. abac. anherobác [|] aierobac. aiereo. e assim se diz tambem, qdo a [|] pessoa, qʒ está de costas, se vira pelo contrario [|] do que estava. Virilha. v. verilha. Virtude. tecó catu. se he bontade [bondade] natural ou boa in=[|]dole: angaturáma. Virtuosa pessoa. aba angaturám. Visitar. aioçúb. naõ se uza ao presente, salvo que [|] no gerundio. ut: tiaço mbäé acybóra çúpa. vamos [|] a visitar os doentes. em lugar do d° aioçúb hoje [|] uzaõ: acepiác. Vista, aspectus. xerepiacába. icatú nde repiacáva Vista aguda dos olhos. xereçápyçó. teçapyçó. teçapyçó. Vista curta. naxereçápyçói. vul. nitì xereçá pyçó. Vituperar. aroirõ. Vivo, esperto. kyrỹbába Viver, morar. v. morar. Viver a seu gosto. aicó xeremimotára rupí. [|] Viver virtuosmte [virtuosamente]. angaturáma aicó. Iangaturáma [|] oicó. rel. elle vive bem virtuosmte. – viver [|] mal. naicó catú. vul. nití aicó catú. Viver mtos annos. aicobe v aicó catú. Viver em paz. aicobe v aicó pucúì. Virar os cantos da casa pª buscar amomurõ xeroca. Virar os mattos pª o mesmo. acaámomurõ. acaamboí. Viver com alguem. aicó irúmo. Visco ou visgo. pamong. ipamong. rel. está visquente [visguento]. [|] á. xepamóng. alii: ycyca. xeycýca.


262


263 [folio 43 recto – 1° col.]

1 2 3 4 5 6 7 8

9

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16

17 18 19 20 21

1 2 3 4 5 6 7 8 9

1

Un Vo Ungir. apixio. alii: akytýc. Unhas da maõ. po apé. dos pes: pyapé. Unhas de fome. v. encasso [escasso]. Unica cousa. oiepé mbaé Unir, conglutinare. amoiár. Unir, ajuntar. açanhán. Untar. akytýc v apixio. Unta. cagoéra. [Interessante: cagoéra é /kab-wer-a/ [kawera], daí o registro alternativo cagoera [kagwera] ou cabagoera [ver em ´gordura´].] Untura. pixipába. Vo Voar. abebé. freqʒ: abebé bebé. alii: avevé. ovevé. rel. Voador peixe. pira bebé. Voar juntmte [juntamente]: obebé oiepegoaçú. rel. Voar a miudo. freqʒ Vogar a embarcaçaõ, ou remar. aiapucúi. Vogar, proficere navigando. Ovatá ygára. Volta fazer o caminhante. anhatimán v aiatimán [|] fazer mtas voltas: aiatimatimán. Voltar sobre os inimigos. aieréo. çupé. Voltas mtas ter o rio, caminho. aiatimatimán. Voluntariamente. xeremimotára rupí. Voltar, virar. act. amoieréo. Volver. v. virar. Vomitar. avëen. v amoiebýri, cujo accusativo he o que [|] se vomita Vomito. veéna Vomitorio. poçanga oveenaoáma v oveengoaráma. Vontade. mimotára. mihi videtur omittendum: mi [|] Se͡ um [secundum] artem, quæ attribuit pronominibus syllabā [syllabam] [|] mi: v.g. xeremi, nderemi, cemi. Vontade te [ter] de comer. aiucéi. de beber. xeucéi. Vos outros: pe, peé. vossa cousa. pe mbaé Voz. nheenga. alta. nheengãtã. baixa: mirí v mevé. Vozaria. míra çapucaiçába. Vozear. açapucái. a miudo. açapucápucái. Ur Uz Urbano. abá catú. Urtica [urtiga]. pygnó pygnó v meliùs: pynó pynó. Uzanza [usança], uso. tecó. xerecó rupí. secundū consuetudinē meā. Uzar de algu͡ a cousa. aipurú vul. apurú. Uzurpar. apycyrõ. xemondà. amondarò. Uzurpador. mondoçára. se varias vezes felo: mondabóra. Util cousa. mbaé catú. Vulto. facies. tobá. xerobá. vul: xerová. Uvre de vacca. uber. cáma. idem de qocm͡ qʒ aa͡ li [de quocumque animali] Xa Xarope. moçanga v poçanga.

[folio 43 recto – 2° col.]

2

3 4 5 6

Z Zombaria [zombar] ludere. aiemoçarai. anhemoçarái. ut: enhe=[|]moçarái ume xe recé. naõ zombes de mim. Zombar com alguem, folgar amoiarú Zombar de alguem, fazer escarnio. aioiái. Zorra. v. raposa. Zunir. stridere. açunúng. A.M.D. Э V. M. H. Э G. [Ad Maiorem Dei et Virginis Mariæ Honor et Gloria]


264


265


266


267

Edição Diplomática Segunda Parte: Língua Geral Amazônica – Português (antes de 1756, Biblioteca Municipal de Trier, Alemanha) Nesta parte, e diferentemente da primeira parte, v [vide] pode significar ‘vel’ ou ‘vulgo’, mas também ‘ver’, ‘veja’. Outras abreviaturas: Ȼ letra riscada, ƥ ‘per’. Embora a maioria dos verbetes desta segunda parte tenha correspondência na primeira, alguns verbetes não têm. Não se indicam os casos de não-correspondência, mas apenas os verbetes que mostram particularidades notáveis, por exemplo divergências na forma ou no significado, e lapsos. Explicação do uso dos colchetes […], das parênteses (...) e das barras verticais [|]: Colchetes [...]: extensão de todas as formas abreviadas do latim e do português; correção de formas erradas da Língua Geral e do Português (até do Português da época). Parênteses (...): extensão de tudo quanto se agrega por parte dos editores, como comentários dos editores e traduções de exemplos em Língua Geral (com a indicação do significado entre aspas simples ‘...’). Barras verticais [|]: marcam a separação das linhas do manuscrito lá onde houver verbetes de mais de uma linha. negrito : aditamentos posteriores, do autor ou de outras pessoas. itálico : expressões em línguas estrangeiras (latim, alemão, etc.).


268


269 [folio 45 recto – 1° col.]

[folio 45 recto – 2° col.]

AB Aba tecocuàb. pessoa prudente. Aberàb. resplandecer. reluzir. Aberáberáb. resplandecer a miudo. Acaangàb, amoçaangàb. medir. aballizar, v assinalar. [|] Açab facio signū per modū crucis, qualicunqʒ [qualicumque] ex re. 5 2 Acekendab. aliis: acekendáo. fechar grlmte [geralmente] 6 1 Acacuab. crecer a pessoa ou a͡ al [animal]. 7 Açokendàb. fechar a porta. 8 Aiàb. nacer o pinto ou qlqr [qualquer] passaro. abrirse a flor. 9 Aiabáb. fugir. vul. aiavau. Xapì: punarëì. pynareita = ibóĩ. queres tu fugir (Mawe pun’ẽ ‘ele/ela corre, punhep ‘fugir’) 10 Aiabaiabáb. fugir a miudo. 11 Aiapixàb. v [vide] aiapixáo. dar cutilada na cabeça. xapi: [|] atiacỳc 12 Aicuàb. vul. acuàb. saber. eraticobǜ. (Xapí?) 13 2 Aiecuab. aparecer. 14 1 Aicò angaipàb. peccar. içapuidào (Xapí?) 15 F Amoacuàb. advertir a outro. a. 16 Amocacuàb. criar ou fazer crecer.a. 17 Amoiàb. tirar os pintos à gallª [gallinha]. 18 Amombàb. acabar. ac. tangórii. (tangorii Xapí?) 19 Amokyrỹbab. fortalecer a outro. a. Xap. ipopyangii 20 Amongoàb. peneirar ou coar, crivar. v [vide] amogoab. 21 Amonhanguab. fazer saber. 22 Amoiabàb. fazer fugir. 23 Amopocuàb. fazer que se acostume. xx 24 Amoputupàb. enfadar. a. itʒ [item] admirar a outro. agastar a [|] outro. 25 Amotecocuab. aconselhar.a. 26 Anhemoangaipàb. peccar. 27 Anhemokyrymbàb. ser valente, forte. tomar alento. 28 Apàb. acabarse. freq. apapàb. alitʒ [aliter] apao. aicohórai. (Xapí?) 29 Apocuàb. estar acostumado. N. negat. [negativo] nitì apocuàb. 30 X Amopoiabáb. fazer outro habil de maõs, ou que faça [|] depressa. 31 F Aiekendàb. fecharse 32 Niti aiecuàb v [vel] naiecuábi. desaparecer 33 Niti acuàb. Napocuabi naõ saber. 34 Nitì apocuàb. Napocuabi. naõ estar acostumado. 35 Xecacuàb. ser anziano [anciam, ancião]. 36 Xeacuàb. nde acuàb. ïacuàb. estar a risco a caça, peixe ut: pirà ïacuab. o peixe està a risco. 37 Xeangaipàb. ser roim em costume, impertinente. 38 Xekyrymbàb. ser valente, forte etc. ser animoso. 39 Xepoiabàb. vul. xepoiavaù. ser habil de maõ, fazer depressa. xepobebýi

AB. AC. 40 Xeputupab. estar enfadado N. andar aborride. etʒ [etiam] admirarse agastado. 41 Xetecócuàb. ser prudente. 42 Açobaçàb. benzer ou dar bençaõ. anheçovaçáb benzer se, cpstm [compositum] ex Toba et açab. 43 Aipynecoab. vi. [videlicet] aipynecoao. Amotecocuàb. aconselhar a outro.

1 2 3 4

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

1 2

3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15

Ac Abàc. v anherobàc. aierobàc. virarse a pessoa, canoa para outra parte. Ababàc. estrabuxar pa se soltar. Açàc. arrancarse. N. Acatacatàc. abalarse. a miudo. Acatàc. estar abalado. N. como os dentes. Xap. Aremonì. oçái aremonì Açaràc. ser largo como turinos Acepiàc. ver. atopiaki. (Xapi?) Aioacamutàc. amarrarē entre si os carneiros. arietare. Amobàc, v [vulgo] amovàc. virar.a. Amoçàc. arrancar o fingado [fincado]. Xapì: aticép. Amocatàc. Abalar. a. abanar o que esta fincado Amocatácatàc. Abalar a miudo.a. Amopàc. alii: amobàc. acordar a outro. sdū vdtʒ vitiosū, cū sigfcet [secundum videtur vitiosum cum significet]: virar, ut supra. Apar. acordar. N. Xapì: arepac Anhepiac, v aiepiac. verse no espelho. Arobac Xerembetatàc [‘bater os lábios’] Bater os dentes por frio. Xeranhatatàc [‘bater os dentes’] Amotàc

{

Maê pro p -- mbae. Anchi. pag 2. Ae Äè. v ahe. este v esse ou isso. Aè. he verdade. auje äè auje ipòc äè vox acceptantis. (vejam-se os verbetes I, Ac 23 Aceitar de palavra como o partido. Aujé äé v aujé ipó äé v e I, Ap 64 Aprovar aujè äé v aujé aipó äé, e abaixo II, Ae 13.) Aebäè. cobäè. esta cousa. Äè. digo. anhe äè. affirmar. Abà täè ? quem he ? Aipobäè. isso v isto, de que se falla, sem mostrallo. Amäè. olhar. recè. Xap. Oivàd. emäè xerecè: eriacà xetè Amäè mäè. olhar a miudo. Amoäè algū. (linha intercalada posteriormente; isto é indício de que a numeração das linhas é posterior à escritura do texto; veja-se o verbete “outro”, I, Ou 15) Amocaẽ. secar ou tostar ao fogo. Xap. atoncaẽ Amoeé v amocëè. salgar, ou adoçar. atonceẽ (deve ser Xapí também) Amombäè. alguã outra cousa. v alguã cousa. Auiè aipò äè. aprovar o que se diz. Anhemäè. ver se no espelho. Cobäè. esta cousa


270


271 [folio 45 verso – 1° col.] Ae 16 Erimbäè. qdo [quando]. em qʒ [que] tempo assim præt. como futuro. Xapi: = nímoi (Mawé nimo ‘muito tempo atrás’) 17 Mbäè. cousa. mbae täè ? que queres? mbae amò. outro Xapi: moabi.. cad gangëi. mbaetae erepotar? cadgangeituii 18 Mbäè caẽ (‘alguma coisa tostada’). ut: pirà caẽ. peixe seco, tostado. píra moncaẽ. 19 Mbäè recè täè? porque cousa? garetegangei? (Xapí?) 20 Mbäè ráma. para que : Xap. evanaei? 21 Maiavetäè? como de que maneira. Xap. carapoii? (Mawé karãpẽi? ‘quando’) 22 Mametäè? ajuntando oço v oicò, pª onde foy? aonde està? 23 Morotingbäè. vul = väè. a qlq͡ r [qualquer] cousa, que he branca. Xap. ikicing (Mawé ikytsin ‘é branco’). 24 Nhäè. alguidar. 25 Oiepébäè. única cousa. tomungvad. oiepe: tomúngi. (o acréscimo posterior deve ser Xapí) 26 päè. diz ou dizem. v.g. oçò päè. dizem que foy. 27 Täè, diçao que denota interrogaçaõ. 28 Tuibäè. velho. itipad pórëi. aitoriai. (As duas últimas expressões parecem ser Xapí) 29 Umambäè. o v a qual. 30 oĩbäè. o que està v he posto v.g. Cat pag 91. iecatuába cotỳ oĩbäè. o que estava a [à] maõ direita delle. 31 ogoatàbäè. o que passea. pérupì ogoatábaè. o que passa pelo caminho 32 Cera pöembaè. rel. Top. vulgo naõ se usa. aballizado, nome=ado, affamado. vul. aba retè, v moacára. 33 Uubäè 34 Cera ponimbäè affamado inusit. a xeréra poà. estar affamado. (linha intercalada posteriormente) 35 Uimäè aquelle. Ai. Ay. 1 Aì. minha may. tambem se diz: maĩ äì. (linha intercalada posteriormente) 2 Aanangai. de nenhuma maneira. 3 Acái. queimarse. N. itʒ interjectio dolentis. Xap. Aricaipori=téai. 4 Açapucái. gritar chamando. Xapi. aicara 5 Acarái. arranhar a outro. a. 6 Aiecarái. arranharse. N. 7 Aiemoçarái v anhemoçarái. brinquar ou Zombar Xapi: aremociarè 8 Aiererogoái. mentir. Toteneréei. (Xapí?) 9 Aiorái. escarniar.a. Aporoioiái. absl. [absolute] escarʒ. [escarniar] gente. 10 Amoapixái. ser crespo fazer. a. atãbybỳc 11 Amoçái. espalhar. açapujacà 12 Amoçaçái. espalhar aos inimigos. 13 Amoçapucái. apregoar, promulgar. ybyaicárai 14 Amoeçãi. allegrar o triste. a. 15 Amonhenepiái. fazer por se. vdtʒ [videtur] pýaĩ. 16 Amocoerái. enfadar se o lugar. ut: kyçaba xemocoerái. 17 Amoyai. fazer suar 18 Anhemoeçãi. allegrarse. a. 19 Anhenepyaĩ. pôr se de joelho. anhenepyaĩ ucar, ajoelhar a outro. 20 Aý. prequiça [preguiça] animal. exprimitʒ [exprimitur] aig (/aɨ/ ou /a?ɨ) ? 21 Auý. beber agoa. 22 Cái. està azedo. rel. 23 Çobái. da banda de alem: çovaipupéi. 24 Comandaí. feijoens. Xapi: muruì (malentendido? ‘feijões’ Mawé kumandá, Mawé murui ‘formiga-leão’). 25 Camarapecoái. bico de qlqr [qualquer] teta. 26 Ybyraì. vara. verga ou pao peqno

[folio 45 verso – 2° col.] Ai. 27 Naxerái. naõ tenho dentes, sou desdentado. (sorprende a desnasalização: -r-ái, em lugar de -r-ãi; a forma positiva da LGA é -ánha, xe r-ánha, forma que inclui a nasalidade). 28 Tái. queimar como pimenta. 29 Tapiái. hu͡ a casta de formiga gde, mais ainda do que a tocangkýra [tocandýra], mas naõ causa febre. 30 Teçaì. olhos pequenos 31 Teçaỹ. lagrimas. 32 Xeapixai. ser crespo. 33 Xeái. ter papo. xeaiuçù. ter papo gde [grande]. 34 Xepyça oçopucái [oçapucái]. Zunir os ouvidos. 35 Xejuruiái. ter a boca aberta 36 Xejereragoái { mentir. 37 Xeiururagoai { Top. Cat. fol. 233. 38 Xequerái v xecoerái. estar enfadado do lugar, ou aborrido da ocupaçaõ. cū [cum] recè rei, quæ causat horrorē. [|] ouvi tambem: xeporái. 39 Xereçarái. çuì. esquecerse. 40 Xereçarái. recè. esquecerse de fazer alguã cousa encomendada por inadvertencia. 41 Xereçayçái. lagrimas como quer. 42 Xeryái. suar estar suado. 43 Aiopoái. ordeno a alguem, que faça alguã cousa. Cate. 44 Xeieiái. repunhar como crianza a quem quer tomala. 45 Caíaì. delgado homem. 46 Hái. diz o que sente d’outro. arte. Anhemoçaçái, forte est error scriptionis, ita ut sit: anhe=moçainàn. acaùtelarse. v anhemoçacuì. 47 Xeremïgái. arrecanhar os dentes como caõ. Am Aiemoàm. encostarse. N. Amoapytàm. fazer campada. Amopuàm. levantar. a. alçar a outro. Anhepixam. beliscar em si. N. Apixàm. beliscar. ac. Apuàm. levantarse. N. alçarse Rebellarse. xeaçâm. alii: xeaxim. espirrar. Xeangaturàm. ser bom. ïangaturàm. he bom homem ser affavel em costumes. xenheengangaturàm. ser affavel em palavras. Aropuàm= v =oam [aropoam] levanto comigo. An Açanhàn. ajuntar o espalhado. Aiatimàn. andar em roda. anhatimã. aindaqʒ [ainda que] seja pessoa [|] como costumaõ os rapazes Açopenhàn, ir enfadados com alguem. commeter os inimigos. acodir a briga. Aiopàn. anhopàn. aybyrapàn. carpenttejar. Amamàn. embrulhar. fazer feixe. dobrar. amamàn cotinga. colligere vela. Amanhan. vigiar. v aico manhanámo. Amoanhàn. empurrar.a. id est, para qʒ [que] algū se va ou corra. Coemepotaruan. amanhece ja.


272


273 [folio 46 recto – 1° col.] An Anhan. correr. anhanhan. correr a miudo. Apyrupàn. Top. aporepyàn. comprar. teçainàn: olhos ligeiros, lascivos. Typavàn. rel. mingoar. ou a maré està baixa mar cõ paranà. Xeymàn. ndeymàn: iymàn. ser velhusco. Açambè mamàn. idtbainhar Aiaiubàn. amplecti v amplexus dare Acäánupá. abater, acamar o matto ou herva. anhanhuban. abraçar de qlqr [qualquer] sorte. amomoraigoan. agourar por via dos passaros. aipobã. fiar Ang. Açaang. provar. experimentar. açaaçaang. arremedar. Acaamondómoang. fui a caça debalde. Açape monhang. fazer caminho. Acecomonhang. dar ley, ordem. acecomonhang pedro dou ordem ao pedro. Açomoang. fingir de ir. Aieatimonhang. fazer o ninho qlqr [qualquer] ave ou aãl [animal]. aimoang. Jmaginar, fingir, suppor. Aimonhang. faço. vul. amonhang. Amaramonhang. brigar. Amoenorang. fazer praça ao hospede, ou qlqr [qualquer] outro. agradavel ser. bringar deshonestamente. Amopapang. sacudir como balaio, taboa e qlqr [qualquer] panno ou semelhante cousa. 2 Amopirang. fazer vermelho. tingir de vermelho. 1 Amopararang. rodar pelo chaõ. Amoporang. fazer fermoso. enfeitar. fermosar. Amoroçang. fazer outro soffrido, patiente Amoroyçang. fazer resfriar. Apararang. rodar pelo chaõ. Aporomonhang. gerar filhos. Aiypymonhang. começar huã cousa, ou ser pro [primeiro] a fazela. Atamonhang.fazer aldea, povoalha de novo. Atypyaang. palpar o vaõ do rio. Xepirang. estar vermelho. xerobàpirang. tenho rosto vermelho. Xeporang. ser formoso. Xeroçang. ser soffrido, patiente Xeroyçang. estar frio. Aticang. estar enxuto. N. Amoticang. enxugar o molhado.a amonoang. ajuntar o espalhado, est vitiosū. amonóong.

[folio 46 recto – 2° col.] Ao Acaáo. cursar. Açáo. fazer riscos in modū crucis Açaçáo. passar. Acekendáo. fechar grlmte [geralmente] Açokendáo. fechar a porta. Acoeráo. convalecer. N. v acoerab. Cate. apoerab v ao. Acuráo. chamar nomes ruins. Acurácuráo. freqʒ. [freqüentativo] prioris [(significado do verbete) anterior]. Acapixáo. dar cutilada na cabeça. Aiacáo. pelejar, reprehendere. Aieiurao. soltarse, desatarse, destorcerse. de desquitar se da mer [molher]. N. Aiekendáo. fechar se grlmte [geralmente] Aieporáo. mesmo com aieiuráo. Aiuráo. soltar, desatar, destorcer, desquitar os casa= dos. ac. Aporáo. idem cū [o mesmo que] aiuráo. Aytáo. nadar. Amoçaçáo. fazer passar. Amocoeráo. fazer convalecer. Amocucáo. gostar. Amombáo. acabar o começado. Anhangáo. reprehender. aiangáo. Apáo. acabarse. opáo, v opauàn. opábinè fut. Xeygacaõ travessar o rio Xepyeráo. atolar de qlqrʒ [qualquer] modo. Amopoeráo v ab (amopoeràb). sarar curar. act. Catech. Aimoioiàb alii aimoieiab. igualar o desigual. alii amöì iavè. aiemoioiab. igualarse. cum recè. Cate.p.45 Aipynecöao. passar pª diante de alguem sem saudalo. Aiáo. pelejar. reprehendere. in verbo abrir dicit eẽ idē [idem] cū aiab. Ar Aàr. cair. dicitʒ [dicitur] m̄ [multum]: pytýna öaruàn. ja anoitece. Aiar. tomar. aceitar. com çuì. Aiepirar. abrirse. anhepirar. abrirse gerlmte [geralmente] Apirar. abrir grlmte [geralmente]. act. Top. aipirar Apopirar. abrir estendendo como algodaõ. Acenondear. tomar a dianteira. anticipar o caminho. Acecobiar. permudar. Aiepotar. chegar ao porto. apegarse v.g. doença Aierobiar. esperar em alguem, confiar, ou fiar se de algum. Arobiar. crer. Açapiar. obedecer. Açopar. empaneirar. Acear. deixar.a. Amoieteàr. misturar, confundir. Aieteàr. misturarse. Anhetear. deixarse. N. Aiepiar. adargarse. N. scuto se protegere


274


275 [folio 46 verso – 1° col.] Ar Aieporacar. encherse. N. ou mariscar, aindaqʒ seja com rede pequena. Aporacàr. encher. saõ alguãs tapuias mes [molheres] querendo dizer no confessario: tantas vezes forniquei, dizem: xeporacàruàn v aporacaruàn xecúia, ocepè etc Aimocüar. tratar de alguem, ou alguã cousa. recè. Aieapù ucar. fazer affoquearse. [affoguearse] Acuapoar. cingira.a. hoc est per mediū [medium] corpus. Aiecupoar. ter compaixaõ. ser benigno. Aporauçubar. abslt. [absolute] ter compaixaõ de gente. Apapàr. contar. Apocòar. amarrar. Anhemomotàr. cubiçar a molher, ou qlq͡ r cousa. facio in me esse desideriū [desiderium] Amoàr. tomar com rede ou laço. item embarcar, o que pode andar por seus pes. Atupãràr. comungar. Acüabucar. saber 2 fazer 1. promulgar. notificare. accusar. Amoupàr. entortecer, arquear. aleijar, que nada ande. Açovaixàr. Top. açobaixar v acecobiar. responder, trocar, ou dar outro em lugar. Amopitubar. fazer outro mofino.a. Xepitubar. estar mofino. Amomaenduar. fazer outro lembrado.a. Xemaenduar. lembrarse. recè. Amoropar. fazer perder a outro.a. Amotar. bene volo. afficior. – Amomotar, facio desiderare. anhemomotar [|] facio in me esse desideriū [desiderium]. Xeropar. perderse. N. Xeapar. estar torto. arqueado. de gente ou aãl [animal] se diz: xepári (xe parĩ, veja-se I, Co 243 e To 62). Aportar. querer. itʒ [item] amare impurè. Aporopotar. ser luxurioso. Aporobiar. abs. crer no que diz a gente. Amoiepotar. com huma brasa ou tiçaõ acender outros. Amondar. sospeitar mal. xemena monda monda amò aba recè. Amendar. casarse. N. Amoapàr. incurvare inflectere. Amomendar. cazar os outros. Anhemondeàr. vir a prª [primeira] vez a regras as regras as molheres. Apoar. dar punhadas, ou dar com a maõ. Apoapoàr. freq. [freqüentativo] prioris [(significado do verbete) anterior]. Aroàr. embarcar cousa, que naõ pode andar por si, nem para isso tem potencia, e se leva. Amoar. embarcar, o que pode andar por sim, mas hic et nunc naõ vay, e se leve [leva], por naõ poder, ou naõ querer. sigfca [significa] tambem: tirar fogo do fuzil. Amoiar. encostar ou soldar huã cousa com outro.a fazer. aportar o naõ cū recè. empurrar. Anhemoiar. encostarse, chegarse mto [muito] perto pª outra cousa. Oronhomoiar. abalroar se huns com os outros, palavras, de que se pode usar na guerra, acommeteraã se os inimigos. Xemaraar. defalecer. Xemembyràr. parir. Xeragycapàr. encolherse os nervos. Xekyràr. mover a mer [molher] (veja-se I, Mo 72). Acotiar. pintar. escrever. entalhar. cúia cotiaba. cuia= pintada

[folio 46 verso – 2° col.] Ar Atiar pª [para] ilharga, pa [para] que vire a canoa. Açaangaatiàr. retratar. Xemembyrakyràr. abortar a femea. rel: ikyràr. v xekyrar. ikyrar rel. Xemorerecoar. ser agazalhador. recè. Xeracuar. vir a sessaõ. Aticoar. dereter.[derreter] a. a maneira como sal ou a fª [farinha] na agoa. sendo composto de tỳ, que quer dizer: cousa liquida, porqʒ naõ se escreverà: atycoàr ? (veja-se I, DE 121). sAieticoar. derreterse, da dª [dita] maneira. Xeangaibàr. estar magro N. Anhemoangaibàr. emagrecer.N. Amoangaibar. fazer magro. a. Aiecotyàr. fazer amizade, camaradajem. naõ se uzaõ desse verbo, mas tambem o Cate. fol. 237 poem: ereie=cotyape nde nhemoia recè. Acecàr. buscar. Açäobar. ameaçar com a maõ o páo. Açaçapàr. abafar hê pegar alguem Xemaramotàr. brigoso ser. abà maramotaçára homē brigoso. agastarse. Aimojuçar vul. amojuçàr queimar como alguns frutas, que che=gando as no rosto ou outra parte ardem causando tambem comichaõ, como v.g. ortiga latinè: urtíca. Aiàr. estou pegado. naõ he irregular, como outro aiàr que sigfca [significa] tomar. oiarãtã cerã iäóba inu pãçagóera recè? Cate. pag. 89 estava sua roubeta mto [muito] pegada nas chagas? item apegarse. mbäè acỳ oiàr xe recè. Au. Au comer ou sorver Ambaeu Amocau. dar vinho a beber. Amoau. imaginar, cuidar. Aporomocau. dar vinho a gente pª beber. ỹtaú. agoa pª beber. Mingau. papas ralas. Opindáú. rel. fallando se do peixe. id est: o peixe pica o anzol: ou come a isca. Typáu rel. sequentis verbi. està secò. Xerypàu. secarse o licor, ou estar seco.

{

Ba. v Aba. Abà. pessoa qlq͡ r. varão. item cabello qualquer Açaba. signū per modū crucis v modus illd [illud] facienda (faciendi?) Abapucuçába. estatura ou comprimento da pessoa. Acangupába. almofada. Amamandába. circulo. Amanderába. relampago. Aoba. alii: oba. vestido, roupa. vulgò se diz xeoba, nde oba, ioba sou vestido etʒ [etc.] Top. xeäoba etʒ [etc.]


276


277 [folio 47 recto – 1° col.]

X

X

Ba v Aba. Aopotucába. banco ou lugar, em que se lava a roupa. porque naõ se dirà ? aopetecába, dizendo alguns por lavar a roupa: aopetèc. amopituba. fazer mofins amofinar. Angaipaba. peccado. Apoà abà. bigodes ou buço da barba. Apyteréba. a calva. Apyába. homem, macho tambem de qlqr [qualquer] animal. Apycába. assento. Apycába poá. assento rodondo [redondo]. Ara raangába. relogio. Atoaçába, compadre ou comadre. Berába. resplandor. Bocába. abertura. Caapába. vaso ou servidor. Caangába, a medida ou molde. Carucába. ourinol ou urina. Çaiçába. a risca. Cába. gordura. Campeba. cabeça chatta. Catuàba. maõ direita. iecatuába faz o Cate. iecatuába rel. fol. 86.v.13. Çarýba. cacho. rel. rarýba. Cekendapába. tapadoura. Cembeúba. a orla ou redor do rio e de qualquer outra [|] cousa. ut: aoba rembeuba. abá [aba] do vestido. cembeúba [|] rupì. ao redor, cū motu [|] Cembeupe sine motu. Cenoĩdaba. nome ou apellido. Cepiacába semblante. ou rosto, ou frontispicio da casa ou outro lugar. Cevoipéba = péva [cevoipéva]. sambixúga. Cýba. testa. Cycába. a chega v vinda. vox hæc etiā [etiam] in usu est, qd͡ o [quando] [|] rem, ad implendā mensurā. ut: cocecoi uì cycába. eis aqui, [|] o que faltava para encher [|] a medida da farinha. Coaracỳcembába. o nascente Coaracycanhempába. o poente. Copixaba. roça. Cotucába. a ferida feita com ferro, pao, que tem ponta. itʒ [item] agulhãm ou instrmto [instrumento] de ferir. Curucába. a gargante. Eiruba. abelha. Eirarúba. outra especiè. Guararapéba. viola. Jacumaýba. o piloto Jaçoìçába. cobertura. Jande cibà. nossa testa. (veja-se I, Te 60 cybà testa) Jande ragyba. nosso queixo Jande reçà rába. as pestanas dos olhos. Japixapába. a ferida feita na cabeça. Japixába lugar aonde em qʒ [que] se atirou v matou v ferio alguem v.g. aãl [animal]. Japucuitaba. o remo. Japotiçába. a atadura. amarradoura. Jecirungába. a fileira. iecirungaba rupì. ordine.

[folio 47 recto – 2° col.] Ba v Aba. Jecotyaçára. amigo, camerada. Jecuapába. a aparencia. Jemboaçaba. a doctrina. reza. Jepeába. a lenha. Jerobiaçaba. a fè Jerocarendába. a pia de bautizar. porqʒ [porque] nao: ieçuca=rendába ab aiaçuì. Jerureçaba. a petiçaõ. Joaçaba, ybyra. lignū mutuo se intersecandi modo crucē [crucem] constituit. Jöauçuba. amizade. amor. affeiçaõ mutua. Jocypába. a cousa ou instrumento, com que, ou o lugar em que se alimpa algua cousa. Joocába. o remendo. Jopẽçaba. a Tranza. x Jecotyaçába. amizade. Juba. amarello. Jtà atýra. pedras amontoadas ou montaõ dellas. Jta curúba, as pedras que se metem em baixo das panelas. Jta júba. ouro. fazendas. bens. Jtá týba. pedregulho. Jucaçába. o instrumento, com que se mata. itʒ [item] o lugar de matar. Yacúba. agoa quente Ygarupàba. o porto. y apoypába. agoas mortas. Ypaba. o lago, tanque, lagoa Ypyryngába. o principio. origem. Maenduaçába. a lembrança. itʒ [item] pensamento. mbäè recè ima=enduaçaba. memoria. Mamondába. o rollo. Mboacyaba. arrependimento. Mbäè cuaba. a sciencia. Mbäè pycycába. o garfo. Mbäè roba. cousa amargosa. Mbäè tucaçaba. martello. Mytaçaba. aposento. estalagem. Meengaba. a cousa que se da, ou o lugar aonde se da. Membyrangába. o affilhado v da [affilhada] da femea. Mendúba. sogro da femea. Miauçuba. servo ou serva. Mira çapucaiçába. vozaria da gente. Mira raangaba. masquera, figura, imagem da gente. X Mimbába. a criação. alii: mymbába. Moabaibàba. o impedimento. x Mira recoçába. o sitio lugar aonde mora gente. Mocatyrõçába. o tempero. adubo. conserto. Mombucába. verruma, e tudo com que se fura. Monghetaçába. a pratica. Monhangába, lugar aonde, e instrumento com que se faz algu͡ a cousa. Mondycába. cousa com que se acende a outra Mondocába. faca qlq͡ r instrumento de cortar. Morandúba. as novas, dittos. Morapitaçába. a peste. x Moapyçácaçába. a reprehensaõ. X


278


279 [folio 47 verso – 1° col.] Ba v Aba. Mogoaçába. cousa por qʒ [que] se passa v coa algu͡ a outra: ut: panna camby mogoaçaba Morobixába. Governador. Morojubucába. forca. Morocotucába. punhal, ou cousa semelhante, com a que se fere gente. Moropycycába. o amarradouro da gente, ou instru= mento, ou o lugar de pegar gente. Moromongaraipába. o pia de bauptizar. Nheengaçába. o canto ou cantiga ou lugar de cantar. Nhemoçacuiçába. o apercebimento pela vinda etc recè. se he acautelar se de alguem: çuì. Nhemoçaraitába, o lugar ou instrmto [instrumento] de brincar. Nhemoçaraitára. brincador. Nhemoiaruçaba. a pilheira, ou o lugar etc. Pacova týba. o pacoval. e assim falldo [fallando] de semelhan=tes arvoredos. ut; Goäiába týba. Goajarà týba. inde etiam: aityba v aibtyba mto [muito] çuja cousa. Paiangaba. o padrinho da pia ou crisma. Papaçába. conta de algarismo ou numero de al= gu͡ a cousa. Pixipába. unçao ou esfregaçaõ. Piriricába a frigideira. Pitanga monhangába. a madre. Pituba. moffino. Pinda úba. canna de pescar. Peba. alii: peva. a materia podre das chagas. Pejuçaba. o abano para se refrescar pytumõçaba. ajuda auxilio. Pycycába. o punho da espada, e qlq͡ r [qualquer] cousa, para onde se pega. Pyrungába. o couce, ou lugar dos pes. ou aonde hū faz ponta, e se estriba. Pytaçaba. a estalagem. Pytaçocába. o pontalete. poacanga apyrçába. os nos dos dedos das maõs. Pobandába. o lugar ou instrumento de fiar. Pococába. bastaõ, e qlq͡ r [qualquer] pao, que se traz na maõ. dicitur m̄ [multum]: pococába rupì. as apalpa delas 2 Pocuçába. o comprimento 1 Pocoaçába. a atadoura, ligadoura. Poucitába. o rotulo da fª [farinha] ou com que se vira a massa da farinha, qdo [quando] se coze. Pokecába, a cousa com que se embrulha outra. Poranducába. pergunta. quæstio. Potába. vul. potáva. mimo. presente. donum. Potaçába. a vontade. ou a cousa querida. agoacē [agoacem] xepo=taçaba. achei, o que quiz. Quatiaçába. pintura. escrito. Tóba. aldea. Taçuba. alii: secundū expressionē [expressionem]. tacý ba. especies for=micæ

[folio 47 verso – 1° col.] Ba. v Aba Tacuba. febre. Taiaoba. alii: taiova. a cove. Tayrangába affilhado do homem. Taiyrangába affldª [affilhada] delle. Tapecoara. os folles ou o abano pª o fogo. Tapixába. a vazoura. Tatamoacába. fuzil pª tirar fogo. Tecocuába. a prudencia. industria agudeza. Tecomonhangába. ordenaçaõ. ley. Tejupába. a choupana Tendába. lugar aonde já esteve a pessoa ou qlq͡ r [qualquer] cousa ut: xerendába. Tĩbela. nariz escarapuchado. aliis: Tĩpeba. Tymbyaçába. a barra dos portos, ou a boca dos rios. Tobá júba. rosto amarello. Tobà. o rosto. Tobá raangába. a masquera. Toryba. contentamento. festa. alegria. Tubixába. vul. principal. Tuiucypába. os baixos dos rios, que saõ de lodo, e naõ se podem navegar. Tunga juba. alfanete. Tupába. lugar aonde ainda naõ esteve algua pessoa. nhäe túpaba. almario. Tupã potába. esmola. Tupãrauçupába. amor de Deos. Xepituba. ser mofino. Xeapyteréba. ser calvo. Xepy aóba. as minhos meias çapados [çapatos]. Xeremimonhangába. minha obra ou cousa, que eu fiz. Xeretymaóba. as minhas meias Xeroba juba. ser amarello do rosto. Kyba. piolho. Kygoába, ou Kyvába. pente. Kyrỹbába. valente. forte. o esforzado. Mbába pro paba, acabamento. Anchi. pag. 2 Moromonhemombeuçába. o confessionario. pöáóba. as luvas. Jtayba. a. arbor flavi coloris. exprimitur: itaúba Embeýba. Species arboris, folii lati; in cujus cortice latet succus, qui servit ad conficienda emplastra pro sanan=dis fracturis et læsionibus corporis. alii dicunt embaýba ygatîýba. proeiro. Çopytáýba Murutitýba. igarape do Xingù em baixo de Aricarà, e quer dizer lugar aonde està muitò murutì. itʒ [item] uruçacanga tyba. nomen Coü vide in fine. aityba mto [muito] çuja cousa. ygára iaityba (‘canoa suja’). ab aib et tyba. Ba v aiba. Abà aiba. homem máo. sic etiam dĩr [dicitur]. abaiba. Abäîba, enamorado mas naõ em ma parte. nde raiyra aba=îba (‘o enamorado da tua filha’). Acangaíba. o doudo. Amoacangaíba. endoudecer ou encabeçar a outro pa o mal. Amopyaíba. enfadar, entristecer a outro. a.


280


281 [folio 48 recto – 1° col.]

[folio 48 recto – 1° col.]

Ba. v aiba. Çaangabaíba. medida falso [falsa]. Cera aíba. appellido. rel. Çoò aiba. carne que se naõ come. Caraiba. vul. o branco homem. cunhã caraíba. mer [molher] branca. in rigore sigfca [significat] homem ou molher já bautizada ou benta. Ybytu aíba. a tempestade do vento. trovoada. Mbaè aíba. cousa ma͡ a. roim. Mbaè caraíba. cousa benta. ut: pindova caraíba (‘palmeira benta’) tanimbùca caraíba (‘cinza benta’) ỹ [y] caraíba (‘agua benta’). paiè aíba. feiticeiro. pacoba aíba. ygara aíba. etʒ [etc.] esta diçaõ aíba denota cousa ma͡ a ou çuja, ou velha ajuntandolhe a no fim de qualquer cousa. ut: panna aíba pode sigfcar [significar]pannos velhos, ou çujos, ou laceros sive quod latinis dicitur: centones. in Abacaxi pʒnuntiatʒ [pronuntiatur] 1ª syllaba ut Diphtongus, ita quam constituant a ï ãi Xeacangaiba. estar doudo. Xepyaíba. estar enfadado, triste. andar aborrido. Tagoaiba v taguaiba. Diabo. Taguaibunuçu. nomen alicujus Jndi principalis in montibus de ybyapába v Jbiapába; idemqʒ [idemque] est ac: nigrum Dæmonium grande ab úna, niger, uçù grandis, et tagoaiba Dæmon. Piraíba. certa casta depeixe grande. Jande úba. Coxa. Be. Menuba v melius Menduba. sogro. Anch. pag. 3. Abebè. voàr. Aieiabè. ser semelhante. rel. Amo abè v amobè. outro mais. Aicobè. vul. aicovè. estar presente, vivo etʒ [etc.] Amoçaembè. affiar. aguçar. Amoiìavè vul. pro: amoiiabè. igualar o desigual. 2 Aruobè. ainda de dia. 1 Arabè. baratta. animal. Acembê pro Acemê. Anchiet. pag.2. Amonhángbè. ainda faço. qual diçaõ posta no fim dos mtos [muitos] verbos, sigfca [significa], que se prosique [prossegue] a acçaõ. Be. particula de Ɔjunçaõ [conjunçaõ], como esta Abè, e sigfca [significa]: e, latinis: etiam: item ainda, tambem. vi. antecdtia [antecedentia]. item pstm [positum] in fine numeraliū [numeralium] sigfcat [significat] ambos ou todos v.g. mocoĩbe. ambos dous moçapyrbe. todos très etʒ [etc.] ovatar= be: deest adhuc Çabe v çave. esta bolorento. Çaembè. rel. està affiado, aguçado. Caraibebè Anjo. caraibebe ace raroána. anjo da guarda Coyrbe. ainda agora. ja agora. ao presente. Coiabè. v coiavè. assim deste [desta] maneira. Jande recobè. nossa vida. Jeibè. cedo pela manhã v hoje bem cedo. Mocoĩbe. ambos. pabẽ. todos fallando de gente. Tembè. beiço de baixo v ambos os beiços. Açambè maman. cmbainhar. videtʒ [videtur] dicendum: acembe maman, a tembè, beiço

Xerabè. estou borolento. abolorecer Ajubè. acordarse. Aicotebetebe. estou mto [muito] triste. affadicado. Cobe – catu meenga. agradecer. Jabe. a maneira (à maneira). xemonhunga iabe. como eu faço. xemonhangoera iabè como eu fiz. Bi et By. Abà poreauçubi. pessoa miseravel. Acambỳ. mamar a crianza. N. Aimimbỳ. tocar a gaita, bossina. Amocambỳ. dar leite a crianza. a. Caáobỳ. matto, folha, arvore, que tinge azul. Çacambỳ. reltosquilha. absltè. relat. forquilha. abslta [absoluta] vide infrà. Jande Cambỳ. leite qlq͡ r [qualquer]. Jta mimbỳ. orgaõ ou flauta de lataõ ou ferro como trombeta. Ybỳ. terra. Ybyra cambỳ. forquilha qualquer de pao. Jande ra=cambỳ [racamby]. nossas verilhas [virilhas] utriusqʒ [utriusque] sexûs. Mimbỳ. ter leite. Xeracambỳ. o vaõ que temos entre as coxas, por razaõ da semelhança com as forquilhas. Nambì. orelha. nambì mondokipýra. orelha cortada Cat. p. 76. Xeremimbỳ. minha gaita. Çurubì. certa casta de peixe gostoso. Tumbỳ. os lombos ou que chamaõ cadeiras. Tyby. ossada humana enterrada Bacurì arbor et fructus ejusdem rois [arboris]. vsqʒ [usquequaque] fructus dulcis. Cunambi Mobì v mbobi. Anchiet. pag.2. Bo Anhimbo. frechar. ou acertar o tiro com cousa qlq͡ r, que tem ponta. Anhimbonhimbo. frechar a miudo. Aribo. em cima. multi. aripè. Cembò. vergontea. vimen. ut: maracujà rembò. Jndébo v ndébo. dativus. a ti. amonhyrõ tupã indébo = = eu te absolvo. Jta embò. aráme. v ita rembò. 2 Nimbo, v inimbò. fio 1 Jxebo v xébo. dat. a mim. timbò. he páo. no que já se sabe, he o grosso, como hū braço ou perna, para matar peixe. o delgadinho que chamaõ: tembo titíca, he para as panacu = ricas ou para amarrar, qlq͡ r cousa (panacu ‘cesto, carro’, mas panacuricas?).


282


283 [folio 48 verso – 1° col.]

[folio 48 verso – 1° col.]

Apytybõ. vul. apytymõ. acodir, ajudando. Mbo. pro po. manus. Anch. pag. 2. Bu. Jambù. herva, que se come, e he salutifera. he rasteira. Jnambù. hum passaro, que he como gallinha. Urubù. corvo. o branco, que tem cabeça calva, como hum frade, chamaõ urubu tinga, contaõ varios prestimos medicinaes delle. piranambù. species piscis.

Ca et Ça. Aca v aka. corno. ïoca, rel seu corno abrirse a terra. Aiecà. quebrarse. aiecàiecà. freqʒ arte diz: acecar. Syn. [synonymum] aboc. Aieiucà. matarse. Aiepucà. arquejar como de cansado. ou fazer força para se soltar. estrebuxar. Aieoca. garganta, guela. Aiaticà. pregar, como quer que seja. Aiucà. matar. aiucaiucà. freq. a. Aiapatucà. atrapelhar. a. Açúnca v açúnga v acanga. apalpar cousa, que da de sim. ut: ereçuncape icama. apalpaste seu peito, mammas. Agoaça. mancebo – ba [manceba]. Amoapyçánga. reprehender. Amopocà. fazer rir. Anheapatucà. atrapalharse. N. v aieapatucà. Apéca. afastar a gente pª huma parte e outra, ou como o matto, ou romper pelo meio dos inimigos. itʒ [item] abrir estendendo como algodaõ. oroiepecà. affastarse a mta [muita] gte [gente]. Apoca. rir v apuca. N Apocapocà rir a miudo. Aporoiucà. absl [absolute]. matar gente. Apuça. ouvidos. aliàs scribit: apyçà Apuçáca [apyçaca]. ouvir. Apucã. torcer como camisa, sipò et similia v apukã Atucà. bater como prego. ou machucar. Boca. rachadura. Caà. matto. bosque Caoĩ roca. adega Jande apyça. nossos ouvidos.

2 1

Ca. Ça. Jande ragýca. nossa vea. Jande reçà. nossos olhos. Jandỳ róca. casa de azeite. Jatiúca. carapado. Jandu pyçà. tea da aranha. Jeióca. soluço. alii: jajóca. Jetíca. batatta. Jtakybáca. rebolo de pedra. Jtagýca. o estanho. metal. Jta maracà. o sino. Jpéca. pato. ajuntandolhe apyába ou cunhâ. Ybyrabáca. pao que anda em roda no engenho de açucar ou de agoa ardente. Ybyraráca. ramo do [da] arvore. çaca. rel. Jbyoca. parede da caza. Yçóca. lagarto que come as plantas. Ybýcatácatáca. terremoto. Mbaè atuca. cousa curta. Mbäè acybóra roca. casa dos doentes. Mbäè membeca. cousa froxa, molle, fraca. Mamaipóca. o rabisco. Membéca. timido, covarde. nde membeca. es timido. Mira roca. casa de gente. Mocaboca. fortaleza. baluarte.forte. Mutúca. mosca. Nhemoiaçuca. o bautismo Oca v oka. casa. qual palavra posta adiante a qlq͡ r animal, ou da cousa denota a casa do animal ou da cousa. v.g. guyrà roca. ninho dos passaros. Cava roca. ninho de vespas. etʒ [etc.]. jandy – caoĩ – íra roca, adega dessas cousas pyçà. rede de pescar. pokéca. o embrulho. teçà. olho. xereçà. meu olho. Taoca. huma casta de formigas, que tem dentes como anzoes. Tata pyácýca. o tiçao do fogo. titíca. o palpitar. xepya titica. palpitaçaõ do meu coraçaõ Tupã roca. casa de Deos. Jgreja. Tobà peteca. bofetada. – po petéca. palmatoada. Uça. carãquejo [caranguejo]. Epiçá v epyçà in composit. [compositis] repyçà. parte. Cate. Guarani: doc=trina Christiana repỹçà mbobipe raè ? (‘quantas partes tem a Doctrina Christiana ?’) R. [responsum] Yrundi epiçà (‘qua tro partes’) pag. 40. piri pipóca. junco. uubäè rupiáca. assucar. vul. assucarì. Ycýca qlq͡ r gummi, que sahe das arvores. a dura que serve pª as panellas: ita ycýca. nos demais ajunta se a arvore de que he. v.g.Jutäycýca.[etʒ] etc. Nhauumoca v Nhauumboca. casa de barro. Anch. pag. 2.


284


285 [folio 49 recto – 1° col.] Ce Cè. eu sei. indeclinavel. aicò recè. ocuparse em alguã cousa. habere rem cum muliere. itʒ [item] persequir [perseguir]. Recè. particula. propter. tupã recè amore Dei. habet et alias plures significationes. Cecè. relat. dicti recè. Xeioece. est relativū reciprocū [reciprocum] do d° [dito] recè. aimocuar xe ioecè. Oioece. eodʒ [eodem] modo recip. [recipientis] però oimocuar oioecè. Recè. cum. apyába omendar cunhã recè. o homem caza com a mer [molher]. sigfca [significa] tambem: por. atupã mongheta nde recè. rogo Deos por tì. aporarà nde recè. padeço por ti. qn͡ qm [quandoquidem] hìc sgfcare [significare] possit: propter. Çoçè. super. Inusitat. [inusitatum]. Coecè. ontem. cont coecè pyrù agora poucos dias há. Coece coecè. anteontem. amo coecè coecè. trasanteontē. Amoceê. amoeê. salgar. ou adoçar. Ceê. rel. està doce. pocè. no mesmo lugar comigo ou cama ou rede. ut: xepocè okéra. dorme comigo. oiopoce dormem juntos em huma rede. vitiosè dicunt: oiopucì. Yvecè pro ybecè. o rallo Kycè. faca. Coribarè diz: Kytce, dictū K pronun= tiando leniter, ut Germani g gutturale. Acè.

Cy. Ci. ỹ [y]. agoa. aimboacy. ter pezàr, dor, pena. arrependerse. v aimo= acỳ. ipoahúi. (Xapi?) Ambyacy. ter fome. Çacỳ. rel. ut: çacỳ ixébo. me peza. me doe. çacy xe acanga. doe me a cabeça. itʒ [item] qlq͡ r agudeza de liquores como de agoa ardte [ardente] Mbäè racy. dor qlqr [qualquer]. Coaracỳ. sol. ocanhem coaracỳ. o sol se poz. Cỳ. may natural do varaõ e da femea. Jacỳ. Lua. Xerobacỳ. estar acarrangudo. niti xerobacỳ. Caoĩ. acỳ. vinho forte. unde: niti çacỳ. rel. he fraco, falldo [fallando] se delle. Xenheengacy. ser aspero na falla. fallar com aspereza. Uubacỳ. setta ou frecha ervada. venenata. Xeropecì. ter sono. aliàs: xeropocì. e assim ouvi, ou mais: Apicì. pycacỳ. pomba. alii: pycaçù. Xembäè acỳ. estou doente. xembäè acỳ mirì, estou molestado. adoecer. Teicoaracỳ. almorreymas ou qlq͡ r doença no rabo.

[folio 49 recto – 2° col.] Co Ço Acoõ. queimar como a pimenta nos olhos ou outra pte. Aço. ir. aicò. estar. viver. entender com alguem, com recè. ut: teinhe eico xerecè. aiatecò. estar dependurado N. Araçò. levar. Arecò. ter. possuir. Areco tecò. dominar. amocoõ. queimar ut supra. a Amoiatecò. dependurar.a. Aporogueraço [aporogueraço]. levar gente. Aporoguereco. ter gente. Ajuricò. vou me de todo. sò na pra [primeira] pessoa. Aipyço. estender o dobrado. apyçõ acamar abater o mato. alastrar. Aiepyçò. v anhepyçõ. estirarse, estenderse. deitarse. N. onhepyçõ cäà. alastrarse. Cò. rossa Ço. ida. Çoò. caçar qlq͡ r. ou qlq͡ r animal ou carne. Jpiaramo açò. rel. ir buscar. Jacỳ irúmo aico. diz a mer [molher] estando com a regra. pyiyceò. os lombos. teça pyçõ aguda vista tecò. a costume. condiçaõ. officio. Teinhe toicò. deixa estar. naõ bulle nisso. temirecò. a mer [molher] do homem. Xereçà pyço. ter boa vista. Xe recò. meu costume. Naxereçapyçò. naõ ter boa vista. Ayçò. belleza. tecò officio. aiemböè tecò. aprender officio: aiemböè catu xerecò. aperfeiçoar se

Cu Çu Aicò pucù. tardar, viver, durar mto [muito]. Ara pucù. huã temporada. Amoturuçù. fazer gde [grande]. a. Çacù. rel. tem febre. Çuaçù. veado. Goaçu v uçù, part͡ la [particula] que se ajunta a varios nomes. Turuçù, grosso ou gde [grande]. Xeacanguçù. ser cabeçudo. teçagoarua pucù. o oculo pª ver ao longe. Apecũ. lingoa. Mbäè pucù. cousa comprida. Xepucù. ser comprido, alto. Amomucu. deter a alguem. v.g. xemomucùúme iepè. naõ me mto [muito] Detenhas. niti amomucù. despachar.


286


287 [folio 49 verso – 1° col.] Cu. Çu. Cabuçù. v cavuçù. mto [muito] felpudo. Xeracù. ter febre. çacù rel. Açuù. morder. mastigar. Amanuçù. chuva gde. Anamuçù. cousa gde [grande]. y apogoaçu v y apoaçu. agoas gdes [grandes] vivas. Apouçù. ter pejo. Aobuçù. roupaõ. ou sayo. Apucàuçù. o branco Apocuçù. apanhar a alguem fazendo mal. in flagranti. Boiuçù. o arco da velha. iris. Cepygoaçù. custa mto [muito]. Guyra goaçù. gaveaõ. passaro de rapina. Mutuù goaçù. dia santo gde [grande] como paschoa. Nambì goaçù. orelhas grandes. Okenuçù. porta gde [grande]. Jurugoaçù. boca gde [grande]. Mutucuçù. mosca gde [grande]. pyçaçù. cousa fresca, nova. alii: peçaçù. pouçù. grande. nimbo pouçù: fio grosso pycaçù. pomba. alii: pycacỳ. Ybycoaruçù. cova gde [grande]. grutta. Oiepe goaçù. todos juntos. Xe aíb uçu. ser feito, roim. cobaè aibuçù. esta cousa he roim, mto [muito] ma͡ a. Ybycuì goaçù. praya gde [grande]. Tapià goaçu. a potra. Taiaçu. porco. Caà goaçu. gde matto. bosque. Kycè goaçù. facaõ. ateymuçù. prequiçeraõ [preguiceraõ]. Xe abaetè goaçù. ser mto [muito] medonho, espantoso. Jacù. passaro, bastantemente formoso; grande com hum purù, e o que he mais, de carne mto [muito] deliciosa Jambù. herva, que se come. mutù. passaro. piraricù. species piscism itʒ [item] herba contra as febres (hoje pirarucú, também em português) piranambù species piscis

{

Ybarèmuçù. cebola. ybarè muçù týba. cebolar. Nitì igoagoaçù. facil. v igoagoaçúeyma. Da. Acekendà. arte: açokendà. fechar. Aiekendà. fecharse. Açokendà. fechar a porta. Mondà. furto. Xemondà. furtar.

[folio 49 verso – 2° col.]

De Amondè. encacerar. Jande. nos com vosco. Mondè. tronco. Mondepora. o que actlmte [actualmente] està no tronco. Nde v inde. tu. Janondè. antes. priusquam. Tenondè. diante em prezencia. Oirandè. a manhaã v. - - - - - Uirande. a manhaã.

Dy Amoendy. allumiar. amocendỳ. Mendỳ. sogra da femea. Tatà rendy. lume do fogo. v tatà endỳ. Xerendỳ. estar aceso. Xerendỳrendỳ. chamejar. itʒ [item] crecer a agoa na boca, como, que enjoa.

Do Amondò. mandar de ca pª la itʒ [item] largar Mais de naõ como corda: ut emonda [emondo] ixama, larga mais a sua corda Açocaàmondò. ir a caça. Acaamondò. caçar. Mimondo: mensageiro, como quer.

Du Acendù. escutar. ouvir. alii: acendùb. Aporandù. perguntar. Aporandù porandù. pesquiçar. Goandù. especie de feijaõ rotondo [redondo], e faz huã arvoresinha Jandu. aranhà. v nhandù. Mundù. gemeos.


288


289 [folio 50 recto – 1° col.] Ea Aiepëà. apartarse. N. affastarse Aipeà. apartar. desterrar.a. affastar. Açauçúbpeà. desamar o que antes amáva. itʒ [item] açauçùb poìr Aquéa. aquella Oioipeà apartan se v.g. amancebados.

Eb. Agoeb.apagarse o lume, fogo. N. Amogoeb. v amogueb. apagar. act. itʒ [item] scribitʒ [scribitur] sine b. Amondeb. alii por encarcerar. Anhemondeb. pôr se. vul. sine b finali. Aiereb. vivarse, o que estava de cima para a baixo. Aiereiereb. freq. alii: aiereieréo. utì et antecedens. abolinar, ir a bolina. Amoiereb. virar. act. Acereb. vul. aceréo. lamber. Amombeb. abater como matto ou herva. ou acamar o ja ditto. a inflectere. et h [hoc] ssû [suprascriptum] intllgtʒ [intellegitur] forte: encurto: da arte Aiemombéb v anhemombeb. v eo [anhemombeo] acamarse assim. N. abaix=arse mto [muito] pª ver o que cahio. acachaparse. alastrarse. Anhemõbemõbeb agachado andar pa naõ ser visto. syn [synonymum]. apunhè=punhe. Ec. Acipetèc. dar com a maõ nas nadegas. Apokèc. embrulhar. amortalhar. Açobapetèc. bosfetar. Aopetèc. lavar a roupa. Apopetèc. dar palmatoadas. Apetèc. bater com a maõ, como a roupa. Açaberèc. chamuscar o porco, caçar. Amomembec. mollificar o duro. ou enfraquecer.a. affroxarse o estirado. affroxarse xemembèc. estar molle, ou fraco. item ser maduro. ser covarde. Anhemomembec. acovardarse Acebpetèc. açoutar as nadegas com a maõ Aimoceè v amoêe. açucarar. itʒ [item] salgar. Aiepèc v aiepè. aquentarse. falldo [fallando] de gente e animaes. Xeẽ esfluo. çuguy abè ixuì iẽmi. effluit ex illo sanquis [sanguis]

{

Ei Eí. diz. 3ª pessoa. Aiucéi. desejar de comer. N. juceia çui nhote cerã ereu çoò ex mera cupiditate comedisti carnē! juceia çui nhote. Xeucèi. ter sede. N. Ajuruéi. lavarse a boca. N. Aiocei. lavar como quer .a. aiocéi pratù. Aporacéi. bailar.

[folio 50 recto – 2° col.] Ei Cunhã teî. rapariga te aos 12 annos. (A forma da LGA daquela época mudou da forma cunhã taĩ antiga para cunhã teĩ). Coritéi. depressa. agora pouco há. Neĩ, v aujebete. seja embora. Xecambycéi. desejar de mamar. Teî. deixaõ. ut: teî oço. deixaõ ir. se acompanha sempre com o verbo. Aieroba ei. lavarse a cara. Aipyeiù. lavar por dentro. v aipycéi. Aiepöei. lavar as maõs. Raméi. inus. [inusitatum] affigurarse. Em Acem. sair fora. ocembäè part. præs. tem. [participium præsentis temporis] o que sahe. Amocèm. lançar fora cousa, que anda por si. Arocèm. lançar fora ou levar fora cousa, que naõ pode ir por si mesmo, como hum pao etc. Apocèm. dar corrimaça. apupar. Agoacèm. achar. Cat: aguacèm. Aiegoacèm. auzentarse. Açokicem. cercar, ao que foge. Acanhem. perder se. N. Acanhecanhem. freq. perder se. pasmar. Amocanhem. perder.a. amocanhem ara. estar ocioso. Amoacanhem. espantar. Aputucem. respirar. tomar folgo. Amotynycem. v amotyrycem. encher ate a cima. Apoacèm. gemer. forte dicendum erit: Apyacèm, a pyà (veja-se I, GE 6). corde, ex quo procedunt gemitus. Xepoacem. gemer. Xeracem. gritar por dores. e assim se diz de qlq͡ r a͡ al [qualquer animal]. tynycem. alii: tyrycem. està cheo. alii: terycem v terecem. sic: xerécemo iepè itajuba çuì.estou abastado de dinhro [dinheiro]. Xejurunem. ter bafio. ou feder ou bafo. tambē dizē isso, querendo dizer, que algum he marandubeiro. Xepeipem. ser ascamoso. rel. ipeipem. Uirandè coèm. pela manhaã. anocèm. tirar por fora. eripio v. Anchieta dicit sæpe r pro n in. compo͡) [compositis] poni et vice versa. Apocepocem. vociferari. Xeremoem. mentior. recè de qua persona quis facit mendaciū [mendacium] nde remoema, tuū mendaciū [tuum mendacium]. Xeem. videtʒ [videtur] sigfcre [significare] effluere. derramarse. Catchi [sic]. pag. 93. (veja-se o verbete “sair”, I, SA 21). sic active [activum]: amoem. Bettendorff. pag. 47. En. Aiocen. desejar [despejar]. entornar. N. effundere. 1m lusitanicū videtʒ [primum lusitanicum videtur] error. aut certè dicendum: despejar. Aiecen. entornarse. vasarse. derramarse.N. Anheronhen. aster se pª emendar. inusit. alibi dicit: anheronhem. Apèn. estar quebrado, como pao, canna etc N. ou quebrarse. Amopèn. quebrar. a. Aveén. vomitar.


290


291 [folio 50 verso – 1° col.] En. Ceaquen. v ceacoen. rel. cheira. Xeraquèn v xeracoen. cheirar. lançar cheiro. Ajurumopen. quebrar a boca a alguem. Anhonen, resipisco: nde anheronhen facio me resipiscere. inusit [inusitatum] hinc vulgò d͡ ir [dicitur]: apoir ipò corì. desistā certò [desistam certo] v aico catu corì. nitì aimoiapỳr corì xereco aiba. Eng. Anheeng. fallar. mormorar. recè. ou piar o passaro. Anheenheeng. fallar a miudo. Anhecameeng. mostrarse. fazerse ver. N.item entre= gar se. Amocameeng Acameeng apresentar, mostrar. a. Acuabeeng Aiacameeng Apecameeng. mostrar o caminho. Acepymeeng. pagar. Aimeeng. v ameeng vul. dar. Apotameeng. dar mimo. dar presente. dar de mimo Acuapameeng. dar sinal. Atumonheeng. assobiar com a boca. atecobémeéng. animar. dar vida.

{

Eò. v Eõ. Aiaceò.chorar. N. Amoiaceò. fazer chorar. a. Acereo. vul. lamber. Acereceréo. lamber a miudo. Aiereo. virarse a pessoa pª outra pte. abolinarse Aiereiereo. freq. abolinar. ir a bolina. Amoiereo. virar de cima para abaixo. a. Caneõ.o cançaço. Xecaneõ. estar cançado [cansado]. N. cecè rei propter quàm alguem se cança. naõ sei, se he pprio [próprio] nesse sen=tido. Amocaneõ. cançar [cansar] a outro. a. teõ. a morte. Er Akèr. dormir. N. Amonker. fazer dormir.a. Apyter. beijar. abocanhar como fazem as crianzas. Açobàpytèr. beijar no rosto.

[folio 50 verso – 2° col.] Er. Apypyter. beijar o pe. Apopyter. beijar a maõ. Aroker, a arte escreve: aroquer. faço dormir comigo v.g. com o meu dormir causar em outro o son̄ o [sono]. Xepyter. ter amago ou medulla. Eu. Ambaeu. comer.

vatenoctai evecenoctai. tenoki Arenoke. erenoctae. tenoke erenokiĩ (Mawé: wa-tenuk tai’i ‘nós

comemos, certo’; er-enuk tai’i ‘você come, certo’; ewe-enuk tai’i ´vocês comem, certo’; tenuk-i ‘ele/ela não come’; arenuk-i ‘eu não como’; er-enuk tai’i ‘você come, certo’; tenuk-i ‘ele/ela não come’; er-enuk-i ‘você não come’).

Aù. comer. ahù ýi. Eù. coma. Éu. o arroto. Amombeu. dizer. propor. a. acusar. Xap. [xapi] acenoii (Mawé: henoi ‘ele conta, ensina’)

Amombeumbeù. publicar. a. Annhemombeu. confessarse. Aporomonhemombeu. confessar gente. ouvir confissaõ. Amonhemombeu. confessar. a. pai pachicu xemon = hemombeu (‘confessei-me ao padre Francisco’). Peù. comei, 2. pess. plu. Jmper. [imperativo] Xeeu. arrotar. He Hi Ahè. homem. Ehẽ. sim, das mulheres. Aimoinghe. meto dentro Namonhanghi. naõ faço. Ja. Aià. o papo. xeái. ter papo. bóia. cobra. Boià. o vassalo. vul. voia. Caà taia. mostarda. Coemià. amanhece. coemepotaruàn. Çovaia. rabo de qlq͡ r aa͡ l. [qualquer animal] Çapucaia. gallinha. Apyàba. gallo. cunhã . gallinha. Jereragoaia. mentira. ou patarata. Moraceia baile poraceia { putià. peito de qlq͡ r vivente. Cate: potià. Nhemoia. cōboça (cobiça?). Rapià. testiculos. çapià. rel. Jia [Ia]. rel tem fruta (veja-se o verbete “fruta ter”, I, Fr 32). taia. ardor ou queimar da pimenta. tajà, herba, cujus radix servit ad sananda vulnera ab a͡ alibʒ [ad arbitrium libidinemque] vene= natis inficta Tocaia. casa da criaçaõ. in )poC [compositis] rocaia. Tyiúia. a escuma. Teyia. multidão qlq͡ r [qualquer] ou ajuntamento. Tamuia v tamunha. o avò. in )po͡ C [compositis] ramunha. Çupiá. ovo qlq͡ r [qualquer]. Tyaia. o suor. xeryaia mocucúi panna v camisà, o meu suor mto [muito] faz cahir (‘desmiuça’) o panno v camisa (veja-se o verbete “desmiuçar”, I, DE 269). Tamatià. verenda mulierū [mulierum]. mbäe bebyia. cousa leve. Arýia. a avò. piã v miã boubas.


292


293 [folio 51 recto – 1° col.] Ja sive ia. Tapyyia. barbaro. Xepo bebyia. ser ligiero de maõ. trabalhador com ligei=reza pyà bebyia. os bofes Uceia. a sede. xeucéi tenho sede. Jykytaia. salpimenta. Scribunt alii: jukytaia. Xerecuia. meu cabaço. Gikia. os lovos. Jandià. huã casta de peixe mto [muito] gostoso. potáia. pessulus, obex v.g. okena potaia. Aieçapyà anticiparse. Acepoia. arrepentementos ter de frio ou doença aceopyaia. paladar ou Ceo da boca vul: cuanha Ya Eçapyà v çapyà. depressa. y exprimitʒ [exprimitur] ut u gall. [gallicum] v u simplx [simplex]. pyà. coraçaõ de qlq͡ r vivente. mbäè Kyà. cousa çuja. ikyà. está çujo. rel. amokyà. s çujar. Jande renepyã. nosso joelho. Typóia. aquelle panno, feito a modo de rendinha, em que trazem as crianzas. Areçapýa. apressar ou anticipar outro.

Yb Jb. aib. Aiocỳb. alimpar grlmte [geralmente]. Jacypára. alimpador. Jocypába, lugar ou instrmto [instrumento] pª alimpar. Amorỳb. allegrarse. confortarse. comprazer: consentir, affagar a outro. algazalhar. agradavel ser. amansar hū a͡ al [animal]. amimar. Amororỳb. fazer, que se allegre.a. Xerorỳ. allegrarse. Amororỳb. alii: amoçorỳb. ajuntandolhe: ità maracà repicar, ou alegrar os sinos (veja-se o verbete “repicar”, I, RE 123). Agoegỳb. Decer. N. ogoegyb ybỳ apyteribe. descendit in mediū terræ id est ad inferos. Amogoegỳb. fazer descer. a. itʒ [item] aimogỳb idʒ [idem] abaixar. act. ex alto demittere. Açobaçàbaib. amaldicoar. excomungar. Aib. in fine verbi. achamboadamte [achamboadamente] grosseiramente. Amoaib. arruinar. affear. contaminar. Amoabaib. impedir. Amondò aib. mandar a outro affrontado, envergonhado. Amopyaíb. enfadar a outro.a. Xepyaíb. estar enfadado, tripe. agastado. Areco aib. agravar alguem, mal tratar. Amongaraib. bencer. sagrar. Xeaíb. estar roim, naõ prestar. çaìb. rel. Xeanghecoaib. andar affligido. v sine h. temendo algū mal. agastamento. interior.

[folio 51 recto – 2° col.] Jb v aib. Xekera aíb. estrevinhado [estremunhado] gemer. gemer em sonho. Xepacaib. acordarse mal. Anhemoaíb. fazer luto ou dor. Aiucaaíb: amofinar a outro.a. Aico aìb. diz a mer [molher] estando com a regra. Aiùb. estar deitado. naõ pertence por aqui. v. in ub. Agenticeçatyb. cegar a outro lançando po nos olhos Aimoerapoanaib. infamar a outro. Açobacỳb. alimpar a cara de outro. aiapixib v aiapixio vul. affagar com a maõ na cabeça. Apoçanongaìb. apeconhentar [apeçonhentar]. Jc. Yc. Acambìc. amassar. Açopitìc alcançar a alguem. syn. [synonymum] apycỳc. Acambiric. amassar. esmegar. esmilgalhar. Amoagỳc. coalhar.a. Xeragỳc: estar coalhado. ut: çagỳc. rel. està teso, forte, como linha. està coalhado. Apokirìc. fazer cocegas. alii: amokirìc. Apokiri= Kirìc. freq. Acotyc. exprimitur: uc arpear. Aixamecyc. puxar pela corda. Atitỳc. estalar como a arvore pª cair ou a trave. Apycỳc. pegar de alguma cousa. abarcar, acolher algū afferrar de algª [alguma] cousa id est pegar. Amoapycỳc. contentar consolar outro.a. confortar comprazer. Ceẽbỳc. està es salgado Amotỳc. picar o peixe o anzol. Amocỳc. fazer chegar. Amoycỳc. brear. Aguapỳc. assentarse. N. Amogoapỳc. fazer assentar a outro.a. Amondỳc. acender. Aitỳc. derrubar. lanzar no chaõ. aitỳc itaçáma. v aitaçamitỳc. ancorar. Apypỳc. calcar com os pes. Amoybỳc. coser. abainhar. Aiepoitỳc. acenar com a maõ chamando. çupè. Xeapycỳc. consolado contente estar.N. aquietarse inter=iormente. Aieaceokytỳc v aiaceomondòc. degollar. sedendo. Anhemoapỳc. abaixarse mto pª ver, o que cahio. Aiaitỳc. abaixar a cabeça chamando. com. çupè. alibi habet: aieaitỳc. vi. abaixar. Atitìc. palpitar. Aitytỳc. lutar. oioitytyc. estaõ lutando. Xepycyorỳc. escorregarem os pes. Anheitỳc. lançar se em terra. Aieaybỳc. abaixarse. Aiubỳc. apertar. affogar.a. Aiubỳc. com xe nheenga. absterse de fallar.


294


295 [folio 51 verso – 1° col.] Jc Yc. Aiepỳc. vingarse. N. Aiaiubỳc. affogar. apertar.a. Aieiubỳc. affogarse. N. Aiepypỳc. allagarse.N. Amoiepypỳc. allagar. a. Aiapypỳc. Atyryc. arrastarse. ou ir a rasto. e tambem fazer se mais pa ca ou para la. ou recuar atraz. Amotyrỳc. arrastar assim etc a. Acyrỳc. escorregar. vasar a marè. de assim se diz: çuguy mocyrýca ixui. fizeraõ lhe escorrer o sanque [sangue] Cat pag. 89 Akytỳc. rallar. limar, esfregar. burnir. Apyc. furarse. ou estar furado. Amopỳc. furar, verrumar. alii: Amobùc. Amobỳc Xepyatytỳc. temer. bater o coraçaõ por medo ou doença. Aiepoapyc v aiepuapỳc. encolherse como o panno. depois de molhado. ou como que dorme, tendo frio. Anhacangitỳc. çupè. abaixarl à cabeça. inclinare caput. Aipoepyc v anheeng poepyc, responder pelos mesmos termos. altercár. Aiacapyc v aiemoacapỳc pentear a outrem. Aiecapỳc. pentearse. Acuapycỳc. abarcar com os braços pª a cintura a alguem Aiapypỳc. meter em aperto como pelejando, disputando v abater || aipypyc. rebater „razoẽs”. ajuntado lhe nheenga vg. aipypỳ. aba nheénga.

{

{

Je. Acykyie. ter medo. temer. Xapi: arikenei. (SateréMawé: ken’ẽ ‘estar com medo’). Amocykyje. pôr medo. amedronhar atokenéi. (SateréMawé: token’ẽ ‘ele/ela está com medo’). Auje v auie. basta. indecl. ao usadas. copiose. Amoauiè. acabar.a. perfeiçoar Anhemopaiè. adivinhar. Paiè. medico. adivinhador. Pyçaiè. alta noite Jeije. hoje mesmo v Jeeiè. Aicò manaie. alcovitar. Amanaiè. alcoviteiro. v ra [alcoviteira]. Aiamanaiè. Alcovitar. ser alcoviteiro.

Jm. Ym. Xepinìm. ser manchado o animal ou qlq͡ r [qualquer] cousa. Xepinipinim. freq. Amopinìm. fazer manchado. Anhomim v aiomim. esconder.a. Aiemim v anhemim. esconderse. Aba ïacuaým. pessoa idioda [idiota]. ïacuaým rel. he tal. Aiotym. plantar, enterrar.

[folio 51 verso – 2° col.] Ym Aporotym. enterrar gente. Xeiakym. estar molhado. Amoiakym. molhar. a. Anhetym. enterrarse. a. Aroaneym. tal vez. por acaso. Amocym. fazer liso como huma parede. Xecỳm. estar liso. mbäè cỳm. cousa lisa. Apyryrỳm. andar em roda como pião. Apyryry pyryrỳm. Aiamotareym. querer mal. odiar. Anhemotareỳm. odiarse. Aporomotareym. odiar gente. absl. [absolute] Xeroçangỳm. ser impaciente. Xe ateỳm. ser preguiçoso. Amopyryrỳm. fazer andar em rodo [roda] como pião. Coecenheym. antigamente.

Jn Jng Yng. Aiapin. tosquiar. Aieapin. tosquiarse. Apipin. alii: apopìn. beliscar a comida. Aicuapamoin. marcar como caixa, vaccas. Aiopin raspar. aplainar ou aparar como pera. Anhopin. idem qd [quod] aiopin. acepilhar. adelgaçar como vara. Xepiring: ter estimulos da carne. Amopiring. causar os dos [ditos] estimulos. Amiming. empollas fazer a agoa. ytypyting. v ypyting. agoa limosa. turva. Amotining. mirrar. secar. a. atining rel. mbäè tininga. Xeating. ter cans na cabeça. Xeaceotining. ter securas na garganta. Xereçating. ter nevoas nos olhos. Amonhynhyng. fazer murcho. Xenhynhyng. estar murcho

Jo Apixio. Ungir esfregar. Agiò. estar cozido. ogio uàn ? Amagiò. cozer.


296


297 [folio 52 recto – 1° col.] Jo Jande nhyõ [nhyã]. aquelle pequeno vao, que temos no meio do peito (veja-se I, Ou 22). Aiapixío. affagar com a maõ pela cabeça. Jabiõ singuli. ara jabiõ. singuli dies. vulgò arabiõ. v ara jabè. ara jabiõ ndoára quotidianus. Jr Yr. Arojebgr [ajerobyr]. facio rem redire mecū. arojebỳr potar volo reducere mecū. Açair. riscar. Açoiçair. freq. sarjar. Acopìr. rossar [roçar]. alii: acupir (veja-se o verbete “roçar”, I, Ro 2). Açopìr. levantar. alii dicunt: açupir Açaybir. chuviscar. Aiopìr v aiupir. sobir. o Top. aieupir. Apoìr. largar. çuì. absterse. oiopoir. largaõ se ad invicē [invicem] v.g. amancebados. Apein. varrer. Amopoir. fazer largar, ou apartar como, os amancebados v apoìr ucar. Cate: amomboir. v aimomboir. v apoir =ucar. tepopir. largo como fitta, ou panno, taboa. Jandè rapupìr. nossas verilhas. mas so das Mes [molheres]. Amixìr. assar. a. xeraimitir arrecanhar os dentes como caõ Anhemixir. aiemixir. assarse. Açauçupoìr. desamar, o que antes amava. Air. desgrudarse. Amboir. desgrudar. Acaapìr. alimpar a rossa [roça] campo de herva. Atykyr. pingar. atykytykỳr. freq. Amoatỳr. amontear, fazer montes de qlq͡ r [qualquer] cousa em cumulo. Xereçaytykỳr. lagrimar, qdo [quando] chegaõ a correr as lagrimas. Amoiapỳr. acrescentar ao curto ou numero pª fazer mais comprido ou mais numeroso, itʒ [item] pª comprir o / que / falta Xeatỳr. estar hu͡ a cousa em monte. ou estar em montaõ. Aiebỳr. tornar. aiebyiebỳr. freq. passear. Coỳr. agora neste instante. Moçapỳr. tres. Abyr. bolirse pª levantar se o que està deitado. Atykykỳr. embeber como o vaso novo o licor. Xepotỳr. florecer. ipotỳr. rel. Okỳr. chove. aierurepoir. cessare ab oratione. aimomboir Ɔpstū [compositum] ab Apoìr, potest sigfcare [significare] procurare separa= tionē [separationem] vel esse in causa, ut aliquis relinquat aliquid. Eg. [exempli gratia] in Cate. pag. 229 ereimomboirpe cunhã amò imena çui ? fuistine causa ut aliqua mulier discederet a suo marito ? Ju Jy. Jù. espinho Amoaiù. molestar. inquietar. amotinar. anhemóaiu amotinarse.

[folio 52 recto – 2° col.] Ju. Jy. Aporomoaiu. absl. [absolute] inquietar gente. ita Cate. sine i rast. Nhemoaiù. reboliço Apejù. assoprar. abanar. alius dicit: apijù Anhepeiu. assobrarse N. abanarse. Acajù. o anno. e tambem huã fruta, que ha huã vez no anno. Amaniju. algodaõ. teiù. lagarto da terra. tembiù. o comer ou manjar. xerembiú. meu comer. Mitiù. o cheiro de peixe fresco. Xepitiù. ter este cheiro. ipitiù goaçù. Jkejù. he hu͡ a casta de grillo que he optimo pª fazer ourinar. se daõ so 2 pernas delle, attordas [attoradas] e feitas em pò. Aierogiù. fazer misura. Aceiỳ. alii: acegiỳ. mudar a casa indo pª perto. Aieiỳ. mudarse pª perto. Çucurijù. cobra. serpentis species prægrandis. Nitíu. naõ.Xap. üdii (Sateré–Mawé: yt ... i). piragoara: üd meju forte ab miu: piragoara dicit: man Ke Aikè. entrar Aroikè levar ou metter pª dentro, o que vay nas costas, e naõ tem potencia ainda remota pª andar. Amoinke. levar pª dentro, o que pode andar, ap ou podería, se naõ tivesse impedimento. alii: aimoinghè. Kè v ikè. aqui. ike cecoi. aqui esta. purakè. cotovello. Tobackè. em presenca. xerobakè. diante de mim. Xeakè. nde ake. ïakè. feder. Kè cotỳ. para ca. Acepiakì. consentir, permetir, dissimular. connivere, isso he vendo o que se faz. sabendo poderà se dizer: Acuabĩ. juxta regulā [regulam] artis. pag. 141. Ma. Aiatimà. anhatimà. andar em roda. Anáma. parente, grlmte [geralmente] etiam sigfct [significat] grosso: dick, dichte. Amuma, alii et meliùs ambúva. moncos. ain dickes holtz. Aimorupéma. joeirar. a. Angaturáma. bondade, angaturáma. Apyçaýma. o surdo. moco. Aputuuma. miolho. Apytáma. cambada. Amâ amâme. Anch. pag. 3 Ateyma. preguiça vicio. Nupama p nupâçaba ibid[em] Cáma. peitos ou tetas de qlqr a͡ al [qualquer animal]. Çapopéma. a raiz chatta ou larga. enéma. escaravelho. Mopaũ áma. Anch. pag. 3 Jacumà. o leme. apitiáma Anch. pag. 3. Jta gapéma. espada de ferro. Coema, a madrugada.


298


299 [folio 52 verso – 1° col.] Ma. Jta pucuçama. corrente. itaçuuçama arpaõ. Jta nema. cobre. Yýma. o fuso. Jururerycéma. a boca chea. itʒ [item] porerycema. as maõs cheas. Ybyáma. Barranseira [barranceira]. Ybarema. alho ou fruta que fede. Ytororoma. bica qlqr [qualquer] de agoa. Yma. eyma. partla [partícula] que se ajunta aos infntvos [infinitivos] dos verbos pa denotar negação. ut: jucaeýma. itʒ [item] a varios nomes. item pro sine. v.g. panna eyma sine panno. Xembaerama aiòr. appropiar. Manema. moffino. Mbäè nema. cousa que fede. morerobiareyma. altiveza, soberba. Moropotareyma. a castidade. Miàmiáma. espremedouro grlmte. vul. miamiçaba. Mbäè péma. cousa plaina. Membyreyma. femea maninha. Mendaçareyma. solteiro ou = ra [solteira]. Nauuma [nhauuma]. barro. Anchi. pag. 2 Nhemína. encubertamente. as escondidas, nhemina rupì as surtadelas. clandestinè.| amenda nhémina. clandes=tine contrahere Oiamotareyma. odio. Goaráma v aõáma: para. junto aos verbos e no fim delles. ut: aimonhangoaráma. aiucà aõáma. e tambem se ajunta a alguns adverbios. ut: coritèigoaráma. alii: coriteigoaramo. potest et dici: aõama. Panapanáma. barboleta. Panéma. debalde sem caça sem porçaõ levando aos outros. petýma. tabaco. Peyma. alii: peuma. genero da femea, marido de sua fa [fêmea] Poacéma. gemido. videtur dicendum: pyacéma Ráma, diçaõ que sgfca [significa]: para. ut: ybyra ygara ráma. poçánga ráma. niti mbaè ráma. sigfct [significat]: ad, adhbtʒ [adhibitum] in | in ͡oi [omni] re, quæ adhuc o͡ [non] est. eimeeng xe gice ráma ‘dá-me (futura) faca (que estás fabricando)’. tecateyma. Escassessa [escasseza]. Tetáma. regiaõ. patria. xeretáma. Tupaçama. corda. Minupanáma. Anch. pag. 3. Tĩpema. nariz atilhado, alto. temitýma. pomar. xeremitýma. Tanheýma. desdentado. çanheyma rel. in Ɔpõe [composições] ranheyma Tybeyma. falta mingoa de alguã cousa Cabeýma. porerycéma. as maõs cheas. motareýma rupì. invitè, a força. ut syno. [synonymum] acỳ rupi. çacỳ rupì rel. ijara ramimotareỳma rupì, furtive raptim. Jcuabeýma rupi. as cegas. inconsultè. temerè. stolide. pirà puama – repotì ambar. Çaporema. Anch. pag.3. Me. Me. præposiçaõ de estado in loco, e do movimento ad locū, em algumas [alguns] nomes oçò paranáme. oicò paraname. oço, oicò nhume. Memè. sempre da mesma maneira. Oico temè. ter necessidade. alii: aicó teveî. Affligirse. estar affrontado. Aicotemeteme. estar afflito por gde [grande] tristeza. N.

[folio 52 verso – 2° col.] Me. Aimongateme. causar a outro necessidade. a. affligir a outro (com) terrores. Amoramè. alguã vez. v amoremè. Coeme. vulg. coemramè. pela manhaã. coricoemè logo no outro dia. Çuaçumè. a cabra. Carucumè. vul. carucramè. a tarde. Corì coéme. a manhaã. Uîme. alli. lugar que vejo. ou : ahi Umè, diçaõ que se ajunta aos imperativos e futuros dos verbos para denotar negaçaõ. ut: eiucaumè (‘não mate!’). tereiucaume (‘não vá matar!’). Umáme. aonde, em que lugar, interrogando se, se lhe poem a par͡ tla [partícula] pe ou täè. ut: umametäè ? (‘onde está?) ita vul. e naõ: umamepe, o que he Top. e naõ se uza ao presente. Peéme. dativo. a vòs. paranáme. para o mar. ecoãi parame pytuname v pytuneme v pytunaramè. a noite. Amóme alguã vez. Mi Aiamì v anhamì. espremer. Anheamì. espremerse. Aiapomi. mergulhar a outro. a. Açapumì. fechar os olhos. a. Cunumì. vul. curumì. rapaz. Goaimi. velha mer [molher]. Jacamì. avis hominis (communitatem) valde amans. [jacamim, Psophia L.] Mo. Mu. Apytymõ ajudar. oiopytymõ ajudão se huns os outros. Amo. outro. algum. Coromò. logò. coromò oçò. Mbaè amò. algua cousa. Apytymò. ajudar. acodir. Acicimò. enfiar. Aicoramò. recè. agora principío. ou agora he a pra [primeira] vez, que faço isso. ajuramò. ainda agora venho. e assim ajuntando o d° [dito] ramò a varios verbos sgfca [significa]: ainda agora. açoramo. ainda agora me vou. amonhangaramò esta he a pra [primeira] vez, que faço isto. etc. Beamò. posto no fim do verbo. mais outro. Xeamò. minha Jrmaã. diz a femea. Jrumo v irunamo. cum. Xe mù. meu Jrmaõ, diz o homem. Jurumù. abobras. saõ de varia casta Coritéigoarámo. para breve tempo. alibi coritéiramo, ainda agora. Mo. præp. vid. ar. [vide artem] syllaba adjici solita ƥ [per] elega͡ am [elegantiam] pcipue [præcipue] vocibus dignitatē exprimentibus. ut: xerubamo cecou. itʒ [item] indignitas a͡ cis [alicuius] v doloris exprimitʒ [exprimitur] emphati. Ramo. vide notas in art. fidei. pag 10 transversa. Cecobiarámo. os revezes. mutuò successivè. jandaramo v inhandarámo aicò. bailar abraçado com outro. xeandaramo recò trazer assim em bailes, a verbo arecò. Coyramò, ainda agora e essa he as pra [a primeira] vez.


300


301 [folio 53 recto – 1° col.] Na. Amána. chuva. Çuaçuména. o bode. Jta. minà. lanza. Juçana. laço. alii nhuçana. Jatiunáma. artemija. Japúna. o forno pª cozer paõ. Jnduà mena. o paõ de pilaõ. Ceraquena v ceracoera. a noticia ou a nova. Carõana. o guarda, ou o que està em guarda rel. ymana v iymana, v inhymána. antiga. Manhana. a vigia. Mamána. feixe. Ména. marido. Mína. o esterpe [estrepe]. Mbäè úna. cousa preta. mbaè pixúna. o mesmo. Mbäè retúna. o cheiro. Moraigoana. o agouro. Xemoraigoána agoureiro. Pai apina. frade leigo. Paranà. mar. Pixana, apyába: gatto. cunhã: gatta. pytuna v putuna. noite. pytuna rupì. as escuras. pytuna oàr uàn, anoitecer. pinda úna. o anzol de ferro. Nhäè apúna. forno pª cozer fª [farinha]. Pycyrôana. Salvador. livrador. Rána. dição, que sgfca [significa], que a cousa, a qual se ajunta, he bastarda e naõ legitima ou verdadeira. v.g. pa=cóva rána. pacóva bastarda. apyába rána. homem que parece mais mer [molher] que homem pelas acçoẽs. rarõana. a guarda da caza etc. Caraibebe ace rarõana (‘anjo da guarda’) teçà úna. a minina [menina] dos olhos. Tapyúna. vul. tapanhuna. preto. tapujya negro. Ciubarána. espadana, peixe [espadana do peixe?, uubarána]. Jaiubana o abraço. Joanhubana Tobanhána. vul. xerovanhána. meu inimigo. Ybycuiúna. area preta. Goaurána. a embigem [impigem; Prosódia guäurána]. okéna. porta. Caranà. arvore de folha grande a modo de estrella. costuma se pòr nas Jgrejas etʒ [etc.] Caàpena chamaõ os Tapuyyas o matto quebrado pª conhecer o caminho. Jtà marána. acha, instrumto bellico. Mána. manime [‘manojo’, ‘com um manojo’]. Anch. pag. 3 [Anchieta 1595, p. 3–4: “Com preposição, Pé, ut tĩ, timè, amâ, amâme, paranâ, paranâme, ánga, ángimè, mána mánime, mé pro pè”]. Nga. Atinga. os [as] cans da cabeça. Abà raçanga [reçanga]. o choiraõ [choraõ]. Acanga. cabeca ql͡ qr. Anga. a alma ou sombra. angoéra estando fora do corpo. Anhanga. o Diabo. Arucanga. as costella [costellas].

{

[folio 53 recto – 2° col.] Nga. Çacacanga. ralo como joeira panno etʒ [etc.] similia. Canga. a canna como de braço. Catinga. cheiro ou fedor de raposinhos. Poránga formoso. cunhã, curumi, poranga. tambem se diz: paranà poranga, estando o mar quieto. Çupià tinga. o branco seu[,] a clara do ovo. Cupè canga. espinhaço. Guara piranga. barreiras junto ao mar, ou em terra alta. Jta jutinga. prata. Jnamby tinga. a codoniz [codorniz]. Jpindà poranga. he bom pescador de linha. Jüuba poranga. he bom frecheiro. Jovà motinga. o entrudo. y tinga. aqua [água] branca. Ybytinga. a nuvem. Ygapenónga. ondas do mar ou rio. Ybytymotomonga [yby tomotomonga]. terremoto. Ybycuì tinga. area branca. Ypytinga v typytinga. agoa limosa. Jande canga. nosso osso. Maramonhanga. a briga. Möanga. por comprimento, naõ de veras. Mamanga. bizouro [besouro]. Moçanga ou poçanga. meinha [mezinha]. Mbaè mocanga. cousa rala. Morotinga. cousa branca. Mbaè nhynhynga. cousa murcha. Mbäè piranga. cousa vermelha. xeroba piranga (‘tenho o rosto vermelho’). Nheenga. a falla. a palavra. nheenga poránga. palavra engrassada [engraçada]. pengà. o sobrinho da femeà [fêmea]. xepenga pitanga. crianza. pytanga. mbaè pytanga. cousa parda. pyacanga. o dedo do pe. poacánga. o dedo da maõ. (ver comentário no Anexo 2) Pepocánga. espadana de peixe. ou osso das azas de ql͡ qr passaro. Paranà pytinga. o rio das Amazonas. seu mar turvo. Gíba pecanga. a espadoa. tetè piringa. estimulos da carne. Tapyyitinga. tapuia branco ou estrangeiro. tabà tinga. barro branco. Typytinga. agoa torva limosa. Tatatinga. a fumaza [fumaça]. fumo. Tendybatinga. as barbas brancas. Toba poçanga. enfeites do rosto. toçanga. a patiencia tungà. o bicho dos pes. tinga. branco. pinda tinga. anzol branco. Tagoa piránga. rubrica fabrilis [,] almagre.


302


303 [folio 53 verso – 1° col.] Nga. Xeretyma canga. a canella Xeremimonhaga. minha obra. Jecirungába rupì. a eito. ordine[,] ordinatim. Açúnga. apalpar cousa molle. Çotínga. à vela da náo. amaman çotinga. colligere vela. amondo çotinga çama. largar mais a chorda opyrúnga, fortè: iopyrunga. aos couces. penaránga. rodella de joelho. Jenneanga. congregaçaõ. hoc intellgn͡ t. [intelligunt] Bettend[orf]: nheinhanga [nheenhanga] Nha Javanha. crista do galo (Eckart: jacuánha). açopenhã. acometer os inimigos ou acudir a briga. Apunha. a venta. Açapùtatapúnha. fazer carvaõ. Çaynha. semente. Cunhã. molher. femea ql͡ qr. piranha. Tizoura [tesoura]. Xeranha. meu dente. çanha. rel. Xeramunha. meu avo. Tacoanha. membrū virile. tatapunha. carvaõ. Tyanha. o gancho. Kyynha. a pimenta. Ybyrakyynha. cravo da terra. Jta pyva coanha. harpaõ que tem tres pontas. Moanhäá. Top. anel. vul. anéra. Cuanha. vulg. paladar. aceopyaia Anhanê inusit[atum]. anhande. Anch. pag. 3 [Anchieta 1595, p. 3: „Nos verbos compostos com e in fine], vt Anhân, Anhanê, Anhandê”].

[folio 53 verso – 2° col.] Nhe. Benhe v be. posto do fim do verbo sgfca [significa] outra vez, ou: segue a fazer obrar. ut: emonhangbe. segue a fazer, faças tu tambem isso Deiranhe. ainda naõ. Aenhè. confirmar o ditto. Acò tenhè. estar ocioso. Nhe. a caso. nde catunhè. acabar já imperat. vul. emoaujè aaniranhè ainda naõ. Top. Jcatupenhè. a olhos vistos. Ni. Goarini. guerra. Agoarirì [agoarinì]. guerrear. Açogoarinì. ir a guerra. Naxeramani. quedo estar sem se bolir

No. Nho. Amanò. morrer. Amanomano. padecer accidentes. morbo caduco laborare. Ameno. fornicar. Apynõ. alii: apygnò. Traquejar. Taconò. mula. doença. tepynõ. o trague. (I, Tr 25: traque, tepynó). temiminõ. neto ou neta do homem. pyno pynó. a ortiga. oioiemenò. conheceremse o macho e fêmea.

Apâne, Aiune, Acene, Apene. Anch. pag. 1 [Anchieta 1595, p. 1: “Os Tupìs de sam Vicente, que são além dos Tamoyos do Rio de Janeiro, nunqua pronuncião a vltuma consoante no verbo affirmativo, vt pro Apâb dizem Apâ, pro Acêm, & Apên Acê, Apê e, pronunciando o til somente, pro Aiúr, Aiú. E assi addita algũa parte das sobreditas pronuncião, Apáne, Acéne, Apéne, Aiúne, Apátemo, Acétemo, Apámo, Apámeimo.”]

Nhe. Anhè. assim he. certamente. syno [synonymum]: anhetè. çupicatù. item = Bem està Anhe anhé. no fim do verbo sgfca apressa/da/mente. Anheranhe. affirmar. Xeranhe. tenho pressa. estar apressado. amoanhè. apressar. a. Anhemoanhè. apressarse. N. Açopenhè. acometer os inimigos. Apunhè. andar de coqueras [cocaras], ou gatinhas. auienhè. bem està assim. auieramanhe. perpetuamente de tempo futuro. Cecoabanhe cousa que foy sempre. costume antigo. Jepinhè memenhè continuadamente. sempre. nhenhe Jabetenhe. dessa mesma maneira. Jcatutenhe. assim nem mais nem menos. taço ranhè. vou por en tanto. tenhè. no fim do verbo. araço tenhè. hei de levalo, sigfca [significa]: em todo o caso. sgfca [significa] etiam falsamte, inutilmte. Teinhe. deixa isso. cessa de fazer.

{

Nhò. somente, a caso. aenho. so isso. aipobaenhò. so isso que tenho ditto, ou tu dizes. anho. somente.

Oa. Jnaià roã. alii: inaia ybyà. palmito (veja-se I, 37–38, Palmito). Apycavapoã. banca rodonda [redonda]. Aoã, aquelles ou elles poucos. inusitat[um]. Amoapoã. fazer rodondo [redondo]. ïapoà. esta rodondo [redondo]. rel. Amomemoã. borrar. çujar o escrito, pintura, panno etc. Acangar oba poã. barrete. Arecò memoã Tracto male, inique (vejam-se três verbetes que seguem nesta seção). Atoà. toutiço. Mbaè apoã. cousa rodonda [redonda] . Nimbò v inimbo apoã. novello do fio. Aba memoà. pessoa maliciosa Arecò memoà. maltratar. agravar Tagoà. barro amarello. tecò memoà. a malicia. Jukyrapoá. sal em paõ. ou paõ de sal. (possivelmente ‘sal em pao’, ou ‘pao de sal’; no português atual temos ‘guaraná em pau’ ou ‘pau de guaraná’). .


304


305 [folio 54 recto – 1° col.] Oa. jande pynhoã Tornocello [tornozelo] Çapecoà. lingoa ou ponta da terra. Paragoa. o papagayo. Taracoá. fomiga preta, fedorenta, mediana. Tracoà – roba [taracoá róba]. folha do matto. aipynecoà. vi. aipynecoao (ver acima, sob Ao). pyçoã. o peqno vão no meio do peito. v nhyã. Top. Xeréra poá. ser affamado. inust. [inusitatum] caramöà, arca et tudo o que disso serve Top. forte idem est cum caramemöà in catech. (VLB: ‘arca’ caramemoã, Prosódia: caramöá). Oc Aiapòc. apoquentar diminuindo. a. Aieiaròc. apoquentarse. N. Aiecoc encostarse. Aiaticoc Aiambüòc. tirar os moncos a outro a. Aieambuòc. tirar os moncos a si mesmo. a. Aiaoboc. despir a outro. a. Aieaobòc. despirse. N. Aioòc. tirar. Aieioòc. tirarse. Aceròc. bautizar por nome. Açoroc. estar rotto. Aieroc. bautizar se ou tomar nome de novo. Acecabòc vul. acecavòc. despejar ou vasar [vazar] de hum vaso pª outro. Açoboc. vul. açovoc. despenar. a. Aioçòc. picar como ao boi com agulhaõ. Açoçòc. pilar. Aybyçoçoc. pilar as taipas. Açoc novos [novelos] arre/be/ntar, como fio, corda etʒ [etc.] oçocuàn rebentou. Açondoc Akybòc. catar. a. Abòc. alii: apòc. racharse. abrirse. in verbo abrir dicit aboc v apòc de terra et floribus. Aiaparóc. endereitar o torto. Aiobaòc. alargar cavando e dilatando a borda. a. itʒ [item] a ferida. Aiebaòc. alargar se assim a roda, como a cova. N. Açapiaòc. capar. a. Açapoòc. arrancar com raízes. Aceroceroc. por nomes motejando. Aiepavoc. partir do parto. Açacamondòc. podar. Aiacangoc. cortar a cabeça. ajuntando lhe o aãl. ut: aiacangòc boia (‘decapitei a cobra’; cf. I, CO 198). Amoiaoc. v amoieòc. repartir porçoẽs. cupè. Amobòc v amopòc. rachar. vul. amovòc. Amondoròc. rasgar.

{

{

[folio 54 recto – 2° col.] Oc Amocororòc. gargarejar. Aporòc. despejar. peporoc ygára (‘despejem a canoa!’; Prosodia: despejar a caza, caixa, canoa &ca Aporóc). Apiròc. esfolar. Aiparabòc. vul. aparavòc. escolher o melhor. Acatuóc. escolher. Açaynhoc. descascar legumes, ou tirar as sementes. Açuguyòc. sangrar. a. Aieguyoc. sangrarse. N. Apepooc. tirar as pennas das azas. Apocòc. apalpar. itʒ [item] dar em outro, batalhar, brigar. cum recè. Apytaçoc. ter maõ sustentar como hum espeque (cf. I, Te 46). akytingòc. acaialar. limpar da ferrugem. polire. aliis: akitingòc. Aixamboc. tirar ou cortar o atilho, corda etc. Aporóc. despejar casa caixa etʒ [etc.] (veja o verbete idêntico no início da seção) Amoybyçoc. abaixar. ut: emoybyçoc nde acanga. (‘abaixa a tua cabeça!’) id est fazer a cova v.g. fundar. Xejurubòc. ter a boca aberta. Aybyòc. tirar a terra. cavar. Xeieiòc. xeiaioc. soluçar. Aieceomondòc. degollar. Ajuramondoc. idem. Amamaròc. desenrolar. Amoçondoc. quebrar fio corda sem faca. (Prosodia: ‘Quebrar isso por muitas partes’ Amondoçóc ł Amoçondóc.A. Freq.o Amonoçonoçóc). Amonoçonoçòc. idem. Açokendavòc. abrir,o que naõ està fechado com chave. amoxaviòc. abrir o fechado com chave. Açapumõboc. abrir pro deflorare virginē. vdlʒ [videlicet] dicendum: açopemonboc. Apoòc. apanhar como frutas da arvore. Aimoiaroc. videtʒ [videtur] sigfcare: solvere aliqd, qd [quod] alteri adhæret. v prosequi sic dicunt: Jamoiaroc jande rape. prosequamur nostrū [nostrum] iter. Oe Aimboè. ensinar. a. Aiemboè. v anhemböè. aprender ou rezar as cousas de Deos. aiemböè catu. aperfeiçoarse. cū [cum] recè. Aporomboè. abs. ensinar gente. Aipöè. por a maõ. Xejuruböé. aberta ter a bocca. Apöè. v apoecatù. longè. arte (ver I, Lo 14). Comandagoé. favinha. Ycypöeẽ. alcazus (ver I, Al 13: alcaçúz). Açacapumombae. fornicari. vox valde turpis. videtʒ dicendum: açape momboc v mombuc (‘abro caminho’) . (i)psa Tapuya etiam appellant membrū muliebre, çape. via Oi Cevöì. lombriga. Öì. farª [farinha] da terra. a arte: üi. Amboì. rasgar. anhemboì. gretar. gretar as mãos. onhemboì xepò Cocecoi. o que esta. Amboimboì. freqʒ. rasgar a miúdo.


306


307 [folio 54 verso – 1° col.] Oi. Oy. Amopoì. adelgaçar. amiudar sed hoc vidtʒ [videtur] vitiosū. Acaamboì. virar as mattas pª achar. Amöì, ajunt, [ajuntando] taýna v pitanga. acalentar o menino, que chora. Aiaçoì. cobrir. abasar. Mocoĩ. dous. ou par de qlqr [qualquer] cousa. Acepyeroĩ. apreçar. Acenõi. chamar. culpar a alguém. a. Nimboì. v inimboi. linhas. poì. mbae poì. cousa delgada. assim também dizem: panna poì. panno do linho, fino etʒ [etc]. Xepoì. ser delgado. Ipoì. rel. Xecorói. ser aspero ao tatto. Xeroỳ. ter frio, çoì. rel. tem frio. Roỳ. frio. Acybycói. solapar ou tirar a terra pª passar ou assentar alguã cousa. Amoroy. esfriar. act. Caoĩ. assim chamaõ toda a casta de vinho ou bebida aceda [azeda] caoĩ tatá água ardte [ardente]. caoĩ acánga. agoa ardte [ardente] da cabeça caoĩ piránga. vinho ordnrio caoĩ missa monhangába. vinho pª a missa. On. Ong. Amocòn. engulir. amococòn. freq. Mbaè pamon. cousa visguente [visguenta]. Xepamon. ser visguente [visguento]. ipamòn. rel. Anhenong. deitar se. N Amonhenong. deitar a. Aiatimong. balanzear se [balançar-se] na rede ou cousa semlhte [semelhante] Amoiatimong. banlanzear [balançar] a outro. a. idem potest dici de thuribulo. Amonoong. ajuntar o espalhado. Apoçanong. curar. mederi. a. Anhepoçanong. curar se. N. Xerygapenong. ondas fazer. N. Aiobapoçanong. pôr se mutas no rosto (ver I, Af 15). Açóvapoçanong. polas a outro. a. Aioõ. arder como pimenta nos olhos ou noutra parte (ver I, AR 14). amotöõ. fazer arde assim. Apöò arrancar herva sem raizes. itʒ [item] folhas da arvore, cabello. Aietanong. Or. Açabeupor. estar bebedo (ver I, Be 1–2). Amoçabeupor. bebedar a outro. a. Xepor. estar cheo. ípor. rel. Amopor. encher como o vaso. ou acomprir a promessa. dicitur etiam in cate. pag. 31 amópor oieureçaba annuere petitioni. Lus[itanice]. despachar. itʒ [item]: pag. 22. Tupã opacatu mbäè mopori (‘Deus está em todas as coisas’).

[folio 54 verso – 2° col.] Or. Ou Apòr. saltar apopòr. saltar a pracer [prazer]. freqʒ. (ver I, Sa 34) Apopor apontar a barba (ver I, Ap 44). Amombor. lançar fora, deitar de maõ. acantoar. sed vdtʒ [videtur] impropriè vid acantoar (ver I, AC 11). Anhemombor. lanzarse. Atimbòr. affumarse. Amotimbor. defumar. Xeracubòr. estar quente por pelejar ou trabalhar. etʒ [etc.] Xepor. estar cheo. ut: iporuàn Ȼ (‘já está cheio’) rel. Xeracubor sgfca [significa] tambem queimar alguã pte [parte] do corpo, como queima a pimenta . se diz tambem: acoõ N. amoocoô. ac. Kyynha omocoô xerecà [xereça]. [‘a pimenta queimou meus olhos’]. Öú. rel. comeo. Aporoú. abs. comer gente. Atyabòr. padecer esterilidade de mantimtos [mantimentos] (ver I, ES 236). Pa. pã. Pà. sim. dos homens. inusit[atum] (ver I, Se 4). Tupã. Deos Tupá. trovaõ. Tenupá. deixa estar. ou deixa embora. idʒ [idem]: tenhè toicò. Anupã. açoutar. dar pancadas. Anhenupã. açoutarse. Aporo nupã. açoutar gente. Guaracapà. rodella. o pavez. alius: myracapà (ver I, Pa 127). alii: goaràcapá. Guatucupa. pescada. Mucuã. a espinhella. v. uà (O verbete não está no seu lugar, sob Va e Uà está em uma seção heterogênea, deste o ponto de vista fonético). Pe. peé. Pe. præpositio tum quietis, tum motus ad locū. ut: oicò çocupe. oçò çocupe. oicò copixape, oço copi xapè (‘esteve na sua casa, foi para a sua casa; esteve na roça, foi à roça’). de hoc observa regulam artis in suo loco. Pe. vos outros. Coipè. algures. qdo [quando] se naõ sabe pª onde foi em algua pt͡ e [parte]. Acoipe. aqui mesmo, qdo [quando] se sabe pª onde foi. aqueipe. Açapè. allumiar pª ver o caminho. Pè. caminho. rosto. bòiarapè. rasto da cobra. mira rape. caminho de gente. Jcatúpe. clara = ou descubertmte [descubertamente]. ou esta nù. indecl. Aepe. aonde, ou para onde Ȼ tu sabes. ut: aépe oicò, oçò (‘onde esteve?, aonde foi?’) Pupè. præposit de instrumento, idem que com. anupã pachicù ybyrà pupè (‘açoutei o Francisco com um pau’). tambem præpo[sitio] in, quietis. Çacape. a ventrecha. tacapè (ver I, Ve 28).


308


309 [folio 55 recto – 1° col.] Pe. Peè. Aripe. vul. pro aribò. em cima. AnhopẽnȻ v aiopẽ. estranhar (entrançar, v. I, En 187). Aiopè. aquentar alguem. a. Aiepeè, v aiepè. aquentarse. N. hum e outro se usa so fallando de gente ou animaes (ver I, Aq 9 e Qua 42). Çupè. præp. do dativo. aimeeng pachicù çupè. (‘eu dei a Francisco’). Ceéçape. por isso, por essa causa. Jandé pỳ cupè. a costa do nosso pè. Jande cupè. as nossas costas Jande rapupe. as nossas virilhas. dizem os homens (ver I, Ve 49). Jande pò cupè. a costa da nossa maõ. Jandè pò apè. as unhas dos dedos das nossas maõs. Jande pỳ apè. as das [ditas] dos pès. Miapè. paõ. bolo. xeremiape. Tarapupè. a osga. Aèpe. alli, ou acola, aonde sei ou sabemos. Mbae rámapè? para que? a quem [que] proposito? Guyrpe. de baixo. Cupè. de traz. cupè cotỳ as avessas ou por detraz. icupè cotỳ. por detraz delle. Ybype. em terra. Ypype. no fundo da agoa. Açaangiepè. intentar sem poder effeituar. Abápe? quem he ? Oetépe v goetepe. inteira estar algua cousa. Maranamope. porqueȻ. naõ se uza (ver I, Po 70). Goaiabỳ guyrpe. pacobay guyrpe et sic de cæteris. em baixo (da) Goiabeira ou pacoveira. Jpupè. nelle, ou nelles. v si sit instrumenti relativū: com elles ou com elle. Oioupe. sibi. para si. Tacapè. in Ɔpõe [composições] racapè, rel çacapè. o mais fundo entre as tetas (ver I, Pe 52). Çócupe. para a sua casa. oiepe. hum. oiepè oiepè dizem pro pouco v rara cousa. ut oiepè oiepe nho abati. raro v poco milho. Pi. Py. Aiapì. apedrejar. atirar. Abalroar huã embarcaçao a outra, ou hua pessoa embarrar a outra. item tropeçar. vibrar. fazer tiro. dar marrado [marrada]. cū recè Aiapi aiapì. freqʒ aiapì catù acertar com o tirò. aiapìapi. apedrejar. Aporoiapi. abs. apedrejar gente. Çupì. certamente. verdadeiramente. assim he. a sè. Amoçupì. certificar. autenticar. confirmar o ditto. Jepì. sempre. continuadamente. a miudo aço iepì. Rupì. præpos. de movimento per locū. oçò taba rupì, nhum rupì. tambem exprimit præpositionem v juxta.latinam: circa v.g. óca rupì. circa domum etʒ [etc.] item respondet latino adverbio secundum v juxta v.g. Tupã recorupì aico (‘vivo segundo as leis de Deus’). mutat r in ç aliqties [aliquoties] v.g. çupì.

[folio 55 recto – 2° col.] Pi. Py. Caapiĩ. herva qlqr [qualquer]. Cupiĩ. hua casta de formigas, que come a madeira e roupa. Xeremimotára rupì. de minha vontade. Aiopì. picar como bespa ou lacraõ. Aiopỳ. tanger com º sopro. como frauta. Aipopy. Assobiar com as maõs. Acemepy. assobiar com os beiços. Amopỳ. enxotar. exprimunt: amopù. emopù çapucáia rocáia pupe (‘enxota as galinhas para o galinheiro’) Amocoapỳ. tanger batendo, como sinos, orgaõ. Amoteapy, tanger ou tocar como tambor. fazer estrondo. Ateapy: fazer estrondo Ateapỳ teapỳ . freq. ressoar. Amocepỳ. pagar gerlmte [geralmente]. Amotypỳ. fazer fundo. Cepy. pagamento de gente. galardaõ. qlq͡ r resgate. Jande poapỳ. nosso pulso. id est o batter delle. e cada= rinho [colarinho], ou punho da cousa, camisa. Jande ratypy. a bochecha. Ypy. o principio, origem. Giba ypy. o lagarto do braço. Ycapy [yçapy] v yapy. o orvalho, com u finali melius (ver I, OR. OS 21). Ybyraypy. o pe da arvore. Yby. a terra. Ybytu teapy. esfusca o vento. cū u finali melius. Pỳ. o pe . xepy. meu pe. teapỳ. o som, estrondo. teça typy. olhos encovados. tacoanhypỳ. o pentem do homem. Apyába rabypỳ. os pentelhos delle. Tamatiã ypỳ. o pentem das mes [molheres]. Cunhã rabypy. os pentelhos dellas. Xeubypy. o lagarto da perna. pytunypỳ. a boca da noite. pytunypyrame ejur xe pýri. a boca da noite venhas ter comigo. Ocapỳ. cubiculo da casa. com u finali meliùs. Morabykypy. a 2ª feria. Xeranhypy. os meus dentes queiaẽs [queixaes] (ver I, DE 87). Xeporepỳ. o meu pagmto [pagamento] do meu trabalho. Jpỳ coty. as avessas. Jande rubypy. Adam n° [nosso] pro [primeiro] pai. Xerypy. estar fundo o rio. typỳ. rel. Gupi = catù. catech. (ver I, AO 9; II, 4º verbete da seção Pi. Py).


310


311 [folio 55 verso – 1° col.] Po Pu Aipò. isso he que se diz, e naõ se ve, nem mostra. Çapo. raiz de ql͡ qr arvore, planta, herva. rel. ut: ybyrà rapò. raiz da arvore. Caapiĩ rapò. raiz da herva. Guyrà pepo. as azas, e as pennas dellas de ql͡ qr [qualquer] passaro. Jpò. por ventura. item: na verdade. anhemombeu ipò corì, pai recoreme. me confessarei certamente logo quando tiver hum padre. Xepò. minha maõ. oiòpói (ver I, So 69). Xerapò. ter raiz. Aèipò. e quando cazo for. Caapoò. ilha de qlqr [qualquer] matto ou ilha ql͡ qr. Ygapò. alagadiço. Aiatapù. queimar, acender. aicatapù [açatapú] ucàr faço acender (ver I, Fa 101, Fo 12). Açapu. queimar. acender. affoguear. açapuçapù. freq xeaçapùi. Anheapu v aieapù. affoguearse. queimarse. Goatapù. o buzio gde. Amopù. enxotar. atantói. etántoi aicárai. enxota as gallinhas vaitáppi. pª sua casa (parece que não é Lingua Geral). teapù. estrondo. Amoapù. tocar como sinos. Amoteapù. tocar como tambor fazendo estrondo. a. Ateaputeapu. ressoar. freq. N. Ateapù. fazer estraondo. a. Jande poapù. nosso pulso. – sic multa terminata superius in y, efferuntur a variis per u. quare consuetudo gentis et loci attendenda est. x Aiapò. v aiapò catù concertar ou fazer bem alguã obrar. inde, Xerembiapò. minha obra. Ra anda guýra. curva da perna Aè. nungára. semelhante a isso, como isso. Açára. factor signi per. modū crucis (ver acima seção AB entre 4 e 5). Ara. o dia. ara iabe igoára. de cada dia. Ambũra [ambúra ou ambýra]. que morreo, que Deos tenha: esse ul͡ mo [último] naõ he o seu significado: pois - -lem [ilegível] tambem o mesmo dos animaes (ver I, De 47) ut: jagoàra ambura, caõ q [que] morreo. Xeatyra, estar encrespado como caõ ou gallo. N. Anhemoatyrà. encresparse assim. N. Amoatyrà. encrespar. a. Atýra. montaõ de ql͡ qr cousa. sic. ybỳ atýra. montaõ da terra. ità atyra. de pedras. Apixára. o paraceiro [parceiro]. xerapixára: aiarangaddi (não é Lingua Geral e não Mawé). acirangaddi. nde rapixàra. Andirà. morcego. çakiì (não é L. Geral e não Mawé). Aporarà. padecer. carecer. açatojéddi (não é L. Geral e não Mawé). Aporara píra. ser leproso. Aramapára. almofada (ver I, AL 70). Ajúra o pescoso [pescoço]. acejebúki (não é Lingua Geral e não Mawé). meu pescoso [pescoço]. Arecò marā. agravar. maltratar.

[folio 55 verso – 2° col.] Ra Amána ara. dia da chuva. o inverno. amanári (Mawé i’aman). Bouçara. o que manda de la pª ca [de là para cà]. Çaangara. o que prova, esprimenta [experimenta]. tentador. rel. (ver I, Te 23). Çacapýra. o cume. como de arvore, ou ponta qlqr [qualquer]. ïambói (não é Lingua Geral e não Mawé). Çaicára. aquelle, quem risca. Çauçupára. rel. o amador. Caamondoçára. caçador. tevirututói (não é Lingua Geral e não Mawé). Çarõçára. o guarda de alguma cousa. [v. 4 páginas mais abaixo, rarõçára] Cambicára. o amassador (ver I, AM 32). Cauçára. o que bebe vinho. Cebíra. as nadegas. rel. Cekyçara. o que puxa. Cendupára. o ouvinte. Ceicoára. podex, via naturalis. fundo d’alguã cousa dizem tambem ceicoára v xeicóara fusco diz: cicoára (Ref. ao Padre Fusco, ver I, Te 7). Cenoĩdara. o que chama. Cerecoára. o que trata de alguã cousa: rel. Ceraçoçara. o mariola. ou ql͡ qr [qualquer] que levá [leva] (ver I, Ma 115). Cembyra. o sobejo de alguã cousa. Cepyiçara. o que odagoa [borrifa d’ágoa]. Cera iapýra. o sobre nome. Cyýra. a tia Jrmaa da may da femea e do varaõ. e tambem a madrasta. Cecobiára. a troca. cejambíadi (não é Lingua Geral e não Mawé). Çoçocára. o pilador. Copiçára. roçador Çovaixoara. ex opp͡ sta [opposta] parte pst͡ us [positus]. oiovaixoara: ex opps͡ ta pte [opposita parte] v ex utraqʒ pt͡ e. pst͡ i [ex utraque parte positi] aiapoti oiovaixoára ex utraqʒ p͡ te sibi opp͡ sta [ex utraque parte sibi opposita] amarro. Cuapara. entedidor. sabio, o conhecido. Çuuçara. mordedor. Goarará. o tambor. Goacembara. o que acha. Goabibura. a raia. peixe. ovavò (não é Lingua Geral e não Mawé). Guyrà. passaro ql͡ qr. guiréidi (não é Lingua Geral e não Mawé). Jagoagíra. alacrão. Jara. o senhor. Myrajára v murajára he nome que quer dizer fidalgo, e sgfca: o que traz hum pao na mao, sinal da fidalgia [fidalguia] etʒ [etc.]. javevyra. v jabebyra. arraya peixe. Japucuitara. remeiro. Japomiçára. mergulhador. Jerobiaçára. o que tem fe, ou o que se fia d’outro. ou presumptuoso. Jeporacaçara. mariscador. pescador da redinha. Yapyra. cabeceira do rio. sertaõ. Jande raimbira. nossas gengivas. Jande pepuyra. o nosso (sobaco) (ver I, BR 3). Jotymbára. semeador, plantador. Jegoacembàra. o que se auzenta. Jerureçára. o supplicante. Jucaçára. matador. Juçara. comichaõ.


312


313 [folio 56 recto – 1° col.] Ra. Juceiçara. o que deseja comer. Jcò àra. o mundo Jooçara. o remendam [remendão] (ver I, Re 102). Jrárá. a rapoza Jra. mel qlqr [qualquer], ajuntando o nome de que he ut: ybyrà íra (‘mel de pao’). Jurarà. tartaruga do rio. Goarara Jopotára. o appetito torpe. amor deshonesto. Ycoára. poço de agoa. Japoitara. quem da de comer. Ybycoara. buraco, cova no chaõ. Ybyràrerecoára. meino [meirinho]. Alcaide (ver I, ME 240). Ybyra týra. a ladeira peqª [pequena] Ybyra. pao ql͡ qr [qualquer] ybyrapara. arco Ytyapýra. montura ou monte cisco. Ybyra pandára. o carapinteiro [carpinteiro] (v. I, CA 143). Ybytyra. monte ou serra. Ygapýra. sertaõ ou cabeceira do rio. Ygoára. morador, ou natural, ajuntando a cousa ou lugar donde he. mortigurigoara, piragui= goara. Mairì igoára etʒ [etc.] Ygara monhangara. quem faz canoas, et sic lo= quendo de aliis rebus. mimborarà. partes vergon = hosas as utriusqʒ [utriusque] sexûs. Mbaè aíra. cousa peqª [pequena] mbae iotympýra. cousa plantada. mbae akýra. cousa tenra. mbaè mixira. cousa assada. Membýra. assim a mer [molher] chama seus fos. [filhos] e assim os fos [filhos] de ql͡ qr a͡ al [qualquer] femea. Meéngara. o dador. Mocanhempara. o que faz perder. Mocambyara v mocambyçara. a ama, ou a mer [molher] que da leite. membycambybae. Cat. Moçaĩdara. espaldor [espalhador]. Moacára. fidalgo. nobre. Moromboeçara. mestre que ensina. Morauçubára. a piedade pinara v mindara tosquiador (ver I, 69–70). Morauçupára. amador de gente. Moçainandara. o que faz, que outro faça se aparelhe, ou faça os prestes. Mocembara. o que bota fora cousas, que andaõ por si. Mondocara. cortador. Morojubucára. algoz. Morypara. consolador. ou o que agrada. allegrador. Maracaimbára. feiticeiro ou = ra [feiticeira]. Moybycara. Alfayate. aoba monhangára (ver I, Co 230). Mimbyçara. Gaiteiro. Mimoiçara. cosinheiro. marã. quid. petit gerundiū (ver I, Qua 15).

{

[folio 56 recto – 2° col.] Ra Motareymbára. o que tem odio. inimigo. Monghetaçára o que pratica com outro (ver I, Pr 9). Monhemombeuçara. o confessor. Moropotara. luxuria. Momytaçara. aposentador Nhemoçainandara. o que se aparelha, ou faz os prestes Pa(ra a) vinda de alguem, com recè. com çuì quer dizer o que se aguarda d’outro. Nhangaoçara. ameaçador. Nhemocaraiçára. brincador. Nhemombeuçára. o penitente. Nheenga iára. interpres, a qual palavra iara posta a diante de ql͡ qr cousa que seja senhor della. Nheengaçára. musico. cantor. Nhemboeçara. aprendiz. Nhimboçara. frechador. Ndeára. res pertinens, o͡ ponitʒ [non ponitur] sola hæc vox. Ocára. rua. ocara cotỳ. pª fora. Oì tuguyra. a farª [farinha] poente [poenta] (ver I, Po 14). papaçara. o que conta. contador. pé iára. o guia do caminho. pirà. ql͡ qr peixe. piára. o que vay ou vem em busca de alguã cousa, oço ipiára. foy buscar. ou que foy a buscar. vi in fine ( final desta seção e 3º verbete do Apêndice Ara). pindaitýcara. pescador de linha. pycyrõçára. livrador. pytymõçára. o adjudador. pyçacaçara. ouvinte[,] escutador. pycycára. o que pega. pocaçára. o risonho. poçanongara. medico. cirurgaõ [cirurgiaõ]. Poromonghetaçára. pregador (ver I, Po. Pr, 7). poraceiçára. foliãm. poroiucaçára. matador de gente. pocuitara. a mer [molher] que mexe a massa por dala no forno. porabykyçara. trabalhador potỳra. flor. Ropotyra. os abanos da camisa. rarõçára. o guarda da casa. etʒ [etc.] (ver 4 páginas mais acima, çarõçára). rebira. as nadegas. reraçoçaraȻ. o que leva. raangara. o tentador. recobiára. sucessor. ou que em lugar de outro. ou o que se da em lugar de outro. remimotára. a vontade (ver I, Vo 16). racapúra. derradeiro (v. I, De 116, racapýra). Rauçupara. a xerauçupara meu amigo. Tayra, o f° [filho] do varaõ. Taiyra ou Tagira. fª [filha] do mesmo. Tapiira. o boi ou a vacca. Tapijara. o natural de algum lugar. ou hum, que see costumado a fazer hum crime ou huã travessura. Teça apàra. olhos vesgos.


314


315 [folio 56 verso – 1° col.] Ra Teçà cuíra. olhos ligeiros. lascivos. Teicoára. anus. pelo post. cù. podex. Teça Kyrà. olhos papudos. Tombýra. o bicho do pè. Tombúra cerã nde pỳ. modus adhortandi ad properandū. hast du wūrm in den füßen? alius dicit: nde pýi. qd [quod] videtʒ [videtur] juxta artem de litt. i. p. 125. Tebira. sodomita. patico. Tendyra. jrmaã do varaõ. diz o homem. Tuguyra. poera ou cousa poente [poenta] Tutira. o tio materno (ver I, Ti 4). Tucúra. o gafanhoto. Týra. o conduto. ut. narécoi ityráma (‘não tenho conduto’). rel. vg. öì tyreýma. farª [farinha] sem conduto. Vataçara. o caminhante. goataçára Kycè apàra. a fouce. Kitiçara. segador. serrador. Kyrára. o aborto. ou abortivo. Xerúra. minha vinda. Xerembiara. a minha presa na caça, pescaria, guerra. Aoba monhangara. Alfayata. pyápiára. o fel. Töcangkýra. formiga grande e preta, que mto [muito] doe, e causa febre. miragoára. papa gente. comedor de carne humana RuKyyra. irmaõ da mer [molher] ou diz a mer [molher] Rupiára. vox pluribus rebus addi solita, ut pindà Taconarè rupiara anzol pª pescar Taconarè sic de aliis speciebus pisciū. – itʒ [item] iagoára çoò rupiára. caõ de caça. vide supra piára. vi. ratoeira (ver I, Ra 52). apyaba cunhã rupiára. capitarì (‘tartaruga’). Mbiàra. Tomada ou preza qualquer. vide aliū indicē verbo [verborum]: Tomada (ver I, To 15). vide in fine Era. Acycoera. pedaço. tambē usa se pelo irmaõ ou irmaa carnal [|] uterinos Cate. Acangoera. cabeça cortada. Agoaçagoera. mancebo ou = ba [manceba] que foy, e naõ mais. Angoera. a alma depois de sahir do corpo. Apecũcoéra. a lingua tirada. Akacoéra. corno tirado. Apytera. miolho de ql͡ qr cousa. Cembyrera. sobejos, que ficaõ (ver acima, seção Ra, 18o verbete). Cagoéra. gordura tirada. Cangoéra. osso fora do corpo. Cocoéra. o matto ja rossado, ou rossa [roça] que foi. Curuana pirera. conchas de tartaruga (ver I, Co 91). Coĩagoéra. os que foraõ gemeos. Curéra. farello miudo, que ficou do joeirado. ou as mi=gallinhas, declarando ou pondo atraz a cousa, de que são migallinhas. ut: miapè curéra, alimpaduras (ver I, Mi 1). Curuéra. o farello grande, declarando a cousa de que. (ver I, Fa 56). Membyracoera, a = ou o que foi f° [filho] da femea. Giba coera. o braço cortado ou tirado.

[folio 56 verso – 2° col.] Era. Nupãçagoéra. sinal dos açoutes (ver I, Si 14). patakéra putanheiro. puta. perevagoéra. sinal da ferida (ver I, Si 9). pecemcoéra. pedaço. pycoéra. pe tirado. piréra. pelle tirada. pytera almago [âmago] da arvore. ipytera rel. itʒ [item] ametade. pò pytéra. palma da mao. pỳ pytera. sola dos pes. pytéra cangoéra. espinhaço. pocoéra. maõ tirada. Rera. nome. Teõboéra. cadaver humano. Taiaçù reõcoéra. porco morto. e assim falldo [fallando] de ql͡ qr caça, pescado, sempre porem se deve lhe pôr atraz a casta do animal ou peixe. çuaçùreõcoéra (‘corpo morto de veado’) etʒ [etc.] Tapéra. aldea destruida. ou lugar aonde estive [esteve] aldea. v Taperera. Taperà. andorinha. Tayra coéra. o que foi f° [filho]. pachicù ambúra rayracoera (´o filho do finado Francisco´). Tagiracoéra. a que foi fª [filha]. Temirecocoèra. o que foi mer [molher] [‘a que foi esposa]. Teça pyçoaréra. olhos encovados. Tetymacoéra. perna cortada. Tycoèra. o caldo ou çumo já expremido e tirado da cousa ou panela. Typoera 2 3 1 Tugoéra. v paigoéra. o que foi pai. Mbäè täè nde rera? Como te chamas? Marampe nde rera? mbäépe cocéra ? como chama se? piruagoéra. os callos duros. xepopiruagoéra. os callos das maõs. xepypiruagoéra. os duros dos pes. pyiyceócoéra. os lombos tirados (ver I, Lo 9). ybyraraõpytéra. o miolo do páo. Xemundu agoéra. fomos gemeos. ou nasci juntamente com meu Jrmaõ (ver I, GE 5). Ocapytera. o terreiro. praça. Kèra. o sono. Mira. gente. mirà pytérpe. publicè[,] a olhos vistos. Tetamboera pro tetamoéra (‘a que foi terra, pátria’). Mendoera pro menoera, marido qʒ [que] foi. Anch. pag. 3.

{

}


316


317 [folio 57 recto – 1° col.] O Ra. Ambyacỹbora. o faminte [faminto]. Agoaçabóra. o amancebado – da [a amancebada]. xeagoaçabora, estar abarregado. Angaipabora. peccador. – ora [peccadora]. Caapòra. que costuma andar no matto, ou cousa do matto. Canhembora. o que anda perdido. Cykyiebora. medroso. Jababóra. fujaõ. Jurupariratapóra. o morador do inferno. condenado (ver I, In 26). Ybypóra. morador deste mundo. Ybycuitimbora. a poeira da area. Ybytimbora. a poeira que se levanta da terra com o vento ou com os pes. Ygarapora. pessoa da canoa, ou cousa delle. Mbaeacymbóra. doente. Mimbôra. Anchiet. pag. 32. [Anchieta 1595, p. 43 (“De bóra: ... ut giapâ, giapapóra; mína, mipóra, mimbóra”]. Mondepora. o prezo (ver I, Pr 54). Mondabóra. ladraõ. miãbora. o qʒ [que] tem boubas (ver Anchieta 1595, p. 43). Nambipora. as orelheiras. inaures. Ybacupora [ybacapóra]. morador do Ceo. os Santos. poreauçubóra, miseravel. pobre. puruabora. o [a] prenhe. ou muruabóra. paranapóra. marisco. juxta V.Anch. paranambora. pypóra. rasto de tudo, que tem pe, ou pegada. o ca= minho da cobra se diz: pe. boiapè. Uceibóra. o sedente. ou sequioso. Cambypóra. infans lactens [lactans]. Yra. apyra. çume [cume]. cabo. estremidade. fim. Ygapyra. certaõ. Ocapóra. domesticus. a. um. assim da gente, o como de outras cousas. ocapóretà domestici. xerocaporetá mei domestici. Çabeupóra. bebado. ebriosus. Candùra. corcova et qualquer tumor da natureza. Cyyra Tombúra. bicho do pè. Re. Abarè. homem de missa. Aè rirè. depois disso. Ambaeù rirè. depois de ter eu comido. Amonhangire. depois de ter eu feito. e assim a dª [dita] diçao se pode ajuntar a ql͡ qr verbo, no fim delle, e sgfca [significa]: depois. Anhemoabarè. tomar ordens. Aieiurè. pedir. enterceder [interceder]. supplicar. çupè pers. [persona], a qua petitur. recè rei quæ petitʒ [petitur] v pers. [persona] pro qua supplicatur. Jacarè. lagarto da agoa. Jacuma parè. a corda dos Jacumas. Mururè. leite de hum pao peçonhente [peçonhento], e medicinal. Aurẽ. o arroto fedorento.

[folio 57 recto – 2° col.] Re. Xeaurẽ. arrotar fedorento. pyrurè. v pururè. enxò. perè. baço, doença. Ri. axirirì mussitare quasi sibilando inter dentes. Ri. idem que recè. sed inusit[atum] akirirì. estar quieto sem fallar. amokiririĩ xeranha. ranger os dentes. Aicobè iebýri. res[s]urgir. cecobeiebýri. rel. Xerecobè iebýri Aimongobeiebyri. fazer resurgir. a. Amoiebýri. remetter. mandar atraz. restituìr. Mirì. pouco. se ajunta aos verbos e nomes. eraço mirì. leva hum pouco. eçarò [eçarõ] mirì. espera hum pouco. eimeeng miri. da hum pouco. Mairì. o lugar da cidade de grãm parà. Pỳri. respondet præposit. [præpositioni] latinæ: ad. ut: oçò ipyri. foy [|] ter com elle. öùr xepýri. veyo a ter comigo. oicò [|] noe [nde] pýrigoara. està q͡ m [quem] quer fallar comtigo. Mari mari. cana fistola. Corì v curì. hoje serà de futuro. ou dahi a pouco. açò corì. corì miri. logo. coramo cori v sd͡ m [secundum] artem coygramo corì Cucurì. o caçaõ, peixe. Ajuri. pescoso [pescoço] delgado ou peq° Juruparì o demonio (ver I, DI 10, In 26). Xekirirî. estou triste. Cate. Naiamotári. aborrecer. syn. aiamotareỳm. potirì. anas. Mari v pari [parĩ] torto[,] aleijado, se diz do que anda (I, Ma 88, To 62). Xeapari, estar aleijado, amopári act aleijar a outrem. (Formas como apári, amopári, veja-se também I, Ma 88, parecem anunciar a forma apara ‘aleijado’ do Nheengatu moderno).

{

Ry Xerorỳ. folgar. estimar. allegrase. amoryb.a. allegrar. Çory. folgou. rel. Amoryrỳ. fazer folgar. emoryrỳ, aliis placet: emocyry emoçory itamaracà. repica [repicar] os sinos. vdtʒ [videlicet] dicdū [dicdum] amorory Xereça guyrỳ. estar atordoado por razaõ do vinho. ou padecer vertigem, ou alvoramento da cabeça. Amoreçaguyrỳ. atordoar do d° [dito] modo ut: co poçanga xemo=reçaguyrỳ a. pyrỳ. mais hum pouco. Rò. Rõ. Açarõ. esperar. aguardar. aba xe rarõ aliquis me expectat. Aiepearõ. esperar. Açapearõ. esperar caça ou inimigo. alibi hbt [habet] aiepearõ Amoyrõ. escandalizar, provocar a ira. amuar a outro.


318


319 [folio 57 verso – 1° col.] Rò. Rõ. Amonhyrõ. aplacar. a. abrandar. çupè personæ, cui applacatʒ [applacatur vel quæ placatur] [|] amansar. pacificar. Acaamonhyro. montear sem caens, cercando ou correndo o matto. Aiarõ v anharõ. raivar o caõ. Amoiarõ. fazer raivar. a Amocatyrõ v amongatyrõ. concertar. adornar. a. accom=modar, adubar. Anhemongatyrõ. concertarse. N. Amondarõ. furtar. inusit. Açapirõ. platear. pe membyra tè peçapirõ. chorai sobre os vossos fos.[filhos] Cat. p. 88 Aieapirõ. chorar sobre si mesmo. Cate. pag. 88. Apycyrõ. livrar. a livrarse. N. acolher pª alguẽ [alguém], Anhepycyrõ. Aiepycyrõ que lhe valha. Atupã monhyrõ. aplacar a Deos, absolver dos peccados. [|] atupa [atupã] monhyrõ ndebo. Atypyrõ. migar o caldo com a farª [farinha] Jrõ. rel. està amargoso. a Xerõ. sou amargoso. a arte tem Xérob. Taiaçunharõ, v taiaçuiarõ. porco bravo. Temiarirõ. neto ou neta da femea. Xenhyrõ. alii: anhyrõ. perdoar. abrandarse. cum recè rei propter quam. anhemonhyrõ. Xereguyrõ. sospeitar mal. recè. Acaamomurõ. correr os mattos pª buscar alguã cousa caça ou qlqr [qualquer] cousa. item virar a casa e os cantos della pª achar alguã cousa, se diz: amomurõ xeróca. Mocororò. vinhaça dos Tapyias. Aroirõ. aborrecer abominar. amaldiçoar. Atyarõ v xetyarõ, nde tyarõ, ityarõ. estar devez. itʒ [item] dizem assim de puella nubili. ityarõ. v itiarõ. (ver I, DE 348). Aço irunamo, v öirunamo acompanhar. Nhemoyrõ. agastamento. Anhemoyrõ. agastarse. Aiemurõ v aiemyrõ, amuado ou desconfiado estar.

{

Rù. morù pro mboru. Anchiet. pag. 2. Amorurù. pôr de molho, como peixe seco, roupa. Aiegoarù. ter nojo. com çui. aiegoarù çoò v pirà çuì (‘tenho nojo da carne/do peixe’). Acarù. pacer o animal N. o comer ql͡ qr [qualquer] vivente. Amongarù. pacer ou dar de comer. a. Abà carù. o comedor, goloso. Amoiarù. folgar e pode ser sem peccado (ver I, Fo 22). Atupã momburù. blasphemar. Cat. aimomburù. aliàs Amomburù. amecear [ameaçar] a alguem por detraz, dicendo [dizendo], que há de fazer e condecer [condecender]. vul. amomurù. cate: aimomʒ [aimomurù] Aporù. emprestar. çupè. a Aporu com çuì. tomar amprestado [emprestado]. Amoiegoaru. causar nojo. a. Jegoarù. o nojo. Cururù. o sapo. Caoĩ rurù. Jandỳ rurù, tata rurù. tatapunha rurù, vaso de agoa ardente, azeite, fogo, carvaõ etʒ [etc.] sempre compondo a cousa com a diçao rurù, que he vaso.

[folio 57 verso – 2° col.] Ru. Caramurù. lambrea [lamprea, lampreia]. Jamurù. ainda bem, folgando com o mal alheyo. Yrurù. o jarro, ou ql͡ qr vaso de agoa. pò rurù. luvas. Jurù. a boca. oiurù rupì catù. proprio ore. urù. vasilha, e na composiçao admitte r atraz de si, o que relatmte [relativamente, isto è ‘dado o caso’] se muda in ç. alforge. Uüburù. o coldre de frechas. Merù. mosca Membyrurù. v membyrarurù. a madre (ver I, Ma 15). Ty uru bexiga da ourina Caruca ruru Tapurù. bicho da carne ou peixe podre, e ql͡ qr bicho de cousa podre, como chaga. Xe carù. ser comedor, goloso. Guabirù v guavirù. o rato. Tarù. páo com qʒ [que] mexe se o cacao, em estando pª secar. Ygoaburu. qlqr [qualquer] vaso que serve pª beber agoa. Yporù. diluvio. Tombúra. bicho do pè. Tomburù nde pỳ cerã. modus loqdi [loquendi] et hortandi ad properandū [properandum] (ver acima, seç. Ra, 4o verbete). Comarù. arbor duri ligni. ejus semen: comarù raynha, virtutem medicinalem habet sanandi aut certè minuendi dolores capitìs, contusū, mixtumqʒ [mixtumque] lacte mulieris, atqʒ [atque] ita auribus infusū [infusum].

}

Rung. Aiecirung v aiecicirung. pôr se em fileira. N. Amoiecirung Amoiecicirung por em fileira. a. Acicirung. Aiypyrung. começar, principiar. Apyrung. alii: apyrong. dar couces, pisar com os pes. acoucear. Xereçatung. ter nevoa nos olhos. Xeapung. estar farto de comer. N. Amoapung. fartar a outro.

}

Ta. Tã. Aiómongheta. praticar ad invicem. fazer conselho. Amongheta. praticar a outro. Aporomonghetà. abs. pregar ou praticar gente. Aipyamongheta. examinar sua consciencia, ou fallar ao seu coração. considerar. dizer no seu coraçaõ. Amoar tatà. tirar fogo do fuzil. Amoãtã. entesar. Anhemopyãtã. fazer se forte. Amopyãtã. fazer forte. a. esforçar Anheengãtã. fallar alto.


320


321 [folio 58 recto – 1° col.] Ta. Tã. Apyta. ficar. parar. ficar porfiador. ut: apýta nde recè. v agazalharse. hospitare. divertere. Amopyta v amomytà. fazer parar. hospedar a outro. a. agasalhar. Avatà. vul. Top. agoatà. andar. agoatapytúna. andar de noite Avatavatà. agoatagoatà. andar a miudo. passear. Amoiepotar tatà. acender com hua braça [brasa] ou tiçaõ a outra cousa. Abatî atã. milho Zaburro. Arogoata. facio ire mecū. perogoatà ygára. facite cymbā [cymbam] procedere vobiscū. sic diʒ [dicunt] Jndis cymbā in luto detentā [detentam] trahentibʒ [trahentibus]. Amokytâ v amapokytâ. fazer no [nó]. aimoiaratâ. apertar huma cousa com a outra. Cambyãtã. queijo. Ceta. muitos. cetaeýma poucos. Çãtã. estar forte duro etʒ [etc.] rel. miapè ãtã. biscouto. Cycãtã v ycycãtã. breu. resina. Çopytà. a popa de ql͡ qr [qualquer] embarcaçaõ, ou pe como de copo, pote, pucaró [púcaro]. Çopytáýba Jande pýta. calcanhar. alii: pygtá Jande retà. somos mtos [muitos] incluindo os com que se falla. Jtà. ferro ou pedra. Jtã. concha. Ybyakytã. o torraõ da terra. Kytã. nò. nimbokytâ. ikytã. rel. Oì atã. farª [farinha] de guerra v üì. Ore retà. somos mtos [muitos] excluidos os com que se falla. Mytà myta. escada. Tatà. fogo. Jeceokytâ. o no da garganta. piramytà. certa casta de peixe Arokeretà. estar mto [muito] tempo com algū mäo sentido. videtʒ [videtur] t͡n [tamen] addendū ipsū malū ut Catech. pag. 228 ererokeretápe ioamotareyma. Xepopyãtã. ter força, Ɔpstm [compositum] ex po, manus, py, pes, ãtã forte etʒ [etc.] aimöetà. multiplicar em numero. Apycỳc ãtã. apertar com a maõ. Te Abáetè. cousa medonha. nde abáetè v nde abáetè goaçù. es muto [muito] medonho. a dª [dita] palavra se apropria a ql͡ qr [qualquer] cousa (ver I, Me 18–19). Abaretè. fidalgo. pessoa grave. Aicò etè. empenharse, ou ocuparse com empenho em algua cousa. ou ser constante. ser animoso. Anhetè. assim he. ita profectò res se hbt [habet]. Anhemoabäetè. fazerse medonho. N. Xeabaetè. ser medonho. Amoetè. adorar. reverenciar, respeitar. Top. aimöetè. acatar. Anhemoetè. estimarse. Amoanghetè. ter por si. julgar consigo. affigurar se me. (ver I, AF 19). Abati etè. milho verdadeiro. e he que planta na cidde [cidade].

[folio 58 recto – 2° col.] Te Aiconhote. estar quieto sem fazer estrondo. ser pacifico N. Amoabaetè medonho fazer a outro. Aretè. dia s° [santo] gde [grande] como pascoa. Apotar etè. querer mto [muito]. Cepỳ etè. custa mto [muito] rel. Caa ete. mata virgem. Cetà etè. muchissimos (o termo é español). Coytè. depois disso v entaõ. Mbäè. cousa propria. Nhote. somente. aicò nhote. estar ocioso. ike nhotè. ao perto (ver I, Pe 158). Yetè. agoa doce. Cykenhote. perto. ao perto v ikenhóte. Ybatè. em cima, et cum motu ad locū. ut: eiupir ybatè (‘sobe em cima!’). Jtà etè. aço Oetepe. goetepe. todo inteiro. Xepoite. nde poite. ipoite. ipoitè. mentir. (DPB poitê monháng ‘pataratear’). Aujebete. seja embora de que consente. m̅ [muito] vulgò aindaqʒ [aindaque] no que duvido. tecò ete. magnanimidade. Tetè. o corpo. xereté. meu corpo. Teitè. coidado [coitado]. teiteira coidadinho [coitadinho]. Ti. Tî. Aiapotì. ligar, amarrar. Aiapiti. matar. Aporapitì. matar gente. abs. Apotì. cursar. Abatì. o milho. Abatiĩ. arroz. Açovaitì. fazer ninho Çovaitìu. Ninho. paratì. taynha, peixe. Tepoti. esterco de ql͡ qr [qualquer] aãl. [animal] ou escoria de ql͡ qr licor. a ferrugem. pira puama repotì. (‘ambar’, ver I, Am 33). Tipitì. espremedouro da massa da mandioca. Typyrãtĩ. aquella massa que sahe do d° [dito] espremedouro. Camoti. o pote. camotì miri. a quartinha. Atĩ. ter pejo. affrontarse. Atiĩ. licenso [leicenço]. Amotĩ. envergonhar, affrontar. Anhetĩ. affrontarse. Anhemoti. envergonharse. Açobaitĩ. açovaitĩ. encontrar. Aieiobaitĩ. encontrarse. Amoçatĩ. fazer a ponta ao ferro, pao. aguçar Çatĩ. rel. a ponta, como de espada pao. faca. e tambem as espinhas miudas do peixe. v çantĩ.


322


323 [folio 58 verso – 1° col.] Ti Tĩ. nariz. Jgáratĩ. proa da canoa Akitĩ. retalhar, segar. serrar. akitĩkitĩ. freq. Aieceokitĩ. degollar. Atiatì. p nome de hum passaro, inimigo de peixe. To. Mocotò. Species bufonis, cujus ossa mirificam habent virtutem antitodicam [antidoticam], ita ut ad os non permittant veneni accessū [accessum]. Tu. Aiapì catù. acertar o tiro, ou a frecha. Abà catù. pessoa boa. urbana, e semlhte [semelhante]. Aicò catù. viver em paz. Aiecatù. acquietarse. pedro oiecatù. pedro se està acquietando. Acepiàc catù. notar so com a vista. Aiapò catù. fazer hua cousa bem feita. Aiocatù. acquietar se. N. (ver I, AQ 11). Anhonongatu aquietar. Ainongatù. conservar. Amoaujè catù. perfeiçoàr. Amocatù. fazer huã cousa bem feita. Amoputuù. fazer parar alguem, descançar. parar a dor Aputuù. descançar. N. ou parar a dor ou mitigarse. Apecatù. longe. apecatu oicò està longè. Auie catù. estar perfetmte [perfeitamente] huã cousa. Anheéngatu. fallar bem a lingoa. declararse. Jamurù catù. ainda bem. folgando do mal alheoo [alheio] (ver I, Ai 9). Ara catu. abonaçar [abonançar] o tempo. Teco catù. a paz. e ql͡ qr quietaçaõ. Cetà catù. bastantes. Ceẽ catù. rel. saber bem o comer. ser gostoso (ver I, Sa 7, onde há ceé em lugar de ceẽ). Jabè catù. ppr͡ mte [propriamente]. Jarguè. ybytù. acalmou o vento Mutuù. o dia santo. Maiabè catù. vul. maiavè. mto [muito], id es mto [muito] in agendo. oiekenda catù. estar bem fechado. putù. o folgo. ut: xe putù pupè. [‘no meu folgo/ na minha folga’] Opacatù. todos ou tudo. Jamurù catù. ainda bem v bem lhe està (veja-se mais nesta seção acima). Xepucù catù. sou bastmte [bastantemente] alto, comprido. Taytetu. porco peqno [pequeno] que destroe as roças. mutù. pass especie de passaro, tamanho como hū purù. Tatù. animal do matto de carne gostosa mas indigesta. Mutù. passaro como hū purù. (veja-se o verbete inter calado duas linhas mais em cima). Arecò catu. affagar, tratar bem. amimar. Gupì catù. Cate (ver I, AO 9). Ty. Ytỳ. o cisco ou varradoura. Cotỳ. versùs. oçò oça cotỳ (‘foi para a casa’). ikè cotỳ. pa cà. Amongoty. para la. Kymongoty. para ca. Cocotỳ. para ca.

[folio 58 verso – 2° col.] Ty Membytatỳ. nora d mer [molher]. Ybatè cotỳ. para cima. arte: ibatè. Ygapyra cotỳ. para o sertaõ. Taytaty. a nora do homem. Ty. caldo. çumo. licor. urina. Jcupè cory. as avessas (ver Cupé, na seção Pe, Peé; Ipy coty, na seç. Pi. Py). Cupè cotỳ. por detraz. Cecotỳ a outra parte. Jpycotỳ. as avessas (ver acima). Va A major pte [parte], e quasi todas as palavras sequintes [seguintes] devião por justa razaõ acabar em ba, e não em va; por isso estaõ postas na dª [dita] syllaba ba supra. porem como por ordenario e vulgo dizem e as fazem acabar em va, as ponho tambem neste lugar. Aba pucuçáva. comprimento, estatura da pessoa, e de outra ql͡ qr cousa. Ava. cabello ql͡ qr. Acangupáva. almofada. Amamandáva. o circulo. Amanderava. o relampago (amãberáva, ver I, Re 88). Angaipába. o peccado. ou o impertinente. Aopotucáva. banco ou lugar pª lavar a roupa. Atoaçáva. compadre. comadre. Ambuà. centopea (‘centopeia’ é ambuâ no VLB, mas japevá no I, Ce 18, japeguá no Silveira Bueno, 2008. Veja-se também o 6º verbete na seção Va item Ua em baixo).

Ambuva os moncos. Berava. o resplandor. Bocàva. a abertura (ver I, AB 42). Caapáva. o vaso ou servidor (ver I, Ba 7). Catuáva. a maõ direita. Carucáva. o ourinol ou a urina. Curucáva, a garganta. Cotucáva. ferida feita com instrmto [instrumento] que tem ponta. Çaiçáva. a risca. Cembeuva. a orla ou redor do rio. Cepiucáva. semblante. frontispicio. Cekendapáva. a tapadoura. Cevoì peva. a sambixuga [sanguessuga]. Campéva. cabeça chatta. Çarýva. o cacho. Cava. gordura. icáva. està gordo. Copixáva. roça. Çaväà. enseada (ver I, En 150). Cuà cintura do nosso corpo. ou o meio de alguã cousa. Coaracỳ cembáva. o nacente.


324


325 [folio 59 recto – 1° col.] Va. itʒ [item] ua. Coaracyçanhembáva [coaracycanhembáva]. o poente. (Prosodia: Porse o sol. Ocanhém coaracý) Çaangáva. a medida. Kyçava [pyçáva]. rede. Kyrỹbáva. valente. forte, rijo. Kerupáva. dormitorio. Japevà. centapéa Japoticáva. attadura, amarradouro. Jerureçáva. petiçaõ. Jerobiaçava. a fe. Jta týba. pedregulho. Jta curúva. pedras que servem de baixo das panellas. Ybyra peva. taboa ou o bofete. Japixapáva. ferida feita na cabeça. Japucuitáva. remo. Jepeáva. a lenha. Jucuçàva [jucaçáva]. instrm͡ to [instrumento] ou lugar de mattar. Jnduà. pilaõ. Jnduà ména (‘mão de pilaõ’) Jerocarendàva. pia de bautizar. Jopẽçava. a trança Jemboeçáva. a doutrina ou reza. Jecirungáva. fileira. Jecuapáva. aparencia. Jtava. amarella cor. Jta pyva. prego. Jacypáva. cousa com que se alimpa. Jta induà. almofariz. [veja-se o 9º verbete em cima] Mamandàva. rollo de ql͡ qr cousa. Meengàva. cousa que se da ou lugar aonde se da. Menduaçáva [maenduaçáva]. a lembrança (ver I, LE 14). Membyrangáva. affilhado ou =da [affilhada] da mer [molher]. Mytaçáva. estalagem. lugar aonde se costuma parar. Moropoaçáva. algemas. Mondoàva, cousa que se manda de ca pa la. Mira recoçava. sitio de gente Mira raangáva. mascara, figura, imagē [imagem] de gente. Mucuã. espinhella. Monhangáva. lugar de fazer. officina. Mocatyrõçava. tempero. concerto. o adubo. Mombucáva. verruma, e tudo, com que se fura. Morocotucáva. punhal e ql͡ qr [qualquer] instrmto [instrumento] pª ferir gente. Monghetacàva [monghetaçáva]. a pratica (ver I, Pr 7). Mondocáva. faca, ou ql͡ qr [qualquer] instrmto [instrumento] de cortar. Mira çapucaiçava. vozaria de gente. Miauçúva. escravo. Moropycycàva. amarradouro de gente, ou cousa com que se pega gente. Moapyçacaçáva. a reprenhensaõ [reprehensaõ]. Morapitiçáva. peste.

[folio 59 recto – 2° col.] Ua. Va. Moromongaraipáva. pia de bautizar (ver uma página antes: jerocarendáva] Morobixáva. Governador. Morojubuçava. forca. Moranduva. noticia, novas. Nhemoiäruçáva. pilheria, ou o lugar , aonde se pilha. (confusão, ver I, Pi 27). Nhemoçaraitáva lugar, instrmto [instrumento] de brincar. Nhemoçacuitáva [nhemoçacoiáva]. o apercimento [apercebimento] pela vinda etc com recè. mas com çui, se sigfca [significa] acautela d’alguem (ver VLB, nhemoçacojába, e I, AP 30). papaçava. conta de algarismo. numero. pixapáva. unçaõ. esfregaçaõ. pucuçáva. comprimento de ql͡ qr cousa. poacanga apyrçava. os nos dos nossos dedos das maõs. pococáva. o bastaõ, e ql͡ qr [qualquer] pao, que se traz na maõ. paiangáva. padrinho da pia ou crisma pocoaçáva. attadura, ligadura. potáva. o mimo. quinhaõ. presente. potaçáva. a vontade. patua. caixa. pobandáva. lugar de fiar. piriricáva. frigideira. pitanga monhangáva. a madre (‘a que faz os meninos’). pytaçocava. o pontalete. pytaçáva. a estalagem ou ql͡ qr [qualquer] lugar aonde se costuma parar. pycycáva. punho da espada, e ql͡ qr [qualquer] cousa. por onde se pega. pyrungáva. cousa ou lugar aonde se faz estrape. pacova tyva. pacoval. e assim dos outros arvoredos. peiuçava. abano pa se refrescar. peva. materia das feridas. pocuitava. o rotolo, com que se mexe a massa pª a farª [farinha], qdo [quando] esta no forno (ver I, Fa 102). Rava. v çava hoc e͡ [est] rel. penujem. a felpa. Coaticáva. pintura, escritura. tapixáva. vasoura [vassoura] (ver I, Va 34). Taiova. a cove. Teiupáva. choupana. tapecoáva. os sollos ou abono pª o fogo. teco monhangáva. ordenaçaõ. ley. tendába. lugar, aonde se esteve. tova raangava. a masquera (máscara). teco cuáva. a prudencia. Tupáva. lugar, aonde se naõ esteve. Tupaveráva. relampágo. tucaçava. martello ou ql͡ qr [qualquer] cousa de pregar. Tatamoacáva. fuzil pª tirar fogo. Tupã potova. esmola. Tupã rauçupáva. amor de Deos. Tymbyaçava. a. barra dos rios. Tĩ beva. o nariz escarapuchado. Teçagoaruà. os oculos. Xeremimonhangáva. a minha obra.


326


327 [folio 59 verso – 1° col.] ua. Va. Xeapytereva. a calva. Xepuruã. o meu embigo. Xepuruà. estar prenhe. alii: poroà. ipuruà. rel. piruà. os callos, ou empollas. xepopirua. os dos [ditos] nas maõs. xepypiruà. os dos [ditos] nos pes. Kỳva. o piolho. Kyrymbàva. forte, valeroso. esperto. Cotava. huã casta de raã gde [grande] que há nos rios, e canta de noite. Ovà. caga fogo. aquelles bichinhos, que voaõ de noite, e luzem. papera moçapucaiçába. papel de apregoar Ub. et uc. vide in fine. item ve. Tetiruã. cousas peqas [pequenas] e grdes [grandes]. pprias [próprias] ou alheas etʒ [etc] cum voce mbäè. Um. Amotuum. barrar ou fazer taipa lisa. tambem fazer o barro, e botar a agoa, e fazer a massa com o carimà [carimã], ou ql͡ qr [qualquer] outra cousa poente [poenta]. Jtem rebocar. Nhum. o campo. Xeruùm. estar enlamado. omuum. amassar como paõ barro etʒ [etc.]

Un pytun ou putun. a noite. jande pytùn. boas noites. amopytun. escurecer fazerse escuro. Anhemopytun. fazerse escuro. Amoun, amopixun. tingir de preto. Acetun. tomar cheiro.

Ui. Uy. Agui agulha. Amocui. amocuruì. fazer em po. Acúi. cahir por si mesmo como fruta. acucúi freq. ut: cotirua ocucúi. Aiapucui. remar. Apucuì. mexer a massa da farª no forno. Amongui. derrubar. Cat: amonghui abater, id est comminuo. Naxecatúi. estar achacoso ou andar mal disposto Aixamecui. puxar pela corda. Naxemaragatúi.[naxemarangatúi] vide Naxecatúi. Anhemoçacui. fazer os prestes pª receber hospede. recè. idem cum çui sigfcat [significat]: cavere sibi ab aliquo. Ara pucuì. coára pucuì. todo o dia. Naicò maragatúi [marangatúi] vid. naxecatui Mbae cui. cousa miuda feita em po. Juì. raã peqna [pequena]. Juicánga chamaõ os tapuias huãs puyras v mbyyras pretas (ver I, Ra 1).

[folio 59 verso – 2° col.] ui. uy. yi. Gui v gue. diçao, vocativo adjungi solita. Tupã gui. Aiaçöi. cubrir. Mouy. v tagi. molho. Mamoçui. vul. umaçuì de donde [de onde]. interrogando adde v täè v pe. Mocacuì. a polvora. Rericui. a cal de ostra. Jke çuì. daqui. oçò ikè çui. Ceui. v cembuì. as lombrigas. Pitangui. sdm [secundum] artem. vul. pitanghi crianza peqnsma. [pequeníssima] Ybycuì. area. praia. arregll areal. Aiekýi. arrancar o moribundo. luctor cū [cum] ultimis mortis angustiis ad efflandā aa͡ m [animam]. cat. 229. Acekyi. puxar. itʒ [item] acekyi anhanga etʒ [etc.] aba çupè imprecari etʒ [etc.] Oitaçamekýi tirar a anchora ou a corda, aonde està amarrado o ferro. Abebyi. ser leve. ybyra bebýi. pao leve. Acepýi. borrifar. acepycepýi. freq. agoar v.g. a casa Aiabykỳ. bullir em alguã cousa. aiabukì: ita pron Aporabyky. trabalhar. Aryrýi. tremer do frio. Cenhýi. reverdecer a arvore. rebentar a semente. xeropoci ter sono. Xeropycýi. ter sono. ser pezado. Xerecopocýi. ser forte. constante em obrar (ver I, Gr 16, Le 33). Jtaky. a pedra de amoar = itakì (ver I, Mo 1). Naxerecopycýi. nitì xerecopycýi. ser inconstante, leve no obrar (ver acima e I, Le 33). Xeiecýi. ter o corpo dorminte. Xepyiecýi. ter o pe dorminte. ita da maõ: xepoiecýi xeretýma iecýi. ter a perna dorminte. Xeruguyi [xeruguý]. meu sanque [sangue]. itʒ [item] assim diz a mer estando com a regra (ver I, Co 228). Amondyi. amedronhar. a. Aimboryrýi. causo gaudiū. a – v xenhemboryrýi, incito me ad gaudiū [gaudium] Acyi. estremecer de medo. Aierokỳ. com çupè. fazer misura. cortesia, reverencia. Jerokỳ. a minha reverentia. etʒ [etc.] Cetayi. mtas [muitas] vezes. oiepeýi. huma vez. Acekỳ. alii: aikỳ. debulhar milho (aieký, ver I, DE 11; Prosodia: “Aiyký. alii: Aieký. Ayký. pareceme melhor, ut Peyký abatí. Debulhai o milho”). Jrakiy. exprimitʒ [exprimitur]: irakiig. locus ita dictus ad flumen Xingu para diante de Aricarà. Reyi v Teyi. ceyi em bandos. confectim. ceyi oicóbo (ver I, Fa 73). Naimomucùi. despachar cedo. abbreviar. Aipöekýi. tomar por força. onhemoyi. çoò. rebentou a carne onhemboì. ad ambos (ver I, GR 21). Ur. Ajur. vir. Arùr. trazer. Apupùr. ferver Abubùr. levantar a miudo a fervura


328


329 [folio 60 recto – 1° col.] Ur. Abùr. subir pa [para] cima como a dª [dita] fervura ou o peixe no rio. Apoùr. mexer. como a panella. Apoupoùr. freq. alibi apuùr. Aruarùr. acaretar [acarrettar]. deferre humeris, si forte scribendū [scribendum] sit: acuarùr (ver I, AC 12). oiepoerùr. acenar com a maõ pª qʒ [que] traga. çupè. Uu. Uù. o catarro. Açuù. morder, mastigar. Açuùçuù freqʒ abocanhar. Aputuù descançar. N. ybytu oputuù. ventus remisit. ita dizem tambē da doença, qdo [quando] se diminuē [diminuem] as dores. Amoputuù. fazer. descançar. a. Mutuù. Domingo. dia do descanço. aixüú. morder. abocanhar. Xe Xè v ixè. eu. xembaè. minha cousa. Aixe. a tia Jrmaã ou prima do pay. Xepixè. cheirar o assado. ipixè. rel. Xi. Aba poxì. pessoa maã [má] de maos costumes. Aicò poxi. fazer velhacaria. Xepoxì. ser velhaco. roim. itʒ [item] ser feio. tecò poxì. a velhacaria. Mbäè poxì. cousa torpe, deshonesta. Jpoxì catù. he bem feio. rel. amomoxì. affear alguã cousa ou descompor a alguem. itʒ [item] defflorare virginē [virginem], addito vocabulo cunhã taĩ amopoxi idem quod amomoxi. affrontar de palavras. Tapiixi. coelho (ver I, CO 22). Xo Taixò. sogra do varaõ. xeraixò.

[folio 60 recto – 2° col.] Ub. [Ub. falta acima, na ordem alfabética das terminações] Açaub. amar. aieauçub. amari. v amare se ipsū [ipsum]. Aioauçub. amarse huns os outros (ver I, Am 21). Aporauçub. abs. amar gente. Aioçub. visitar. inusit:, nisì in supino. ut: tiaço mbae= acybora çupa (´vamos visitar os doentes!´). de reliquo ejus loco. acepiàc (ver I, Vi 31). Acepiacaub. ter saudades. Amoacùb. aquentar. a. Çacub. rel. està quente. N. Anhandub. imaginar, prognosticar. Aicuacùb. encobrir. a. persona, cui absconditʒ [absconditur] res, ponitʒ [ponitur] in ablat. [ablativo] cum çui. Cate. pag. 221 (ver Anexo 4). [Araújo 1686, 221: “Ereicüacúpe nde angaipâba amó abaré çuí .. ‘Encobriste a tua culpa diante de outrém ...?”]

Aiecuacùb. jejuar. Amomoreauçub. amoporeauçúb. empobrecer. fazer miseravel a outro. abater mal tratando. Amopetùb. fazer moffino. a. Anhemoreauçub. mesquinharse. abater, humiliar se. Anhemoacùb. aquentarse de ql͡ qr modo. Amopoçauçub. fazer sonhar a outro. ou aparecer a outro em sonho. Xepoçauçùb. sonhar. N. Xerobajur. ser amarello (ver I, Am 27). Amomorandùb. avizar. citar. Ajùb. deitarse. estar deitado. Aiecoçub. achar o desejado ou alcançar. inusit. cū [cum] recè. Xejub. ser amarello (ver I, Am 25). aipouçub. arreceo. araço pouçub. arreceo de levar. V Anch. pag. 52 (ver Anexo 4). Uc Aiaçùc. lavarse. N. Anhemoiaçùc. idem. Amoiaçùc. lavar outro. a. Acotùc. ferir. vul. etiam lavar como pratos, taboa etʒ [etc.] acertar o tiro com harpaõ. Aiecotùc. anhecotùc. ferirse. acotucotù. aguilhar. Amombuc v amopùc. furar. a. Apùc. estar furado. N. vdtʒ [videtur] melius: abyc, cum priore etiam utantur pro aguapỳc sedere (ver I, DO 24). Aporombùc. saber de ranzo ou travar a lingoa, como sorva (ver I, Vi 22). Acarùc. urinar. acarùcarùc. freq. Aiururùc. rosnar. mussare. Amoatùc. fazer curto o comprido, encurtar. Jande carùc. boas noites (ver acima: Un, 1º verbete; I, BO 5). Xerendypùc. resplandecer. Cenepùc. rel. està relucente. Xerobà pupùc. ser bexigoso de rosto. Xeatùc. ser curto. e se diz de ql͡ qr cousa. Xejùc. estar podre. ijùc. rel. iatùc curto.


330


331 [folio 60 verso – 1° col.] Uc Xetujùc. o mesmo. Top: atujùc. estar podre (ver I, Ap 41; Po 13). Aporùc. desmentir o pè[,] mão (ver I, DE 268). Amoporùc. fazer desmentir assim. Aporoapecū mombuc. apertar a lingoa, como fruita sylvestre (cópia do VLB: “aporoapecū [aporoapecũ] mõbigc”). Apecũmombuc. em particular. ut: xeapecū [xeapecũ] mombùc. Ve. Ue. Acuè. bollirse. N. acuècuè. freq. concuti. aballarse v.g. os dentes. Amocuè. bollir. a. amocuècuè. freq. concutere. aballar. hua cousa que està fincada como esteio ou arvore. abanar (ver I, AB 25). Amorî iave. igualar o desigual. Aicóvè. ser vivo, estar presente. Çavè. està borolento [bolorento]. rel. (Prosodia: “Bolorenta cousa. Çabé Vul. Çauè relat.”; Eckart: “Bolorenta cousa. mucidus. Schimlicht. çabé. mbäé çabé”). Amojuruẽ. desenfastiar. ou fazer a boca doce. Javè. desta maneira. Meve. Top: meguè. de vagar. mevè mevè. freq. supra tambem diz, que sgfca [significa] amorosamente (ver I, AM 63). Xemevè. ser vagaroso. pavẽ. todos. falld° [fallando] de gente. pro: pabẽ. Xeputuè. tomar folgo. Xeputüètuè. bafejar. Anheeng mevè. fallar baixo. Jovè. a raã grande (ver I, Ra 2). Eboquè. eis aqui. Xeravè. abolerecer [abolorecer], estar borolento [bolorento]. çavé. relat. està borolento [bolorento] (ver I, Ab 51). Amocuè pitanga. trazer o menino nos braços, Jarguè ybytù. acalmou o vento (ver acima, verbete 23 na seç. Tu). arauraguè. açoutes (ver I, AC 62).

Sit Deo et Virgineæ Matri honor et gloria.

[folio 60 verso – 2° col.] Ba Tyba. vox communis collectionem multarū [multarum] rerū [rerum] sic in uno loco significans, eo modo quo latini dicunt pomariū [pomarium] pro loco, in quo frequens est arbor pomi. E. G. pacova=týba: pacoval. murutì tyba, lugar de muito muruti. ita t yba, acervus lapidum. Recotebẽçaba. necessitas. v media quibus egemus. ut: anga recotebeçába. media spiritualia. Recobeçába. casa ou lugar em quem algũm costuma viver. Momboiçába. o que faz apartarse ou largar. ut: teõ menda=çaretè momboiçaba. legitimorū Conjugū [conjugum] sola mors est separatio. Cat. pag. 165. (Araújo 1686, 165: “M .Eicatú pe oieçüí opöí? D. Deicatúi, tëõ äé mendaçáreté momböiçâbamo”). Mendaçaba. Conjux. Cat. 166 Rembeúba v tembeuba. a margem de qual͡ qr cousa Jurumupéva. casta de abobora. Nupãçaba. açoutes. Moropoaçaba. algemas (ver acima, seç. Va itʒ uá). Amanijutyba. algodoal (ver I, Al 48). Joaçaba. ao travez. ybyra joaçába. Moçapyrçaba. terceira vez. Ara. Ybacupendoara. v vul: ybakigoara. celestial (ver I, CE 14). mböeçára. mestre que ensina. omböeçara. seu mestre. piára. o que busca. ipiaretà, pluralis nu [numerus]. os que buscaõ a elle. Jrã. em algū [algum] tempo futuro. vul: amò arà pupè. Mbae iára. possessor alicujus rei. opa benhe mbae ia ramo oicobo todos tendo alguma cousa. Maramotára. ferocidade. Raçara v taçara verbale ab aiar, tomar, e quer dizer o que toma. Tupã raçareyma o que naõ comunga. Tupã raçarymâna. Goataçara, vul: vataçara. o caminhante. Ocára fora. ocára cotỳ pª fora. p̅ nunciaõ [pronunciam] ocára Kiti. Mimborára. verilhas. Xeandára. abraçado bailar com outro. jan [jandaramo] = v inhandaramo aicò andára: trazido assim em bailes (ver I, AB 59–61). Rerecoára, vox quæ additʒ [additur] plurimis rebus ad sigfcdm [significandum] officiū [officum] ut: caoĩ rerecoara, adegeiro [adegueiro]. ybyra rerecoara, mei = rinho ou juiz. okena rerecoara porteiro. Tapiira – taiaçu etʒ [etc.] rerecoara, vaqueiro, porqueiro. Xeporomytaçara. ser agazalhador de gente.Wirth Nhemoyrõdoára vul. angaipába. agastiço [agastadiço] melancolico. Tabagoára v tabigoara. aldeano. Ybyrà rerecoaruçù. alcaide mor. pytuna vataçara. noctambulo.


332


333 [folio 61 recto – 1° col.]

[folio 61 recto – 2° col.]

Go. Amoingo. constituir. ut: xe oromoingo Tubixabamo. consti=[|]tuo te principalem. itʒ [item] ponho amoingo manhánamo.[|] ponere custodiam, vel speculatores.

YK v yc Arocyk. pertrahere. mamópe guà iandè iára rerocyki [|] cöytè. quo deinde pertraxerunt D. N. [Dominum Nostrum] Cate. pag. 89. Acuapycỳc. abarcar com os braços pª a cintura (ver I, AB 31). Acỳc , chegar, abordar. ixykì. relat. chegar id est, implere [|] mensurā [mensuram]: cycába.; id quod implet mensurā [mensuram]. bastar. Aipymondỳc. Cate. acabár. amoendypỳc. polire. acaçalar [açacalar] como espada. (ver I, AC 17).

Ora Tyabora. esterilidade de mantmtos [mantimentos] (ver I, ES 236). Agoaçabóra. mancebo v ba [manceba] por mto [muito] tempo

Gu Anheangù. alii: anhaangù. recear se de alguma cousa ou [|] malo. com. çuì. ita cate. sed hic ait cum recè. qnqm hoc [|] dicatʒ [dicatur] de persona, quæ timetur quan quam vide [|] duplex vocabulū [vocabulum] arrecear (ver I, AR 39 e 43).


334


335 [folio 61 verso – 1° col.]

[folio 61 verso – 2° col.]

Pe. Jepè. part͡ la [particula] quæ additʒ [additur] alqbʒ [ad arbitrium libidinemque] imperativis vid. art. itʒ [item] debalde. itʒ [item] [|] difficultʒ [difficulter] dicitʒ [dicitur] etiā hoc ss͡ u [sensu]: xerecémo iepè itajuba çuì (ver I, AB 33). Aqueipe. ahi mesmo. Umapè aonde[,] em que lugar. Umamépè Mamope

Gy. Gy. machado. acha.

Yra Ocapuracapýra. angulus domesticus. ocapuracapýrpe [|] in ângulo v angulū [angulum] domûs. vdtʒ [videlicet] Ɔpstm [compositum ] ex oca et purakè [|] cotovelo, cujus formā [formam] hbt [habet] angulus (ver I, AC 11). imöetepýra. acatada cousa, louvada etc. Ceraiapýra. prænomen (ver I, AL 22). Çaucubipýra [çauçubipýra]. cousa amada ou amavel. (ver I, AM 4). iatyatýra. montoẽs.

Ke Aroikè. acolher ou levar pª dentro, o que se leva as [às] costas. Aikè. acolherse. entrar.

{


336


337 [folio 62 recto – 1° col.] Jb. v yb. Xenheengporangaib. turpes amores loqui.

An Anhemoçainàn. aparelharse anhemoçaucì idʒ [idem]. cum recè [|] anhemoçainàn cecè v pedro recè præparo me pª [|] vinda do pedro. vid. aperceberse. Amoçainàn. aparelhar ou a outrem. aperceber.

[folio 62 recto – 2° col.] Jr v Yr Xerabybyr. arrepiarem se os cabellos (ver I, AR 57–58).


338


339 [folio 62 verso] [vacat]


340


341 [folio 63 recto] quædam quæ mihi videntur ita applicari posse. a longo tempore captus sum tua pulchritudine erimbae çuì nde poranga xepyà mondà xe çuì v omisso xe çuì. virgo ababycagoereyma hic non intelligitʒ [intellegitur] igitʒ [igitur]: cunhã aba poromonhangara cuabeyma v aba [|] poromonhangaba v poromonhanga cuapareyma (‘mulher que não conheceu homem propagador (da espécie humana)’) (DPB: Abâbúcagoéreyma donzella, virgem, não forçada ou violentada pelo homem; Prosodia: Donzella: Angaturáma. Top. Abábúcagoéreýma. id. Não furada).


342


343


344


345


346


347

ANEXOS 1–6 ANEXO 1 Traduções e explicações em língua alemã (Meisterburg e Eckart) Trata-se de expressões alemãs da região e da época dos autores, escritas todas na grafia que se usava na Alemanha de antes de meados do século XVIII. É evidente que Meisterburg só tem poucas expressões alemãs enquanto Eckart tem um número impressionante.

Meisterburg : I, I 22 : Jmpigem. goaurána. (pmo Pr: guäurána, Eckart: Impigem. Lichen. Zittermahl. goäurana. No alemão, a palavra Zitterma(h)l 'impigem' é documentada entre os séculos XVI e XIX). I, Pe 140 : perna. tetýma [tetymã]. ut: xeretýma [xeretymã]. curva delle [della]. andaguýra xeretyma [xeretymã] omanomanó. modus loqdi [loquendi]. das bein ist mir eingeschläfferet. (‘A perna me adormeceu’). II, Ma : Amuma, alii et meliùs ambúva. moncos. ain dickes holtz. (‘um pau grosso’) II, Ra:

Tombýra. o bicho do pé. Tombúra cerã nde pỳ (‘teus pés têm bicho?’). modus adhortandi ad properandū. hast du wūrm in den füßen? ('você tem bicho nos pés?', expressão alemã antiga para incitar alguém a andar mais depressa)

II, Ara: Xeporomytaçara. ser agazalhador de gente.Wirth (‘taberneiro, dono de restaurante’)

Eckart : Abainhar, plicare fimbriam. Amöybýc v Amaman _ _ _ Açambémaman. “Einsämen [expressão em alemão da época, hoje einsäumen] Almagra ou gro, Rubrica Fabrilis, Rothe Kreiden ou Röthel. Piranga v Tagoapiranga. Almorreimas, ficus, marisca, Feigwartz Teicoaracy. Amarella cor do rosto. Tobá júba. gelb wie Saffran. Amassar como paõ, depsere, barro, argillam, Leim, Letten, e de qualquer sorte. Arreganhar os dentes como caõ, kirren. xeräimitir vel xeräimigái Arteria, Puls-ader. Jandè ragýca. Artemisa vel Artemigem, Parthenis, idis, Regia herba, Artemisia, Sanct Joannis Kraut, Beyfus. Jatiunána. Azinhaga, Angiportus, enges gäßlein. ocapú piaçaua Baça cor, fusca, dunkel-braun, Pŷtanga. Baço, Lien, Splen, Miltz, Peré. item doença ou ybypaar Barboleta, Bicho, Papilio, Sommer-vogel, Pfeiff-holder, Zwiefalter, Milch-dieb. Panáma. Alii Panpanáma. Barriga da perna, Sura, Wade an dem Fusß. xeretýmároõ


348 Barro, Argilla, creta, Kreiten. Nhaüúma, xerenhäüúma, cenhäüúma. Relat.vulgo Tujuca Barro amarello, gelb. Tagoã. Id. tagoá. v Artem p. 77 Barro vermelho, roth, com q’ se pinta. Tagoá piránga. Bexigas, doënça, Papula, Hitz-blätterlein, vulgò vexiga. Topinamb. Piratí, vel Piräiba, vel Pitába. Bisouro, Stellio, Lacerta, gesprengelte Eidex. Mamangá. Bofe, Pulmo, Lungen. Pyá bebŷia. Bofete, Trapeza, Wechsel-banc, Tisch.ybyrapéba. Bolorenta cousa, mucidus, Schimlicht. abé. mbäé rabé. Borbulha como de Sarna, Scabie’, Papula, Hitz-blätterlein. Borra de liquor. Fæx, Hefen, Trusen. Typyáca vel Tepotí. Borracha, Ascopera, uterculus, lederne Sack. urù ùt cäoirurú. Brasil, pao. Presilien-holtz ybyrá pytánga. Bustela, Pustula, Bläslein, Blatteren. Moréba, vulgò Peréba. Cabelleira postiça, galericulum, Falsches haar, Peruque, ou fora da cabeça. Agoera. Cair em rede, ou qualquer armadilha, Pediga [pedica], Fuß-eisen, Schling Aár. Camaraens. gammarus. Meer-krebs. poti. V. Camaleaõ. Chamæleon. Ratten-Eidex. Cenembú. Cana de fistola, fistula, Fistel, wasser-Röhr. Marí marí. Canaveal de açúcar, Arundinetum, Rohr-busch. Üubäetýpa. Canoa. ygára. Schedia, Floz. Carne.geral’te. Çöó. assim também se diz carne, a polpa, pulpa, das fleischichte an dem leib ohne bein, die maus: das hertz oder der kern eines baums oder holtzes: das fleisch oder Das Safftige an dem obs:, do peixe ou fruta ou pao, ùt ybyrá röó. Carpentejar, dolare, Hoblen, Zimmeren. Aibyrapán vel Anhopan vel aipoan vel abyrapan Casca antes de ser tirada, Pira: tirada: Piréra. cortex, Rinden Cascavel, Nola, marcuá [maracá] mirí. kleine Klock. Casco da cabeça, estando no corpo, cranium, Hirn-Schal, Acánga Cataratas, Albugo, weißes fell im aug. Teçatínga vel Teçatúnga. Cebola. ybanémuçú.– ŷbanéma. Stinckende frucht. Centopea. centipeda, Raubb, Kraut-wurm. Ambüá Chamejar, flammigerare, Feuer aufwerffen. xerendýrendý. Chiar o rato, mintrare, winselen. guairú anhëeng; e assim fallando dos mais animaes ... Choça, gurgustium, dormitiolum, Sauff-winckel, sacellum Pauhi. Tejupába: vulgò Tejupáva. Choco ovo, ovum urinum, wind-ey. çupiá ijúc vel Ijúc üán Cigarra, Cicada, Heu-schreck. Jakyrána. Ciranda, vannus, wannen, Futter-schwinge. Urupéma. Codornix, coturnix, wachtel. Inambútínga. Colchete, uncinus, Hack, Angel. Aoba potaia. Naõ se usa. Comadre, Commater, Mitgevatterin.Atöacaba vel –va.


349 Corcova, gibbus, Buckel, ou qualquer tumor de natureça [natureza].candura, út cupé candura. Corrimentos, Arthritis, morbus articularis, glieder-gicht, Podagra, Zipperlein. Carüára. Costura, sartura, das flicken, das Nähen. Moybyckipýra vel Moybycáva. Craveiro, locus caryophgllis, Nägelein, confitus. ybyrárÿỹtúba. Çurrador, Alutarius, Weißgerber, Coriarius. Nupãçára. Debulhar com a maõ comop o milho, Tetere, Triturare, Dreschen. Aieký, Alii: Ayký. Defumadouro, Caminus, Fumarium, Rauch-loch Motimbóra. Desmentir o pé ou a maõ, pedem etc. luxare, verrencken. opor´c; Ajuntandolhe a parte desmenda [desmentida] Enfaixar’, Einwickelen. Amamán ou Amonháng mamána. fundir roupa, lixivio perfundere, Lauge. Amoruú panna. Engraiçar, sebo inficere, Unschlitt. Apixí cabagoéra pupé Ervolario, Herbarius, Kräuter-mann. cäapií catu rerecoára. Escaravelho, Scarabæus, Ros-kæfer. Enéma. Funil, trichter, Tormíra. Fuso, Fusus, Spindel. ÿýma. Garavatos secos p’a o fogo, Schwebel-höltzelein.çaïaí. cremium. Gengiva, gingiva, Zahn-fleisch. Jandé raimbirá. Gingibre, gingiber, Ingber, Imber. Maruaratáia. Gorgulho, gurgulio, Luft-röhr hals-zäpflein. Çocóça ou Aramandáia. ̈Gurgulho, gurgulio, korn-wurm. item q’ se cria em legumes. Icotutú. Impigem, Lichen, zitter-mahl. Goäurána. Lagarta, q‘ roe as arvores, bruchus, Rauppe. Tapurú. Milho gerl. Abatí. Saburro, Milium Indicum. Türckischer Weitz. Abatígoaçú ou Abatiába. Nascida, glandula, Eichel, Drusen. Nó dos dedos. Condylus. Knod um die geleich an fingeren oder füßen Opa[,] tunica laciniosa, voll falten.äóba. Pomes, pumex, Reib-Stein. Itá bebýia ou ueýia. Pedregulho. Glarea. Itá curúbí. Kies, grober Sand. Peugas, caligæ Phrygianæ. periscelis, Hosen-band. Möabäiçába. Pimentaõ, piperitis, Pfeffer-Kraut. kÿynháuçú. Por as ditas posturas, Schmincken. Açobá poçanóng. em si: aiobá poçanóng. Saluçar de frio, singultire, Schluxen. xeieióc. Sapo, bufo, Garten-Krot. cururú. Seuo, sebum, Unschlitt. çába [cába]. se estâ fora ja da carne, çagoéra [cagoéra]. Soldar uma cousa com outra, ferruminare, zusammen-leten. Amoiár. Amoiepotár. Tea do miolo, ǀ: cerebrum :ǀ, meninx, Hirn-häutlein.Apyty cumaóba. Tea do coraçaõ, diaphragma, das zwerchfell in dem Leibe. Bypáia. Tijido, Later, ziegel-stein. Vime, vimen, weiden. ycypó. ou cipó.


350

ANEXO 2 Indícios de escrita do documento por autor de fala alemã. Cotejo com o VLB 1622. Os dicionários confeccionados por Eckart e Meisterburg caraterízam-se por traços comuns que refletem o tempo relativamente breve que os dois missionários passaram na Amazônia brasileira. Da estadia limitada em terras de língua portuguesa e de língua geral amazônica resultam os erros de português que apresentam os seus dicionários e também a insegurança no registro da língua geral, que tem como consequência formas mal copiadas de outras fontes porque não entendidas e, em certos casos, análises morfossintáticas equivocadas. Não alistamos evidentes lapsos de grafia. Os dois missionários alemães fazem erros grosseiros, conferindo ao português hábitos lingüísticos de sua língua materna, o alemão. Uma de cujas características, na variedade falada de certas regiões e de certos dialetos, é a nãodistinção entre as consoantes oclusivas sonoras e surdas: /p/ [p – b], /t/ [t – d], /k/ [k – g], /s/ [s – z] . Isto não quer dizer que o alemão não distinga entre oclusivas surdas e sonoras. Simplificando um pouco, e com respeito à língua alemã comum, se pode dizer que as surdas do alemão se realizam aspiradas, [ph], [th], [kh]. Por isso, um alemão não instruido que percebe um [p, t, k] não aspirado o interpreta como uma sonora. Esta, em muitos casos, é a explicação das aparentes “confusões”. Esta distinção irregular reflete-se no português escrito dos dois autores em vários casos: AB 45 Abido [abito]. Vestido. aóba ut xeäóba. vul. xeóba, nde óba ióba. AB 48 Abocanhar sem morder como fazem as crianzas [crianças], apytér. AC 66 Acusar. aimombëu ... o seg° he para qudo [quando] se seque [segue] castigo. AF 4 Affadicado [afadigado] estar por gde tristeza aicotebetebè. vul. aicotemètemé AF 29 29 Affoquear [afoguear]. Açapú. a. aiepú ucar, fazer affoquearse [afoguearse]. AL 24 Aldeaña [aldeana], v aldeano. tabigoára: AQ 9 Aguentarse [aquentar-se]. anhemöacú v aiepeé. AR 42 Arrecanhar [arreganhar] os dentes como o caõ. xeräimitír. xeraimigái AS 30 Assombrar como viçaõ [visão]. os dos verbos AT 12 Atizar [atiçar] o fogo. amocatyrõ tatà. ignem construere, componere. v ignē excitare AT 13 Atizar [atiçar] o fogo ao que se cose. açatupú [açatapú]. vul. amocatyrõ ... BA 6 Bacia, ou bacio do [de] estanho. itanhäé prato. nhäé, ou pratu BA 20 Balanzar [balançar] se na rede. aiatimóng. BA 21 Balanzar [balançar] a outro. amoiatimóng. e assim se diz, balanzar [balançar] o turibulo. BA 22 Balanzas [balanças]. mbäé raangába. BA 49 [sic] Barriga [barrica] de louça. tujúca. BA 51 Barqueiro. ygára rerégoara [rerecoara]. BI 12 Bicodes [bigodes]. apöá ába BO 23 Bolicozo [boliçoso] teconhoteýma. v ábä [abá] oiconhoteýma. BO 24 Bolicozo [boliçoso] ser. bolir muito. naicónhóte. vul. niti aiconhóte. BO 36 Bonazoso [bonançoso] dia. ára catú. BO 37 Bonazoso [bonançoso] estar o mar. paraná catú. paraná poránga BO 50 Borde [borda] de canoa, ygárembé. BO 56 Borrar, ou risgar [riscar]. açair. delere. oblitúrare. amogoeb ita m̅ [em] Guarani BR 27 Bringador [brincador]. moçaraîtara.


351 BR 30 Bringar [brincar] com alguem deshonestamente. amomorang. BR 32 Broquel do [de] ferro ou bronze itagoaracapá. BR 33 Broquel do [de] pao ybyragoaracapá. CA31 Cadarrão [catarrão]. üú CA 32 Cadarro [catarro] ter. xeüú CA 35 Cadea, prizaõ. mondé róca. os preços [presos]: mondepóra. CA 38 Cacado [cagado] de agoa. jurará. da terra jabutí. CA 39 Cacar [cagar] apotí. vul. acäao. ir a este effeito. acäápe açó. v caápe açó. CA 45 Cair como pote, baril [barril] eʈ [etc.] rodar. aiereieréo. xeaparaieréo. CA 80 Camaras do sanque [sangue]. teicóaruguy. ter esta enfermidade xereicóaruguý. CA 132 Carapado [carrapato]. jatiúca. CA 11 Cequeira [cegueira], como quer. teçá pyçõ eýma. CH 24 Chegar huma cousa pª outra. acýc: apyába ocýc täé nde recé? e quer dizer em bom [boa] linguagem entendeo comtigo algum homem? CH 35 Chiqueiro ou coral [curral] dos porcos e dos mais animaes tocáia. CO 19 Codea do [da] arvore. ybyrá piréra CO 35 Colchedes [colchetes]. aóba potáia. inusit. CO 178 Correger [corregir]. castigare. arecóaíb v arecó memoã. CO 190 Corrimbos [corrimtos] [corrimentos]. carüára. CR 11 Crespe [crespo] de cabello, ou qlq͡ r outra cousa crespa. Apixái. DE 126 Deabitar [desabitar]. amotapéra. DE 121 Derreter se. xemembéc, e se he os mesmo [em lugar de eu mesmo], que eu derreto ou destaço [desfaço] na agoa. aieticoar. aticoár. a. 127 Deabitada [desabitada] cousa como aldea. tapéra v taperéra. DE 138 Deandar [desandar]. aiebýr. aieby iebýr freqʒ. DE 139 Desandar huma bofetada. açobápetéc. DE 142 Deaparecer [desaparecer]. naiecüábi. vul. nití aiecuáb. ut: jandé ánga noiecuábi DE 149 Desarreijar [desarreigar]. açapoóc. DE 222 Desenfeirar [desenfeixar]. aiuráo DE 231 Desenapida [desenxabida] cousa. nití cëé. rel. DI 4 Dia do [de] trabalho. morabykyára. EI 14 Eixado [enxada] do [de] ferro. itacýra. EM 30 Embouar [embocar] amondè xejurúpe. EM 56 Emondar [amontoar]. amöatỳr. id est: coacervare. EN 113 Engrossado [engrossada] cousa. mabaè [mbaè] kyrá. EN 119 Engulir mtas cousas huãs atraz das outras, como a galla [gallinha] os graõs do [de] milho. amococòn. EN 144 Ensavar. [ensacar] ainong çáva [saca] pupè. EN 155 Ensino ou doutrina. iemboeçába. EN 156 Ensoado. lanquidum [languidum]. membéc. EN 157 Ensoarse. xemembèc. lanquesco [languesco] EN 158 Ensobrebecerse [ensoberbecerse]. aierobiàr. aierobiacatù xeioecè. EN 240 Enzol [anzol]. pindá. anzol branco pinda tínga. de ferro: pinda úna. gde goaçú.


352 ER 2 Eranza [erança]. mbäe coéra ER 8 Ermidaõ [ermitaõ]. Tupã róca mirí rerecoára. ou: paí apína. ES 2 Esbofatear [esbofetear]. açobapetéc. v acóvapetéc. ES 48 Escola de danzar [dançar]. poracéia nhemböecaba [nhemboeçába]. ES 116 Espada do [de] ferro. jtagapéma. do [de] pao: igapéma. ES 147 Esperdador [espertador]. mopacára ES 173 Esplandor [esplendor]. mbäé rendý v mbäé endý. ES 194 Esquize [esquife] da nao. bergantím uçú membýra. ES 195 Esquize [esquife] de enterrar. teõ coéra rurú. ES 207 Estamago [estomago]. pyá. ES 208 Estancar o sanque [sangue]. amoputüú çuguyí. ut: có poçanga omoputüú nde ruguyí ES 279 Estrepido [estrepito] fazer qlq͡ r cousa. ateapú. fazer, qʒ alguma cousa faça estrondo. FE 58 Ferros de priçao [prisão] ou corrente. itapucúçama FI 9 Figo ou fiqueira [figueira]. ambaýba. a que chamaõ do inferno. ambaýtínga. FO 10 Foqueira [fogueira]. tatá goaçú. FO 24 Folgedo [folguedo]. nhemoçarái HU 16 Hum tamanino [tamaninho] mais. pyrý amó mirí. LA 13 Lagarto de [da] agoa. jacaré. LA 15 Lagarto de [da] perna. ubypý. xeubypy. ip ibu ïubypý. rel LA 17 Lagosto [lagosta]. potí. LA 24 Lambrea [lamprea]. caramurú. MA 63 Mamar [manar]. stillare. atykýr. MA 64 Mamar [manar] em burbulhoens. abur. freqʒ abubúr ME 34 Mendico [mendigo] poreauçubóra. ME 69 Meter do [de] baixo de [da] agoa, princplmte [principalmente] que costuma ir em cima. NA 21 Nascer a crianza [criança] de alguma maneira descostumada, como om os pes para diante. aár aíb. PA 14 Padrinho da [de] pia paiangába PA26 Palador [paladar]. aceiopyáia. Top. alii: jande cuánha. PE 147 Persequir [perseguir] como quer qʒ seja aicó. recé. ut: tenhe eicó xe recé. naõ me persegues [persigas]. PE 177 Pescoso [pescoço]. ajúra. de qlq͡ r animal. ajúra mirí. PE 183 Pesquiscar [pesquisar]. aporandúporandú. PE 184 Pesquiça [pesquisa] poranduçába PI 1 Pia da [de] agoa. yrurú. da [de] agoa benta. ycaraíba rurú. PI 27 Pilheira [pilhéria] nuce [nugæ]. nhemoiaruçába (pilheria no sentido moderno se encontra no. B. Pereira. O autor fez confusão entre pilheira e pilhéria) PI 36 Pinga [pingo] de agoa. ytykyra. yty kyra. yty kyra mirí. PO 22 Polita [polida] cousa. mbaé catú. poránga. 85 Postrarse [prostrarse], entregarse. anhemeeng. 86 Postrarse [prostrarse], prosternere. anhenong ybýpe. PR 28 prequiça [preguiça] ter. xeateým. PR 114 Prosequir [prosseguir]. amoauié emoauié nde porabykyçaba


353 proseque [prossegue] teu trabalho. alii: amoujé. RE 91 Relucente [reluzente] cousa. mbäé rendý púca. RE 150 Resina. ycyca. a que serve pª brear as canoas: cycatã. outro [outra] mais dura e negra: iraitúna. o Cate. RE 179 Retorcerse a pessoa com prequiça [preguiça] ou arrepiamentos aiepucã RI 27 Rio ou aquelle [aquella] pte delle que he baixo [baixa], e naõ se pode navegar SA 18 Sacrada [sagrada] cousa. caraiba. jmongaraibipýra. SA 50 Sanque [sangue] qlq͡ r. tugúy. çugúi rel. SA 51 Sanquinario[sanguinario]. v. cruel SE 39 Selennizar [solennizar]. aimoetémöeté. SE 89 Sede. uceia. sedente [sedento]. uceibóra. SE 95 Sequir [seguir] a outro. aço çakicoéra. SE 136 Servidor pelo vaso. cäapába. vul mas limbo [limpo]: potiába. SO 64 Sorvas fruta, as de [da] pte de marajo: mangába Su 3 Soudouros [suadouros]. nhemoýaia TO 66 toçar [tosar], pentear. aiemöacapýc v aiacapýc. TO 67 toçarse [tosarse]. aieacapýc. n. TO 68 Tosnequenar [tosquenejar, toscanejar]. xeropocýi. VA 34 Vazoura [vassoura]. tapixába. tapixáva mirí, vazourinha. VA 35 Vasallo [vassallo]. boiá. vul. voiá. VE 46 Vergaõ de azoute [açoute] ou pancada. nupãçagoéra VE 57 Vesco [vesgo]. teça iapára VI 29 Virtude. tecó catu. se he bontade [bondade] natural ou boa indole: angaturáma. Ur 2 Urtica [urtiga]. pygnó pygnó v meliùs: pynó pynó. Uz 3 Uzanza [usança], uso. tecó. xerecó rupí. secundū consuetudinē meā.

Em vários casos, em português se manifestam erros de gênero como, por exemplo, Trier/Meisterburg CO 201: Corte do ferramto [da ferramenta]. çaembé. Porém, em FE 53, escreve Ferramenta. Eckart apresenta Córte de ferramentos, angume (sic) de espada. Acies. çäembé. Comentário: Além do gênero errado em “ferramento”, Eckart confunde o latim acumen ‘gume’ com o português gume para formar *angume. As duas primeiras observações a seguir, sobre o dicionário de Trier, têm caráter genérico. São listados depois, em forma discriminada, os casos mais relevantes de erros característicos de fala alemã, sem especificar sempre sua localização exata no dicionário.

1. Na segunda parte do dicionário, que não tem correspondente na Prosódia, nota-se certa confusão no registro de palavras terminadas em eo, que tanto podem representar um ditongo na pronúncia vulgar de /eb/ na época, como o hiato /eo/, conforme se pode ver nos exemplos: aiaceò chorar [aiaceõ] hiato. Neste caso específico o acento na vogal final poderia ser indicativo de que se trata de hiato. Mas isso nem sempre ocorre. Da mesma forma, em caneõ cansaço, e teõ a morte, o til na vogal indicaria o hiato. Já em acereo lamber, e aiereo virarse..., nada indica que há aí um ditongo final [eu < eb]. Nesta segunda seção, inserimos as palavras e outros elementos da língua geral em letras cursivas, para poder distingui-los melhor do português.


354

2. Não há registro coerente da nasalidade na língua geral. Estudo mais aprofundado do tema faz-se necessário para poder distinguir entre equívocos provocados por interferência da fala alemã e aquilo que pode estar indicando uma mudança linguística. Listamos abaixo os casos mais frequentes de oscilação no registro da nasalidade em LG: adormecer amonkér adornar, concertar,... amocatyrõ v amongaturõ / amongatyrõ aiami / anhami espremer; anheami espremerse aiarõ v anharõ raivar o cão aiatimá /anhatimá aicoteme ter necessidade affligirse aimongoteme causar a outro necessidade affligir aiemim v anhemim esconderse aimboacy / aimoacy ter pezar aimoinghe meto dentro amoinke levar pa dentro, o que pode andar... alii: amoinghé amombuc v amopúc furar; apuc estar furado anhemopaié adivinhar anhepeju abanarse [por ajepejú] anhepycyrõ v aiepycyrõ livrarse anhetym enterrarse anhomim v aiomim. esconder anhopẽ v aiopẽ estranhar anhopin idem quo aiopin acepilhar... campeva cabeça chatta [variação ou escrita estrangeira?] coaracy canhembava o poente coaracy canhempaba o poente jandaramo / inhandaramo aicó bailar abraçado com outro jandú aranha v nhandú juçana lago alii nhuçana kyrỹbava valente, forte, rijo mbae jotympyra cousa plantada mocanhempara o que faz perder tĩbeba nariz escarapuchado, aliis: tĩpeba

3. O registro da oclusiva velar – surda e sonora – é oscilante quando ela antecede E, I, Y: K, CK, QU, C, G, GH. O uso de K e CK é típico da escrita alemã. O uso de GH diante de vogal palatal talvez se explique pela pouca familiaridade do autor alemão com a pronúncia de G como oclusiva na Língua Geral, pronúncia que divergia do que tinha aprendido em português. A grafia GH, usada no italiano, devia ser conhecida dos missionários católicos, até dos alemães, pelo conhecimento geral do italiano. Esta grafia repete-se nos dicionários de Eckart, Meisterburg e na Prosodia (de Hundertpfund?). açaangiepé intentar sem poder efeituar aimoinghe meto dentro amonhangiré depois de eu ter feito amonkér fazer dormir ceraquera, ceracoera a noticia ou a nova ke, iké aqui;


355 namonhanghi não faço puraké cotovelo; tobacké em presença; xerobaké diante de mim

4. Uso de consoantes duplas em português. Foi feito um cotejo com o Vocabulário na Lingua Brazilica, verificandose que na maioria dos casos o VLB tem consoante simples. O uso de consoantes duplas era normal no português clássico, provavelmente por influência renascentista italiana, reforçada por influência francesa ,a partir do século XVII. No português do Brasil se observa ainda nos anos cinquenta do século XX. Encontra-se parcialmente também no Bento Pereira. Aas apalpatellas [apalpadelas]. Pococába rupí. Callar [calar]. Anheéngumé. Anheengdóc. (VLB só o último) Cagar ... Jr à esse effeito [efeito]. Caäpe açó. (VLB ir a isso) Anno [ano] Ceixú. Vul Acajú. (VLB Anno – Roig l. Ceixû) Vacca [vaca]] (VLB Uaca, ou Boy) Tanger, ou batter [bater] o tampor [tambor], e cousa semelhte (VLB: Tanger como tambor...) Tartaruga do matto [mato], ou Cacados [cágados]. Jabutí. Outras, q tem hum pescoço comprido e torto Matà matà (VLB: Jurucugua) Panno [pano]. Panna [pana] (VLB: pano) Pelle [pele] (VLB pele) Permittir [permitir] (VLB: permitir) Penna [pena] (VLB: pena) Novello [novelo] de fio (VLB Nouelo de fio) Novelleiro.[noveleiro] Morandúba monhangára Negro, ou pretto [preto] (VLB Preta cousa) Molle [mole] cousa (VLB: mole) Metter [meter] o q. vai por si. Amoinké, ut emoinké çapucáia ...frutta... (VLB ...fruta) Capelludo [cabeludo] ser (VLB Capeluda ser assim) Canoa, q naõ tem rotella [rodela] Ubäá, a q tem rotella [rodela] Ygareté Consistorio fazer, trattar [tratar] mtos entre si. (VLB: não tem, mas tem tratar) Amarella [amarela] cor (VLB Amarela) Amarello [amarelo] ser (VLB Amarelo ser) Afferar [aferrar] de alguma cousa. Apycýc (VLB aferrar de algûa cousa – Aipicica) Affavel [afavel] ser... (VLB afavel ser...) [todas as entradas com af... estão com dois ff na Prosódia,e com um só f no VLB) Affadicado [afadigado] estar por gde tristeza Aicotemétemé (VLB Afadigado..Aico tebenteben) Aballarse na rede [embalarse]. Aiatimong. (VLB: Abalarse) Barrette [barrete] (VLB Barrete) Erva da setta [seta]...üubacý (VLB ...seta..üubacig.) Expellir [expelir], lanzar fora (VLB tem outros verbetes, com lançar] Feiticeira, ou Feiticeiro, q mattaõ [matão] gte com feitiços. Morocanhempàra [morocanhembara] t. Maracaimbàra (VLB matam) Fallar [falar] (VLB: mais nove verbetes, todos com um só l: fala, etc) Goço [gozo], allegria [alegria]. Torýba (VLB: gozo, ou alegria. – Torigba...)


356

5. Troca entre fricativas surdas e sonoras em português: S / Z Acender com hũa braça [brasa], ou tição. (VLB: Acender com hũa braza, ou tição.) Agudeça [agudeza], id. Fortitaõ [fortidão], como de agoa ardte . Çacý. Relat. Ut nití çacý có caöĩ. (VLB tem Aguda uista, ou agudeza) Açinha [asinha] (com c por baixo do ç). Eçapiá. (VLB Asinha) Atizar [atiçar] o fogo. (VLB Atiçar o fogo ao q se cozinha). Açapinhang. t.Açatapý. Escumar, lanzar [lançar] escuma da boca. (VLB escumar, ou escuma lãçar polla boca) Faiscar. Lançar (VLB Faiscas lançar) Enteçar [entesar] como arco. Mas também: Entesar como quer (VLB entesar como quer) Consegrar [consagrar], bencer [benzer Amongaräíb. (VLB: Consagrar, ou benzer. – Aimõgarâibi). Balanzar [balançar] à outro. Balanzas [balanças] Mbäé räangába. Ut erúr çaangàba. (VLB Balanças. Baerangaba) Toçar [tosar], id Pentear Mas também: Tosarse, id, Pentearse (VLB: Tosada barba ser... Tozar assi..) Tomada, ou preça [presa] qualq. (VLB: Tomada, ou preza qualquer) Precenciar [presenciar]. Precencialmente [presencialmente]. Precencial [presencial] remedio . Presente estar. Essas entradas todas estão colocadas pela ordem do s. Nascer a crianza [criança]... (VLB: nascer a criança...) Medianeiro. V. Terzeiro [terceiro] (VLB: Medianeiro. Vide. Terceiros). Goçar [gozar]. Xe rorýb Goço [gozo], allegria. Torýba (VLB: gozo, ou alegria. – Torigba...) Fortaleça [fortaleza] (VLB: Fortaleza: forti tudo...) Ferros de priçaõ [prisão], ou corrente Tronco, priçaõ [prisão] Mondé (VLB: Tronco prisão. – Mundecoara)

6. Troca entre oclusivas dentais T / D em português Falta pa chegar ào comprito [comprido] ou à numo [o t está rasurado, por baixo se vê d: comprido] Entereitar [endireitar] o torto. (VLB Endereitar) Destentado [desdentado] ser. (VLB: desdentado) Buscar em casa, … pessoa perdita [perdida]... Benignitade [benignidade]. (VLB. Benignidade) Arrepentimto . [arrependimento] Arrepenterse [arrependerse] do q fez de mal. Ou ter pezar. Alfaiade [alfaiate] Aóbamonhangára (VLB Alfayate. Aomonhangara) Curral de gato [gado]. Tocáia. (VLB: Curral de gado. – Tocaya...) Fecho, ou altrave [aldrava]. (VLB: aldraua) Virar, como o espedo [espeto], ou a ponta ou cabeça...Arobác (VLB: Uirar de ponta a ponta. – Arobác; Uirar como assando em espeto. – Aimoiereb) Polita [polida] cousa. Mbäe catù t. Poranga (VLB: Polida cousa ser. Xecatû) Perturbator [perturbador]. Poromöaiuçára Mto em candidade [cantidade] (VLB: Muito em cantidade) Multiplicar... quandidade [quantidade]


357

7. Troca entre oclusivas labiais P / B em português Abido [abito]Vestido Tanger, ou bater [bater] o tampor [tambor], e cousa semelhte (VLB: Tanger como tambor...) Lambrea [lamprea]. Caramurù. (VLB: Lampréa. – Caramuru) Embedir. [por empedir] Eixo de carapina [carabina] Desemparaçar [desembaraçar] como fio. (VLB: dezẽbaracar) Desexapida [desenxabida] cousa Couza q. me foi embrestada [emprestada].

8. Troca entre oclusivas velares K / G em portuguès Adelcaçar [adelgaçar] como vara. Aiopín. (VLB Adelgaçar como uara) Antica [antiga]cousa. Ymána (VLB Antiga cousa. –Igmãna) Anticamte [antigamte]. Erimbäé (VLB Antigamente. Erimbae) Arrancar como o fingado [fincado]. Aiöóc. Acecúi. (VLB Arrancar o fincado. – Aciquij) Arecanhar [arreganhar] os dentes, como cão. Xeraimitír. t. Xeraimigái. (VLB Arreganhar os dentes, como cão. – Xeraibitir) Borrar, id. Risgar [riscar]. Açäír. Carca [cargo] id officio. Tecó . Mas também Carga, onus. Pycýitáua. (VLB Cargo / carga) Carrangudo [carrancudo] estar. Carranga [carranca]. Mira rouá Desfazer como letra... risgar...[riscar] Engordar. Xe kyrá (VLB Engordar). Mas também: Encordar [engordar] à outro. Amokyrà (VLB Aimõguîrâ) Envinacrar. [envinagrar] Amoçäi. Mas também: Envinagrada cousa. Estangar [estancar] o sangue (VLB estancar) Frade... Leico [leigo]. Paí apína Jucar [jugar] aos couces. Mas depois: Jugador...; Jugar as dentadas... (VLB: sempre jugar) Mendico [mendigo] Micalha [migalha] (VLB: migalhas) Picar como bespa ou lagraõ [lacrao] (VLB: Picar como Bespa, ortiga, etc) Puxar arrangando [arrancando] os cabellos da cabeça. Rayo. V. Relampaco [relâmpago] (VLB: Rayo, o mesmo q. Relampago) Sorvas, fruta. As q. estaõ da pte do Marajó. Mancáua [mangaba] Tirar o fingado [fincado], ou cravado... (VLB: Tirar o fincado, ou acrauado... Vesco [vesgo]. Teçà iapár (VLB Vesgo ser. – Xereçabang; Vesgos olhos. – Teçabanga)

9. Variação entre E / A / O em português Treves [trevas] Pytúna, ou Putúna Quecer, ou estar quento. (VLB: Quente estar) Nojente cousa [nojenta] (VLB: tem só nojo) Borde de qualqr couza (VLB Borda)


358 Borde [borda] de canoa. Ygarém bé (VLB Bordos de canoa ou porticos Cembê. Jgarembê) Arrotar fedorente [fedorento]. Aurĕ. (VLB tem Arroto fed. Eûrem) Alcaido [alcaide] mor. Ybyrarerecoáruçú. Mas também tem: Alcaide, q prende. Consegrar [consagrar], bencer [benzer Amongaräíb. (VLB: Consagrar, ou benzer. – Aimõgarâibi). Entarrada [enterrada] cousa, ou plantada. Jotýmpýra [por jotymbyra]

10. Variação entre R / RR em português Empanturado [empanturrado] estar de comer. (VLB empãturrado) Auorecer [aborrecer]. Naiamotári. t. Aroirõ. (VLB Auorrecer. Danhamotani (por ri)) Auorecido [aborrecido] estar ou andar. Xepitubár. (VLB =, mas com longa explicação) Açoutes, id. Azourague [azorrague]. Nupãçába. Acaretar [acarretar]. Arúarú (VLB: Acarretar. – Arúarú) 11. Troca de gênero ou regência em português Costura do cosida. [cosido] Carca [cargo] id officio. Tecó Fingir q. faz. … Finjo de comer [finjo comer]

12. Variação entre K / G depois de N em Língua Geral Oração. Tupã monketeçába [monguetaçába] (VLB: Tupã monguetâ) …iacoara...[iagoára] Gingibre. Mancaratáia [mangaratáia] Consistorio, lugar. Nhemonghetaçába. l. Jemonketaçáua [iemonguetaçáua]. (VLB Nhemõguetaçaba; Prosodia: Nhemonghetaçába. l. Jemonketaçáua; Eckart: Consistorio. Nhemonghetaçába. vel Jemonghetaçáua, meliùs) Acomodar, id. Consertar. Amocatyrõ t. Amongatyron. A. melius Amocatyrõ (VLB Amõgatigrõ) * Guarnecer, id orno. Amongatyrõ. t. Amocatyrõ. (VLB: Guarnecer como quer. – Aimõgatigrõ) Guarniçoens de dta casta. Porangába. t. Mocatyrõçába Barqueiro. Ygára reregoára [rerecoara] (VLB Jgararerecoara) Falecida, ou falecido. Teõcoéra [teõgoéra] Defunto pelo cadaver. Tëõcoéra [teõgoéra] (VLB: Defunto, plo. Cadauer. – Teõbuera) Entroduzir alguẽ. Amoinké [amoingué].

13. Variação entre P / B depois de M em Língua Geral Enterrador. Jotýmpára [jotymbára] Semeador. Jotymbàra Semeada cousa, ou plantada. Jotympýra [jotymbýra] Plantador. Jotympára [jotymbára] Esperdiçador. Mocanhempara [mocanhembara] * Há uma série de entradas de português glosadas por mocatyrõ / mongatyrõ: acomodar, consertar; adornar. A variação entre a consoante velar surda e a sonora pode não ser questão de fala alemã; talvez esteja ocorrendo uma mudança na língua da época que permita essa oscilação. Mas ocorre que temos também mõkatyrõ (com o o de mo- nasal) e ainda teõgoera / teõcoera em que só varia a oclusiva surda/sonora. Por isso achamos que o caso é mais complicado, sendo necessário aprofundar a análise da nasalidade na língua geral.


359

ANEXO 3 Seleção de paralelismos entre os três dicionários: Prosodia, Meisterburg e Eckart Ɔ ʒ ͡ ) ARR: DPB: Eck: id: M.: pmo: Pr VLB:

abrev. inicial, con-; abrev. final, -(d)em, -tem, -(d)um, -tum, -tur; omissão de letras internas sinal que indica a omissão de letras finais Arronches, Caderno da lingua Dicionário Português–Brasiliano (Anselm Eckart), Dicionário de Língoa Brazil idem, identidade textual (Meisterburg), Dicionário de Trier paralelismo (com) Prosodia Vocabulário na Língua Brasílica

1. Documentação da Língua Geral Amazônica Em comparação com a Língua Geral Paulista a Língua Geral Amazônica (LGA) abunda em documentos lingüísticos, sobretudo em dicionários (cf. Dietrich 2014). Não se mencionam aqui os diferentes catecismos existentes. Aos três dicionários publicados no século XX, o Vocabulário na Língua Brasílica, de 1621 (n. 1 da lista a seguir), o Caderno da Língua, de 1739 (n. 2) e o Dicionário Portuguez–Brasiliano e Brasiliano–Português, de 1751 (n. 7), acrescentou-se, em 2006, o Diccionario da lingua geral do Brasil, de 1771 (n. 6). Ficam ainda não publicados mais seis manuscritos de dicionários da LGA, todos, até agora, pouco ou não analisados com métodos lingüísticos. Três deles serão examinados a seguir, a Prosodia de lingua (n.3), o Vocabulario da lingua (n.4) e o manuscrito, sem título, descoberto em 2012 na Biblioteca Municipal de Trier (n. 5). Todas as obras são anônimas. Em poucos casos temos informações indiretas ou existem hipóteses sobre os possíveis autores ou, pelo menos, sobre o lugar da confecção do dicionário. Estas hipóteses serão discutidas quando descrevermos os detalhes do respectivo manuscrito. Eis aqui a lista dos dicionários e de seu conteúdo, com tudo que se conhece pela análise dos manuscritos: 1)

Vocabulario na Língua Brasílica (VLB), 1621: cerca de 9300 verbetes.

2)

Caderno da Lingua, 1739: 3881 verbetes.

3)

Prosodia de Lingua: cerca de 5480 verbetes; páginas duplas de duas colunas, pp. 1–85: voc. Português – Língua Geral; segue uma lista alfabética Português – Língua Geral das partes do corpo (pp. 85–86); pp. 87–88 vazias; pp. 89–102 coplas rimadas em LG: “Descreve hum missionario a lida que tem com os seus rapazes” (pp. 9–91); “Lida dos Missionarios com os Sertanejos. Diz o Misso.” (pp. 91–94); “Narração que faz um Sertanejo a hum seu Amigo de sua Viagem que fez pelo Sertão” (pp. 94–98); “O Corista Europeu” (pp. 98–100); “Sobre do (sic) Nacimento de N. Sor Jesu Christo, vinda e adoração dos SS. Reys, e Pastores” (pp. 101–102); “Sobre da (sic) Confissão” (p. 102); “Espertador Christão” (p. 102–103); “Outro Espertador” (p. 103–104); “Actos Affectuosos à N. Sor Jesu Christo” (p. 104–105); “Actos de Fe, Esperança, Charidade e Contrição” (p. 105); “À Virgem Maria Sa Nossa” (motte e glossa) (p. 106); “Do Santissimo Sacramento da Eucaristia” (p. 106); “Ao Santo Anjo da Guarda” (estribilho e coplas) (p. 107); “Da Noite do S. Natal” (pp. 107–108); “A Nossa Senhora da Piedade. Imitando o Stabat Mater" (p. 108); “Do Dia final: imitando o Dies illa &ca.( pp. 108–109); “Queixas de huma Alma do Purgatorio de seus Parentes porque se não lembrão della com seus Suffragios” (p. 109), “Ao Glorioso S. Miguel” (estrebilho [sic] e copla) (pp. 109–110); p. 110 três sonetos em língua geral: “A Nosso Sor. Soneto Imitando o de N. St. Pre.”, “Ao N. S.to P. Ignacio”, “Ao S.to Franco Xavier”.


360

Páginas 14 e 108 do ms. da Prosodia de Lingua conservado na Academia de Ciências de Lisboa, n° 569.


361 4)

[Eckart, Anselm, S. J.]. Vocabulario da lingua. Brazil: pp. 2–166: Voc. Português – Língua Geral, pp. 167–172 aditamentos de vocábulos português – Língua Geral. Cerca de 5610 verbetes em total.

5)

Manuscrito de 1756 (Trier): cerca de 6095 verbetes (+ 2500 na 2ª parte). Parte I, pp. 1–48: dicionário português – Língua Geral, ordem alfabética; parte II: pp. 48–65: dicionário Língua Geral – português, ordem segundo as sílabas finais.

6) 7)

Diccionario da lingua geral do Brasil, 1771: 2931 verbetes. Dicionario Portuguez–Brasiliano (DPB), 1751/1795, manuscrito da Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro, impressão por Frei Veloso (José Mariano da Conceição Vellozo) em Lisboa, 1795. A segunda parte, o Dicionario Brasiliano–Portuguez, da autoria de um certo frei Onofre, foi publicada por Plínio Ayrosa, em 1934, numa edição que incluiu também o DPB: cerca de 4080 verbetes.

8)

Vocabulario (ms. 223 da British Library), pertenceu à Fazenda Gelboé (Rio Tocantins)

9)

Diccionario da Lingua Geral do Brazil (ms. 69 da Bibl. da Univ. de Coimbra) 1750

10) Diccionario da Lingua Brazilica (ms. 94 da Bibl. da Univ. de Coimbra), dicionário língua geral – português.

2. Os três dicionários confrontados aqui A análise do Dicionário de Trier levou o grupo de pesquisadores que preparou esta publicação a estudar também o ambiente lexicográfico em que se integra essa obra. Intentou-se identificar os dicionários historicamente mais ou menos paralelos para compará-los com os anteriores que podiam ter servido como modelos ou fontes destes. Tomam-se em consideração aqui o Vocabulário na Língua Brasílica (VLB), a Prosodia, o Vocabulario da lingua. Brazil de Eckart e o dicionário de Meisterburg. Todos esses dicionários são anônimos. Em geral, nem sequer têm título, nem indicam o lugar e a data da composição. O dicionário de Língua Geral Amazônica mais antigo, que com certeza existiu em muitas cópias e assim serviu como modelo para inúmeros dicionários posteriores, é o VLB, já composto, provavelmente, em 1622. Para os autores que nos interessam aqui, o autor da Prosodia, Eckart e o autor do dicionário de Trier, o VLB representa a “tradição”. Eles, na medida em que seguem e respeitam a tradição, a negam e corrigem em muitíssimos casos, substituindo o termo tradicional pela expressão em uso 130 anos depois da confecção do VLB. Este tipo de mudança linguística diacrônica indica-se pelo signo “ł” (latim licet ‘ou seja’) na Prosodia, por “vul.” (latim vulgo, ‘na fala da gente’, ‘habitualmente’) no dicionário de Trier e, finalmente, por “vulgò” (latim vulgo, ‘na fala da gente’) ou “vel” (latim vel ‘ou seja’) no de Eckart. O caráter exemplar do VLB evidencia-se, por exemplo, no caso do verbete ‘cantor’. O VLB oferece Nheẽgaraipara, de nheengára ‘música’ + i-para ‘é variado’, ‘música variada’; a Prosodia tem nheengaçàra ‘cantor, orador’, Eckart nhëengaçára; o dicionário de Trier nheengaçara, agregando “e se he o mestre do canto, nheengaráiba”. O que é importante aqui não é a uniformidade das soluções oferecidas pela Prosodia, Eckart e Meisterburg, mas o absurdo de adotar um verbete, que pertence a um ambiente urbano da costa, mas não tem mais sentido numa missão amazônica. Eckart e Trier, ambos anotam no fim do verbete “Não tem uso. Porque nem tem canto, nem mestre”. Quase todos os dicionários de LGA são dicionários unidirecionais português–LGA. Somente o Diccionario da Lingua Brazilica (ms. 94 da Biblioteca da Universidade de Coimbra, no. 10 da lista do seção 1 acima) é um dicionário LGA–português. Alem disso, o dicionário de Trier é o único bidirecional: sua segunda parte é um dicionário LGA– português. O VLB é o dicionário de LGA mais rico (cerca de 9.300 verbetes), o dicionário de Trier é o segundo em riqueza de verbetes (cerca de 6.100 na primeira parte, português–LGA, mais 2.500 na segunda, LGA–português). O dicionário de Eckart contém uns 5.700, a Prosódia, cerca de 5.480 verbetes. Todos estão organizados por ordem alfabética dos verbetes, com exceção da segunda parte do dicionário de Trier, a qual mostra a ordem mais ou menos alfabética das sílabas finais dos verbetes de língua geral, como se fosse um dicionário de rimas. Seguem-se um ao outro grupos de verbetes organizados na ordem -ab, -aé, -aí,-aí/-aú, -am-, -an, -ang, -áo, -ar, -aú, -ba/-aba, etc. O dicionário de Trier, manuscrito 1136 da Biblioteca Municipal de Trier (Alemanha), identificado em 2012 como manuscrito de um dicionário de LGA, consta de um caderno, com encadernação de couro, de uns 30 por 21 cm. A


362 numeração das páginas está feita só na parte da frente, de maneira que uma página numerada inclui o verso da anterior. As páginas assim dobradas, tanto da primeira parte (págs. 1–48) como da segunda (págs. 48–65), estão subdivididas em quatro colunas. Esta disposição explica a grande riqueza de verbetes em aparentemente poucas “páginas”. O dicionário, apesar das numerosas correções, rasuras e aditamentos em letra menor, na mesma linha ou interlineares, parece estar escrito por uma única mão. Logo no primeiro fólio se lê, em letras grandes, a nota “Meirinho” e o ano 1756, isto é, a confirmação de um servidor judiciário que, no momento de confiscar o manuscrito depois das primeiras prisões infligidas a certos jesuítas em 1755 e 1756, “meirinhou” o manuscrito. Isto significa que o dicionário deve ter sido compilado antes de 1756. Porém, se não se tivesse devolvido depois, ele provavelmente não se teria conservado (ver Arenz). O dicionário que leva, na página 1, o título Vocabulario da Lingua Brazil está conservado na Biblioteca Nacional de Lisboa (cod. 343). Trata-se de um caderno de 172 páginas. Nas margens amplas encontram-se muitos aditamentos, porém, em comparação com o dicionário de Trier, praticamente não há correções e expressões riscadas. Se o dicionário de Trier dá a impressão de obra não acabada, diariamente modificada, o Vocabulario da Lingua Brazil aparenta ser uma obra escrita com mais calma e serenidade. Na sua totalidade, o dicionário parece estar escrito por uma única mão. Como pudemos verificar pelo cotejo da letra do dicionário com a de um autógrafo de Anselm Eckart, incluído em Navarro & Porro 2013, Eckart é o autor desse dicionário. Sabemos que Eckart se encontrava nas missões jesuíticas da Amazônia entre 1753 e 1757, praticamente no mesmo período que o autor do dicionário de Trier. Nas págs. 2–166 do Vocabulario da Lingua Brazil temos um dicionário português–LGA e nas págs. 167–172 aditamentos de verbetes português–LGA antes omitidos. Chamamos de Prosodia a um dicionário manuscrito de LGA em cuja introdução, na página 1, o autor anônimo o qualifica como “pequena Prosodia da Lingoa”. Por sua forma exterior, é um caderno de 110 páginas duplas organizadas como as do dicionário de Trier: a numeração é feita por páginas duplas, o número encontrando-se no canto superior da página de frente, incluindo a página anterior, isto é, o verso da folha anterior. Cada página tem duas colunas, de maneira que as 110 páginas duplas totalizam 110 X 4, isto é, 440 colunas. As páginas 1–85 contêm um vocabulário português–LGA. Segue (pp. 85–86) uma lista alfabética português–LGA das partes do corpo. Ficam vazias as pp. 87–88, e nas pp. 89–102 encontramos coplas rimadas em LGA sobre temas vários, profanos, seguidos, nas pp. 102–110, por coplas rimadas em LGA com temática religiosa (veja-se o no. 3 da lista da seção 1 acima). Tanto o dicionário como as coplas rimadas dão a impressão de uma obra acabada; há poucos aditamentos interlineares, e praticamente não há correções. Há certa probabilidade de que o autor da Prosodia seja Roque (Rochus) Hundertpfund, missionário jesuita austríaco na missão de Abacaxis, no baixo Madeira a partir de 1740, e diretor espiritual do Maranhão a partir de 1749 (cf. Dietrich 2016). O cotejo dos três dicionários mencionados deve-se aos paralelismos observados entre eles. Em primeiro lugar, os verbetes que se seguem em ordem alfabética muitas vezes são os mesmos, mostrando até os mesmos exemplos. Eckart, em geral, está mais conforme com a Prosodia do que Meisterburg. Porém, este e Eckart concordam tão patentemente com a Prosodia que uma dependência comum parece evidente. A razão de presumir esta dependência e não a inversa, a da Prosodia em relação a Eckart ou Trier, se deve ao fato de o autor da Prosodia mostrar uma segurança incomparável no manejo da LGA. Ele deve ter permanecido no Norte brasileiro por muito mais tempo do que os dois outros missionários. São as coplas rimadas da segunda parte da Prosodia que testemunham o domínio da língua e as múltiplas experiências da vida de um missionário europeu, que conhecia claramente os costumes da sede dos jesuítas de São Luis do Maranhão. Se o Vocabulário da Língua Brazil de Eckart e o dicionário de Trier são obras contemporâneas, dos anos 50 do século XVIII, a Prosodia deve datar de alguns decênios anteriores a estes, talvez do ambiente do padre João Felipe Bettendorff, autor de um famoso catecismo, muitas vezes citado pelos autores dos três dicionários estudados aqui. As três obras, a Prosodia, o Vocabulário da Língua. Brazil e o dicionário de Trier formam um grupo de dicionários de LGA que documenta o estado da língua na última década da presença dos jesuítas na Amazônia. O que sabíamos até agora sobre esta época resultava da documentação inicial, do VLB, do muito lacônico Caderno da Língua, de João de Arronches, de 1739, do Vocabulario de Lingua Brasilica, manuscrito da BN, de 1751, publicado em 1795, e do Dicionário Brasiliano–Português, que corresponde ao reverso abreviado do manuscrito da BN de 1751, publicado em 1891 na Poranduba Maranhense. O autor do reverso abreviado poderia ser “certo frei Onofre” mencionado por Fr. Francisco dos Prazeres, o autor da Poranduba.


363 Com os três dicionários aqui confrontados aumenta, de maneira considerável, o conhecimento sobre a LGA dos anos entre 1750 e 1757. Todos os demais dicionários de cuja existência temos conhecimento datam da época posterior à presença dos jesuítas na Amazônia; alguns deles ainda não foram analisados por linguistas.

3.

Seleção de paralelismos entre Meisterburg, a “Prosodia” e Eckart

Esta seleção se entende como documentação da dependência estrutural interna dos três dicionários de Língua Geral Amazônica. Também se anotam lapsos dos autores, malentendidos e confusões semânticas. Meisterburg, em muitos casos, é mais rico do que os autores dos dois outros dicionários. Por isso, a nota (pmo Pr, Eck) se coloca ao final dos elementos comuns, não ao final do verbete. 9 A bocca de noite.carucmé. carucramé. ita vul.Top: carucumé. (pmo Pr, Eck) 16 A falsa fé. dolosè, fraudulenter. xe inganán. vul. (pmo Pr) 27 Adversario v inimigo. motareymbára. e si he mto inimigo: Tobanhána. ut: xerovanhána. (VLB: tobajára ‘inimigo’, ‘cunhado’) 46 Aguçar. amoçaembè. aguçar a ponta. amoçattí (amoçantì) (Pr: amoçantĩ; Eck: amoçantí) 21 Alcotiveiro [alcoviteiro] ou alcotiveira [alcoviteira]. amanaié. ut tenhé eicó amanaié vg exeamanaié ixupé. leno, onis. (pmo Pr, Eck) 55 Alguma vez. amôme. amóramé. vul. (Pr, Eck: amóme; dic. 1751 amôme) 44 Apontar a barba. apopór. ut: apopór cendybába (Pr: Apontar a barba. Apopór. ut cendebába opopór. relat.; DPB: apontar a barba – Ciniçába ocenhiîm) 53 Arrepentementos [arrepiamentos] ter de frio ou doença. acepoia (aiepocá). (No VLB ver ´Arrepiamentos ter de frio o doente´. Aiepocâ; Pr: Arrepiamentos ter de frio, ou doença. Aiepucá. ł Aiepucàpucá Freq.) 2 Avantajado ser a outro. çocé ut nde çocé ixé (citação do VLB). sum te melior. naõ se uza. vul. pyrý. ut: ixé catú pyrý nde çuí (‘eu sou melhor do que você’). 9 Bafejar, ou vaporar. atimbór. e se he pessoa, ou cousa viva, xeputüé v xeputüentüé. freqʒ (mal copiado do VLB: xeputuêtuê) 57 Batel do navio. mergantímuçù membýra. (v. bote de nao, BO 66) 1 Bebado. çabeúpóra. (VLB: çabeypora, DB: çabaipor, Pr: çabëupóra) 32 Bexigoso ser no rosto. xerouapupuc (VLB: xerobapupuc). doente da dª doença vexiga rembiàra. 8 Bulraõ. impostor. aba poxí. aíb (VLB poxig, Pr: Abà poxí ł. Aíb; DB poxi) 108 Cans na cabeça. atínga. ter cans v caãs. xeating. (também VLB, Pr, Eck) caãs ter as barbas. xerendýbating. vul. xerenduating. 111 Cançado estar. xecaneõ. (também VLB, Pr, Eck) 113 Cançaso. canëõ. (VLB: cançacio) 120 Cantor. nheengaçara. e se he o mestre do canto. nheengaráiba. naõ tem uso. Porqʒ nem tem canto, nem mestre. (modelo VLB, também Pr e Eck) 124 Capitaõ ou qlq͡ r principal, que tem mando. Tubixába e se tem muita gente sugeita. morobixába. (pmo Eck) 131 Caranguejos tirar. aoçaóc. saõ de varias castas. os de duas pontas agudas, e se prendem pelo fundo, e entre as pedras: cirí. que sobem pelas arvores: çarará. (pmo Eck) 140 Carne gerlmte çoó. assim tambem se diz carne a polpa do peixe, ou fruta ou pao. ut: ybyra röó. (pmo Eck) 142 Carpentejar. aibyrapán v anhopán v aiopán v abyrapán (pmo Eck) 150 carvaõ. açapù tatapúnha.fazelo: açapú tatapúnha (VLB: tatapignha, Eck: tatapunha) 159 Caseiro, ou que tem cuidado da casa. óca rerecoára. (Pr: caseiro ou caseira ʠ (que) tem cuidado ...; Eck: caseiro a qʹ [que] tem cuidado ... ) 161 Caso fazer de alguem. aimoetè. vul. amöetè. naõ fazer caso de alguem. naimotéi. v niti amoeté vul. (pmo Pr, Eck) 162 Castanha. nhã. Coribaré diz. nhũ. (Eck: nhá; Pr: –)


364 166 Castigar de palavras. aronhén. inusit. vul. aiacáo. (pmo Eck; Pr: –) 169 Catar. akybóc. ut: xekybóc. fricare caput. item dicunt: acemõni. v. coçar (Eck: catar a cabeça. scalpere. Akybóc ùt xekybòc. Pr: kyboc. Vul. Akyuoc.) 174 Cavar terra com as maõs. acybycói. he ppmte (própriamente) fazer algum caminho a canaõ [canoa] ou lugar pª g alguma cousa. acybycói. (pmo Pr, Eck) 9 Cegar, ou estar cego. namaëi. naxereçapyçói. v nitì xereçápyçõ (xereçápyçó) v ocanhém xereçá. qdo de todo os olhos estaõ perdidos. (Pr: pmo, Eck: id.) 9 Chamuscar. acaberéc [açaberec] sendo caça. (VLB: açapéc, acereb. No VLB acereb é ´chamuscar passando leuemente. pollo fogo´. E açapec é ´chamuscar como porco ou... ´. Pros. tem açaberec v açapec.) 42 Chorãm. Aba reçangá. th tenhé nde reçangá. não sejas chorãm. (pmo Pr, Eck) 51 Chupar o feiticeiro. apytér. qdo porem o d° feiticeiro aperta com as mãos, e depois assobra [assopra] a pte doente: aixubán. (pmo Eck) 1 Ciar, ou ter ciumes. xeroirõ. nde roirõ. çoirõ. ut: xe mena çoirõ xe recé. (pmo Eck) 2 Cidade tabuçú. alii: mairí (Eckart: Cidade. Tabuçú. V. Mairí) 6 Cingir. aicüapoár. vul apocoár abá cuá. apocoár nde cuá. (Eck: id.; pmo Pr) 19 Cilada. cotti [coty]. (VLB: Cilada – cotig) 4 Clara do ovo. çupiá tinga. falldo (falando). se de ovo de gallª se for de algũ outro passaro; o tal se nomeará. (pmo Eck) 5 Clara ou descuberta. jcatúpe. v icatúpenhé. (pmo Eck) 8 Cobra. bóia. saõ de muchmas (muitíssimas) castas. as que mataõ, jararáca. boipeba. çurucúcú. boicoatiára. ybyiára. piririon .(pmo Eck: são várias gastas (sic)) 15 Cocegas fazer a alguem. titillationē causare. apokiríc. o freqʒ. faz: apokiríkiric. (pmo Eck) ut: apyába xepokiríc. hum homẽ me fez cocegas. alii. xemokiric. amokiric 22 Coelho. tapiti v tapiixí (Pr: tapiti. Vul. tapixí; Eck: tapiti. vulgo tapiixí) 28 Colher o espalhado. amonöóng. (pmo Pr, Eck) 29 Colher como frutas. apöóc. (pmo Pr, Eck) 30 Colher, id est, tomar. aiar. (pmo Pr, Eck) 31 Colher a alguem, fazendo elle mal. apocuçú. (pmo Pr, Eck) 38 Collo mto delgado: ajúri. ao collo trazer algu͡ a crianza (criança): amöì pitánga, ou taýra. e assim dizem, qdo querem a aquietar. ut: amoí xemembýra. (pmo VLB; pmo Eck: quando a querem aquietar) 41 Com præposiçaõ de instrumento. pupé. ut: xe nde nupã ybyrá pupé. (pmo Pr) 46 Começar aipyrúng. alii. aiypyrung. ppriè (proprie) hoc. (pmo Eck) 47 Começar a fazer. aiypymonhang. (pmo Eck) 67 Comprar. aiár v apyrupan. Top. aiporepyán. inusit. aporypán ouvi no Xingu. (pmo Eck; Pr: Top. aiporepyán) 87 Consertar gerlmte . amongatyrõ. amocatyrõ. (pmo Eck) 88 Consertar, ou fazer bem alguma cousa. aiapó. v aiapó catú. (pmo Eck) 89 Consertar como o pote mal assentado ou a espada mal (pmo Eck) posta no prego, et tudo que he consertar: amongatyrõ. (pmo Eck) 90 Consertar, ou conciliar os discordes. anhomóngatú vel (pmo Eck) amonhyrõ oioupé 99 Conduto. cembaë este he conforme o portuguez. obsonium (pmo VLB, Pr, Eck) NB 100 Outro nome ha commum ao paõ , e a tudo, que com elle se come; a saber týra. de maneira, que tendo paõ peço itýráma, que he peixe, carne. e tendo peixe, carne peço ityráma, que he farinha. äú öì týreýma. como fª (farinha) sem conduto, o que se ouve a miudo desta gente. öì tyreýma. (pmo VLB, Pr, Eck) 120 Congeiturar [conjecturar] com fundamento. amoangeté. (pmo Pr, Eck: conjecturar) 137 Conta de algarismo, mbäé papaçáva. (pmo Pr, Eck; mas: algarixmo) 138 Contas. globos quasqr. mboýra. contas bentas, ou rosario. mboýra caraíba vul. boýra cruzá. (pmo Eck)


365 148. Contradizer, ou contrariar. aänaé v aanhé. vul. nití jabé. ou nití javé. nití maiavé erenheeng. naõ dizes bem. (pmo Eck, menos com Pr) 157 Conversar. amonghetá. aliqui meliùs: aiomonghetá. oiomonghetá. estaõ conversando. (pmo Eck) 158. Convidar a roçar. apytirõ. (pmo Eck: convidar a rossa; Pr: apytiró) 167 Corcova e qualqr cousa de tumor de natureza. candura. i cupé candura corcova v icupekitá. (pmo Eck) 170 Corda ou cordam. çáma. mas naõ se poem so por si, senaõ junto com a cousa em que serve. como se he de anzol: pindaçáma. tupaçáma. absl. (absolute) id est, qualquer corda. cordinha. tupaçáma mirí. cordel. idem. (pmo Eck, menos com Pr) 175 Corpo. teté. xereté. meu corpo por este nome se noméa tudo aquillo, que necessmte [necessariamente] psuppoem [pressupõe] alguma cousa, ut: yagaratè ygarareté. – Corpo morto: teõboéra. vul. teõgoéra, si he humano. porq de de outra sorte se ha de nomear, o de que he ut: pirá reõgoéra etʒ v pirá reõcoéra. teõcoéra. – Corpinho. teté mirí. (pmo Eck) 201 Corte do (da) ferramto [ferramenta]. çaembé. rel. v.g. kicé çaembé v çaimbé as castas do (da) ferramento (ferramenta) vg. faca: kicé çupé. (pmo Eck: ferramento) 206 Cos id est com os iirúnamo v ïirúmo. rel. (pmo Eck) 207 Cos dos calçoéns. turino cüá. se saõ cerólas: cerola cüá. (pmo Eck: ciroulas) 209 Coserse, como dizem, com a parede. anhemoiár. recé. (pmo Pr, Eck) 210 Coser como cosinheiro. amimói. (pmo Pr, Eck) 211 Cosido, em qto [quanto] se distingue do assado. mimóia. (pmo Pr, Eck) 212 Cosido estar já. ogiouán. rel. (VLB ogîb, pmo Pr, Eck) 213 Cosido, id est estar assado. imixiruán. rel. (pmo Pr, Eck) 218 Cospir. v. cuspir. (pmo Eck) 220 Costa do mar. paraná rembiýba. aliás: rembeúba. (pmo Eck) 228 Costume das [dos] mezes nas mres [molheres]. cunhã recó. v tuguý. v jacý. v.g aicó cunhã recó rupí. v xeruguý. v aicó iacý. v iacý irùmo aicó. v aicóaib. v aicó xerecó rupí. v arecó xe ruguý. ter ou vir a pra vez a regra: anhemondeár. (pmo Eck: costume das molheres) 234 Cova de defuntos. typycóera. (pmo Eck: typycoára) 237 Coucear. apyrúng. apyrúpyrúng. freqʒ. alii: apyróng. (pmo Eck) 239 Cousa. mbäé – Cousa que me foy emprestada. xeremiporucoéra. (pmo Eck) 240 Couve. taióba. (pmo Eck: taicóba) 243 Coxear. xepári [xeparĩ] v xeapári [xeaparĩ]. (VLB: Xeparĩ; Pr, Eck: parí) 6 Creatura. Tupã remimonhánga. (pmo Pr, Eck; ARR: timimonhanga) 16 Criança, menino. pitánga. taýra. v tayra (ARR: taína) 17 Criar de [do] nada. nambäé çuí amonháng. v nitimbäé çuí etʒ (pmo Pr, Eck: criar de nada) 20 Criar materia. ipéu uán. rel. (‘já tem pus’; pmo Pr, Eck) 23 Criar aos peitos. amocambỳ xeremicambý. (pmo Eck). sigfca. [significa] tenho f° pprio [filho proprio], que crio aos peitos. 154 Cú. teicoára. xereicoára. podex (pmo Pr, Eck) 4 Cuja? Aba? ut: Abaraýratäé nde? cujo f° (filho) tu es ? (pmo Pr: cujo fo es tu?) vul. aipyámonghetá. (pmo Eck; Pr: aipyamonketà) 11 Çume [cume] da casa e serra. apýra. ut: ybytýra apýra. (pmo Pr, Eck: cume) 12 Çume [cume] como de arvore ou cousa semlte (semelhante) çacapýra. (pmo Pr, Eck) 13 Cunhada do homem. muatý. de mer (molher): ukeĩ. (Pr, Eck: ukëĩ; VLB, dic. de 1751: ukêi) 14 Cunhado do varaõ ou irmaõ, ou pro de sua molher. toba iára; vul. xerovaiára. alii: xerovái: meu cunhado, diz o homem. (pmo Eck) 18 Curral do gado. tocáia. ut: tapiira rocáia. çuacuména [çuaçuména] rocáia. (pmo Pr: Curral de gato (sic); Eck: mesmo lapso)


366 Ç U. (pmo Pr: SU) 1 Çuja cousa. mbäé kyá. ikyá. rel. lugar, casa, canoa mto çuja. iaibtyba v iaityba (pmo Pr, Eck, ambos sem o aditamento) 19 Dar a vela. aiepabóc. vul. vóc (aiepavóc) (pmo Eck) 23 Dar alguma cousa, que está no chaõ ao que esta na janella ou que está algo apartado de outro. amondó. (pmo Eck) 4 De baixo da gbapapra.goajaveira. guaiába yguýrpe. me parece: goabalgbo goajaba yba guyrpe (VLB: guîrípe; pmo Pr, Eck) 17 Decer ou abaixar o pendurado, ou o que está em alto. arogỳb. fazer, obrigar a decer amogoegýb. (pmo Pr: arorýb, Eck: agorỳb) 32 Dedicar. se he a Deos ou SSos [santos] ameëng Tupã çupé. (pmo Pr, Eck) 43 De fronte. xerobaké çovaindáva cotý. conforme ao sentido em que se falla. defronte da aldea taba robaindápe v robaindaba coty. conforme ao sentido (pmo Eck) 65 Deixar fazer, consentindo expressmte [expressamente]. ucár no fim do verbo. ut: araçó ucár. o fiz levar. (pmo Pr, Eck) 77 De madrugada. ogiybé. v coém mirí eté. v çapucáia onheéngaramé. v nheengaripyreme (pmo Eck) cū 1ū (cum primum) cantavit 79 Demarcar cousas vivas, pondolhes algū sinal de panno ou fio etʒ. amotapacurá. mas se he sinal. na pelle, que se faz aos animaes, como cortandolhes a orelha, ou a ponta do rabo, ou com algum ferro, como fazem no gado. amoçaangáb. (pmo Pr, Eck) 89 Dentro præp. naõ ha. em seu lugar serve a præp. do ablat. pe v pupé. ut: oicó çokipé. oicó ygára pupé. etʒ alqdo [aliquando] mutato p in me. ut: oicó paranáme, nhúme. (pmo Pr, Eck) 98 Depenicar como cousa de comer, como qʒ naõ tem vontade de comer e vay tirando huns bocadinhos. apipín v apopín (pmo Eck) 121 Derreter se. xemembéc, e se he os (eu) mesmo, que eu derreto, ou destaço [desfaço] na agoa. aticoár. a. e se por si mesmo se desfez, ou derreteo como sal etʒ aieticoar. oieticoár iukýra. desfazer na agoa. (pmo Pr, Eck). aticoár. a. 127 Deabitada [desabitada] cousa como aldea. tapéra v taperéra. (pmo Pr, Eck) 153 Desatar o nô ou atado. aiuráo. e se de tudo se tira a corda: aixambóc. alii: aioráo. (pmo VLB, Pr, Eck. A grafia nô em lugar de nó é do VLB) 167 Descabeçar. ajuramondóc. meliùs: aiacangóc. (pmo Pr, Eck) 169 Descaida de gallinha. çapucáia repoticoéra. (pmo Eck) 170 Descalçar. aipý aoóc. vul. aioóc nde çapatú. (pmo Pr: descalsar; Eck) 171 Descalçarse. aiepy aoóc. vul. aioóc xe çapatú. (pmo Pr: Descalsarse; Eck) 174 Descarregar navio, canoa ou despejar huä casa. aporóc. (pmo Pr, Eck) 181 Descobrir segredo. amombeú. acüáb ucár. (pmo Pr, Eck). assim também confessa o delinquente. 185 Desconfiar, de que ante se confiava. aiemurõ. çuí. (pmo Pr: entes; Eck) 188 Desconsolarse. xepyaíb. h tenhé nde pyaíb. naõ sejas triste. (pmo Eck) 194 Descuidarse. nanhemoçainán v nanhemoçacüí vul. nití anhemoçainán. (pmo Pr) 197 Desdentado ser. xeranheým. v naxerãi. vul. nití xeránha. (pmo Eck) 199 Desdentado. tanheýma. (pmo Pr, Eck) 200 Desdentar. aioóc. çanha. v açanhóc. (pmo Eck) 201 Desdizer se. acecobiár xenhéenga v acecobiarõ. (pmo Pr: desdiserse; Eck) 203 Desejar algu͡ a cousa. aipotár. vul. apotár. (pmo Pr, Eck) xepotár. 205 Desejar de fazer algu͡ a cousa, posto apotár, posto no fim (206) do verbo, ou do que se deseja. ut: açopotár. ambaéupotár. (Pr: posto no fim do verbo ou do q’ [que] se deseja:


367 ut aço potar, Ambäeu potar. Desejo ir, desejo comer. Eck: posto no fim do verbo ou do q’ [que] se deseja: ut aço potar, Ambäeu potar.) 211 Desembaraçar como fio. aiuráo. (pmo Pr: Desemparaçar; Eck) 215 Desencarcerar. amocém mondé çuí. (pmo Pr, Eck) 216 Desenserrar, ou abrir a porta. açokendavóc. item se he pessoa, que se ha de tirar. amocém. (pmo Eck) 223 Desenferrugar [desenferrujar]. aioóc cepotí. v acepotíóc. (pmo Eck) 229 Desentesar. amombéc. v amoãtãume. tenhé emoãtã. (pmo Pr, Eck) 231 Desenapida [desenxabida] cousa. nití cëé. rel. (pmo Pr: Desexabida (sic) cousa; Eck: Desentupida (sic) cousa) 235 Desestir. namonhangi. apoír. çuí. na 2ª pess. imp. pode se dizer. teinhe monhang. (pmo Pr, Eck) 236 Desfalecer com cançaço ou fome. amanoaíb. isto he padeco (padeço) accidentes. ou amanomanó sendo de doença. meliùs: xemaraár; alii, xeapopúc. (pmo Pr, Eck) 240 Desfechar o fechado, sendo porta. açokendavóc. fechada ella com a chave. amoxavióc. (pmo Pr, Eck) 241 Desfechar huma caixa, cofo janella etʒ. apirár. (pmo Pr, Eck) 247 Desfigurado estar. xerepiacába nití catú. ou nití catú xerepiacáva. estar de bom aspecto: icatú repiacáva. (pmo Pr, Eck) em lugar de repiaçába [repiacába], que naõ dizem. 248 Desfolhar a arvore com a maõ. aipöóc v açoboóc. vul açovoòc. e servelhe de cazo tanto a folha, como a arvore, e se he abonado [abanando] a avore (arvore) amongúi. (pmo Pr: e se he abanando a arvore; Eck: abanando, concutiendo) 249 Desfolhar se por si. xerocúi. e se se referir a mesma folha: acúi. ocucúi çóva rel. pro çoba. (pmo Pr, Eck) 252 Desgrudarse. aír. (pmo Pr, Eck) Deiteé ipó teco catu oíreymete catuabo ianga çuí cate. fol. 4. in medio (o aditamento é de Meisterburg) 255 Deshonesto ser. xepoxí. xepoxi catú. assim tambem chamaõ hum homem roim, malvado. (pmo Pr, Eck) 261 Desinchar o inchado nhynhyng potár uán pungá. (pmo Pr, Eck) 262 Desinchado de tudo. inhynhyng uán. rel. (pmo Pr, Eck) 263 Deslear. solvo. ajuráo. aporáo. (Pr: –; Eck: –) 268 Desmentir o pe ou maõ. pulso. oporúc. ajuntandolhe a pt͡ e desmenda [desmentida] (pmo Pr; Eck com o lapso “desmenda”) 271 Desnargar [desnarigar]. atĩmondóc. alii: xeatĩ mondoc. (pmo Pr, Eck) 272 Desobedecer. narobiári. vul. nití arobiár. propriè: naçapiári. vul. nitì açapiár (pmo Pr, Eck; o aditamento é de Meisterburg) a pra palavra he naõ crer, aindaqʒ vulgò se servẽ della, qdo se quer sigf [significar] desobedecer. 282 Despedaçar amboimboí. meliùs: amondoçóc. o pro he pprmte [propriamente] despedaçar hum panno em varias partes o 2° he como quarto da carne fazelo con (em) partes. (pmo Pr: Despadaçar. Amböí. Isso he em varias ptes. Fazer em varios peraços (sic) Amondoçoc ou corralo assi (cortá-lo assim); Eck) 291 Despença. mbäé rurú. mbäé rupába. mbäé rendába. (pmo Pr, Eck; a grafia despença por despensa nas três obras) 299 Despeza mbäé pyráma, e tudo o qʒ leva pª comprar etʒ (pmo Pr: despesa, Eck) 307 Depois que v.g. depois que eu parti. aço riré sendo por terra, que se for por mar. aiepavóc riré. arte diz: xeço riré (pmo Pr: Depois; Eck: Despois) 309 Desporse, præparare se pª receber algũ hospede. anhemoçainán. v anhemoçacuí. recé. (pmo Eck) 310 Despovoado. tabeýma. e se no lugar já houve povoação, se diz: tapéra v taperéra. (pmo Pr, Eck) 320 Desecar amotiníng. como he peixe, carne, taboa, folhas, qdo se quer, que sejaõ secas. (pmo Pr, Eck: dessecar)


368 321 Desecar pannos folhas etʒ molhados, querendo que se enxugaõ [enxuguem]. amoticáng. v amocáng. (pmo Pr, Eck: dessecar) 324 Desuadir a alguem algo. aioóc mbäé icanga iacanga çuí. (pmo Pr, Eck: dessuadir) 341 Detraz de algu͡ a cousa. cupé. ut: patuá cupépe. a parl͡ a pe no fim se poem por ser estado in loco. (pmo Pr, Eck) 342 Detraz. a pte contraria adianteira. cupé ut: icupe cotý pª detraz delle. (pmo Pr, Eck) 343 Devaçar algu͡ a cousa. acuábucar opabinhé. çupé. ac. (pmo Pr, Eck: devassar) 344 Devaçar de alguem. aporandúb. recé. vul. aporandú. (pmo Pr, Eck: devassarse) 348 Devez [de vez)] estar a fruta, e qualqr outra cousa, que chegou a sua perfeiçaõ. atyarõ. ut: ityarõ uàn pacova rarýva (pmo Pr) v xetyarõ, ndetyarõ. ityarõ. rel (pmo Eck) 6 Dia sequinte [seguinte] a outro dia. uirandè. (pmo Pr, Eck) 8 Dia de Domingo. mutüú. (pmo Pr, Eck) feira 2. morabykỳpỳ _ _ _ 3. = [morabykỳ] mocoĩ. (pmo Pr: morabykýpý, morabykymocoi; Eck: morankýpŷ, morankýmocõi) feria 4 . moçapỳr _ 5. çoò papàba (pmo Pr: morabykýmoçapýr, çöopapába; Eck: morankymoçapijr, çoopapába acabase a carne na sema (semana)) feria 6. jecüacúba _ _ sabbatho (sábado). sabarù. (pmo Pr: Jecuacúba, Saburú; Eck: jecuacúba dia de jejum, saburù) 10 Diabo. anhánga, nome grico [generico]. as especies saõ: juruparì, curupíra tagoáiba (pmo Eck). diabrinho [diabinho], v diabrete. iuruparì mirì 11 Diabrúra. iurupari remimonhánga. assim tambem chamaõ o que foy feito fora de matrimonio. 12 Diante. tenondé. ut: xerenondé. 13 Diante a vista. tobacké [tobaké]. ut: xerobacké [xerobaké]. (pmo Pr, Eck) 14 Diante ir a tomar, ao que vay ou foge. acenondeàr v açokecým. vul. acikycem. (pmo Eck) 15 Dianteira cousa. tiãpýra. (pmo Pr, Eck) 16 Disciplinas. nupãçába v áva [nupãçáva] v meliùs: nhenupãçáva. (pmo mais Eck do que Pr) 40 Dissoluto ser, como a mer [molher] que mto olha ou falla. xereçainán v xereçaíb. (pmo Pr, mais Eck) quid verò, si mores dissolutos velint significare? ego dicerem xerecoangaipàb v xerecòpoxì 45 Ditoso ser em buscar ou achar cravo também dizem: xeybyrakyýnha poránga. e assim em outras cousas, e seml= =hantes (sic, semelhantes) modos de fallar. (pmo mais Eck do que Pr) 46 Divida. angaipába. Cate. p. 2= razaõ = (pmo Eck) porque lá divida sgfca: peccado. 49 Dizer. äé eu digo. tambem uzaõ do verbo amombeú. ut: amombeú uán ndébo. eu já te disse. amombëubeú. (pmo Eck) 12 Doer como ferida. xeracý. ut: çacý xeacánga xeçuí. art pag. 123 ubi scribit: çacýg. 13 Doer ou pezarme. xeracý. mas em lugar de çuí, se poem çupé. ut: çacý ixebo (‘me dói, me dá pesar’). mbäépe çacý pachicú çupé. que cousa doem [doe] ou da pezar ao Francisco vul. porém sempre uzaõ deste modo de fallar, aindaqʒ [aindaque] se seja de ferida ou de qlq͡ r dor corporal: ut: mbäé täé çacý ndebo? pachicù çupébe. que cousa te doe e ao Francisco? (pmo Pr, Eck; mais com Prosodia do que com Eckart) 34 Encontrar alguem no caminho. açobaitĩ vul.açovaitĩ. (O autor confunde esta palavra com Ni 3 “Ninho de aves e ratos. rovaitĩ. çovaitĩ [raití, çaití]”. Em II, Açovaitì fazer ninho, o lapso do autor se repete. As formas erradas para ‘ninho’ já estão na Prosodia e foram copiadas por Eckart. VLB: açaitigmonhang, com a forma tradicional çaity, raity).


369 41 Encrespada pessoa. abà apixái. cousa encrespada. mbäé apixái [apixaí]. ut: co panna apixái [apixaí] (‘esse pano está encrespado’). tapixái [tapixaí]. rel. (VLB pixaĩ, português pichaim) Ensavar [ensacar]. ainong çáva [saca] pupè. (Pr: Ensacar. Ainong saca pupé. Eck: Ensacar, In saccum condere. Ainong saca pupé). 182 Entornar farª [farinha] ou licor. anhocén (anhocém) v aiocén (aiocém). effundere. (VLB Pr, Eck: anhocen, DPB 1751: anhocém) 202 Entroduzir alguem. amoinké (assim também Pr , Eck). dentro pª hum lugar. 22 Escamager [escama ger = geralmente]. píra. ja tirada. piréra. (Na Prosodia se encontra duas vezes o verbete Escama . A primeira é Escama qualquer. Píra. ja tirada. piréra. A segunda diz: Escama.melius Péma, Ipéma. relat. Eckart tem este segundo verbete) 11 Facil cousa. nití igoagoaçú. (pmo Pr, Eck) 32 Feliz. aba nití poreauçúb (‘homem não pobre’). (não se encontra em outro dicionário (VLB, Arr., Prosodia, DPB), com a exceção do Eckart) 44 Ferir de ponta com cousa que penetre (penetra,, uso paralelo do subjuntivo no Eckart) acotúc. se naõ entra: aioçóc. 60 Festa grande. Tupã areté v mutuü goaçú, festa qlq͡ r de qlq͡ r santo. mutüùúmiri. sic explica per priores voces festa Natalis, paschæ etʒ. (Erro do autor: se “explica” fosse imperativo, deveria escrever “sic explica .... festam Natalem, paschas etc.”). 36 Fita. fita. ou vita. fitinha. vità mirí (com certeza empréstimo do português: fita > vitá) 18 Frematico ser (Prosodia Frematico; Eckart Freimatico; Pereira 1697: freimatico. phlegmaticus). xemevé. xemevémevé, ajuntandolhe a cousa na qual he frematico ut: mevé mevé avata anhéëng, aimonhang etʒ Top. diz megué v megoé. 19 Fresca cousa, nova. pyçaçú ou puçaçú. peçaçú (DPB peçaçu ‘fresco, de pouco tempo, moderno’) 25 Frita cousa como peixe. pira piriríca. v pirikipýra (Eck: Top. pirikipýra) 26 Fronta [fronha] (Provàvelmente cópia errada da Prosodia; erro evidenciado pela comparação das letras h e t. Pr: Fronha. Acangupába óba ł Aramapára óba). acángupába v aramapáraóba. 31 Frutificar. ameengýba v anhemonhang. ut: äé ybý pupé onhemonhang catú mandióca ‘nessa terra frutifica bem a mandioca’ (pmo Pr, Eck). 3 Fugir dos que o querem tomar. aiegoacém (VLB fogir do q. me quer tomar – anheguacem. çui). 17 Gallar o gallo a gallinha. opycýc çapucáia (‘agarrou a galinha’). flldo [fallando] do gallo. (pmo Pr, Eck). 23 Ganiro o cãm. aiaceó, se se [he] porqʒ lhe daõ: xeracém. (pmo Pr) 37 Gastarse logo a cousa de pouca dura. naicopucui (‘eu não sou comprido’). nití oicó pucú (‘não é comprido’). (VLB, Pr, Eck) 1 geito ter pª algu͡ a cousa. xecatú mbäé recé. ut: xecatú amonhangoaráma ygára (‘tenho jeito para fazer canoa’). naõ ter jeito. naxecatú (Pr: naxecatúi) nitì xecatú. 10 Generoso homem. apyába kyrybába [kyrỹbába]. (pmo Pr: kyrỹbaba, Eck: kyrimbába) 16 Gentil homem. abá poránga. abá catú. ut: äé curumí goaçú icatú (‘ele é um rapaz gentil’). (pmo Pr, Eck). 18 Gentio. tereýma (‘sem nome’, ‘pagão’). ut: nití nde réra (‘não tens nome [cristão]’): (pmo Pr) ou nití tupã réra nde (‘não tens nome cristão’, ‘és pagão’). (pmo Eck) 7 Gloriarse vaãmente. aierobiaraúb v aierobiár tenhé xeioece (‘jactar-se em vão de sí mesmo’). (pmo Pr, Eck). 8 Gloriarse de qlq͡ r sorte. aierobiár. recé. (pmo Pr, Eck). 10 Gomo [miolo] de qlq͡ r arvore pytéra, nomeando a arvore ut: goaiaba yba pytera v çoó [roó] (Pr: ybyrà röó). 18 Gota coral (Eck: gota coral. Epilepsia) padecer. amanómanó. 28 Gozarse. arecó xe pópe (‘tenho na minha mão’) (pmo Pr, Eck).. 3 Graça ter em algu͡ a cousa. poráng no fim do verbo ou nome. (pmo Pr, Eck). 9 Grande homem. abá goaçú. id est, de prestimo, juizo etʒ (pmo Pr). 12 Graos [graõs]. testiculos. tapiá. ut: nde rapiá (‘teus testículos’). (pmo Pr). 13 Gratificar. aimeéng cobé catú. ou: cobé catú ndébo.te ga te gratifico. (pmo Pr, Eck).


370 14 Gratuitamente. nití cepý rupí rupí. ameéng nhóte (‘eu te dei sem nada, não atravês de pago’). (pmo Pr: niti cepý rupí ł Ameeng nhóte, Eckart, escrevendo “ou Ameeng nhóte” não entendeu que este é o verbo cujo complemento circunstancial é “niti cepy rupí rupi”). 16 Grave ser em suas obras. xerecopocýi. xerecopocý catú. id est sou pezado em minhas obras. (pmo Pr, Eck). 18 Grave cousa. mbäé pocýi. alii: pocí icó ybyrá pocí. v ipocí co ybyrá (pmo Pr). 21 Gretar. abóc. aiecá. frqʒ abobóc, aiecáiecá. apóc. apopoc. rimas agere . (pmo Pr, Eck). gretar as maõs onhemboi xepó (‘gretaram-se minhas mãos’). (o aditamento é de Meisterburg). 4 Guardar por o [pôr a] bom recado. ainongatú. (Pr: pôr à bom recado; Eckart, como Meisterburg, entendeu mal escrevendo “por o bom recado”). 8 Guardate avizando, ou ameaçando. teume. v úme. ut: emonhangúme (Pr: teumé, ou umé) 12 Guarniçoẽs da dª casta. porangába (‘beleza’) [,] mocatyrõçába ((pmo Pr, Eck. A variação y / u é muito comum., inclusive em katu / katy. Ver o verbete 17 Ornar como quer. amongatyrõ. amocatyrõ. A forma básica da raiz deve ser ´katú´). 19 Guia do caminho. pe iára (‘dono do caminho’). pe cuapára (‘conhecedor do caminho’) v pe coméengára (‘mostrador do caminho’). (pmo Pr, Eck). 8 Herege. tupãrerobiaçareýma (‘sem confiança em Deus’). malè exprimit. (pmo Pr, Eck) 1 Hidropesia. pungá. a de barriga em latim e grego: tympanites: maríga pungá uçú. a das pernas: tetymá [tetymã] pungá. a dos bofes. caneõ. (pmo Pr, Eck). 18 Horas pª rezar [Eck: libellus precatorius]. Tupã iemboeçába livrú. (pmo Pr, Eck). 16 Hum tamanino [tamaninho] mais. pyrý amó mirí. (Pr: tamanino, pmo Pr, Eck). 17 Humida cousa. mbaé iakým. ut: iiakým xe camixá iiakým xerecúia. v. molhar. (pmo Pr, Eck). 5 Ja dias. jam pridem. erimbäé (pmo Pr, Eck). 8 Ja mais farei. nití amoiaebýr. v nití iebýr. ut: nití ereço iebýr. ja mais irás. (pmo Pr, Eck). 15 Jazer. anhenong v anhepyçõ. [anhepyçó 'esticar-se'; Pr, Eck: anhepyçó] 12 Jardineiro. temitýmarerecoára. (pmo Pr, Eck). 6 Jdolo. Tupã moánga (‘(é)imagem de Deus’) v nití tupã eté (‘não é deus verdadeiro’). 1 Jgnorancia natural. tecocuabeýma (‘falta de inteligência’). (pmo Pr, Eck) 2 Jgnorante assim. aba tecocüabeýma (‘homem com falta de inteligência’). (pmo Pr, Eck) 3 Jgnorante ser assim. naxetecocuabi nití xetecócuáb. v niti arecó tecocuáb (‘não sou inteligente’ ou ‘não tenho inteligência’). (VLB: naxetecocuguabi; pmo Pr, Eck) 7 Jgual cousa, ou igual ser a outro jabé v javé. ut: pachicú nde iavé. Francco [Francisco] he igual a ti. (pmo Pr, Eck) 8 Jguaes serem duas cousas, ou mtas [muitas]. oioiá. ut: oioiá iande. tu e eu somos iguaes. (pmo Pr, Eck) 9 Jgualar o desigual. aimoieiáb. alii amói iavé [amoiavé]: alii aimoioiáo. forte. anói. (pmo Pr, Eck. O aditamento é de Meisterburg. DLB: amojojavé) 9 Jmaculada cousa. mbäé catú eté. mbäé aanángaité ikyá (‘cousa (que) não (é) suja’). (pmo Pr, Eck) 10 Immensa cousa. (Eckart também tem o verbete vazio; Prosodia não tem o verbete) 13 Jmmortal cousa. omanóeymbäé v nití omanoväé (‘o que não morre’). vul. (VLB omanoĩbae; pmo Pr, Eck) 22 Jmpigem. goaurána. (pmo Pr: guäurána, Eckart: Impigem. Lichen. Zitter-mahl. goäurana. No alemão, a palavra Zitterma(h)l 'impigem' é documentada entre os séculos XVI e XIX). 28 Jmpossivel cousa a fazerse. nabái omonhang cuáb. v nití abá omonhang cuáb (‘ninguém saber fazer’). (M. e Eck.: texto idêntico. Prosodia tem “Nabá omonhang cüáb”, expressão corrigida por M. para “nabáiromonhang cuàb”, com um r riscado, com razão). 29 Jmprudencia. tecocuabeýma. (pmo Pr, Eck. Veja-se a identidade dos verbetes “ignorância” e “imprudência”).


371 31 Jmputar a alguem algũ crime, ou algu͡ a cousa boa. päé posto no fim do verbo v.g. pacicú omonhang päé có aíb tecoaíb (‘diz que Francisco fez este crime’). pachicú oiucá päé Domingú. imputaõ a Frco a morte de Domingos. 12 Jnconstante. abebyinhé. v naxerecópocýi. v nití xerecópocýi (‘Ser pouco considerado nas ações’; pmo Pr, Eck). Cf. o verbete 34 Leve ser em suas palavras, e pouco considerado em fallar naxenheénga pocýi v niti xenheenga pocýi. 14 Jncontinente. abá poropotára (‘homem luxurioso’. A tradição deste verbete remonta ao VLB). 16 Jnda bem. folgando com o mal alheyo. iamurú. v iamurúcatú (pmo VLB, Pr, Eck) 39 Jnnocente. angaturáma. (pmo Pr, Eck) 40 Jnnocente. infante. pitánga. (pmo Pr) 50 Jnteira cousa. goetépe. alii oetépe ut oetépe cecóu (‘está inteiro’). (pmo Pr, Eck) 53 Jnteriçado estar como cousa morta. xerãtãrãtã freqʒ cãtã [çãtã] rel 56 Jnterceder anheengatú. çupé personæ apud quam recé personæ pro quâ. ut. anheengatú paí çupé nde recé (‘intercedi com o Padre por ti’). (pmo P; Eck dá o exemplo com a tradução) 58 Jnterpretar [o] escuro. aicuabuár (-i-cuab-war ‘ser conhecedor’; decifrar, interpretar, saber, conhecer’). çupé. (Pr, Eck: interpretar o escuro. ) 69 Jnverno. amana ára (‘estação das chuvas’). amánaguýrpe (pmo Pr, Eck) 70 Jnvestir. açopenhán. sigf. [significa] tambem ir ter enfadado com alguem. (pmo Pr) 72 Jnutil cousa. nití mbae ráma (‘não presta para nada’) (pmo Pr, Eck) 2 Joeira rala. urupéma mocánga ou: urupéma çacacánga. (pmo Pr, Eck) 3 Jr por alguma cousa. piarámo açó v açó piaramo. aço ipiáramo. öúr ipiáramo. o i relativo denota a causa, de que se falla, e quer dizer: vou eu, v elle veyo a buscar esta cousa. (pmo Pr, Eck) 4 Jr ter com alguem. aço ipýri. (tradição que remonta ao VLB; pmo Pr, Eck) 9 Jr se me o lume dos olhos. xereçaguyrý. (tradição que remonta ao VLB; pmo Pr, Eck) 4 Jsentarse. anhepycyrõ v.g. poraykyçáva çuí. em lugar de porabykyçaba v aiegoacém. (pmo Pr, sobretudod Eck. A forma tradicional porabyky evoluiu para porayky na LGA, cf. porauky ‘trabalhar’ no DPB 1751) 6 Jsto. cobäé. có, icó, icobae vul coväé, que se mostrar [mostra]. (pmo Pr, Eck) 7 Jugar as pedradas. aiapiapí. parece ao author do dictionario: que os dos verbos se devem dizer: aiopöapoár aioçüuçüú. aioiapiapí. aiapyrúpyrúng. qdo entre si alguns vaõ as pedradas (Reinterpretação no sentido de uma diátese recíproca por parte de Meisterburg com respeito aos verbos em 4–7. Não está na Prosodia, nem em Eckart) 2 Laã. çoórabacoéra (‘pelos de animal’). (pmo Pr, Eck) 6 Ladeira ybyáma. a qʒ naõ he mto alta ou gde: ybyatýra. (pmo Pr, Eck) 7 Ladino ser. xetecócuàb (‘ser inteligente’)[,] acuáb mbäé (‘saber das coisas’). (pmo Pr, Eck) 15 Lagarto de [da] perna. ubypý. xeubypy. ip ibu ïubypý. rel (pmo Pr, Eck; os dois têm ... da perna) 19 Lagrima por doença, ou como quer. xereçayçai v reçaytykýr. este verbo se uza, chegando a correrem as lagrimas. lagriminha. teçaỹ [teçai] mirí. (pmo Pr) 23 Lamentar. v. chorar. (pmo Pr. Em Eckart o verbete está riscado: lamentar Aiaceóceó) 24 Lambrea [lamprea]. caramurú. (pmo Pr; Eck: lamprea. Murǽna, Lampreta. Caramurú) 33 Larga cousa ser, como v.g. çapatos, meyas, turinos. açarác.ut: oçarac turino. chapeo. açaraçarác. (pmo Pr, Eck) 14 Lembrança. maenduaçába . (pmo Pr, Eck) 15 Lembrança, monitū. pyçacaçába. (pmo Pr, Eck) 26 Levantar ou pôr em pe algum caido ou o mastro da vela huã taboa amopöám. (pmo Pr)


372 30 Levantar falso testemunho amopuám morandúba. recé. Top. xeremoém. (pmo Pr, Eck) 31 Levantar anchora. acekýi itaçama v aitaçam akýi [ekýi] (pmo Pr, Eck: ... ikýi) 12 Limar. akitíc v akytýc. (pmo Pr, Eck) 15 Losna cäarõ [cäaró]. (pmo Pr: cäaarõ, Eck: cäarõ) 5 Lua cris öú iacý mbaé v öú mbäé iacý. vul iacý omanó. (Bento Pereira, Aurélio: Lua cris é a lua em eclipse. Tratase de uma forma popular de eclipse, palvra douta, no português antigo. Segundo Corominas/Pascual, DECH, cris é uma forma popular de eclipse, que, por exemplo, Cervantes põe na boca do Sancho Pança, no Quixote.) 18 Luvas. pöaóba v porurú. scribit alius: pururú (Pr: porurú) sed videtʒ [videtur] male (Eckart parece copiar do Meisterburg: pururú) 16 Madre do rio. tý eté. (Existe uma tradição a partir do VLB; pmo Pr, Eck) 18 Madrugada. coemeté. de madrugada. coemetéreme vul. coemetéramé ou jeibé. ut: jeibeté apác, açó acordei me [de] madrugada. fuy bem cedo. (pmo Pr, Eck) 20 Madura ser a fruta gerlmte. [geralmente] xeaujé. ut: iaujé uán biribá v imembecuán (i-membec uán ‘tornou-se tenra’ou ´ficou mole´) v itiarõuán (i-tiarõ uán ‘tornou-se sazonada’ ou ´já madurou´, Tupi tyarõ) v itavá uán (´ficou amarela´) 36 Mais ou outra vez avantajado em qlidde [qualidade]. çocé ut. ixé nde çocé (‘sou mais que você´). vul. xecatú pyrý nde çuí (‘sou melhor que você’). (pmo Pr; Eck) 43 Mal ou malado andar. vul. nitìí xe catú . naxemarácatúi (pmo Pr, Eck) 63 Mamar [manar]. stillare. atykýr. (pmo Pr: manar) 64 Mamar [manar] em burbulhoens. abur. freqʒ abubúr. tambem assim se diz, quando levanta a fervura, e sahe fora da panela, ou o peixe, que salta no rio. (pmo Pr: manar, Eck: mamar) 84 Manifesta cousa. icatupendoára. naõ se uza. vul. çupí (pmo Pr, Eck: Icatupendöara. Naõ se usa. V. çupí, claro está) 88 Manquejar, coxear. xepári [xeparĩ] (xepári é erro da Prosodia e de Eckart). alii xeapári [xeaparĩ]. ïapári [ïaparĩ] rel. 91 Manso animal, domestico. mimbába. ut: xereimbába (´minha criação´). e naõ se diz: xeçapucáia, xe tapiira (cópia da Prosodia; em Eckart, até xereimbába). 96 Manterse. äú (‘comer’). (pmo Pr, Eck) 119 Mas. ruã. pondo adiante, ou pª melior [melhor] dizer atraz a negaçaõ. na xe rüã (‘não sou eu’). (Trata-se da reinterpretação de um morfema antigo, atestado em Tupinambá e pelo mesmo Montoya. Encontra-se também no VLB: Mas, ou mas porém. Biã. Trata-se de um morfema posposto de modalidade frustrada. Encontra-se no Lemos Barbosa, mas, infelizmente, não se encontra em Anchieta. Um dos exemplos do Lemos Barbosa é Aimonhang oka biã ‘bem que fiz a casa (mas ignoro se a teu gosto, ou se saiu bem)’. Daí o sentido adversativo de ‘mas’. Prosódia e Meisterburg, já não entendendo esse biã, o substituiram por ruã. 132 Matinada como de vozes quaesquer. nhemoaiú. (pmo Pr, Eck) 134 Matinar alguem. ou com alguem importunando o, ou fazendo estrondo com razoẽns. aimoaiú. (pmo Pr, Eck) 13 Mediocre, naõ mto grande cousa. turuçú catú. (‘muito grande’). mediocre no numero. cetá catú (‘bem muitos’). O erro semântico está também na Prosodia e em Eckart. 18 Medonha cousa abaeté täè v abaetegoaçu. sendo mto medha [medonha] (‘sendo muito respeitável, séria’) 30 Melhor cousa. mbäé catú pyry comparat. – melhor cousa se quer sigfcar [significar] superlativo, ou melhor de todos. catú eté eté. a qual partl͡ a se pode ajuntar ao [a] qualquer nome turuçu eté eté[.] ceé [ceẽ] eté eté. (pmo Pr, Eck) 41 Mensageira ou = ro [mensageiro]. xenheenga reraçoçára. se he das novas. morandupára. (pmo Pr, Eck) 42 Mensageiro, que chama algu͡ a mer a alguem. amanajé. (pmo Eck; segundo o VLB, amanajé significa ‘mensageiro “q. apelida pa. a guerra”)


373 59 Mesquinho. ou avarento. cecateýma rel. miserável. iporeauçub (pmo Pr, Eck) 69 Meter do [de] baixo de [da] agoa, princplmte [principalmente] que costuma ir em cima. aipomĩ. (pmo Pr, Eck) 2 Migar o caldo com a farinha. atypyrõ. as papas ou o caldo feito assim com a farª [farinha]: myndypyrõ v marapyrõ. (pmo Pr, Eck) 36 Misturar huã cousa com outra ejusdʒ spee͡i [eiusdem speciei]. amoiecëár. (pmo Pr [Eck]) 42 Misturar. alem do verbo supra d° dizem tambem: amonan. emonan ico mamanetá (‘misture estes molhos!’). (O verbete é singular, já que não tem paralelo no VLB, nem na Prosódia, nem no Eckart, mas sim no DPB 1751). 21 Molhado estar. xeiakým [xeakým] (Erro também no Eckart e na Prosódia). N 25 Molho, em que se molha peixe por ser mais gostoso. mouy ~ = tagi (pmo Pr; Eck: moäy) 42 Morada cor, que tira ao vermelho. pytanga, o mesmo he pardo. (pmo Pr, Eck) 57 Mortifera cousa. oporapitibaé. oporoiucabäé. (pmo Pr) vul. o d° b se pronuncia como v. espelmte [especialmente] nos verbaes. 59 Morto corpo humano. teõboéra vul. teõcoéra. qlq͡ r outro corpo, naõ humano se esprime: çoó coéra. (pmo Pr, Eck) 64 Mosquito. saõ de varias castas. os que mordem mto e saõ pequensmos piũ. os de pernas compridas e g agulhaõ comprido, tambem o que canta como trobetinha [trombetinha]: carapaná. os peqnos mariguí, que naõ faltaõ no caminho pa maranhaõ os que se pegaõ nas pernas mocuí. etʒ (pmo Pr, Eck) 3 Mudar se assim. aieiý [aceiý] (pmo Pr, Eck) 5 Nada de nenguma calidade [nenhuma qualidade]. aanangái. v aanangaité. (pmo Pr, Eck) 15 Naõ saber. naicuábi. vul. nití acuáb v niti xecuáb. differem porem, porq o pro conjuga se, e sgfca [significa] tambem: naõ entendo. o 2° naõ se varia, nem rege cazo. nem tem outra sigfcaçaõ [significação], e serve so a pra pessoa. (pmo Pr, Eck) 23 Nascer gerlmte como quer. anhemonhang. (pmo Pr, Eck) 24 Nascer o semeado ou plantado. xerenhýi. cenhýi rel. (pmo Pr, Eck) 25 Nascida. atiĩ. (Tupinambá atii, pmo Pr: atiĩ). 5 Negar. acuacúb. çuí. ut: erecuacubae [erecuacutae] paí çuí nde recóangaipagoéra? (‘você oculta do padre teus pecados passados?’) (pmo Eck) 6 Nó da garganta. jeceókytã v aiá. mas esta palavra pprimte [propriamente] sgfica [significa] papo. (Prosódia apresenta o verbete até jecëokytã; Eckart continua: ou aiá, q’ pprie signif. papo. 30 Nomeadamente ou partclmte [particularmente]. catú. ut: nde catú nde renõi (‘a ti em particular te chamam’) (VLB: ‘a ti nomeadamente te chama’; pmo Pr, Eck). 46 Novel ser em algu͡ a cousa. aicóramó cobäé monháng (Eckart: ‘sou novel em fazer isso’). 49 N’outra parte. aicopé, qdo se sabe aonde está ou foy. qdo se nao sabe, se diz: coipé. ut: oço coipé. foi em algures, naõ sei, pª aonde. (pmo Pr, Eck) 1 O. partl͡ a de chamar. guí v gué. dizem os homens. as molheres: jú. ao prezente elles e ellas uzaõ destas part͡ las. (pmo Pr, Eck) 7 Obrigarse. naimopaném xenheénga (‘não sou forreta (‘avaro’) com a minha palavra’). (pmo Pr, Eck) 14 Ociosamente, ou sem porq) [porquê] tenhé v tenhé tenhé. (pmo Pr, Eck) 17 Occulta cousa. nitì abà ocuàb.([pmo Pr, Eck) 4 Olhar pª algu͡ a cousa, pª que se naõ perga [perca], ou fuga [fuja]. amanhan. recé. v açarõ. ut: xeapytá oca rarõçara (‘eu fico como guarda da casa’). (pmo Pr: o paralelismo vai até amanhan; Eck) 5 Olhar ao redor. amäé mäé. (O verbo maẽ ‘olhar’ tem <é> oral também na Prosódia e no Eckart, mas <ẽ> nasal no VLB, no Arronches e no DPB 1751.) 14 Olhos esbugalhados. teça popóra. (pmo VLB, Pr, Eck) 18 Oliveiro [oliveira], e tudo, o que da azeite ou toda arvore que da azeite. nhandy yba v jandy úba. (pmo VLB, Eck) 21 Olhos encovados. teçá coaroré v teçápýcoaréra v teça typý. (O verbete acrescentado se encontra no VLB, mas não na Prosodia, nem no Eckart).


374 14 Oporse a outro. açovaixár. v acecobiár. Top. acobaixoár [açobaixoár]. (pmo VLB, Pr, Eck) 1 Ora sus. de quem exhorta. nëĩ. enëĩ. inusitat. (pmo VLB, Pr, Eck; a variante “Vul. Exé” não está em Meisterburg, nem em Eckart) 13 Orfaõ de pay. tubeýma. paieýma. de may: cyeyma. vul maiaeýma. (pmo Pr, Eck) 20 Ortigas. pynó. alii: pynó pynó. meliùs. (pmo Pr, Eck) 24 Ossada de animaes. cangoéra ajuntandolhe de que he ou o nome que o supra. ut: pirá cangoéra v baé cangoéra. porq o d° bäé dist͡ que [distingue] todo o genero de animaes, que naõ he homem. cangoéra só sigfca [significa] ossada humana. (pmo VLB, Pr, Eck) 25 Ossada humana enterrada. tybý. (pmo VLB, Pr, Eck) 16 Outro dia e naõ hoje. erimbaé, falldo [fallando] do passado. porem do futuro se diz. amó ára pupé. . (pmo Pr, Eck) 80 Parir. xemembyrar. querer parir, estar pª parir, xemembyracý (‘tenho dores de parto´) (VLB: Parir querer .s.ter dores de parto – Xemẽbigracig) 82 Parlesia. (Bluteau: parlezia, variante: paralisia) 117 Perderse ou andar perdido o caminhante. xeropár. freqʒ xeroparopár. fazer perse [perderse] a outro. a. aimopar.(Pr: Fazer perder assi outro. Aimopár. Eck: (Perder) ... fazer a outro. Aimopár.) 53 Por detraz. cupé cotý v cupé rupí. segdo o verbo sive ou moto sive se s estiver no loco. cupépe. xecupépe (Pr:: Por detraz. Cupé cotý ł cupe rupi.2º. o verbo, ou movimto e se for estado in loco. Cupépe ut Xe cupépe) 68 prevedor [provedor]. cerecoára (Pr prevedor, Eck – ) 42 Quentarse ao fogo, ou ao sol. aiepeé. n. se for de outra sorte. anhemoacúb v aiepé. (v. II, quarto verbete da secç. Pe, Peé) 4 Saber, sciencia, a natural. tecó cuába. a acquisita [acquirida]. mbäé cuába. (Pr: acquisida, Eck: aquisita; influência italiana nos dois autores? Veja-se também o verbete seguinte.) 5 Saber bem, ter sciencia natural, isso he de bom entendimento xetecocuáb. ter sciencia aquisita [acquirida]. acuáb. mbäé. xembaecuáb 2 Soada id est fama. morandúba. (Tem no Moraes Silva, mas como `toada da cantiga’ opondo-se à letra. No B. Pereira está como aquí. Em latim, suadus é ‘persuasivo’, Suada é a deusa da persuasão, em alemão Suada é certa verbosidade que serve para persuadir alguém. Certo, estas explicações não são compatíveis com a semântica dada neste verbete.) 35 Tiricia. çobajúba. Top: itĩ júbi (B. Pereira tem tericia e tiricia, Bluteau menciona tericia com referência a icterícia. Pr: tiricia) 62 torta ser a cousa. xeapári v xeapár (Tupinambá, Guaraní, Guaraio parĩ ‘coxo’) 32 Tratar se mal. naimocuar. xeioecé. itʒ [item] oieereco memoã Cat. pag. 51 (Araujo e Leão, 1686. Livro III, pág. 51. “oieërecómemoãmo”) 62 triste estar. aicó temé. vul. akirí [akirirĩ]. xekirirí [xekirirĩ] (veja-se ‘estar triste’, Es 222, akirirĩ. Prosodia triste estar akirirĩ). 63 tristesa [tristeza]. tecomé [tecotemé]. vul. kiririçába [kirirĩçaba] (Prosodia kirirĩçáua) 76 Truz id est carrancando. toba acý. nde rova acý. (Parece que o modelo é B. Pereira, que escreve “Truz, id est carrancudo. Trux, trucis”. Prosodia tem o mesmo verbete) 23 Violentar. vim inferre. amonhang v aioóc ou qlq͡ r outro verbo segdo o que se diz ajuntandolhe: cemimotára rupì. ut: araçó peró xeirúmo cemimotareyma rupí (‘levei Pedro comigo contra a vontade dele’). petrum invitum mecū duxi.


375

ANEXO 4 Extensão das citações (Anchieta, Catecismo, Bettendorff) Parte I 80 Absterse, anheronhén. ita catech. çui. Vul. apoír. çuí, exprimindo a cousa. 2 Acabar o começado. amoaujé v amõbáb. o catech. uza do verbo aipymondýc. 26 Affligir se com suspeita de algū mal que se teme. xeangecoaìb. ndeangecoaíb. iangecoaíb. assim diz a arte, e o cate. faz xeanghecoaíb. ut: ianghecóäí catu. fol. 73. 2 Ama, que cria. mocãbyâra v mocãbyçara, membycambubäé. Cate.fol. 117. 9 Ao vivo. çupí. v çupí catú. forte Gupi catu ut Cate. 19 Apartar como os emancebados [amancebados]. amopöir v Apöír ucár çuí. v aipëá. Cate: amomboír. 59 Borrifar. acepýi. acepycepýi. freqʒ. Cate. acypyi. pag. 20. 69 Boubas. piã: (rasura ilegível) Anchieta: miã. miãbora: o qʒ tem boubas 1 Cebola. Ybanémuçu. cebolinha. ybaraném uçú mirí. tambem ybaremuçú, ut V [vide] Anchieta ait 63 Companheira – ou _ ro [companheiro]. explica se per irúmo v irunámo. jrũ irunagoera Bettend [Bettendorff]. pag. 93. in psenti dícitʒ [in praesenti dicitur]: irunaçara v irunamoçara 155 Convalecer. acoeráb. vul. acoeráo. Cate. apoerab. 1 Dativoso [dadivoso] ser. naxerecateỳm. vul. niti xerecateỳm. 252 Desgrudarse. aír. Deiteé ipó teco catu oíreymete catuabo ianga çuí cate. fol. 4. in medio 46 Divida. angaipába. Cate. p. 2= razaõ = porque lá divida sgfca [significa]: peccado. 19 Embarcar a outrem, que pode andar pelos seus pes. aimoàr ygàra pupè. que naõ andaõ por si . aroár. catechismus etiã videʒ [videtur] uti hoc verbo in rebus viventibus. fol. 52. in fine. 14 Encarregar. amondó. imponere. injungere. Cate aiopoái. 193 Esquerda. jaçú. rel. ut: giba açu. braço esquerdo. oaçú goty [coty]. ad dexterā suā Cate. fol. 62. (confusão entre ‘esquerdo’ e ‘direito’ na tradução) 242 Estimar ou ser em dar estima. aimoëté. Bettendorff: amombae sic: supra alios: anhemombae amo amo abá çuí 68 Fortalecer a alguém. amokyrỹbáb. Bettendorff: amopyãtã pag. 130 2 Fugir. aiabáb. vul. et sic catech. 26 Furtar. xemondá. v apycyrõ. o pro pede recé. catech. uza de mondarõ. 7 Gemido. pyacéma Catech 100 Maõ direita catuába. ecatuába. Cate. iecatuába. 38 Menina cunhã téi. mas se hum e outra saõ crianças: tayna ou pitánga. Cate. cunhã téi.


376 45 Mentir. aiereragoái v xeiereragoái. Top xeiururagoái. ita Cate. hum Topinamba dizia ao author deste livro, que naõ. 51 Peito. mutiá. xeputiá. Cate: potiá 24 pregar o prego. aiaticá ita pyvá v itá pygoá Cate. 24 [sic] pregado na cruz vg. imoiaripyroéra. Cat. pag. 90 42 præpucio. apíra. Cate. fol. 120. iapira mondokí. 85 Prisaõ. monde róca v mondepora roca. Cate: mondé. 23 Purgatorio. tatá mondycába. Bett. pag. 51. forte dicdū [dicendum] repy mondycaba 150 Resina. ycyca. a que serve pª brear as canoas: cycatã. outro [outra] mais dura e negra: iraitúna. o Cate. fol. 121. icycatã. variæ especies resinæ exprimuntur pponedo [præponendo] nomē arboris, ex qua effluit vg iutaicyca, acajucyca. (‘resina de jutaí, de acaju’) 112 Senhor, cujo [cuja] he a cousa. jára. o mesmo he senhora. assim o poem em varios lugares o catec e a arte; e assim os jndios fallaõ. 124 Ser amigo de alguem. aiecotyár. ita Cate. fol. 237. n.8. e diz: ereicotyape nde nhemoia recé (‘Você se faz amigo de suas amásias’?). 10 Sobir. aiopir. aieupir. Cate. 9 Temeroso fazer assim. amoabaeté. ut: anhanga nde moabaetebo. ita Cate. 10 Valle. yby tygoára. inusit. cate. goáia 11 Velhacaria. cate. tecoangaipába, qlq͡ r maldade. Ɔtra [contra] a castidade. tecó poxí. mbäé poxí. 12 Velhacaria assim fazer. aicó poxí. cate: aicó angaipáb.

Parte II Epiçá v epyçà in composit. [compositis] repyçà. parte. Cate. Guarani: doc=trina Christiana repỹçà mbobipe raé? (‘quantas partes tem a Doctrina Christiana?’) R. yrundi epiçà (‘quatro partes’). pag. 40. Aimoioiàb alii aimoieiab. igualar o desigual. alii amöì iavè. aiemoioiab. igualarse. cum recè. Cate.p.45: “M. Marã oicôbo pé oiemoioiáb onhomongára recé?” Catuába. maõ direita. iecatuába faz o Cate. iecatuába rel. fol. 86.v.13: “M. Mbäépe oimēéng ïecatüâpe?” Nambì. orelha. nambì mondokipýra. orelha cortada Cat. p. 76.: “M. Oipoçanónghipe iand iâra äé inambí mondokipyra?” Mána. manime (‘manojo’, ‘com um manojo’). Anch. pag. 3 (Anchieta 1595, p. 3–4: “Com preposição, Pé, ut tĩ, timè, amâ, amâme, paranâ, paranâme, ánga, ángimè, mána mánime, mé pro pè.)” Anhanê inusit. anhande. Anch. pag. 3 (Anchieta 1595, p. 3: „Nos verbos compostos com e in fine], vt Anhân, Anhanê, Anhandê.”) Apâne, Aiune, Acene, Apene. Anch. pag. 1 (Anchieta 1595, p. 1: “Os Tupìs de sam Vicente, que são além dos Tamoyos do Rio de Janeiro, nunqua pronuncião a vltima consoante no verbo affirmativo, vt pro Apâb dizem Apâ, pro Acêm, & Apên Acê, Apê e, pronunciando o til somente, pro Aiúr, Aiú. E assi addita algũa parte das sobreditas pronuncião, Apáne, Acéne, Apéne, Aiúne, Apátemo, Acétemo, Apámo, Apámeimo.”) Mimbôra. Anchiet. pag. 32. (Anchieta 1595, p. 43 (“De bóra: ... ut giapâ, giapapóra; mína, mipóra, mimbóra”) miãbora. o qʒ tem boubas. (v. Anchieta 1595, p. 43)


377

ANEXO 5

Documentação de outras línguas indígenas

À diferença de outros dicionários de Língua Geral Amazônica, o manuscrito de Trier com frequência faz referência a outras línguas indígenas, Coribaré, Goyapí e Xapí.

1. Coribaré A identificação da língua Curibaré ou Coribaré é difícil pela escassez do material oferecido. Os quatrro itens documentados por Meisterburg são poucos para permitir uma comparação linguística.

162 Castanha. nhã. Coribaré diz. nhũ. 132 Espelho goaruá peqno goaruai. usitatū apud Corib. 14 Madre ou may. cý v xemaia. coribaré diz tamí. xeramí. minha may. Kycè. faca. Coribaré diz: Kytce, dictū K pronun= tiando leniter, ut Germani g gutturale. Um indício de identificação é o termo goaruá para ‘espelho’. Os reflexos waruwa ‘espelho’ encontram-se no Emerillon-Teko da Guiana Francesa e no Ka’apor. Porém, o Emerillon-Teko, segundo as fontes escritas existentes, se encontra instalado nas Guianas pelo menos desde o século XVI, e não há vestígios da sua existência no Baixo Xingu no século XVIII (Panapuy 2016). Por outro lado, os Ka’apor foram primeiramente contactados há cerca de 300 anos no interflúvio Xingu-Tocantins (Garcia Lopes 2009, 21). Por conseguinte, é possível que uma fracção deles vivesse também em ou cerca de Piraguiri na época de Meisterburg. Falam porém contra o Ka’apor as formas tami, xe rami ‘minha mãe’ [errado por ‘meu avô’] já que ‘meu avô’ em Ka’apor é xe ramũi, contra e-n-amɨɲ no Emerillon de hoje. Esta última forma continua a variante PTG *-amỹj, como o Tupinambá, contra a forma majoritária PTG *-amõj ‘avô’ conservada no Guarani, Guaráyu, Wayãpi, e também na LGA. Meisterburg menciona xeramynha ‘avô’ na primeira parte, mas também xeramúnha ‘avô’ na segunda parte do seu dicionário (baixo a sílaba final “Nha”). O espelho chama-se waruwa ainda no Ka’apor moderno, forma que corresponde ao goaruá citado por Meisterburg. Compare-se Wayãpi waluwa, Emerillon waruwa. Com respeito a Coribaré kytce ‘faca’, a palavra, conhecida na maioria das línguas Tupi-Guaraní, também kɨse em Wayãpi, deve ter sido abandonada pelos Emerillon quando entraram em contato com os Wayana (Carib) no seu novo habitat, nas Guianas. Hoje, os Emerillon usam baɾiʤa, provavelmente um empréstimo do Wayana (Françoise Rose, c.p.). É verdade que tudo isto não diz nada com respeito a ‘faca’ em Ka’apor, nosso único candidato para correspondente a “Coribaré”. Porém, não temos documentação suficiente sobre o Ka’apor com respeito à expressão para ‘faca’ . O verbete 162 “Castanha nhã. Coribaré nhũ” parece apresentar outra confusão por parte de Meisterburg visto que a palavra Ka’apor ju significa‘espinho’. A perda da nasalidade em Ka’apor deve ter causado o abandono de uma palavra correspondente a LGA nhũ ‘campo’. Em Ka’apor o significado ‘castanha’, katãj, evidentemente um portuguesismo, não tem nada a ver com Coribaré nhũ. Fica portanto inexplicada a identidade do Coribaré, embora a possibilidade de que seja o Ka’apor, por falta de outros indícios, não esteja excluida.


378

2.

Goyapi

O Goyapí identifica-se facilmente como o Wayãpi de hoje. É sabido que os Wayãpi moravam no baixo Xingu ainda no século XVIII. A documentação que Meisterburg nos dá do Wayãpi daquela época, provavelmente a primeira documentação linguística, é, porém, muito escassa. Eis aqui as duas menções: 37 Salve. o Guarani diz: Tupã tanderããrõ. Dios te sálve. o que entende tambem o Goyapi. arããrõ v xarããrõ. Wayãpi do Jari de hoje: oro-arõ ‘eu te aguardo’. 10 Temer. acykyié. Goyapi diz: akyjé v xekyjé. Wayãpi de hoje: a-kɨje ‘tenho medo’.

3.

Xapi, Piragoara

A terceira língua indígena mencionada, o Xapí, é Sateré-Mawé. Em alguns casos, em lugar de Xapi, o nosso autor escreve Piragoara e até piragoaranheeng. Piragoara deve ser a forma abreviada de Piraguiri-goara ‘morador de Piraguiri’, nome dado provavelmente aos moradores Mawé das cercanias de Piraguiri. Xapi e Piragoara referem-se, portanto, à mesma língua. O nome Xapi não pode ser relacionado com nenhum povo, nem da história colonial, nem de hoje, também não com um nome de língua. Meisterburg portanto nos oferece as primeiras documentações do Mawé. São as mais numerosas das três línguas indígenas mencionadas por ele. É notável que todas se encontram na segunda parte de seu dicionário. Não todos os itens puderam ser relacionados diretamente ao Sateré-Mawé, mas alguns puderam ser identificados com certeza. O problema da identificação explica-se pela falta de uma dicionário bastante amplo da língua.

I: 5 Machado gý. piragoaranheeng: ybyhab. (Mawé: uwhap, ywyhap) 52 Papagayo. paragoá. piragoara dicit: ahúd. (Mawé: Brandon-Graham: ahut ‘papagaio verde comum’) II: 9 Aiabàb. fugir. vul. aiavau. Xapí: punarëì. pynareita= ibóĩ. queres tu fugir (Mawé pun’ẽ ‘ele/ela corre, punhep ‘fugir’) 1

Aicuàb. vul. acuàb. saber. eraticobiì. (Xapí?)

14 1 Aicó angaipàb. peccar. içapuidàd (leitura incerta) (Mawé iha ‘seu olho’ + puity’i ‘perigoso’) 18 Amombàb. acabar. ac. tangórii. (Xapí?) 19 Amokyrỹbab. fortalecer a outro. a. [Xapi]. ipopyangii 28 Apàb. acabarse. freqʒ. apapàb. alitʒ [aliter] apao. aicohórai. (Xapí?) 5 Acatàc. estar abalado. N. como os dentes. Xap. Aremonì. oçài aremonì 10 Amoçàc. arrancar o fingado [fincado]. Xapí: aticép. 14 Apar. acordar. N. Xapí: arepac 7 Amäè. olhar. recè. Xap. Oivàd. emäè xerecè: eriacà xetè 10 Amocaẽ. secar ou tostar ao fogo. Xap. atoncaẽ 11 Amoeè v amocëè. salgar, ou adoçar. atonceẽ (deve ser Xapí também) 16 Erimbäè. qdo. em qʒ tempo assim præt. como futuro. Xapi: = nímoi

(Mawé nimo ‘muito tempo atrás’)

17 Mbäè. cousa. mbae täè ? que queres? mbae amó. outro Xapi: moabi. cad gangëi. mbaetae erepotar? (‘que queres?’) cadgangei tuii (Mawé kat ‘coisa, o que?’)


379 19 Mbäè recè täè? porque cousa? garetegangei? (Xapí?) 20 Mbäè ráma. para que : Xap. evanaei? 21 Maiavetäè? como de que maneira. Xap. carapoii? (Mawé karãpẽi? ‘quando’) Meju forte ab miu: piragoara dicit: man (Mawé: man ‘beiju‘) 23 Morotingbäè. vul = väè [morotingväè]. a qlq͡ r cousa, que he branca. Xap. ikicing (Mawé ikytsin ‘é branco’) 25 Oiepèbäè. única cousa. tomungvad. oiepe: tomúngi. (o acréscimo posterior deve ser Xapí) 28 Tuibäè. velho. itipad pórëi. aitoriai. (As duas últimas expressões parecem ser Xapí) 3 Acài. queimarse. N. itʒ interjectio dolentis. Xap. Aricaipori= téai 4 Açapucài. gritar chamando. Xapi. aicara (Mawé: kaykay ‘chamar’) 7 Aiemoçarài v anhemoçarài. brinquar [brincar] ou Zombar Xapi: aremociaré 8 Aiererogoài [aiereragoài] mentir. toteneréei. (Xapí) 24 Comandaí. feijoens. Xapi: muruì (malentendido? ‘feijões’ em Mawé kumandá; em Mawé murui ‘formiga-leão’) Eu. vatenoctai, evenoctai, tenok-i Arenoke, erenoctae, tenoke, erenokiĩ (Mawé: wa-tenuk tai’i ‘nós comemos, certo’; er-enuk tai’i ‘você come, certo’; ewe-enuk tai’i ´vocês comem, certo’; tenuk-i ‘ele/ela não come’; arenuk-i ‘eu não como’; er-enuk tai’i ‘você come, certo’; tenuk-i ‘ele/ela não come’; er-enuk-i ‘você não come’). Amombeu. dizer. propor. a. acusar. Xap. [xapi] acenoii (Mawé: henoi ‘ele conta, ensina’) Acykyie. ter medo. temer. Xapi: arikenei. (Mawé: ken’ẽ ‘estar com medo’) Amocykyje. pôr medo. amedronhar atokenéi. (Mawé: token’ẽ ‘ele/ela está com medo) Nitíu. naõ.Xap. üdii . piragoara: üd (Mawé: yt ... i) Xepò. minha maõ. oidpói (Xapí? Mawé: u-i-po ‘minha mão’) Açapu. queimar. acender. affoguear. açapuçapù. Freqʒ. xap. açapùi. Amopù. enxotar. atantói. etántoi aicárai. enxota as gallinhas vaitáppi. pª sua casa. (Xapi? Mawé: wai(paka)-(g)etap-pe ‘para a casa das galinhas’; reconstrução incerta) Apixára. o paraceiro [parceiro]. xerapixára: aiarangaddi. (Xapi?) acirangaddi. nde rapixàra. Andirà. morcego. çakií. (Mawé haki’i ‘morcego’) Aporarà. padecer. carecer. açatojéddi. (Mawé haty’i ‘machuca’) Ajúra o pescoso [pescoço]. aierebúki. meu pescoso [pescoço]. (Mawé: hut’yp ‘pescoço’). Cecobiára. a troca. cejambíadi. (Xapi? Mawé: heiam ‘saco, recipiente’ + piat ‘para’) Goabibura. a raia. peixe. ovavò. (Xapi?) Guyrà. passaro ql͡ qr. guiréidi. (Xapi?) Amána ara. dia da [de] chuva. o inverno. amanári (Mawé i’aman). Çacapýra. o çume [cume]. como de arvore, ou ponta qlqr. ïambói. (Xapi?)


380

ANEXO 6 Seleção de referências de uma a outra parte do Dicionário de Trier 64 Mesura fazer. aceroký pupé. alii acerogiý (ver II, Aierogiú [acerogiú]). 2 Aè. he verdade. auje äè auje ipòc äè vox acceptantis. (vejam-se os verbetes I, Ac 23 Aceitar de palavra como o partido. Aujé äé v aujé ipó äé v aujebete et etiam sine i. rast, e I, Ap 64 Aprovar aujè äé v aujé aipó äé, e abaixo II, Ae 13: auiè aipò äè.) 9 Amoäè algū (v. I, Ou 15 amoäè ‘outro’) 27 Naxerài [naxerãi]. naõ tenho dentes, sou desdentado. (Cf. I, DE 86 iandé ránha, çánha) ỹ [ý]. agoa. (cf. I, AG 23 ý) Apoacèm. gemer. forte dicendum erit: Apyacèm, a pyà (ver I, GE 6 apyacém) Xeem. videtʒ [videtur] sigfcre [significare] effluere. derramarse. Catchi [sic]. pag. 93. (ver o verbete “sair”, I, SA 21 acem, xeẽ). sic active [activum]: amoem (‘derramar’) Bettendorff. pag. 47. Ïa. rel tem fruta. (ver I, Fr 32 xeá, ïá) Jecirungába rupì. a eito. ordine ordinatim.(v. I, A 50 cicirunga rupí. jecirangába rupí) o meu suor mto faz cahir (‘desmiuça’) o panno v camisa (ver I, DE 269 desmiuçar) tepynõ. o traque. v.I, Tr 25: tepynò) Jnaià roã. alii: inaia ybyà. palmito ( I, Pa 37–38, inajá roã, çoã; inajá ybuá) Amororỳb. alii: amoçorỳb. ajuntandolhe: ità maracà repicar, ou alegrar os sinos. (ver I, RE 123 amoçoryb) Apytaçoc. ter maõ sustentar como hum espeque. (cf. I, Te 46 apycýc) Aixamboc. tirar ou cortar o atilho, corda etʒ (ver DE 153 desatar: aixamboc, aiuró, aioráo) Ycypöeẽ. alcazus (v. I, Al 13: alcaçúz: ycypoẽ) Aiobapoçanong. pôr se mutas [mudas] no rosto. (v. I, Af 15: açobapoçanong) Amombor. lançar fora, deitar de maõ. acantoar. sed vdtʒ [videtur] impropriè vid acantoar. (v. I, AC 11 amombór, ainóng xeróca pupé) Atyabòr. padecer esterilidade de mantimtos [mantimentos]. (v. I, ES 236 tyabóra) AnhopẽnȻ v aiopẽ. estranhar (‘entrançar’, v. I, En 187: anhopẽ, aiopẽ). Aiepeè, v aiepè. aquentarse. N. hum e outro se usa so fallando de gente ou animaes. (v. I, Aq 9 anhemöacú, aiepeé; e Qua 42: anhemoacúb, aiepé) Jande rapupe. as nossas virilhas. dizem os homens. (v. I, Ve 49 tapupé, xreacambý) Acotyc. exprimitur: uc [acotúc] arpear. (ver I, AR 21 acotúc). Ciubarána [uubarána]. Espadana [de] peixe (ver I, ES 117 espadana ‘uubarána’) Xeapar. estar torto. arqueado. de gente ou aãl [animal] se diz: xepári [xe parĩ] (veja-se I, Co 243 e To 62). Xekyràr. mover a mer [molher] (veja-se I, Mo 72) Aticoar. derreter [derreter]. a. a maneira como sal ou a fª [farinha] na agoa. sendo composto de tỳ, que quer dizer: cousa liquida, porqʒ naõ se escreverà: atycoàr ? (veja-se I, DE 121) Jande cibà. nossa testa. (veja-se I, Te 60 cybà testa) Cunhã teî. rapariga te aos 12 annos. (A forma da LGA daquela época mudou da forma cunhã taĩ antiga para cunhã teĩ).


381 Nhemoia. cōboça. (v. Prosódia: comboça. Nhemóia. Combooça e comboça eram as formas antigas do mais moderno comborça [Houaiss]) Rapià. testiculos. çapià. rel. Ïia [Ia]. rel tem fruta. (veja-se o verbete “fruta ter”, I, Fr 32) Aierogiú [acerogiú]. fazer misura. (ver na primeira parte do dicionário o verbete ‘Mesura fazer’. aceroký pupé. alii acerogiý). Goaurána. a embigem [empigem] (Prosódia guäurána. Dic 1751 vaurana) caramöà, arca et tudo o que disso serve Top. forte idem est cum caramemöà in catech. (VLB: ‘arca’ caramemoã, Prosódia: caramöá) tabà tinga. barro branco. (na primeira parte, a forma para barro é tagoá; ver abaixo o verbete tagoa piránga) Javanha. crista do galo [Eckart: jacuánha] Aporòc. despejar. peporoc ygára (‘despejem a canoa!’; Prosodia: despejar a caza, caixa, canoa &ca Aporóc.) Amoçondoc. quebrar fio corda sem faca. (Prosodia: ‘Quebrar isso por muitas partes’ Amondoçóc ł Amoçondóc.A. Freq.o Amonoçonoçóc) Aiobapoçanong. pôr se mutas no rosto. (v. I, Af 15; v. Eckart: Affeites semelhantes pór no rosto, ou muitas pór no rosto. Açobapoçanong.) (Prosodia. Afeites do rosto. Touà poçanga; Affeites semelhantes pór. Açouapoçanong.) (VLB: Afeites do rosto. – Továpoçanga) PA: Mucuã. a espinhella. v. uà [mucuà] (O verbete não está no seu lugar, sob Va, e Uà está em uma secção heterogênea, do ponto de vista fonético). Ocapỳ. cubiculo da casa. com u finali meliùs. (Na 1a parte (CO 7) tem as duas formas). Ycapy [yçapy] v yapy. o orvalho, com u finali melius. (v. I, OR. OS 21; nenhum dos dicionários conhecidos apresenta um forma como yçapú). Ybytu teapy. esfusca o vento. cū u finali melius (O DPB 1751, Prosodia e Eckart têm teapú). Gupi = catù. catech. (v. I, AO 9; leitura errada do autor por Çupí, provavelmente no verbete “ao vivo” da Prosodia) (v. I, AO 9; II, 4º verbete da seç. Pi. Py) Tayra coéra. o que foi f° [filho]. pachicù ambúra rayracoera (‘o filho do finado Francisco’). (V. I, DE 47) Mimbôra. Anchiet. pag. 32. (Anchieta 1595, p. 43 (“De bóra: ... ut giapâ, giapapóra; mína, mipóra, mimbóra”) miãbora. o qʒ tem boubas. (v. Anchieta 1595, p. 43) Mari v pari [parĩ] torto[,] aleijado, se diz do que anda. (I, Ma 88, To 62) Xeapari, estar aleijado, amopári act aleijar a outrem. (Formas como apári, amopári, veja-se também I, Ma 88, parecem anunciar a forma apara ‘aleijado’ do Nheengatu moderno). Amokytã v amopokytã. fazer no [nó], (v. I, No 7). aimoiaratã. apertar huma cousa com a outra. (v. I, AP 35) Xepoite. nde poite. ipoite. ipoitè. mentir. (DPB–1751 poitê monháng ‘pataratear’) Ceẽ catù. rel. saber bem o comer. ser gostoso. (v. I, Sa 7, onde há ceé em lugar de ceẽ) Jcupè cory. as avessas. (v. Cupé, na secção Pe, Peé; Ipy coty, na secç. Pi. Py) Ambuà. centopea (‘centopeia’ é ambuâ no VLB, na Prosodia e no Eckart, mas japevá no I, Ce 18, japeguá no Silveira Bueno, 2008. Ver também o 6º verbete na seção Va item Ua em baixo) Japevà. centopéa Coaracyçanhembáva [coaracycanhembáva]. o poente. (Prosodia: Porse o sol. Ocanhém coaracý) Nhemoiäruçáva. pilheira [pilheria], ou o lugar , aonde se pilha. (confusão semântica entre ‘pilheira’ e ‘pilhéria’) Nhemoçaraitáva lugar, instrmto [instrumento] de brincar. Nhemoçacuitáva [nhemoçacoiáva]. o apercimento [apercebimento] pela vinda etʒ com recè. mas com çui, se sigfca acautela d’alguem. (v. VLB, nhemoçacojába, e I, AP 30; parece perdida a regra de /t/ antes de -ába, -ára)


382 Aceký. alii: aiký. debulhar milho. (aieký, v. I, DE 11; Prosodia: “Aiyký. alii: Aieký. Ayký. pareceme melhor, ut Peyký abatí. Debulhai o milho”) Aicuacúb. encobrir. a. persona, cui absconditʒ [absconditur] res, ponitʒ [ponitur] in ablat. [ablativo] cum çui. Cate. pag. 221. (Araújo 1686, 221: “Ereicüacúpe nde angaipâba amó abaré çuí ... ‘Encobriste a tua culpa diante de outrém ...?”) Mbae rámapè? para que? a quem [que] proposito? (v. I, AQ 7 A que proposito?) Maranamope. porqueȻ. naõ se uza. (v. I, Po 70 mbäé recetäé?) Aporoapecū mombuc. apertar a lingoa, como fruita sylvestre. (cópia do VLB: “aporoapecū [aporoapecũ] mõbigc”) Xeranhypy. os meus dentes queiaẽs [queixaes]. (v. I, DE 87: dentes queixais, iandé ránhypý) Aiatapù. queimar, acender. aicatapù [aiatapù] ucàr faço acender. (v. I, Fa 101 Fazer fogo: aiatapú;, Fo 12: fogo pôr: açapú tatá, aiatapú) Aramapára. almofada. (v. I, AL 70: acángapaba, aramapára) Çaangara. o que prova, esprimenta [experimenta]. tentador. rel. (v. I, Te 23: raangára) Cambicára. o amassador. (v. I, AM 32 amassar: acambic. acambiríc) Ceraçoçara. o mariola. ou ql͡ qr que leva. (v. I, Ma 115 mariola: ceraçoara) Jande pepuyra. o nosso (sobaco) (v. I, BR 3 braço: gybá, pepuyra, gybá guyrá) Jooçara. o remendam [remendão]. (v. I, Re 102: jaoçara) pinara v mindara tosquiador. (v. I, 69–70 tosquiar: aiapin. a.) remimotára. a vontade. (v. I, Vo 16 mimotára) racapúra. derradeiro. (v. I, De 116, racapýra) Curéra. farello miudo, que ficou do joeirado. ou as mi= gallinhas, declarando ou pondo atraz a cousa, de que são migallinhas. ut: miapè curéra, alimpaduras. (v. I, Mi migalha1: acicoéra) Curuéra. o farello grande, declarando a cousa de que. (v. I, Fa 56: curéra) perevagoéra. sinal da ferida. (v. I, Si 9 perebacoera) pyiyceócoéra. os lombos tirados. (v. I, Lo 9: pyiyceõ) Xemundu agoéra. fomos gemeos. ou nasci juntamente com meu Jrmaõ. (v. I, GE 5 gemeos: xecõi, xe cõiagoéra) Jurupariratapóra. o morador do inferno. condenado. (v. I, In 26: anhanga ratá, jurupariratá) Mondepora. o prezo. (v. I, Pr 54: imondepipýra) Juruparì o demonio. (v. I, DI 10 diabo: anhanga, juruparí, curupíra, tagoaíba) Mari v pari [parĩ] torto[,] aleijado, se diz do que anda. (I, Ma 88 manquejar: xepári, xeapári, To 62 torta ser acousa: xeapári) Atyarõ v xetyarõ, nde tyarõ, ityarõ. estar devez. itʒ dizem assim de puella nubili. ityarõ. v itiarõ. (v. I, DE 348 devez estar a fruta) Amoiarù. folgar e pode ser sem peccado. (v. I, Fo 22: aimoiarú, amoiarú) Membyrurù. v membyrarurù. a madre. (v. I, Ma 15 madre das molheres (o útero): membyrurú, membyarypý, membynhemonhangába, pitangamonhangába) Amoanghetè. ter por si. julgar consigo. affigurar se me. (v. I, AF 19: amonageté, raméi [rameĩ]) Jamurù catù. ainda bem. folgando do mal alheoo [alheio] (v. I, Ai 9: jamurú) Aiocatù. acquietar se. N. (v. I, AQ 11 aiecatu, anhecatu) Gupì catù. Cate. (v. I, AO 9: Ao vivo. upí v çupí catú. forte Gupi catu ut Cate.) Bocàva. a abertura. (v. I, AB 42: bóca. inde: bocáva, mocáva. espingarda)


383 Caapáva. o vaso ou servidor. (v. I, Ba 7 bacio: cäapába. Topin. potiába) Çaväà [çaväã]. enseada. (v. I, En 150: çabaã, vul. çavaã) Monghetacàva [monghetaçáva]. a pratica. (v. I, Pr 7: poromonhetaçába) Menduaçáva [maenduaçáva]. a lembrança. (v. I, LE 14: maenduçába) pocuitava. o rotolo, com que se mexe a massa pª a farª [farinha], qdo esta no forno. (v. I, Fa 102: pucuitába) Amanderava [amanberava]. o relampago. (amãberáva, v. I, Re 88) pytumõçaba. ajuda auxilio. (VLB e tupi antigo pytybõ; variação entre /p/ e /m/ em vários casos). Amoĩ iave. igualar o desigual. (v. I, IG 9 igualar: aimoieiáb, aimoioiáö) Çavé. està borolento [bolorento]. rel. (Prosodia: “Bolorenta cousa. Çabé Vul. Çauè relat.”; Eckart: “Bolorenta cousa. mucidus. Schimlicht. çabé. mbäé çabé”) Meve. Top: meguè. de vagar. mevè mevè. freqʒ. supra tambem diz, que sgfca [significa] amorosamente. (v. I, AM 63: megué megué, mevé mevé) Momboiçába. o que faz apartarse ou largar. ut: teõ menda=çareté momboiçaba. legitimorū Conjugū [conjugum] sola mors est separatio. Cat. pag. 165. (Araújo 1686, 165: “M .Eicatú pe oieçüí opöí? D. Deicatúi, tëõ äé mendaçáreté momböiçâbamo” ‘M. É possível que se separem? D. Não é possível, [só] quando a morte os separa’). a longo tempore captus sum tua pulchritudine erimbae çuí nde poranga xepyá mondá xe çuí v omisso xe çuí. virgo ababycagoereyma hic non intelligitʒ [intellegitur] igitʒ [igitur]: cunhã aba poromonhangara cuabeyma v aba poromonhangaba v poromonhanga cuapareyma (‘mulher que não conheceu homem’). (DPB1751: Abâbúcagoéreyma donzella, virgem, não forçada ou violentada pelo homem; Prosodia: Donzella: Angaturáma. Top. Abábúcagoéreýma. id. Não furada) (v. I, DO 24) Aicuacùb. encobrir. a. persona, cui absconditʒ [absconditur] res, ponitʒ [ponitur] in ablat. [ablativo] cum çui. Cate. pag. 221. (Araújo 1686, 221: “Ereicüacúpe nde angaipâba amó abaré çuí ... ‘Encobriste a tua culpa diante de outrém ...?”) Aporoapecū mombuc. apertar a lingoa, como fruita sylvestre. (cópia do VLB: “aporoapecū [aporoapecũ] mõbigc”) Xerecopocýi. ser forte. constante em obrar. (v. I, Gr 16) Xeruguyi [xeruguý]. meu sanque [sangue]. itʒ assim diz a mer estando com a regra. (v. I, Co 228 costume: xeruguý) Reyi v Teyi. ceyi em bandos. confectim. ceyi oicóbo (‘andavam em bandos’). (v. I, Fa 73 fato, bando: teýia, pirá reýa. ceýi oicóbo. andavaõ em bandos) onhemoyi. çoò. rebentou a carne onhemboì. ad ambos (v. I, GR 21: gretar as maõs onhemboi xepó) Xejub. ser amarello (v. I, Am 25: toba júba) Xetujùc. o mesmo. Top: atujùc. estar podre. (v. I, Ap 41 apodrecer: xejúc, ijuc uán pirá; Po 12: Podre estar: xejúc, xetujú, xeaíb) Aporùc. desmentir o pé [,] mão. (v. I, DE 268: oporóc) Amocuè. bollir. a. amocuècuè. freqʒ. concutere. aballar. hua cousa que està fincada como esteio ou arvore. abanar. (v. I, AB 25: amocüé, amocatác) Jovè. a raã grande. (v. I, Ra 2: joué) Ybacupendoara. v vul: ybakigoara. celestial. (v. I, CE 14: ybakypendoara, ybakigoara, ybacupóa) Nhemoyrõdoára vul. angaipába. agastiço [agastadiço] melancolico. (v. I, AG 7 agastadiço). Çaucubipýra [çauçubipýra]. cousa amada ou amavel. (v. I, AM 4: çauçubipýra).


384

O Forte de São Julião da Barra, na ribeira do Tejo, perto de Lisboa, onde o padre Meisterburg e muitos outros jesuitas, seus companheiros de infortúnio, passaram 17 anos, encarcerados pelos “iluminados” governantes portugueses. (Fotos Paul Schmit)



Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.