UNIVERSITÉ PAUL CÉZANNE - AIX-MARSEILLE III
Ecole doctorale Sciences juridiques et Politiques
Faculté de Droit et de Science politique d’Aix-Marseille
LA PENSÉE RELIGIEUSE ET L’IMPÔT
Contribution à l’étude de l’influence de la pensée chrétienne
sur les systèmes fiscaux d’Europe occidentale
Thèse pour le doctorat en droit public présentée et soutenue par
Fabrice BIN
Jury
Pierre BELTRAME Professeur à l’Université Aix-Marseille III Paul Cézanne, Doyen honoraire de la Faculté de droit d’Avignon,
Directeur de l’Institut supérieur d’études comptables, Directeur de
Recherches
Emmanuel de CROUY-CHANEL, Professeur à l’Université de
Picardie - Jules Verne (Amiens)
Jacques GROSCLAUDE, Professeur émérite de l’Université de
Strasbourg III - Robert Schuman, Ancien directeur de l’Institut de
préparation à l’administration générale de Strasbourg, Président du
Jury
Marc LEROY, Professeur à l’Université de Reims - ChampagneArdenne, Directeur des études du Centre de Recherche et de
Documentation administratives sur la Décentralisation Territoriale
Vinh N’GUYEN QUOC, Professeur à l’Ecole Normale Supérieure
de Cachan, Doyen honoraire de la Faculté de droit de Brest, Ancien
vice-président des Universités de Brest et du Maine, Directeur du
Département d’économie, droit et gestion
Gilbert ORSONI, Professeur à l’Université Aix-Marseille III - Paul
Cézanne, Vice-président de L’Université
AIX EN PROVENCE - SAMEDI 26 NOVEMBRE 2005
« La Faculté de Droit n’entend donner aucune approbation, ni improbation
aux opinions émises dans cette thèse.
Les opinions doivent être considérées comme propres à leur auteur ».
1
A mes parents
A Mélanie
2
Remerciements
Je tiens à exprimer ma profonde gratitude à ceux qui m’ont apporté une aide
précieuse pendant ces recherches, que ce soit par leurs communications bibliographiques,
leurs analyses ou leurs avis sur l’ensemble ou certains éléments de cette thèse : M. le
Premier ministre Jacques Parizeau (Québec), MM. les prof. Jean-Luc Albert (Lyon),
Guillaume Arnould (Lille), Renaud Carrier (Pau), Mme le prof. Blandine Chelini-Pont
(Aix), MM. les prof. Emmanuel de Crouy-Chanel (Amiens), Etienne Douat (Montpellier),
Mme le prof. Mathilde Freu (Aix), MM. les prof. Jean-Baptiste Geffroy (Poitiers), Roland
Granier (Aix), Jacques Grosclaude (Strasbourg), Robert Hertzog (Strasbourg), Christophe
de La Mardière (Dijon), Michel Lascombes (Lille), Jean-Louis Mestre (Aix), Jean-Yves
Naudet (Aix), Olivier Negrin (Lyon), Joël-Benoît d’Onorio di Meo (Aix), Manuel Pires
(Porto), Rodolphe Pourrade (Aix), Luc Saïdj (Lyon), J. Alberto Sanz Diaz-Palacio
(Tolède), Serge Schweitzer (Aix), M. le docteur Jean-François Verne (Aix), M. Jendrik
Kurzke (Londres), enfin M. le doyen et président honoraire de l’Univ. d’Aix-Marseille III
Christian Louit pour son accueil au Centre d’Etudes Financières et Fiscales (CEFF,
rattaché au CNRS GDR 1177 de Droit Comparé, EA 891 du MENR) qu’il dirige.
Ce travail de recherche n’aurait put être mené à bien sans des moyens matériels.
À ce titre, je remercie très sincèrement l’Ecole normale supérieure de Cachan qui m’a
permis d’obtenir un contrat de Moniteur normalien, ainsi que le Centre d’Initiation à
l’Enseignement supérieur (CIES) Provence-Corse, qui m’a accordé un contrat d’ATER,
renouvelé par l’Université Paul Cézanne.
Je remercie pour leur aide les équipes documentalistes des Archives diocésaines
d’Angers, des bibliothèques universitaires d’Aix-Mlle (Univ. de Proce, de la Méditerranée
et Paul Cézanne), Cujas et Ste Geneviève (Paris), de Liège (Belgique), de Lille II, de
l’Univ. Catho. de l’Ouest (Angers), de la Fac. Libre de Théologie Réformée (Aix), des
bibliothèques de Fels (Inst. Catho. de Paris), Charles de Provenchère (diocèse d’Aix et
Arles), du CEFF, du CREEADP, de l’Inst. Portalis, de l’ISPEC (Aix).
Je remercie tout particulièrement mes maîtres : M. le professeur Michel Bouvier
et Mme le professeur Marie-Christine Esclassan (Paris I) qui ont puissamment éveillé
mon intérêt pour la science des finances publiques, MM. Les professeurs Vinh N’GuyenQuoc (ENS Cachan) et Gilbert Orsoni (Aix) qui l’ont développé et orienté vers la
recherche. Leurs leçons me sont des références essentielles.
Une mention toute spéciale pour le doyen Pierre Beltrame qui a accepté de diriger
cette thèse de doctorat. Par ses encouragements, ses pertinentes critiques et suggestions
prodiguées aux cours de nos nombreux entretiens, par la généreuse mise à disposition de
ses profondes connaissances scientifiques, de ses multiples relations humaines et de ses
réflexions sur le sujet, il m’a permis de prendre le recul nécessaire à la maîtrise de cette
œuvre juridique pluridisciplinaire. Sans lui, sans son humanisme bienveillant, ce travail
n’aurait pu être mené à bien. Qu’il trouve ici l’expression du profond respect et de
l’admiration de son disciple.
Ce travail d’endurance n’aurait pu être accompli sans le soutien constant de
l’ensemble de mes proches et plus particulièrement de mes parents, de Mélanie, d’Alain
et Bernadette, de Michèle et Henri, du docteur Michel Goujon. Qu’ils en soient ici
remerciés.
Enfin, je tiens à remercier Cendrine Gilg et Emmanuel Chastagnaret, Maîtres de
conf., qui ont très amicalement effectué une relecture de cette thèse. Jocelyn Beneteau
m’a apporté une utile aide informatique. Betty Carvou, Marcel et Roseline Gibert, Alain,
Renaud et Benoît Laval, Magali Magnien, Luis Muleiro (doctorant de l’Univ. de Vigo,
Galice), m’ont fait profiter de leurs qualités de polyglottes. Sans eux l’aspect formel de
cette thèse (y compris celui des raisonnements) serait plus médiocre.
Les avis qui sont ici exprimés - et les erreurs - ne les engagent évidemment pas.
3
TABLE DES PRINCIPALES ABRÉVIATIONS
-
ACEF: Association canadienne d’études fiscales (cf. CTF)
-
AEAP : Annuaire Européen d’Administration Publique
-
AES : Archives Européennes de Sociologie
-
AF : Revue l’Année Fiscale
-
AFC : Administration fédérale des contributions (Suisse) cf. ESTV
-
AFP : Agence France Presse
-
AJDA : Actualité Juridique Droit Administratif (Dalloz)
-
al. : alii
-
AN : Assemblée Nationale
-
Ann. : Annexe
-
APD : Archives de Philosophie du Droit
-
Art. : Article
-
AS : L’Année sociologique
-
ATF : Recueil des Arrêt du tribunal Fédéral (Suisse)
-
BAM : Bibliothèque africaine et malgache (LGDJ)
-
BDCF : Bulletin Des Conclusions Fiscales (Francis Lefebvre)
-
BF : Bulletin Fiscal (Francis Lefebvre)
-
BGBl : Bundesgesetzblatt (« J.O. » allemand)
-
BIM : Bulletin de fiscalité immobilière, plus-value et enregistrement (Francis Lefebvre)
-
BISLF : Bibliothèque Internationale de Science et de Législation Financière (Giard
&Brière)
-
BMF : Bundesministerium der Finanzen (Allemagne)
-
BSF : Bibliothèque de Science Financière (LGDJ)
-
c. : canon
-
CCB : Crédit Communal de Belgique
-
CDC : Code de Droit Canonique
-
CDFI : Cahiers de Droit Fiscal International (IFA)
-
CE : Conseil d’Etat
-
CEDH : Cour Européenne des Droits de l’Homme
-
CESDHLF : Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme et des
Libertés Fondamentales
-
CEDRE (Perp.): Centre d’Etude, de Documentation et de Recherche (Univ. Perpignan)
-
CEPII : Centre d’Etudes Prospectives et d’Informations Internationales
-
CERAS : Centre de Recherche et d’Action Sociales (s.j.)
-
CGI : Code Général des Impôts
-
CHEFF : Comité pour l’Histoire Economique et Financière de la France
-
CI: Conseil des Impôts (France)
4
-
CIIF : Commission Intercantonale d’Information Fiscale (Suisse)
-
CJCE : Cour de Justice des Communautés Européennes
-
CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique
-
Comm. : Commentaire
-
Concl. : conclusions
-
CRDS : Contribution au Remboursement des la Dette Sociale
-
CREEADP : Centre de Recherches en Ethique Économique et des Affaires et
Déontologie Professionnelle
-
CSG : Contribution Sociale Généralisée
-
CTF : Canadian Tax Foundation (cf. ACEF)
-
D. : Recueil Dalloz
-
DC : La Documentation catholique
-
DDB : Editions Desclèe De Brouwer
-
Déc. : Décision
-
DELC : Division des Etudes de Législation Comparée (SAE, Sénat, France)
-
DF : Revue Droit Fiscal
-
DGI : Direction Générale des impôts (Ministère des Finances – France)
-
D&S : Droit et Société
-
EATLP : European Association of Tax Law Professors (Association européenne des
professeurs de droit fiscal)
-
EJC : Editions du Juris-Classeur
-
E&S : Economie et Statistiques (INSEE)
-
ESSF: Ecole Supérieure des Sciences Fiscales (ICHEC, Bruxelles)
-
ESTV : (Eidgenössische Steuerverwaltung) (Suisse) cf. AFC
-
EUB : Editions de l’Université de Bruxelles
-
EUD : Editions Universitaires de Dijon
-
FNSP : Fondation Nationale des Sciences Politiques
-
GAJF : Grands Arrêts de la Jurisprudence Fiscale
-
GP : La Gazette du Palais
-
GRF : Groupe Revue Fiduciaire
-
HES : Histoire Economie et Société (anciennement Revue d’Histoire Economique et
Social)
-
IBFP : Institut Belge de Finances Publiques
-
ICHEC : Institut Catholique des Hautes Etudes Economiques (Bruxelles)
-
IDHR : Institut de Droit et d’Histoire des Religions
-
IFA : International Fiscal Association (Association Fiscale Internationale)
-
IG : Instrument of Government (une des lois fondamentales de la Constitution suédoise)
-
IN : Imprimerie Nationale
-
INSEE : Institut National des Statistiques et des Etudes Economiques
5
-
IR : Impôt sur le Revenu
-
IRPP : Impôt sur le Revenu des Personnes Physiques
-
IRS : Internal Revenu Service (Etats-Unis)
-
ISI : Inspection Spéciale des Impôts (Belgique)
-
IS : Impôt sur les Sociétés
-
JCP : Juris-Classeur Périodique
-
JCP éd. G, N, E&A : La semaine juridique, éditions Générale, Notariale ou Entreprises &
Affaires
-
JDF : Journal de Droit Fiscal (Bruxelles)
-
J.O. : Journal officiel
-
LGDJ : Librairie générale de Droit et de Jurisprudence
-
LPA : Les Petites Affiches
-
LPF : Livre des Procédures Fiscales
-
M.A.U.S.S. : Mouvement Anti-Utilitariste en Sciences Sociales
-
MCC : Mouvement des cadres chrétiens
-
MEFI : Ministère de l’Economie des Finances et de l’Industrie
-
mjp : matériaux juridiques et politiques (CEDRE Perpignan)
-
MSH : Maison des Sciences de l’Homme
-
NF : Les Nouvelles fiscales
-
NRF : Nouvelle Revue Française
-
OFCE : Observatoire français de la conjoncture économique
-
OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economiques
-
o. p. : Ordre des frères prêcheurs (dominicains)
-
OPCE : Office des Publications officielles des Communautés Européennes
-
p. : page
-
PUAM : Presses universitaires d’Aix-Marseille
-
PUF : Presses Universitaires de France
-
PUBP : Presses Universitaires Blaise Pascal
-
RA : La Revue Administrative
-
RAE : Revue des Affaires Européennes
-
RCID : Revue Catholique des Institutions et du Droit
-
RDGI : Revue de la Direction Générale des Impôts
-
RDP : Revue de Droit Public et de Science Politique en France et en Europe
-
RDPC : Revue de Droit Pénal et de Criminologie (Bruxelles)
-
REP : Revue d’Economie Politique
-
Req. : Requête
-
RFDA : Revue Française de Droit Administratif
-
RFE : Revue Fiscalité Européenne et Droit International des Affaires
-
RFFP : Revue Française de Finances Publiques
6
-
RFHIP : Revue Française d’Histoire des Idées Politiques
-
RFSP : Revue Française de Science Politique
-
RHDFE : Revue Historique de Droit Français et Etranger
-
RI : Rapport d’Information
-
RICPT : Revue Internationale de Criminologie et de Police Technique (Genève)
-
RJF : Revue de Jurisprudence Fiscale (Francis Lefebvre)
-
RMCUE : Revue du Marché commun et de l’Union européenne
-
RN : La Revue Nouvelle (Bruxelles)
-
RRJ : Revue de la Recherche Juridique- Droit Prospectif (Aix-en-Provence)
-
RSC : Revue de Science Criminelle et de Droit pénal comparé
-
RSF : Revue de Science Financières (1956-1977)
-
RSLF : Revue de Science et de Législation Financière (1903-1955 puis RSF)
-
RTDC : Revue Trimestrielle de Droit Civil
-
RTP : Revue de Théologie et de Philosophie
-
S : Sénat
-
SAE: Service des Affaires Européennes (Sénat, France)
-
S.E.D.E.S. : Société d’Edition D’Enseignement Supérieur
-
SEPC : Service d’Etudes Pénales et Criminologiques
-
SEVPEN :
-
SFDF : Société Française de Droit Fiscal
-
SFFP : Société Française de Finances Publiques
-
SI : Swedish Institute
-
s. j. : Société de Jésus
-
SRDA : Semaine Religieuse du diocèse d’Angers
-
SSF : Semaines Sociales de France
-
TCE : Traité des Communautés Européennes (Rome)
-
TGPO : Taux Global de Prélèvements Obligatoires
-
TRE : Theologische Realenzyklopädie
-
UE : Union européenne
-
UIES : Union Internationale d’Etudes Sociales
-
ULB: Université Libre de Bruxelles
-
WRV : Weimarer Verfassung (Constitution de Weimar 1919)
7
8
SOMMAIRE
INTRODUCTION GÉNÉRALE………………………………………………………………………… p. 11
1ERE PARTIE :
SOURCES ET FORMATION DE LA DOCTRINE FISCALE DES RELIGIONS…………………………….. p. 35
TITRE 1 : LES FONDEMENTS THÉOLOGICO-POLITIQUES
DES DOCTRINES FISCALES CHRÉTIENNES …..
p. 39
Chapitre 1 : L’impôt dans les écrits néo-testamentaires et patristiques……………………….…..... p. 41
Chapitre 2 La Légitimité religieuse de l’Etat moderne,
contexte politique de formation des doctrines fiscales religieuses en Europe………… p. 77
Conclusion du Titre 1……………………………………………………………….……………..... p. 135
TITRE 2: LE DEVOIR FISCAL
LES DOCTRINES FISCALES CHRÉTIENNES ET LA LÉGITIMITÉ RELIGIEUSE DE L’IMPÔT EN E UROPE…… p. 137
Section préliminaire : Considérations générales sur les racines religieuses du devoir fiscal ……… p. 139
Chapitre 1 : Les évolutions du devoir fiscal à travers la doctrine catholique………………………. p. 149
Chapitre 2 : La stabilité du devoir fiscal à travers la doctrine protestante………………………….. p. 201
Chapitre 3 :
La considération religieuse de la fraude fiscale et les systèmes de droit fiscal pénal en Europe…... p. 265
Conclusion du Titre 2……………………………………………………………………………….. p. 349
CONCLUSION DE LA 1ÈRE PARTIE……………………………………………………………………... p. 351
2NDE PARTIE : LA RÉCEPTION DE LA DOCTRINE FISCALE DES RELIGIONS DANS LES SYSTÈMES
FISCAUX EN EUROPE ……………………………………………………………………………….. p. 355
TITRE 1 : L’INFLUENCE DE LA PENSÉE RELIGIEUSE SUR LES POLITIQUES FISCALES EN
EUROPE……………………………………………………………………………………………… p. 357
Chapitre 1. La protection fiscale des Eglises……………………………………………………….. p. 359
Chapitre 2. La protection fiscale des valeurs des Eglises…………………………………………... p. 413
Conclusion du Titre 1……………………………………………………………………………….. p. 473
TITRE 2 : L’INFLUENCE DE LA PENSÉE RELIGIEUSE SUR LA STRUCTURE DES SYSTÈMES FISCAUX EN
EUROPE…….………………………………………………………………………………………... p. 475
Chapitre 1 : Pensée catholique et systèmes fiscaux à dominante d’imposition de la dépense……… p. 489
Chapitre 2 : Pensée protestante et systèmes fiscaux à dominante d’imposition des revenus……….. p. 537
Conclusion du Titre 2……………………………………………………………………………….. p. 567
CONCLUSION DE LA 2NDE PARTIE……………………………………………………………………... p. 573
CONCLUSION GÉNÉRALE………………………………………………………………….………… p. 575
Annexe 1. Actes budgétaires du Saint-Siège (1994).……………………………………………….. p. 588
Annexe 2. Articles de la Constitution de Weimar relatifs à la religion et aux sociétés religieuses… p. 590
Annexe 3. Graphiques. Structure de la fiscalité dans les pays membres de l’OCDE, 1965-2002….. p. 593
9
10
INTRODUCTION GÉNÉRALE
RECHERCHE D’UNE « SOURCE » RELIGIEUSE
DU DROIT FISCAL
La sensation de l’effort me semblait devoir être
recherchée, et je ne prisais pas les heureux résultats
qui ne sont que les fruits naturels de nos vertus
natives. C’est dire que les résultats en général, - et
par conséquences, les œuvres, - m’importaient
beaucoup moins que l’énergie de l’ouvrier substance des choses qu’il espère. Ceci prouve que la
théologie se retrouve un peu partout.
Paul Valéry, Préface à Monsieur Teste
1. Malgré le point de vue de certains illustres juristes, un positivisme peutêtre un peu excessif amène souvent à écarter dès le premier abord le lien entre la
religion et le droit dans nos sociétés occidentales. On consent ensuite à considérer
leur rencontre dans la morale 1. Une rencontre et pas un lien de causalité. Au sens
strict du terme, la pensée religieuse ne constitue certainement pas une source du
droit. Son influence sur la création de règles de droit, et donc éventuellement du
droit fiscal, ne peut être humblement que non formelle 2.
2. Concernant la notion de pensée religieuse sa première caractéristique
réside dans une particularité conceptuelle : « La notion de religion est
occidentale… »3. C’est une première difficulté pour effectuer des comparaisons
avec les pays extérieurs à l’Europe ou, du moins, avec les civilisations autres que
celles de l’Europe occidentale. D’où le problème de définition de la notion de
pensée religieuse qui devrait être assez large pour comprendre, outre celle des
pays de présence des religions du livre (Islam et droit fiscal dans les pays
musulmans, Judaïsme et droit fiscal en Israël) celle développée dans le cadre de
« religions sans religion » (Confucianisme et droit fiscal en Chine). Mais nous
pourrions aussi nous interroger sur les relations entre Orthodoxie et droit fiscal.
Cependant cette étude, pour des raisons théoriques et pratiques exposées
plus loin, se concentre non seulement sur le monde chrétien mais plus
1
DRAGHICESCU (D.), Droit, Morale et Religion, APD, tome 1&2, 1932, p. 229.
Nous reprenons ici le terme utilisé par VARNEROT (V.) dans son article : Entre essentialisme et
existentialisme de la théorie des sources : les sources non formelles du droit fiscal, APD, tome
46, 2002, pp. 139-195.
3
Cf. BAUER (J.), Politique et religion, Paris, PUF, Que sais-je ?, 1999, pp. 8-9.
2
11
spécialement sur la comparaison de la relation des pensées catholique et
protestantes avec le droit fiscal des pays européens 4.
3. Par pensée religieuse nous entendrons en fait « l’ensemble des éléments
d’une culture donnée se rapportant à des considérations de type religieux », c’est
à dire touchant aux croyances et pratiques ayant pour objet les rapports de
l’homme avec la divinité ou le sacré, c’est à dire tout ce qui transcende l’humain 5.
Si les religions catholiques et protestantes, religions du Livre, sont bien sûr
particulièrement marquées par l’écrit, nous ne pouvons limiter nos recherches aux
travaux des Pères de l’Eglise et à ceux des réformateurs. Nous devrons aussi
prendre en compte les aspects parfois non maîtrisés par les théologiens mais que
la pratiques des fidèles peut intégrer à la réalité d’une religion. Pour le cas du
catholicisme par exemple, nous ne pouvons nous limiter au droit canon 6. C’est en
fait de pensée, la façon dont l’ensemble des fidèles assimilent leur religion,
appréhendent religieusement leur monde, façon qui ressort aussi bien des écrits
que des pratiques et qui fait, dans la réalité, se mêler les notions de religion, de
morale et de mœurs. En effet, à « l’idéologie parvenue à maturité »7, sont liées
ces multiples influences : que ce soit sur la morale (qui « se propose de diriger les
conduites humaines selon un système de valeurs »8) ou plutôt les morales, compte
tenu de la dimension en partie individuelle dans laquelle ce terme est accepté9 ; ou
encore sur les mœurs, cet ensemble de règles de comportement suivies dans le but
d’être intégré à un groupe social. Avec le recul du fait social religieux, les mœurs
tendent cependant moins à assurer l’intégration à une communauté qui se veut de
moins en moins catholique ou réformée. Nous pouvons cependant supposer qu’il
reste culturellement des traces de mœurs longtemps imprégnées d’une dimension
religieuse.
Nous devons éviter une erreur de méthode qui amènerait à concevoir la
pensée religieuse comme une pensée fixe, déterminée et poursuivant
continuellement des buts précis. Ce n’est pas une « force qui va » linéairement,
même si des éléments peuvent se retrouver de périodes en périodes. En somme, il
faut se garder de l’écueil auquel se heurtent tant d’historiens « cumulatifs » qui
relient entre elles des périodes intellectuelles en faisant des premières de la chaîne
les précurseurs obligés de celles de la maturité10. La pensée religieuse, elle aussi,
Il faut cependant préciser que le cas des Etats-Unis d’Amérique sera parfois présent derrière
l’étude de la pensée protestante en matière d’impôt puisque qu’ils constituent par bien des cas
un prolongement ou un révélateur de celle-ci.
5
Dictionnaire Larousse.
6
Notamment parce que ce dernier « a un champ d’action trop limité parce qu’il rend à César une
foule de questions trop contingentes pour entrer dans ses préoccupations d’ordre spirituel »
(JESTAZ (P.), Le droit, connaissance du droit, Paris, Dalloz, 3e éd., 1996, p. 48), ce qui
simplifierait la question du lien entre pensée religieuse et impôt en la résolvant négativement.
Mais la pensée que nous dirons « catholique » ne s’y résume justement pas.
7
JESTAZ (P.), id., p. 36.
8
Ibid., p. 32.
9
Compte tenu de cette individualisation du religieux, les termes de religion et de morale sont
couramment usités de façon relativement interchangeable. Le doyen RIPERT quant à lui use du
terme de « morale religieuse ». Cf. RIPERT (G.), Les forces créatrices du droit, Paris, LGDJ,
1955, p. 135.
10
C’est la démarche adoptée par P. ROSANVALLON reprochant à « tous ceux qui parlent depuis
Marx ou Lichtenberg de « socialisme » au XVIIIe siècle, en faisant des hommes du temps des
4
12
est composée de plusieurs périodes historiques dont chacune se déploie, s’insère,
se développe dans un contexte qui lui est propre et où il faut chercher ses clefs
explicatives. Clefs dont la quête n’est pas notre propos. Notre sujet central ici est
l’étude des aspects, en partie a-historiques, de cette pensée religieuse, qui ont pu
influer sur la production du droit, que ce soit des éléments passés en forme
d’habitudes de pensée ou des éléments plus liés à leur période de conception.
4. Une Source du droit ? Il ne s’agit pas de discuter l’absence de la
religion parmi les sources du droit 11 au sens organique classique du terme. Cette
dernière expression étant plutôt utilisée dans le sens de source formelle du droit
(la loi ou la jurisprudence et, avec plus de réticences, la doctrine et la coutume).
La religion serait, avec d’autres, une source matérielle du droit. Nous entendrons
donc ici non pas l’érection en principe de législation la soumission à une religion
unique mais la présence de celle-ci parmi les idéologies prises en compte dans la
conception et la formation d’un droit 12. « Sauf cas exceptionnels, il n’y a pas de
système juridique élaboré divinement, édicté par un Dieu prêteur, ou procédant
comme l’oracle d’une source religieuse»13. Rappelons immédiatement que si la
pensée religieuse est à la source de règles de droit, nombre d’autres idéologies y
sont aussi. Le droit étant l’expression d’une norme appuyée sur une valeur 14, tout
dépend de la valeur prise en compte. La religion ayant fortement à voir avec le
sacré, sa valeur est évidente mais pas forcément pour le législateur par rapport à
d’autres valeurs possibles. Pour le droit français, le professeur Jestaz en dénombre
ainsi, sans être exhaustif, plus d’une douzaine, parmi lesquelles, « le christianisme
(fut-il laïcisé) » 15. Cette influence de la religion sur la société occidentale et donc
sur son droit, si elle fut forte pendant le Moyen- Âge, s’est depuis atténuée. Cette
absence d’emprise complète de la religion chrétienne sur la sphère juridique
s’explique par le fait que le christianisme n’est pas une religion de la Loi16 et par
Lumières de simples précurseurs d’un mouvement intellectuel qui parviendrait peu à peu à
maturité. », Le moment Guizot, Paris, Gallimard, 1985, p. 13.
11
Sur cette question, parmi de nombreuses publications, cf. JESTAZ (P.), Source délicieuse…
(Remarques en cascades sur les sources du droit), RTDC, 92(1), 1993, pp. 73-85.
12
Sur la question en général cf. GUYON (G. D.), Le legs du christianisme dans l’histoire du droit
européen, Paris, Téqui, 2005, 61 p. Sur le jansénisme et le droit civil en France, cf. ARNAUD
(A.-J.), Les origines doctrinales du Code civil français, Paris, LGDJ, 1969, 332 p. et, entre
autres, PÉNA (M.), Jansénisme et code civil, RRJ, 1992, n°3, pp. 817-832. Sur le cas du droit
constitutionnel, cf. TIERNEY (B.), Religion et droit dans le développement de la pensée
constitutionnelle, Paris, PUF, Léviathan, 1993, 150 p. et RICCI (J.-Cl.), Religion et droit
constitutionnel, in ONORIO (J.-B. d’) (dir.), Religion et droit. Actes du IVe Colloque national des
Juristes Catholiques, Paris, 18-20 novembre 1983, Paris, Téqui, 1985, pp. 55-82.
13
HALBECQ (M.) S. J., Le Divin et les conceptions du droit naturel, APD, tome XVIII, Paris, Sirey,
1973, p. 165.
14
JAVEAU (C.), Le droit est-il soluble dans la sociologie ?, in Mélanges offerts à M. HANOTIAU,
Bruxelles, Bruylant, 2000, p. 14.
15
JESTAZ (P.) , Le droit, op. cit., p. 37. Nous soulignons.
16
« Ces droits à la raison s’expliquent en second lieu par le fait suivant : à la différence du
judaïsme et de l’islam, le christianisme n’est pas une religion de la Loi. Juifs et musulmans sont
tenus de se conformer à un ensemble de lois divinement révélées ou à un code religieux qui a un
caractère englobant et réglemente la vie publique et privée au détriment de toute sphère
concédée à l’autonomie de la raison. », BENETON (P.), Introduction à la politique, Paris, PUF
1er cycle, 1997, p. 34.
13
l’influence de la pensée grecque qui a procédé à la séparation des lois morales, de
caractère religieux, et celles fondée sur la conscience humaine 17.
I- LA PENSÉE RELIGIEUSE PARMI LES SOURCES DU DROIT
5. Une source matérielle du Droit ? Il importe de préciser que la pensée
religieuse – voir de façon plus commune la morale 18 - est ici envisagée comme
une éventuelle source matérielle de la règle de droit. « Il s’agit de savoir si le
droit positif, laïque par hypothèse sur le point considéré, peut trouver dans la
religion son ultime dépassement »19. Et que cette source (ou plutôt ce pouvoir
d’influence), n’est pas unifiée. Le professeur S. E. Stumpf rappelle ainsi qu’il «est
important tout d’abord de souligner que la théologie chrétienne n’a point de
doctrine unifiée de philosophie juridique »20.
6. Historiquement, il est usuel de remarquer que la pensée religieuse a pu
être une forte inspiratrice du droit, justifiée notamment par la première version du
droit naturel21. Depuis, celui-là s’est laïcisé jusqu’à lui faire perdre toute
prééminence (si elle l’a jamais eu) en ce domaine. Elle subsiste cependant comme
source d’inspiration possible, confrontée, mesurée, mêlée aux autres références
des hommes pour la création des règles de conduite que sont finalement leurs
règles de droit.
7. Le doyen Carbonnier distingue deux voies par lesquelles le droit fait appel
à la religion « l’une plus précise et l’autre plus vague :
Dans la plupart des religions se rencontrent des commandements qui, sans
forcément avoir été des règles de droit, en ont toute la netteté. Pour celui qui les
entend avec fidélité, la tentation sera grande de les transposer dans son idéal
juridique, complément hypothétique du droit positif, non plus impératif mais
persuasif, ou suivant une autre opposition de termes, non plus précepte mais
conseil. Cela peut tourner à tous vents. […]
Cependant, le plus souvent, ce qui frappe les esprits religieux, c’est la
distance entre ce que le droit – le législateur, le juge, l’homme – est capable de
faire et ce que Dieu, le tout Autre, ferait. De là un élan vers la justice divine […]
Le droit positif y gagne un supplément d’âme : à l’exigence d’une stricte et quasi
mathématique justice selon les hommes, il ajoute une loi d’amour qui se traduira
le plus concrètement par charité ou solidarité (la traduction a varié selon les
époques), justifiant surabondamment des règles et des institutions que l’utilité
avait peut-être déjà suffi à introduire, et en appelant d’autres plus
17
ROMILLY (J. de), La loi dans la pensée grecque, Paris, Les belles lettres, 2001, p. 35.
Sur le lien entre droit et morale, cf. CARBONNIER (J.), Morale et droit, Revue juridique du Centre
Ouest, n°11, janvier 1993, pp. 3-11. Sur l’ensemble « droit, morale et religion », cf. Chapitre VI
de SÉRIAUX (A.), Le Droit, une introduction, Paris, Ellipses, 1997, pp. 39-46.
19
CARBONNIER (J.), Droit Civil, Introduction, 26e éd. ref. , Thémis, Paris, PUF, 1999, p. 102.
20
STUMPF (S. E.), Contribution de la théologie à la philosophie du droit. La définition et
l’interprétation du droit, in La Théologie chrétienne et le droit, APD n°5, Sirey, 1966, pp.1. Cf.
par exemple sur le cas de la recherche chrétienne américaine en la matière, ELLUL (J.),
Christianisme et droit. Recherches américaines, ibid., pp. 27-35.
21
« La célèbre théorie du droit naturel a été tout d’abord pour les théologiens l’appel à la raison
humaine pour la plus facile défense d’un droit inspiré par la morale chrétienne. La laïcisation
de ce droit ne pouvait être que superficielle. Elle se fit pourtant et permit aux philosophes du
XVIIIe siècle de défendre un droit inspiré par la nature. », RIPERT (G.), id. , p. 25.
18
14
audacieuses »22. Et c’est justement cela qui nous intéresse ici : les règles de droit
qui varient d’un pays à l’autre sans explication purement utilitaire. Pourquoi la
France et le Luxembourg ont-ils adopté le système du quotient familial ? Le but
était-il de permettre la levée de l’impôt ? Sans doute pas. Nous pouvons
rechercher dans ces autres buts une explication historique, culturelle, peut-être
religieuse.
8. En somme la pensée religieuse fait partie des forces créatrices du droit,
telles que les a décrites le doyen G. Ripert23. Force créatrice qui a influé ou influe
sur les sources officielles du Droit. La pensée religieuse peut ainsi influencer le
droit sous diverses formes : que ce soit directement, en étant une source reconnue
de Droit (cas de l’Islam par exemple) ou, indirectement, en faisant partie de la
culture dans laquelle vont puiser pour créer le droit le législateur, les juges ou les
auteurs de doctrine.
9. L’influence de la pensée religieuse sur le législateur. Comme le
soulignait le doyen Ripert « le pouvoir politique ne fait pas des lois pour le plaisir
de manifester sa puissance. Il est la source de la loi, mais la source ne jaillit que
sous la pression des nappes d’eau souterraines qu’il est intéressant de
découvrir »24.
Force créatrice du droit, la morale religieuse, « fut-elle laïcisée » (cf.
supra) est prise en compte par le législateur. « Sans doute, dans l’état actuel de
notre civilisation, le christianisme a si profondément influencé les mœurs que le
législateur, soucieux de l’état de mœurs, fait respecter sans vouloir l’avouer, les
règles de la morale chrétienne »25.
Nous pouvons remarquer assez aisément que ce souci, entre autres forces
créatrices du droit, de considérations religieuses et morales n’est pas la
caractéristique commune de tous les législateurs. Comme le souligne le doyen
Beltrame, « l’adéquation culturelle des systèmes fiscaux des pays en voie de
développement est rarement considérée comme une condition de leur bonne
application et pourtant le phénomène fiscal est aussi culturel dans la mesure où il
implique une relation de pouvoir qui n’est acceptable que dans une vision globale
de la société. Ainsi, en Afrique, le pouvoir fiscal a des difficultés à se légitimer
dans la mesure où chaque gouvernement se contente « de reproduire un système
fiscal fondé sur le rationnel au milieu d’un peuple dont la culture fiscale intègre le
sacré » »26.
10. De même, l’influence de la pensée religieuse musulmane sur le droit
fiscal a diminué peu à peu sous l’influence de la colonisation. Dans le cas de
l’Algérie par exemple, si à l’origine le système fiscal des Beys constituait une
adaptation des préceptes religieux afin de permettre une acceptation populaire de
l’impôt27, la puissance colonisatrice a progressivement imposé un système fiscal
22
CARBONNIER (J.), id. , pp. 102-103.
Cf. ibid.
24
RIPERT (G.), ibid. , p. 80.
25
Ibid., p.173.
26
BELTRAME (P.), op. cit., pp. 28-29, la citation est tirée FOTSING (J.-B.), Le pouvoir fiscal en
Afrique. Essai sur la légitimité fiscale dans les états d’Afrique noire francophone, Paris, LGDJ,
1995, p. 291.
27
BOUDERBALA (M. A.), La réforme fiscale en Algérie, Thèse, Paris I, 2000, §. 3 et 4, pp. 8-11.
23
15
apte à faciliter son contrôle sur le pays 28. A son départ, au lieu de créer une
fiscalité qui lui soit adaptée, le pays a préféré reprendre le legs fiscal du
colonisateur29. Si bien qu’outre une prise en compte quasi nulle de la pensée
religieuse en la matière, la réforme du système fiscal algérien est passé par la mise
en place d’un système plus adapté au pays mais sur la base de principes puisés
dans la culture « moderne », scientifique et rationaliste du colonisateur.
Ainsi, bien loin d’influencer la législation fiscale moderne de certains pays
musulmans, la pensée religieuse en est vigoureusement écartée30. Le directeur
général des impôts algérien souligne ainsi dans sa thèse qu’il faut, pour
approfondir la réforme fiscale de 1991 « récuser l’argument religieux »31. Il
stigmatise le fait que « poussé « par la mouvance islamique », certains
parlementaires acquis à cette cause se sont mobilisés pour faire valoir par une
série d’amendements présentés à chaque occasion de la discussion des lois de
finances annuelles, la « zakkat » comme l’impôt par excellence et recueillir le
produit de cet impôt dans un compte d’affectation spéciale à créer. L’arrièrepensée, est que cet impôt institué par le Coran se substitue, petit à petit aux
impôts existants parce que illégaux et surtout illégitimes. Malgré les efforts
d’explications tirés du Coran lui-même, en ce sens que la « zakkat » ne concerne
que l’individu dans son rapport avec Dieu. L’Etat n’étant nullement impliqué,
c’est à l’individu de la distribuer aux personnes de son choix. A chaque occasion
qui lui est offerte, la mouvance islamique représentée au sein des institutions de
l’Etat, ne cesse de revendiquer l’application stricte de la chari’a (le Coran est la
seule source de la légitimité et de la légalité). Cette pression exercée, à travers
ces revendications, est de nature à retarder, voire à compromettre toute tentative
par ailleurs de mettre en place un système fiscal moderne. Le danger est d’autant
plus important si cette mouvance parvient à, petit à petit dans le cadre du
multipartisme, devenir majoritaire au parlement »32. On le voit, la pensée
religieuse écartée sans ménagement du traitement des questions fiscales cherche à
y pénétrer à nouveau.
11. L’influence de la pensée religieuse sur le juge. « Comme l’a traduit
l’école scientifique en France, et tout particulièrement Gény, le droit étatique, par
son caractère statique, ne peut exprimer que de manière imparfaite le sentiment
du droit qu’il faut laisser au juge le soin de compléter par l’observation
scientifique de la société »33. Si « le droit se dégage de l’observation des rapports
28
Ibid., §. 5 à 9, pp. 11- 14. Pour un premier exemple de cette démarche fiscale en Egypte par
BONAPARTE pendant l’expédition, cf. AMSELLE (J.-L.), Vers un multiculturalisme français –
L’empire de la coutume, Paris, GF-Flammarion, 2001, pp. 79-81.
29
Phénomène que l’on retrouve dans tous les pays colonisés : « A leur départ les colonisateurs
laissèrent le plus souvent aux administrations autochtones un système fiscal complexe, fait dans
l’intérêt de la métropole et adapté à son degré de développement. Les jeunes Etats», BELTRAME
(P.), op. cit. , p. 27.
30
C’est une question à examiner différemment pour des pays où la loi islamique, fondée sur la
charria, est exclusivement appliquée (selon O’BRIEN (J.) et PALMER (M.), il s’agit de la
Mauritanie, la Libye, la Jordanie, l’Arabie saoudite, le Yémen, l’Oman, Les Emirats arabes unis,
le Koweït, l’Iran et le Pakistan, Atlas des religions dans le Monde, Paris, Autrement, 2001, pp.
64-65).
Ces pays ne subissent
vraisemblablement
pas l’influence fiscale
occidentale rationaliste dans les mêmes proportions.
31
BOUDERBALA (M. A.), Thèse préc. , §. 514, p. 427.
32
Ibid.
33
ZENATI (F.), La jurisprudence, Paris, Dalloz, 1991, pp. 152 s.
16
humains, de laquelle peut être dégagé ce qui est sain, après qu’ait été éliminé ce
qui ne l’est pas »34, la pensée religieuse ayant sa part dans le substrat culturel dans
lequel baignent les rapports humains et devrait donc par ce biais être pris en
compte par le juge, y compris le juge fiscal. Ainsi quand le législateur semble peu
se soucier d’éléments moraux, « la règle morale a conservé son influence dans la
vie juridique en tant que le juge, appliquant des règles générales, a pu en diriger
l’application par des considérations de la bonne ou de la mauvaise foi, de la
fraude et de l’abus, du but immoral, de la conséquence injuste »35. C’est
évidemment surtout dans les matières juridiques qui sont les plus traitées par le
droit canon (c'est-à-dire essentiellement tout le droit relevant de la vie privée des
hommes : mariages, etc.) qu’ont été relevées les convictions religieuses des
juges36.
12. L’influence de la pensée religieuse sur la doctrine 37. Une partie des
auteurs de doctrine juridique ont des convictions religieuses qu’ils ont traduites
dans leurs propos et raisonnements juridiques. Et ce d’autant plus que l’Eglise
catholique par exemple continue à développer une véritable pensée juridique 38 et
incite très fortement ses fidèles juristes de profession à remplir une véritable
mission39. Nous pouvons ainsi citer les doyens M. Hauriou 40, Fr. Gény41, le
professeur M. Villey (pour les catholiques), le doyen J. Carbonnier 42 et le
professeur J. Ellul43 (pour les protestants). Nous pourrions penser que ces auteurs,
aussi illustres soient-ils, sont, de ce point de vue, avant tout les membres d’une
société encore très influencée par la religion. Influence qui a depuis fortement
déclinée comme le montrent les églises vides. Cependant il existe encore un
certain nombre d’auteurs de doctrine, et non des moindres, qui sont croyants et
donc susceptibles d’intégrer les éléments de leur foi dans leurs raisonnements
juridiques, et plus exactement dans leurs choix tenant à la justice. Et ceci qu’ils
soient ouvertement croyants ou non. Nous pouvons citer à ce propos le professeur
A. Sériaux. Dans son Introduction au droit, il se place directement sous
34
Ibid. p. 153.
RIPERT (G.), ibid. , p. 180.
36
Cf. par exemple ATIAS (C.), Les convictions religieuses dans la jurisprudence française en
matière de divorce, in ONORIO DI MÉO (J.-B. d’) (dir.), Religion et droit, op. cit., pp. 151-173.
37
Sur la notion de doctrine, cf. JESTAZ (P.) et JAMIN (Ch.), La Doctrine, Paris, Dalloz, Méthodes
du droit, 2004, 314 p.
38
Cf. ANDRÉ-VINCENT (Ph. I.), Les fondements du droit et la religion d’après les documents
pontificaux contemporains, in Dimensions religieuses du droit et notamment sur l’apport de
Saint Thomas d’Aquin, APD, tome XVIII, Paris, Sirey, 1973, pp. 149-164.
39
Cf. le discours d’ouverture d’O. cardinal ROSSI, La mission du juriste catholique. Discours
d’ouverture, in ONORIO DI MÉO (J.-B. d’) (dir.), op. cit. , pp. 17-23. Il précise très clairement que
« pour le juriste chrétien, il […] résulte une obligation de conscience. » (p. 21).
40
Voir, par exemple, sur l’aspect religieux des théories développées par le doyen HAURIOU,
BOUVIER (M.), L’Etat sans politique, Paris, LGDJ, 1986, pp. 177-194.
41
Sur la part des convictions religieuses du doyen GÉNY dans ses travaux juridiques, cf. ATIAS
(C.), Philosophie du droit, Thémis, Paris, PUF, 1999, pp. 101-102.
42
Cf. pour ses réflexions religieuses, CARBONNIER (J.), Coligny ou les sermons imaginaires :
lectures pour le protestantisme français d’aujourd’hui, Paris, PUF, 1982, 247 p. Sur
l’appartenance du Doyen CARBONNIER au « parti » protestant cf. ABEL (O.), Hommage à Jean
Carbonnier, La Croix, Mardi 25 novembre 2003, p. 26.
43
Cf. ELLUL (J.), Les fondements théologiques du droit, Neuchâtel, Paris, Delachaux et Niestlé,
Cahiers théologiques de l’actualité protestante, n°15/16, 1946, 112 p.
35
17
l’inspiration de J.-M. Escriva de Balaguer 44, « un des plus grands auteurs
spirituels du siècle »45, et ne cache pas la part des grands auteurs catholiques et
spécialement des pères de l’Église, dans sa vision du droit. Voilà pour le fond de
l’ouvrage. Mais sa culture religieuse n’est, semble-t-il, pas non plus absente de la
forme très particulière de l’œuvre. « Trois parties, trente trois chapitres, trois cent
trente-trois chapitres en numérotation continue…Déjà en sa forme, cette
introduction au droit se veut gageure et symbole. Autour du nombre 3, nombre
juridique par excellence (celui du triangle formé par le juge et les parties au
procès), […] »46. Certes mais c’est aussi et surtout, pour un esprit pieux, le
nombre de la Sainte trinité (le Père, le fils et le Saint Esprit).
Nous remarquons cependant que si le doyen Hauriou était un publiciste, le
doyen Gény et le professeur A. Sériaux sont d’éminents privatistes. La question se
pose de savoir si ces convictions religieuses touchent aussi des fiscalistes, réputés
pour leur réalisme, tout économique, peu sujet à la spéculation théologique 47. La
présence d’une notion comme celle d’impôt juste - très importante notamment
pour les théologiens – dans les écrits d’un fiscaliste éminemment célèbre comme
le doyen L. Trotabas, catholique déclaré, pourrait inciter à le penser 48.
13. Le droit fiscal, appartenant bien de ce point de vue au droit public et
plus précisément au domaine des finances publiques, est une science carrefour49.
Comme le droit en général et plus directement le droit public – du fait de son lien
avec les autorités publiques, gestionnaires si ce n’est détentrices de la
souveraineté et donc du pouvoir fiscal – il est lié avec la politique, avec l’Etat.
Comme le droit, il est aussi en phase avec l’économie – ses structures, ses stocks
et ses flux. G. Ardant l’a longuement étudié 50. Outre les lieux de rencontres
propres au droit et à la religion – rencontres pouvant donner une dimension
céleste aux impôts - le droit fiscal et la religion peuvent-ils se rencontrer par le
biais d’une certaine morale économique (d’une éthique économique aurait dit
Max Weber51) ?
II- PENSÉE RELIGIEUSE ET SYSTÈMES ÉCONOMIQUES
14. La théologie, par ses ambitions et ses questions sur le plan de la
transcendance, semble la matière la plus éloignée de l’économie. Il n’est d’ailleurs
Prêtre espagnol (1902-1975), fondateur, le 2 octobre 1928, de l’Opus Dei, canonisé le 6 octobre
2002.
45
SÉRIAUX (A.), op. cit. , p. 5.
46
Ibid. quatrième de couverture.
47
Même si un certain nombre d’auteurs de droit fiscal ont des convictions religieuses qu’ils
expriment.
48
Cf. sur cette question DELOT (D.), L’impôt juste dans la pensée du doyen Trotabas, RFFP, n°84,
2003, pp. 187-202.
49
L’expression, très heureuse, est celle de P.-M. GAUDEMET à propos des Finances publiques, cf.
(avec J. MOLINIER), Finances publiques, tome I, Budget et Trésor, 7e éd., Paris, Montchrestien,
1996, p. 20. Il utilise en fait l’expression de « discipline de carrefour », mais c’est celle, peutêtre plus élégante, de « science-carrefour » qui s’est couramment imposée dans la doctrine.
50
Cf. ARDANT (G.), Histoire de l’impôt, 2 vol., Paris, Fayard, 1972, 634 et 870 p.
51
« C’est, du reste, afin de mieux assurer [le] retour [de la morale dans le droit moderne], en
exorcisant tout soupçon de moralisme, que l’on tend de plus en plus à remplacer morale par
éthique (Max Weber avait déjà commencé). », CARBONNIER (J.), Morale et droit, art. préc., p. 5.
44
18
que de constater le caractère souvent très secondaire de l’économie dans les textes
religieux chrétiens (l’affirmation est moins pertinente en ce qui concerne les
autres religions du Livre : judaïsme et islam). Liée à des questions éminemment
matérielles et terrestres, l’économie semble peu touchée par la grâce. A cette quasi
complète indifférence polie, les auteurs économiques répondent le plus souvent
par un positivisme qui exclu les doctrines économiques religieuses qui, si elles
sont secondaires existent pourtant (les institutions religieuses n’ayant pu se passer
de toute incarnation terrestre et donc matérielle). Ainsi, en ce qui concerne la
place de la doctrine sociale de l’Eglise catholique dans la pensée économique,
certains l’excluent de l’analyse économique, c'est-à-dire « d’une véritable science
économique, consciente d’elle-même et de ses objectifs »52. Alors,
pourquoi l’étudier ? Et sous quel angle ? Si elle semble avant tout sensible à la
subsomption de règles économiques sous des principes religieux, les doctrines
économiques religieuses sont loin d’être indifférentes aux systèmes économiques
dans leur ensemble.
15. L’exemple le meilleur et le plus traditionnel de cette subordination des
analyses économiques religieuses aux principes théologiques reste sans conteste la
controverse historique autour de l’argent et partant du prêt à intérêt. On y observe
des prises de positions religieuses sur des questions très matérielles, et qui plus est
celles que Jésus avait refusé de traiter (cf. son refus de trancher une question
d’héritage, etc.). En l’espèce, l’analyse catholique reposait sur l’identification de
l’intérêt au prix du temps. Comme le Temps n’appartient qu’à Dieu, il était déduit
que l’intérêt ne pouvait qu’être prohibé puisqu’il s’agissait de l’accaparement par
le prêteur de ce qui appartient à Dieu. Cette interdiction catholique ne fut
cependant jamais respectée par les banquiers lombards et l’éclatement européen
de la Réforme acheva toute tentative sérieuse de faire respecter cet interdit
économico-religieux53.
16. Concernant les systèmes économiques eux-mêmes, la thèse de Max
Weber sur les liens entre L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme est en fait
la reprise de ce qui était devenu un lieu commun mais Weber procède à une
tentative, assez satisfaisante, d’explication sociologique non pas d’un rapport de
causalité déterministe – ce serait une erreur d’interprétation certes courante mais
scientifiquement complètement indéfendable – mais d’une certaine adéquation
entre les deux, observée sur des éléments de corrélation. En somme, c’est
simplement le constat que loin de l’avoir créé, le protestantisme a offert au
52
53
JESSUA (C.), Histoire de la théorie économique, Paris, PUF, Economie, 1991, p. 22.
Sur cette question, cf. par exemple, BARTHET (B.), S’enrichir en dormant. L’Argent et les
religions, Paris, DDB, 1998, 182 p. ; DANDINE (E.), Une dissertation théologique oubliée : De
l’usage licite de l’argent, Emmanuel Maignan et le prêt à intérêt (1673-1674). A la mémoire de
Paul Ourliac, RHDFE, 2004, n°4, pp. 613-655 ; LACOUE-LABARTHE (D.), Les doctrines
religieuses et les origines de la banque commerciale du XIIIe au XVIIIe siècle en Europe
occidentale, in Mélanges Jacques ELLUL, Paris, PUF, 1983, pp. 61-79 ; LE GOFF (M.), Du
Moulin et le prêt à intérêt. Le légiste. Son influence, [Bordeaux, 1905], Genève, Mégariotis
Reprints, 250 p. ; MARTIN (P.-E.), Calvin et le prêt à intérêt à Genève, in Mélanges d’Histoire
économique et sociale en hommage au professeur Anthony BABEL, tome 1er, Tribune de Genève,
1963, pp. 251-263 ; SCHNAPPER (B.), Les rentes chez les théologiens et les canonistes du XIIIe
au XVIe siècle, in Etudes d’Histoire du Droit canonique dédiées à Gabriel LE BRAS, Paris, Sirey,
1965, tome 2, pp. 965-995.
19
capitalisme un cadre intellectuel d’épanouissement assez adapté 54. D’un autre
côté, et parallèlement, nous avons pu noter des réticences catholiques face au
libéralisme. Ainsi, sur l’ensemble des questions économiques, la doctrine sociale
des papes n’est pas pleinement satisfaite du libéralisme économique, expression
d’une théorie philosophique qu’elle condamne depuis les XVIIIe et surtout XIXe
siècles.
17. Dans une perspective évolutionniste, les conséquences de la pensée
économique des religions pourraient être élargies à l’influence de la culture sur
l’état d’avancement économique, c’est à dire le « développement ». Certains
auteurs défendent même la primauté de la culture voir même de la religion pour
expliquer les différents niveaux de développement 55. Influence dont la primauté
est très vivement combattue par ailleurs 56. Certains auteurs peuvent cependant
reconnaître que certaines religions, ou plutôt pensées religieuses, peuvent avoir un
effet d’encouragement pour des évolutions économiques 57. L’erreur serait de faire
de l’élément culturel la cause de tout58. Nous remarquons aussi que cette
perspective évolutionniste est loin d’être inattaquable 59 et qu’il faudrait plutôt
reconnaître que chaque système social comprend notamment un système
juridique, un système économique et une sorte d’élément culturel. Chaque
système s’adaptant aux autres.
Le droit fiscal étant un droit de nature très économique, se pose alors plus
précisément la question de l’influence fiscale possible de la religion sur lui, par le
biais de ses racines juridiques et économiques.
III- INFLUENCÉ DE LA PENSÉE RELIGIEUSE SUR LE DROIT FISCAL
18. En droit fiscal plus qu’en tout autre, spécialement en France, la seule
source reconnue est la loi60. A la simple lecture de la Doctrine autorisée - et
malgré les remarques du doyen Fr. Gény sur le lien entre le Droit fiscal et le Droit
naturel sous la forme de la Justice fiscale, forme de la justice sociale 61 - la
54
Cf. la synthèse de la controverse en forme de défense de WEBER par BOUDON (R.), L’Ethique
protestante de Max Weber : le bilan de la discussion, in BOUDON (R.), Etudes sur les
sociologues classiques, Paris, PUF, 1998, pp. 55-92.
55
C’est la thèse défendue par COUPLET (X.) et HEUCHENNE (D.), Religions et développement,
Paris, Economica, 1998, 352 p.
56
Cf. par exemple l’article de SACHS (J.) : Il est trop facile d’accuser l’islam, Les Echos, 31
décembre 2001, p. 35. L’auteur y affirme, en illustrant une absence d’influence de l’Islam sur
l’état de développement économique de certains pays musulmans, que bien loin de freiner le
développement, « partout dans le monde, les cultures ont du s’ajuster aux changements
économiques et technologiques et au progrès scientifique des deux cents dernières années » et
« les différences culturelles sont souvent le résultat plutôt que la cause des différences de
développement économique ».
57
« La vérité tient au fait que certaines pratiques religieuses encouragent la modernisation
économique », ibid. Nous soulignons.
58
En fait « le développement économique est déterminé par de nombreux facteurs dont la
géographie, la politique, les relations internationales et la culture », ibid.
59
Cf. les développements que consacre ROULAND (N.) au sujet de l’évolutionnisme, notamment
juridique in L’anthropologie juridique, 2e éd. cor. , Que sais-je ?, Paris, PUF, 1995, p. 14 à 35 et
in Anthropologie juridique, Droit fondamental, Paris, PUF, 1988, §. 33 à 39.
60
VARNEROT (V.), Entre essentialisme et existentialisme…, art. précité, pp.143, 145 et 149-156.
61
« Comme toutes les autres disciplines juridiques, le droit fiscal a sa base essentielle dans une
20
Religion est d’office exclue de la fontaine fiscale. Cette tendance qui vise à
assurer avec le positivisme la pureté de la science fiscale peut néanmoins amener
à ignorer certains aspects de la fiscalité. Nous considérons que le positivisme
juridique, que nous revendiquons peut n’être pas exclusif d’une approche
complexe du droit financier. Nous adoptons ici la position du professeur G. Jèze pour qui étudier les finances publiques « comme des phénomènes complexes, avec
tous les facteurs qui les conditionnent … c’est le point de vue qui a mes
préférences »62 - conception aujourd’hui défendue notamment par le professeur
M. Bouvier 63. En somme, il s’agirait de contribuer à l’étude fouillée « de la prise
de décision financière »64 dans les sociétés complexes65.
Même si la réalité est moins simple, il est difficile de parler de la Religion
comme d’une source de Droit, sauf peut-être historiquement dans le cas très
particulier du traitement fiscal particulier réservé à l’Institution religieuse (cf.
infra). Par contre, nous pouvons envisager la pensée religieuse, entendue dans le
sens plus large précisé supra, comme étant un des affluents, sans doute pas le plus
imposant et sans doute souterrain, des multiples sources formelles et non
formelles66 du droit fiscal, révélées par Valérie Varnerot 67. Il faut alors se
demander comment la pensée religieuse peut modifier l’eau si pure, en théorie, de
la source fiscale ?
19. Si cette question n’est pas ordinaire, nous pouvons toutefois relever
que si « la conception « morale » du droit comme un ensemble de règles de
conduite ne convient pas au droit privé, elle peut trouver un appui dans la légalité
administrative, corps de règles dont l’objet est autant de guider l’action de
justice supérieure, correspondant à la notion de droit naturel, et qu’on peut, eu égard à son
caractère spécifique, qualifier du nom de « justice fiscale ». » GENY (F.), Le particularisme du
droit fiscal, in Mélanges en l’honneur du pr. R. CARRÉ DE MALBERG, Paris, Sirey, 1933, p. 807.
Le doyen F. GÉNY précise d’ailleurs aussitôt aux pages suivantes que la difficulté de saisir cette
justice fiscale a amené le renforcement de la compétence du pouvoir souverain et donc de la Loi
comme source du droit fiscal.
62
JÈZE (G.), Cours de finances publiques, Giard, 1925-1931, cité in BOUVIER (M.), Anthropologie
et finances publiques : réflexions sur la notion de sacrifice fiscal, RFFP, 1987, n° 17, p. 189.
63
« La science des finances publiques, entendue comme pluridisciplinaire par nécessité, et ayant
pour objet d’étude des phénomènes sociaux tout à la fois très politique et très techniques, oblige
à une confrontation polymorphe et permanente de la théorie et de la pratique. Elle implique
nécessairement de concevoir la recherche tout à la fois comme fondamentale et comme
appliquée. A condition d’accepter sa complexité et de concilier un sentiment d’incertitude qui
est commun à toutes les sciences avec une recherche éthique, la matière prend une toute autre
dimension que celle plus restreinte qu’on lui reconnaît généralement aujourd’hui. », BOUVIER
(M.), Tradition et modernité de la science des finances publiques, R.F.F.P., 1993, n°41, pp. 254267.
64
Etude qui fait partie des perspectives « non seulement pluri-disciplinaires, mais aussi pluriinstrumentales ou pluri-analytiques » suggérées par G. ORSONI, Misère de la théorie financière
(?), RFFP n°41, 1993, p. 249.
65
Cf. BELTRAME (P.), Complexité et rationalité du système financier français, in Etudes de
Finances publiques. Mélanges en l’honneur de M. le professeur Paul-Marie GAUDEMET, Paris,
Economica, 1984, pp. 33-43. Sur l’affirmation d’une « science du complexe », cf. ORSONI (G.),
Sciences et législation Financières, Paris, Economica, 2005, pp. 4-7.
66
On notera que la pensée religieuse ne peut être classée ni parmi les sources formelles, ni parmi
les sources matérielles, ou non formelles du Droit, fiscal ou pas. Seule la notion de force
créatrice du Droit semble la plus adaptée.
67
Entre essentialisme et existentialisme de la théorie des sources…, art. précité, pp. 139-195.
21
l’administration que de trancher ses litiges »68. Le droit fiscal étant un élément du
droit public, nous pourrions donc nous interroger sur la pertinence de cette
conception « morale » du droit à son égard. L’existence de liens entre le droit
public et la religion incite à explorer la question69.
20. Remonter à la source intellectuelle du choix d’une règle de droit
implique donc un travail d’historien qui pourrait sembler surprenant car peu
pertinent en droit fiscal. En effet, même si pour Fr. Terré, « il existe, à vrai dire,
des règles de droit dont on imagine mal les relations avec des commandements
religieux » (il cite à ce propos le code de la route non pas le CGI) 70, Norbert
Rouland note « qu’il y a plusieurs demeures dans la maison du droit. L’histoire
ne hante pas celle du spécialiste de la TVA. Mais elle peut être ailleurs
déterminante. »71 Même s’il se place dans une perspective utilitaire, nous pensons
que l’histoire hante aussi la demeure du fiscaliste et qu’en ces temps
d’harmonisation européenne, certes limitée, elle présente un intérêt pour qui veut
comprendre des systèmes fiscaux voisins mais différents avant d’envisager leur
rapprochement.
Si les systèmes fiscaux sont des mille-feuilles constitués par la succession
de mesures de gouvernements différents, nous cherchons ici à isoler et à étudier
les feuilles du gâteau qui ont, en quelque sorte, été trempées dans l’eau bénite. Or
ces feuilles ne sont pas toujours d’apparence canonique. Le carton d’information
que peuvent être les motifs affichés du législateur n’a pas toujours quelque chose
à voir avec la composition réelle. Il ne faut donc pas l’avaler sans discernement.
« Le texte est parfois précédé d’un exposé des motifs. Celui-ci est établi dans un
art apologétique. La loi est présentée comme une mesure nécessaire, imposée par
l’économie ou par les mœurs, acceptée à l’avance par l’opinion. Les véritables
motifs de la règle, les intérêts qu’elle satisfait, les passions qui l’inspirent, la
résistance qui s’est manifestée, la lutte qu’il a fallu soutenir, tout cela est
soigneusement caché sous quelques paragraphes qui en vantent la justice et
l’utilité »72.
21. Pour pasticher Gabriel de Lautrec, nous pourrions souligner que
l’influence de la pensée religieuse sur le droit fiscal « remonte à la plus haute
antiquité »73. Henri Marrou rapporte ainsi que sous Justinien, « la législation toute
entière [de l’empire romain d’orient] cherche à s’inspirer de l’esprit
évangélique »74. Après avoir défini l’objet sur lequel nous cherchons à apprécier
l’influence de la pensée religieuse, nous analyserons quel type d’influence il s’agit
et nous en tirerons les conséquences d’ordre méthodologique.
68
Ibid., p. 186.
Cf. MESTRE (J.-L.), Les racines canoniques du droit administratif français, in ONORIO (J.-B. d’)
(dir.), op. cit. , pp. 83-91, et DRAGO (R.), Religion et droit administratif, ibid. pp. 93-107.
70
TERRÉ (F.), Introduction générale au droit, 6e éd., Paris, Dalloz, 2003, p. 8.
71
ROULAND (N.), Introduction historique au droit, collection droit fondamental, Paris, PUF, 1998,
p.12.
72
RIPERT (G.), op. cit. , p. 81.
73
D’après FRÉMION (Y.), cet humoriste français, cousin oublié du peintre, serait l’auteur de la
formule. Cf. Fluide glacial, n° 307, janvier 2002, p. 22.
74
DANIÉLOU (J.) et MARROU (H.), tome 1 de ROGIER (L.-J.), AUBERT (R.), KNOWLES (M.D.) (dir.),
Nouvelle histoire de l’Eglise, Paris, Seuil, 1963, p. 437.
69
22
22. Les différents auteurs, en soulignant la nature économique de l’impôt
ont par la même précisé que le droit fiscal est avant tout influencé par des
considérations économiques. La pensée religieuse, si elle exerce une influence sur
le droit fiscal, est liée ici à la place que la pensée économique occupe. Pour tenter
d’identifier cette influence de la pensée religieuse sur le droit fiscal, le recours au
droit comparé semble un bon moyen. En effet il permettrait de faire ressortir ces
influences par le contraste susceptible de naître de la confrontation de droits
fiscaux aux dimensions religieuses différentes75. Plus largement que des droits
fiscaux, c’est donc sur les systèmes fiscaux dans leur ensemble - quatre ensembles
forment le droit fiscal : les textes, leur interprétation officielle, la pratique des
contribuables et de leurs conseils, enfin la jurisprudence fiscale76 - que nous
porterons notre attention.
Un système fiscal est un « ensemble, plus ou moins cohérent,
d’institutions, de règles et de pratiques fiscales » selon la définition qu’en donne
le doyen P. Beltrame77. S’il fait « incontestablement partie de notre univers
social, économique et même psychologique »78, il ne s’agit que d’un élément d’un
ensemble plus vaste, qui pourrait être qualifié de culture (d’une société), notion
que nous pouvons associer à « des habitudes, des attitudes largement
conditionnées par l’adhésion collective, consciente ou in consciente, à certaines
valeurs. La culture lato sensu se réfère ainsi aux croyances, comportements,
coutumes, langages et styles de vie qui caractérisent un peuple à un moment
donné, ou au cours d’une période déterminée »79. Notons d’ailleurs dès à présent
qu’un droit fiscal, et un système fiscal, ne constitue pas une fin en soi mais bien
un outil. Au contraire la pensée religieuse vise à définir des fins. Au sein d’un
ensemble culturel donné, nous pouvons donc considérer que logiquement, c’est la
pensée religieuse qui devrait influer sur le système fiscal. Reste à examiner cette
influence.
23. Loin de se limiter à l’étude d’influences directes du pouvoir
ecclésiastique sur la formation du droit fiscal80, le problème peut aussi bien être de
savoir si une culture religieuse a conditionné une approche théorique particulière
75
Sur les intérêts et les exigences du droit comparé cf. AGOSTINI (E.), Droit comparé, Paris, PUF,
1988, 339 p. ; DAVID (R.) et JAUFFRET-SPINOSI (C.), Les grands systèmes de droit
contemporain, 11e éd., Paris, Dalloz, 2002, 523 p. ; LEGEAIS (R.), Grands systèmes de droit
contemporains. Approche comparative, Paris, LITEC, 2004, 457 p. ; LEGRAND (P.), Le droit
comparé, Paris, PUF, 1999, 128 p. ; CARBONNIER (J.), L’apport du droit comparé à la sociologie
juridique, in Un siècle de droit comparé en France. Livre du centenaire de la société de
législation comparée (1869-1969), tome 1 : Les apports du droit comparé au droit positif
français, Paris, LGDJ, 1969, pp. 75-87 ; GAUDEMET (P. M.), Le droit financier comparé. Bilan
et perspectives, in id., pp. 223-229 et MEHL (L.), L’apport du droit comparé au droit fiscal
français, in id., pp. 231-255.
76
Cf. LANGERON (P.), La recherche en droit comparé, RRJ, 1996-4, p. 1103.
77
BELTRAME (P.), Les systèmes fiscaux, 3e éd. ref., Paris, PUF, 1997, p.3. Définition plus complète
que celle retenue « en première analyse » il est vrai par le même auteur en collaboration avec
MEHL (L.) (à savoir « l’ensemble des impôts institués dans un Etat ») dans leur Système fiscal
français, 6e éd. cor., Paris, PUF, 1997, p. 3. Pour des développements cf. des mêmes auteurs,
Technique, politique et institutions fiscales comparées, Thémis, Paris, PUF, 1997, pp. 71 s.
78
Ibid.
79
GRANIER (R.) (dir.), Culture et comportements économiques, Aix-en-Pce, PUAM, 2000, p. 7.
80
Sur les liens et les influences entre pouvoir juridique et pouvoir moral, cf. JESTAZ (P.), Pouvoir
juridique et pouvoir moral, RTDC, 89(4), 1990, pp. 625-638.
23
de l’impôt ou des éléments qu’il frappe - approche qui se retrouverait dans une
transcription juridique - ou bien si une culture religieuse a créé des conditions
économiques particulières qui ont elle-même engendré un type de système fiscal
adapté. On remarquera immédiatement que si étudier l’influence de la pensée
religieuse sur le droit fiscal est assez surprenant, ou plutôt inhabituel, c’est sans
doute du fait de la grande dépendance primordiale des systèmes fiscaux et donc
du droit fiscal à l’égard des systèmes économiques (ce qu’a brillamment montré
Gabriel Ardant). Se pose donc un problème supplémentaire à celui rencontré dans
les études plus traditionnelles traitant de l’influence de la religion sur le droit : en
filigrane transparaît l’influence de la religion sur les systèmes économiques. Nous
pourrions donc envisager, même si c’est peut-être essentiellement par le canal du
système économique, que la pensée religieuse peut influer sur le droit fiscal.
D’une façon générale, si « la difficulté de cette étude est qu’elle exige une
impartialité de jugement, dont nous ne sommes pas capables »81, il nous faut aussi
garder à l’esprit que « la recherche de l’influence qu’exerce la religion sur le
droit est un exercice fascinant mais difficile, car cette influence est
particulièrement complexe »82. D’autant plus complexe que « l’éducation
catholique que notre pays (la France) a reçue pendant dix-sept cents ans nous
laisse une empreinte absolue que nos yeux ne discernent pas toujours »83.
24. Cette influence de la religion sur la fiscalité peut être très variable. Elle
n’est pas toujours directe. Le cas du thé en Chine ancienne est sur ce point
éclairant. Dès les VIIe et VIe siècles avant notre ère, « sous forme d’aliment et/ou
de médicament, le thé est déjà soumis à l’impôt et, à ce titre, joue un rôle essentiel
dans l’histoire de la Chine »84. Or le bouddhisme va avoir de ce fait une influence
certaine sur les ressources fiscales de l’Empire en favorisant « sous la dynastie
Nanbei (420 à 589) […] la culture puis la distribution du thé. Les moines
[appréciant] les vertus stimulantes du thé pour la prière et la méditation »85.
Certes il s’agit ici plus d’une influence sur un produit soumis à l’impôt que sur le
droit fiscal lui-même. Mais la pensée religieuse (que l’on voit ici assez lointaine
d’une conception « plus occidentale ») a ici conforté un aspect du système fiscal
chinois de l’époque ce qui n’a pu que contribuer à le faire durer. Comme on le
voit ici, la pensée religieuse influence le droit fiscal sans doute essentiellement par
le biais de son influence sur l’économie qui peut avoir cette forme indirecte ou
bien avoir la forme plus directe de la pensée religieuse en matière économique,
qui est appelée « doctrine sociale de l’Eglise » en ce qui concerne le catholicisme.
Ceci ne peut que renforcer notre perception de l’impôt comme un fait
économique.
25. Elle n’est pas toujours efficace. Henri Marrou précise ainsi à propos
des réformes législatives sous Justinien, « qu’en fait les Byzantins ne réussiront
pas mieux que leurs devanciers à rendre plus humain le droit pénal ou la
81
RIPERT (G.), op. cit. , p. 83.
MALAURY (Ph.), notice relative à Roscoe POUND, dans son Anthologie de la pensée juridique,
2e édit., Paris, Cujas, 2001, p. 283.
83
QUINET (E.), Le Christianisme et la Révolution française (1845), in Œuvres complètes, Paris,
1857, p.269, cité in P. ROSANVALLON, op. cit. , p.165.
84
MANIL (C.) et ZBINDEN (M.), L’heure des thés, Paris, Hachette, collection Phare, 2000, p. 17.
85
Ibid.
82
24
fiscalité »86. En cela la pensée religieuse s’apparente à toute œuvre de l’esprit
humain, qu’il s’agisse d’un système philosophique, moral, idéologique, de
conceptions économiques, politiques. Elle ne peut être posée comme une source 87
sûre de règles de droit. Elle est en compétition permanente avec ces autres sources
d’inspiration de la règle de droit.
26. Enfin elle qui n’est pas toujours à sens unique, alors que comme nous
l’avons vu, la pure logique, qui assujetti les moyens aux fins, aurait voulu que
seule la pensée religieuse puisse influer sur le système fiscal. L’exemple de la
cashroute nous démontre le contraire. La relation de la Religion juive avec les
systèmes fiscaux est assez originale puisque par certains aspects, c’est sa propre
organisation pratique qui est influencée par le système fiscal du pays dans lequel
elle se situe. Ainsi, outre l’influence générale de l’organisation politique
centralisée du pays qui a amené en France à une centralisation du pouvoir
rabbinique de certification casher, « à fort taux de taxation indirecte correspond
une quasi-taxe sur la viande casher (cas de la France), alors que dans les Etats à
fort taux de taxation directe, accompagnée d’un traitement fiscal favorable aux
dons de charité, une telle taxe est négligeable (cas de la Grande-Bretagne, des
Etats-Unis) »88.
27. Pour pouvoir appréhender l’ensemble de ces relations, il convient de
bien préciser comment une pensée religieuse doit être entendue dans ses relations
avec un système fiscal. Compte tenu de ce qui précède, cette pensée religieuse
dont nous essayerons de déterminer l’influence sur le droit fiscal doit être
appréhendée/comprise aussi bien dans ses aspects purement théorique que dans
ses résonances dans la pratique réelle des fidèles. Pour prendre une référence
sociologique historique convenue, la démarche, plus complète, de Max Weber
sera préférée à celle de Ernst Troeltsch dont les écrits ne seront pas pour autant à
négliger89. La notion de pensée religieuse aura donc une acception plus large que
la seule doctrine des théologiens érudits dont les thèses ne sont pas toujours
retranscrites fidèlement par les pratiquants.
Les éléments précédents nous rappellent que la dimension religieuse du
droit est en concurrence avec nombre d’autres influences et que, ce qui constitue
une évidence, l’influence de la pensée religieuse sur le droit est d’autant plus forte
que celle-là est reconnue par le système institutionnel. Cet aspect pourrait
d’ailleurs amener à contester l’intérêt d’une recherche portant sur l’influence de la
pensée religieuse sur les systèmes fiscaux en Europe puisque qu’outre la France
dont l’Etat est séparé de l’Eglise depuis 1905, les pays d’Europe, dans leur
ensemble, ont un mode de production du droit « scientifique » c’est à dire laïc.
Cependant, comme nous l’avons vu, la diminution d’une influence sur la création
du droit ne signifie pas forcément sa disparition.
86
MARROU (H.), ibid.
Entendue ici au sens courant de source organique du droit.
88
BAUER (J.), Politique et religion, Paris, PUF, 1999, pp. 37-38. Cf. du même auteur, La
nourriture casher, Paris, PUF, 1996, 128 p. 51.
89
TROELTSCH « s’intéressait davantage aux doctrines religieuses, alors que [WEBER] met[ait]
quant à lui l’accent sur les effets pratiques des religions », KALINOWSKI (I.), Introduction à
L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, Champs Flammarion, 2000, p. 37.
87
25
28. Les contraintes d’une recherche doctorale ainsi que les sources
d’inspiration de notre problématique 90 conduisent a priori à concentrer l’analyse
sur une comparaison des seules religions chrétiennes de l’Europe de l’Ouest 91, à
savoir les pensées catholiques et protestantes. Les distinguer des autres religions
dans leur influence sur les systèmes fiscaux peut cependant sembler injustifié. De
plus, dans l’espace européen, la pensée « religieuse » pourrait recouvrir celle de
tout type de croyance, dont l’héritage juif, et y compris l’irréligion, la francmaçonnerie, les différentes sectes chrétiennes (quelles soient issues du
catholicisme ou du protestantisme) ou autres. Cependant, outre le caractère
relativement circonscrit dans l’espace et limité dans le temps de la diffusion de
certaines formes de croyance et d’incroyance précédemment invoquées 92, il faut
relever deux éléments qui plaide en faveur d’une étude plus particulière du
contraste entre pays catholique et pays protestants. Compte tenu de la nature duale
de la fiscalité, l’un de ses éléments est de nature juridique, l’autre de nature
économique.
Premièrement, la séparation de l’Occident chrétien lié à la Réforme
protestante présente un intérêt juridique particulier. En effet, comme le souligne le
professeur M. Villey, « la déchirure religieuse du XVIe siècle est riche
d’incidences sur le droit. Nous touchons même là une des clés de la science du
droit comparé. Le monde occidental se divise, depuis le XVIe siècle, en grandes
nations catholiques (L’Italie ; l’Espagne ; la France) et pays surtout protestants,
soit Luthériens (l’Allemagne ; les pays scandinaves), soit calvinistes (Pays-Bas ;
Suisse, une partie de la vallée du Rhin ; Ecosse, une partie des Etats-Unis). Ils
n’ont pas la même manière de penser le droit. On projetterait beaucoup de
lumière sur les systèmes juridiques comparés de ces divers pays, si l’on arrivait à
déceler ce qu’impliquent la luthérianisme, le calvinisme, etc., en fait de principes
du droit. »93 Il faut cependant être prudent, car « dresser le tableau [complet] de
ces influences religieuses serait une entreprise immense et qui ne peut être la
nôtre»94. En effet, « la carte religieuse de l’Europe à partir du XVI e siècle est
chose immensément complexe. On y marquerait non seulement les grandes
confessions religieuses que nous venons de citer mais encore énormément
d’autres car, à partir du XVIe siècle, églises et sectes chrétiennes ont proliféré. »95
Cela va donc nous amener à une certaine simplification qui s’explique en partie
par l’incontestable influence forte et durable des principaux réformateurs sur les
esprits juridiques des états de leurs sphères d’influence respectives 96.
Deuxièmement, il faut noter que malgré des structures économiques
comparables mais aussi des systèmes fiscaux relativement proches, des
divergences de structure fiscale peuvent être relevées au sein des pays
industrialisés d’Europe. Plus que la variation parfois sensible du niveau des
90
Notamment les travaux de Max WEBER, de Bernard GRŒTHUYSEN, de Günter SCHMÖLDERS, de
Gabriel ARDANT, de Pierre BELTRAME.
91
Mais pas à se limiter à la France, malgré les facilités pratiques qui plaideraient en ce sens. Sur
les intérêts du droit comparé cf. supra.
92
Cette remarque n’est pas valable pour la religion juive dont l’influence s’est fait sentir à travers
les confessions chrétiennes.
93
VILLEY (M.), La formation de la pensée juridique moderne, Paris, PUF, 2003, p. 279.
94
Id.
95
Ibid., pp. 279-280.
96
Cf. les développements du professeur VILLEY, Ibid., pp. 280-281.
26
prélèvements obligatoires, c’est la variation de la part respective de chaque type
de prélèvement (sur le revenu, sur la dépense ou cotisations sociales) dans ces
systèmes qui doit être soulignée. Les pays « d’Europe du Sud » dont la fiscalité
est plutôt axée sur la dépense, sont parfois schématiquement opposés à ceux
« d’Europe du Nord », où le poids des impôts sur le revenu est beaucoup plus
important. Compte tenu de la prudence que nous devons observer au sujet des
déterminants socio-culturels des politiques fiscales, il est essentiel de ne procéder
à la comparaison de l’influence de deux religions dans un cadre économique qui
soit le plus homogène possible, puisque nous partons du principe que, pour durer,
un système fiscal est avant tout adapté au système économique sur lequel il
repose. Sans ignorer que l’homogénéité des systèmes économiques européens,
pour être parfois considérée comme récente, n’est pas absolue, nous pouvons
raisonnablement estimer qu’elle permet une limitation relativement satisfaisante
des risques d’interférences économiques dans le processus culturel étudié. Nous
ajoutons à cela que, plus largement, nous nous plaçons dans la perspective des
travaux sociologiques de H. Mendras et d’E. Todd (notamment) qui ont analysé
l’identité propre à la seule l’Europe occidentale97.
29. Au-delà des explications socio-économiques, mises notamment en
évidences par les travaux de Gabriel Ardant soulignant l’adaptation des systèmes
fiscaux à la structure économique de leurs pays 98, nous pouvons en rechercher une
origine culturelle (voire cultuelle) et remarquer avec le doyen P. Beltrame que les
pays « d’Europe du sud », ne sont pas seulement des pays latins (puisqu’on peut y
rattacher l’Irlande qui n’est pas latine mais correspond appartient au groupe des
nations occidentales moins développées), ni seulement des « économies
occidentales moins développées » (puisqu’on y trouve aussi la France), « mais
bien les filles de l’Eglise apostolique et romaine qui pendant des siècles a opposé
une résistance farouche à l’idéologie capitaliste »99. Cette résistance catholique
au capitalisme moderne est, par exemple, soulignée par Léon Blum : « Pourquoi
la bourgeoisie française a-t-elle montré cette incapacité d’acclimatation qui la
fait dépérir, alors que dans d’autres secteurs de la classe bourgeoise, dans les
pays anglo-saxons par exemple, on trouvait moyen sans trop de peine d’ajuster le
comportement moral au progrès de l’évolution économique ? Le contraste tient
peut-être à la différence des types nationaux, sans doute aussi à l’importance que
certains éléments religieux ont conservé dans la formation et dans l’éducation de
97
Cf. MENDRAS (H.), L’Europe des européens. Sociologie de l’Europe occidentale, Paris,
Gallimard, Folio, 1997, 417 p. et TODD (E.), L’invention de l’Europe, Paris, Seuil, 1990, 542 p.
Ce dernier précise d’ailleurs que sa « définition implicite de la communauté historique
européenne n’est pas économique mais religieuse. C’est l’ensemble du monde structuré, dès le
XVIe siècle, par la polarité catholicisme/protestantisme qu’il s’agit de comprendre, dans son
développement culturel, industriel et idéologique. », p. 11.
98
G. ARDANT n’est bien sûr pas le seul auteur. Son ouvrage de référence (l’Histoire de l’impôt,
précitée) est néanmoins une étude historique systématique sur la question et mérite qu’on y
renvoie expressément. Sur cette question des liens des systèmes fiscaux avec leurs systèmes
économiques, le professeur J.-Cl. MARTINEZ, dans sa thèse, renvoie notamment à H. BROCHIER,
Structures nationales et Systèmes fiscaux, RSLF, 1952, p. 171 ; P. LALUMIÈRE, Les cadres
sociaux de la connaissance financière, RSF, 1963, p. 30 ; Rapports entre structures des systèmes
fiscaux et développement économique dans les pays en voie de développement, CDFI, 1968,
vol. 53 a ; etc. Cf. Le statut de contribuable. Volume 1, Paris, LGDJ, 1980, note 122, p. 319.
99
BELTRAME (P.), Les systèmes fiscaux, op. cit. , p. 18.
27
la bourgeoisie anglo-saxonne »100. Cet aspect pourrait expliquer, avec la
survivance de structures économiques préindustrielles, les freins au
développement des impôts sur le revenu dans ces pays d’influence catholique.
Cette distinction religieuse a été adoptée par R. Villers dans son Histoire
comparée des finances publiques européennes101. Mais là où il n’a qu’esquissé les
explications102 des divergences financières constatées, nous nous proposons de les
approfondir.
30. La question se pose alors de la nature de cette étude. Son champ
s’étend au-delà de l’analyse strictement positiviste de questions juridiques. Il
s’agit d’une étude de systémique fiscale. Cette matière relève en France, pour les
raisons historiques de développement de la matière des Finances publiques au sein
des Facultés de droit plutôt que chez les seuls économistes 103, du droit public. De
même que les systèmes juridiques sont classés selon les modèles historiques dont
ils perpétuent l’héritage104 (des modèles qui sont aussi culturels), les systèmes
fiscaux ne sont pas répartis selon des critères purement juridiques. Assis sur des
réalités économiques, la distinction fondamentale sépare les systèmes fiscaux des
pays développés (sur lesquels cette étude est concentrée) et ceux des pays en
développement (la troisième catégorie des économies socialistes ayant quasiment
disparue). Cette étude vise à analyser les systèmes fiscaux d’une partie des pays
développés mais il ne s’agit pas pour autant d’une étude purement économique. Si
elle partage des méthodes d’analyse libérale (fondée sur l’individualisme
méthodologique) communes aux sciences économiques, elle ne consiste pas en
une analyse limitée aux systèmes économiques européens. De même, l’utilisation
de méthodes et d’analyses sociologiques n’en fait pas un pur travail de
sociologue. La maîtrise des concepts et des méthodes sociologiques est ici
beaucoup trop imparfaite105. Il n’en demeure pas moins que son champ d’étude
trouve largement celui de la sociologie de l’impôt 106. Enfin, bien que des analyses
100
BLUM (L.), A l’échelle humaine, 38e éd., Paris, Gallimard, 1945, pp. 87-88.
VILLERS (R.), Cours d’histoire des institutions politiques. Histoire comparée des finances
publiques européennes aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, Les Cours de Droit, 1962, 284 p.
102
Explications qui sont multiples mais c’est la divergence religieuse qu’il retient pour structurer
sa présentation. Cf. id., pp. 16-24, pp. 28-29 et pp. 51-54.
103
Choix opéré par la plupart des écoles étrangères de Finances publiques à la fin du XX e et au
début du XXe siècles : en Allemagne avec Adolf WAGNER, aux Etats-Unis avec Erwin R. A.
SELIGMAN, en Italie avec Luigi EINAUDI…
104
On distingue traditionnellement les systèmes de droit romano-germanique, de common law,
musulman, hindou, chinois, japonais, etc.
105
Ce n’est d’ailleurs qu’une illustration de la difficulté de nouer le dialogue entre deux
disciplines. Comme le remarque le sociologue belge Cl. JAVEAU, « Le droit est-il dès lors
soluble dans la sociologie ? Certes non, et l’inverse est tout aussi faux. Les deux disciplines
trouveraient grand avantage à mieux se connaître et à se fréquenter plus souvent. Au
dogmatisme faisant écho à un autre dogmatisme, il conviendrait de substituer une tolérance
faisant écho à une autre tolérance. Pour connaître un peu les juristes et beaucoup les
sociologues, je serai d’avis que ce ne sera pas là tâche aisée. », art. précité, pp. 25-26.
106
La sociologie de l’impôt se rattache d’ailleurs historiquement à la sphère économique. Cf. les
économistes germaniques GOLSCHEID (R.) (1870-1913) et SCHUMPETER (J. A.), La crise de l’Etat
fiscal, in Impérialisme et classes sociales, Paris, Flammarion, 1984, pp. 229-282 ; Sur l’histoire
de la sociologie fiscale, cf. CUSIN (F.) et BENAMOUZIG (D.), Economie et sociologie, Paris, PUF,
2004, pp. 330-336 ; SWEDBERG (R.), Une histoire de la sociologie économique, Paris, Desclée de
Brouwer, 1994, p. 169 ; TRIGILIA (C.), Sociologie économique, Etat, marché et société dans le
capitalisme moderne, Paris, A. Colin, 2002, pp. 100-108. En France, si P.-L. REYNAUD et H.
101
28
historiques viennent souvent appuyer les propos ici tenus – démarche qui est celle
de Gabriel Ardant et que le professeur M. Leroy considère comme « une des
meilleures voies de la sociologie fiscale »107 - il ne s’agit pas d’un travail
d’historien au sens scientifique du terme (L’utilisation de textes de seconde main
y est beaucoup trop importante). En somme il s’agit d’une étude appuyée sur des
apports pluridisciplinaires mais qui est bien juridique : par la méthode employée
(l’individualisme méthodologique), par son sujet (l’étude des systèmes juridiques
européens et plus particulièrement des systèmes juridiques fiscaux, à savoir leurs
phénomènes, leurs techniques, leurs institutions et leurs politiques), et enfin par
son but : proposer une distinction typologique supplémentaire au sein de la
catégorie des « fiscalités développées » (taxinomie certes limitée ici au sousensemble des pays européens de l’Ouest). Typologie de type « culturelle » que
nous voulons complémentaire de la typologie fiscale fondamentale qui est
économique comme nous venons de le voir. Nous espérons montrer que cette
« typologie n’est pas une fin en soi [et que] l’ordre artificiel qu’elle introduit dans
le réel doit permettre de l’expliquer voire d’extrapoler son évolution »108,
notamment sur le plan de la politique d’harmonisation fiscale européenne.
Une
précision
sur
la
méthode
employée (l’individualisme
méthodologique) : elle consiste simplement à envisager les êtres humains qui
composent des systèmes juridiques (citoyens-contribuables, législateurs, juges,
fonctionnaires des impôts) « comme rationnels, comme obéissants à la
psychologie ordinaire »109. Les individus ici étudiés (les institutions étant
composées d’individus), sont responsables de leur comportement et de la façon
dont ils peuvent orienter leur environnement social. Les méthodes des théories
inverses, liées à la mise en valeur de mystérieuses structures sociales qui
contraindraient obligatoirement l’action des individus, nous auraient amenés sur
des considérations qui ne relèverait plus du droit positif 110, mais quasiment de la
métaphysique. Or, il n’est pas question ici de théologie. Il ne s’agit pas de
déterminer un « droit naturel » fiscal, mais d’analyser les influences théologiques
sur la conception de problèmes juridiques. En somme si nous faisons ici référence
à des pays catholiques et d’autres protestants, cela ne signifie en rien qu’il
existerait des pays et des peuples qui par essence obéiraient à des impératifs
inconscients immuables. Bien au contraire il s’agit simplement d’identifier des
pays dont l’histoire, les choix individuels en matière politique, religieuse, etc.,
peuvent être, sur certains aspects (qui nous intéressent ici), distingués selon qu’ils
appartiennent à une tradition liée au catholicisme ou à une autre liée au
protestantisme 111. Il n’existe donc pas d’identités nationales autres que celles
LAUFENBURGER l’ont plutôt associé à l’analyse économique de l’impôt, G. ARDANT, J. DUBERGÉ
(cf. Impôt (Sociologie de l’), E. Universalis, 14e publ., Paris, fév. 1979, Vol. 8, pp. 757-759.), et
actuellement, M. LEROY, la développent plutôt dans une perspective juridico-politique.
107
LEROY (M.), La sociologie de l’impôt, Paris, PUF, Que sais-je ? , 2002, p. 8.
108
BELTRAME (P.), id., p. 5.
109
BOUDON (R.), Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme, Paris, O. Jacob, 2004, p.
24. Cf. également, du même auteur, La logique du social. Introduction à l’analyse sociologique,
[Hachette, 1979, 2e éd. 1983] Paris, Hachette Littératures, Pluriel, rééd. 2001, 313 p.
110
Bien que cette étude ne puisse pas prétendre au positivisme le plus pur puisque « la
comparaison juridique doit nécessairement être antipositiviste. » selon CASSESE (S.), La
construction du droit administratif. France et Royaume-Uni, Paris, Montchrestien, 2000, p. 20.
111
Pour prendre un exemple analysé infra (2nde partie, Titre I, chapitre 2), quand on observe à la
suite de M. COZIAN que les parlementaires français s’octroient des privilèges fiscaux, il ne s’agit
29
découlant des contingences historiques, géographiques, politiques et économiques
dans le cadre desquels les habitants ont fait des choix. L’influence de ces choix
historiques peut être visible plus ou moins longtemps mais ils ne sont jamais
totalement immuables. D’autant plus qu’en ce qui concerne les questions
culturelles ici étudiées, la perte d’influence des ces traditions sociales est
facilement observable à travers les différentes manifestations de la sécularisation
des Etats.
31. En somme, il s’agit d’un travail de droit fiscal comparé qui s’appuie
sur des éléments qui relèvent de l’économie, de la sociologie juridique, de
l’histoire des institutions et des idées fiscales mais aussi « de la psychologie
historique [fiscale] puisqu’il cherche à atteindre, à tous les étages de la culture
[européenne] et dans les divers types d’œuvre où elle se trouve engagée, une […]
catégorie de l’esprit, liée à des conditions de lieu et de temps à préciser son mode
d’organisation et d’action, la série des procédés suivant lesquels elle opère, les
règles logiques implicites auxquelles elle obéit. »112 Mais là où M. Detienne et J.P. Vernant, ne pouvant pas faire une histoire des idées faute de formulation
explicite, de traité, de philosophie portant sur la mètis, parlent bien de catégorie
mentale et non de notion, nous n’adoptons pas cette limite. Simplement, nous
entendons faire affleurer, derrière la notion d’impôt dans les sociétés d’Europe de
l’Ouest, la psychologie religieuse qu’elle suscite. Nous notons ici que cette
approche de l’influence de la pensée religieuse sur les systèmes fiscaux européens
est double en ce qu’elle ajoute à l’influence directe, qui ne peut manquer d’être
soulignée, une influence plus indirecte.
1/ La prise en compte officielle de la religion par les systèmes fiscaux
européens
32. Il s’agit ici de la prise en compte fiscale du phénomène religieux par les
systèmes fiscaux européens. Prise en compte qui s’apparente à ce que nous
pouvons voir pour les autres pensées religieuses. Il s’agit tout simplement du
statut fiscal privilégié des religions qui s’explique vraisemblablement par le
caractère sacré attaché à ces groupements. En effet, le droit canonique consacre le
droit pour l’Eglise catholique d’acquérir des biens à la condition que ce soit par
« tout moyen juste »113. Cette distinction par rapport au commun des mortels
pas d’y deviner l’expression fiscale de l’oppression de la classe dominante sur la classe
dominée, mais simplement d’observer que la justification avancée à cette démarche
complètement rationnelle (l’intérêt financier des intéressés étant évident) relèvent des mêmes
schémas explicatifs employés par le premier et le deuxième état (respectivement le Clergé et la
Noblesse) sous l’Ancien Régime, et donc qu’on peut y reconnaître un recours à des théories
explicatives traditionnelles, à même de faciliter l’acceptation de ces mesures par ceux qui n’en
bénéficient pas et même par ceux qui en bénéficient et qui ne se considèrent donc pas
(soulagement moral) comme des privilégiés.
112
DETIENNE (M.) et VERNANT (J.-P.), Les ruses de l’intelligence. La mètis des Grecs, 2e éd.,
Paris, GF-Flammarion, 2002, p. 9. Cette définition de la psychologie historique y concerne bien
sûr la culture grecque et il y qualifie cette catégorie mentale grecque qu’est la mètis de grande,
qualificatif que nous ne pensons pas pouvoir appliquer à l’impôt dans la mentalité européenne et
spécialement sa mentalité religieuse.
113
SÉRIAUX (A.), Droit canonique, collection Droit fondamental, Paris, PUF, 1996, p. 659.
30
serait-elle à l’origine du traitement fiscal privilégié des biens ecclésiastiques ?114
Plusieurs travaux ont été consacrés à ce régime particulier 115. Si son étude
présente un intérêt, ce n’est sans doute pas dans une perspective européanocomparatiste. En effet, nous remarquerons assez vite que tous les systèmes fiscaux
européens sans exceptions connaissent de telles dérogations, à des degrés certes
divers116. La seule particularité (et non divergence) est l’existence dans quelques
pays (Allemagne, Espagne et l’Italie selon des modalités particulières : un
pourcentage de l’impôt sur le revenu) d’un impôt destiné à financer la ou les
Eglises. L’essentiel restant ce statut fiscal dérogatoire en matière religieuse avec
déduction des donc religieux, régimes d’impositions des biens cultuels
spécifiques, etc.
33. Si tous les pays sont de plus en plus libéraux dans la reconnaissance des
religions, il convient de remarquer deux choses.
D’abord le lien direct entre l’Etat et la religion dans les pays catholiques
reste très fort. Espagne, Italie, Autriche : c’est essentiellement la religion
catholique qui bénéficie des subsides de l’Etat. Au contraire, la Belgique présente
une situation inverse. Et le cas de la France, loin d’être celui d’une ignorance
mutuelle117, est d’une remarquable hypocrisie. La République ne subventionne
pas les cultes (sauf le cas particulier de l’Alsace-Moselle où le concordat
napoléonien continue de s’appliquer). Mais l’Eglise catholique bénéficie
principalement des subventions publiques de deux manières. Ayant refusé de se
constituer en association cultuelle lors de la séparation de 1905, l’Eglise
catholique ne possède pas les églises de France qui sont restées à la charge des
collectivités françaises mais qu’elle continue à occuper. Qui plus est, les lois
régissant l’enseignement privé favorisent les subventions publiques (depuis les
Lois Debré et la création des établissements sous contrat) à l’égard d’un milieu
scolaire très largement confessionnel. Cette situation n’a d’ailleurs rien de
fortuite. La volonté d’apaisement des années 20 a amené l’Etat à accepter
sciemment cette situation et la volonté du Général De Gaulle, catholique, de
poursuivre en ce sens, a amené son gouvernement à renforcer cette situation.
Ensuite, la lecture de la note de législation comparée du Sénat consacrée au
financement des communautés religieuses 118 amène à la conclusion suivante : plus
qu’entre catholiques et protestants, la frontière en matière de financement des
religions permet de distinguer schématiquement un groupe d’États où la religion
principale est favorisée, et un autre groupe où le financement, s’il existe, est
beaucoup plus large. Le premier groupe comprend les pays catholiques (Autriche,
114
Leur inclusion dans la catégorie moins spécifique des associations sans but lucratif, voire
d’utilité publique, souligne le maintien d’une distinction (d’une supériorité morale ?) par rapport
aux activités communes lucratives.
115
Cf. notamment la thèse de GUEYDAN (J.), Fiscalité et religions, Université de Strasbourg II,
1990 dont a été tirée matière à l’ouvrage de GUEYDAN (J.), DELSOL (X.) et DESJONQUIÈRES (P.),
Cultes et religions, Impôts et charge sociale, Editions Juris-service, diff. LGDJ, 1991, 270 p.
116
Cf. MESSNER (Fr.), Les relations Etats-religions dans les pays membres de l’Union européenne,
in Religions, droit et sociétés dans l’europe communautaire, Actes du XIIIème colloque de
l’Institut de Droit et d’Histoire Religieuse (IDHR), Aix-en-Pce, PUAM, 2000, pp. 31-47.
117
Il n’est que de voir le volume MESSNER (Fr.), PRÉLOT (P.-H.) et WŒHRLING (J.-M.), Traité de
droit français des religions, Paris, LITEC, 2003, XVII-1317 p.
118
Service des affaires européennes, Division des études de législation comparée, Le financement
des communautés religieuses, n° LC 93, septembre 2001, 55 p.
31
Espagne, France, Irlande, Italie, mais pas la Belgique) et les pays luthériens
(Finlande, Norvège, Suède, et surtout Danemark). Le second regroupe les pays
calvinistes (Angleterre119, Pays-Bas) ainsi que la Belgique (catholique) et
l’Allemagne (plutôt luthérienne mais avec une forte présence catholique et
calviniste).
Distinguer les pays de culture catholique des pays de culture protestante ne
présente qu’un intérêt, somme toute, assez limité. Il n’en va pas de même en ce
qui concerne l’influence plus indirecte de la pensée religieuse sur les systèmes
fiscaux dans leur construction d’ensemble.
2/ La prise en compte officieuse de la pensée religieuse par les systèmes
fiscaux européens
34. On cherche ici à apprécier si la pensée religieuse est à l’origine d’une
« ligne de force »120 qui sous-tendrait les systèmes fiscaux européens. Chaque
type de système, selon qu’il est d’inspiration catholique ou réformée, aurait une
ligne de force particulière correspondant à l’approche qu’a sa pensée religieuse de
référence de l’impôt et surtout du système économique sur lequel il s’articule 121.
Si Jean Schmitt traite des lignes de force du système fiscal français contemporain,
qu’il définit comme « les principes que les historiens du futur essaieront de
redécouvrir pour comprendre et expliquer notre fiscalité actuelle », nous allons
essayer de nous faire, outre fiscaliste comparatiste, historien moderne et de
rechercher un principe d’origine particulière (religieuse) qui a, de façon
relativement indirecte, présidé à la structuration des systèmes fiscaux européens.
Notons que seule une étude de droit fiscal comparé est susceptible, par un jeu de
contraste de faire rejaillir une telle « ligne de force ».
***
35. Une difficulté d’ordre pratique se pose. L’objet de cette thèse se
résume donc à rechercher l’existence ou non d’une pensée religieuse catholique et
protestante en matière économique et/ou (donc) fiscale et sa répercussion sur les
systèmes fiscaux de leur ère d’influence culturelle. Nous pouvions donc envisager
L’Angleterre a certes une Eglise originale, en ce qu’à l’origine elle ne fut qu’une Eglise
catholique « nationalisée », si l’on peut dire, ou plutôt, rattachée directement au roi et séparée du
pape. Mais avec l’évolution des événements, et notamment l’influence de théoriciens calvinistes
pendant le règne d’Elisabeth 1ère, l’église Anglicane a maintenu une ecclésiologie de type
catholique (hiérarchie et déroulement du culte), mais adopté une théologie calviniste. Si bien que
E. G. LÉONARD a pu dire que « en Angleterre, c’était la théologie de Calvin qui avait triomphé,
mais non point ses vues ecclésiastiques [alors que] L’Ecosse fut pour le calvinisme un succès
encore plus accusé, car elle en adopta l’ecclésiologie et la discipline autant que la
dogmatique. », Histoire générale du protestantisme, vol. II, Paris, PUF, 1988, p. 62. De ce fait,
l’anglicanisme occupe dans nos réflexions, spécifiquement, un rôle assez réduit.
120
Selon la notion développée par J. SCHMIDT dans L’impôt, 2e éd., Paris, Dalloz, 1995, p. 5.
121
On peut en effet dégager pour des questions méthodiques, deux types d’influence de la pensée
religieuse sur le droit fiscal. Premièrement, l’influence exercée directement par les réflexions
des théologiens sur la notion même d’impôt et donc les conséquences qui en sont tirées dans la
pratique sur la conception d’un système fiscal. Deuxièmement, l’influence exercée
indirectement par les conséquences, parfois involontaire chez les auteurs, d’une éthique
particulière sur l’appréhension pratique par les fidèles de la réalité économique, réalité à laquelle
les systèmes fiscaux cherchent – dans les pays développés – à s’adapter.
119
32
soit un plan en deux parties traitant l’une de la pensée religieuse catholique et
protestante en matière fiscale et l’autre de leur éventuelle transcription juridique,
soit un plan plus dynamique, toujours en deux parties, traitant d’abord des
influences des doctrines fiscales religieuses sur les politiques fiscales puis sur les
structures des systèmes fiscaux. Cette seconde approche aurait permis de mieux
apprécier l’élément essentiel de cette étude, à savoir le caractère en fait
essentiellement structurel de l’influence étudiée. En effet, c’est avant tout la
grande stabilité des structures des systèmes fiscaux européens qui révèle leurs
aspects culturels, plus exactement religieux. La nécessité de procéder
préalablement à l’étude approfondie des origines et des formes des doctrines
fiscales chrétienne interdisait cependant de privilégier une approche dynamique
comme summa divisio. Elle est cependant utilisée dans la seconde partie, après
une première partie théorique plus analytique.
36. Le catholicisme et le protestantisme ont tous deux développé une sorte
de vision de l’impôt. Cette « théologie » de l’impôt découle soit d’une approche
directe de la question fiscale au travers des devoirs du croyant, soit (c’est le plus
important) de considérations de nature politiques et/ou économiques. Ces
éléments expliquent pour une large part la façon dont l’impôt est considéré, avec
de très importantes nuances, par ces deux religions. Cette pensée religieuse fiscale
ne saurait se simplifier en une formule générale comme « le catholicisme s’oppose
à l’impôt et le protestantisme l’approuve ». La réalité est beaucoup plus complexe.
Chaque religion intègre cette question à la poursuite d’une fin qui lui est propre. Il
ne s’agit pas d’être pour ou contre mais de répondre à la question « pourquoi » ? Il
en résulte un certain nombre de conséquences dans la mentalité fiscale des
populations concernées qui entraîne un traitement particulier de la chose fiscale
dans le système juridique concerné.
37. Si nous pouvons observer les résurgences des conceptions chrétiennes
de l’impôt dans les techniques fiscales européennes, les pensées développées par
le Catholicisme et par la Réforme touchant l’impôt ne se limitent pas aux objectifs
de politique fiscale. Elles sont essentiellement la conséquence de réflexions sur la
politique et sur l’économie. Nous verrons d’ailleurs que ces deux optiques
(politiques et économiques) se conjuguent en fait dans une même vision du
monde. Et que c’est de cette vision que découlent les structures des systèmes
fiscaux étudiés. Structures qui, nous le rappelons encore, sont aussi – et avant tout
– modelées par des considérations géographiques, économiques, etc. aussi bien
que culturelles. L’Irlande a ainsi fait un choix de politique économique en se
constituant en zone de basse pression fiscale afin d’attirer les capitaux –
notamment américains – nécessaires à son développement. Ces contingences
historiques inévitables n’interdisent pas toute systématisation. Il est nécessaire de
passer par la méthode wébérienne des idéaux-types. Ceux-ci ne correspondent
qu’à une idée de la réalité, à des modèles quasiment purs, des modèles de
référence. Ces modèles n’existent bien sûr pas dans la réalité de façon exacte.
Nous trouverons toujours des contre-exemples aux grandes lignes du schéma
général. Chaque pays a un système fiscal résultant d’une accumulation de strates
historiques liées à des raisons politiques (notamment le rôle des conflits dans la
modification des systèmes de prélèvement), économiques ou autre (géographiques
par exemple pour les îles : cf. Islande). Mais deux idéaux-types demeurent
33
derrière les systèmes fiscaux comparés : un idéal-type de fiscalité catholique et un
idéal-type de fiscalité protestante (la méthodologie de la définition de ces idéauxtypes sera abordée au dernier titre, pp. 479-486).
38. Après avoir étudié les différences de conception de l’impôt entre les
deux principales religions européennes (catholique et protestante) et ses
conséquences sur la légitimité de l’impôt qui en découlent dans les principaux
pays (Première partie : Sources et formation de la doctrine fiscale des religions),
nous examinerons l’influence religieuse sur les politiques et les techniques
d’imposition puis sur la structure des systèmes d’imposition (Seconde Partie : La
réception de la doctrine fiscale des religions dans les systèmes fiscaux en
Europe).
34
Première Partie
SOURCES ET FORMATION
DE LA DOCTRINE FISCALE DES RELIGIONS
L’influence de la pensée chrétienne
sur la légitimité du pouvoir fiscal en Europe occidentale
35
36
« En 1789, la justice fiscale, c’était l’impôt proportionnel ;
maintenant c’est l’impôt progressif : la contradiction est
chiffrable. La justice n’en a pas moins ses dévots, et de
diverses chapelles. […] N’est-il donc pas de justice qui ne
soit religieuse ? D’une façon ou d’une autre ? »
Jean Carbonnier 122
39. Comme le laisse à penser le doyen Carbonnier dans le passage cité en
exergue, le problème de la Justice - et son exemple choisi dans le droit fiscal est
révélateur de l’importance de cette notion dans la théorie de l’impôt – ne trouve
de solution unique que dans le cadre religieux du droit naturel. Sorti de ce champ
clos, elle ne connaît que les nourritures terrestres des rencontres de passage.
Ainsi, le contenu contemporain de la justice fiscale dépend des choix politiques
dont procède le droit fiscal positif. Il serait cependant exagéré de séparer
radicalement la justice fiscale telle qu’elle est définie par le droit positif et la
justice fiscale telle qu’elle peut être définie par une doctrine religieuse. En réalité
c’est un véritable dialogue qui lie ces deux aspects du problème. L’impôt étant
une notion éminemment politique et non théologique c’est par rapport à des
incidences matérielles, sociales, terrestres, donc par rapport à des conceptions
politiques que catholicisme et protestantisme ont développé des doctrines fiscales.
Le chanoine J. Leclercq souligne que « l’attitude des théologiens en matière
d’impôt n’est ni simple, ni uniforme. […] Il y aurait toute une histoire à écrire de
l’attitude des théologiens à l’égard de l’Etat. Selon les époques, les moralistes se
montrent bienveillants et confiants à l’égard de l’Etat ou malveillants et défiants.
Cette attitude suit l’histoire politique »123. Inversement, c’est à l’aune de
conceptions religieuses de la justice fiscale, qu’elles ont défini la légitimité des
systèmes fiscaux.
De la sorte, l’influence de la pensée religieuse sur l’impôt serait
conditionnée par les conceptions fiscales de chaque culture religieuse des pays
d’Europe occidentale. Pour que celles-là aient pu influer sur la « mentalité
fiscale »124 de ceux-ci, encore faut-il que chaque culture religieuse ait développé
une pensée fiscale. De cette pensée fiscale religieuse il nous faut donc déterminer
122
Flexible droit, 9e éd., Paris, LGDJ, 1998, pp. 441-442.
LECLERCQ (J.), La conscience chrétienne devant l’impôt, RN, 15 février 1954, p. 176 et p. 177.
124
Ce terme très contestable n’est qu’un raccourci pour parler de la conception du droit fiscal
propre à chaque pays, étant entendu que celle-ci n’est pas figée mais évolue, contrairement à ce
que le terme de « mentalité » peut laisser entendre.
123
37
les points communs et les spécificités afin d’identifier les éléments qui permettent
de distinguer catholicisme et protestantisme. L’élément essentiel concernant cette
pensée fiscale est de savoir si elle contribue ou pas à la « reconnaissance » du
droit fiscal d’un pays. En effet, un droit ne peut être « positif » que si ses normes
sont appliquées et son effectivité est en partie liée à la conscience qu’en ont ses
sujets, c'est-à-dire à son assimilation en tant que droit qu’en font les personnes
physiques125 qui doivent l’appliquer. C’est une question de socialisation
juridique126.
Il faut donc identifier au préalable l’existence des doctrines fiscales
chrétiennes. La nature de l’impôt explique que les sources de celles-ci ont jailli du
christianisme lui-même (i. e. des évangiles) et de son cadre politique
d’épanouissement (Titre 1 : Les Fondements théologico-politiques des doctrines
fiscales chrétiennes). La formalisation de doctrines fiscales à partir de conceptions
différentes de la légitimité du pouvoir temporel explique que catholicisme et
protestantisme, s’ils défendent tous deux, à l’heure actuelle, l’obéissance au fisc,
présentent des divergences profondes qui ne sont pas seulement historiques (Titre
2 : Le Devoir fiscal : Les doctrines fiscales chrétiennes et la légitimité de l’impôt
en Europe).
Outre le fait qu’on ne puisse déjeuner avec elles, les personnes morales n’ont pas de
conscience, juridique ou autre, propre.
126
Sur cette question de la socialisation juridique cf. KOURILSKY-AUGEVEN (Ch.) (dir.),
Socialisation juridique et conscience du droit, Paris, LGDJ, 1997, 193 p.
125
38
TITRE 1
LES FONDEMENTS THÉOLOGICO-POLITIQUES
DES DOCTRINES FISCALES CHRÉTIENNES
40. La pensée chrétienne n’a pas attendu la Réforme pour développer –
même de façon plus modeste que pour d’autres questions – des éléments de
réflexion plus ou moins complets sur l’impôt. Cette pensée, présente dès les textes
du Nouveau testament, les pères de l’Eglise et les érudits du Moyen-Âge, est la
base de ce qui sera approfondi ou modifié par la suite.
41. Il faut néanmoins admettre le caractère lacunaire et disparate de ces
éléments de réflexion. Il ne faut pas s’attendre à des traités spécifiques qui allient
le dogme au traitement de l’ensemble des aspects traités dans une théorie de
l’impôt moderne. Aucun clerc n’a écrit une somme fiscale réputée et même si
c’était le cas il y a fort peu de chances que le traitement de questions aussi
techniques que l’assiette, le taux, les répercussions économiques de l’impôt (etc.)
soient très différent selon qu’il soit fait par un clerc catholique ou un pasteur
protestant. Il faut donc intégrer une question plus large que celle de l’impôt pour
comprendre les divergences profondes qui caractérise le débat religieux
européen : c’est d’abord des divergences en matière de théorie de l’Etat que
découlent la séparation entre catholiques et protestants en matière d’impôt,
séparation qui n’est pas spécialement revendiquée en matière fiscale. Le débat
public porte sur d’autres questions (dont celle de la relation au pouvoir politique
séculier) ce qui explique l’ombre dans laquelle sont rejetées voir niées de réelles
différences fiscales.
42. L’impôt est un des éléments essentiels du pouvoir régalien. De ce fait
la conception religieuse de l’impôt, de sa légitimité, de sa forme, etc., dépend
étroitement de la légitimité religieuse de l’Etat. Nous avons ici une grande ligne
de fracture entre l’Eglise catholique, soucieuse de ne pas abandonner un pouvoir
temporel durement acquis et des églises protestantes soucieuses avant tout de
pouvoir spirituel et prompte à comprendre l’intérêt stratégique d’alliances
politique avec les princes.
Après avoir étudié la conception de l’impôt développée dans les textes bibliques
(ceux du nouveau-testament) et patristiques (Chapitre 1), nous observerons le
contexte historico-politique de formation des doctrines fiscales chrétiennes en
Europe (Chapitre 2).
39
40
CHAPITRE 1
L’IMPÔT DANS LES ÉCRITS
NÉO-TESTAMENTAIRES ET PATRISTIQUES
43. Un idée sommaire du sacré, de la religion (chrétienne ou autre) permet
d’appréhender aisément que l’impôt ne fait pas partie des préoccupations
essentielles d’une réflexion spirituelle. Les éléments du Nouveau Testament qui
appartiennent au champ de la fiscalité sont épars et n’existent jamais pour euxmêmes. « L’Evangile n’a pas été fait pour procurer des recettes de droit. En
déduire des rapports de droit est une faute d’interprétation. C’est trahir leur sens.
L’Evangile n’a pas condamné les institutions juridiques romaines – la propriété,
l’esclavage – ni ne les approuve : elle n’en dit rien. »127 On ne saurait donc parler
d’un droit fiscal néotestamentaire. L’impôt est un outil au service d’un message,
d’une sagesse, d’un enseignement qui le dépasse. Cela n’a rien d’étonnant : une
des caractéristiques essentielle de l’impôt étant d’appartenir, le plus souvent, à la
sphère des moyens et non des but (hormis dans le cas de l’impôt religieux, cf. 2nde
partie, Titre 1er ). En fait l’impôt est utilisé de façon métaphorique pour évoquer
les relations de l’Eglise avec le pouvoir politique 128. Ou plutôt sa tension d’avec le
politique, pour reprendre le vocabulaire de Max Weber 129. Dans les récits
bibliques, l’impôt est justement au centre de cette tension.
On retrouve ces aspects chez les premiers pères de l’Eglise soucieux
d’intégrer les chrétiens à la communauté romaine et de les faire reconnaître
comme de bons citoyens.
127
VILLEY (M.), Le droit et les droits de l’homme, 3e éd., Paris, PUF, Questions, 1998, p. 113.
Pour un exemple – présenté comme exceptionnel - de mise en œuvre d’une norme juridique, cf.
HUBRECHT (G.), Essai de commentaire juridique sur la parabole de l’intendant infidèle, in
Mélanges offerts à Jean BRETHE DE LA GRESSAYE, Bordeaux, Bière, 1967, pp. 325-330. Au sujet
du droit biblique (A. Test.), cf. ELLUL (J.), Le droit biblique d’après l’exemple de la royauté et
les cultures orientales, Mélanges BRETHE DE LA GRESSAYE, Bordeaux, Bière, 1967, pp. 253-273.
128
Sur la fiscalité romaine antique, cf. GAUDEMET (J.), Finances et fiscalité dans les sociétés
antiques, in Mélanges P.-M. GAUDEMET, Paris, Economica, 1984, pp. 17-31.
129
« A proprement parler, les Evangiles n’offrent pas de doctrine sur le politique. Par contre,
plusieurs circonstances rapportées par les Evangiles mettent en scène la tension créée entre le
message et l’attitude de Jésus, et la représentation et l’estimation du pouvoir politique. C’est ce
qui nous importe d’abord. Ce concept de tension entre le message religieux et la réalité
politique, que je reprends à Max Weber, est certainement plus juste que celui d’indifférence au
politique parfois mis en avant ou, à l’inverse, que celui d’engagement. Le type de rapport
enseigné par Jésus entraîne un type de rapport au politique. » ESLIN (J.-C.), Dieu et le pouvoir.
Théologie et politique en Occident, Paris, Seuil, 1999, p. 43.
41
42
43
44
BIBLIOGRAPHIE*
__________________________________________________________________
SOMMAIRE
1.
OUVRAGES, TRAITES, MANUELS………………………………………
p. 600
2.
THESES & MÉMOIRES…………………………………………………….
p. 625
3.
ARTICLES et CHRONIQUES……………………………………………...
p. 631
4.
DICTIONNAIRES, JURISCLASSEURS, REPERTOIRES………………
p. 665
5.
RAPPORTS OFFICIELS……………………………………………………
p. 667
Allemagne
Belgique
Eglise catholique romaine
France
OCDE
Suède
Suisse
Union Europénne
6.
SITES INTERNET……………………………………………………………..
p. 670
7.
INEDITS………………………………………………………………………
p. 672
__________________________________________________________________
* Certaines des références qui suivent n’apparaissent pas dans le corps du texte ou en note
infrapaginale. Ayant été consultées et utilisées pour préparer la rédaction, elles sont néanmoins
mentionnées à titre complémentaire. Les ouvrages et articles mentionnés à travers les citations
d’autres auteurs ne sont généralement pas repris dans cette bibliographie.
45
I- OUVRAGES, TRAITES, MANUELS *
* Les mélanges sont classés à Varii auctores, à la lettre M., selon l’ordre alphabétique de leurs
destinataires. Certaines publications de sociétés de réflexion (l’IFA, Le Sillon, l’UIES) y sont
aussi classées. Les ouvrages de chaque auteur sont classés par ordre alphabétique.
1.
AFSCHRIFT (Th.), L’évitement de l’impôt et la réalité juridique, Bruxelles, Larcier, 1994, 375
p.
2.
AGOSTINI (E.), Droit comparé, Paris, PUF, Droit fondamental, 1988, 339 p.
AIMÉ (Ch.), cf. BELTRAME (P).
3.
ALEXANDER (D.) et TSCHOPP (P.), Finance et politique. l’empreinte de Calvin sur les
notables de Genève, Genève, Labor et Fides, Histoire et société n°22, 1991, 308 p.
4.
ALLAIN (J.-C.), Biographie de Joseph Caillaux en 2 vol. : Joseph Caillaux, Le défi victorieux,
1863-1914, Paris, IN, 1978, 537 p. et Joseph Caillaux, L’oracle, 1914-1944, Paris,
IN, 1981, 590 p.
5.
ALLAIS (M.), L’impôt sur le capital et la réforme monétaire, nelle éd. précédée d’un autoportrait scientifique, Préf. de Raymond ARON, Paris, Hermann, 1989, 367 p.
6.
AMSELLE (J.-L.), Vers un multiculturalisme français – L’empire de la coutume, Paris, GFFlammarion, Champs, 2001, 183 p.
7.
ANCEL (M.), DRAGO (R.) et DAVID (R.) (dir.), SOCIÉTÉ DE LÉGISLATION COMPARÉE, Un
siècle de droit comparé en France. Livre du centenaire de la société de législation
comparée (1869-1969), tome 1 : Les apports du droit comparé au droit positif
français, tome 2 : Evolution internationale et problèmes actuels de droit comparé,
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76
III- ARTICLES, CHRONIQUES ET CONTRIBUTIONS *
* Les différents articles d’un même auteur sont cités selon l’ordre chronologique. Sont aussi
mentionnées ici les études publiées dans les monographies citées précédemment et qui ont fait
l’objet d’une mention particulière dans le corps de cette thèse.
693. ABEL (O.), Hommage à Jean Carbonnier, La Croix, Mardi 25 novembre 2003, p. 26.
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pp. 47-59.
694.
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n°3884, pp. 499-511.
697. ALLAIN (J.-C.), Joseph Caillaux, promoteur de l’impôt général sur le revenu, CHEFF, Etudes
et documents, IX, 1999, p. 165-181.
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parafiscales, in Le juge et le droit public. Mélanges offerts à Marcel WALINE, Paris,
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699.
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700.
- Un phénix du droit public financier : les impositions autres que fiscales ou
parafiscales, in Gouverner, administrer, juger. Liber amicorum à Jean WALINE,
Paris, Dalloz 2002, pp. 111-133.
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l’apport de Saint Thomas d’Aquin, APD, tome XVIII, Paris, Sirey, 1973, pp. 149164.
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DE
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n°85.159, M. Perseguers, DF, 1992, n°41, comm. 1837, pp. 1548-1551.
709.
- Les locaux affectés exclusivement à l’exercice du culte par les témoins de Jéhovah
sont-ils imposables à la taxe d’habitation ?, Conclusions sur CE, sect., 13 janv.
1993, n° 112.392, Assoc. Agage et CE, sect., 13 janv. 1993, n°115.474,
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710. ARRIGHI DE CASANOVA (J.), Imposition au titre des BNC des produits de fonds détournés au
moyen de chèque sans provision, conclusions sur CE 8e et 9e sous-section, 12
octobre 1994, req. n°129.045, M. Mendjisky, DF, 1994, n°51, comm. 2205, pp.
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711.
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Conclusions sur Avis CE, Sect., 31 mars 1995, n° s 164.911–165.321, SA Sté
d’expertise comptable du Languedoc, SARL, Cara-Cara, RJF, 1995, n°5, pp. 326332.
712.
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sous-sect., 7 janvier 2000, req. n°186.108, M. et Mme Philippe, DF, 2000, n°11,
comm. 204, pp. 485-490 et BDCF, 2000, n°2, concl. n°18, pp. 17-19.
720.
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sous-sect., 23 juin 2000, req. n°215.152, Association locale pour le culte des
témoins de Jéhovah de Riom et req. n°215.109, Association locale pour le culte des
témoins de Jéhovah de Clamecy, DF, 2000, n°30-35, comm. 615, pp. 1100-1104 et
BDCF, 2000, n°9-10, concl. n°110, pp. 44-49.
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722.
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723.
- Le prélèvement sur le capital, comme moyen de liquidation des charges financières
de la guerre en Autriche. RSLF, 1921, n°3, pp. 332-464.
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société contribuable ?, concl. sur CAA Paris, 10 décembre 2004, req. n°00-36, 2e
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- Les finances de guerre de la France. Deuxième phase. La politique financière du
gouvernement français pendant la conduite des hostilités. Deuxième période. La
politique financière du gouvernement français pendant les années 1915-1916.
Chapitres IV. Considérations critiques sur la politique financière du gouvernement
français pendant les années 1915-1916, RSLF, 1917, n°3, pp. 382-413.
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- Les finances de guerre de la France. Deuxième phase. La politique financière du
gouvernement français pendant la conduite des hostilités. Deuxième période. La
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Chapitres V. Conséquences probables politiques, financières, économiques et
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- Ministère de l’économie et des finances (France):
http://www.minefi.gouv.fr
1520.
- Ministère des finances (Israel) :
http://www.mof.gov.il
1521.
- Mission économique (MINEFI) :
http://www.missioneco.org
1522.
- Mouvement des cadres chrétiens (MCC) :
http://www.mcc.cef.fr
1523.
- Norvège (site officiel) :
http://www.norvege.no
1524.
- OCDE :
http://www.oecd.org
117
1525.
- Parlement (Finlande) :
http://www.eduskunta.fi
1526.
- Parlement (Suède) :
http://www.riksdagen.se
1527.
- Revue Française de Finances Publiques :
http://www.gerfip.org
1528.
- Sénat (France) :
http://www.senat.fr
1529.
- Service d'Etudes et de Documentation du Service http://www.docufin.fgov.be
Public Fédéral des finances. (Belgique) :
1530.
- Société Française de Finances Publiques :
http://www.sffp.asso.fr
1531.
- Statistiques Belgique
http://www.statbel.fgov.be
1532.
- Statistiques Finlande
http://www.stat.fi
1533.
- Suède (site officiel) :
http://www.sweden.se
1534.
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CROUY-CHANEL (E. de), La famille et l’impôt au XIXe siècle, in AYRAULT (L.) et
GARNIER (Fl.) (dir.), colloque La famille et l’impôt, Maison de la Recherche,
Clermont-Ferrand, Jeudi 9 juin 2005.
- Entretien avec l’auteur, Clermont-Ferrand, Vendredi 10 juin 2005.
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119
120
INDEX NOMINUM
Assoun (P.L.), 124
Atias (C.), 17, 148, 149, 269
Atkinson (W. C.), 100, 102, 103, 107, 108
Attali (J.), 141
Aubert (R.), 22
Augustin (Saint), évêque d'Hippone, 64, 65,
66, 67, 68, 68, 69, 70, 85, 149, 218, 359,
487, 560
Austry (S.), 329
Autrand (F.), 157
Ayrault (L.), 449, 452, 455, 462
Azuelos (M.), 554
Azzot-Benarroche (M.), 464
Babeau (A.), 519
Babel (A.), 19, 5597
Bachelier (G.), 406, 444
Badulesco (V. V.), 557
Bailleux (A.), 453
Balandier (G.), 78
Balz (H. R), 259
Barbey (J.), 364
Barbeyrac (J. de), 220
Barilari (A.), 296, 317, 581
Barth (K.), 260
Barthet (J.), 19
Basile de Césarée (Saint), 70, 83
Baslez (M.-Fr.), 42, 43, 45, 46, 48, 49, 56,
57, 63, 82, 83, 84
Bastit (M.), 93, 148, 198, 271
Bataille (G.), 138, 142, 525, 567
Bataille (Fr.), 306
Baubérot (J.), 199, 203, 223, 260, 410, 450
Bauer (J.), 11, 25
Bayard (F.), 495
Bayer (H.-W.), 304, 480, 481
Bayle-Mouillard (J.-B.), 321
Beaud (O.), 78
Beaujeu, Régents de France, 154
Beaumanoir, 157
Beauthier (R.), 91, 156
Beccaria (C. Bonesana marquis de), 241
Beissel (S.), 407
Bell (D.), 260
Bellanger (F.), 380, 384, 386
Bellanger (H.), 259
Bellarmin ( R. cardinal), 131
Beltrame (P.), 15, 16, 21, 23, 26, 27, 29,
164, 177, 180, 186, 235, 244, 249, 266,
275, 290, 292, 294, 296, 299, 311, 312,
313, 314, 316, 323, 334, 338, 344, 345,
358, 364, 390, 398, 423, 424, 438, 439,
442, 444, 450, 451, 452, 453, 455, 470,
Abel (O.),17, 259, 260
Adler (V.), 512
Afschrift (Th.), 308, 317
Agostini (E.), 23
Agostino (Fr. d'), 349
Agron (L.), 276, 312, 364, 426, 512
Aicardi (M.), 518
Aimé (Ch.), 515
Albert (J.-L.), 580
Albert de Hohenzollern, margrave de Brandebourg, grand maître des chevaliers
teutoniques, 115, 116, 119
Albrecht
cardinal
de
Hohenzollern,
archevêque de Mayence, 110, 111
Aletti (J.-N.), 63
Alexander (D.), 209
Alexandre II, 87
Alexandre III, pape, 94
Alexandre VI (Rodrigue Borgia), pape, 360
Alfandari (E.), 413
Allain (J.-C.), 499, 507
Allais (M.), 415, 416, 519
Alonso Madrigal (F. J.), 300, 310
Althusius (J.), 217, 217
Amann (E.), 258
Ambroise (Saint), 64, 85
Amselek (P.), 314, 432, 433, 582
Amselle (J.-L.), 16
André (Saint), 49
André (M.), 436
Andréadès (A.), 277, 522
André-Vincent (Ph. I.), 17
Angeletti-Deltin (L.), 327, 413
Anglada (E.-A.), 321
Angot (F.), 305, 307, 308, 309, 310, 324
Antoine(R. P. Ch.) s. j.,, 172, 178, 179, 181,
417, 417, 419, 420, 421
Antonetti (G.), 499, 506, 528
Antonin de Florence, 153
Arcimboldo (G.) nonce, 115
Ardant (G.), 18, 24, 26, 27, 29, 71, 72, 74,
75, 137, 163, 164, 175, 219, 261, 266,
283, 339, 341, 366, 369, 370, 374, 481,
485, 495, 498, 509, 545
Aristote, 69, 81, 93, 463
Arius, 83
Arnaud (A.-J.), 13, 568
Arnold (T.), 465, 539
Aron (R.), 482, 484
Arrighi de Casanova (J.), 328, 405, 413
Asbrink (E.), 291
Asquith (H. H. comte), 546
Asselain (J.-Ch.), 529, 530
Les chiffres renvoient aux pages. Les chiffres en italiques renvoient à une note infrapaginale.
121
Borne (D.), 166, 527
Bornhauser (M.), 329
Borricand (J.), 298
Bossuet (J. B.), 106, 164, 164, 165, 222,
224, 489, 490, 522
Bouchard (J. M.), 507
Bouchetal-Laroche (P.), 322
Bouderbala (M. A.), 15, 16, 143
Boudon (R.), 20, 29, 485, 543, 543, 565, 567
Bourdaloue (R.P. J.), 522
Bourdin (B.), 131
Bourget (R.), 464
Bourrachot (Fr.), 329
Bouvier (J.), 512, 513, 528, 529
Bouvier (M.), 17, 21, 137, 138, 139, 140,
164, 177, 179, 233, 234, 261, 264, 311,
323, 582
Bouvignies (I.), 284
Boyer (L.), 340
Brac de La Perrière (G.), 278
Brachet (B.), 559
Braga (T.), 101
Brard (J.-P.), 311, 337, 340
Braudel (F.), 476
Braun (P.), 100
Brécard (D.), 470
Brecht (M.), 111
Brecht (W.), 511
Bredin (J.-D.), 499
Brejon de Lavergne (N.), 454
Brenet (J.), 100
Brennan (G.), 583
Brethe de la Gressaye (J.), 41, 107, 169, 462,
490
Brewer-Carias (A. R.), 464
Brie (Chr. de), 265, 299
Brochier (H.), 27, 529
Brouillard (R.), 197, 258
Brown (P.), 82
Brunner (E.), 260
Bruno (A.), 239
Bruron (J.), 297, 301, 302, 303, 317, 322,
324, 332, 336
Brütsch (Ch.), 260
Brutus (Etienne Junius), 284
Buchberger, 259
Buisson (J.), 582
Burdeau (G.), 78
Burgio (M. B.), 582
Burns (J. H.), 95, 126, 129, 207, 220, 231
Bussery (H.), 278
Buzelay (A.), 373, 374
Cadiet (L.), 299, 318, 340, 456
Cadot (J.), 170, 176
Cadoux (C.), 296
Caillaux (E.), 500
Caillaux (J.), 494, 497, 498-507, 512, 513,
530, 549
480, 481, 482, 498, 501, 502, 510, 5156,
526, 554, 561, 578, 581, 582, 583
Beltrame (D.), 335
Benaïssa (S.), 143, 144, 145
Benamouzig (D.), 28
Bénassy-Quéré (A.), 582
Beneton (P.), 13, 145, 170
Bennassar (B.), 400, 520, 533
Benoît (J.-D.), 128
Benoît XII, pape, 104
Benoît XIV, 100, 163
Benoit XV (G. della Chiesa), 278
Benoît XVI (J. Ratzinger), pape, 191, 191,
462, 490
Bentham (J.), 248
Bercé (Y.-M.),272, 273, 274
Bérenger (J.), 164, 363
Bereyziat (F.), 328
Bergerès (M.- Chr.), 324, 325, 326, 358,
452, 580
Bergounioux (A.), 511
Bergström (S.), 299
Berlin (D.),468, 579, 579, 580
Bernard de Clairvaux (Saint), 95, 95, 147,
148, 154
Bernheim (P.-A.), 63
Berthaud de Saint-Denys, 92, 400
Bertoni (P.), 358
Besnard (P.), 474
Betch (M.), 322
Bèze (Th. de), 284
Bichot (J.), 454
Biéler (A.), 208, 210, 249, 287, 450, 474
Bienvenu (J.-J.), 299, 324, 328
Biéville (Ed. de), 322
Biget (J.-L.), 359
Bigo (rev. père P.), 194, 278
Bigwood (G.), 507
Billuart (Ch. R.), o. p., 270
Bilon (J.-Cl.), 318
Bismarck (O. von), 101, 254, 258, 548, 556
Blanc (L.), 507
Blanqui (Ad.), 240
Blaug (M.), 240, 241, 242, 243, 248, 252
Blonde (M.-H.), 584
Blot, 559
Bluche (F.), 163
Blum (L.), 27, 28
Bodin (J.), 217
Boëdec (Fr.), 170, 182
Boeglin (M.), 190
Bogaards (P.), 312
Bogart (E.-L.), 557
Böhm-Bawerk (E. von), 548
Boissard (A.), 177, 179
Bon (P.), 392
Boniface VIII, pape, 92, 96, 104, 155
Bonney (R.), 164
122
Cajetan (T. cardinal de Vio dit), 112, 226
Calixte II, pape, 94
Calleja (D.), 578, 579
Calvez (J.-Y.),182, 187, 188, 188, 281
Calvin (J.), 19, 32, 127-131, 199, 200, 208214, 249, 250, 267, 282, 284, 287, 288,
450, 468, 469, 541, 543
Camarasa Carrillo (J.), 405
Campell-Bannerman (H.), 546
Campenhausen (A.), 385
Canceill (G.), 454
Capet (M.-F.), 267
Caraccioli (I.), 303, 324
Carbasse (J.-M.), 523, 526
Carbonnier (J.), 14, 15, 17, 18, 23, 37, 95,
124, 125, 350, 482
Cardyn (Ch.), 268, 276, 277, 279
Carew (T.), 261
Carlstadt (A. Bodenstein dit), 115
Carré de Malberg (R.), 21, 78
Carrier (R.), 449
Casimir (J.-P.), 322
Cassese (S.), 29
Castagnède (B.),319, 481, 513, 583
Castarède (J.), 420
Caudal-Sizaret (S.), 470, 581
Cavour (C. Benso de), 99
Cebriá Garcia (M. D.), 389
Célestin V, pape, 104
Césaire d'Arles, 64, 68
César, 52, 53, 54, 55, 56, 58, 61, 67, 147,
165, 172, 268
Chabot (J.-L.), 175, 182, 490, 491
Chadwick (O.), 380
Chalmers (T.), 246, 247, 250, 251, 251
Chambas (G.), 505
Chambaud (E.), 312
Chamberlain (N.), 290
Champenois (G.), 51, 62
Chanel (Ch.), 254, 386, 387
Chantrel (L.), 166, 217, 218, 227, 275, 284
Charasse (M.), 447, 448
Charles V Le Sage, roi de France, 153, 159
Charles VII, roi de France, 154
Charles VIII, roi de France, 154
Charles IX, roi de France, 287
Charles, empereur germanique, 159
Charles Quint, 112, 114, 126, 207
Charpentier (P.), 265, 299
Châtelet (F.), 105, 106, 220, 274
Chélini (J.), 97, 183, 280, 488
Chenevière (M.-E.), 212
Chevalier (J.-P.), 511
Cheyron (A. du), 324, 325, 326
Chirac (J.), 454
Chouvelon (Th.), 519
Christian II, roi du Danemark, 115
Christian III, roi du Danemark, 115
Christian V, roi du Danemark, 539
Churchill (W.), 290, 308, 315, 316
Cicéron, 487
Clamageran (J.-J.), 155, 156, 161, 166, 396
Clausard (R.), 460
Claustre (J.), 321, 322
Claverie (M.), 166, 363, 366, 397, 399, 400,
402, 403
Clavier (Ch.), 507
Clemenceau (G.), 499, 503
Clément (B.), 334
Clément (G.), 334
Clément (le moine), 90
Clément V (Bertrand de Got), pape, 90, 92,
104
Clément VIII, pape, 90
Clergerie (J.-L.), 100
Cloulas (I.), 90
Clyde (Lord), 316
Cogliati Dezza (M.), 309
Cohen-Jonathan (G.), 329
Colbert (J.-B.), 235
Coligny (G. de Châtillon, amiral de), 17, 284
Colli (J.-Cl.), 263
Collin (P.), 328, 406
Colonna (famille romaine), 105
Combes (J.-L.), 505
Connett (W. H.), 335
Constantin, 67, 80, 81, 84, 87, 93, 395, 396
Constantin (Abbé), 166
Contamine (P.), 150, 359, 361
Copleston (Mgr Ed.), évêque de Llandaff,
248
Coppens (P.), 453
Cornilleau (G.), 584
Cosmopolite (Eusèbe Philadelphe), 284
Cosson (J.), 265, 266, 311, 318, 328, 337,
421
Cotteret (J.-M.), 298, 311
Cottret (M.), 106
Coty (R.), 453
Couplet (X.), 20, 477, 478, 480
Courtois (P.), 519
Cousin (H.), 54
Coutière (A.), 454, 511
Coutu (M.), 484
Cozian (M.), 29, 299, 306, 307, 412, 413,
415, 422, 423, 445, 459, 465, 466, 467,
558
Cromwell (Th.), 121
Croq (L.), 494
Crouy-Chanel (E. de), 63, 178, 449, 462
Cues (Nicolas cardinal de), 87
Cuillieron (M.), 402
Cusin (F.), 28
Dalbiez (V.), 506
Dandine (E.), 19
Daniel, 140, 209
123
Doroftei (Fl.), 453
Douat (E.), 43, 45, 46, 47, 48, 48, 53, 57, 60,
61, 62, 63, 160
Douet (F.), 296, 301, 306, 322, 332, 333,
436, 455, 460
Doumer (P.), 317, 558
Doumet (A.), épouse Caillaux, 511
Draghicescu (D.), 11
Drago (R.), 22
Draï (R.), 141, 143, 473, 525, 569
Dreifuss (M.), 328
Du Moulin (Ch.), 19
Dubergé (J.), 29, 281, 487
Dubernet de Boscq (G.), 322
Dubet (A.), 523
Dubois (J.), 278
Dubois (Pierre), 104
Dubouis (L.), 581
Duby (G.), 489
Ducellier (A.), 84
Duchon-Doris (J.-Chr.), 306, 406
Ducoloné (G.), 325
Ducouloux-Favard (Cl.), 324
Ducros (J.-Cl.), 235, 263, 266, 290, 294, 513
Dufour (A.), 220, 221
Dumas (A.), 164, 359, 396
Dunn (J.), 223, 224
Dupanloup (Mgr), 170, 500
Dupont (S.), 554
Dupont de Nemours, 367
Dupuit (A.-J.), 233, 233
Durand (Ph.), 337, 338
Durkheim (E.), 342
Duroselle (J.-B.), 167, 168, 169, 505
Dutreil (M.), 506
Duval (G.), 580
Duverger (M.), 240, 298, 339, 479, 480,
481, 560
Eberlin von Güzburg (J.), 200
Eck (J.), 112, 117
Edouard 1er, roi d'Angleterre, 156
Egret (G.), 525
Ehlinger (C.), 192
Einaudi (L.), 28, 557
Eisenhower (D.), 288
Eisenstein (L.), 349
Elisabeth 1ère, reine d'Angleterre, 246, 520
Elliot-Binns (L. E.), 245
Ellul (J.), 14, 17, 19, 41, 90, 105, 110, 123,
156, 362, 363, 367, 369, 494, 513, 527
Engels (Fr.), 539, 544
Enrique d'Aragon (Don), 159
Epsztein (L.), 245, 247, 251, 450, 541
Erasme (D.), 123
Ernest de Lunebourg, 114
Escarra (E.), 546, 548
Esclassan (M.-C.), 137, 264, 311, 331
Escriva de Balaguer (Saint J.-M.), 18, 109
Daniel (J.-M.), 497
Daniélou (J. cardinal), 22, 83
Dassesse (M.), 517
Daudignon (P.), 527
David, roi d'Israël, 209
David (C.), 306, 307, 328, 336, 349, 440,
441, 442, 442, 516
David (R.), 23
Davoust (D.), 329, 337
De Geer (H.), 291
De la Feria (R.), 580
De Pury (R.), 260
De Quervain (A.), 260
De Salvia (M.), 329
Deboissy (Fl.), 307
Debré (M.), 456
Decroix (A.), 166
Del Giudice (F.), 311
Delbrück (H.), 256
Delepierre, 276, 277, 279
Delepierre (J.) s. j., 268
Delépierre (J.) s. j., 178, 279
Delhaye (Mgr Ph.), 194, 195, 291
Delmas-Marty (M.), 334
Delot (D.), 18, 350, 355
Delsol (X.), 31, 406, 408
Delumeau (J.), 106, 110, 112, 114, 118, 121,
123, 126, 272, 274, 275, 309
Dembinski (P. H.), 569
Derouin (Ph.),301, 309, 314, 316, 323, 329,
336, 338, 339, 580
Desfontaines, 157
Desjonquières (P.), 31, 406, 408
Deslandes (M.), 460
Desmarets, contrôleur général, 508
Detienne (M.), 30
Detraz (S.), 322
Deymès (L.), 322
Dhaeyer (B.), 453
Di Malta (P.),190, 293, 297, 302, 303, 311,
322, 324, 326, 331, 332, 333, 376, 377,
382, 384, 385, 421, 424, 428, 429, 431,
432, 433, 434, 436, 437, 447, 449, 452,
480, 481, 482, 507, 508, 509, 514, 517,
519, 547, 549, 565
Dibout (P.), 299, 318, 319, 320, 579
Dickson (P. G. M.), 164, 363
Digard (G.), 155
Dinechin (O. de), 64, 70, 76, 152, 278
Dioclétien, 80
Disraéli (B.), 545, 575
Disselkamp (A.), 474, 477
Doehaerd (R.), 399, 400
Doignon (J.), 65
Domet de Vorges (comte), 162, 226, 271
Donat, 83
Donath (M.), 259
124
Frémion (Y.), 22
Freppel (Mgr Ch.-E.), 170-176, 453, 504
Freu (C.), 249
Frommel (S. N.), 308, 328, 467
Fromont (M.), 299, 302, 305
Fruleux (Fr.), 460
Fuchs (E.), 208, 213, 223, 224, 225, 283,
286, 468, 469
Furnham (A.), 293
Gadille (J.), 215, 253, 377, 380, 382
Gagnebin (L.), 260
Galbraith (J. K.), 463, 540, 549
Galère, empereur romain, 80
Gallo (F.), 349
Gangl (M.), 541
Garavoglia (M.), 303, 337
Garcia Anoveros (J.), 508
Garnier (Fl.), 449, 452, 455, 462
Garnot (B.), 321, 342
Garrigou-Lagrange (A.), 462, 511
Garrisson (J.), 249, 250, 250, 450
Gasparri (P. cardinal), 100
Gauchet (M.), 139, 140
Gaudemet (J.), 41, 71, 74, 90, 91, 370
Gaudemet (P.-M.), 18, 21, 23, 41, 263, 299,
311, 312, 442, 480
Gautier-Dalché (J.), 88
Gay (J.-P.), 342
Gayraud (Abbé H.) , 176, 503, 504
Geffroy (J.-B.) , 51, 62, 268, 290, 291, 299,
307, 319, 325, 439, 442, 448, 451, 454,
454, 456, 458, 459, 480, 481
Gélase, pape, 93
Genet (J.-Ph.), 88, 90, 91, 93, 97, 104, 125,
132, 368
Genevois (B.), 328
Geny (F.), 17, 18, 20, 21
Georges de Brandebourg, 114
Gérard (J.), 560
Gérard (L.), 328
Germain (H.), 501
Gerville-Réache (M.), 174
Gest (G.), 263, 292, 293, 299, 311, 323, 329,
330, 479, 528, 582, 583
Gide (Ch.), 419
Giet (S.), 70
Gilles de Rome, 154
Girard (F.), 142
Giscard D’Estaing (V.), 510, 513
Gjesti (P. O.), 299, 303, 320
Gladstone (W. E.), 243, 257, 543, 562
Glaude (M.), 454
Gobeaut (G.), 336
Godbout (L.), 292, 358, 583
Godelier (M.), 137
Göhre (P.), 255
Goldie (M.), 220
Golscheid (R.), 28
Eslin (J.-C.), 41, 51, 52, 54, 56, 59, 60, 61,
76, 84, 85, 86, 92, 94, 106, 124, 125, 127,
128, 487
Esmein (A.), 78
Etienne II, pape, 87
Etienne VI, pape, 105
Euvrard (F.), 278
Euzéby (A.), 358
Fabius (L.), 292, 325
Fabre (J.), 322
Fallon (V.) s. j., 178, 179, 181, 279, 417,
418, 419
Falloux (F.-A. comte de), 170
Falque (M.), 470
Farago (F.), 150
Fatio (O.), 214
Favier (J.), 88, 157, 360, 362, 363, 364, 400,
401
Favoreu (L.), 376
Febvre (L.), 200, 203, 204, 206, 399
Feddal (F.), 456
Feinstein (J. S.), 296
Feltin (M. cardinal), 194, 195
Fénelon (Fr. de Salignac de La Motte), 106
Ferdinand 1er de Habsbourg, empereur, 114
Fernandez-Maublanc (L. V.), cf. MaublancFernandez (L. V.)
Fernández Villaverde (R.), 508
Fiandaca (G.), 303
Fischer (D.), 450
Flamant (M.), 529
Flauss (J.-F.) , 325, 328
Florida (R. L. ), 468
Flotte (P.), 104
Foighel (I.), 467
Fonbaustier (L.), 539
Fontagé (L.), 582
Formose, pape, 105
Fotsing (J.-B.), 15, 68, 139, 139, 143, 143,
144, 144, 145, 150, 569, 577
Fouquet (O.), 415, 431, 441, 443, 444
Fradin (J.-P.), 307, 319
Franco (Fr. ~ Bahamonde), 533
François 1er, roi de France, 114
François II, roi de France, 130
François-Joseph,108
Frank (M.), 194, 265, 266, 291, 333
Franz de Lunebourg, 114
Frédéric 1er Barberousse, empereur, 94
Frédéric II empereur germanique, 92, 155
Frédéric de Holstein, 115
Frédéric 1er roi en Prusse, 116, 123
Frédéric II le Grand, roi de Prusse, 231
Frédéric III le Sage, électeur et duc de Saxe,
112, 113, 116
Frédéric-Guillaume de Prusse, dit le Grand
électeur, 116
Fréminville (Ed. de la Poix de), 151, 400
125
Hayat (M.), 583
Hayek (Fr. von), 243
Heckly (C.), 479
Heers (M.), 406
Heilbronner (R.), 252
Hélène, mère de Constantin, 80
Helgesen (P.), 115
Helle (A. E.), 286, 539, 540
Heme de Lacotte (H.), 318
Henderson (W. O.), 231
Hennis (W.), 484
Henri d’Oyta, 153
Henri II, roi de France, 115
Henri III, roi de France, 363, 430
Henri IV, roi de France, 90, 106, 284
Henri IV, empereur germanique, 87, 89, 90,
94
Henri V, empereur germanique, 94
Henri VIII, roi d'Angleterre, 121, 283
Henriet (P.), 361, 362
Henrion (R.), 333, 337, 339
Henrion de Pansey (M.), 307, 396
Henry (E.), 329
Hera (A. de la), 392
Herbst (R.), 312
Héritier (A.), 501, 506, 510
Hermann (C.), 91, 163, 363, 364, 366
Herschtel (M.-L.), 454
Hertzog (R.), 322, 561, 585
Herzog (J. J.), 259
Heuchenne (D.), 20, 478, 479, 480
Hilaire (Y.-M.), 361, 373, 374
Hilaire de Poitiers (Saint), 64, 65, 67, 85
Hildesheimer (F.), 92, 272
Hincker (F.), 166
Hobbes (T.), 216, 217, 218, 219, 220, 221,
223, 226, 227, 228, 229, 229, 230, 231,
236, 237, 237, 241, 271, 289, 289
Holl (B.), 164
Hollande (Fr.), 518
Holleaux (D.), 519
Hotman (F.), 284
Hougardy (Y.), 451
Hourdin (G.), 167
Houtard (F.), 137
Hubrecht (G.), 41
Hugounenq (R.), 454
Hulst (Mgr M. le Sage d'Hauteroche d’),
172, 172, 176, 278, 503
Humbert Ier, roi d'Italie, 108
Hume (D.), 241
Hummel (J.), 216
Hus (J.), 110, 112, 117, 123
Hutten (U. von), 200
Ibán Pérez (I. C.), 405
Ignace d’Antioche, 81
Ingenbleek (J.), 349
Innocent III, pape, 87, 95, 96, 155
Gonnard (J.-M.), 322
Gonzales del Valle (J. M.), 405
Gottlieb (L. R.), 557
Goubert (P.), 401
Gough (J. W.), 224
Goulard (G.), 328, 329
Gouyet (R.), 406, 413
Goyard-Fabre (S.), 218, 220, 221, 223, 225,
235, 236, 285
Goyau (G.), 170, 176, 181, 253, 256
Grand (B.), 581
Granier (R.), 23
Grappe (Ch.), 208, 213, 223, 224, 283, 286
Gratien, 91
Grégoire Ier le Grand, pape, 93
Grégoire IX, pape, 155
Grégoire VII (Hildebrand), pape, 87, 89, 90,
90, 95, 114, 155
Grégoire XI, pape, 159
Grégoire XIII, pape, 90
Grégoire XVI (M. A. Cappellari), pape, 98
Grillet-Ponton (D.), 449, 451, 452, 453, 458,
514
Grœthuysen (B.), 26, 249, 489, 521, 522
Grosclaude (J.), 299, 311, 323, 329, 336,
459, 464, 483, 484, 485, 498, 516, 519,
520, 557, 558, 559, 561, 581
Grossein (J.-P.), 486
Grotius (H.), 217, 218, 219, 220, 221, 223,
226, 227, 240, 241, 271, 288, 289
Guerreau (A.), 88, 132
Gueydan (J.), 31, 393, 405, 406, 408
Guichonnet (P.), 98
Guillaume d’Ockham, 105
Guillaume II, epereur d'Allemagne, 255
Guillaume Juvénal des Ursins, 154
Guillemain (B.), 360
Guiscard (Robert), 87
Guizot (F.), 13, 99, 472,472, 504
Gustave Vasa, 115
Guyomar (M.), 406
Guyon (G. D.), 13, 297
Habsbourg, 511
Halbecq (M.), 13
Hamlin (A.), 583
Hammer (F.), 378
Hamon (F.), 78
Hamon (Ph.), 157-161
Hanotiau (M.), 13
Hansmeyer (K.-H.), 293, 298, 480
Haristoy (J.), 507, 543
Harnack (A. von), 254, 255, 256
Harouel (J.-L.), 359, 362, 363, 364, 365,
368, 518
Hau (M.), 546
Hauck (A.), 259
Hauriou (M.), 17, 18, 270, 276
Hay (J.-L.), 519
126
Innocent IV, pape, 95
Innocent VI, pape, 360
Irénée de Lyon (Saint), 64
Iribarne (Ph. d'), 492, 492
Isaïa (H.), 449, 466, 466, 468, 469, 505, 505,
506, 511, 515, 519, 528, 579
Jacques (Saint ~ le Majeur, frère de Jésus,
63
Jamin (Ch.), 17
Janssen, 178, 180
Janssen (A.), 178, 179
Janssens (Ed.),339
Jaques (Saint ~ le mineur), 49
Jarlot (G.), s. J., 169
Jarnevic (J.-P.), 298, 311, 312, 455, 582
Jauffret-Spinosi (C.), 23
Jaurès (J.), 506
Javeau (C.), 13, 28
Jay (E.), 321
Jazani (M.), 338
Jean (Saint ~ l'évangéliste), 42
Jean (Saint), 49
Jean Chrysostome (Saint), 64, 85
Jean de Fribourg, 153
Jean de Jandun, 105
Jean II Juvénal des Ursins, 154
Jean le Résolu, électeur et duc de Saxe, 113,
114, 124
Jean Sigismond, électeur de Brandebourg,
116
Jean V, roi du Portugal, 107
Jean XXII, pape, 105
Jean XXIII, (A. G. Roncalli), pape, 188, 462
Jean-Baptiste (Saint), 46, 48
Jean-Frédéric de Saxe,113, 114
Jean-Paul II (Karol Wojtila), pape, 183, 185,
187, 190, 195, 373, 462, 477
Jeanne d'Anjou, reine de Naples, 88
Jeanne III d’Albret, 250
Jeanneau (B.), 448
Jeanneney (J.-N.), 181, 276, 276, 505, 505
Jefferson (Th.), 283
Jenny (A.), 125
Jérôme (Saint), 64, 65, 66, 67, 67, 68
Jessua (Cl.), 19 , 241, 242, 252, 257
Jestaz (P.), 12, 13, 17
Jésus de Nazareth, 42-57, 63, 95, 105
Jèze (G.), 21, 21, 160, 277, 277, 315, 315,
327, 349, 349, 364, 550, 550, 557, 558
Joachim 1er, Electeur de Brandebourg, 110,
116
Joachim II, Electeur de Brandebourg, 116
Johnston (W. M.), 490, 511
Joseph 1er, roi du Portugal, 107
Joseph II, empereur germanique, 106, 164,
497
Joseph-Barthélémy, 234, 235
Jouanjan (O.), 467, 541
Joussellin (E.-G.-P.), 322
Judas Iscariote, 48, 49
Julliot de la Morandière (L.), 462 , 370
Justi (H. G. von), 234, 241
Justin le Martyr (Saint), 64
Justinien, empereur, 22, 24, 82, 86
Kalberg (S.), 483, 484
Kalinowski (I.), 25, 486
Kantorowicz (E. H.), 77
Kasper (W.), 259
Kaspi (A.), 283
Kautski (K.), 512
Kellens (G.), 334
Kelsen (H.), 78
Kennedy (J. F.), 243, 555
Kennedy (W.), 560
Kerhervé (J.), 150
Kernaleguen (Fr.), 339, 340
Ketteler (Mgr G.-E. baron von),170
Kettler (S.), 311
Kindelberger (Ch. P.), 547
Kirchhof (P.), 464
Klein (G.), 327
Knecht (S.), 463
Knowles (M. D.), 22, 87, 93, 96, 104, 105
Knox (J.), 283
Koering-Joulin (R.), 325
Kornprobst (E.), 322
Kouri (E. I.), 256
Kourilsky-Augeven (Ch.), 38
Krause (G.), 259
Kurgansky (A.), 515
La Court (J. de), 226, 468
La Court (P. de), 226, 231, 275, 468, 542
La Mardière (Ch. de), 244, 244, 455
La Martinière (D. de) , 158
La Tour du Pin (R. de), 169, 490, 502
Labie (F.), 443, 444, 445, 445
Lacoue-Labarthe (D.), 19
Ladero Quesada (M. A.), 368
Ladous (R.), 215, 253, 254, 255, 382, 383
Laffer (A.), 233
Lagarrigue (G.), 70, 75
Lalanne-Berdouticq (D.), 519
Lallement (D.) s. j., 178, 181
Lalumière (P.), 27, 277, 349
Lamarque (J.), 190, 321, 322, 323, 324, 325,
326, 336
Lambert (Fr.), 121
Lambert (Th.), 177, 299, 317, 318, 323, 324,
328, 336, 337, 358, 455, 510, 515, 570,
582
Lambert (Th.), juriste belge, 451
Lamotte (H.), 470
Lamulle (Th.), 300
Landriano (M.), nonce, 90
Langeron (P.), 23
Laroche (Ch.), 581
127
Leroy-Beaulieu (P.), 176, 268, 417, 419
Leservoisier (L.),311, 312
Lessius (L.),162, 179, 226
Leuba (J.-L.), 260
Leurquin-De Visscher (Fr.), 379
Lévine (P.), 300, 311
Lewis (A.), 294
Leygues (G.), 174
Lhomme (J.), 544
Lichtenberg, 12
Liégé (P.), 81, 89
Liénard (J.-L.), 318
Lienhard (M.), 286
Liermann (H.), 259
Link (Ch.), 220
List (Fr.), 562
Llau (P.), 454
Lloyd George (D.), 546
Lobry, 413
Locke (J.), 223, 223, 224, 232, 283, 285
London (C.), 470
Lopez (Ch.), 318
Louis (J. D. baron), 527
Louis (J.-J.), 329
Louis II de Bavière, empereur germanique,
105
Louis VII le jeune, roi de France, 396
Louis IX (Saint), 103, 321
Louis XIII, 495
Louis XIV, 495
Louis XV, 401, 402
Louis XVI, 402
Louit (Ch.), 336, 344, 345, 349, 442, 442,
579, 579
Loyseau (Ch.), 160
Luc (Saint), 45, 46
Luc (Saint ~ l'évangéliste), 42
Lugo (J. cardinal de),162, 179, 226
Luther (M.), 97, 106, 110-118, 118, 119,
120, 123-131, 199-209, 214, 235, 262,
267, 282, 286, 288, 465, 478, 540, 541,
543, 584
Lüthy (H.), 475
Luzzatti (L.), 509, 557
Machault d’Arnouville (J.-B. de), contrôleur
général des Finances, 401
Machiavel (N.), 285
Madec (S.), 372, 373, 374
Madelin (H.) s. j., 170, 182
Maestre (J.-Cl.), 285
Mahuzier (N.), 463, 464
Mairet (G.), 105
Maîtrot de la Motte (A.), 583, 583
Malabouche (G.), 454
Malaury (Ph.), 24
Malherbe (J.), 308, 309, 310, 311, 583
Malthus (T. R.), 251, 251
Mangenot (E.), 258
Larrère (C.), 220
Lascombes (M.), 289
Lascoumes (J.), 318
Lascoumes (P.), 340, 342, 413, 481, 484
Lassale (J.-P.), 137, 311
Laufenburger (H.), 29, 160, 344, 496, 547,
550, 558, 559
Lauré (M.), 263, 295, 357, 526
Laurent (A.), 201, 242
Lauterbeck (G.), 250
Lautrec (G. de), 22
Lavigerie (cardinal), 102
Lavigne (S.), 424, 426, 429, 432, 433
Lavoisier, 367
Léa (H. Ch.), 360
Le Bohec (Y.), 75
Le Bras (G.), 19, 92, 370, 396, 400, 402
Le Bret, 160
Le Cacheux (J.), 584
Le Gall (J.-P.), 318, 328
Le Glay (M.), 75
Le Goff (J.), 475, 476
Le Goff (M.), 19
Le Mené (M.), 132, 368
Le Roy Ladurie (E.), 225, 497
Le Tourneau (D.), Opus Dei, 95, 103, 104,
105, 155, 281, 281, 370
Lebourg (G.), 326
Leca (A.), 163
Lecaillon (J.), 511
Leclercq (Dom J.) o.s.b, 37, 37, 92, 275,
277, 400
Le Dem (J.), 584
Légal (A.), 323
Légasse (S.), 55, 56
Legeais (R.), 23
Léger (D.), 422, 440, 442
Léger (Ph.), 424, 444, 580
Legrand (P.), 23
Lemire (Abbé), 503, 504
Lémonon (J.-P.), 54, 55, 56
Léon Ier le Grand, pape, 86
Léon III, pape, 488
Léon IX, pape, 87
Léon X (Médicis), pape, 112
Léon XIII (G. Pecci), pape, 101, 102, 108,
175, 181, 182, 183, 186, 188, 195, 197,
277, 278, 462, 490, 491, 504
Léonard (E. G.), 32, 115, 114, 117, 118,
119, 122, 123, 124, 127, 208, 208, 213,
220, 220, 223, 287, 287, 409, 570
Léopold II, empereur germanique, 164, 497
Lepelley (C.), 54, 80, 84, 85
Lerouge (G.), 292, 297, 298, 317
Leroy (H.), 321
Leroy (M.), 29, 267, 293, 296, 317, 334,
349, 356, 357, 416, 449, 466, 467, 481,
494, 496, 549, 576, 582
128
Mayeur (J.-M.), 67, 156, 215, 253, 377, 380,
382, 386, 503
Mayeur (L.), 156
Maystadt (Ph.), 282, 513
Mazeaud (L.), 462
Mégret (Commentaire), 579
Mehl (L.), 23, 235, 264, 266, 275, 294, 296,
298, 299, 311, 314, 322, 323, 334, 334,
338, 338, 423, 424, 439, 442, 450, 451,
452, 453, 453, 455, 480, 480
Mehl (R.), 199
Melanchthon (Ph. Schwarzend dit), 114,
121, 125, 126, 127, 127
Méline (J.), 322
Mendras (A.), 440
Mendras (H.), 27, 351
Mercier (cardinal), 178
Meriaud, 557
Mérigot (J.-G.), 349
Merkel (A.), 464
Merkli (R.), 575
Merle (E.), 349
Merlin Walch (O.), 311
Meslin (M.), 84
Messner (F.), 31, 387, 388, 393, 394, 406,
408, 409, 410
Messori (V.), 490
Mestre (J.-L.), 22
Meyer (R.), 254
Michaud (C.), 363
Michel (N.), 567
Mill (J. Stuart), 248, 519
Millan (Ph.), 296
Millet (Ch.), 406
Millet (H.), 91
Miltitz (K. von),112
Milza (O.), 163
Minne (P.), 517
Minnerath (R.), 191
Miquel (J. von) , 258, 455, 545, 548, 556
Mirabeau (G. H. Riqueti de), 369
Miraillet (J.), 322
Molière, 425
Molina (L.), 162, 179
Molinier,18, 299
Molinier (J.), 311, 328, 479
Mollat (G.), 360
Mollat (M.), 249
Mollien (F. N.), 341
Mon (A.), 508
Mondini (A.), 314
Monnier (Fr.), 507
Monnier (J.-M.), 238, 240, 241, 242, 243,
454, 511
Montagnier (G.), 578, 581, 582, 582
Montesquieu (Ch. de Secondat, baron de),
166, 489
Morand (P.), 584
Mani, 83
Manil (C.), 24
Manin (B.), 511, 554
Mann (F. K.), 449
Mantz (P.), 463
Marc (Saint ~ l'évangéliste), 42
Marche (F.), 322
Marchessou (Ph.), 299, 311, 323, 329, 459
Marcinkus (Mgr P.), 373
Margairaz (A.), 265, 291, 294, 298, 312,
317, 335, 339, 421, 575
Margiotta-Broglio (F.), 407
Marguerat (D.), 44, 55, 57, 63
Marguerite de Constantinople, comtesse de
Flandre, 150
Marie Thérèse, impératrice, 106, 163, 402,
497
Marini (Ph.), 518
Marion, 158
Marion (H.), 359, 366, 367, 368, 369, 370
Marion (M.), 158, 166, 173, 362, 363, 364,
365, 367, 368, 370, 397, 398, 399, 401,
402, 403, 420, 429, 458, 493, 496, 497,
514
Marré (H.), 385
Marrou (H.), 22, 25, 80, 82, 84, 86
Marshall (A.), 243, 257
Marsile de Padoue, 105
Martin (A.), 83
Martin (P.-E.), 19
Martin (Ph.), 413, 580
Martín Dégano (I.), 405
Martinez (J.-Cl.), 27, 43, 51, 139, 142, 149,
159, 184, 190, 201, 263, 263, 264, 265,
266, 268, 276, 277, 282, 287, 292, 293,
294, 294, 296, 299, 305, 308, 308, 309,
313, 326, 335, 335, 336, 339, 339, 349,
359, 372, 376, 449, 453, 463, 464, 465,
480, 481, 482, 499, 506, 510, 515, 526,
559, 585
Martinez de Codes (R. M.), 392
Marx (K.), 12, 231, 249, 256, 544
Marx (N.), 374, 377, 382, 383, 384, 385
Marx (R.), 246, 247
Masmejan-Fey (L.), 456
Massenet (M.), 470
Massonnet (J.), 54
Mathieu (J.-L.), 357, 358
Mathiot (J.), 239
Matthieu/Lévi (Saint), apôtre, 43- 45, 49
Matthieu (Saint ~ l'évangéliste), 42, 49
Maublanc (J.-P.), 328, 422, 582
Maublanc-Fernandez (L.), 328, 422
Maugenest (D.) s. j., 183, 195, 280, 450,
491, 524
Maurice, électeur et duc de Saxe, 115, 122
Mauss (M.), 138
129
Mordant de Massiac (B. de), 340
Mordillat (G.), 54, 55, 56, 62
Moreau de Beaumont, 495
Morerod (J.-D.), 88
Morselli (B.), 324
Morvan (I.), 322
Müller (G.), 259
Mun (A. de), 502
Müntzer (T.), 114, 120, 125, 126
Murad (N.), 249, 252
Musco (E.), 303
Mussolini (B.), 100, 101
Myrdal (G.), 290
N’Guyen Quoc (V.), 265, 541
Naharro (J. M.), 508
Napoléon, 527
Napoléon III, 99, 108
Naudet (J.-Y.), 176, 462, 478
Naumann (Fr.), 255
Navatte (B.), 310
Necker (J.), 367, 527
Neel (B.), 328
Nemo (Ph.), 169, 225, 226, 231, 235, 240,
244
Néron, 80, 238
Neuer (J.-J.), 318, 515, 516
Neurisse (A.), 158, 158, 159, 165, 359, 366,
367, 368, 369, 395, 430
Neveu (E.), 299, 318, 340, 456
Neyens (A.), 533
Nicolas (J.), 272
Nicolet (Cl.), 42, 487
Nietzsche (Fr.), 201
Nitti, 557
Nixon (R.), 292
Nizet (J.-Y.), 336, 358, 527, 529
Nobel (A.), 290
Nodet (E.) o. p., 62
Noël (G.), 308, 321, 331
Nogaret (G. de), 90, 104
Noguet (M.), 481
Noiriel (G.), 484
Norelli (E.), 44
Normandeau (A.), 334
Nouel (C.), 519
Nougayrède (D.), 480
Oakley (F.), 126, 130
O'Brien (D. P.), 241
O'Brien (J.), 16
Olléon (L.), 445
Onorio di Méo (J.-B. d’), 13, 17, 22, 183,
280, 373
Oppetit (B.), 162
Origène, 67
Orsoni (G.), 21, 185, 225, 226, 234, 261,
336, 357, 357, 358, 425, 426, 427, 430,
432, 446, 447, 449, 449, 452, 455, 562,
562
Ortoli (F.), 454
Osse (M. von), 221, 250
Otton Ier, empereur, 87
Oualid (W.), 556
Owens (J.), 456
Pacaut (M.), 86, 87, 89, 92, 94, 95, 96, 108,
148, 153, 155, 156, 182
Padelletti (G.), 324
Paire (A.), 322
Pais (S.), 102
Palmer (M.), 16
Pancrazi (L.), 159
Parizeau (J.), 583 , 583
Parsons (T.), 513
Pascal (J.), 504
Pascal du Saint-Sacrement, 170
Passage (H. du) s. j., 176, 278, 278, 279
Paul de Tarse (Saint Paul), 42, 43, 51, 55,
55, 57, 57, 58, 60, 62, 63, 64, 89, 117,
124, 133, 135, 147, 152, 170, 174, 191,
192, 197, 198, 207, 208, 209, 210, 211,
218, 268, 269, 270, 278, 350, 511
Paul IV, pape, 121
Paul VI, (G. B. Montini), pape, 183, 184,
185, 188, 189, 373
Paultre de Lamotte (J.), 332
Pedrot (Ph.), 456
Peel (Sir R.), 248, 545
Pelayo (A.), o. f. m., 155
Pellet (R.), 454
Pena (M.), 570
Péna (M.), 13
Perben (D.), 321
Perdrieux (P.), 509
Perelman (C.), 291
Pérez de Ayala (J. L.), 166
Perez-Prendes Y Munoz de Arraco (J.-M.),
91
Périer (Casimir), 501
Perini (A.), 303
Périvier (H.), 454
Perrin (J.), 188
Petri (O.), 115
Petty (W.), 241
Philip (L.), 275, 285, 299, 311, 358, 376,
498, 501
Philippe (J.-J.), 405, 525, 526, 580
Philippe de Béthune, 160
Philippe II, roi d'Espagne, 90, 115, 152, 162,
283, 522
Philippe IV le Bel, roi de France, 90, 92,
103, 104, 111, 155, 321, 322, 362
Philippe VI, roi d France, 152
Philippe le Magnanime, Landgrave de
Hesse, 113, 114, 121
Philonenko (A.), 106
Picavet (E.), 349, 5190
Pichet (E.), 358
130
Rabault (H.), 294, 466
Racine (P.-F.), 328, 338, 440, 441, 442
Raffarin (J.-P.), 466
Raffin (M.-H.), 190
Raffray (M.), 336
Ramond (A.), 463
Ramseyer (J.-P.), 260
Rathenau (W.), 255
Ratzinger (J. cardinal) cf. Benoît XVI, pape
Raulet (G.), 543
Ravaillac, 90
Rawls (J.), 519
Raynaud (Ph.), 93, 111, 484
Raynaud (S.), 220
Readett (A. G.), 312
Reagan (R.), 288, 554
Reboud (L.), 578
Reckers (P.M.), 296
Regnauld (Ed.), 321
Reichman (C.), 201, 242
Reinhard (W.), 97, 113
Rémond (R.), 97, 132, 409, 411
Renard (G.), 270, 278
Renaut (A.), 220
Renaut (M.-H.), 322, 323, 324
Renoir (A.), 177
Renouard (Y.), 89, 97, 360, 476
Renoux-Zagamé (M.-F.), 106, 462
Reuterswärd (E.), 452
Revillon (A.), 507
Reydellet (M.), 92
Reynaud (P.), 451
Reynaud (P.-L.), 28, 267, 281
Reynolds (B. J.), 309
Rials (S.), 93, 111, 220
Ribaud (A.), 194, 292, 575
Ribot (A.), 503
Ricardo (D.), 242, 243, 248, 252
Ricci (J.-Cl.), 13
Richard (Fr. cardinal), 195
Richelieu (A. J. du Plessis cardinal), 166,
231, 235, 274, 275, 285, 495
Rieg (A.), 299, 305
Rigaudière (A.), 150, 152, 368
Ripert (G.), 12, 14, 15, 17, 22, 24, 293, 297,
412
Ritschl (A.),254, 255
Rivoli (J.), 281
Roark (S.J.), 296
Robbez-Masson (Ch.), 298, 305
Robert (J.-M.), 301
Roche (D.), 401
Roche (J.), 174
Rodbertus (J. K.), 257
Rodrigues Pardal (F.), 303
Rogier (L.-J.), 22, 80, 82, 83, 84, 87, 89, 93
Rohrbach (P.), 255
Romilly (J. de), 14
Picon (R.), 260
Pie VI (Braschi), pape, 97
Pie VII (G. B. Chiaramonti), pape, 98, 363
Pie IX (G. M. Mastaï Ferretti), pape, 98, 99,
101, 107, 108
Pie X (Saint), (G. Sarto), pape, 278, 373
Pie XI (A. Ratti), pape, 100, 186, 490, 491,
525
Pie XII (E. Pacelli), pape, 182, 183, 188,
189, 190, 195, 197, 279, 280
Pierre (J.-L.), 519, 559
Pierre (Simon/Pierre, Saint), 49, 50, 95, 117
Pietri (Ch.), 67, 156, 215, 386
Pietri (L.), 67, 215, 386
Piétri (M.), 414
Pietri (N.), 548
Pigou (A. C.), 243, 257
Piketty (T.), 509, 510, 516
Piligkou (E.), 139
Pinney (N.), 296
Piou (J.), 502, 503
Pires (M.), 350
Pirou (G.), 170
Pirovano (A.), 468, 579
Pitoun (M.), 463, 464
Pitt (W.) le jeune, 252, 545, 556, 562
Plagnet (B.), 329, 412, 424, 526
Plessis-Mornay (Ph. de Plessis dit du), 284
Pleven (R.), 453
Plongeron (B.), 170
Plumet (H.), 142
Poffets (J.-M.), 44
Poidevin (R.), 112, 116
Polanyi (K.), 138
Pollman (Ch.), 294, 466
Polybe, 81
Pombal (S. J. marquis de), 107
Ponce Pilate, 55
Poncela (P.), 323, 329
Poncet (R.), 91, 364, 369, 396, 397, 398, 399
Pont-Chelini (B.), 387, 409
Pontier (J.-M.), 280
Potier (M.), 469
Pound (R.), 24
Poupard (P.), 96, 99, 101
Prélot (P.-H.),31, 393, 394
Prétot (X.), 498
Presas Barrosa (C.), 405
Prieur (J.), 53, 55, 56, 62
Priol (J.-M.), 319
Proudhon (P.-J.), 177
Ptolémée de Lucques, 153
Pufendorf (S.), 218, 220, 221, 221, 222, 224,
225, 226, 229, 229, 230, 232, 233, 233,
234, 234, 235, 235, 236, 236, 237, 238,
238, 240, 241, 285, 416, 416, 430, 430
Quillet (J.), 96, 156
Quinet (E.), 24
131
Seckendorff (V. L. von), 217, 234
See (H.), 476
Séguier, avocat général, 514
Seligman (E. R. A.), 28, 349, 509, 545, 547,
547, 548, 548, 549, 556
Septime-Sévère, 80
Sepulchre (V.), 329
Serée de Roch (L.), 507
Sériaux (A.), 14, 17, 18, 30, 370, 371
Serlooten (P.), 268, 299, 411, 412, 413, 414,
415, 445
Seyfahrt (C.), 543
Sfez (L.), 328
Sibille (P.), 317, 582
Siegert (F.), 63
Siegfried (A.), 176
Sieraczek-Abitan (M.), 329
Signoret (A.), 322
Silbertztein (C.), 319
Simmel (G.), 477
Simon (Lord), 316
Simonnot (Ph.), 77, 235
Sixte Quint, pape, 90, 521
Skinner (Q.), 283, 284
Smith (A.), 229, 238, 239, 240, 241, 242,
248
Smith (E.), 293, 386, 407
Smith (Mgr P.), 193, 194
Soler (J.), 141, 143
Sombart (W.), 475, 560
Sorel (D.), 464
Soto (D. de), 226, 520
Souvorov (D. V.), 481
Spielmann (D.), 467
Spindler (J.), 275, 468, 469, 501, 505, 506,
506, 510, 515, 519, 528, 579, 581
Spinoza (B.), 217
Spitz (P. E.), 329
Spooner (L.), 201
Steichen (A.), 349, 480
Stephens (J. R.), 248
Stephens (P.), 207, 208
Sterdyniak (H.), 454, 455, 584
Steven (P.), 178, 179, 181, 420
Stœcker (A.), 254,255
Stoetzel (J.), 294
Stolleis (M.), 215, 216, 217, 218, 219, 220,
221, 226, 232, 234, 235, 250, 262
Strauss (L.), 350
Stumm (K. von), 255
Stumpf (S. E.), 14
Sturzo (Don L.), 101
Suarez (Fr.) s. j., 148, 162, 198, 226, 270
Suétone, 56
Sueur (Ph.), 359, 362, 363, 365, 369, 403
Sugranyes de Franch (R.), 321
Sully (M. de Béthune duc de), 160, 367
Summer (Lord), 308, 316
Rosanvallon (P.), 12, 24, 504
Rosembuj (T.), 310
Rosen (M. de), 278
Rossi (O. cardinal), 17
Rothbard (M.), 201
Rouet (Mgr A.), 280
Rouland (N.), 20, 22
Rousseau (D.), 498
Rousseau (J.-J.), 226
Rousseaux (S.), 470
Rouvillois (Ph.), 263, 278
Rovan (J.), 111, 114, 121, 122, 123, 125
Royer (J.), 448
Royer (J.-P.), 153
Ruyssen (Th.), 256
Sacchetto (Cl.), 581
Sachs (J.), 20
Sadeleer (N. de), 470, 581
Sahlins (M.), 137
Saidj (L.), 289
Saint-Alary-Houin (C.), 268, 411
Saint-Pierre (Abbé de), 277
Saint-Pierre (Ch. I. Castel, abbé de), 523
Salazar (A.), 109, 508, 533, 533, 568
Salin (P.), 459
Salvien de Marseille, 70, 71, 72,72, 73, 74,
74, 75, 75, 76
Samaran (Ch.), 360
Sanders (E. P.), 44
Sandlers (D.L.), 296
Sangnier (M.), 177, 503
Saunier (Ph.), 415, 444
Sautel (G.), 402
Sauvy (A.), 451
Sauzet (P.), 322
Say (J.-B.), 501
Scailteur (C.), 162, 203, 277, 308
Schaub (M.), 125
Schirmann (S.), 112, 116
Schmidt (J.), 32, 510
Schmidt (K.), 259
Schmitt (Th.), 469
Schmölders (G.), 26, 262, 264, 265, 293,
295, 297, 298, 344, 463, 480
Schnapper (B.), 19
Schnerb (R.), 502, 503, 505, 513, 527, 529
Schober (A.), 543
Scholz (J. T.), 296
Schönborner (G.), 215
Schrameck (O.), 406
Schubert (H. von), 79
Schumpeter (J. A.), 28, 240, 241, 243, 243,
246, 355, 548, 252, 256, 256, 257, 355,
562, 562, 575
Schwarzenegger (A.), 288
Schweitzer (S.), 176, 182, 478
Schwienhorst-Schöneberger (L.), 259
Scordia (L.), 151,152, 152, 153, 154
132
Utz (A. F.), 190
Vacant (A.), 258
Valdrini (P.), 370, 371, 372
Valensin (A.), 180
Valéry (P.), 11
Valla (Lorenzo), 87
Vallée (A.), 480
Vallée (L.), 328
Vallet (O.), 60
Van den Abeele (M.), 584
Van Houtte (J.), 282
Vandeginste (B.), 507
Vapaille (L.), 519
Varnerot (V.), 11, 20, 21
Vauban (S. Le Prestre de), 225, 496 , 496
Vautier (P.), 335
Venard (M.), 156
Ventejol, 559
Verdussen (M.), 379
Vermigli (Pierre Martyr dit),130
Vernant (J.-P.), 30
Verne (J.), 449
Verneuil (D.), 340, 342, 413
Verny (J.-F.), 278, 349, 440
Verri (P. comte), 241
Verthamon (V. de), 376, 384, 385, 386, 387,
388, 394
Victor-Emmanuel II, roi d'Italie, 89, 99
Vidal Gallardo (M.),405
Viessant (C.), 581, 581
Vigneron (B.), 329
Vignes (D.), 578
Vignes (J.-B. M.), 157
Villemot (D.), 579
Villeneuve-Bargemont (A. Vte de), 168,
168, 177, 177, 415, 415, 418, 418, 491,
504, 523, 528
Villers (R.), 28, 163, 164, 363, 400, 401, 402
Villey (M.), 26, 26, 41, 54, 64, 68, 69, 70,
81, 87, 96, 104, 125, 128, 128, 148, 186,
210, 217, 218, 269, 287, 462
Vincent (B.), 88, 90, 91, 93, 97, 125
Visser’T Hooft (W. A.), 260
Vivien (R.-A.) , 328, 466
Vogel (J.), 294
Vogel (K.), 299, 305
Vogelsang (K. von), 490
Voisin (J .-L.), 75
Volland (Fr.-Ad.), 321
Vouga (F.), 56, 58, 59, 61
Wachsmann (P.), 317
Wägenbaum (R.), 578, 579
Wagner (A.), 28, 254, 255, 256, 257, 257,
332, 333, 349, 493, 544, 545, 563, 563,
571
Waldeck-Rousseau (R.), 499
Waline (J.), 329, 464, 557
Waline (M.), 328, 432
Sutherland (E.), 334
Swedberg (R.), 28
Tabatoni (P.), 529
Tabouillot (M.), 463
Tacite, 56, 238
Taddei (B.), 266, 298, 342
Talleyrand (Ch. M. de ~ Périgord), 367
Taminiau (J.), 324
Taubes (J.),58, 60, 61, 62, 63
Tausen (H.), 115
Tawney (R. H.), 475
Terra (B.), 584
Terré (F.) , 22, 22, 412, 477
Tertullien, 64
Thatcher (M.), 554
Théas (Mgr P.-M.), 194, 194, 196, 280
Thibaut-Payen (J.), 359
Thierry (J.-J.), 100, 374, 407
Thiers (A.), 498, 501, 502, 504, 505, 523,
527
Thilmany (J.), 308, 309
Thireau (J.-L.), 274
Thomas d’Aquin (Saint), 17, 90, 93, 147,
148, 148, 149, 150, 151, 152, 153, 156,
162, 171, 197, 198, 203, 204, 211, 269,
270, 347, 417, 504, 517
Tiano (A.), 168
Tierney (B.), 13, 91
Tikka ( Prof. K. S.), 299
Tilliette (J.-Y.), 104
Tipke (K.), 464
Tixier (G.),292, 293, 299, 301, 309, 311,
323, 519, 527
Tocqueville (Ch. A. CLÉREL de) , 275, 341,
341, 342, 465, 494
Todd (E.), 27
Todt (R.), 254
Torres Gutiérrez (A.), 163
Toulemon (A.), 336
Touret (P.), 93
Tournié (G.),300, 301, 303, 330, 331, 332,
333, 334, 358
Touzery (M.), 496, 496, 497
Trémeur (M.), 336, 340
Treves (R.), 482
Trigilia (C.), 28
Trionfo (Ag.) o. p., 155, 155
Trœltsch (E.), 25, 225, 255, 539, 539, 541,
541, 543
Troisfontaines (P.), 335
Troper (M.), 78
Troplong (R. Th.), 321
Trotabas (J.-B.), 355
Trotabas (L.), 18, 298, 311, 350, 355, 453
Tschopp (P.), 209
Turchetti (M.), 90, 126
Ungemuth (M.), 463
Urbain II, pape, 90
133
Wallerstein (I.), 476
Wallon (H.), 170
Walz (W. R.), 581
Wanegffelen (T.), 110, 112, 114, 118, 121,
123, 126
Warren (E.), 288
Washington (G.), 465
Wathelet (M.), 583
Watt (J. H.), 95
Wattel (P.), 584
Weber (M.), 18, 19, 20, 25, 26, 41, 225, 227,
255, 255, 265, 465, 475, 477, 478, 482,
482, 483, 483, 484, 485, 486, 542, 543,
561, 563, 566, 567, 569, 575, 576, 577,
579
Weck (R. de), 380, 410
Wenger (A.), 192
Werding (M.), 259
Werner (K. F.), 78, 79
Whately (R.), 248, 541
White (E.), 495
Wilbois (J.), 279, 281
Willaime (J.-P.), 199, 214, 215, 223, 260,
450
Winandi (J.-P.), 306, 324, 533
Wœhrling (J.-M.), 31
Wolfgang d’Anhalt, 114
Yver (J.), 396
Zacharie, pape, 87
Zachée, 47, 48, 49, 66
Zancarini (J.-Cl.), 90
Zbinden (M.), 24
Zébédée, 49
Zenati (F.), 16
Zénon, 81
Zwingli (H.), 122, 125, 200, 207, 208, 214
134
INDEX RERUM
CEDH, 325, 326
CJCE, 414, 580
Courses de chevaux, 427, 432, 436, 437
CSG, 513, 516, 533, 534
Cultes (budget des ~), 171, 174, 175
Cultes (régime des ~), 31, 378, 393, 406,
408, 409, 410
Denier de Saint-Pierre, 61, 372, 373
Dette, 139, 145
Dette (à l'égard des dieux), 137, 138
Dette (fiscale), 74, 207
Dette publique, 171
Dettes de guerre, 550, 556, 557
Dettes de jeu, 429
Deux glaives (doctrine des ~), 95, 96, 154
Deux règnes (doctrine des ~), 123-126, 128,
263
Développement économique, 231, 234, 432,
449, 475, 476, 480, 508, 521, 550, 557,
562, 566, 569, 570, 577
Devoir fiscal, 239, 245, 253, 258, 262, 267,
278, 279, 286, 288, 290, 295, 347, 350,
544, 575
Didrachme, 50, 52
Dîmes (ecclésiastiques), 104, 161, 166, 203,
205, 246, 247, 259, 359, 363, 365-369
Dîmes (judaïsme), 141, 141, 142
Dîmes (seigneuriales), 368
Dixième (impôt français du ~), 496, 502,
508
Doctrine (juridique),13, 15, 17, 18
Doctrine sociale de l’Eglise, 19, 24, 182,
193, 461, 478, 490
Don, 138, 140, 141
Donation de Constantin, 87
Drogue, 196, 414
Droit canon, 12, 17, 30, 30, 79, 89, 92, 278,
364, 370, 396400, 400, 402
Droit comparé, 23, 26, 324
Droit des gens, 215,217
Droit naturel, 13, 14, 20, 21, 29, 37, 125,
126, 148, 162, 176, 180, 180, 181, 195,
217, 218, 219, 220, 225, 284, 285, 350,
462
Droit pénal fiscal, 304, 310, 330, 332, 343,
347, 413
Droit positif, 14, 29, 37, 125, 126, 129, 148,
298, 299, 305, 364, 464
Egalitarisme, 258, 492, 493, 511, 538-542,
566
Abgabenordnung (AO), 302, 304, 305, 325,
336
Abus de droit, 298, 305, 306, 307, 308, 309,
310, 330
Accises, 235, 424
Acte anormal de gestion, 298, 306, 422, 423,
424
Aides, 400, 526
Alcabala, 400, 522
Anabaptisme, 121, 122, 128, 207
Anachorèsis fiscale, 311
Analgésie fiscale, 235
Anesthésie fiscale, 235, 563
Anglicanisme, 127, 128, 130, 224, 242, 245,
246, 248, 292, 404, 450, 541, 545, 546,
556, 570, 577
Anglicanisme social, 255
Anthropologie, 140, 524, 569
Anthropologie du droit, 137
Arm’s length principle, 318, 319, 320
Assessed taxes, 562
Augsbourg (Confession d'~), 114, 378
Bagaudes, 72, 75
Baptisme, 225, 390, 391
BIC, 413, 436, 444
Bien commun, 148- 151, 178, 179, 181,
186-189, 191, 193, 195, 196-198, 204,
211, 214, 281, 493, 543
BNC, 413, 415, 431, 436, 441, 442, 444,
445
Bonne police, 216
Bouddhisme, 24
Caméralisme, 215, 216, 219, 226, 234, 241
Casino, 426, 430, 432-435
Casuiste, 179, 270, 336, 522
Catholicisme social, 167-170, 176, 177, 182,
245, 253, 255, 350, 502, 503
Césaro-papisme,83, 85, 115
Climats fiscaux (théorie des ~), 263, 568
Code civil, 321, 570
Code Justinien, 82
Colonisation, 15, 16
Communes (Chambre des ~), 121, 290
Concubinage, 442, 455
Confession, 309
Confession helvétique, 213
Confucianisme, 11, 486
Conseil constitutionnel, 328, 376, 466, 541
Conseil d'Etat (CE), 441-443
Contrôle fiscal, 292, 314, 317, 318, 322,
323, 335, 336, 344, 345, 549
Les numéros renvoient aux pages, les numéros en italique renvoyant aux notes infrapaginales.
Calvinisme, Catholicisme, Luthérianisme et Systèmes fiscaux ne sont pas référencés, compte-tenu
de leur présence quasi-systématique dans l’ensemble des développements.
135
ISI, 335, 335
Islam, 11, 13, 15, 16, 19, 137, 140, 143, 145,
150, 264, 265, 351, 569
Jansénisme, 13, 570
Jésuites, 92, 100, 107, 162, 178, 195, 270,
278, 279, 417, 420
Judaïsme, 13, 19, 52, 59, 61, 63, 80, 137,
140, 143, 150, 351, 569
Juge fiscal, 17, 305, 322, 324, 325, 334, 415,
439, 440, 442
Justice divine, 14, 129, 207, 506
Justice fiscale, , 20, 21, 37, 71, 73, 75, 162,
167, 179, 186, 187, 205, 225, 226, 238,
278, 349, 358, 415, 454, 464, 467, 494,
504, 523, 562, 569
Justice humaine, 207
Justice sociale, 20, 179, 187, 195, 358, 506,
524, 529
Karlsruhe (Cour constitelle allemande), 464,
557
Kirchensteuer, 374, 376-377, 379-386
Kulturkampf, 101, 109, 116
Légalité, 16, 21, 58, 185, 203, 338, 438
Lords (Chambre des ~), 309, 316 , 546, 546
Loto, 435- 438
Luxe, 416-424, 430
Mariage, 127, 439, 440, 442, 448-460, 500
Mariages mixtes, 383
Mercantilisme, 165, 219, 430
Mètis, 30
Néo-guelfisme, 98
Notbischof, 119, 120, 253
Obrigkeit, 124, 200, 203, 205, 206, 285
Oppression (fiscale), 74
Opus Dei, 18, 95, 103, 109, 281, 370, 533
Ordres religieux, 92, 101
Ordres sociaux, 362, 465, 466, 495, 496, 522
Orthodoxie, 11, 81, 387
PACS, 439
Paradis fiscal, 298, 310-313, 319, 374, 570
Part maudite, 138, 141, 525, 569
Pauvre, 47, 48, 52, 66, 68, 69, 74, 75, 91,
143, 145, 169, 176, 204, 205, 208, 211,
213, 246-250, 366, 415, 417, 418, 426,
450, 489, 492-494, 497, 520- 524
Pauvre (dîme du ~ dans le judaïsme), 141
Pensée religieuse (notion), 11-13
Pères de l’Eglise, 40, 42, 58, 65
Pères de l’Eglise, 12, 39, 41, 57, 64-76, 147,
524
Poll-tax, 449
Poor Law, 246-248
Potlach, 493
Presbytérianisme, 224, 247, 283
Privilèges fiscaux, 29, 164, 166, 229, 357,
358, 407, 461, 464, 465, 466, 516
Prostitution, 413, 438, 439, 443, 445
Protestantisme social, 253-258
Egalité, 148, 166, 174, 504, 511, 514, 516,
522, 539, 540, 541, 543, 578
Einkommensteuer, 302, 496, 498, 507, 548,
549, 556
Etat de police, 226
Evasion fiscale, 184, 298, 299, 300, 303,
304, 305, 307, 311, 314, 320, 330
Evitement de l’impôt, 267, 293, 296, 308,
310, 317, 334, 449, 481, 495
Femmes entretenues (jurisprudence des ~),
413, 439, 440
Finances de guerre, 549, 550
Forces créatrices du droit, 15
Fouages, 158, 159, 377
Franc-maçonnerie, 26
Fraude fiscale, 135, 146, 184, 185, 196, 219,
242, 262, 263-345, 347, 350, 421, 422,
524, 575
cf. résistance à l'impôt
Gabelle, 166, 167, 209, 272, 273, 287, 341,
342, 400, 425, 449, 495, 526, 527
Garantie des droits du contribuable, , 238,
317, 344
Guerre de Smalkalde, 114, 129
Guerre des paysans (Bauernkrieg), 114, 120,
123, 126, 203
Guerre mondiale (première), 99, 179, 181,
292, 517, 545, 549, 556, 557, 565, 576
Guerre mondiale (seconde), 294
Harmonisation fiscale européenne, 29, 578585
Hiérarchie, 60, 94, 101, 108, 118, 119, 120,
121, 125, 127, 138, 139, 163, 165, 182,
237, 402, 489, 490, 493, 495, 496, 537,
540, 543, 566
Homosexualité, 439
Impositions quasi-fiscales, 432, 432, 433
Impôt d’Eglise, 61, 259, 374-394
Impôt sur la dépense, 520, 525, 527, 530,
533, 560, 564, 565
Impôt sur le capital, 514, 516, 517, 535, 538,
556, 568
Impôt sur les jeux, 426, 428, 429
Impôt sur les portes et fenêtres, 289
Impôt sur le revenu (IR), 266, 302, 376, 379,
383, 384-386, 388-394, 440, 442, 444446, 453, 455, 455, 457, 462, 466, 474,
475, 479, 482-573
Impôt sur les sociétés (IS), 406, 406, 446
Impôt de solidarité sur la fortune (ISF), 518,
519, 519, 421, 455, 456, 459
Impôts sur les successions, 405, 456, 457,
457, 460, 558
Income Tax, 496, 501, 533, 545-547, 549,
550
Individualisme, 351
Individualisme méthodologique, 28, 29
IRS, 335, 335, 345
136
Proxénétisme, 413, 439, 443
Psychologie historique, 30
Quotient familial, 15, 448, 454, 510, 513
Rationalité axiologique, 485, 493, 566
Rationalité instrumentale, 111, 309, 335,
344, 475, 485, 538, 544, 559, 561, 563,
569, 576
Rentas provinciales: 400, 400
Résistances à l’impôt, 297, 314, 318, 327,
335
cf. Fraude fiscale
Rétroactivité fiscale, 467
Riche, 52, 66, 73, 74, 75, 169, 176, 190,
228, 230, 231, 232, 247, 252, 273, 280,
293
Sacerdoce et de l’Empire (lutte du) 11541250, 94,154
Sacerdoce universel (doctrine du), 117, 120,
199, 214, 236, 465, 538, 541, 542, 543
Sacré, 12, 13, 15, 41, 42, 79, 83, 139, 145,
357, 521
Sacrifice fiscal, 137, 139, 142, 186, 188
Salut par la grâce, 542, 543, 558
Salut par les oeuvres, 252
Schlamperei, 511, 512
Séparation de l’Eglise et de l’Etat,101,102
Sexualité, 416-438
Société d’états, 236, 488, 489, 491, 494,
511, 569
Sociologie du droit, 23, 30, 355, 477, 482485, 487, 566, 569
487, 492, 493, 494, 495, 582, 585
Sources du droit, 13, 14, 330
Steuerhinterziehung, 299, 305
Steueroase, 311, 312
Steuerumgehung, 299
Steuervermeidung, 299, 305
Subsidiarité, 493
Supertax, 315, 316, 546, 550
Tax avoidance,299, 309
Tax compliance,296
Tax-dodgers, 292
Tax evasion, 299, 299
Taxeringsklender, 291
Testament (Ancien), 153, 568
Testament (Ancien), 568
Testament (Nouveau), 39, 41, 43, 50, 62, 64,
65, 66, 71, 76, 95, 116, 126, 140, 142, 145
TVA, 22, 303, 331, 394, 404, 405, 407, 414,
421, 424, 427, 428, 429, 439, 444, 445,
446, 447, 474, 513, 520, 525, 526, 563,
565, 568, 579, 580, 581, 582
Vermögensteuer, 517
Vols, 413
Weltanschauung (chrétienne), 108, 167, 539
Zakat, 139, 143, 143, 144, 146-148, 264
137
138
TABLE DES MATIÈRES
Remerciements………….…………………………………………………………….…… p. 3
PRINCIPALES ABRÉVIATIONS ………………………………………………………….…...
p. 4
SOMMAIRE ……………………………………………………………………………….... p. 9
INTRODUCTION GÉNÉRALE ……………………………………………………..… p. 11
I. La pensée religieuse parmi les sources du droit …………………… ;….……………… p. 14
II. Pensée religieuse et systèmes économiques …………………………………………… p. 18
III. Influencé de la pensée religieuse sur le droit fiscal …………………………………… p. 20
1ÈRE PARTIE - SOURCES ET FORMATION DE LA DOCTRINE FISCALE DES
RELIGIONS
L’influence de la pensée chrétienne sur la légitimité du pouvoir fiscal
en Europe occidentale ...………………………………………………… p. 35
TITRE 1 - LES FONDEMENTS THÉOLOGICO-POLITIQUES DES DOCTRINES FISCALES
CHRÉTIENNES …………………………………………………………………... p. 39
Chapitre 1 - La place de l’impôt dans les écrits néo-testamentaires et
patristiques……………….………………………………………………... p. 41
Section 1 – L’impôt dans la prédication de Jésus de Nazareth …………………… p. 42
§.1 - Le collecteur d’impôt, personnage de Jésus ………………………………. p. 42
A. Une profession quasi-unanimement méprisée ……………………………. p. 43
1) Des publicains assimilables à des païens, donc exclus de la société
juive …………………………………………………………………... p. 43
2) Des publicains assimilés aux pécheurs et réputés infréquentables …… p. 44
3) Des publicains assimilés aux prostituées mais sauvés car repentis ….. p. 45
4) Des publicains assimilés aux voleurs finalement admis au baptême …. p. 46
B. Des individualités néanmoins remarquables ……………………………… p. 47
1)
Zachée ………………………………………………………………... p. 47
2)
L’apôtre Matthieu (dit aussi Lévi) …………………………………… p. 48
a) L’appel de Matthieu (/ Lévi) ……………………………………… p. 49
b) Les Douze ………………………………………………………… p. 49
§. 2 - La légitimité de l’impôt chez Jésus ……………………………………….. p. 50
A. L’impôt dû au Temple ! …………………………………………………... p. 50
1) La légitimité de l’impôt religieux ……………………………………... p. 50
2) La juste place de l’impôt religieux ……………………………………. p. 51
B. L’impôt dû à César ? ……………………………………………………… p. 52
1) « Est-il permis ou non de payer l’impôt à César ? » …………………. p. 52
139
2) Explications politiques du légalisme fiscal de Jésus …………………. p. 55
Section 2- L’impôt chez les auteurs chrétiens de l’Antiquité ……………………... p. 57
§. 1 - L’impôt chez Paul de Tarse ……………………………………………….. p. 57
A. La théologie politique de Paul de Tarse …………………………………..
p. 58
1) La soumission politique ………………………………………………. p. 58
2) L’explication théologique …………………………………………….. p. 60
B. La Théologie fiscale de Paul de Tarse ……………………………………. p. 60
1) La soumission à l’impôt ………………………………………………. p. 60
2) La confirmation de la position de Jésus ………………………………. p. 62
3) La relativité de la place de la Loi, notamment la Loi fiscale …………. p. 63
§. 2 - L’impôt chez les pères de l’Eglise ………………………………………… p. 64
A. Le développement de la pensée fiscale néotestamentaire ………………… p. 64
1) La condamnation conditionnelle des collecteurs d’impôt …………….. p. 65
2) La défense du devoir fiscal ………………………….………………… p. 67
B. La critique fiscale originale de Salvien de Marseille ……………………... p. 70
1) La dénonciation de la surpression fiscale …………………………….. p. 71
a) Le système fiscal du Bas-Empire ……………………………….… p. 71
b) La fuite face à l’impôt ……………………………………………. p. 71
2) L’exigence de la justice dans l’imposition ……………………………. p. 73
a) La dénonciation de l’oppression des collecteurs d’impôts ………. p. 73
b) L’exigence d’une juste répartition de la charge fiscale ………….. p. 74
c) Le constat du détournement privé du produit des impôts ………... p. 75
Conclusion du chapitre ……………………………………………………………… p. 76
Chapitre 2 - La Légitimité religieuse de l’Etat moderne, contexte politique de
formation des doctrines fiscales religieuses en Europe …………..….. p. 77
Section 1 - Grandeur et décadence du pouvoir temporel de l’Eglise catholique ... p. 78
§.1 – La gestation antique du conflit ……………………………………………. p. 79
A. L’assimilation du territoire chrétien au territoire de l’Empire romain …... p. 80
B. Le modèle de l’unité religieuse de la population impériale romaine ……. p. 81
C. L’héritage d’Ambroise et d’Augustin en matière de souveraineté ………. p. 83
§.2 – L’apogée médiéval du pouvoir papal ……………………………………... p. 86
A. La création et la défense des Etats du pape ……………………………… p. 87
B. Universalité du pouvoir de Rome sur les âmes et les privilèges des clercs p. 88
1) L’auctoritas papal sur l’ensemble des catholiques ………………….. p. 89
140
2) Les immunités des clercs ……………………………………………... p. 91
C. L’affirmation du pouvoir temporel souverain de l’Eglise catholique …….. p. 92
§.3 – L’affirmation des Etats à l’époque moderne ……………………………... p. 96
A. De la splendeur avignonnaise à la réduction vaticane …………………… p. 97
B. La reconnaissance forcée des nationalités ……………………………….. p. 100
C. La fin des limites pontificales à la souveraineté des états . ……………… p. 102
1) Les premières tornades médiévales ………………………………….. p. 103
2) La tempête absolutiste ……………………………………………….. p. 106
3) L’ouragan révolutionnaire …………………………………………… p. 107
Section 2 – La soumission des Eglises protestantes à l’Etat ……………………… p. 110
§.1 – Le contrôle du territoire …………………………………………………… p. 111
A. L’exemple du soutien de l’électeur de Saxe à Luther ……………………
p. 112
B. La lutte des princes protestants pour secouer la tutelle impériale et
pontificale ………………………………………………………………... p. 113
C. L’affirmation territoriale des princes luthériens des bords de la Baltique ..
p. 115
§.2 – Le contrôle de la population ………………………………………………. p. 116
A. La doctrine du sacerdoce universel ………………………………………
p. 117
B. La doctrine du prince-Notbischof ………………………………………... p. 119
C. Le principe cujus regio, ejus religio ……………………………………… p. 121
§.3 – Le contrôle du pouvoir souverain ………………………………………… p. 123
A. L’obéissance politique selon Luther ……………………………………..
p. 123
1) La politique de Luther : la doctrine des deux règnes ………………..
p. 124
2) La théologie politique absolutiste de la Réforme luthérienne ……….. p. 125
a) L’absolutisme de Martin Luther
p. 125
b) L’absolutisme chez Melanchthon
p. 126
B. L’obéissance politique selon Calvin ……………………………………..
p. 127
1) La doctrine politique de Calvin .. ……………………………………. p. 128
2) La notion anglicane d’obéissance passive …………………………… p. 130
Conclusion du chapitre ……………………………………..…………………………. p. 132
Conclusion du Titre ……………………………………………………………………... p. 133
TITRE 2 - LE DEVOIR
FISCAL LES DOCTRINES FISCALES CHRÉTIENNES ET LA LÉGITIMITÉ
RELIGIEUSE DE L’IMPÔT EN EUROPE ……………………………………………
p. 135
Section préliminaire –Les racines religieuses du devoir fiscal (considérations
générales) ………………………………………………………… p. 137
141
§.1- Du sacrifice rituel à l’impôt ……….……………………………………….. p. 137
A. La dette de l’homme à l’égard des dieux ………………………………… p. 138
B. Le sacrifice fiscal au pouvoir sacré ……………………………………… p. 139
§.2- La conception du devoir fiscal dans les autres religions du Livre ….……
p. 140
A. La réglementation hébraïque autour de l’impôt ……..…………………...
p. 140
B. La Zakat, pilier de l’islam ………………………………………………... p. 143
Chapitre 1 - Les évolutions du devoir fiscal à travers la doctrine catholique ……….. p. 147
Section 1- Les conséquences de la lutte politique sur la pensée fiscale catholique .
p. 147
§.1- Le devoir fiscal dans la pensée catholique médiévale .……………………
p. 147
A. St Thomas d’Aquin, le devoir fiscal et l’impôt juste …………………….
p. 147
1) La loi juste …………………………………………………………… p. 148
2) L’impôt juste …………………………………………………………. p. 150
B. La relativisation du devoir fiscal et les controverses autour du pouvoir
fiscal du prince …………………………………………………………… p. 152
1) Un développement théorique complémentaire : Le roi doit vivre du
sien …………………………………………………………………… p. 152
2) Les controverses avec le pape autour du pouvoir fiscal royal :
l’imposition des clercs ..……………………………………………… p. 154
§.2- Le devoir fiscal dans la pensée catholique d’Ancien régime ..……………. p. 157
A. Le maintien des controverses fiscales médiévales sous la Renaissance .... p. 157
1) La conscience du caractère extraordinaire de l’impôt …..…………... p. 157
2) La justification permanente du prince …..……………………………. p. 159
B. Le soutien financier mesuré de l’Eglise nationale sous l’absolutisme ...… p. 161
1)
Le maintien des conceptions traditionnelles ………….……………... p. 162
2)
Le renforcement du soutien des églises nationales au pouvoir fiscal p. 163
du prince ……………………………………………………………...
Section 2 - Le devoir fiscal dans la pensée catholique moderne …………………... p. 167
§.1- De la contre-révolution au ralliement à la fiscalité républicaine: les
soubresauts du catholicisme social ..………………………………………. p. 167
A. Mgr Freppel, l’école économique libérale d’Angers et la bataille pour la
monarchie …………………………………………………………..……. p. 170
1) La critique du gaspillage de la dépense publique ……………….…... p. 171
2) La mise en garde contre l’aggravation de la pression fiscale …..…… p. 173
3) La défense du devoir fiscal …………………………………………... p. 174
B. La postérité de l’école de Lièges et les catholiques sociaux ralliés à la
République …………………………………………………………..…… p. 176
142
1) Le fondement catholique du devoir fiscal .…………………………… p. 177
2) Le respect du devoir fiscal …….……………………………………... p. 179
3) Les limites de la loi fiscale ..………………………………………….. p. 181
§.2- La doctrine fiscale catholique contemporaine …….………………………. p. 182
A. Les conceptions fiscales pontificales ..……………………………..…….. p. 182
1) La défense du devoir fiscal, exigence morale …….…………………..
p. 183
a) Le fondement du devoir fiscal ………….………………………. p. 183
b) La condamnation de la fraude …….…………………………… p. 184
2) La justice dans le prélèvement fiscal, maintien des conceptions
sociales catholiques ...………………………………………………... p. 185
a) Les limites au prélèvement fiscal : le droit de propriété ……….. p. 186
b) L’exigence d’équité dans la répartition de la charge fiscale : la p. 187
contribution selon les capacités contributives ………………….
c)
L’efficacité économique du prélèvement fiscal .………………... p. 188
B. Les catéchismes de l’Eglise et publications catholiques ……….………... p. 190
1) Le Catéchisme de l’Eglise catholique (1992 et 1998) .………………. p. 191
2) Les publications des Eglises nationales ……………………….……... p. 192
Conclusion du chapitre ……………………………………………………………… p. 197
Chapitre 2 : La stabilité du devoir fiscal à travers la doctrine protestante …………
p. 199
Section 1 - Le devoir fiscal à travers des écrits des grands réformateurs ………..
p. 200
§.1- La pensée fiscale de Martin Luther …………………………….………….. p. 200
A. L’opposition aux impôts pontificaux, base conjoncturelle de la doctrine
fiscale réformée ………………………………………………………….. p. 200
B. Les conséquences fiscales pérennes de l’Obrigkeit chez Luther ……….... p. 203
1) Les réminiscences de la critique scolastique des impôts injustifiés …
p. 204
2) La défense des droits de l’autorité à prélever l’impôt ……………….
p. 205
§.2- La pensée fiscale de Huldrych Zwingli …………………………………….. p. 207
A. L’ouverture zwinglienne aux questions économique ……………………. p. 207
B. Le devoir fiscal, corollaire du devoir d’obéissance ……………………… p. 207
§.3- La pensée fiscale de Jean Calvin …………………………………………… p. 208
A. La légitimité de l’impôt ………………………………………………….. p. 209
p. 209
1) Le devoir fiscal
2) Le fondement de la légitimité de l’impôt ……………………………... p. 210
B. Les devoirs de l’autorité en matière fiscale ……………………………… p. 211
C. Le devoir d’obéissance aux magistrats indignes ………………………… p. 212
143
Section 2 - Le devoir fiscal dans la pensée protestante sous l’Ancien Régime …… p. 214
§.1- L’enracinement de la légitimité de l’impôt ………………………………... p. 216
A. Le courant dominant de défense du devoir fiscal ………………………... p. 216
B. L’apport des théoriciens constitutionnels ………………………………... p. 223
§.2- Le développement d’une doctrine fiscale « rationaliste » ………………… p. 225
A. La répartition de l’impôt et la proportionnalité ………………………….. p. 226
1) La proportionnalité de l’impôt chez Hugo Grotius ………………….. p. 227
2) La proportionnalité de l’impôt chez Thomas Hobbes ……………….. p. 227
3) La proportionnalité de l’impôt chez Samuel Pufendorf …………….. p. 229
B. L’efficacité économique de l’impôt ……………………………………... p. 230
1) La protection du commerce par la modération fiscale …………….… p. 231
2) L’efficacité des choix fiscaux du point de vue économique ………….. p. 232
3) L’efficacité des choix fiscaux du point de vue financier ……………... p. 233
C. L’efficacité de l’administration fiscale …………………………………... p. 234
1) La recherche du mode de perception le plus aisé : les ébauches
d’anesthésie fiscale …………………………………………………... p. 235
2) La recherche du mode de perception le plus économique : la défiance
à l’égard de l’affermage ……………………………………………... p. 236
Section 3 - Le devoir fiscal dans la pensée protestante des XIXe et XXe siècles ….. p. 239
§.1- Influence et remise en cause des conceptions fiscales « protestantes »
chez les économistes classiques …………………………………………….. p. 239
A. Le renversement de la doctrine fiscale protestante chez les économistes
classiques ………………………………………………………………… p. 240
1) La mise en valeur de l’individualisme dans la conception
smithienne de l’impôt ………………………………………………. p. 240
2) Le développement de la méfiance à l’égard de l’impôt chez les
économistes classiques ……………………………………………... p. 242
B. La rupture totale des économistes contemporains avec la doctrine fiscale
protestante ………………………………………………………………... p. 243
§.2- L’utilité sociale de l’impôt et l’interventionnisme social de l’Etat …….… p. 245
A. L’opposition protestante aux poor laws ……………………………….… p. 246
B. L’absence de remise en cause de l’autorité fiscale ………………………. p. 248
1) La conception protestante du « pauvre » et la motivation morale …... p. 249
2) La conception protestante de l’impôt et la motivation économique …. p. 251
§.3- Le maintien du principe du devoir fiscal ……………………………….…. p. 253
A. La faible dimension fiscale des formes sociales du protestantisme au
XIXe siècle ……………………………………………………………….. p. 253
144
1) « Petitesse » et décadence politiques du protestantisme social …….... p. 253
2) Innovations fiscales du protestantisme social ……………………..…. p. 255
B. L’expression contemporaine du devoir fiscal …………………………..... p. 258
Conclusion du chapitre ………………………………………………….…………... p. 262
Chapitre 3 - La considération religieuse de la fraude fiscale selon les confessions
religieuses …………………………………………………………………. p. 263
Section 1 La condamnation générale de la fraude fiscale …………………………. p. 267
§.1- La condamnation de la fraude fiscale par le catholicisme ……………..…. p. 268
A. Un droit de résister incertain ………………………………………….…. p. 268
1) Les fondements thomistes des deux théories de résistance aux lois
fiscales ……………………………………………………………….. p. 269
a) La doctrine de Saint Thomas et la résistance aux lois fiscales
injustes …………………………………………………………. p. 269
b) Les successeurs scolastiques et la théorie des Leges mere
poenales ……………………………………………………...…. p. 270
2) La caution et la participation des clercs aux pratiques anti-fiscales ...
p. 271
a) La participation de clercs aux révoltes anti-fiscales de l’Ancien
régime ……...…………………………………………………… p. 272
b) La réticence persistante des catholiques à l’impôt jusqu’au seuil
du XXe siècle ……………………………………………………. p. 275
B. Un droit de frauder inexistant ……………………………
p. 277
§.2- La condamnation de la fraude fiscale par le protestantisme
p. 282
A. Les conséquences fiscales quasi-nulles du droit de résistance protestant
1) Des théories du droit de résistance très marquées par leur époque
p. 282
p. 283
2) Les textes anti-fiscaux des grands réformateurs restés à l’état de
potentialités …………………………………………………………... p. 286
B. Le principe de condamnation de la fraude fiscale …………………………………… p. 288
1) La condamnation de la fraude fiscale à la suite de la Réforme ……… p. 288
2) La condamnation protestante contemporaine de la fraude fiscale ….. p. 289
Section 2 La légitimité relative de la sanction de la fraude fiscale ………………... p. 295
§.1 – La dimension morale du cadre des pénalités fiscales en Europe ……… p. 296
A. La difficulté de définition juridique des résistances à l’impôt …….…….. p. 297
1) Les conceptions nationales de la fraude fiscale ……………………... p. 298
a) L’approche différenciée de la doctrine ………………………… p. 298
b) L’approche indifférenciée du droit positif ……………………… p. 300
145
2) Les notions complémentaires sanctionnant la trop grande habileté
fiscale : l’abus de droit et l’acte anormal de gestion ………………... p. 305
3) La dimension morale de la notion de « paradis fiscal » ……………... p. 311
B. Les objectifs divergents des moyens de contrôle fiscal ………………..… p. 314
1) Les retards dans la lutte contre la fraude fiscale internationale …….
p. 318
2) La contrainte par corps (contrainte judiciaire) ……………………. .
p. 321
§.2- L’effectivité des sanctions prononcées contre les résistances à l’impôt …. p. 327
A. L’exemplarité des peines prévues contre les résistances à l’impôt ……… p. 327
1) La nature des sanctions de la fraude fiscale ……………….………... p. 327
2) Le contenu des sanctions de la fraude fiscale ……………………….. p. 330
a) Les sanctions administratives et les sanctions pénales
principales ……………………………………………………… p. 330
b) Les sanctions pénales accessoires ……………………………… p. 332
B. Les peines effectivement prononcées ………………………………….… p. 334
1) Le rôle de l’Administration …………………………………………..
p. 334
a) Les moyens de l’Administration en matière de lutte contre les
fraudes ………………………………………………………….. p. 334
b) Les pratiques administratives en matière de lutte pénale contre
les fraudes ………………………………………………………. p. 336
2) Les peines prononcées par le juge …………………………………… p. 338
a) La pratique répressive des juges ………………………………..
p. 338
b) Les motivations morales répressives des juges ………………… p. 340
Conclusion du chapitre ………………………………………………………….…...
p. 344
Conclusion du Titre ………………………………………..…………………………….. p. 347
CONCLUSION DE LA 1ÈRE PARTIE ………………………………………………………….... p. 349
2NDE PARTIE - LA
RÉCEPTION DE LA DOCTRINE FISCALE DES RELIGIONS DANS LES
SYSTÈMES FISCAUX EN EUROPE
L’influence de la pensée religieuse sur la conception des systèmes
fiscaux en Europe ………………………………….....…………………. p. 353
TITRE 1 - L’INFLUENCE DE LA PENSÉE RELIGIEUSE SUR LES POLITIQUES FISCALES EN
EUROPE …………………………………………………………………..…….. p. 357
Chapitre 1 - La protection fiscale des Eglises ……………………………………..…… p. 359
Section 1. Le Droit fiscal et financier religieux …………………………………….. p. 359
Sous-section 1 - Histoire des prélèvements obligatoires religieux ……………………. p. 360
§.1 – La fiscalité religieuse reposant sur les clercs ……………………………... p. 360
A. La structure variée des relations financières entre le pape et les clercs …. p. 361
146
1) Les prélèvements ordinaires …………………………………….…...
p. 361
2) Les prélèvements extraordinaires…………………………………….
p. 362
B. La captation princière des relations financières entre le pape et les clercs
p. 362
1) L’incorporation des prélèvements réguliers à la fiscalité royale ……. p. 362
2) La transaction sur les prélèvements irréguliers ……………………... p. 363
§. 2 – La fiscalité religieuse reposant sur les fidèles …………………………… p. 364
A. Les caractéristiques juridiques complexes de la dîme ecclésiastique …… p. 364
1) L’assiette et le taux de la dîme ……………………………………….. p. 365
2) Le recouvrement de la dîme ………………………………………….. p. 366
3) Le contentieux de la dîme ……………………………………………. p. 366
B. Les désavantages économiques et politiques de la dîme ecclésiastique …. p. 367
1) Le poids économique de la dîme ……………………………………... p. 367
2) Le poids politique de la dîme ………………………………………… p. 368
3) L’abrogation de la dîme………………………………………………. p. 369
Sous-section 2 - Le maintien contemporain d’une imposition religieuse …………….. p. 370
§. 1 – Les prélèvements internes à l’Eglise catholique ………………………… p. 370
A. Le financement des églises catholiques nationales ………………………. p. 371
B. Le financement du Saint-Siège …………………………………………... p. 372
1) L’importante contribution des diocèses ……………………………… p. 372
2) La gestion des revenus patrimoniaux ………………………………... p. 372
3) Les autres sources de revenu ………………………………………… p. 374
§. 2 – La fiscalité religieuse instaurée par les Etats ……………………………. p. 374
A. Les principes constitutionnels de l’impôt d’Eglise ………………………. p. 375
1) Les sources constitutionnelles positives de l’impôt cultuel :
l’Allemagne …………………………………………………………... p. 376
2) Les sources constitutionnelles négatives de l’impôt cultuel …………. p. 378
B. Les deux modèles de la fiscalité religieuse d’Etat ……………………….. p. 379
1) Le modèle « luthérien » d’impôt cultuel ……………………………... p. 380
a)Le sous-modèle allemand d’impôt cultuel ………………………... p. 380
Les personnes soumises à l’impôt d’Eglise …………………. p382
Les modalités de prélèvement de l’impôt d’Eglise ………….. p. 384
b)Le sous-modèle scandinave d’impôt cultuel ……………………… p. 386
Les personnes soumises à l’impôt d’Eglise …………………. p. 387
Les modalités de prélèvement de l’impôt d’Eglise ………….. p. 388
2) Le modèle catholique d’affectation d’une part de l’IR ………………. p. 388
147
a) Les techniques communes d’affectation religieuse d’une part de
l’IR ……………………………………………………………… p. 389
b) Les divergences quant aux églises bénéficiaires de la part d’IR . p. 390
) Pluralisme de confessions bénéficiaires en Italie …………… p. 390
) Monisme catholique en Espagne ……………………………. p. 392
Section 2. Le Droit fiscal des religions ……………………………………………...
p. 394
Sous-section 1 – Histoire des privilèges fiscaux religieux ……………………………. p. 395
§.1 - Histoire des privilèges fiscaux des Eglises ………………………………… p. 395
A. L’acquisition des biens d’Eglise …………………………………………. p. 396
B. La gestion des biens d’Eglise ……………………………………………. p. 397
1) L’exemption de fiscalité réelle ………………………………………
p. 397
2) L’exemption du droit de gîte …………………………………………
p. 398
§.2 - Histoire des privilèges fiscaux des ecclésiastiques ………………………... p. 398
A. Les privilèges des clercs en matière d’impôts directs …………………...
p. 398
B. Les privilèges des clercs en matière d’impôts indirects …………………. p. 399
§.3 – Les disputes relatives aux privilèges fiscaux religieux …………………... p. 401
A. La défense par le clergé de ses privilèges fiscaux ……………………….. p. 401
B. Les compensations des privilèges fiscaux du clergé …………………….. p. 402
Sous-section 2 - Les privilèges fiscaux ecclésiastiques contemporains ………………. p. 403
§.1 - Les privilèges fiscaux contemporains des Eglises ……………………...…. p. 403
A. La garantie juridique des biens d’Eglise ………………………………… p. 403
B. Les privilèges fiscaux des revenus et des biens d’Eglise ………………... p. 404
§.2- Les privilèges fiscaux contemporains des ecclésiastiques ………………… p. 408
Conclusion du chapitre : Quel modèle européen de relation Eglises-Etats ? ……. p. 409
Chapitre 2. La protection fiscale des valeurs des Eglises ……………………………... p. 411
Section 1. L’interventionnisme fiscal à tendance pluriconfessionnelle …………... p. 411
§.1 – L’interventionnisme fiscal moraliste ……………………………………… p. 411
A. La fiscalité morale du luxe ………………………………………………. p. 416
1) La condamnation morale nuancée du luxe …………………………... p. 416
2) Les éléments de fiscalisation du luxe ………………………………… p. 420
B. La fiscalité morale des dépenses de loisir ……………………………….. p. 424
1) La fiscalité des spectacles et divertissements ………………………... p. 426
2) La fiscalité des jeux d’argent ………………………………………… p. 429
148
C. La fiscalité morale des comportements et activités sexuels ……………... p. 438
1) La répression fiscale des comportements sexuels « immoraux » ……. p. 439
2) La répression fiscale des activités professionnelles « sexuelles » …… p. 443
a) Fiscalité de la prostitution ……………………………………... p. 443
b) Fiscalité de la pornographie …………………………………… p. 446
§. 2 - L’interventionnisme fiscal et la Famille ………………………………….. p. 448
A. La politique fiscale et l’existence de la famille ………………………….. p. 451
1) La prise en compte des charges de famille dans l’imposition des
revenus ……………………………………………………………….. p. 451
2) La protection du mariage contre les autres type d’organisation
familiale ……………………………………………………………… p. 455
B. La politique fiscale de transmission des biens de famille ……………….. p. 456
1) Les avantages fiscaux des familles en matière de droits de succession
et de mutation ………………………………………………………… p. 456
2) La question de la transmission des biens professionnels familiaux …. p. 459
Section 2. L’interventionnisme fiscal à tendance uniconfessionnelle .……………. p. 461
Sous-section 1 L’interventionnisme fiscal à tendance catholique ………………..…… p. 461
§. 1 - Le droit fiscal et le droit de propriété …………………………………….. p. 461
A. La doctrine religieuse de défense de la propriété ……………………...… p. 461
B. Un interventionnisme fiscal difficilement identifiable …………...……… p. 462
§. 2 - Le droit fiscal et le maintien des structures sociales : les privilèges
fiscaux ……………………………………………………………………... p. 465
Sous-section 2 L’interventionnisme fiscal à tendance protestante ……………………. p. 467
§.1 - Le droit fiscal des affaires et les garanties fiscales de la concurrence …... p. 467
§.2 – Le droit fiscal environnemental …………………………………………… p. 469
Conclusion du chapitre ……………………………………………………………… p. 470
Conclusion du Titre ……………………………………………………………………... p. 471
TITRE 2 - L’INFLUENCE DE LA PENSÉE RELIGIEUSE SUR LA STRUCTURE DES SYSTÈMES
FISCAUX EN EUROPE …………………………………………………………… p. 473
§. 1 – Les conceptions économiques des religions chrétiennes ………………… p. 473
A. La conception économique de la dépense dans la religion juive ……..…
p. 474
B. Les conceptions économiques des doctrines chrétiennes européennes .…
p. 475
1) Le caractère incertain des doctrines économiques chrétiennes ……... p. 475
2) Les affinités économiques attribuées au catholicisme et au
protestantisme ………………………………………………………... p. 477
149
§.2 - Hypothèse de typologie religieuse des systèmes fiscaux européens ……... p. 479
A. Eléments de typologie des systèmes fiscaux …………………………….. p. 480
B. Les deux types idéaux de système fiscal « religieux » …………………... p. 482
Chapitre 1 - Pensée catholique et systèmes fiscaux à dominante d’imposition de la
dépense ……………………………………………………………………. p. 487
Section 1 - Les réticences catholiques à l’égard des impôts sur le revenu et sur le
capital …………………………………………………………………….
p. 487
Sous-section 1 - Les réticences catholiques à l’égard de l’impôt sur le revenu ………. p. 488
§. 1 - Les implications religieuses de l’imposition du revenu dans l’éthique
catholique …………………………………………………………………. p. 488
A. La défense d’une société d’états …………………………………………. p. 488
B. La défense des revenus et de la fortune attachés au rang social …………. p. 492
§. 2 - Les faiblesses relatives de l’imposition du revenu dans les pays
catholiques ………………………………………………………………. p. 494
A. La postériorité catholique de l’imposition moderne du revenu ..………… p. 494
1) Les essais historiques d’impositions des revenus ……………………. p. 494
2) L’adoption tardive des impôts modernes sur le revenu ………….…..
p. 498
a) Les forces en présence ………………………………………….. p. 498
) Le principal acteur de l’adoption de l’IR en France : Joseph
Caillaux ……………………………………………………... p. 498
) Les opposants à l’impôt sur le revenu ………………………. p. 501
b) La difficulté de l’adoption d’impôt sur le revenu ………………. p. 504
B. La faiblesse structurelle de l’imposition « catholique » du revenu ……… p. 509
1) Les entraves techniques à l’extension de l’imposition des revenus ….. p. 509
2) L’absence constante de légitimité politique de l’impôt sur le revenu . p. 510
a) Les réticences à utiliser l’imposition sur le revenu comme
moyen politique ………………………………………………… p. 511
b) Les tendances récurrentes à la diminution de l’imposition sur le
revenu …………………………………………………………... p. 512
Sous-section 2 - Les réticences catholiques à l’imposition du capital ……………...… p. 514
§. 1 - Les implications religieuses de l’imposition du capital dans l’éthique
catholique ……………………………………………………………….… p. 514
§. 2 – Les faiblesses relatives de l’imposition du capital dans les pays
catholiques ………………………………………………………………… p. 515
A. Les faiblesses de l’imposition des produits de la fortune mobilière en
France ………………………………………………………………… p. 515
B. Les faiblesses de l’imposition synthétique du capital …………………… p. 517
150
Section 2 - La préférence des pays catholiques pour l’imposition de la dépense ... p. 520
§. 1 - Les implications religieuses de l’imposition la dépense dans l’éthique p. 520
catholique
§. 2 – L’importance de l’imposition de la consommation dans les pays
p. 525
catholiques
A. L’avancée catholique en technique d’imposition de la dépense
p. 525
B. L’importance de l’imposition de la dépense dans les pays catholiques
p. 526
1) Eléments d’analyse statistique de la part des impôts sur la
consommation
p. 527
2) Eléments d’analyse politique de la part des impôts sur la
consommation
p. 534
Conclusion du chapitre ……………………………………………………………… p. 535
Chapitre 2 - Pensée protestante et systèmes fiscaux à dominante d’imposition des
revenus …………………………………………………………………….. p. 537
Section 1 - Les moindres réticences protestantes à l’égard des impôts sur le
revenu et sur le capital ……………………………………………….. p. 538
Sous-section 1 - Les moindres réticences protestantes à l’égard de l’impôt sur le
revenu …………………………………………………………………………………. p. 538
§. 1 - Les implications religieuses de l’imposition du revenu ………………….. p. 538
A. Le rôle du protestantisme dans la création du cadre politique de
l’imposition des revenus ……..……..……..……..……..……..……..…... p. 539
B. Le rôle du protestantisme dans la conception de l’unité d’imposition des
revenus : l’individualisme ……..…....……..……..……..……..……..….. p. 540
1) L’influence contestable du protestantisme sur l’égalitarisme supposé
de l’imposition du revenu ……..……..……..……..……..……..…….. p. 540
2) L’influence vraisemblable du protestantisme sur la personnalisation de
l’impôt sur le revenu ……..……..……..……..……..………………... p. 542
§. 2 – La prépondérance moderne de l’imposition du revenu dans les pays
protestants ……..……..……..……..……..……..……..……..……..…….. p. 544
A. L’antériorité protestante de l’imposition moderne du revenu …………… p. 545
1) Les modèles historiques d’impôt sur le revenu moderne ……..……...
p. 545
a) Le cas anglais d’imposition cédulaire sur le revenu : un p. 545
anglicanisme fiscal ? ……………………………………………...
b) Le cas allemand d’impôt synthétique sur le revenu : un p. 547
luthérianisme fiscal ?……………………………………………...
2) Les finances de guerre (1914-1918) ……..……..……..……………... p. 549
a) L’intérêt heuristique des finances de guerre ……..……..……..…. p. 549
b) La pratique européenne des finances de guerre ……..…………... p. 550
151
B. La continuité structurelle de l’imposition protestante du revenu ………... p. 551
1) La continuité statistique de l’imposition protestante du revenu ……... p. 551
2) La question des réductions contemporaines des impôts sur le revenu . p. 554
Sous-section 2 - Les moindres réticences protestantes à l’égard de l’impôt sur le
capital ………………………………………………………………. p. 556
§.1 – L’antériorité protestante de l’imposition synthétique du capital ……….
p. 556
A. Les premières expériences ……..……..……..……..……..……………… p. 556
B. Le cas de l’impôt sur le capital pour rembourser les dettes de guerre …… p. 557
§.2 – Les techniques d’imposition du capital en pays protestants …………….. p. 558
A. Les droits de succession ……..……..……..……..……..……..……..…... p. 558
B. L’imposition de la fortune ……..……..……..……..……..……..……..… p. 559
Section 2 - L’absence de préférence des pays protestants pour l’imposition de la
dépense ……..……..…………..……....……….……..………..……..….. p. 560
§.1 – Le rationalisme fiscal, aspect favorable à l’imposition de la dépense …... p. 561
§. 2 – Relativité de la faiblesse de l’imposition de la dépense dans les pays
protestants ……..……..……..……..……..……..……..……..……..…….. p. 563
A. Les « retards » protestants à adopter d’imposition moderne de la dépense p. 563
B. La faiblesse très relative des impôts sur la dépense en pays protestants .... p. 564
1) L’analyse statistique de l’imposition de la dépense en pays protestants
p. 564
2) L’analyse logique de l’imposition de la dépense en pays protestants …. p. 565
Conclusion du chapitre ……………………………………………………………… p. 566
Conclusion du Titre ……………………………………………………………………... p. 567
CONCLUSION DE LA SECONDE PARTIE …………………………………………………….. p. 573
CONCLUSION GÉNÉRALE
Différences culturelles (conceptions religieuses de l’impôt) et harmonisation fiscale
européenne ...……………………………………………………………………………... p. 575
I - Les avancées de l’harmonisation fiscale européennes ………………………………… p. 578
II- Les limites de l’harmonisation fiscale européenne ……………………………………. p. 581
ANNEXES
Annexe 1. Actes budgétaires du Saint-Siège (1994) ……………………………………..
Annexe 2. Articles de la Constitution de Weimar relatifs à la religion et aux sociétés
religieuses……………………………………………………………………….
Annexe 3. Graphiques. Structure de la fiscalité dans les pays membres de l’OCDE, 19652002 …………………………………………………………………………….
p. 587
p. 588
p. 590
p. 593
BIBLIOGRAPHIE …………………………………………………………………………... p. 599
INDEX NOMINUM
p. 675
INDEX RERUM …………………………………………………………………………….. p. 689
152
Résumé : La pensée religieuse fait partie, selon Ripert, des forces créatrices du droit. Si l’impôt est un élément
constitutif du pouvoir souverain, il n’est cependant qu’un objet secondaire des doctrines sociales des Eglises
chrétiennes, dont les conceptions fiscales sont motivées par des fondements théologico-politiques. Si l’éclatement
protestant a favorisé sa soumission au pouvoir fiscal du prince, l’unité catholique maintenait une attitude plus
réservée. L’abandon catholique du modèle féodal est contemporain de la déchristianisation des sociétés
européennes. L’affirmation unie du devoir fiscal accompagne donc désormais des sociétés où le civisme fiscal
décline. Quant à l’influence de ces doctrines chrétiennes sur le droit fiscal positif, l’étude comparée des systèmes
européens révèle qu’elle est moins directe qu’indirecte. En effet, l’interventionnisme fiscal à but religieux ou moral
est des plus réduit. Il se limite à certains aspects « archaïques » des régimes fiscaux. En ce qui concerne la structure
des systèmes fiscaux, au contraire, cette influence semble plus forte. Elle oppose la rationalité axiologique, au sens
de Weber, du catholicisme, qui a freiné l’adoption de l’impôt sur le revenu, à la rationalité instrumentale du
protestantisme, qui a favorisé l’adaptation des systèmes fiscaux au développement économique moderne.
Resumen: El pensamiento religioso es una de las fuerzas creadoras del Derecho. El impuesto, fenómeno
constitutivo del poder soberano, es un objeto secundario de las doctrinas sociales de las Iglesias cristianas. Su
concepción impositiva se ampara en fundamentos teológico-políticos. Mientras que la fragmentación de las iglesias
protestantes contribuyó a la aceptación del poder financiero del príncipe, la unidad católica adoptaría una actitud
más moderada. El abandono católico del modelo feudal es contemporáneo a la disminución de la influencia religiosa
en las sociedades europeas. Desde entonces el consenso acerca del deber fiscal forma parte de nuestras sociedades
en las que, sin embargo, el civismo fiscal disminuye. El estudio comparado de los sistemas europeos revela que la
influencia de las doctrinas cristianas sobre el Derecho Tributario positivo es más indirecta que directa. En efecto, el
intervencionismo fiscal con un propósito religioso o moral es muy reducido, limitándose a algunos aspectos
“arcaicos” de los ordenamientos jurídico-tributarios. Por el contrario, en lo que se refiere a la estructura de los
sistemas fiscales esta influencia parece más relevante. En ella se oponen el racionalismo axiológico del catolicismo que puso freno a la aceptación de los impuestos sobre la renta- y el racionalismo instrumental del protestantismo
(que ha coadyuvado en la adaptación de los sistemas fiscales al desarrollo económico).
Summary : Religious thought is part of the creative forces of the law, according to George Ripert. Intrinsic
element of sovereignty, taxation is only a secondary object of the christian church’s social doctrines, whose bases
are theological and political. If the division of protestant churches helped the the State’s tax power compliance, the
united catholic Church as maintained for long time a more reserved attitude towards it. The influence of these
religious teaching on tax laws seems to be more indirect than direct, exactly as shown by comparative studies. In
fact, the religious or moral purposes of tax policies are restricted to some old aspects of tax systems. On the other
hand, the influence on the structure of tax systems seems to be more significant. If the value rationality - according
to Max Weber - of Catholicism tried to hold back the introduction of income taxes, the means-ends rationality of
Protestantism helped to adapt the tax systems to economical development.
Zusammenfassung : Die religiösgedanke ist eine Schöpferkraft des Rechts. Die Steuer ist zwar ein
Grundbestandteil der Souveränität, aber sie ist ein untergeordnetes Thema der Soziallehre der christlichen Kirchen .
Ihre Steuerbegriffe haben theologische und politische Gründe. Die Kirchenenteilung des Protestantismus hat die
Steuerkraft der Obrigkeiten gefördert. Die einheitliche katholische Kirche ist lang zurückhaltend geblieben. Der
katolische Verzicht auf das Lehnsideal der Steuer entsteht gleichzeitig mit dem Einflussverlust des Christentums.
Also ist die einheitliche Lehre der christlichen Kirchen über dem Steuerpflicht eine Begleiterscheinung einer
verminderten Steuermoral. Bezüglich des Einfluss dieser christlichen Steuerlehre auf gelten Steuerrecht zeigt die
vergleichende Untersuchung der europäischen Steuersystemen, dass dieser Einfluss vielmehr indirekt ist.
Tatsächlich ist Steuerpolitik als Religiös- oder Moralpolitik ziemlich beschränkt. Sie betrifft geschichtliche Seiten
der Steuergesetzgebungen. Der Einfluss über dem Aufbau der Steuersystemen sieht stärker aus. Einerseits hat die
katholische Wertrationalität die Annahme der Einkommensteuern gedämpft. Andererseits hat die protestantische
Zweckrationalität die Anpassung der Steuersysteme an der Ökonomisch Entwicklung gefördert.
Mots-clés
Droit fiscal comparé (Europe de l’Ouest) - Doctrines catholique et protestantes - Histoire des doctrines fiscales Histoire du Droit fiscal – Politique fiscale – Sociologie du droit fiscal – Systèmes fiscaux - Théorie de l’impôt
153