Simon Fitzbay présente sa chronique historique musicale «Phénomène» tous les jeudis à 8h dans Assemblage Requis. Cet article a fait l’objet d’une chronique dans l’émission du 22 septembre 2011. Il est présenté tel qu’il a été écrit par son auteur.
Le son stéréophonique est une invention géniale qui remonte à bien plus loin qu’on le pense. Effectivement, bien que le son fit son apparition sur disque dans les années cinquante, il faut remonté jusqu’au XIXe siècle pour retracé les premiers concepts de stéréo. En effet ont dit que la première diffusion stéréophonique remonte à 1884 dans l’Opéra Garnier de paris. Effectivement, basé un un concepte de Clément Ader, on à diffusé la musique de l’opéra dans le bâtiment voisin via deux qui captent à différents endroits de la salle. Il s’agissait alors de la Théatrophonie.
En fait, c’est ça le principe de la stéréo. Deux micros (ou plus) qui capent différents sons dans une pièce ou dans un studio afin de d’offrir un son différent dans deux sorties indépendante l’une de l’autre comme des haut parleur ou des oreillettes. C’est une illusion auditive qui nous fait croire à une structure, une profondeur du son qui se rapproche de l’audition naturelle, ce q’on entend autour de nous. Stréréo vient du grec Stereo qui signifie spatial et solide et phonie vient du grec Phono qui veut dire son, et Ton.
C’est dans les années 30 que la stéréo à été breveté par EMI. C’est Alan Blumlein qui est responsable de l’enregistrement stéréo. Il s’agit d’enregistré le son sur deux bandes indépendante qui seront gravés ensemble et en simultané sur un disque. Sur le disque, le son est gravé sur les deux paroi du rayon.
Par contre, encore à l’époque, on enregistrait en Monophonie. Un seul micro sur une seule piste. On pouvait enregistré sur plusieurs bande, mais le mixte final en comprenait une seule.
Le cinéma à beaucoup aidé à développé la stéréo. Effectivement, les orchestre enregistrait les trames sonores en stéréo sur des enregistreurs multipiste. Le premier film à présenté une trame sonore bidirectionelle est Love Finds Andy Hardy avec Judy Garland présenté en 1938. Le film Fantasia de Walt Disney à aussi enregistré la musique en stéréo (qu’ils appelaient Fantasoud) en 1940. malheureusement, dû au manque de technologie dans les cinéma, la majorité des bande sonore était remixé en mono afin de pouvoir offrir l’ensemble de la musique au public. Cela rend les éditions DVD de ces films plus intéressante puisque l’on peu retrouvé les mixtes originaux sur ces disques.
À la radio, c’est la BBC qui à radiodiffusé en stéréo pour la première fois en 1925. Elle a transmit un concert de musique classique en utlisant les ondes à longue porté pour un canal de son et les ondes moyenne transportait le secon canal audiophonique. Mais la stéréo est resté marginal jusqu’au début du FM dans les années cinquante. En fait, la stéréophonie est devenu le standar du FM qui pouvait diffusé plusieurs son sur la même bande et donc envoyé différent canaux en même temps à l’auditeur.
À la télévision, la stéréo à été possible des les années 50. Dans les années soixante, on innovait en offrant au télespectateur d’allumé sa radio FM et d’entendre un second canal de son en simultané avec celui de leur téléviseur. Cette pratique à été courante jusque dans les années 1990. Par contre, la technologie cablée à rendu le stéréo sur la télé disponible au grand public et ce, sans l’aide d’une station FM. Maintenant, à l’ère du numérique. Il est impensable de mélangé les sons de la télé et de la chaine FM du au délais de la transmition numérique.
Du côté de la musique populaire, la stéréo à pris du temps à se faire de la place. Tout d’abord, soulignons qu’un systême de son stéréos pouvait coûté jusqu’à deux fois plus cher qu’un système mono à son lancement. De plus, les studios d’enregistrement était quelque peu Frileu avec la Stéréo. L’équipement nécessaire pour l’enregistré coûtait extrêmement cher et les producteurs n’était pas tous des pros de la stéréo.
Emmy Cook à créé, en 1952, une nouvelle façon de diffusé le stéréo sur disque avec deux rayons qui diffusent deux canaux à la foi séparément. Chaque rayons nécécitait une aiguille, rendant le prix plus élevé en plus d’un nouveau système de son.
C’est le label Audio Fidelity Records qui débute la production de masse de disque stéréo pour grand public. On y retrouvait sur la face A : The Duke of Dixieland et sur la face B, un train qui semblais passé d’un speaker à un autre. 500 copies ont été pressé et le président de la compagnie, Sydney Frey, à pris une page publicitaire dans le magasine Billboard ou il offrait gratuitement une copie de ce disque à n’importe qui de l’industrie lui envoyant une lettre avec l’entête de leur compagnie.
Ce pressage de masse du premier disque Stéréo à aidé à lancé cette méthode d’enregistrement qui reste encore la plus populaire aujourd’hui. Les maisons de disque ont commencé à enregistré leurs artistes sur plusieurs pistes avec plusieurs microphone et mixé ces enregistrements en mode stéréo. Soyez des nôtres la semaine prochaine, lorsque je vous présenterai comment le Stéréo s’est tranquillement installé dans nos foyer ainsi que sur nos disques favoris afin de devenir le standard d’enregistrement que l’on connait aujourd’hui.