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Le grand dessein aborigène de Bérengère Primat

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«Territoire autour du Mont Allan», de Clifford Possum Tjapaltjarri.
Bérengère Primat: «S’occuper de cette fondation est un vrai bonheur plus qu’un travail.»
«Territoire autour du Mont Allan», de Clifford Possum Tjapaltjarri.

Cela fait dix-huit mois maintenant que Bérengère Primat a repris la Fondation Pierre Arnaud à Lens/Crans-Montana. Elle l’a rebaptisée Fondation Opale, du nom d’une pierre mythologique de la culture aborigène. C’est de cet art, en effet, que la mécène du haut plateau est tombée amoureuse il y a maintenant dix-huit ans, lorsque son ex-mari, l’artiste et galeriste parisien Arnaud Serval, lui avait fait découvrir l’Australie et sa population autochtone où lui-même avait vécu jeune adulte. «Il m’a permis d’avoir accès à ces gens-là et de découvrir le savoir-faire ancestral de cette communauté d’Océanie.»

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