Catalogue des formations 2011 à télécharger - sujetlibre
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Notre démarche d’action de formation<br />
L’organisme de formation AFORE a une longue expérience du champ de la formation professionnelle continue. Ses<br />
propositions de formation s’adressent principalement aux préoccupations et interrogations <strong>des</strong> professionnels<br />
exerçant dans les établissements, services et collectivités de la branche sociale, médico-sociale, gérontologie et<br />
de l’Economie Sociale. Le service de formation AFORE se trouve à l’articulation <strong>des</strong> champs théoriques, conceptuels<br />
et <strong>des</strong> pratiques professionnelles. C’est l’attention, la tension, la mise en commun de ces différents champs qui<br />
peuvent produire un certain changement, un déplacement, une certaine élaboration, une certaine réflexion nécessaire<br />
à l’action.<br />
u Une certaine posture méthodologique<br />
1. Des <strong>formations</strong> accompagnantes<br />
Notre premier moyen pour développer la qualité de nos <strong>formations</strong> est une écoute de la demande de formation et une traduction de cette demande<br />
en vue d’une élaboration.Le développement se fait ainsi en fonction <strong>des</strong> besoins que les professionnels expriment, tout en tenant compte et en<br />
analysant les enjeux, intérêts, ressources de tous les protagonistes de l’action de formation. C’est suite à cette démarche que nous développons<br />
les nouveaux thèmes et champs de formation, à partir <strong>des</strong> principes suivants :<br />
u Une interdisciplinarité dans la mise en place de nos stages avec une grande diversité d’approche, tant théorique (psychologique, économique,<br />
historique, phylosophique, psychanalytique, systémique, sociologique, droit, anthropologique...) que méthodologiques.<br />
u Le décloisonnement <strong>des</strong> pratiques sociales et l’ouverture <strong>des</strong> échanges inter-institutionnels.<br />
2. Des démarches diversifiées et complémentaires<br />
u Une démarche constructiviste. Toute connaissance est construite, c’est-à-dire activement mémorisée, assimilée, incorporée aux représentations<br />
existantes.<br />
Il y a une véritable démarche constructiviste :<br />
- si on part <strong>des</strong> représentations préalables <strong>des</strong> participants<br />
- si on les rend auteurs de leur projet de formation et premiers responsables de sa mise en œuvre<br />
- si on crée <strong>des</strong> situations-problèmes qui les confrontent et les obligent à de nouveaux apprentissages<br />
- si le savoir disciplinaire ou méthodologique est déconnecté <strong>des</strong> problèmes auxquels il est censé apporter une réponse<br />
- si on laisse aux participants le temps de s’égarer dans les chemins de traverse, de tâtonner, de revenir en arrière<br />
- si on impose un itinéraire unique à parcourir à un rythme standard<br />
- si on s’arrête pour réfléchir sur les conditions et les modalités de l’apprentissage<br />
- si rien n’est négociable.<br />
u Une démarche interactive. qui signifie un développement de la capacité de communiquer, négocier, coopérer. Une dimension d’apprentissage du<br />
conflit est nécessaire. Cet apprentissage met l’accent sur le travail en équipe et la communication autour d’un projet, d’une tâche. Ceci est d’autant<br />
plus vrai lorsqu’une partie du travail porte sur <strong>des</strong> représentations ou <strong>des</strong> pratiques à travers <strong>des</strong> formes de verbalisation, de confrontation, d’analyse<br />
partagée.<br />
u Une démarche clinique. L’important est de stimuler et de rendre inventif et rigoureux le va-et-vient entre l’expérience et l’observation ; l’action<br />
d’une part, la mise en perspective théorique d’autre part. Il s’agit d’une démarche réflexive, d’une forme d’apprentissage active de savoirs appartenant<br />
aux sciences humaines. Il faut comprendre cet ensemble de savoirs non comme un guide d’action, mais comme une grille de lecture et d’outils<br />
d’interprétation du réel. Toutefois la démarche clinique vise quand même à une transformation de la personne.<br />
u Une démarche différenciée. Une conscience de la part de nos formateurs, qu’il y a, dans un groupe de participants d’une formation, une<br />
différenciation <strong>des</strong> parcours. Quelques critères peuvent être : l’expérience professionnelle, l’âge, le sexe, le genre, l’habitus, la scolarité, les parcours<br />
de formation dans d’autres <strong>formations</strong>. Ainsi on tient compte de la diversité <strong>des</strong> expériences sur le terrain.<br />
u Une volonté de coopération pour une action collective commune<br />
La SCOP AFORE, a la volonté de travailler davantage en collaboration avec<br />
d’autres acteurs du champ médico-socio-éducatif, pour bénéficier de leur<br />
particularité et de leur savoir-faire spécifique. Il s’agit pour AFORE de propulser<br />
une réelle action collective autour de l’objet formation en agrégeant<br />
différentes compétences, afin de créer une dynamique d’action qui sera,<br />
selon les principes d’AFORE, au plus près <strong>des</strong> préoccupations du terrain.<br />
L’élaboration, l’analyse, la discussion constante et régulière entre ces<br />
différents acteurs autour <strong>des</strong> enjeux et <strong>des</strong> besoins en matière de formation<br />
professionnelle, pourra être une garantie supplémentaire sur la capacité de<br />
créativité de la SCOP AFORE, en prise avec les enjeux contemporains.<br />
1
F O R M A T E U R S<br />
SABRIAL Sylvain : Consultant, formateur spécialisé sur les questions interculturelles, de mobilité internationale et les projets européens.<br />
SANDRIEU Danièle : Médecin diplômée en médecine traditionnelle chinoise et en psychosomatique, thérapies de relaxation, psychothérapeute,<br />
formatrice auprès d’associations et institutions.<br />
SANTOINE Jean-Yves : Psychothérapeute pour adolescents, adultes et couples. Formateur sur la protection de l’enfance, la maltraitance et la violence.<br />
Animateur de groupes d’analyse <strong>des</strong> pratiques professionnelles dans le secteur social et éducatif.<br />
SATLAN Dominique : Psychologue, clinicienne, psychothérapeute familial et individuel, formatrice-expert auprès de la cour de Lyon. Etu<strong>des</strong> systèmiques.<br />
SAUTANT DORIER Claire : Maître de conférences, spécialité en Sociologie à la Faculté <strong>des</strong> Sciences Humaines et Sociales de St Etienne.<br />
SBADIOU Madeleine : Musicothérapeute, éducatrice spécialisée. Expériences d’ateliers de musicothérapie auprès d’enfants IMC aux troubles associés,<br />
enfants en difficultés scolaires, auprès d’adultes handicapés moteurs, personnes âgées. Formation musicale classique et électroacoustique.<br />
SBADIOU Roland : Formateur en sciences humaines, expériences de chef de service éducatif.<br />
SBAROU Jacques : Anthropologue, chercheur au CNRS/CERAT Grenoble, formateur, spécialiste <strong>des</strong> questions d’immigration en France.<br />
SBAYLE Reine-marguerite : Artiste mime et clown, responsable de la compagnie «Clownambule-Théâtre».<br />
Intervenante agrée par la direction <strong>des</strong> Affaires Culturelles en milieu scolaire, au théâtre de Narbonne, scène nationale et en milieu hospitalier.<br />
SBELBARHI Abdelkader : Enseignant chercheur sociologue, Université de Saint-Etienne.<br />
SBELKIS Dominique : Maître de conférences, spécialité en Sociologie à la Faculté <strong>des</strong> Sciences Humaines et Sociales de St Etienne.<br />
SBENGUIGUI Jean-Claude : Psychologue, psychanalyste et formateur en travail social.<br />
SBERTON Jean-Marc : Formateur, expérience de directeur d’un centre d ‘hébergement et de réinsertion et de travail social.<br />
SBICHET Raymond : Formateur, animateur DEFA, sociologue, consultant en développement local et ingénierie sociale.<br />
SBONNOT Christine : Traductrice interprète, Ingénieur en formation sur l’analyse <strong>des</strong> mécanismes interculturels ou intra culturels à l’œuvre dans la<br />
mutation de notre société et notamment sur les aspects organisationnels, relationnels, identitaires et identités métiers.<br />
SBOTEA Bianca : Enseignante à la Faculté d’Anthropologie et de Sociologie (Université Lumière Lyon 2).<br />
SCASALIS Olivier : Psychologue, psychanalyste, ancien infirmier. Supervision individuelle et supervision d’équipes, actions de formation dans le secteur<br />
médico-social et éducatif.<br />
SCARTAILLAC Sabine : Chanteuse et professeur de chant.<br />
SCOIFFEY Jean-Pierre : Educateur spécialisé, sociologue, consultant et formateur.<br />
SCROS Michaël : Artiste pluri média issu <strong>des</strong> Beaux-arts de Marseille et de Lyon. Travaille la question du corps à travers la danse, la marionnette et l’art<br />
numérique.<br />
SCROS Muriel : Docteur en linguistique ; double spécialisation en analyse de discours et en sémiologie de la Poésie ; enseignante de linguistique et de<br />
littérature dans l’enseignement supérieur privé.<br />
SDECOMPOIX Yves : Mosaïste, prix rhônalpin 2008 du savoir-faire. Prix départemental SEMA 2008 <strong>des</strong> Métiers de la Tradition.<br />
SDJEMOUR Myriam : Chanteuse lyrique et professeur de voix à l’école nationale supérieure du centre dramatique de St Etienne, a animé un chantier<br />
théâtral autour de la voix avec <strong>des</strong> patients en psychiatrie de l’Hôpital de jour de St Etienne.<br />
SDREUX Marie : Sculpteur-céramiste, anime <strong>des</strong> ateliers céramiques dans différentes structures (établissements scolaires, foyers, prison...).<br />
Travail figuratif sur le corps, en grès ou raku.<br />
SDUBERNET Sylviane : Formatrice en Relations Humaines-Psychothérapeute. Diplôme de Hautes Etu<strong>des</strong> en Pratiques Sociales, analyse transactionnelle,<br />
maître praticien en PNL.<br />
SFANGET Jean-Pierre : Sociologue, enseignant à la Faculté <strong>des</strong> Sciences Humaines et Sociales de St-Etienne.<br />
SFAUCHON Yvan : Juriste, chargé de projet<br />
SFAURE Jean-Marie : Docteur, expérience dans <strong>des</strong> secteurs de psychiatrie infanto-juvénile et de psychiatrie adulte dans le cadre de sa fonction de<br />
psychiatre hospitalier. A choisi l’orientation lacanienne à la suite de sa cure analytique.<br />
SFÉNEROL François-Xavier : Psychologue.<br />
SFERRER André : Expérience de directeur de diverses institutions médico-éducatives.<br />
SFILIOD Jean-Paul : Intervenant/chercheur expert à l’Université Lumière Lyon 2.<br />
SFORCE David : Formateurs aux logiciels de bureautique, de PAO et de 3D. Cyber Odyssée Scop rassemble <strong>des</strong> professionnels de l’infographie et de la<br />
communication ayant choisi de mettre leur compétences au service de la formation professionnelle.<br />
SGARCIA Monique : Formatrice, consultante spécialisée dans les techniques de la gestion <strong>des</strong> organisations et du management, notamment dans les<br />
structures du secteur sanitaire, social et médico-social.<br />
SGAROT Mathieu : Psychologue-clinicien, service interface 42, CHU de St Etienne.<br />
SGAUTHIER Catherine : Socio-anthropologue <strong>des</strong> mobilités et migrations. Chargée d’étude et de recherches à l’Université Jean Monnet de St Etienne,<br />
au département de Sociologie et en formation continue.<br />
SGHITTI Jean-Marc : Philosophe. Professeur agrégé et docteur, il est l’auteur de plusieurs ouvrages portant sur la parentalité contemporaine, la crise de<br />
la famille, les conflits et le fonctionnement de l’institution judiciaire.<br />
SGIVRE Olivier : Anthropologue et chargé de mission ethnologique, Université Lumière Lyon 2.<br />
SGRUNBERG Sophie : Psychologue-clinicienne, psychothérapeute et formatrice.<br />
SHOLLE Dominique : Juriste en Droit Social. Maîtrise de droit option carrière judiciaire. DU de 3° cycle en droit du travail. Master.<br />
SHURARD Marie-Carmen : Chef de projet Formation à distance (FOAD), diplôme de hautes étu<strong>des</strong> technologiques multimédia - INPG Grenoble, maîtrise<br />
de communication - Université 3 Grenoble, diplôme d’Institut d’Etu<strong>des</strong> Politiques - Grenoble. Gérante Mille Images Scop qui crée et diffuse <strong>des</strong><br />
programmes de formation à distance pour les personnels du secteur sanitaire et sanitaire et social.<br />
SJABOT Philippe : Avocat à la cour - Barreau de Montpellier, titulaire du Master 2 Gestion Stratégique <strong>des</strong> Ressources Humaines, ISEM, Université<br />
Montpellier 1. Intérvenant Master 2.<br />
www.afore-formation.com 2
SJONDOT Jean-Luc : Educateur spécialisé, expériences auprès d’enfants et adolescents placés en MECS, AEMO judiciaire, AED, Action soutien à la<br />
parentalité. Formé à l’approche systémique et la thérapie familiale.<br />
SJUS Michel : Consultant-formateur en accompagnement de projet, le fonctionnement <strong>des</strong> équipes. Spécialisé dans l’accompagnement de «entredeux»,<br />
c’est-à-dire la prise en compte <strong>des</strong> questions de communication et de relations inter-personnelles.<br />
SLAAKROUCHI Rachida : Formation de journaliste, animatrice d’ateliers d’écriture depuis 1993 auprès de collèges, lycées professionnels, université Paul<br />
Sabatier ; auteure aux éditions Hors Limite ; licence (L3) Information et Communication <strong>des</strong> organisations (UPS Toulouse). Auteure de documentaires<br />
aux éditions Encre de Garonne.<br />
SLAINE Annick : Formatrice et directrice de AFORE, consultante en ressources humaines en économie sociale, doctorante en sciences de gestion.<br />
SLAIREZ Nicole : Formatrice consultante, animatrice coordonnatrice en gérontologie.<br />
SLARIS Jacques : Socio-anthropologue, certifié en Programmation Neuro-Linguistique, cursus de <strong>formations</strong> en Analyse Transactionnelle.<br />
Formateur et intervenant en communication pour le rectorat de Lyon et différents organismes de formation dans le champ socio-éducatif.<br />
SLAURENT Elisabeth : Cadre infirmier-chef de mission, création puis direction d’une unité d’Hospitalisation à Domicile.<br />
SLECORNE Philippe : Expérience de directeur d’établissement et de service socio-éducatif, formateur.<br />
SLEPAGE Frédéric : Dessinateur BD, illustrateur, infographiste. Consultant en communication auprès <strong>des</strong> PME-PMI.<br />
SLORDON Bertrand : Professeur agrégé à la Faculté Jean Monnet de St Etienne spécialité Sciences Economiques et Sociales.<br />
SLORIN - BLAZQUEZ Francine : Comédienne professionnelle et animatrice d’ateliers d’expression théâtrale depuis 25 ans, sa recherche intérieure est<br />
orientée sur la «Présence à soi-même» dans l’expression approfondie avec plusieurs pédagogues du théâtre.<br />
SLUCO Ana : Psychologue clinicienne, thérapeute familiale et hypnothérapeute formée à l’approche transgénérationnelle en France et à Philadelphie (USA).<br />
SMALEZIEUX PIANARO Isabel : Educatrice spécialisée, enseignante spécialisée, formatrice vacataire. Vingt années d’expérience en France et en Suisse<br />
dans les domaines de l’éducation et l’enseignement spécialisé auprès de public divers.<br />
SMARMONIER Jean-Pierre : Psychologue, enseignant à l’université de Bordeaux 2 et Bordeaux 4, formateur au rectorat de l’académie de Bordeaux.<br />
SMARTIN Alexandre : Formateurs proposant <strong>des</strong> modules de formation aux logiciels de bureautique, de PAO et de 3D. Cyber Odyssée Scop.<br />
SMARTIN David : Formateurs proposant <strong>des</strong> modules de formation aux logiciels de bureautique, de PAO et de 3D. Cyber Odyssée Scop.<br />
SMARTINAT Monica : Historienne, Maître de conférences à Lyon 2.<br />
SMAUREL Joëlle : Docteur en Sciences de l’éducation; psychothérapeute et membre du Syndicat National <strong>des</strong> praticiens en psychothérapie ; formée aux<br />
approches psychanalytiques, à la psychogénéalogie, aux constellations familiales, aux techniques psychocorporelles, au massage, à la relaxation.<br />
SMOIROUX Paul : Expert comptable et commissaire aux comptes, intervenant à l’université de Lyon 2 et Lyon 3 Economie Sociale et Solidaire.<br />
SMORALI Aphrodite : Sociologue clinicienne, responsable pédagogique d’AFORE.<br />
SNUNGE Olivier : Psychologue et formateur.<br />
SPAWLOFF Stéphane : Educateur spécialisé, formateur, doctorant et attaché de cours en sciences de l’éducation.<br />
SPECH Sylvain : Professeur certifié d’histoire, consultant et formateur en ressources humaines.<br />
SPETERSEN Katharina : Artiste peintre, Art thérapeute analytique et clinicienne diplômée en Allemagne, anime depuis dix sept ans <strong>des</strong> stages de groupe<br />
thérapeutique en Art-Thérapie analytique.<br />
SPIRBAY Laurent : Auteur, compositeur interprète. Membre du groupe «Electrons libres» et du collectif «le retour du boogie».<br />
Membre actif du mouvement hip-hop depuis 1998 : expérience de la scène et du travail en studio.<br />
SPRADIER Corinne : Ecrivaine et correctrice.<br />
SPROUCHET Marc : Philosophe.<br />
SRESSEGUIER Claude : Educatrice de jeunes enfants et éducatrice spécialisée, conteuse et marionnettiste (création de spectacles).<br />
Formation à la médiation par la création (art-thérapie) et à la relaxation.<br />
SROSE DAVID Marylène : Formatrice proposant <strong>des</strong> modules de formation aux logiciels de bureautique, de PAO et de 3D. Cyber Odyssée Scop.<br />
SROUSSEL Jean-François : Formateur, psychologue clinicien, diplômé en victimologie et en EMDR ; intervenant spécialisé dans le domaine de la psychologie<br />
et de la relation à l’autre en institutions privées et publiques. Expert auprès <strong>des</strong> tribunaux.<br />
SROUX Catherine : Psychologue, psychothérapeute, formatrice, superviseur d’équipes socio-éducatives et soignantes.<br />
SROTHBERG Ariella : Ethnologue, psychologue clinicienne, consultante/formatrice, spécialiste <strong>des</strong> relations interculturelles.<br />
SSISTACH Dominique : Docteur en droit, maître de conférences <strong>des</strong> universités (UPVD - CERTAP) Sociologue.<br />
STERRADE Sofie : Comédienne formée en sciences de l’éducation et en anthropologie, éducatrice spécialisée avec l’expérience de publics très divers<br />
(adultes toxicomanes, ados et personnes âgées en difficulté...).<br />
STHEODAS Marie-Claude : Traversée par l’idée que le théâtre est un art vivant au service du collectif et de la personne, elle intervient depuis 15 ans<br />
comme metteur en scène dans <strong>des</strong> ateliers-théâtre pour <strong>des</strong> publics éloignés de la culture.<br />
STHOMASSET Jean-Pierre : Psychologue clinicien, psychanalyste.<br />
STOURNIER Jean-Luc : Psychosociologue et psychothérapeute, consultant en institutions sociales.<br />
STOURNIER Marie-Jo : Médecin, psychothérapeute, a l’initiative du développement de plusieurs groupes de femme dans l’objectif est de développer<br />
l’estime de soi et le centrage sur soi.<br />
STOZANLI Selma : Enseignant chercheur. HDR en science de gestion, docteur en science économique, Montpellier 1, maître de conférence, faculté<br />
d’Agronomie ANKARA(Turquie).<br />
STRAYNARD Magali : Formatrice proposant <strong>des</strong> modules de formation aux logiciels de bureautique, de PAO et de 3D. Cyber Odyssée Scop.<br />
SVASQUEZ Luis : Psychologue clinicien, thérapeute de famille, superviseur d’équipes, formateur.<br />
SVERCHERAT Marie-Jeanne : Consultante formatrice en gérontologie DESS Action Gérontologique et Ingénierie sociale. Gestion en management <strong>des</strong><br />
institutions médico-sociales.<br />
SVIAL Philippe : Sociologue et ancien travailleur social. Accompagnement <strong>des</strong> collectivités locales, <strong>des</strong> services déconcentrés de l’Etat et <strong>des</strong> associations<br />
dans la conduite de diagnostic participatif.<br />
SWAHRENBERGER Anne-Sophie : Animatrice de groupes thérapeutiques à médiation écriture. Psychologue.<br />
SZOUARI Khaled : Maître de conférence à l’université Jean Monnet de St-Etienne. Enseignant chercheur, docteur en science de l’information<br />
et de la communication.<br />
3<br />
www.afore-formation.com<br />
F O R M A T E U R S
S o m m a i r e<br />
q Notre démarche P. 1<br />
q Présentation Formateurs P. 2 à 3<br />
q Cycles de formation P. 7 à 11<br />
q Formation diplômante P. 12 à 13<br />
q Validation <strong>des</strong> Acquis de l’Expérience P. 14<br />
q Le Droit Individuel à la Formation P. 14<br />
q Bulletin d’inscription P. 88<br />
q Mode d’emploi P. 88<br />
q Clinique<br />
u La parole et le lien. P.16<br />
Qu’est-ce que s’entre-tenir veut dire<br />
dans les professions sociales ?<br />
u Ethique du travail social P.16<br />
u Travail social et psychanalyse : P.17<br />
paradoxes de l’accompagnement<br />
u Toxicomanie et addictologie P.17<br />
u Moi, un enfant, je parle : P.18<br />
recueillir la parole de l’enfant<br />
u Le transfert et son élaboration P.18<br />
en travail social<br />
u Constellations familiales : P.19<br />
guérir les blessures familiales et se<br />
libérer du <strong>des</strong>tin transgénérationnel<br />
u Désamour et démariage : P.19<br />
l’accompagnement <strong>des</strong> familles en crise<br />
u Formation <strong>des</strong> personnes soignants :<br />
Approche sociale, clinique du soin P.20<br />
u Le quotidien en question, le lien P.20<br />
d’accompagnement dans la vie quotidienne<br />
u Supporter la répétition, P.21<br />
soutenir la création<br />
u Eduquer aujourd’hui... P.21<br />
u Formations aux techniques P.22<br />
d’accompagnement<br />
u Approche systémique de l’entretien P.23<br />
u Accompagnement <strong>des</strong> personnes P.23<br />
traumatisées et <strong>des</strong> familles de victimes<br />
u La place de chacun dans les familles P.24<br />
d’aujourd’hui<br />
u Travail social et intervention systémique P.24<br />
ou comment apporter de la créativité dans<br />
le travail social<br />
u Le sentiment de culpabilité P.25<br />
u Les états limites : comment prendre P.25<br />
en charge leur «folie privée» dans<br />
la relation thérapeutique ?<br />
u La prise en charge <strong>des</strong> pathologies P.26<br />
psychiatriques<br />
u La violence chez l’adolescent : P.26<br />
de la crise au chaos<br />
u Accueillir dans l’urgence P.27<br />
u Peut-on éduquer sans subjectivité ? P.27<br />
u Faire face aux changements. P.28<br />
Evoluer avec et grâce aux événements<br />
u L’accompagnement <strong>des</strong> familles P.29<br />
Module 1<br />
Module 2<br />
u Une nouvelle énergie durable : le groupe ! P.30<br />
u L’évaluation en protection de l’enfance P.30<br />
sous l’éclairage de la théorie de<br />
l’attachement<br />
u Remédiation éducative <strong>des</strong> troubles P.31<br />
psychologiques aggravés en maison<br />
d’enfants à caractère social<br />
u Clinique psychanalytique <strong>des</strong> psychoses P.31<br />
u Figures de père, figures de mère : P.32<br />
parents d’hier et d’aujourd’hui<br />
u Le génogramme. Psychogénéalogie P.32<br />
et orientation vers l'avenir<br />
u L’argent et le lien éducatif ou l’homme P.33<br />
et ses monnaies d'échange<br />
u EFT : Emotional Freedom Techniques P.33<br />
(technique de liberté <strong>des</strong> émotions)<br />
u Quand les éléphants se battent, P.34<br />
c’est l’herbe qui souffre<br />
u Grandir avec un parent fou P.34<br />
u L’accompagnement de la personne P.34<br />
maltraitée et maltraitante<br />
u Violences et perspectives P.35<br />
u Comment faire face : P.35<br />
travailler avec <strong>des</strong> «personnes difficiles»<br />
u Quand j’avais 13 ans, je m’ai tué P.36<br />
u Secrets de famille P.36<br />
u De la précarité à l’exclusion : P.37<br />
quels symptômes, quelles pratiques cliniques?<br />
www.afore-formation.com<br />
4
S o m m a i r e<br />
Sommaire<br />
u Héberger n’est pas interner. P.37<br />
Héberger c’est aussi interner.<br />
u Comment accompagner les parents ? P.38<br />
u Femmes sous emprises : P.38<br />
Les violences psychologiques dans le couple<br />
u L’écriture biographique et récits de vie P.39<br />
u La souffrance au travail P.39<br />
u Un chef qui assure P.40<br />
u L’animation de groupe P.40<br />
q Handicap - Gérontologie - Service à la personne<br />
u L’impensable et le lien : P.42<br />
le paradigme du «polyhandicap»<br />
u Du geste au signe. P.43<br />
«Une communication signée»<br />
u Handicap et culture P.43<br />
u Handicap(s), déficience(s), psychose(s) : P.44<br />
<strong>des</strong> catégories à la pratique<br />
u La loi de 2005 sur les droits <strong>des</strong> P.44<br />
personnes handicapées<br />
u La maltraitance <strong>des</strong> personnes handicapées, P.45<br />
un sujet tabou<br />
u Comprendre et accompagner les personnes P.45<br />
âgées souffrant de maladie d’Alzheimer<br />
et apparentées<br />
u Campus numérique DOMOSIA P.46<br />
u Campus numérique HYGIENOSIA P.47<br />
u L’hospitalisation à domicile P.48<br />
u Formation à l’accompagnement P.48<br />
de fin de vie<br />
u L’art brut pour communiquer P.49<br />
avec <strong>des</strong> personnes âgées désorientées<br />
u L’animation auprès <strong>des</strong> personnes âgées P.49<br />
u Formation à la bienveillance P.50<br />
u Coordonnateur(trice) développement P.50<br />
de réseau local - Licence Professionnelle<br />
q Culture - Développement durable et citoyenneté<br />
u La relation éducative entre autorité P.52<br />
et respect<br />
u Juger : pour une éthique de la fonction P.52<br />
judiciaire<br />
5<br />
www.afore-formation.com<br />
u Culture, cultures et interculturalité P.53<br />
u Addictions, dépendances et.. attachements. P.53<br />
Quel lien avec le monde social ?<br />
u Manger est une source de plaisir... P.54<br />
u Comprendre et accompagner la sexualité P.54<br />
en institution<br />
u Santé et culture P.55<br />
u Nos pratiques sociales et éducatives P.55<br />
interrogées par le modèle du développement<br />
durable<br />
u Animation <strong>des</strong> groupes d’usagers P.56<br />
u Travail social et territoire : P.56<br />
le développement social local<br />
u L’Insertion par l’Activité Economique : P.57<br />
un nouveau mode d’intervention au<br />
service <strong>des</strong> professionnels de l’action<br />
sociale et éducative<br />
u Les mots et les cinq sens P.57<br />
u Le métier de secrétaire au cœur de P.58<br />
logiques culturelles fonctionnelles<br />
et relationnelles. Comment se situer ?<br />
u Travail en réseau, pratique P.58<br />
de coopération<br />
q Communication - Droit et Gestion<br />
u Les écrits professionnels dans le travail P.60<br />
social «une complexité abordable»<br />
u Comprendre, interpréter, parler P.60<br />
u Relation aux mots, relation aux mon<strong>des</strong> P.61<br />
u Méthodologie et conduite du projet P.61<br />
individualisé<br />
u Développer son intelligence émotionnelle P.62<br />
pour mieux gérer son stress en situation<br />
professionnelle et harmoniser ses relations<br />
au travail<br />
u Améliorer ma qualité d’écoute P.62<br />
et d’expression<br />
u Optimiser sa communication dans P.63<br />
l’affirmation de soi et le respect de l’autre<br />
u Gestion du temps P.63<br />
u L’animation de réunion P.64<br />
u Prise de parole en public P.64
S o m m a i r e<br />
u Les conditions de collaboration P.65<br />
Président/Directeur<br />
u Comment prévenir et gérer le souffrance P.66<br />
au travail ?<br />
u Reconnaître, prévenir et gérer les conflits P.66<br />
u Conduire le changement P.67<br />
u Le projet d’établissement, le projet de vie... P.67<br />
u Responsabilité dans les secteurs sociaux P.68<br />
et médico-sociaux<br />
u Les lois «BAS» et «SARKOSY», P.68<br />
protégeant l’enfance et prévenant<br />
la délinquance<br />
u Les fondamentaux du droit social P.69<br />
u Traitement juridique P.69<br />
Comptabilité et fiscalité <strong>des</strong> organisations<br />
de l’ESS<br />
u La fonction de secrétaire P.70<br />
u Le rôle <strong>des</strong> services généraux P.70<br />
dans la mission éducative<br />
q Informatique<br />
u Maîtriser la suite MS Office P.72<br />
pour ses applications bureautiques<br />
u Formation à la bureautique libre P.72<br />
u Communication graphique P.73<br />
u Perfectionnement informatique P.73<br />
u Formation «atelier de création d’un jeu P.74<br />
vidéo en 3D»<br />
u Internet P.74<br />
u Animer <strong>des</strong> ateliers du rire en institution P.79<br />
u La technique de la mosaïque P.80<br />
u Animer un atelier créatif à base P.80<br />
de matériaux de récupération<br />
u Animer un atelier céramique P.81<br />
Stage de sculpture Raku<br />
u La marionnette : P.81<br />
un outil de médiation privilégiée<br />
u La peinture et sa trace P.82<br />
u Le conte et sa parole P.82<br />
u Normalité et anormalité, P.83<br />
une question d’enfermement<br />
u Table garnie et son décor P.83<br />
u Le théâtre en un jeu possible P.84<br />
dans un parcours<br />
u De la nature à la sculpture, P.84<br />
du regard à la main<br />
u Gestion du stress grâce à la relaxation P.85<br />
et l’expression picturale<br />
u Chant, théâtre et communication P.85<br />
u Conte, marionnette, objet animé P.86<br />
pour le petit enfant<br />
u Relaxer l’autre et l’ouvrir à sa créativité P.86<br />
u Le rap, un art à portée de toutes P.87<br />
les mains<br />
u L’aventure de la bande <strong>des</strong>sinée P.87<br />
q Techniques éducatives<br />
u Matière théâtre : créateur de sens (module 1) P.76<br />
u Matière théâtre : créateur de sens (module 2) P.76<br />
u Atelier corps créatif P.77<br />
u A la recherche de son clown P.77<br />
u Du son à la musique P.78<br />
u Du masque au théâtre P.78<br />
Fabrication et Jeu<br />
u Atelier d’écriture : de l’expérimentation P.79<br />
à la pratique<br />
www.afore-formation.com<br />
6
7<br />
Cycles de formation
Formation de formateurs par la démarche pluridisciplinaire<br />
Une formation pour vous ouvrir un autre champ de compétences.<br />
q<br />
Niveau requis :<br />
Diplôme qualifiant du secteur social ou médico-social<br />
et 5 ans d’expérience professionnelle. Lettre de motivation.<br />
Travailleurs sociaux ayant un projet professionnel de formateur.<br />
q<br />
Nous voulons dans cette formation partager notre expérience de<br />
formateur et de praticien du social. Il s’agit pour nous de former <strong>des</strong><br />
professionnels à la pédagogie et aux métho<strong>des</strong> d’intervention de la<br />
formation, qu’elle soit qualifiante ou continue. Pour nous, le formateur<br />
est un «conciliateur», un «facilitateur» <strong>des</strong> différents outils théoriques<br />
rencontrés dans le champ du travail social.<br />
Nous nous ouvrirons aux champs de la psychanalyse, de la sociologie,<br />
de l’anthropologie, de l’économie, du droit mais aussi de la méthodologie.<br />
Nous accorderons également une place importante à l’institution et à<br />
l’analyse institutionnelle.<br />
Cette formation très interactive s’appuiera sur l’expérience professionnelle<br />
<strong>des</strong> participants et sur leur capacité à conceptualiser leurs pratiques<br />
et à penser le travail social.<br />
A l’issue de cette formation, AFORE se réserve le droit de solliciter<br />
quelques participants pour leur proposer <strong>des</strong> interventions.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
La formation se décline en 5 modules indépendants.<br />
Elle ne peut être validée qu’à l’issue de ces 5 modules.<br />
l Module 1 - Les questions juridiques et sociologiques (35 heures) :<br />
- La politique institutionnelle de la formation.<br />
- Le contexte de la formation.<br />
- Le statut de formateur.<br />
- Les lois du secteur social et médico-social (lois de 2002, 2005, 2007).<br />
- La responsabilité.<br />
l Module 2 - L’intervention en formation (35 heures) :<br />
- Quel sens donner à la formation ?<br />
- Qu’est-ce qu’ intervenir veut dire ?<br />
- La méthode : demande, analyse de la demande, contenu.<br />
- L’acte formatif en groupe et la dynamique de groupe.<br />
- La recherche formation action.<br />
- La pédagogie de la coopération.<br />
- La pratique du formateur.<br />
- L’analyse institutionnelle et l’identité professionnelle.<br />
l Module 4 - La clinique : (35 heures) :<br />
- La place du formateur : un tiers à part entière ?<br />
- L’éthique du lien : formation ou formatage ?<br />
- La clinique de la parole dans le processus de formation.<br />
- L’analyse de la pratique et la supervision.<br />
- La psychothérapie institutionnelle.<br />
- Méthode clinique d’intervention.<br />
l Module 5 - La communication : (35 heures) :<br />
- La communication écrite et verbale.<br />
- La présentation <strong>des</strong> travaux.<br />
- NTIC.<br />
q<br />
- Apprendre à se définir une pédagogie d’intervention.<br />
- Animer, communiquer, partager <strong>des</strong> savoirs et <strong>des</strong> expériences.<br />
- Répondre aux appels d’offres et repérer les besoins.<br />
- Permettre de construire et d’élaborer un programme de formation.<br />
- Identifier les institutions dans lesquelles on intervient.<br />
- Maîtriser <strong>des</strong> outils pédagogiques d’intervention.<br />
- Savoir évaluer un processus de formation.<br />
q<br />
Apports théoriques et pédagogiques. Etu<strong>des</strong> et analyses de documents.<br />
Validation de matériel pédagogique. Mises en situation.<br />
q<br />
Outre l’assiduité à la formation, chaque module fera l’objet d’une évaluation<br />
spécifique :<br />
Élaboration d’un projet de formation pour la première année et soutenance<br />
d’un mémoire professionnel pour la deuxième année.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Validation<br />
En l’attente d’une éventuelle certification professionnelle par le répertoire<br />
national <strong>des</strong> certifications professionnelles (RNCP), une attestation de formation<br />
sera remise en fin de formation. Une fois attribuée (environ 3 ans),<br />
la certification professionnelle est rétroactive.<br />
Sans attendre et comme nous l’avons déjà indiqué, AFORE pourra faire appel<br />
à vos services à l’issue de la formation.<br />
L’équipe pédagogique d’AFORE assurera la coordination pédagogique de la<br />
formation.<br />
l Module 3 - Les sujets thématiques (35 heures) :<br />
- Thèmes non exhaustifs à redéfinir avec les participants.<br />
- Le projet associatif, d’établissement, de service.<br />
- Le projet individuel, l’évaluation.<br />
- La gestion du quotidien.<br />
- La gestion de la violence : de soi, du sujet, de l’institution.<br />
- Culture et territoire.<br />
- Les pathologies mentales.<br />
q<br />
Intervenants cf p.2<br />
Coût total : 4746 e<br />
u Annick LAINÉ u Aphrodite MORALI u Catherine GAUTHIER u Dominique SISTACH u Sylviane DUBERNET u Roland BADIOU<br />
u Francine LORIN-BLAZQUEZ u Jean Pierre FANGET u Marie Jeanne VERCHERAT u Luis VASQUEZ u Jean Marc BERTON<br />
Module 1<br />
Module 2<br />
Module 3<br />
Module 4<br />
Module 5<br />
Dates :<br />
Du 28/03 au 1 er /04/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Dates :<br />
Du 20 au 24/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Dates :<br />
Du 21 au 25/11/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Dates :<br />
Du 26 au 30/03/12<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Dates :<br />
Du 04 au 08/06/12<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût année 1 : 2848 e<br />
Coût année 2 : 1898 e<br />
www.afore-formation.com<br />
8
Initiation à la supervision d’équipes par la démarche pluridisciplinaire<br />
q<br />
Travailleurs sociaux, plus spécialement ES, AS, chefs de service, psychologues,<br />
psychanalystes...<br />
q<br />
La demande croissante de «supervisions», d’«analyses de pratiques»,<br />
de «groupes de parole», de «médiations», d’«ateliers de régulation»,...<br />
démontre l’intérêt à prendre en compte les réalités du travail social.<br />
Même si la supervision est une pratique bien ancienne dans le champ de<br />
l’action sociale, le travail social s’est modifié, complexifié, à tel point que<br />
les professionnels doivent être de plus en plus informés et formés sur<br />
les enjeux du champ du travail social. Mais alors, comment ? De quelle<br />
manière, et pour quelle finalité ?<br />
S’agit-il simplement de se réunir pour parler et écouter ? Et suffit-il de se<br />
réunir pour parler, écouter et élaborer ? La supervision doit-elle s’inscrire<br />
dans un cadre institutionnel ou non ? Doit-elle échapper à l’institutionnalisation,<br />
au risque d’être instrumentalisée ? Comment ce dispositif, où le<br />
privé est en scène, peut-il aussi devenir une affaire de la cité, donc une<br />
affaire politique ?<br />
Pour répondre à ces questions, la formation proposée se donne pour<br />
ambition de travailler au corps la «supervision», dans ses composantes<br />
théoriques, méthodologiques et pratiques. Il questionne ce dispositif,<br />
en s’appuyant autant sur les antécédents historiques que sur les<br />
élaborations les plus récentes, en vue de faire évoluer cet outil au sein de<br />
l’action professionnelle. Pour pallier le défaut d’un constat désenchanté<br />
sur un climat contemporain où ne domineraient que «l’individualisme»,<br />
la «société <strong>des</strong> individus» ou la «perte <strong>des</strong> repères», cette formation<br />
ambitionne de faire construire <strong>des</strong> liens entre l’individuel-subjectifpersonnel<br />
et le collectif-groupal-citoyen.<br />
Cela se fera par le recours à une démarche interdisciplinaire (anthropologie,<br />
psychanalyse, psychiatrie, psychologie, sociologie), dans laquelle<br />
sera centrale la question de la clinique.<br />
q<br />
Etu<strong>des</strong> de textes. Exposé <strong>des</strong> expériences d’analyse de la pratique. Exposés<br />
théoriques. Analyses de textes. Exercices de groupe sur les expériences<br />
<strong>des</strong> participants en les confrontant aux textes fondateurs. Table ronde.<br />
Support vidéo.<br />
q<br />
L’originalité de cette formation est de mettre les participants dans une<br />
position de futurs superviseurs, à travers la réalisation d’une monographie.<br />
Celle-ci fera l’objet, pour chaque participant, d’un exposé. L’ensemble de<br />
ces travaux, soucieux d’articuler les aspects théoriques, méthodologiques<br />
et pratiques, sera au coeur <strong>des</strong> deux dernières journées de l’action de<br />
formation qui clôtureront le processus à la supervision.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Luis VASQUEZ<br />
u Aphrodite MORALI<br />
u Monica MARTINAT<br />
u André FERRER<br />
u Michel JUS<br />
u Jean Paul Filiod<br />
u Olivier CASALIS<br />
u Marc Prouchet<br />
u Nancy BRESSON<br />
u Laurent MARTY<br />
u<br />
CONTENU<br />
l 1 - L’héritage freudien. Le sujet social. L’oeuvre sociologique de<br />
Freud.<br />
l 2 - Pour un travail de la groupalité. Quelques fondateurs : Aichhorn,<br />
Klein, Bion, Balint.<br />
l 3 - Les controverses entre la psychanalyse et la sociologie (Lewis et<br />
Moreno, Pontalis, Lacan). Anzieu, Kaes une continuité ? Le groupe et<br />
son vécu fantastique.<br />
l 4 - Les enjeux, du subjectif et de l’objectif, du particulier et du singulier,<br />
du quantitatif et du qualitatif. La question de la démocratie dans le<br />
monde contemporain. La supervision dans l’éducation spécialisée.<br />
l 5 - Regards croisés de la monographie. Présentation selon les approches<br />
disciplainaires.<br />
u<br />
CONTENU<br />
l 1 - Qu’est-ce que clinique veut dire? La question de l’implication et<br />
de l’engagement. L’observation participante. Distinction <strong>des</strong> différentes<br />
instances (supervision, analyse de la pratique, groupe de parole,<br />
regulation...).<br />
l 2 - Approche psychanalytique. Le symbolique, l’imaginaire, le réel.<br />
Le transfert et son maniement.<br />
l 3 - Approche psychosociologique et institutionnelle (Lapassade,<br />
Tosquelles...). Approche de la sociologie clinique dans l’éducation spécialisée<br />
et au-delà.<br />
l 4 - Approche de la sociologie de la clinique. Politique, groupalité et<br />
action sociale.<br />
l 5 - Autour de la monographie. Appropriation de la méthode monographique<br />
dans le travail social.<br />
u<br />
CONTENU<br />
l 1 - Intervenir en supervision, à quoi ça sert ? La place du superviseur.<br />
Analyse de la demande.<br />
l 2 - Quand les aidants demandent de l’aide ; soutien aux intervenants<br />
ou soutien à la relation ?<br />
l 3 - L’extension de la clinique au sein du dispositif RMI sociologue.<br />
l 4 - L’institution un cadre défaillant ?<br />
l 5 - Autour de la monographie. Préparation à la monographie que les<br />
participants auront à exposer.<br />
u<br />
CONTENU<br />
Contextualisation et controverses sur la question<br />
de la supervision et de la monographie.<br />
Les contours théoriques de la supervision par<br />
les apports interdisciplinaires.<br />
Pratiques et processus méthodologiques<br />
différenciés.<br />
Pratiques et processus méthodologiques<br />
différenciés (suite) et monographie.<br />
l 1 - L’intervention et les «coulisses» institutionnelles.<br />
l 2 - Monographie : une demande d’intervention en milieu hospitalier.<br />
l 3 - Les groupes d’analyses <strong>des</strong> pratiques professionnelles :<br />
un espace de co-formation ?<br />
l 4 - Soutenances.<br />
l 5 - Soutenances.<br />
9<br />
Contextualisation et controverses<br />
sur la question de la supervision<br />
et de la monographie<br />
Dates :<br />
Du 24 au 28/01/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût total : 3788 e<br />
Les contours théoriques de<br />
la supervision par apports<br />
interdisciplinaires<br />
Dates :<br />
Du 21 au 25/03/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
www.afore-formation.com<br />
Pratique et processus<br />
méthodologiques différenciés<br />
Dates :<br />
Du 12 au 16/09/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Pratiques et processus<br />
méthodologiques différenciés<br />
Dates :<br />
Du 28/11 au 02/12/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures
Médiation de l’éthique du choix au choix éthique de la médiation<br />
La médiation familiale comme paradigme de la médiation.<br />
q<br />
Entré dans le langage commun, le mot «médiation» renvoie à un<br />
espace du «entre», de l’«inter», dans lequel se trouvent <strong>des</strong> acteurs dont on<br />
attend généralement qu’ils résolvent un problème. Mais au-delà, le mot<br />
est concept, tout autant qu’il renvoie à une posture éthique qui se traduit<br />
dans <strong>des</strong> manières de faire professionnelles dont il faut interroger<br />
la pluralité. Ce cycle de formation s’appuie sur l’hypothèse suivante : la<br />
médiation pose la question du lien dans la rencontre inter-individuelle,<br />
mais aussi dans une logique collective qui fait de la médiation un objet<br />
intimement lié à la démocratie et à la liberté érigées comme principes<br />
originels. Quelques questions en découlent :<br />
- Comment peut-on ritualiser les conflits dans la cité ?<br />
- Comment créer <strong>des</strong> espaces de friction où les controverses peuvent se<br />
dérouler, afin de pouvoir trouver un compromis plutôt que de se trouver<br />
dans la compromission ?<br />
- Comment s’approprier un conflit pour l’inscrire ensuite dans un processus<br />
qui érige la coopération en principe d’action et de méthode ?<br />
- Comment re-théâtraliser les affaires privées conflictuelles, sinon par le<br />
symbolique, incarné par de la loi, mais aussi de la parole, et toute autre<br />
forme de langage, et qui fait du privé et du public deux entités aux frontières<br />
plutôt poreuses ?<br />
L’ambition de ce cycle de formation est, à travers <strong>des</strong> éclairages disciplinaires<br />
différents, de questionner le concept de médiation et d’interroger les<br />
contextes de son émergence et de ses différents développements. Nous<br />
nous attacherons plus particulièrement au paradigme de la médiation<br />
familale, à travers ces questions centrales : comment passer de la<br />
procédure (judiciaire) de la médiation familiale au processus ? Comment<br />
pouvons-nous nous approprier notre propre conflit pour construire et<br />
établir une parentalité ? Comment démêler la complexité de la posture<br />
tierce dans laquelle se trouve le médiateur ?<br />
Cette ambition implique les participants dans le choix d’une pratique<br />
de la médiation inspirée d’une éthique qui engage une responsabilité à<br />
la fois individuelle et collective. Cette éthique alimente une professionnalité<br />
qui puise nécessairement dans la dynamique interdisciplinaire.<br />
L’objectif étant d’ouvrir l’éventail <strong>des</strong> pratiques de médiation et de leur<br />
exercice dans <strong>des</strong> espaces et <strong>des</strong> domaines différenciés.<br />
q<br />
Exposés, jeux de rôles, étu<strong>des</strong> de textes. Forum théâtre.<br />
q<br />
Les stagiaires auront à constituer un dossier de formation qui comportera<br />
à la fois un travail individuel et collectif.<br />
Ce dossier comportera :<br />
- Les fiches de lecture à partir d’une liste d’ouvrages proposée.<br />
- Un travail de synthèse et d’enquête.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Modalité d’inscription<br />
Les participants sont invités à s’inscrire :<br />
S soit à une ou plusieurs séances de leur choix<br />
S soit à la totalité.<br />
Coût total : 3872 e (4 modules de 35h)<br />
u<br />
CONTENU<br />
l 1 - Conceptualisation du processus de la médiation familiale.<br />
Contextualisation historique de ce processus.<br />
l 2 - Principes déontologiques, recommandations éthiques. Le champ<br />
de l’intervention de la médiation familiale : les contextes administratifs,<br />
juridique et social. Les limites de cette démarche. Indications et<br />
contre-indications.<br />
l 3 - La posture de tiers. Expérimenter la position de tiers. Le professionnel<br />
et la place du professionnel pour lâcher la posture d’expert.<br />
Analyse et émergence de la demande de médiation.<br />
l 4 - La posture de tiers. L’accompagnement <strong>des</strong> processus relationnels<br />
et émotionnels. Le professionnel comme facilitateur de co-création<br />
de lien.<br />
l 5 - La posture de tiers. Mon identité de médiateur. Travail du groupe<br />
sur le dossier de formation.<br />
u<br />
CONTENU<br />
l 1 - Les techniques de l’entretien de médiateur. Bases de la communication<br />
et principes fondamentaux. Communication verbale et<br />
non-verbale ; enjeux et perspectives. Savoir présenter son cadre.<br />
l 2 - L’entretien et la méthodologie. Analyser la demande du juge, du<br />
couple ou du médiateur. Mise en place d’un objectif atteignable et<br />
concret avec les personnes. Photo-langage sur sa fonction de médiateur.<br />
Jeux de rôle et mise en situation.<br />
l 3 - La mise en pratique de situations. Mettre en relief les ressources<br />
<strong>des</strong> personnes. Travailler avec un système en crise. Gérer un conflit.<br />
l 4 - Travailler avec un système en crise. Gérer un conflit.<br />
l 5 - Travailler avec un système en crise. Gérer un conflit. (suite)<br />
Travail du groupe sur le dossier de formation.<br />
u<br />
CONTENU<br />
l 1 - Figures de père, figures de mère. La parentalité en question. Les<br />
visites médiatisées entre l’enfant placé et ses parents.<br />
l 2 - La famille, les familles et l’institution. La domiciliation de l’enfant<br />
et le droit.<br />
l 3 - L’ enfant, la fratrie dans la séparation.<br />
l 4 - La psychologie de l’enfant et les répercussions sur lui de la crise<br />
familiale.<br />
l 5 - La psychologie de l’enfant et les répercussions sur lui de la crise<br />
familiale. (suite). Travail du groupe sur le dossier de formation.<br />
u<br />
CONTENU<br />
La médiation familiale :<br />
fondement théorique et approches méthodologiques<br />
Approches pratiques et méthodologiques.<br />
L’enfant, la médiation et la famille :<br />
Approches théoriques, pratiques et méthodologiques.<br />
Expériences pratiques différenciées<br />
l 1 - Médiation familiale et violences conjugales.<br />
l 2 - Médiations interculturelles.<br />
l 3 - Médiation familiale dans le contexte de la protection de l’enfance.<br />
l 4 - Médiation familiale intergénérationnelle et internationale.<br />
l 5 - Soutenances.<br />
q<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Annick LAINÉ u Aphrodite MORALI u Jean Marc GHITTI u Stéphane PAWLOFF u Sylviane DUBERNET u Luis VASQUEZ<br />
u Jean Paul FILIOD<br />
La médiation familiale<br />
Dates :<br />
Du 07 au 11/02/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
Approche pratiques<br />
et méthodologiques<br />
Dates :<br />
Du 09 au 13/05/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
L’enfant, la médiation<br />
et la famille<br />
Dates :<br />
Du 10 au 14/10/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
Expériences pratiques<br />
différenciées<br />
Dates :<br />
Du 12 au 16/12/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
www.afore-formation.com<br />
10
Le Management Coopératif en Economie Sociale et Solidaire :<br />
au service de la démocratie et de la pérénnité <strong>des</strong> organisations<br />
Ce cycle de formation peut être suivi dans sa totalité, mais aussi par modules séparés.<br />
«Le management n’est ni une science ni une technique. Par l’ensemble<br />
de facteurs qu’il met en jeu et combine, il s’apparente à un art au sens<br />
étymologique du terme : manière de disposer, de combiner habilement».<br />
J.P Le Goff, Les illusions du management, 2000.<br />
q<br />
Personne en responsabilités de service(s), d’établissement(s), d’organisation(s).<br />
Personne s’interrogeant sur les pratiques de Management. Cette<br />
formation s’adresse également à <strong>des</strong> binômes présidence/direction.<br />
q<br />
Au-delà <strong>des</strong> différentes formes de structures (associations, coopératives,<br />
fondations, mutuelles), le mode de management coopératif apparaît être<br />
une ressource stratégique de l’économie sociale pour inviter ou permettre<br />
à la personne d’être un véritable «acteur» (Crozier et Friedberg) du<br />
système, en responsabilité d’assurer la pérennité de l’organisation et les<br />
valeurs de l’organisation.<br />
Or, pour pouvoir être en capacité d’assumer la pleine responsabilité et<br />
d’animer ce projet collectif, certaines compétences de communication<br />
et de gestion d’une part et d’analyse de la pratique du pouvoir d’autre<br />
part s’avèrent utiles.<br />
Pour tenter de comprendre les défis actuels du management coopératif<br />
en économie sociale, nous vous proposons de mener une approche<br />
pluridisciplinaire du concept et de ses déclinaisons au sein de l’économie<br />
sociale, à la fois théorique et pratique.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Objectif<br />
Revisiter les pratiques de management et de gestion à la lumière <strong>des</strong><br />
fondamentaux de l’Économie Sociale et Solidaire.<br />
Trouver son mode de relation et de communication.<br />
Appréhender <strong>des</strong> outils pour mieux les comprendre et les utiliser.<br />
Analyser le pouvoir.<br />
Tenter d’animer l’organisation de travail selon les références humanistes<br />
proposées.<br />
l Module 1 - Le Management coopératif : un concept et ses applications<br />
- Les origines et les modèles de coopération.<br />
- Les nouveaux enjeux de l’ESS et les débats identitaires au XXI ème<br />
siècle.<br />
- Le Management Coopératif : une déclinaison <strong>des</strong> valeurs fondatrices<br />
de l’ESS.<br />
- Les bonnes pratiques du Management Coopératif.<br />
- L’articulation entre hiérarchie et démarche participative.<br />
l Module 2 - La communication<br />
- La gestion du stress.<br />
- La prise de parole en public.<br />
- Conduire <strong>des</strong> réunions efficaces.<br />
l Module 3 - Les nouvelles technologies au service du management<br />
- Le diaporama.<br />
- La réunion à distance audio et visioconférence.<br />
- Les tableurs.<br />
- La gestion de l’agenda, de courrier électronique et de plannings<br />
collaboratifs en ligne.<br />
l Module 4 - Comment prévenir et gérer la souffrance au travail<br />
- Savoir reconnaître les symptômes du «burn out» (syndrome d’épuisement<br />
professionnel).<br />
- Repérer ses origines : les éléments de stress dans la vie personnelle<br />
et la vie du groupe.<br />
- Elaborer <strong>des</strong> stratégies de médiation et de remédiation, de gestion et<br />
de dynamisation du groupe.<br />
l Module 5 - Les fondamentaux du Droit social<br />
- La discrimination dans l’emploi, enjeux et stratégie dans le secteur<br />
social et médico-social.<br />
- La lutte contre les discriminations, enjeu contemporain <strong>des</strong> pratiques<br />
de Gestion <strong>des</strong> Ressources Humaines, émerge aujourd’hui comme un<br />
véritable enjeu de société.<br />
- Le harcèlement au travail dans le sens de la loi de Modernisation<br />
sociale du 17 janvier 2002, soit la priorité la prévention de toute forme<br />
de harcèlement.<br />
- Le temps de travail : La législation sur la durée du travail appliquée à<br />
tout salarié.<br />
l Module 6 - Traitement juridique comptable et fiscale <strong>des</strong> organisations<br />
de l’ESS.<br />
- Prise en compte <strong>des</strong> contextes juridiques, administratifs et financiers<br />
pour mettre en œuvre un projet et être en mesure de le conduire, de le<br />
réaliser.<br />
- Principes et règles comptables d’établissement <strong>des</strong> comptes.<br />
- Organisation <strong>des</strong> comptabilités.<br />
- Méthode d’évaluation.<br />
- Comptes annuels (bilan, comptes de résultat).<br />
- Budget - contrôle budgétaire.<br />
- Fiscalité spécifique aux associations, coopératives (SCOP - SCIC).<br />
l Module 7 - Un(e) chef(fe) qui assure !<br />
- La gestion <strong>des</strong> relations depuis une fonction de leadership<br />
- La gestion depuis soi-même<br />
- La relation aux autres<br />
- Chaque session sera organisée autour d’un thème défini selon les<br />
besoins <strong>des</strong> participants au groupe-ressource. Une problématique sera<br />
dégagée ,<strong>des</strong> options d’interventions seront imaginées collectivement,<br />
<strong>des</strong> apports théoriques seront proposés.<br />
q<br />
Alternance entre apports théoriques et échanges à partir d’analyse d’expériences.<br />
Etude de documents. Mises en situation. Supervision.<br />
q<br />
Chaque module donnera lieu à une évaluation individuelle qui portera sur<br />
les acquis <strong>des</strong> concepts abordés durant la formation.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Annick LAINÉ u Aphrodite MORALI u Paul Moiroux<br />
u Philippe Jabot u Michel Jus u Sylvain Pech<br />
u David martin u Danièle ANDRIEU u Francine Lorin-Blazquez<br />
Module 1<br />
Dates : Du 06 au 08/04/11<br />
Du 07 au 09/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 6 jours<br />
Coût : 1128 e<br />
Module 2<br />
Dates : Du 14 au 16/06/11<br />
Du 27 au 29/09/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 6 jours<br />
Coût : 1128 e<br />
Module 3<br />
Dates :<br />
Du 22 au 25/03/11<br />
Lieu : Taluyers (69)<br />
Durée : 4 jours<br />
Coût : 918 e<br />
Module 7<br />
Dates :<br />
Du 24 au 25/03/11<br />
Du 16 au 17/06/11<br />
Du 29 au 30/09/11<br />
Du 01 au 02/12/11<br />
Module 4<br />
Dates :<br />
Du 04 au 08/04/11<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 5 jours<br />
Coût : 968 e<br />
11<br />
Module 5<br />
Dates :<br />
Du 07 au 09/11/11<br />
Lieu : Montpeller (34)<br />
Durée : 3 jours<br />
Coût : 588 e<br />
www.afore-formation.com<br />
Module 6<br />
Dates :<br />
Du 06 au 09/12/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 4 jours<br />
Coût : 788 e<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 8 jours<br />
Coût : 1568 e<br />
Coût total : 6738 e
Diplôme d’Université de sciences sociales appliquées : culture, politique, territoire et gestion<br />
F o r m a t i o n d i p l ô m a n t e<br />
Programme de formation organisé par :<br />
AFORE SCOP : Action Formation Recherche (St-Etienne) - SUFC : Service de Formation Continue, Université Jean Monnet à (St-Etienne).<br />
Cette formation se déroule dans les locaux de l’Université Jean Monnet à St-Etienne (42).<br />
Qu’est-ce qu’un D.U ? : diplôme d’université<br />
Il s’agit d’une formation généralement courte de premier, second ou troisième cycle universitaire dont les contenus sont définis à l’initiative<br />
de l’université. Le DU a pour objectif de créer <strong>des</strong> compétences spécifiques et ciblées dans un domaine théorique, technologique<br />
ou professionnel. Il vient en complément d’une formation de base et permet d’entrer dans un emploi en disposant déjà d’une formation<br />
de qualité dans un domaine spécialisé. Pour le DU Culture, Politique, Territoire, l’objectif visé pouvant être la reprise d’étu<strong>des</strong> et l’entrée<br />
dans un processus de validation d’acquis. Ce diplôme peut être valorisé dans le cadre d’une validation d’accès à un master 1 ou 2 ou<br />
soutenir une VAE d’un diplôme social.<br />
q<br />
Intervenants sociaux titulaires d’un diplôme professionnel ou exerçant<br />
dans le secteur social. Cadres <strong>des</strong> secteurs sociaux, socioculturels et<br />
sanitaires <strong>des</strong> services de l’Etat, <strong>des</strong> collectivités locales et du secteur<br />
associatif.<br />
q<br />
Public<br />
Objectif<br />
l Valorisation <strong>des</strong> compétences professionnelles.<br />
l Maîtrise <strong>des</strong> disciplines.<br />
l Acquisition d’une méthodologie de recherche et/ou de recherche-action.<br />
q<br />
Conditions générales<br />
l Organisation de l’enseignement :<br />
La formation programmée sur une année universitaire comporte un total<br />
de 240 heures d’enseignements. Ce cycle de formation étant <strong>des</strong>tiné à<br />
<strong>des</strong> professionnels, il est organisé en quatre unités capitalisables intitulées<br />
respectivement :<br />
UC1 : La culture au pluriel.<br />
UC2 : La place du politique : Economie, gestion, management.<br />
UC3 : Territoires et mobilités.<br />
UC4 : Economie, gestion, management : Quelle pratique au quotidien ?<br />
q<br />
Présentation<br />
l Les unités capitalisables :<br />
Les participants sont invités à s’inscrire :<br />
Il s’agit dans ce programme d’interroger et d’actualiser, à la lumière<br />
d’apports provenant de différentes disciplines (économie, sociologie,<br />
gestion, psychanalyse, ethnologie, géographie...), certaines notions<br />
utilisées dans le champ du travail social et qui représentent <strong>des</strong> enjeux<br />
contemporains fondamentaux : ethnicité, famille, culture, immigration,<br />
politique, identités professionnelles, territoire, mobilité... ces termes en<br />
usage à la fois dans le sens commun, dans le quotidien professionnel,<br />
dans le monde scientifique seront traités dans les quatre unités complémentaires<br />
intitulées: La culture au pluriel ? Territoire et mobilités ; La<br />
place du politique ; Economie, gestion, et management.<br />
Les apports proposés, théoriques et empiriques, doivent permettre de<br />
mieux aborder et comprendre la singularité <strong>des</strong> pratiques mais aussi de<br />
perfectionner une méthode de recherche, notamment de recherche-action.<br />
Le programme de 240 h, se déroulera de janvier à décembre (voir<br />
plus loin “calendrier détaillé”).<br />
q<br />
Le programme de formation se compose comme suit :<br />
Exposés théoriques, ateliers thématiques de travail et d’échange entre les<br />
participants, analyses <strong>des</strong> textes et <strong>des</strong> documents.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Coordinations Pédagogiques<br />
AFORE et le service de formation continue, Université Jean Monnet, SUFC,<br />
St-Étienne. Les mo<strong>des</strong> de transmission et de suivi du travail demandé peut<br />
s’effectuer par courrier électronique individuel ou institutionnel. Le statut<br />
d’étudiant procure la carte “Brise”, accès au réseau <strong>des</strong> bibliothèques universitaires<br />
et municipales stéphanoises.<br />
- soit à une ou plusieurs unités de leur choix,<br />
- soit à la totalité.<br />
(Les candidats ayant obtenu une ou deux unités capitalisables en<br />
garderont le bénéfice pendant trois ans.)<br />
l La valorisation du diplôme :<br />
Il s’agit d’un diplôme d’équivalence Master 1 ou 2 après étude 2 du dossier.<br />
l Contrôle <strong>des</strong> connaissances, obtention du diplôme et validation :<br />
- L’assiduité à la formation est requise pour être autorisé à se présenter aux<br />
examens.<br />
- Afin d’assurer la clarté de la reconnaissance par crédits, le contrôle <strong>des</strong><br />
connaissances comporte, pour chaque module de chaque unité capitalisable,<br />
un travail écrit ou oral portant sur le programme théorique de l’enseignement<br />
et son application en situation professionnelle, rendu et validé par<br />
l’équipe de formation.<br />
l Les participants seront amenés à effectuer :<br />
- La réalisation d’un “ dossier de formation ”. Afin que le travail personnel et<br />
collectif <strong>des</strong> étudiants soit organisé et puisse donner matière à validation,<br />
un dossier individuel de formation rassemblant les divers travaux demandés<br />
sera constitué au long du cycle par chacun. A la fin de celui-là, le dossier<br />
sera soutenu ; de la qualité <strong>des</strong> documents produits et de leur soutenance<br />
dépendra l’obtention du diplôme et <strong>des</strong> crédits le composant.<br />
l Ce dossier comportera :<br />
- Les fiches de lecture à partir d’une liste d’ouvrages proposée.<br />
- Les deux veilles documentaires personnelles et collectives.<br />
- Un travail de synthèse et d’enquête.<br />
- Une session de rattrapage pour chaque module sera organisée deux mois<br />
après la fin <strong>des</strong> enseignements.<br />
- Chaque unité capitalisable est délivrée par un jury, composé <strong>des</strong> membres<br />
de l’équipe pédagogique et éventuellement d’experts professionnels extérieurs.<br />
www.afore-formation.com<br />
12
Diplôme d’Université de sciences sociales appliquées : culture, politique, territoire et gestion<br />
u<br />
PROGRAMME<br />
Dans sa totalité, la formation comporte 240 h de janvier à décembre à raison de 7 heures par jour.<br />
Chaque unité capitalisable, qui peut être suivie séparément, comporte 60h soit 2 x 4 journées continues.<br />
Souvent dans les pratiques professionnelles le mot culture surgit, à<br />
l’écrit ou à l’oral, comme justification, comme explication, comme image,<br />
comme représentation... Qu’en disent les sciences sociales ? Toute<br />
référence à la culture signifie-elle un ethnocentrisme ? Quelles relations<br />
entretiennent les notions de culture et d’identités ? La notion de culture,<br />
pourtant incontournable, est-elle vraiment appropriée pour traiter<br />
les questions sociales liées à la religion, l’immigration, la jeunesse, la<br />
famille, la politique... ?<br />
l La culture, l’identité, le sujet.<br />
La conception de la culture : oppositions et complémentarités, les<br />
enjeux de l’altérité, la valorisation de la culture, la construction identitaire<br />
du sujet : les identités multiples.<br />
l Inter-culture, famille, socialisation.<br />
La famille, immigration et religion, le sujet dans une situation interculturelle.<br />
u<br />
La culture au pluriel<br />
Contenu de la formation : 4 unités capitalisables (240 heures)<br />
Territoire et mobilité<br />
Unité capitalisable : 60 h<br />
Cette unité capitalisable comporte : 60h, soit 2x4 journées continues.<br />
Module 1 : Du 08 au 11 Février <strong>2011</strong><br />
Module 2 : Du 16 au 19 Mai <strong>2011</strong><br />
Unité capitalisable : 60 h<br />
u<br />
La place du politique<br />
Dans le champ de l’intervention sociale, on entend parfois parler<br />
d’“instrumentalisation du politique”, domaine dont on annonce<br />
d’ailleurs fréquemment la fin... Entre l’Etat et l’individu, quelle place<br />
pour les institutions medico-socio éducatives pour la production du<br />
politique ? Quel rôle jouent-elles dans le rapport aux identités professionnelles<br />
? Les alternatives sociales sont-elles <strong>des</strong> contre-pouvoirs<br />
ou <strong>des</strong> nouveaux pouvoirs en construction ? Comment penser<br />
la construction du politique dans l’interpénétration <strong>des</strong> échelles plus<br />
ou moins globales ou locales, et dans un contexte d’échanges mondialisés<br />
?<br />
PROGRAMME<br />
l Economie solidaire, économie mondiale.<br />
Economie solidaire, économie mondiale : oppositions et complémentarités,<br />
mondialisation et discours alternatif, mondialisation et territoire.<br />
Rapports Nord-Sud.<br />
l La place du politique entre le social et l’économique.<br />
Les objectifs de la stratégie de Lisbonne, l’évaluation : illustration du<br />
lien politique-économique et social.<br />
u<br />
Unité capitalisable : 60 h<br />
Cette unité capitalisable comporte : 60h, soit 2x4 journées continues.<br />
Module 1 : Du 26 au 29 Septembre <strong>2011</strong><br />
Module 2 : Du 14 au 17 Novembre <strong>2011</strong><br />
Economie, gestion, management<br />
Unité capitalisable : 60 h<br />
F o r m a t i o n d i p l ô m a n t e<br />
Le territoire est souvent perçu selon une stricte délimitation géographique,<br />
et le quartier comme un espace clos plutôt qu’ouvert.<br />
Comment le territoire est-il irrigué par <strong>des</strong> jeux d’échelles qui parfois<br />
le dépassent, du fait <strong>des</strong> échanges de pratiques, d’in<strong>formations</strong>, <strong>des</strong><br />
échanges commerciaux, <strong>des</strong> déplacements et <strong>des</strong> mobilités ?<br />
En quoi les trans<strong>formations</strong> contemporaines, notamment celles liées<br />
à la construction européenne, produisent-elles <strong>des</strong> redéfinitions <strong>des</strong><br />
limites et <strong>des</strong> frontières ?<br />
Comment la dynamique historique et sociale produit-elle <strong>des</strong> logiques<br />
territoriales spécifiques ? Comment les acteurs s’en emparent-ils ?<br />
PROGRAMME<br />
l Espace et dynamiques sociales.<br />
Géographie de la ville et géographie sociale, l’immigration, l’incivilité<br />
et délinquance, l’école et territoire.<br />
l Enquête : Diagnostic et développement local.<br />
Politiques de la ville, logiques institutionnelles, logiques d’acteurs<br />
relations partenariales, diagnostic du quartier et méthodologie du<br />
projet, enquête sur un territoire (réalisée par les participants).<br />
Cette unité capitalisable comporte : 60h, soit 2x4 journées continues.<br />
Module 1 : Du 15 au 18 Mars <strong>2011</strong><br />
Module 2 : Du 20 au 23 Juin <strong>2011</strong><br />
Quelle pratique au quotidien ?<br />
Les valeurs <strong>des</strong> organisations du secteur social et médico-social<br />
contribuent à la qualité de l’emploi et au service rendu aux usagers<br />
du secteur. Socialement responsables, les employeurs de l’économie<br />
sociale et solidaire favorisent une Démarche d’Evolution de la Personne<br />
et de ses Compétences (A.L.,2007) pour développer les valeurs<br />
intrinsèques à l’économie sociale, renforcer les compétences individuelles<br />
pour la réalisation d’un projet collectif et gérer la politique<br />
d’emplois. Dès lors, comment appréhender la gestion et les ressources<br />
humaines dans les institutions ? Comment concilier Economie et<br />
Sociale dans une dynamique de Développement Durable ?<br />
PROGRAMME<br />
l Le management en économie sociale et solidaire.<br />
Histoire et fondamentaux de l’économie sociale et solidaire,<br />
le Développement Durable en économie sociale et solidaire :<br />
un concept de MRH et ses applications.<br />
l La gestion financière <strong>des</strong> organisations de l’économie sociale<br />
et solidaire.<br />
Principes, règles, organisation et évaluation <strong>des</strong> comptabilités,<br />
la fiscalité <strong>des</strong> organisations de l’économie sociale et solidaire.<br />
Cette unité capitalisable comporte : 60h, soit 2x4 journées continues.<br />
Module 1 : Du 17 au 20 Octobre <strong>2011</strong><br />
Module 2 : Du 06 au 09 Décembre <strong>2011</strong><br />
q<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Annick LAINÉ u Aphrodite MORALI u Jean Pierre FANGET u Paul MOIROUX u Jean Paul FILIOD u Olivier GIVRES<br />
u Dominique BELKIS u Bertrand LORDON u Catherine GAUTIER u Claire AUTANT-DORIER u Abdelkhader BELBAHRI u Bianca BOTEA<br />
La culture au pluriel - Coût : 1198 e<br />
Territoire et mobilité - Coût : 1198 e<br />
13<br />
www.afore-formation.com<br />
La place du politique - Coût : 1198 e<br />
Economie, gestion, management - Coût : 1198 e<br />
Coût total : 4792 e
La Validation <strong>des</strong> Acquis de l’Expérience<br />
La Validation <strong>des</strong> Acquis de l’Expérience est un droit inscrit dans le Code du Travail qui permet à toute personne, quel que soit son âge, son niveau<br />
d’étu<strong>des</strong>, son statut, de demander la validation de son expérience professionnelle. Elle permet d’obtenir en totalité ou en partie, un <strong>des</strong> diplômes, titres<br />
ou certificats de qualification inscrits dans le répertoire national <strong>des</strong> certifications professionnelles. Elle permet également d’accéder directement à<br />
un cursus de formation sans justifier du niveau d’étu<strong>des</strong> ou <strong>des</strong> diplômes initialement requis. La seule condition est d’avoir exercé une activité d’une<br />
durée de trois ans en rapport avec la finalité du diplôme visé.<br />
Peut vous aider et vous accompagner dans votre démarche par une mise à niveau et <strong>des</strong> compléments de formation. Nous vous proposons un module<br />
«méthodologie du livret 2» pour vous accompagner à la rédaction du livret 2 avec :<br />
u Décryptage et appropriation du Livret 2.<br />
u Contextualisation.<br />
u Préalable à l’écriture.<br />
u Méthodologie de l’écriture.<br />
u Exercices d’écriture, lecture.<br />
u Préparation à l’oral.<br />
u Travaux en groupe et suivi individualisé.<br />
q<br />
La démarche<br />
Après avoir identifié la certification visée, le candidat peut obtenir <strong>des</strong> in<strong>formations</strong> auprès <strong>des</strong> différents organismes en charge de l’information et de<br />
l’orientation. Le portail de la Validation <strong>des</strong> Acquis de l’Expérience : www.vae.gouv.fr / sur le site : www.centre-inffo.fr / également auprès <strong>des</strong> OPCA.<br />
Le candidat à la VAE peut être accompagné dans la constitution de son dossier et obtenir, selon les cas, un financement, total ou partiel, du coût de la<br />
certification. Les salariés du secteur privé peuvent également obtenir de leur employeur, sous certaines conditions, un congé de validation <strong>des</strong> acquis<br />
de l’expérience d’une durée maximale de 24 heures et un financement par le fongecif. Le DIF peut permettre le financement du coût de la VAE, au titre<br />
<strong>des</strong> heures passées en accompagnement.<br />
Pour formation individuelle,<br />
d’autres sessions peuvent être organisées. Merci de nous contacter.<br />
q Intervenants cf p.2<br />
u Roland BADIOU<br />
u Aphrodite MORALI<br />
q Dates : Du 07 au 10/02/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 24 heures<br />
Coût : 1200 e<br />
u Annick LAINE<br />
INTER<br />
Le Droit Individuel à la Formation<br />
Il permet à tout salarié en CDI ayant un an d’ancienneté de se constituer un crédit d’heures de formation de 20 heures par an,<br />
cumulable sur 6 ans dans la limite de 120 heures. Ce droit est ouvert aux salariés à temps complet ou à temps partiel au prorata<br />
du temps de travail.<br />
La mise en oeuvre du DIF relève de l’initiative du salarié, en accord avec son employeur.<br />
L’employeur doit donner son accord sur le choix de l’action de formation. Il dispose d’un délai de 1 mois pour répondre.<br />
L’absence de réponse dans ce délai vaut acceptation du choix de l’action de formation proposée par le salarié.<br />
Le DIF est dorénavant portable durant deux années.<br />
Selon le décret n° 2010-64, l’employeur doit désormais mentionner sur le certificat de travail, outre les dates d’entrée et de sortie, la nature de l’emploi<br />
ou <strong>des</strong> emplois successivement occupés et les pério<strong>des</strong> auxquelles ils correspondent (C. trav., art. D. 1234-6) :<br />
u le solde du nombre d’heures acquises au titre du DIF<br />
u la somme correspondant à ce solde, soit le solde du nombre d’heures multiplié par 9,15 euros ;<br />
u l’OPCA (Organisme Paritaire Collecteur Agré) compétent pour financer les actions de formation réalisées dans le cadre de la portabilité du DIF.<br />
Concernant le CIF (Congé Individuel de Formation), l’Opacif peut assurer la prise en charge de tout ou partie <strong>des</strong> frais liés à la réalisation d’une formation<br />
hors du temps de travail dans le cadre d’un CIF, sous réserve que la formation ait une durée minimale fixée à 120 heures par le décret n° 2010-65<br />
(C. trav., art. L. 6322-64 et D. 6322-79). Voir www.droit-individuel-formation.fr<br />
www.afore-formation.com<br />
14
Clinique
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
LA PAROLE ET LE LIEN<br />
Qu’est-ce que s’entre-tenir veut dire<br />
dans les professions sociales ?<br />
q<br />
Tout professionnel qui utilise l’entretien comme méthode de travail...<br />
q<br />
Les intervenants sociaux travaillent avec les mots. Nommer, c’est d’abord<br />
prendre le pouvoir sur les choses. Mais en communiquant aux autres les<br />
noms que l’on a imposés aux choses, on leur transmet et consécutivement<br />
on leur impose notre manière de voir le monde. Nommer, c’est donc faire acte<br />
de catégories : on divise le réel en objets identifiables, et par conséquent on<br />
impose une norme, linguistique et représentative. Mais le mot fixe, fige aussi :<br />
il est un instantané de la réalité mouvante <strong>des</strong> choses. Ainsi, nommer systématiquement<br />
tout comportement qui sort <strong>des</strong> valeurs normales communément<br />
admises revient à enfermer l’autre dans une qualification. La question<br />
est alors de savoir comment redonner à la parole sa liberté au-delà <strong>des</strong> mots.<br />
Nous pouvons dire que précisément l’action sociale se fonde avant tout sur<br />
<strong>des</strong> paroles échangées. C’est peut-être pour cela que la pratique de l’entretien<br />
a une telle importance dans les pratiques sociales. Qu’il soit formel ou<br />
informel, en individuel ou en groupe. Mais... comment libère-t-on la parole ?<br />
qu’est-ce qui fait qu’on la libère ? Et puis d’accord, la parole est un outil essentiel,<br />
mais quel crédit lui accorder ? Peut-on amener la personne interviewée<br />
sur le terrain «du réel» et pourquoi faire ? Souvent les personnes refusent,<br />
ne veulent pas se livrer. Comment mériter la confiance quand, dans la situation<br />
de l’entretien l’affectif s’en mêle : on sait que cela peut déclencher <strong>des</strong><br />
sentiments de culpabilité, d’angoisse, de peur... L’outil ne provoque-il-pas dans<br />
certains cas de la violence ? Empathie, antipathie... mais aussi celle qui provient<br />
parfois du caractère d’obligation de l’entretien dans un cadre institutionnel ?<br />
De plus l’entretien est une situation formelle, en présence <strong>des</strong> personnes<br />
avec qui l’intervenant social a aussi <strong>des</strong> contacts informels. Cet informel peut<br />
être, par exemple, un conflit dans la vie quotidienne : dans ce cas, que faire<br />
de ce “poids” ? Comment alors mettre en place concrètement cet outil qu’est<br />
l’entretien ? L’ entretien donne souvent lieu à une transcription permettant aux<br />
professionnels de communiquer entre eux sur une situation donnée. Or, porter<br />
sur la surface plane de la feuille un échange aux multiples dimensions n’est<br />
pas chose aisée. Dès lors comment rendre la richesse d’un entretien sans le<br />
voir se figer dans une interprétation ? Comment lui conserver la respiration du<br />
vivant ? À bien y regarder, comment s’entretenir («parler avec quelqu’un»)<br />
sans se «tenir entre» ni «s’entre-tenir».<br />
q<br />
l L’ approche se situe à deux niveaux :<br />
- Théorique : nous aborderons l’entretien à partir <strong>des</strong> apports de référence de<br />
la philosophie, de la linguistique, de l’ethnosociologie et de la psychanalyse.<br />
- Clinique et pratique : à partir de situations présentées par les participants.<br />
q<br />
l L’ objectif principal de cette formation est de travailler sur l’acte de s’entretenir<br />
avec l’autre, à travers une élaboration <strong>des</strong> techniques de l’entretien et une<br />
analyse <strong>des</strong> situations difficiles rencontrées par les participants dans leur<br />
exercice professionnel.<br />
l La finalité consiste à mieux «gérer la gestion» quotidienne de ces situations.<br />
l Le but serait de développer <strong>des</strong> capacités d’observation, d’écoute, d’intervention<br />
pour amener à s’adapter aux différentes situations d’entretien.<br />
q<br />
Il s’agit d’une méthodologie participative et interactive. Elle est centrée sur<br />
<strong>des</strong> récits d’expériences vécues. Ces situations seront analysées par l’action<br />
conjointe <strong>des</strong> formateurs et <strong>des</strong> participants. Des apports conceptuels adaptés<br />
sont envisagés.<br />
Selon les besoins <strong>des</strong> participants, on utilisera :<br />
<strong>des</strong> jeux de rôle, <strong>des</strong> travaux de groupes, <strong>des</strong> étu<strong>des</strong> de cas, <strong>des</strong> ateliers<br />
d’écriture ayant comme principe que la liberté d’écriture est avant tout une<br />
liberté d’écoute qui s’entretient !<br />
q<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> concepts contenus dans la formation.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
u Aphrodite MORALI<br />
u Francine LORIN-BLAZQUEZ<br />
u Jean Marc GHITTI<br />
u Corinne PRADIER<br />
ETHIQUE DU TRAVAIL SOCIAL<br />
Intervenants cf p.2 q Intervenants cf p.2<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
Public<br />
Tous acteurs du secteur social et médico-social soucieux d’interroger leurs<br />
pratiques professionnelles, tant par l’histoire que par une réflexion sur les<br />
valeurs qu’elle doit mettre en œuvre.<br />
L’éthique est une notion très ancienne et nouvelle à la fois. Dans la philosophie<br />
grecque, elle est l’art très personnel de la vie heureuse. Mais, au xx e<br />
siècle, l’éthique revient sous la forme d’une éthique professionnelle qui vise<br />
à éclaircir collectivement, au sein d’une profession, les valeurs qui doivent<br />
encadrer la profession et être promues par elle. Mais alors quelles différences<br />
y a-t-il entre l’éthique et le droit, entre l’éthique et la déontologie ?<br />
Cela ne peut être éclairci que si l’on réfléchit sur l’évolution <strong>des</strong> professions,<br />
qui se sont toutes profondément transformées au fur et à mesure de<br />
l’extension de la laïcité et de la démocratie. Et en particulier les professions du<br />
«social» ont considérablement évolué. L’accompagnement <strong>des</strong> personnes<br />
en difficulté, parce qu’elles sont mala<strong>des</strong> ou handicapées ou trop vieilles,<br />
et l’intervention dans les situations délicates, comme l’aide éducative ou la<br />
réinsertion, étaient, il n’y a pas si longtemps, <strong>des</strong> tâches dévolues soit à la<br />
famille, soit à <strong>des</strong> organismes de bienfaisance d’inspiration confessionnelle.<br />
La mise en place d’un service social laïc repose certes sur <strong>des</strong> institutions<br />
qui l’organisent et le rationalisent, mais elle ne peut faire l’économie d’une<br />
réflexion sur les valeurs collectives promues par chaque intervention sociale,<br />
auprès <strong>des</strong> personnes, dans la famille ou dans <strong>des</strong> institutions aussi diverses<br />
que l’hôpital, la prison, l’école, etc. Jusqu’à une date récente, une position<br />
d’expertise pouvait suffire à orienter l’intervention sociale, cette expertise<br />
reposant sur un savoir médical, psychiatrique ou sociologique. Or l’extension<br />
<strong>des</strong> droits personnels et de l’idéal démocratique exige désormais que<br />
chaque intervention remette en discussion avec les personnes concernées<br />
les valeurs et les finalités qui l’orientent. C’est ce que montre, par exemple, la<br />
récente réforme <strong>des</strong> tutelles. C’est pourquoi, désormais, la formation à l’éthique,<br />
entendue comme capacité à organiser une délibération collective sur le<br />
problème <strong>des</strong> finalités recherchées, devient essentielle pour tout intervenant<br />
professionnel. Une formation à l’éthique professionnelle, à chaque fois<br />
spécifique, consiste à devenir capables de trouver les références adéquates<br />
dans l’éthique générale. C’est pourquoi il faut se demander ce qu’est une<br />
valeur, comment elle se dégage pour une conscience, comment elle s’affirme<br />
dans la vie en général, et dans la vie professionnelle en particulier. Quelques<br />
grands philosophes du vingtième siècle ouvrent <strong>des</strong> perspectives tout à fait<br />
stimulantes pour un renouvellement du travail social, dans le sens d’une<br />
meilleure adéquation aux aspirations démocratiques contemporaines.<br />
l La professionnalisation <strong>des</strong> activités humaines : Durkheim.<br />
l L’histoire récente de l’éthique professionnelle.<br />
l L’éthique du dialogue et la démocratie : Habermas.<br />
l L’éthique et le mouvement personnaliste en philosophie : Mounier, Simone<br />
Weil, Henri Maldiney, etc.<br />
l Le concept d’exclusion.<br />
l Le lien entre éthique, citoyenneté et travail social : GB Paturet.<br />
l Clarifier les différences entre les techniques et les finalités.<br />
l Comprendre l’engagement de la personne dans son action professionnelle.<br />
l Discerner les enjeux politiques globaux <strong>des</strong> métho<strong>des</strong> adoptées dans<br />
l’intervention sociale.<br />
l Clarifier la notion d’éthique, dans le cadre d’une société laïque.<br />
l Réfléchir à une éthique spécifique à chaque secteur d’intervention :<br />
éducation, réinsertion, handicap, grand âge, etc.<br />
l Questionner les pratiques professionnelles.<br />
Exposé, étude de textes philosophiques, étude de cas, étude de problèmes<br />
d’actualité, atelier d’écriture.<br />
Chaque stagiaire rédigera une charte éthique possible appliquée à l’emploi<br />
qu’il exerce actuellement.<br />
u Jean Marc GHITTI<br />
q Dates : Du 31/01 au 04/02/11 q Dates : Du 19 au 23/09/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u André FERRER<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
16
TRAVAIL SOCIAL ET PSYCHANALYSE :<br />
Paradoxes de l’accompagnement<br />
q<br />
Tous travailleurs sociaux, moniteurs-éducateurs, éducateurs spécialisés,<br />
assistants de service social, animateurs, ETS, AMP, EJE, CESF, assistantes<br />
maternelles, ai<strong>des</strong> à domicile, secrétaires du secteur médico-social.<br />
q<br />
Sur fond de crises mondialisées, le travail social est lui aussi en souffrance :<br />
partagé entre sa mission de régulation - voire de contrôle - et d’aménagement<br />
de situations de plus en plus fragilisées sur le plan économique et psychique,<br />
et l’exigence gestionnaire lui imposant protocoles, résultats visibles<br />
et évaluation quantitative, il se voit de plus en plus contraint à traiter <strong>des</strong><br />
«usagers» rétifs et/ou revendicatifs par un interventionnisme intrusif ou par<br />
une réponse dans l’urgence à la demande, ou encore par l’attente résignée<br />
d’une émergence de celle-ci. Si les institutions sont déterminantes pour une<br />
part dans la structuration psychique de ses agents, il n’empêche que chacun<br />
en tant qu’acteur reste responsable de sa pratique. La question - éthique -<br />
est la suivante : comment soutenir la subjectivité <strong>des</strong> professionnels mise<br />
à mal par <strong>des</strong> attaques de toute part de manière à ce que, restaurés dans<br />
un narcissisme suffisant, ils puissent développer avec les «usagers» un lien<br />
d’accompagnement paradoxal - entre étayage et castration - qui permettent<br />
à ces derniers de (re)devenir eux aussi sujets de leur histoire.<br />
A ce titre l’apport psychanalytique est et reste fondamental pour le travail<br />
social par son aide à l’analyse <strong>des</strong> situations et <strong>des</strong> relations sous l’angle de<br />
leurs déterminants inconscients et quant à la conviction que derrière tout<br />
être humain - si démuni soit-il, il y a un sujet qui demeure en possibilité<br />
d’advenir. C’est là le pari d’une telle entreprise : qu’une résistance <strong>des</strong><br />
travailleurs sociaux aux contraintes et aux résistances qui les entourent puisse<br />
aussi contribuer à ce passage de l’usager consommateur de services au sujetacteur<br />
de sa vie en raison même <strong>des</strong> manques qui le structurent.<br />
q<br />
l Actualité et enjeux de la question.<br />
l La psychanalyse appliquée au social : théories freudiennes.<br />
l Concepts fondamentaux de la psychanalyse chez Freud, Lacan et Winnicott<br />
: inconscient, pulsion, refoulement, refoulé en retour, parole et langage,<br />
besoin, désir, demande, transfert, relation primaire, phénomènes transitionnels,<br />
castration.<br />
l Approche psychanalytique <strong>des</strong> institutions.<br />
l Paradoxe du lien d’accompagnement entre étayage et castration.<br />
q<br />
l Questionner les pratiques professionnelles dans le champ du social et de<br />
l’éducatif, notamment en ce qui concerne le «lien d’accompagnement<br />
(Paul Fustier)» : de la prise en charge à la prise en compte, quelle place pour<br />
l’usager en tant que sujet et quel autre positionnement pour le professionnel<br />
partagé entre un mandat institutionnel de plus en plus contraignant et son<br />
désir de «bien pour autrui». Autant de notions et de paradoxes interrogés<br />
à partir de l’expérience de chacun et mis en perspective par l’éclairage psychanalytique,<br />
sous forme d’un processus en deux temps inséparables<br />
visant à explorer «après-coup» ce qui, soumis à l’épreuve du terrain, aura<br />
été activé lors du premier module.<br />
q<br />
Exposés théoriques, réflexions et échanges à partir de situations cliniques,<br />
discussions autour d’un film et de documents littéraires.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Evaluation<br />
Présentation originale, au cours du deuxième temps de formation, d’une<br />
monographie clinique articulée aux conceptualisations et aux élaborations<br />
développées lors du premier temps.<br />
q<br />
www.afore-formation.com<br />
TOXICOMANIE ET ADDICTOLOGIE<br />
Professionnels du secteur médico et/ou social (médecins, travailleurs sociaux,<br />
personnels soignants,...) confrontés dans leurs pratiques à ces problématiques<br />
de consommation et/ou de dépendance.<br />
“Addictologie” : nouvelle discipline traversée de la double valence du logos,<br />
à la fois connaissance médicale et scientifique, et en même temps art du<br />
langage, espace où se déploie l’écoute et la parole soignante. Depuis longtemps<br />
les toxicomanies sont régulièrement renvoyées vers la médecine pour<br />
y être traitées. Toute l’histoire <strong>des</strong> toxicomanies montre à l’envi que, dans ce<br />
domaine, le modèle médical est à lui seul inopérant, tant pour rendre compte<br />
du phénomène que pour y répondre. Rien d’étonnant : la toxicomanie est<br />
moins une maladie qu’une “solution” pour soulager <strong>des</strong> maux de la vie, à la<br />
croisée de facteurs d’ordres social, psychologique et biologique. L’amputer<br />
d’une de ces dimensions conduit à <strong>des</strong> réductionnismes et à <strong>des</strong> systèmes<br />
de traitement aussi simplistes que dangereux. Voilà pourquoi l’accompagnement<br />
et plus largement le soin ne peut être que multidimensionnel. Loin d’être<br />
un catalogue de recettes ou de préceptes qu’il suffirait d’appliquer, ce stage<br />
essaie de rassembler <strong>des</strong> données et d’apporter une vue d’ensemble sur <strong>des</strong><br />
analyses et <strong>des</strong> pratiques fort diverses. Au-delà <strong>des</strong> aspects conceptuels ou<br />
techniques, ce que nous proposons aux stagiaires, c’est à la fois un projet<br />
et une démarche éthique, sociale et clinique au centre de laquelle se trouve<br />
non pas une pathologie, mais <strong>des</strong> sujets qui ont à être reconnus comme<br />
humains et citoyens avant que d’être “traités”. Toute intervention qui prétend<br />
“soigner” autrui exige la recherche d’une alliance avec cet autre. C’est encore<br />
plus nécessaire avec les usagers de drogues tant ils souffrent de désalliance<br />
et d’exclusion.<br />
l Travail sur les représentations personnelles et collectives.<br />
l Actualisation <strong>des</strong> connaissances théoriques et cliniques (les produits,<br />
schéma général <strong>des</strong> addictions, les différentes typologies cliniques, approche<br />
de la personne dépendante, le soin addictologique).<br />
l Actualiser les connaissances <strong>des</strong> professionnels sur les substances psycho<br />
actives et leur usage.<br />
l Donner <strong>des</strong> outils aux professionnels quant à la compréhension du phénomène,<br />
son dépistage et sa prise en charge.<br />
l Sensibiliser (donner à ressentir, et à fabriquer du sens) les stagiaires à une<br />
culture commune de représentations. Il en découle que chaque participant<br />
est amené à s’approprier les outils conceptuels permettant de construire un<br />
espace relationnel et un cadre thérapeutique qui soient pertinents à l’égard<br />
<strong>des</strong> patients et de s’inscrire dans un réseau de cohérence en dedans et<br />
au-delà de sa propre institution.<br />
Apports théoriques dans les champs de la psychanalyse et de la psychiatrie,<br />
analyses de situations, discussions et étu<strong>des</strong> de documents.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Evaluation<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenants cf p.2<br />
Au terme du stage chaque participant réalisera une synthèse <strong>des</strong> concepts<br />
utilisés sous la forme de mise en situation pratique. Il devra rédiger un écrit<br />
sur la manière dont les acquis de sa formation conditionnent son savoir être,<br />
son savoir-faire et son savoir dire avec les personnes présentant <strong>des</strong> problématiques<br />
addictives.<br />
u Olivier CASALIS u Jean Pierre MARTEN u Paul GONNET<br />
u Annie GEBELIN<br />
q Dates : Du 07 au 09/02/11 - du 16 au 17/05/11 q Dates : Du 09 au 11/05/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
17<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
MOI, UN ENFANT, JE PARLE :<br />
Recueillir la parole de l’enfant<br />
q<br />
Tout professionnel du secteur social ou médico-social ayant à travailler avec<br />
la parole de l’enfant.<br />
q<br />
On ne donne pas la parole à l’enfant ; il y a lieu seulement de prendre acte<br />
du fait qu’il parle. Il n’y a pas d’enfance de la parole, mais il y a <strong>des</strong> paroles<br />
d’enfants. La convention internationale <strong>des</strong> droits de l’enfant, les différents<br />
co<strong>des</strong> font désormais place dans notre droit au recueil de la parole de<br />
l’enfant. Le professionnel est confronté à cette pratique du recueil et doit<br />
élaborer un acte qui prenne en compte ce qui a été dit. Cette obligation légale<br />
ouvre sur <strong>des</strong> interrogations que cette formation propose de mettre en travail :<br />
Y a-t-il <strong>des</strong> moyens techniques pour distinguer quand l’enfant dit vrai, ment,<br />
imagine, fabule ou délire ? La récente affaire d’Outreau pose clairement la question<br />
<strong>des</strong> ravages causés par la croyance aveugle en la parole d’un enfant ; alors<br />
faut-il croire ou non, croire quand il s’agit de paroles émises par un mineur ?<br />
C’est notamment autour de ces questions que le stage tentera d’interroger ce<br />
qu’il en est de la parole de l’enfant et forgera <strong>des</strong> outils pour la recueillir.<br />
q<br />
l Nous conduirons à une approche <strong>des</strong> textes juridiques concernant la parole<br />
de l’enfant, le secret professionnel, l’obligation de dénoncer, l’administrateur<br />
ad hoc, le défenseur <strong>des</strong> enfants...<br />
l Nous ferons état <strong>des</strong> questions que pose aujourd’hui la parole de l’enfant.<br />
l Parler, qu’est-ce à dire ? L’enfant et l’adulte sont-ils dans deux modèles de<br />
langage hétérogènes ?<br />
l Nous aborderons les résistances psychiques de l’enfant à parler, à écouter<br />
ce qui lui est dit.<br />
l Nous tenterons la traduction <strong>des</strong> textes législatifs dans nos actes professionnels<br />
en repérant nos freins à l’écoute et notre difficulté à agir quand<br />
l’enfant a parlé.<br />
l Nous fabriquerons <strong>des</strong> outils pour examiner avec l’enfant les décisions le<br />
concernant et recueillir son avis.<br />
l Nous travaillerons ces questions sous l’angle de ce qui se nomme «clinique<br />
de la place».<br />
q<br />
l Nous aborderons ces questions et quelques autres non pour leur apporter<br />
une réponse univoque mais pour tenter de dégager les éléments qui peuvent<br />
permettre d’inventer au plus juste sa pratique à chaque fois qu’il s’agit<br />
de prendre acte que «Moi, un enfant, je parle».<br />
l Face au prêt à penser actuel qui sacralise la parole de l’enfant pour en faire<br />
néanmoins peu de cas, nous tenterons de repérer les points d’appui juridiques,<br />
psychologiques et techniques qui peuvent venir charpenter notre<br />
acte quand «Moi professionnel, je parle».<br />
q<br />
Apports théoriques. Travail autour <strong>des</strong> trouvailles, <strong>des</strong> questionnements<br />
amenés par les stagiaires. Transmission de l’expérience : présentation <strong>des</strong><br />
ouvrages pour enfants publiés par l’intervenant. Atelier pratique de création<br />
d’outils, échange avec les participants.<br />
q<br />
Il sera proposé aux stagiaires d’écrire chaque soir un texte libre pour faire<br />
retour de ce qui se sera inscrit pour eux dans la journée. Ces textes, mis en<br />
page par le formateur, seront lus et discutés le lendemain matin. Ils constitueront<br />
le journal de la formation. Un temps sera proposé la dernière après<br />
midi pour faire retour par écrit <strong>des</strong> acquis de la formation. Une adresse Email<br />
sera à la disposition <strong>des</strong> stagiaires pour poursuivre, s’ils le souhaitent, leur<br />
questionnement.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Jean Pierre THOMASSET<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
LE TRANSFERT ET SON ÉLABORATION<br />
EN TRAVAIL SOCIAL<br />
Public<br />
Tous les intervenants <strong>des</strong> services sociaux et médico-sociaux.<br />
Les phénomènes liés au transfert se constatent hors du champ réservé de<br />
la psychanalyse et de la cure. Il y a transfert dès qu’une personne s’adresse<br />
à une autre et à plus forte raison dans toutes relations d’aide éducative, psychologique,<br />
soignante... Transférer c’est effectuer une opération comportant<br />
un déplacement. Dans le travail social <strong>des</strong> personnes se déplacent, mais<br />
l’opération de transfert les amènent à attribuer à celui à qui elles s’adressent<br />
un savoir ou un pouvoir sur ce qui leur fait défaut, souffrance, embarras... mal<br />
de vivre, d’avoir ou d’être. Dans cette opération, le travailleur social se voit<br />
doter <strong>des</strong> objets, du savoir-faire ou du savoir être qui manquent à celui qui<br />
les lui demande. Le transfert atteint l’illusion de pouvoir qui agite les professionnels,<br />
il induit <strong>des</strong> effets de colle pouvant être massifs, il est euphorisant<br />
comme un produit dont on se réveille avec une gueule de bois. C’est dans<br />
l’arène du transfert, selon S. Freud, que se manifeste tout ce qui se dissimule<br />
de pathogène dans le psychisme humain et c’est dans son maniement, nous<br />
dirons dans son élaboration, que l’on trouve le principal moyen d’enrayer<br />
la compulsion de répétition. Il est donc possible d’affirmer que tout ce qui<br />
s’effectue dans la relation de travail social avec les usagers s’opère sous<br />
transfert. En proposant les moyens d’une élaboration du transfert, la psychanalyse<br />
a forgé un outil pertinent pour le travail social et utile à orienter l’intervenant<br />
dans son acte, la conduite de sa prise en charge et à garder la bonne<br />
distance professionnelle là où la volonté et les bonnes intentions peuvent<br />
conduire au pire. Nous nous instruirons pour ce stage <strong>des</strong> enseignements<br />
de la psychanalyse non pour tenter de promouvoir une maîtrise relationnelle<br />
mais une élaboration de ce qui s’engage d’émotions, de souvenirs dans la<br />
relation lorsque l’offre d’aide se trouve confrontée à l’amour qui s’adresse au<br />
savoir. (*) dans l’arène du transfert. (*) Définition du transfert selon J. Lacan.<br />
l Amélioration <strong>des</strong> connaissances et compétences professionnelles.<br />
Permettre aux participants de mieux connaître les phénomènes liés au transfert<br />
et s’orienter dans les rencontres et relations qu’ils entretiennent avec les<br />
usagers. Évoluer dans leur prise de distance professionnelle.<br />
Après un tour de table où seront évoquées les activités, réalités professionnelles<br />
et attentes <strong>des</strong> participants, seront proposés plusieurs exposés suivis<br />
de débats portant sur la clinique en travail social et les questions soulevées<br />
par le texte de présentation. Des analyses de cas proposés par les participants<br />
serviront à illustrer et mettre en pratique les questions abordées dans<br />
le stage. Un document audiovisuel servira de support pour une discussion<br />
avec et entre les participants.<br />
Un bilan <strong>des</strong> acquisitions et ouverture à de nouveaux questionnements sera<br />
établi en fin de stage.<br />
u Jean Claude BENGUIGUI<br />
q Dates : Du 07 au 10/02/11 q Dates : Du 03 au 07/10/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
18
CONSTELLATIONS FAMILIALES :<br />
Guérir les blessures familiales et se<br />
libérer du <strong>des</strong>tin transgénérationnel<br />
q<br />
Professionnels de la santé, <strong>des</strong> secteurs éducatifs, sociaux, engagés dans<br />
une relation d’aide individuelle ou auprès <strong>des</strong> familles : médecins, psychothérapeutes,<br />
psychiatres, psychologues, infirmiers, ai<strong>des</strong>-soignants, ai<strong>des</strong><br />
médicaux-psychologiques, éducateurs, assistants sociaux ou toutes personnes<br />
désirant acquérir une meilleure connaissance de l’impact du transgénérationnel<br />
sur le <strong>des</strong>tin <strong>des</strong> familles et <strong>des</strong> personnes et sur le fonctionnement<br />
<strong>des</strong> systèmes.<br />
q<br />
La méthode <strong>des</strong> constellations familiales part du principe que toute l’histoire<br />
de notre famille est inscrite dans notre psyché. Ainsi bien <strong>des</strong> problèmes<br />
existentiels proviennent à la fois de notre histoire mais aussi de la mémoire<br />
familiale souvent inconsciente qui se transmet à travers les générations.<br />
La mise en place d’une constellation familiale peut permettre de découvrir<br />
quels événements ou personnes de notre système familial influencent notre<br />
vie présente en nous empéchant parfois de nous réaliser pleinement. Ainsi<br />
nos maladies, blocages, dépressions, peurs, colères, échecs relationnels,<br />
sentimentaux ou professionnels, certaines répétitions familiales ou difficultés<br />
d’exister peuvent être en lien avec cette histoire familiale et être le reflet<br />
de conflits non réglés par les générations précédentes (personnes mortes<br />
jeunes, secret de famille, enfants mort-nés, suicide, exclusions, immigration...).<br />
La mise en place d’une constellation familiale tente de déméler et d’éclairer<br />
nos intrigations avec l’histoire familiale et libére <strong>des</strong> forces énergétiques<br />
bloquées ainsi qu’une nouvelle vision <strong>des</strong> choses permettant d’avancer vers<br />
une solution au problème traité qu’il soit personnel ou professionnel.<br />
q<br />
l Démarche pédagogique qui tiendra compte <strong>des</strong> attentes <strong>des</strong> stagiaires.<br />
l Réflexions et apports théoriques sur l’analyse systèmique, l’inconscient<br />
collectif, la psychogénéalogie et les constellations familiales.<br />
l Ateliers cliniques par la mise en place de constellations familiales pour<br />
cheminer vers la résolution d’un problème.<br />
l Analyse et échanges avec le groupe suite aux ateliers.<br />
q<br />
l Découvrir la méthode <strong>des</strong> constellations familiales et acquérir <strong>des</strong> connaissances<br />
théoriques et pratiques sur la théorie <strong>des</strong> systèmes (Ecole de Palo-<br />
Alto) et la psychogénéalogie.<br />
q<br />
Les personnes désirant s’engager dans ce type de formation doivent être<br />
conscientes que la mise en place d’une constellation familiale requiert une<br />
forte implication personnelle. Si le stagiaire désire travailler sur un système<br />
familial en lien avec son travail, il est nécessaire d’avoir l’accord de la famille<br />
concernée.<br />
q<br />
A la fin de la formation chaque stagiaire sera capable : de savoir ce qu’est,<br />
concrétement, une constellation familiale, d’effectuer une réflexion psychogénéalogique<br />
et d’exprimer à son environnement l’impact du transgénérationnel,<br />
de rechercher et comprendre l’origine d’un problème et de l’expliquer<br />
à autrui, de proposer <strong>des</strong> solutions pour résoudre ce problème.<br />
q<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Joëlle MAUREL<br />
q Dates : Du 28/03 au 01/04/11<br />
Lieu : Toulouse (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
19<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
DÉSAMOUR ET DÉMARIAGE,<br />
L’accompagnement <strong>des</strong> familles en crise<br />
q<br />
Public<br />
Tous les professionnels amenés à travailler avec <strong>des</strong> familles en conflit avant,<br />
pendant ou après le divorce, tous ceux qui s’occupent d’enfants dont les<br />
parents sont séparés, tous ceux qui soutiennent la fonction parentale dans<br />
un cadre sanitaire, social ou éducatif.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
La séparation parentale, après mariage ou sans qu’il y ait eu mariage, est<br />
devenue une réalité familiale massive. Elle est vécue de manière plus ou moins<br />
dramatique, selon les cas, mais elle n’est pas sans conséquence, même lorsqu’ elle<br />
est apparemment bien acceptée. Elle produit <strong>des</strong> effets en amont, lorsque la<br />
mésentente entre les parents se manifeste par le conflit à l’intérieur de la maison ;<br />
<strong>des</strong> effets pendant la procédure judiciaire, surtout si elle est conflictuelle ; et <strong>des</strong><br />
effets longtemps après selon la manière dont chaque parent a plus ou moins<br />
retrouvé un équilibre et selon la manière dont les enfants trouvent leur place dans<br />
<strong>des</strong> familles monoparentales ou <strong>des</strong> familles recomposées. Ces effets touchent<br />
les enfants, mais aussi les adultes qui les entourent. C’est pourquoi il est important,<br />
pour bien accompagner ces familles, de comprendre les processus du désamour<br />
et <strong>des</strong> mécanismes psychiques qu’il engendre sur un temps beaucoup plus<br />
long qu’on ne le dit généralement.<br />
Le travail social rencontre très fréquemment ces situations soit directement lors<br />
<strong>des</strong> médiations familiales, <strong>des</strong> enquêtes sociales, <strong>des</strong> mesures d’assistance<br />
éducative, soit indirectement lorsqu’un adulte se déclasse socialement et se<br />
dégrade psychiquement suite à une séparation, ou lorsqu’un enfant qui n’a pas<br />
retrouvé <strong>des</strong> repères sains, entre dans <strong>des</strong> conduites transgressives, violentes<br />
ou addictives.<br />
Les processus du désamour et du démariage dépendent étroitement de la<br />
relation de couple et de la relation familiale telles qu’elles fonctionnaient avant la<br />
séparation. Peut-on classer les formes d’amour, les manières d’aimer et voir sur<br />
quels types de désamour et de démariage elles risquent d’ouvrir ? On le fera non<br />
seulement à l’aide de la psychanalyse mais aussi à l’aide d’une certaine histoire<br />
de la culture amoureuse en essayant d’éclairer les différentes formes actuelles<br />
de relation amoureuse, au carrefour entre psychologie <strong>des</strong> profondeurs et sociologie<br />
<strong>des</strong> modèles.<br />
q<br />
l Le démariage à la lumière <strong>des</strong> évolutions sociologiques.<br />
l Le désamour à la lumière de l’évolution <strong>des</strong> mentalités et de la psychologie<br />
commune.<br />
l Le désamour à la lumière <strong>des</strong> structures profon<strong>des</strong> et inconsciente du psychisme.<br />
l Le démariage à la lumière <strong>des</strong> modèles de vie contemporains.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Aller vers un meilleur accompagnement <strong>des</strong> familles en crise et dédramatiser<br />
les séparations.<br />
l Trouver et approfondir <strong>des</strong> alternatives à la procédure judiciaire.<br />
l Mieux comprendre le vécu de chacun pendant et après la séparation.<br />
q<br />
Objectif<br />
Mise en évidence <strong>des</strong> outils psychanalytiques appropriés pour penser ces<br />
situations. Référence à <strong>des</strong> philosophies de l’amour et de la relation humaine.<br />
Etu<strong>des</strong> de situations empruntées à la littérature, au cinéma ou à la vie. Jeux<br />
d’écriture pour inventer <strong>des</strong> scénarios de résolution de ces situations.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
A partir d’une situation exemplaire, chaque stagiaire imagine et écrit un<br />
processus possible de résolution et met en évidence les mesures sociales<br />
d’accompagnement les plus judicieuses selon lui.<br />
u Jean Marc GHITTI et d’autres intervenants(es)<br />
q Dates : Du 17 au 21/01/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
Formation <strong>des</strong> personnels soignants :<br />
approche sociale et clinique du soin<br />
q<br />
Toute personne concernée par la relation avec le «soigné» : médecin, infirmière,<br />
aide-soignante, agent hospitalier, ambulancier.<br />
q<br />
Les équipes soignantes, par leurs fonctions spécifiques, tant en milieu<br />
hospitalier qu’à domicile, entrent en relation avec le malade de façon intime<br />
et parfois prolongée. La complexité <strong>des</strong> enjeux relationnels entre l’institution,<br />
le malade, leur famille et les membres de l’équipe, les amène fréquemment à<br />
gérer <strong>des</strong> situations difficiles. Les raisons ou objectifs <strong>des</strong> relations, dans le<br />
milieu hospitalier sont majoritairement déterminés par <strong>des</strong> soins. Tout acte,<br />
tout geste technique ou de confort se situe au sein d’une relation soignant/<br />
soigné. Le travail de soins inclut nécessairement un aspect de relation.<br />
L’habileté relationnelle consiste à pouvoir interpréter les éléments donnés<br />
par le malade et apportés par le soignant comme <strong>des</strong> supports d’information<br />
qui formeront le sédiment de la relation soignant-soigné.<br />
Le sens de la relation dépend de la conjugaison d’un ensemble de facteurs.<br />
En effet, certains éléments peuvent se contredire et compromettre les<br />
échanges. L’ «affectivité», les enjeux <strong>des</strong> partenaires et le contexte influencent,<br />
précisent ou perturbent le sens de la relation.<br />
Aussi, si comme on l’admet de plus en plus souvent aujourd’hui, «qu’on ne<br />
peut séparer le corps de l’esprit», et qu’à ce titre la qualité de la relation avec<br />
le malade est un facteur important de la guérison, il parait essentiel de réfléchir<br />
et de travailler sur cet aspect particulier de la relation soignant/soigné.<br />
q<br />
l La relation avec la personne souffrante :<br />
- Points clés.<br />
- L’histoire de la maladie dans notre société. Rôles sociaux (la reconnaissance<br />
<strong>des</strong> rôles, la méconnaissance, le glissement). Le triangle soignant-famillesoigné.<br />
l Les sentiments dans la fonction de soignant :<br />
- Le sentiment de supériorité.<br />
- Le sentiment d’impuissance.<br />
- Le sentiment de responsabilité.<br />
- L’ empathie, l’agressivité, la répulsion.<br />
l Le travail en équipe :<br />
- Perception de la fonction de chacun.<br />
- La relation avec l’autorité.<br />
- La complémentarité <strong>des</strong> fonctions.<br />
q<br />
l Découvrir et comprendre les mécanismes sociaux et psychologiques qui<br />
régissent les relations soignants-soignés afin de les améliorer. Comment<br />
apporter un «plus» important dans la relation de soins.<br />
q<br />
Outre l’apport didactique du formateur, la formation proposée s’articule<br />
autour du vécu et <strong>des</strong> échanges avec et entre les participants. La pédagogie<br />
est essentiellement inductive.<br />
q<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Le quotidien en question,<br />
le lien d’accompagnement dans la vie<br />
quotidienne<br />
Tous les intervenants <strong>des</strong> services sociaux et médico-sociaux.<br />
Les dictionnaires encyclopédiques nous offrent du mot quotidien la définition<br />
suivante : “De chaque jour, qui se fait, revient tous les jours.” Si on s’attache<br />
au pied de la lettre à cette définition, on note l’idée d’une répétition, qui, dans<br />
notre société, est située dans une série indéfinie de cycles de 24 h. D’un autre<br />
côté, le rite est défini comme une “pratique réglée, invariable, une manière de<br />
faire habituelle”. De la même manière, on remarquera ici l’idée d’une répétition,<br />
puisqu’il y a invariabilité, avec la donnée supplémentaire d’une sorte de réglementation<br />
de pratiques. Mais un paradoxe surgit dans l’approche du quotidien :<br />
il s’agit d’entretenir une certaine stabilité sans toutefois s’endormir dans la<br />
routine ou l’enfermement. L’Essai sur le don, travail fondateur de M. Mauss<br />
paru en 1925, le don est pris dans un système d’échange marqué, non par la<br />
gratuité, mais par une triple obligation : on est obligé de faire <strong>des</strong> cadeaux, on<br />
est obligé de les accepter, on est obligé de rendre. Ce système d’échange par le<br />
don fonde le lien social : le bien circule au service du lien. En ce qui nous concerne<br />
on pourrait dire que ce système fonde le lien d’accompagnement dans la vie<br />
quotidienne avec les personnes prises en charge. Pour pertinent que soit ce<br />
modèle, on peut toutefois se dire qu’on est en présence d’une histoire sans fin :<br />
au don répond le contre-don, au contre-don répondra le contre-contre-don, qui<br />
lui-même supposera un nouveau don en réponse, avec, éventuellement, une<br />
valeur qui croît à chaque échange. Sur le terrain du travail social, si on considère<br />
la prise en charge comme un échange par le don, une série de questions<br />
se pose aux professionnels : Comment faire si la valeur <strong>des</strong> objets matériels<br />
ou symboliques échangés augmente au fur et à mesure de l’échange dans la<br />
vie quotidienne ? Comment pourrait-on se séparer ? Comment terminer ce qui<br />
apparaît comme une “histoire sans fin” ? Comment ne pas tomber dans une<br />
répétition qui ne favoriserait pas la création ?<br />
Mais aussi : Comment amener <strong>des</strong> personnes en accompagnement à se<br />
«reprendre en main», à gérer un quotidien si simple et pourtant si compliqué.<br />
Comment avancer doucement pour qu’ils retrouvent confiance en eux?<br />
Comment l’«autre» que nous sommes doit-il les regarder? Quel comportement<br />
adopter quand il y a échec?<br />
l Les rites d’interaction dans le quotidien : obligations et attentes, déférence et<br />
tenue, évitement et irrespect.<br />
l La théorie du don : la notion d’échange.<br />
l L’institution comme espace et rencontre du quotidien.<br />
l Le concept de transfert dans le travail social, en envisageant son maniement<br />
dans la pratique.<br />
l La réinsertion au quotidien.<br />
l Sans tomber dans une généralisation excessive de ce phénomène social<br />
qu’est l’échange, on tentera de lire un certain nombre de rapports sociaux<br />
actuels, avec ces obligations présentes à l’esprit.<br />
l Repérer, dans un contexte professionnel et à partir de ce système circulaire<br />
donner-recevoir-rendre, ce qui ne fonctionne plus dans l’échange de la vie<br />
quotidienne.<br />
l Travailler les différentes représentations que le groupe <strong>des</strong> participants peut<br />
avoir sur la notion du quotidien.<br />
l Élaborer <strong>des</strong> espaces de médiation efficaces afin de tenter de traiter la situation<br />
de la dette “déposée” sur le professionnel dans la vie quotidienne.<br />
l Apprendre à conserver la bonne distance dans la relation transférentielle.<br />
l Mesurer les rapports de proximité et de distance entre les professionnels et<br />
les usagers du point de vue de l’appartenance générationnelle, culturelle,<br />
sociale.<br />
Exposés théoriques et discussion. Exposition de cas cliniques. Présentation<br />
de documents et de situations professionnelles. Travail en petits groupes.<br />
Jeux de rôles.<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> concepts contenus dans le formation.<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Jean François ROUSSEL<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
Public<br />
u Aphrodite MORALI et d’autres intervenants(es)<br />
q Dates : Du 17 au 20/01/11 q Dates : Du 14 au 18/11/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
20
SUPPORTER LA RÉPÉTITION, SOUTENIR LA<br />
CRÉATION<br />
q<br />
Tous travailleurs sociaux, ES, ME, EJE, AS, assistantes maternelles, animateurs,<br />
médiateurs culturels et sociaux, enseignants, psychologues.<br />
q<br />
Les praticiens de l’éducation spécialisée et du soin sont confrontés au quotidien<br />
à la répétition <strong>des</strong> problèmes et <strong>des</strong> symptômes <strong>des</strong> usagers : c’est<br />
d’ailleurs précisément cela, cette confrontation récurrente, qui fonde en<br />
raison leur pratique de professionnels. Or, paradoxalement, c’est également<br />
cette confrontation qui peut acculer chaque praticien, seul ou en équipe,<br />
aux limites mêmes de sa pratique, là où il fait l’expérience de son impuissance<br />
professionnelle sur fond d’affects plus ou moins supportables et<br />
parfois littéralement insupportables. Mais alors que faire pour qu’au final,<br />
ni le praticien ne paye de sa personne jusqu’au point où quelque chose peut<br />
rompre, ni l’usager jusqu’au point de se faire exclure du souci <strong>des</strong> praticiens,<br />
quand ce n’est pas <strong>des</strong> institutions elles-mêmes ? Car contrairement à ce<br />
que certaines options affirment, niant par là tous les enseignements d’une<br />
anthropologie et d’une clinique de ces pratiques au quotidien, ces problèmes<br />
et ces symptômes ne constituent pas seulement <strong>des</strong> défauts, <strong>des</strong> biais<br />
ou <strong>des</strong> troubles, à éradiquer dans un soulagement général : ils constituent<br />
bien aussi ce par quoi un usager aura pu rencontrer <strong>des</strong> professionnels, et<br />
parfois ce qui l’aura fait tenir, dans sa famille ou même dans l’existence.<br />
Qu’un problème ou qu’un symptôme puisse faire tenir quelque chose pour<br />
un usager - mais peut-être bien aussi pour un praticien - n’exclut pas qu’on<br />
puisse sans plaindre, ou même le nier. Et c’est bien de là qu’il s’agit d’œuvrer :<br />
partir de la répétition - <strong>des</strong> symptômes - pour soutenir la création - d’une<br />
modification subjective - à l’aide d’invention - de bricolages. Puisque la<br />
répétition - d’une transgression, d’un passage à l’acte, d’une stéréotypie -<br />
nous indique précisément là où l’usager reste en plan, jusqu’à rencontrer<br />
quelqu’un qui s’en fasse le partenaire. C’est bien alors le problème ou le<br />
symptôme lui-même qui peut orienter le praticien qui sait s’en servir, au<br />
point précisément où il consent à cesser de le subir.<br />
q<br />
l Approche anthropologique et psychanalytique de la dialectique répétition<br />
création et de la problématisation du manque qu’elle met en jeu.<br />
l Réflexion et théorisation de situations et de problèmes issus du quotidien <strong>des</strong><br />
pratiques.<br />
q<br />
l Repérer les liens intimes et le rapport structurel <strong>des</strong> phénomènes de répétition<br />
et de création dans le quotidien du travail éducatif, social ou thérapeutique :<br />
parvenir à en extraire une ligne éthique.<br />
l Dégager <strong>des</strong> ouvertures de travail, individuel et collectif, pour accueillir la<br />
répétition, la pratiquer et lui faire limite ; mais aussi pour inventer <strong>des</strong> manières<br />
de dire et de faire qui soutiennent l’existence <strong>des</strong> sujets accueillis et leur<br />
inscription dans <strong>des</strong> liens sociaux vivables.<br />
q<br />
Exposés et conceptualisation à partir d’une approche interdisciplinaire et transdisciplinaire<br />
- anthropologie psychanalytique. Récit et <strong>des</strong>cription de situations<br />
de pratique. Discussion, réflexion et analyse - collective - <strong>des</strong> problématiques<br />
et phénomènes rapportés de la pratique.<br />
q<br />
Bilan individuel et groupal à partir d’une synthèse <strong>des</strong> apports et d’une<br />
réflexion sur la trajectoire de formation parcourue.<br />
q<br />
21<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
www.afore-formation.com<br />
EDUQUER AUJOURD’HUI...<br />
Toute personne concernée par la question de l’éducation.<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Stéphane PAWLOFF<br />
Public<br />
q Dates : 30/05 au 01/06/11 q Dates : Du 14 au 17/03/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
A suivre Freud, éduquer serait l’une <strong>des</strong> tâches impossibles. C’est bien pourtant<br />
à quoi s’essaie l’être humain depuis <strong>des</strong> millénaires pour assurer sa pérennité.<br />
L’acte d’éduquer a fluctué au cours de l’histoire entre le maître dispensant le<br />
savoir et l’élève placé au centre du dispositif pour être acteur de son propre<br />
développement. Aujourd’hui, les bouleversements de notre société paraissent<br />
avoir brouillé les cartes pour qui a choisi la mission d’éduquer. Il importe d’interroger<br />
cet acte dans un contexte qui semble désormais délégitimer celui qui a<br />
la charge de le mettre en œuvre.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Nous referons d’abord le chemin, balisé par les philosophes pour repérer en<br />
quoi les enjeux étaient posés dès l’Antiquité quant aux places respectives<br />
du maître et de l’élève.<br />
l Nous parcourrons l’histoire de la pédagogie qui a traduit dans les pratiques,<br />
au fil du temps, les changements du modèle éducatif.<br />
l Nous interrogerons en quoi celui d’aujourd’hui reproduit de génération en<br />
génération les clivages sociaux ou concourt à promouvoir l’égalité <strong>des</strong><br />
chances quelle que soit l’origine de chacun.<br />
l Nous prendrons acte <strong>des</strong> bouleversements actuellement à l’œuvre dans<br />
notre société en s’appuyant notamment sur les travaux de J-P. LEBRUN et<br />
Dany DUFOUR.<br />
q<br />
l Il s’agira de faire <strong>des</strong> lectures de ce qui se donne à voir dans les différents<br />
champs de l’éducation, qu’elle soit familiale, nationale ou spécialisée.<br />
l De ces lectures nous tenterons de déduire les axes selon lesquels orienter<br />
nos pratiques pour inventer ensemble ce que pourrait être l’éducation de<br />
demain.<br />
q<br />
Objectif<br />
A partir de l’apport <strong>des</strong> intervenants et de la contribution active <strong>des</strong> participants,<br />
nous construirons ensemble les bases sur lesquelles pourront s’appuyer<br />
les professionnels qui doivent notamment apporter sans cesse davantage un<br />
soutien à la parentalité. Il sera proposé à chacun, à chaque fin de journée d’écrire<br />
un texte libre. L’ensemble <strong>des</strong> textes sera imprimé et discuté le lendemain<br />
matin et constituera le journal de la formation.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Il sera proposé aux stagiaires d’écrire chaque soir un texte libre pour faire retour<br />
de ce qui se sera inscrit pour eux dans la journée. Ces textes, mis en page par le<br />
formateur, seront lus et discutés le lendemain matin. Ils constitueront le journal<br />
de la formation. Un temps sera proposé la dernière après midi pour faire retour<br />
par écrit <strong>des</strong> acquis de la formation. Une adresse Email sera à la disposition <strong>des</strong><br />
stagiaires pour poursuivre, s’ils le souhaitent, leur questionnement.<br />
u Jean Pierre THOMASSET<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
Formations aux techniques d’accompagnement,<br />
Accompagner les changements individuels, le rôle du travailleur social dans l’évolution de l’usager.<br />
Trois modules de formation, indépendants les uns <strong>des</strong> autres et complémentaires vous sont présentés ci-<strong>des</strong>sous.<br />
Ils permettent ainsi pour ceux qu’ils le souhaitent de construire un parcours individualisé, éventuellement sur plusieurs années.<br />
Chaque module aborde une thématique, une problématique spécifique de l’accompagnement social et propose<br />
à chaque module <strong>des</strong> concepts théoriques nouveaux.<br />
OBJECTIFS GENERAUX DES TROIS MODULES :<br />
l Apporter <strong>des</strong> connaissances dans le domaine <strong>des</strong> Techniques d’Accompagnement<br />
Social et de la Compréhension du Fonctionnement Psychique<br />
d’une personne. Différencier ce qui est du rôle du travailleur social<br />
et ce qui est du rôle «d’un psy».<br />
l Effectuer un travail de conceptualisation de sa pratique professionnelle,<br />
de découvrir une méthodologie d’accompagnement à partir <strong>des</strong><br />
outils issus surtout de l’Analyse Transactionnelle, de la P.N.L (Programmation<br />
Neuro Linguistique).<br />
l Réfléchir sur la posture, le positionnement du professionnel adapté<br />
face à la complexité <strong>des</strong> situations d’accompagnement, face aux nouvelles<br />
attentes, exigences de son environnement professionnel, <strong>des</strong><br />
partenaires, <strong>des</strong> dispositifs de politiques publiques.<br />
l Identifier ce que signifie développer la capacité du travailleur social à<br />
créer une relation empathique et non affective, à rendre l’usager acteur<br />
de sa démarche, à provoquer une rupture, une transformation significative<br />
afin qu’il résolve ses difficultés, qu’il prenne un pouvoir sur sa<br />
vie.<br />
q<br />
Cette formation alterne l’apport d’outils de diagnostic et d’intervention, de<br />
concepts issus surtout de l’Analyse Transactionnelle, de la Programmation<br />
Neuro Linguistique dans une démarche systémique avec l’application de ces<br />
approches sur <strong>des</strong> situations concrètes d’accompagnement. C’est aussi un<br />
lieu de réflexion, d’échange sur ses pratiques, sur la place, le rôle, le positionnement<br />
de l’accompagnant. Cette formation vise la construction et l’intégration<br />
d’une méthodologie de gestion de la relation d’accompagnement qui est<br />
transférable sur d’autres situations professionnelles (sur les relations avec<br />
ses collègues et avec son institution...).<br />
q<br />
u<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
A la fin de la formation, les participants feront une synthèse <strong>des</strong> différents<br />
outils de diagnostic et d’intervention abordés au cours du module et présenteront<br />
la manière dont ils voient leur application dans leur institution.<br />
A partir d’une étude de cas, ils analyseront la situation d’accompagnement<br />
avec la méthodologie d’accompagnement proposée :<br />
En dégageant un diagnostic : il s’agit d’identifier les difficultés à prévoir dans<br />
cette situation, de repérer ce qui se joue au niveau de l’usager, ce qui se joue<br />
au niveau de la relation et les points de vigilance du professionnel pour avoir<br />
un positionnement facilitant l’évolution de l’usager. En élaborant un plan<br />
d’accompagnement : il s’agit de citer les processus à accompagner pour aider<br />
la personne à atteindre le contrat d’accompagnement.<br />
OBJECTIF<br />
CONTENU<br />
Que signifie «sortir de sa posture de victime»<br />
Rôle, place, responsabilités de l’accompagnant<br />
l Permettre aux professionnels de la relation d’aide :<br />
de comprendre pourquoi une personne s’enferme dans une posture<br />
de victime, dans la passivité, d’identifier les attitu<strong>des</strong>, interventions<br />
de l’accompagnant qui ont comme conséquence, sans en avoir<br />
l’intention, de maintenir l’usager dans cette posture de victime et<br />
celles qui vont l’aider à initier d’autres comportements, à développer<br />
sa capacité à se prendre en charge, d’identifier ce que signifie accompagner<br />
le changement, le rôle et la juste place de l’accompagnant.<br />
l Le fonctionnement d’une personne en position de victime.<br />
l Les pièges de l’accompagnement à éviter. Des outils de vigilance<br />
pour le professionnel pour éviter d’entrer dans un rôle complémentaire<br />
de l’usager et entretenir son impuissance.<br />
l Ce que signifie accompagner les crises, la souffrance, les résistances.<br />
l Ce que signifie mettre en œuvre son potentiel de résilience.<br />
l Que signifie passer d’un rôle de «sauveur» à un rôle d’accompagnant<br />
facilitant l’apprentissage à l’autonomie.<br />
l Les 4 comportements de passivité - différenciation entre les notions<br />
de responsabilité et de culpabilité.<br />
q Dates : 09 et 10/05 et du 06 au 08/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
u<br />
CONTENU<br />
u<br />
Accompagner une personne à restaurer l’estime<br />
d’elle-même<br />
OBJECTIF<br />
l Comprendre ce qui se joue au niveau d’une problématique identitaire,<br />
les mécanismes de la non-estime de soi, les processus d’autodévalorisation.<br />
Identifier en quoi son accompagnement aide ou n’aide<br />
pas l’usager à restaurer l’estime de lui-même. Réfléchir comment,<br />
dans un accompagnement, utiliser les différents leviers à la restauration<br />
de l’estime de soi.<br />
l Les origines, les causes, les conséquences du manque d’estime de<br />
soi.<br />
l Les paramètres de mesure de l’estime de soi - les clés pour<br />
restaurer l’estime de soi.<br />
l Les 3 piliers de l’estime de soi - les 5 types de confiance qui<br />
permettent de renforcer l’estime de soi.<br />
l Les 6 composantes de la confiance en soi.<br />
l La juste place et le rôle de l’accompagnant face à une personne qui<br />
se dévalorise.<br />
l Ce que signifie «accompagner une personne à faire le deuil d’une<br />
image de soi négative».<br />
q Dates : Du 12 au 15/09/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
OBJECTIF<br />
Accompagner une personne à être acteur de ses<br />
projets<br />
l 1 - Permettre aux professionnels de la relation d’aide :<br />
d’identifier ce que signifie accompagner une personne à chaque phase<br />
de la réalisation d’un projet, d’échanger sur leur manière de concevoir<br />
personnellement et institutionnellement un accompagnement centré<br />
sur le projet de l’usager et d’identifier les incidences sur l’engagement<br />
de l’usager dans son projet : comprendre ce qui contribue à mettre<br />
une personne en dynamique de projet.<br />
CONTENU<br />
l Les caractéristiques de chaque étape d’un projet (10 étapes selon<br />
la roue d’Hudson).<br />
l Ce qui se joue à chaque étape (difficultés et permissions à se donner).<br />
l Entendre, comprendre, accompagner les comportements d’echec.<br />
l La grille d’élaboration d’un objectif.<br />
l Le rôle de facilitateur à chaque étape de la réalisation d’un projet.<br />
q Dates : Du 28/11 au 01/12/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
q<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Sylviane DUBERNET<br />
Coût total : 2538 e<br />
INTER ou INTRA<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
22
Approche systémique de l’entretien<br />
Comment créer les conditions d’un entretien de<br />
qualité dans une perspective de changement ?<br />
q<br />
Professionnels de la santé et <strong>des</strong> secteurs éducatifs, sociaux, engagés dans<br />
une relation d’aide auprès <strong>des</strong> familles, <strong>des</strong> couples ou <strong>des</strong> personnes individuelles.<br />
q<br />
Dans toutes les situations professionnelles, la dimension relationnelle est<br />
prévalente. Ainsi, l’entretien, qu’il soit structuré ou informel, est le ‘’fil rouge’’<br />
de toute pratique. Il nécessite une réflexion, une préparation, une remise en<br />
question, une évolution, dans un contexte social en pleine mutation. Il importe<br />
également d’adapter la forme de l’entretien à la spécificité d’intervention.<br />
Or, les professionnels ne sont pas toujours préparés ni outillés pour faire face<br />
à <strong>des</strong> interactions complexes et déstabilisantes. Comment, dès lors, élaborer<br />
<strong>des</strong> entretiens de qualité, porteurs de changement ?<br />
q<br />
l Comment communique-t-on au sein d’un groupe, d’une famille ou d’un couple ?<br />
- Les principaux axiomes de la communication et leurs aléas.<br />
- Les communications paradoxales et notion de «double contrainte» :<br />
leurs effets en entretien.<br />
l Comment co-construire un entretien en ‘’collaboration’’ avec les personnes<br />
accompagnées ?<br />
- Mobiliser les ressources et les compétences de chacun.<br />
- Faire circuler l’information au sein de la famille et faciliter les interactions<br />
au sein du couple.<br />
l Comment un seul entretien ou un ensemble d’entretiens peut-il évoluer<br />
vers l’émergence de changements et de nouvelles solutions ?<br />
- Notion de crise familiale, de couple ou de crise individuelle, lors d’un<br />
processus de changement (séparation, décès, perte d’un emploi, adolescence,<br />
retraite, etc...).<br />
- «Utiliser la crise» pour solliciter de nouvelles interactions dans l’entretien<br />
et pour favoriser la construction de solutions émanant <strong>des</strong> personnes<br />
accompagnées.<br />
q<br />
l Acquérir <strong>des</strong> outils appropriés à l’élaboration d’entretiens dans <strong>des</strong> contextes<br />
relationnels spécifiques : entretiens familiaux, entretiens de couples,<br />
entretiens individuels.<br />
l Construire une méthodologie adaptée à l’entretien d’aide centré sur les<br />
ressources et compétences <strong>des</strong> personnes accompagnées.<br />
l Expérimenter de nouveaux mo<strong>des</strong> relationnels enclins à accroître la qualité<br />
et l’efficacité de l’entretien : ouverture respectueuse à l’autre, abandon<br />
d’une position de pouvoir, observation de la proxémie, intérêt pour ce qui<br />
peut changer.<br />
q<br />
Apports théoriques et discussions. Analyse de situations professionnelles.<br />
Ateliers cliniques. Simulations d’entretiens.<br />
q<br />
La conduite d’un entretien, en utilisant les acquis et expérimentations élaborés<br />
au cours de la formation.<br />
q<br />
23<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
www.afore-formation.com<br />
Accompagnement <strong>des</strong> personnes<br />
traumatisées et <strong>des</strong> familles de victimes<br />
q<br />
Public<br />
Tous ceux qui ont à intervenir rapidement auprès d’une personne traumatisée<br />
et/ou à gérer les familles de victimes.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Définition de la situation de traumatisme : de quoi s’agit-il ? Comment cela<br />
peut-il se manifester ? Quelles sont les conséquences possibles ?<br />
l Comment se comporter auprès de la victime ? Comment l’aborder ? Quel<br />
type de question lui poser ? Déontologie et éthique de l’accompagnant.<br />
Comment se protéger ? Jusqu’où aller quand on n’est pas professionnel ?<br />
l Qu’entend-on par situation de catastrophe ? Définition du concept de victime.<br />
l Définition de la victimologie.<br />
l Les différents types et scénarios de catastrophes.<br />
l Psychopathologie <strong>des</strong> familles de victimes. Les différents syndromes liés<br />
à la situation.<br />
l Connaissance <strong>des</strong> règlements, <strong>des</strong> lois et <strong>des</strong> conséquences sociales liées<br />
aux situations de catastrophes. Particularités de la législation. Les thérapies<br />
appropriées. La notion de réparation.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Apprendre à gérer efficacement la relation avec une personne traumatisée.<br />
l Connaître les procédures et les mécanismes afférents aux situations qui<br />
mettent en jeu un grand nombre de victimes. Savoir éviter les pièges.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
La pédagogie proposée repose d’une part sur l’apport didactique du<br />
formateur nécessaire à ce type de formation, sur <strong>des</strong> jeux de rôle mettant en<br />
scène les participants, et sur de nombreux échanges concernant le vécu <strong>des</strong><br />
stagiaires, et bien entendu à de nombreuses réflexions suscitées par les<br />
questions posées par les personnes présentes.<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Dominique ATLAN<br />
q<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
u Jean François ROUSSEL<br />
q Dates : Du 22 au 24/06/11 q Dates : Du 03 au 07/10/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
La place de chacun dans les familles<br />
d’aujourd’hui<br />
q<br />
Toute personne amenée à soutenir <strong>des</strong> familles en difficulté.<br />
q<br />
La famille est restée longtemps fondée sur un modèle dominant : un père,<br />
une mère, <strong>des</strong> enfants au centre d’une constellation de parents et d’alliés.<br />
Elle était pensée comme la cellule de base qui permettait au lien social de<br />
consister grâce à la transmission <strong>des</strong> biens et <strong>des</strong> valeurs.<br />
Comment dès lors chacun peut-il trouver sa place dans un monde ou coexistent<br />
le mode traditionnel et ces façons autres de plus en plus fréquentes de<br />
vivre ensemble en famille ? Faut-il prôner un retour à l’ordre ancien de toute<br />
façon impossible ou craindre par effet de dominos le délitement prochain de<br />
tout lien social ? N’y a-t-il pas, plutôt à inventer une façon de vivre avec autrui<br />
qui prenne acte de la singularité de chaque sujet ?<br />
q<br />
l Nous évoquerons, notamment avec l’éclairage qu’apporte la philosophie,<br />
les évolutions sociologiques et psychologiques qui ont conduit à la diversfication<br />
actuelle <strong>des</strong> fonctionnements familiaux.<br />
l Nous repèrerons dans les textes qui ordonnent nos missions ce qu’il en est<br />
du soutien à apporter quand les dysfonctionnements appellent l’intervention<br />
d’un professionnel.<br />
l Nous interrogerons les travaux actuels sur la parentalité qui inaugurent<br />
à notre sens, une science nouvelle, la «parentologie» qui glisse vers une<br />
«parentopathologie» visant à étudier les effets pathogènes sur l’enfant<br />
<strong>des</strong> conduites hors normes de ses parents.<br />
l Nous aborderons en quoi la pratique du Service d’Adaptation Progressive en<br />
Milieu Naturel a permis l’émergence d’une clinique nouvelle, celle de la<br />
place, qui vise moins à réparer les dysfonctionnements relationnels qu’à<br />
interpeller chaque sujet à la place qui est la sienne.<br />
q<br />
l Ce stage propose au praticien de l’action sociale d’interroger ce véritable<br />
bouleversement pour élaborer son acte quand il a la tâche d’apporter un<br />
soutien à <strong>des</strong> familles en difficulté.<br />
l Il visera en faisant la lecture de la diversité actuelle à adapter la réponse<br />
professionnelle à la particularité du microcosme familial dans lequel il est<br />
amené à intervenir.<br />
q<br />
Le formateur et l’intervenant apporteront leur expérience professionnelle<br />
et leurs réflexions sur les sujets abordés. Ils évoqueront les champs de<br />
savoir qui permettent de trouver les points de repère pour inventer son acte<br />
aujourd’hui et donneront une bibliographie pour poursuivre la réflexion.<br />
Les avancées au cours du stage s’appuieront aussi sur les apports <strong>des</strong> intervenants,<br />
leurs questionnements comme leurs trouvailles.<br />
q<br />
Il sera proposé aux stagiaires d’écrire chaque soir un texte libre pour faire retour<br />
de ce qui se sera inscrit pour eux dans la journée. Ces textes, mis en page par le<br />
formateur, seront lus et discutés le lendemain matin. Ils constitueront le journal<br />
de la formation. Un temps sera proposé la dernière après midi pour faire retour<br />
par écrit <strong>des</strong> acquis de la formation. Une adresse Email sera à la disposition <strong>des</strong><br />
stagiaires pour poursuivre, s’ils le souhaitent, leur questionnement.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Jean Pierre THOMASSET<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
Travail social et intervention systémique<br />
ou comment apporter de la créativité<br />
dans le travail social<br />
Public<br />
Educateurs, moniteurs-éducateur, assistants sociaux, animateurs.<br />
Le contexte actuel en travail social impose de plus en plus la nécessité de<br />
réfléchir à la position et la fonction de l’intervenant. Savoir poser un cadre<br />
d’intervention, c’est aussi prendre en compte la compléxité <strong>des</strong> deman<strong>des</strong>,<br />
leurs circuits, leur élaborations, tout en conjuguant les missions du service<br />
au sein duquel exerce le travailleur social.<br />
Ce dernier travaille, en effet, au carrefour de plusieurs systèmes : le système<br />
familial, le système institutionnel, le système partenarial (école, services<br />
sociaux, justices..). Son intervention est d’une grande complexité et nécessite<br />
d’apprendre à se mouvoir activement afin de trouver du sens et de la<br />
créativité dans son travail.<br />
L’appropriation de concepts systémiques leur adaptation dans le travail<br />
social permet une lecture humaniste <strong>des</strong> problématiques rencontrées tout<br />
en s’appuyant sur la compétence de chacun (famille, individu, système) et<br />
en développant une éthique professionnnelle.<br />
l Sensibilation au travail systémique dans le travail social.<br />
l Comment travailler une demande en fonction <strong>des</strong> missions du service :<br />
dans le cadre d’une Aemo, Aed, Sessad, d’une institution éducative..<br />
l Techniques systémiques de conduites d’entretien.<br />
l Construction et utilisation du génogramme dans le travail éducatif.<br />
l Réfléxion concernant <strong>des</strong> outils d’analyse de situation en équipe.<br />
l Les participants seront amenés à s’interroger sur la définition de l’accompagnement<br />
familial.<br />
l Comment travailler avec une famille en prenant en compte les différents<br />
niveaux de complexité qui l’organisent ?<br />
l Mise en place d’un cadre d’intervention prenant en compte la demande ou<br />
non demande <strong>des</strong> personnes, l’analyse <strong>des</strong> pressions et les jeux (enjeux)<br />
relationnels.<br />
l Construire avec les intéressés, en fonction de leurs attentes, deman<strong>des</strong> et<br />
craintes une relation d’aide possible.<br />
Apports théoriques et discussion. Réflexion à partir de situations cliniques<br />
apportées par les participants. Mise en situation via <strong>des</strong> jeux de rôles.<br />
Document vidéo.<br />
Bilan individuel et collectif de la formation. Réflexion autour de la mise en place<br />
de concepts dans sa pratique professionnelle.<br />
u Jean Luc JONDOT<br />
q Dates : Du 26 au 29/09/11 q Dates : Du 31/03 au 01/04/11 - 26 et 27/05/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
24
LE SENTIMENT DE CULPABILITE Les états limites :<br />
comment prendre en charge leur<br />
«folie privée» dans la relation thérapeutique ?<br />
q<br />
Accueil et traitement en pratiques sociales et apports de la psychanalyse.<br />
q<br />
Il est le prix de notre humanité, héritier du complexe d’Œdipe, de la morale<br />
et de la loi. Il est transmis à l’enfant par ceux qui l’entourent, l’élèvent et lui<br />
offrent une identité. Il subit de ce fait toute l’influence du malaise qui se<br />
conjugue avec la culture et la civilisation.<br />
Comprendre la genèse, les paradoxes et reconnaître les manifestations<br />
du sentiment de culpabilité sous ses formes les plus diverses allant de<br />
l’absence à l’excès en passant par celles que Freud qualifiait d’aberrantes,<br />
avoir à faire face à ce qui peut manquer ou au contraire écraser le sujet sous<br />
son poids, saisir ce qui s’y conjugue d’imaginaire, de réel voire de symbolique,<br />
bref pouvoir aborder la culpabilité d’autrui et développer une attitude<br />
efficace, à lui offrir la possibilité de transformer la culpabilité en responsabilité<br />
: tel est le programme de ce stage. Il s’adresse à toutes les personnes,<br />
travailleurs sociaux quelle que soit leur formation initiale dont l’action professionnelle<br />
met en œuvre la parole et la rend efficace. Car c’est par les rencontres<br />
que la parole rend possible qu’agit, opère cette métamorphose nécessaire du<br />
sentiment inconscient de culpabilité qui allège le sujet de l’excès qui l’entrave<br />
sans produire un sujet défait de la valeur de ce qui le lie aux autres.<br />
q<br />
l Amélioration <strong>des</strong> connaissances et compétences professionnelles. Permettre<br />
aux participants de mieux connaître les formes et les manifestations du<br />
sentiment de culpabilité et s’orienter dans les réactions ou réponses à<br />
apporter aux enfants, adultes auxquels ils ont affaire. Offrir une perspective<br />
pour le traitement <strong>des</strong> questions et manifestations liées au sentiment<br />
inconscient de culpabilité.<br />
q<br />
Après un tour de table où seront évoquées les activités, réalités professionnelles<br />
et attentes <strong>des</strong> participants, seront proposés plusieurs exposés suivis<br />
de débats portant sur la clinique en travail social et les questions soulevées<br />
par le texte de présentation. Des analyses de cas proposés par les participants<br />
serviront à illustrer et mettre en pratique les questions abordées dans<br />
le stage.<br />
q<br />
Un bilan <strong>des</strong> acquisitions et ouverture à de nouveaux questionnements sera<br />
établi en fin de stage.<br />
q<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Jean Claude BENGUIGUI<br />
25<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
www.afore-formation.com<br />
Public<br />
Tout professionnel du secteur social, médico-social et de la santé confronté<br />
et/ou intéressé par la prise en charge <strong>des</strong> patients dits limites ou border<br />
line.<br />
La référence au groupe <strong>des</strong> états limites est de plus en plus fréquente, que<br />
ce soit dans la clinique psychiatrique ou dans le langage courrant. L’utilisation<br />
de ce terme recèle de nombreuses ambiguïtés historiques, sémiologiques,<br />
nosographiques et psychopathologiques. Mais le caractère équivoque<br />
de cette notion ne doit pas conduire à faire de l’état limite un «fourre-tout»<br />
ayant perdu toute sa valeur et sa spécificité. Le risque paraît, outre celui<br />
d’une mode plus ou moins passagère, de «baptiser» état limite notre ignorance<br />
en attribuant cette étiquette à tout ce qui semble cliniquement plus<br />
grave qu’une névrose et moins grave qu’une psychose. Les professionnels<br />
sont régulièrement confrontés à <strong>des</strong> patients états limites et se trouvent<br />
souvent déroutés, dans leur prise en charge, par ces sujets qui oscillent entre<br />
dépendance et rejet de l’autre, passages à l’acte et ruptures intempestives.<br />
Les états limites questionnent la valeur relative du symptôme et il convient,<br />
chez ces patients, de repérer les mécanismes défensifs qui sous-tendent<br />
l’aspect extraordinairement fluctuant et multiple <strong>des</strong> signes cliniques qu’ils<br />
présentent. Cette formation se propose, à la lumière <strong>des</strong> développements de<br />
la psychiatrie et de la psychanalyse, d’étudier la spécificité du fonctionnement<br />
psychologique et relationnel <strong>des</strong> patients états limites et d’apporter<br />
<strong>des</strong> outils théoriques et méthodologiques afin d’améliorer la prise en charge<br />
thérapeutique et l’instauration de la relation.<br />
l Émergence historique et définition de la notion d’état limite.<br />
l Entre névrose et psychose, l’état limite est-il une entité stable ?<br />
l Le polymorphisme symptomatique : approche sémiologique.<br />
- L’angoisse.<br />
- Les symptômes d’allure névrotique.<br />
- La dépression.<br />
- Les passages à l’acte.<br />
- Les épiso<strong>des</strong> psychiatriques aigus.<br />
l L’archaïsme <strong>des</strong> mécanismes de défense : le clivage, le déni, l’identification<br />
projective, l’idéalisation, l’omnipotence.<br />
l Une pathologie de l’intériorité.<br />
l La relation à l’autre : entre dépendance et rejet, intrusion et abandon.<br />
l Cadre thérapeutique et aménagement de la prise en charge.<br />
l Clarifier le concept d’état limite.<br />
l Repérer la spécificité de leur fonctionnement psychique.<br />
l Comprendre leur détresse intime et les conséquences sur leurs modalités<br />
relationnelles.<br />
l Apporter un cadre théorico pratique pour aménager la relation avec ces<br />
patients et adopter une prise en charge adaptée.<br />
Apports théoriques. Réflexion et discussion en groupe. Echanges <strong>des</strong> expériences<br />
professionnelles. Etude de cas clinique. Mise en situation, jeux de rôle.<br />
Documents vidéo.<br />
Réalisation d’un exercice clinique final en vue de synthétiser l’ensemble <strong>des</strong><br />
contenus développés au cours du stage.<br />
u Sophie GRUNBERG<br />
q Dates : Du 08 au 10/06/11 q Dates : Du 24 au 27/01/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
La prise en charge <strong>des</strong> pathologies<br />
psychiatriques<br />
q<br />
Tous travailleurs sociaux, exerçant en milieu ouvert, en Prévention spécialisée<br />
ou en internat, confrontés dans le cadre de leur travail à la maladie mentale.<br />
q<br />
La prise en charge <strong>des</strong> personnes présentant <strong>des</strong> pathologies psychiatriques<br />
confronte souvent les travailleurs sociaux à leurs limites. Face à <strong>des</strong> comportements<br />
qui relèvent davantage de la psychopathologie, les références<br />
qu’ils utilisent pour mettre en place un suivi conventionnel semblent insuffisantes<br />
pour appréhender et comprendre l’individu dans sa globalité et son<br />
altérité. Une approche dynamique du sujet permet de saisir la détresse du<br />
patient et le monde dans lequel il évolue. Elle apporte <strong>des</strong> outils précieux pour<br />
développer et maintenir la parole, la relation d’aide, qui constituent un <strong>des</strong><br />
éléments indispensables dans l’exercice quotidien <strong>des</strong> travailleurs sociaux et<br />
qui s’associent aux prestations légitimes qu’ils apportent aux personnes en<br />
souffrance. Le travail en réseau entre ces professionnels et les psychiatres,<br />
s’il est indispensable, demeure néanmoins aujourd’hui encore malaisé et<br />
laisse les travailleurs sociaux souvent seuls et démunis. Cette formation se<br />
propose d’une part, de lier de manière conceptuelle le travail entre les différents<br />
acteurs de la santé afin d’améliorer l’efficacité de la prise en charge <strong>des</strong><br />
personnes souffrant de troubles psychiatriques et d’autre part, de renforcer<br />
et d’élargir les savoirs et les savoir-faire <strong>des</strong> praticiens.<br />
q<br />
l Le normal et le pathologique : une frontière ténue.<br />
l Les critères diagnostiques du DSM IV et de la CIM 10.<br />
l Les grands syndromes psychiatriques, évolutions et traitements :<br />
- Les névroses :<br />
névrose hystérique, névrose phobique, névrose obsessionnelle, névrose<br />
d’angoisse.<br />
- Les psychoses :<br />
la bouffée délirante aiguë, le groupe <strong>des</strong> schizophrénies, la paranoïa, la<br />
psychose hallucinatoire chronique, la paraphrénie.<br />
- Les dépressions, la maladie maniaco-dépressive.<br />
- Les addictions :<br />
l’alcoolisme, les toxicomanies, les troubles du comportement alimentaire.<br />
- Le concept «d’état limite» :<br />
mythe ou réalité.<br />
Psychopathologie et psychogenèse : comprendre le monde et la souffrance<br />
du patient.<br />
- Construire un cadre relationnel : entre deman<strong>des</strong> et refus, comment<br />
accompagner le patient ?<br />
- Comment faire face aux écueils institutionnels ?<br />
- La relation d’aide : l’accompagnement et le changement par la parole.<br />
q<br />
l L’objectif de cette formation est d’expliquer aux participants, dans une<br />
démarche psycho dynamique, la psychopathologie <strong>des</strong> différents syndromes<br />
psychiatriques et ce qui sous-tend la souffrance <strong>des</strong> patients, afin<br />
d’améliorer la communication avec ces sujets.<br />
l En se référent aux critères diagnostiques dressés par le DSM IV et la CIM 10,<br />
les traitements et l’évolution <strong>des</strong> pathologies seront évoqués.<br />
l Enfin, en étudiant les richesses de la communication et de la relation d’aide,<br />
<strong>des</strong> outils d’interventions seront proposés aux participants afin de les aider<br />
à répondre de manière adéquate<br />
et efficace aux situations difficiles qu’ils rencontrent au quotidien dans leur<br />
exercice professionnel.<br />
q<br />
Discussions en groupe. Échanges <strong>des</strong> expériences professionnelles. Étude de<br />
cas cliniques. Document vidéo. Jeux de rôle, mise en situation.<br />
q<br />
Réalisation d’un exercice clinique final en vue de synthétiser l’ensemble <strong>des</strong><br />
contenus développés au cours du stage.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
LA VIOLENCE CHEZ L’ADOLESCENT :<br />
de la crise au chaos<br />
q<br />
Public<br />
Tout professionnel de la santé et <strong>des</strong> secteurs éducatifs et sociaux travaillant<br />
auprès d’adolescents.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Les agissements violents <strong>des</strong> adolescents suscitent actuellement de plus<br />
en plus de confusion et d’inquiétu<strong>des</strong>. Ils compliquent les tentatives individuelles<br />
et collectives de compréhension et de traitement et créent un grand<br />
désarroi chez les professionnels.<br />
La médiatisation globale et en temps réel <strong>des</strong> événements frappants, <strong>des</strong><br />
conduites brutales et délictueuses d’adolescents de plus en plus jeunes,<br />
conduisent souvent à <strong>des</strong> amalgames qui brouillent la lisibilité.<br />
Quelles sont les racines de cette violence agie de l’adolescence ? Quel est<br />
son lien avec les premier temps de la vie psychique ? A quelles défaillances<br />
individuelles et familiales, à quelles histoires personnelles, responsabilités<br />
sociales, culturelles renvoient-elle ? Quels sont les points communs à tous<br />
ces symptômes et relèvent-ils tous d’une même problématique ? Comment<br />
les professionnels et les institutions peuvent-ils y répondre ?<br />
q<br />
Contenu<br />
l Aspects épidémiologiques et historiques de la violence.<br />
l Violence, agressivité, état dangereux : tentative de définitions.<br />
l Remaniements psychiques et physiques à l’adolescence :<br />
du bouleversement pubertaire à la quête identitaire.<br />
l Les passages à l’acte auto et hétéro agressifs : vols, fugues, tentatives de<br />
suicide, automutilations, agressions verbales, physiques, sexuelles...<br />
l De la violence à la délinquance : le rapport à la loi et la construction<br />
psychopathique.<br />
l Violence et fragilités psychiques.<br />
l Le contexte familial : défaillances, précarité, rupture, absence.<br />
l Les différentes prises en charge.<br />
l La relation et la question <strong>des</strong> limites : fixer <strong>des</strong> règles et maintenir une<br />
relation d’aide, une double contrainte.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Cette formation se propose de comprendre et mettre en évidence les<br />
mo<strong>des</strong> de fonctionnement psychique propres à ces conduites violentes et<br />
de réfléchir sur leurs origines. Il s’agit de fournir à ceux qui sont confrontés<br />
aux adolescents violents <strong>des</strong> outils leur permettant de mieux appréhender<br />
la souffrance qui sous-tend ces passages à l’acte et d’adapter une prise en<br />
charge souvent nécessairement plurielle et compliquée.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Exposé théorique et discussion en groupe. Réflexion autour de cas cliniques<br />
Échanges <strong>des</strong> expériences professionnelles. Mises en situation.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Sophie GRUNBERG<br />
Réalisation d’un exercice clinique final en vue de synthétiser l’ensemble <strong>des</strong><br />
contenus développés au cours du stage.<br />
u Sophie GRUNBERG<br />
q Dates : Du 21 au 25/03/11 q Dates : Du 06 au 08/04/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
26
ACCUEILLIR DANS L’URGENCE PEUT-ON EDUQUER SANS SUBJECTIVITÉ ?<br />
q<br />
Travailleurs sociaux exerçant dans <strong>des</strong> structures d’accueil d’urgence (Foyers<br />
de l’Enfance, Maisons d’enfants à caractère social, C.H.R.S., Lieux de vie, ...).<br />
q<br />
“La commande est très rapide”, “on va de plus en plus vite”... De telles remarques,<br />
souvent formulées par <strong>des</strong> professionnels du social, signifient ce que<br />
nombre d’observateurs ont constaté au sujet du travail social d’aujourd’hui,<br />
à savoir que l’urgence en est devenue l’une <strong>des</strong> caractéristiques principales.<br />
Plus concrètement l’accueil d’urgence en tant qu’outil spécifique de prise en<br />
charge est de plus en plus sollicité par les départements en vue de son inscription<br />
dans les schémas départementaux. Par facilité, et par économie, il<br />
est souvent pensé de façon mécanique en réservant quelques places dans<br />
diverses institutions, souvent au mépris <strong>des</strong> missions premières de ces<br />
dernières. Quant il fait l’objet d’une réponse singulière, il reste confiné à son<br />
propre objet mettant les personnels concernés dans l’obligation d’apporter<br />
<strong>des</strong> réponses qu’ils ne possèdent pas forcément. À l’inverse, nous pensons<br />
que l’accueil d’urgence doit être traité dans un ensemble préalablement<br />
construit institutionnellement et ouvert à la pluralité <strong>des</strong> réponses. L’accueil<br />
d’urgence suppose de penser l’accueil et la notion d’urgence, suppose de<br />
prendre en compte ce qui fait crise pour le sujet.<br />
q<br />
l Perception et réalité de l’accueil d’urgence dans les institutions aujourd’hui.<br />
l L’accueil d’urgence : un outil spécifique au service d’un ensemble.<br />
l Définition du concept : travailler sur l’urgence, travailler sur la crise.<br />
l La notion de temps et d’espace dans l’accueil d’urgence :<br />
apports sociologiques et théoriques.<br />
l Le temps cyclique et le temps linéaire.<br />
l Le travail clinique au sein de l’accueil d’urgence.<br />
l Qu’est-ce qui fait violence dans l’accueil d’urgence ?<br />
l Les limites de l’accueil d’urgence : un entre-deux acceptable.<br />
l La mise en route d’un projet et les réponses plurielles.<br />
l L’orientation, une responsabilité partenariale partagée.<br />
l Les différentes logiques d’interventions à l’œuvre dans l’action éducative :<br />
les typologies proposées notamment par les sociologues <strong>des</strong> organisations.<br />
q<br />
l Le contexte institutionnel de l’accueil d’urgence.<br />
l Qu’est-ce que l’accueil ? Qu’est-ce que l’urgence ?<br />
l Les modalités de réponses de l’accueil d’urgence.<br />
l La relation partenariale et l’orientation.<br />
Mais aussi :<br />
l Identifier les différentes logiques d’actions <strong>des</strong> protagonistes dans une<br />
situation qualifiée d’“urgente”.<br />
l Élaborer <strong>des</strong> espaces de médiations pour tenter de traiter les situations<br />
d’urgence en fonction de l’accueil.<br />
l Alimenter la réflexion et la connaissance <strong>des</strong> acteurs sur <strong>des</strong> questions<br />
liées à leur quotidien professionnel concernant l’urgence et l’accueil et le<br />
transférer dans d’autres situations professionnelles que la sienne.<br />
q<br />
Apports théoriques, cliniques et pédagogiques. Outils d’analyse institutionnelle.<br />
Ateliers cliniques à partir de situations apportées par les participants.<br />
q<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> acquis théoriques et politique du stage.<br />
q<br />
27<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
u Annick LAINÉ<br />
www.afore-formation.com<br />
q<br />
Public<br />
Tous travailleurs sociaux, ES, ME, EJE, AS, assistantes maternelles, animateurs,<br />
médiateurs culturels et sociaux, enseignants, psychologues.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Depuis deux ou trois décennies, on entend dans le secteur médico-éducatif<br />
que lorsque l’on est professionnel de l’éducation, il s’agirait de se méfier<br />
de sa propre subjectivité, voire même de s’en passer. Car, en effet, la<br />
professionnalité contemporaine exigerait d’être objectif, enfin le plus objectif<br />
possible, pour pouvoir faire face aux troubles du comportement - par exemple<br />
- et écrire de bons rapports de comportements. Or il se pourrait bien que<br />
nous soyons confrontés ici à ce que Georges Canguilhem nomme «une<br />
idéologie» fabriquée par les croyances objectivistes de l’époque alors que<br />
la prise en compte rigoureuse <strong>des</strong> pratiques éducatives tend à montrer,<br />
voire à démontrer précisément l’inverse : qu’il n’y a d’éducation et de lien<br />
éducatif qu’à partir de ce qui fait de chaque professionnel un sujet, et d’abord<br />
un sujet de l’inconscient - et que concernant l’éducation spécialisée, c’est à<br />
l’endroit <strong>des</strong> problèmes et <strong>des</strong> symptômes que tout commence. De même<br />
que toute éducation qui ne viserait pas à s’en tenir au conditionnement <strong>des</strong><br />
comportements mais aussi à son au-delà, la capacité réflexive, ne peut avoir<br />
de prise qu’à la condition de trouver ancrage dans une subjectivité et dans<br />
un procès de subjectivation - condition même <strong>des</strong> apprentissages. Soutenir<br />
cela, c’est-à-dire soutenir les pratiques éducatives réelles, n’implique<br />
évidemment pas de s’opposer aux logiques d’objectivation, bien au contraire :<br />
cela suppose plutôt de les remettre à leur place en identifiant à quel moment<br />
et à quoi elles peuvent et elles doivent servir. Ainsi, plutôt que de se méfier<br />
de sa subjectivité, il s’agirait plutôt pour chaque professionnel de s’y fier en<br />
apprenant à s’en servir - de l’acte d’éducation même adressé à l’usager à la<br />
réflexion d’après coup en équipe. A partir <strong>des</strong> pratiques éducatives concrètes,<br />
nous tenterons ainsi d’explorer et de nouer politique(s) du comportement et<br />
clinique(s) du sujet.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Approche historique et épistémologique <strong>des</strong> concepts de sujet et de comportement<br />
(et <strong>des</strong> théories qui les supportent), <strong>des</strong> notions de subjectivité/<br />
subjectivation et d’objectivité/objectivation.<br />
l Réflexion et théorisation de situations et de problèmes extraits de la pratique<br />
à l’aide de ces concepts.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Identifier les tensions propres aux pratiques médico-sociales et les contextes<br />
particuliers (personnels, institutionnels, sociaux, politiques...) exacerbant<br />
ces tensions en contradictions, voire en incompatibilités.<br />
l Réfléchir et conceptualiser ces tensions à partir notamment <strong>des</strong> concepts<br />
de sujet et de comportement , mais aussi de cliniques du sujet et de politiques<br />
du comportement, de manière à «désimaginariser» les pratiques et à les<br />
recentrer autour du souci <strong>des</strong> personnes accueillies et de leurs difficultés.<br />
l Apprendre à faire usage professionnellement de sa position subjective dans<br />
le lien à l’autre pour pouvoir l’objectiver à bon escient.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Exposés et schématisation. Récit et <strong>des</strong>cription de situations de pratique.<br />
Analyse de supports écrits rapport de comportement, grille d’évaluation,...) en<br />
usage dans l’établissement. Réflexion, analyse et modélisation - collective -<br />
<strong>des</strong> problèmes dégagés.<br />
Évaluation<br />
Intervenantes cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Aphrodite MORALI<br />
u Jean Marc BERTON<br />
q<br />
Bilan individuel et groupal à partir d’une synthèse <strong>des</strong> apports et d’une<br />
réflexion sur la trajectoire de formation parcourue.<br />
u Stéphane PAWLOFF<br />
q Dates : Du 14 au 17/06/11 q Dates : Du 31/01 ou 02/02/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
FAIRE FACE AUX CHANGEMENTS - ÉVOLUER AVEC ET GRÂCE AUX ÉVENEMENTS<br />
« Être acteur de son propre changement, traverser les crises »<br />
q<br />
Tous professionnels de l’accompagnement qui souhaitent comprendre les<br />
processus qu’une personne est amenée à vivre lorsqu’elle doit faire face à<br />
<strong>des</strong> changements désirés ou non.<br />
Tous professionnels s’interrogeant sur l’évolution de leur métier, de leur poste<br />
(quel que soit le secteur d’activité), se sentant quelque peu « malmenés »<br />
par les changements imposés, qui souhaitent identifier les étapes à franchir<br />
pour faire du changement une opportunité.<br />
Les professionnels qui envisagent une reconversion professionnelle, un<br />
poste de responsable d’équipe, une évolution et qui souhaitent identifier ce<br />
qui permet de réaliser ce changement identitaire, de mener un projet à sa<br />
réussite.<br />
Les personnes qui ont suivi le stage sur la fonction de secrétaire « Etre fier<br />
de l’exercer » et qui souhaitent poursuivre un travail de réflexion sur l’affirmation<br />
de son identité professionnelle.<br />
q<br />
q<br />
l Faire face aux evolutions :<br />
Ce que signifie traverser les crises.<br />
Comprendre les processus pour pouvoir s’investir dans du nouveau.<br />
l Affirmer son identité professionnelle :<br />
Comment se construit l’identité professionnelle.<br />
Ce qu’implique le changement de profession, de pratique ?<br />
Le changement et les répercussions sur l’estime de soi, sur l’affirmation de<br />
soi en situation professionnelle.<br />
l Faire de ses émotions ses alliés :<br />
Ce que signifie prendre en compte les conséquences douloureuses que<br />
provoque tout changement.<br />
l Affirmer ses choix :<br />
Les étapes à prévoir pour assumer les conséquences inhérentes à ses<br />
décisions. Ce que signifie en période de changement augmenter son niveau<br />
d’autonomie.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Face à notre société en pleine mutation, face aux nouvelles lois, face aux<br />
changements constants dans les institutions, aux évolutions profon<strong>des</strong> <strong>des</strong><br />
métiers, à la pression de notre environnement de s’adapter ; on vit aujourd’hui,<br />
dans un stress permanent et parfois dans la peur du lendemain, dans la peur<br />
de ne pas être à la hauteur, dans l’incompréhension de ce qui se passe,<br />
dans la nostalgie d’avant. On peut se sentir victime <strong>des</strong> lois, <strong>des</strong> décisions<br />
institutionnelles, <strong>des</strong> comportements de ses collègues, de ses voisins, de...<br />
On est alors tenté de vouloir résister à ses changements (vouloir que tout<br />
reste comme avant). Comment arriver à porter un regard constructif, dans<br />
ce monde où la complexité, le changement, l’insécurité, l’incertitude, la demande<br />
d’adaptation sont <strong>des</strong> composantes de la réalité aujourd’hui. On doit<br />
apprendre à accepter, lâcher ce qui n’est pas de son pouvoir, de sa responsabilité<br />
et identifier comment inscrire «cette perturbation» dans son parcours<br />
professionnel et personnel, élaborer quelle réponse «je vais donner à ce qui<br />
m’arrive».<br />
Comment évoluer avec «son temps» ou aider une autre personne à évoluer<br />
avec et grâce aux événements ? Comment trouver sa place dans cette société,<br />
continuer à donner du sens à sa vie, à son travail au quotidien ? En s’affirmant<br />
professionnellement (rester «un professionnel motivé, performant» malgré<br />
tous ses bouleversements), en envisageant son métier différemment ?<br />
En réfléchissant à sa contribution, au sens de ses actions, au sens de sa<br />
vie professionnelle et personnelle ? En réfléchissant à une autre place, en<br />
élaborant un projet porteur de sens pour soi ou une nouvelle orientation<br />
professionnelle ? En.... ?<br />
Contenu<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Sylviane DUBERNET<br />
q Dates : Du 14 au 17/11/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
l Face aux nouvelles lois, face aux changements dans les institutions, aux<br />
évolutions <strong>des</strong> métiers, cette formation a pour but d’aider les professionnels<br />
à comprendre les difficultés d’adaptation au changement, inhérent à la<br />
nature humaine et d’identifier ce qui permet d’accepter, d’évoluer professionnellement<br />
alors que les évolutions ne sont pas désirées mais vécues<br />
comme <strong>des</strong> pertes ?<br />
On verra que les changements provoquent <strong>des</strong> perturbations tant au niveau<br />
de son activité qu’au niveau de son identité professionnelle.<br />
l Cette formation se veut un espace :<br />
D’apports théoriques sur les processus en jeu, au niveau émotionnel<br />
(faire face aux pertes suscitées par les changements), au niveau relationnel<br />
(s’affirmer face aux conflits, tensions que génèrent le changement, au<br />
niveau identitaire (affirmer les compétences en lien avec son poste).<br />
De questionnement pour commencer à élaborer sa propre réponse, mettre<br />
en œuvre son potentiel de résilience.<br />
D’échange entre professionnels de secteurs d’activités peut-être différents,<br />
de fonctions variées, confrontées à ces difficultés d’adaptation au changement.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
La formation est une alternance entre le travail sur les situations professionnelles<br />
<strong>des</strong> participants et l’apport de concepts pour mieux comprendre les processus<br />
en jeu, lorsqu’il y a nécessité ou volonté de s’adapter au changement.<br />
Apports transférables notamment dans <strong>des</strong> situations professionnelles<br />
d’accompagnement, de management, d’accueil d’un public...<br />
q<br />
Évaluation<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de la formation et présentation de l’application<br />
<strong>des</strong> concepts en partant d’une situation concrète de changement vécu dans<br />
son espace professionnel.<br />
www.afore-formation.com<br />
28
L’accompagnement <strong>des</strong> familles,<br />
ou comment mobiliser leurs ressources<br />
et les impliquer dans cette relation ? (Module 1).<br />
q<br />
Professionnels de la santé et <strong>des</strong> secteurs éducatifs, sociaux, engagés dans<br />
un travail familial ou une relation d’aide auprès <strong>des</strong> familles : médecins,<br />
psychologues, infirmiers, ai<strong>des</strong>-soignants, ai<strong>des</strong> médico-psychologiques,<br />
éducateurs, assistants sociaux...<br />
q<br />
q<br />
l «Etat <strong>des</strong> lieux» familal.<br />
Il s’agira tout d’abord d’identifier le mode de fonctionnement de la famille,<br />
ses règles, son organisation. Quel est son degré d’adhésion, d’attente, de<br />
résistance, de passivité ?<br />
Les apports théoriques et cliniques, à partir de repérages systémiques,<br />
permettront de cerner le rôle central de la famille.<br />
l Construction d’une méthodologie professionnelle adaptée.<br />
- Comment mobiliser la famille et l’impliquer dans cet accompagnement ?<br />
Comment utiliser les ressources et les compétences de la famille ?<br />
Comment préserver avant tout son équilibre ?<br />
- Comment envisager de créer un cadre et de mener une ‘’collaboration’’ avec<br />
la famille ? Quelle est la place de chacun <strong>des</strong> intervenants dans ce cadre ?<br />
- Comment apporter concrètement de l’aide et préparer au changement,<br />
sans orientation anticipée de la famille ?<br />
Les concepts systémiques nous serviront à dégager <strong>des</strong> choix de stratégies<br />
et <strong>des</strong> mo<strong>des</strong> d’intervention appropriés.<br />
q<br />
l S’interroger sur l’accompagnement d’une famille, dans un contexte socioéducatif,<br />
thérapeutique ou médical, nécessite :<br />
- d’appréhender le mode de fonctionnement de la famille.<br />
- d’élaborer une méthodologie adaptée au travail mis en œuvre avec la famille.<br />
l Et, à partir de cette grille de lecture spécifique, il s’agira d’élargir et de<br />
questionner les pratiques professionnelles de chacun, en vue d’optimiser<br />
l’efficacité de son intervention.<br />
l Ce 1 er module est appelé à être complété d’un 2ème module, dissociable,<br />
mais conseillé.<br />
q<br />
Apports théoriques et discussions. Analyse de situations professionnelles.<br />
Ateliers cliniques. Simulations d’entretiens familiaux.<br />
q<br />
Exercice final individuel portant sur le processus d’accompagnement d’une<br />
famille suivie dans sa pratique professionnelle, en utilisant les acquis de la<br />
formation.<br />
q<br />
29<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Quel que soit le domaine d’intervention, en institution, en milieu ouvert...,<br />
de nombreux professionnels se sentent démunis face à l’ampleur <strong>des</strong> difficultés<br />
rencontrées. Pour ce faire, ils ont besoin de s’appuyer sur <strong>des</strong> outils<br />
appropriés et efficaces. Dans ce sens, la formation s’impose.<br />
Cependant, on oublie trop souvent que la famille constitue le premier collaborateur<br />
et qu’elle dispose de ressources importantes pour trouver ses propres<br />
solutions. Ainsi, l’aide dont les familles ont besoin peut se résumer de la<br />
manière suivante : mobiliser leurs ressources, soutenir leur parentalité,<br />
stimuler leurs capacités à s’impliquer dans ce processus d’accompagnement.<br />
L’évolution du travail avec les familles, notamment la Loi du 2 Janvier 2002,<br />
doit permettre de regarder différemment et de privilégier cette nouvelle<br />
direction centrée sur la compétence <strong>des</strong> familles.<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
www.afore-formation.com<br />
L’ACCOMPAGNEMENT DES FAMILLES,<br />
Ou comment mobiliser leurs ressources<br />
et les impliquer dans cette relation ? (module 2).<br />
Professionnels de la santé et <strong>des</strong> secteurs éducatifs, sociaux, ayant participé<br />
au 1 er module.<br />
l ‘’Etat <strong>des</strong> lieux’’ professionnel.<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Dominique ATLAN<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
Public<br />
Reprendre les questionnements suscités par le 1 er module et clarifier les<br />
difficultés rencontrées lors de son intervention ultérieure auprès de familles.<br />
l Approfondissement d’une méthodologie professionnelle adaptée.<br />
Quelle stratégie et quel modèle d’accompagnement familial adopter ?<br />
Comment rendre plus pertinente, plus efficace, son intervention et créer un<br />
contexte de changement ?<br />
Comment appréhender les communications paradoxales et leurs effets ?<br />
Comment utiliser le concept de ‘’résonance’’ dans son intervention ?<br />
Les concepts systémiques nous serviront à dégager <strong>des</strong> choix de stratégies<br />
et <strong>des</strong> mo<strong>des</strong> d’intervention appropriés.<br />
l Après avoir appréhendé le mode de fonctionnement de la famille et élaboré<br />
une méthodologie adaptée au travail mis en œuvre avec celle-ci lors du<br />
1 er module, il s’agira essentiellement d’approfondir les outils méthodologiques<br />
à travers le questionnement <strong>des</strong> pratiques professionnelles de<br />
chacun, en vue d’optimiser l’efficacité de son intervention.<br />
Apports théoriques et discussions. Questionnement de situations professionnelles.<br />
Visionnement et analyse d’un film. Ateliers cliniques. Simulations<br />
d’entretiens familiaux : apprentissage de son propre «style professionnel».<br />
Mise en situation de manière continue à travers <strong>des</strong> exercices et simulations.<br />
Evaluation individuelle de son propre «style professionnel».<br />
u Dominique ATLAN<br />
q Dates : Du 30/03 au 01/04/11 q Dates : Du 25 au 27/05/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
Une nouvelle énergie durable :<br />
le groupe !<br />
q<br />
Tout intervenant social intéressé par la mise en place et la conduite d’un<br />
groupe.<br />
q<br />
l Les étapes de développement d’un groupe et les besoins correspondant à<br />
chacune de ces étapes.<br />
l La notion de leadership et les différents modèles de leadership.<br />
l Les besoins <strong>des</strong> personnes en regard d’une expérience collective.<br />
l Règles de fonctionnement, protections et limites.<br />
l Les profils psychologiques à éviter.<br />
l La spécificité <strong>des</strong> groupes enfants et ados.<br />
l Transfert et contre-transfert dans l’espace du groupe.<br />
l Les résistances : comment travailler avec ?<br />
l La gestion <strong>des</strong> conflits.<br />
q<br />
l Présenter les intérêts majeurs au travail social dans l’espace de groupes.<br />
l Distinguer les différents types de groupes et spécifier les groupes de soutien<br />
social.<br />
l Différencier les étapes :<br />
- quand et comment installer un groupe ?<br />
- comment le présenter et à qui ?<br />
- comment conduire un groupe, comment le faire vivre et évoluer ?<br />
- quand, comment et pourquoi mettre un terme à une expérience de groupe ?<br />
l Réfléchir à sa propre «compétence groupale» : comment on se vit au sein<br />
d’un groupe, quelle place on ose prendre ?<br />
q<br />
Pour faciliter l’intégration <strong>des</strong> apports, nous proposons de prendre prioritairement<br />
en compte l’expérience collective en cours de formation. Ainsi, le<br />
processus rejoint le contenu.<br />
Le groupe sera donc stimulé à une introspection permanente : qu’est-ce qui<br />
est en train de se passer ? Quels besoins sont présents ? Quelle dynamique<br />
rencontre le groupe ? Quelle place chacun est en train de prendre... ?<br />
Nous proposons ainsi de faire coller la théorie avec le «direct», c’est une<br />
formation «in live» que nous proposons et qui s’adresse donc à <strong>des</strong> professionnels<br />
ouverts à cette disposition.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Chaque personne est invitée à prendre le temps de cinq minutes pour noter<br />
les trois concepts qui lui ont paru les plus probants et utiles dans sa réalité<br />
professionnelle.<br />
Ceci fait, chacune et chacun doit donner sa propre définition de ce concept, à sa<br />
façon, et en ses termes personnels.<br />
Enfin, un espace est laissé à toute question complémentaire qui permettrait<br />
d’intégrer davantage l’apport réalisé.<br />
Cette évaluation est donc individuelle, spécifique à chacun et centrée sur sa<br />
pratique.<br />
* Le coût de l’hébergement et de la restauration in situ est en supplément<br />
(soit 350 euros).<br />
L’évaluation en protection<br />
de l’enfance sous l’éclairage<br />
de la théorie de l’attachement<br />
La loi du 5 mars 2007 relative à la protection de l’enfance met l’accent sur<br />
l’intérêt de l’enfant et la prise en compte de ses besoins fondamentaux ainsi<br />
que les difficultés auxquelles les parents peuvent être confrontés. La théorie<br />
de l’attachement fournit <strong>des</strong> repères qui aident à évaluer les décisions à<br />
prendre. Cette théorie représente un apport considérable pour la lecture de la<br />
qualité <strong>des</strong> soins et de l’organisation de la relation de l’enfant à ses parents.<br />
l Les étapes du développement de l’enfant et ses besoins.<br />
l La théorie de l’attachement : concepts et applications.<br />
l Les vécus de l’intervenant en position d’évaluation.<br />
l Evaluation <strong>des</strong> capacités et <strong>des</strong> compétences parentales.<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Jean Luc TOURNIER<br />
Lieu : Besançon (25)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
Argumentaire<br />
l Situer l’enfant au centre <strong>des</strong> observations et <strong>des</strong> interventions.<br />
l Initier à <strong>des</strong> outils d’évaluation et d’intervention.<br />
l Comprendre les difficultés <strong>des</strong> professionnels confrontés à l’évaluation.<br />
Cas cliniques apportés par l’intervenant. Questionnements et doutes à partir<br />
de la pratique <strong>des</strong> professionnels.<br />
Synthèse individuelle finale sur les différents concepts et leurs projets<br />
d’applications professionnelles.<br />
u Jean Yves ANTOINE<br />
q Dates : Du 26 au 30/09/11 q Dates : Du 14 au 16/03/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Besançon (25)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
30
Remédiation éducative <strong>des</strong> troubles<br />
psychologiques aggravés en maison<br />
d’enfants à caractère social<br />
q<br />
Travailleurs sociaux, professionnels de la santé, psychologues, personnels<br />
d’éducation et de soins, enseignants.<br />
q<br />
Depuis plusieurs années, les enfants et adolescents accueillis en Maison<br />
d’enfants à caractère social présentent <strong>des</strong> profils psychologiques plus<br />
fréquemment carencés : outre <strong>des</strong> difficultés dans la construction <strong>des</strong><br />
éléments fondamentaux de la structure psychique : solidité <strong>des</strong> repères<br />
mentaux, capacité immédiate à réaliser <strong>des</strong> efforts, et consistance de la<br />
pensée, nombre d’entre eux présentent <strong>des</strong> difficultés associées : déficit<br />
de l’attention, hyperactivité, troubles de conduite et comportement dyssocial,<br />
troubles de conduite alimentaire, troubles réactionnels, troubles<br />
à prépondérance affective et troubles de la dépendance en lien avec la<br />
problématique du manque, en particulier cyberaddiction.<br />
Devant cette aggravation, le travailleur social a besoin d’acquérir une perception<br />
plus claire <strong>des</strong> difficultés <strong>des</strong> personnes qu’il reçoit, ainsi que de se sentir<br />
possesseur de modalités de remédiation spécifiques à sa profession.<br />
q<br />
l Connaissance <strong>des</strong> composants éducatifs de la construction psychologique<br />
de l’enfance et de l’adolescence.<br />
l Connaissance <strong>des</strong> effets <strong>des</strong> déficits de la fonction parentale sur la construction<br />
psychique.<br />
l Connaissance <strong>des</strong> types de remédiations éducatives, psycho éducatives et<br />
psychopédagogiques adaptées à chaque problématique.<br />
l Méthodologie didactique d’analyse de situations professionnelles proposées<br />
par les participants.<br />
q<br />
l Acquérir une connaissance précise <strong>des</strong> troubles simples et aggravés du<br />
développement psychologique.<br />
l Repérer les éléments significatifs du trouble et élaborer <strong>des</strong> interventions<br />
les prenant en compte.<br />
l Apprendre à aider les enfants et adolescents à élaborer <strong>des</strong> conduites<br />
d’adaptation vicariantes (s’appuyer sur les compétences préservées pour<br />
suppléer aux compétences manquantes en particulier dans le domaine de<br />
la réussite scolaire et de l’adaptation sociale).<br />
q<br />
Réalisation d’un exercice final comportant une analyse de cas proposé<br />
par le formateur : à partir de données fournies chaque participant élabore<br />
une présentation neutre de ses observations, formule un diagnostic <strong>des</strong><br />
éléments constatés, définit un objectif conceptuel de prise en charge et propose<br />
<strong>des</strong> modalités concrètes détaillées correspondant à cet objectif.<br />
q<br />
31<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Évaluation<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Jean Pierre MARMONIER<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
www.afore-formation.com<br />
Clinique psychanalytique <strong>des</strong> psychoses<br />
Public<br />
Ce travail s’adresse à tous les travailleurs <strong>des</strong> champs médico-éducatifs et<br />
médico-sociaux concernés par la relation avec <strong>des</strong> sujets psychotiques.<br />
l Nosographie <strong>des</strong> névroses et <strong>des</strong> psychoses. Approche clinique classique.<br />
l Clinique freudienne. Névroses, perversions, psychoses.<br />
l Clinique lacanienne : théorie du sujet. Le sujet et l’Autre.<br />
l La psychose selon Lacan.<br />
l Les psychoses de l’enfant et de l’adolescent.<br />
l Paranoïa et schizophrénie.<br />
l Mélancolie. La psychose ordinaire.<br />
l Étu<strong>des</strong> de cas. Diversité <strong>des</strong> prises en charge.<br />
l Validation.<br />
Approche clinique :<br />
L’intervention inclura, au cours <strong>des</strong> premières séances, un rappel <strong>des</strong><br />
principaux concepts de la psychanalyse appliquée aux névroses et aux psychoses,<br />
et se prolongera par :<br />
- une approche théorique : un rappel <strong>des</strong> thèses de la psychiatrie classique,<br />
un résumé <strong>des</strong> lectures <strong>des</strong> travaux de Freud et Lacan sur les psychoses.<br />
- un compte-rendu de cas cliniques.<br />
Evaluation <strong>des</strong> acquis ou interrogations résultant de la semaine d’enseignement.<br />
u Jean Marie FAURE<br />
q Dates : Du 19 au 21/09/11 q Dates : Du 31/01 au 04/02/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Contenu<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
Figures de père, figures de mère :<br />
parents d’hier et d’aujourd’hui<br />
q<br />
Tous les professionnels amenés à travailler avec les familles et à soutenir la<br />
fonction parentale. Plus largement encore, tout parent soucieux de réfléchir.<br />
q<br />
Nous savons bien que la parentalité est une réalité variable, dont les formes<br />
sont relatives à l’histoire et à la culture. Et pourtant, il est difficile de ne pas,<br />
spontanément, réintroduire <strong>des</strong> normes. Comment nous en préserver pour<br />
que chaque relation parent-enfant soit inventive, personnalisée ?<br />
Du reste, on peut se demander s’il n’existe pas certains invariants dans la<br />
fonction parentale. On sait que la psychanalyse l’a cru, mais n’y a-t-il pas<br />
d’autres approches pour éclairer la question ? Une approche phénoménologique<br />
du comportement de l’enfant et <strong>des</strong> attentes qui sont les siennes peut<br />
nous mettre sur la voie de ces invariants.<br />
Replacer la parentalité dans l’histoire n’est pas si simple qu’on peut croire.<br />
Bien sûr qu’il faut faire l’histoire <strong>des</strong> évolutions juridiques, mais çà ne peut<br />
être suffisant car le droit est inscrit dans une culture dont les catégories<br />
changent d’une époque à l’autre.<br />
D’autre part, quelles que soient les évolutions générales, la parentalité<br />
s’exerce toujours dans une relation singulière, si bien qu’il peut sembler<br />
intéressant, notamment à travers l’oeuvre <strong>des</strong> écrivains, de <strong>des</strong>siner quelques<br />
monographies parentales. A travers ces figures de pères et de mères on<br />
a peut-être une chance, si on les approfondit, de deviner une sorte d’essence<br />
de la maternité et de la paternité, quels que soient les contextes où elles se<br />
déploient.<br />
q<br />
l Evolution juridique du statut de mère et de père : apport juridique.<br />
l Déplacement historique de la frontière entre le domestique et le public :<br />
apport historique.<br />
l Affaiblissement de la fonction et de la figure paternelles :<br />
apport sociologique.<br />
l Puissances maternelles : apport psycho-social.<br />
l Figures de père : étude <strong>des</strong> représentations.<br />
l Figures de mère : étude <strong>des</strong> représentations.<br />
q<br />
l Elargir la compréhension de ce qu’est la parentalité pour rendre plus problématiques<br />
les normes courantes.<br />
l Interroger la différence <strong>des</strong> sexes dans l’exercice de la fonction parentale.<br />
l Discerner, dans la fonction parentale, ce qui relève du statut, ce qui relève<br />
de la place et ce qui relève du rôle.<br />
q<br />
Apport problématique et théorique : en quels termes poser une si vaste question<br />
? Etude de textes littéraires : plutôt que de parler en général, on prendra<br />
dans certaines œuvres littéraires <strong>des</strong> portraits de père et de mère. Etude<br />
d’images : peinture, photo. Etude de chansons. Etude de films.<br />
q<br />
Chaque stagiaire rendra une fiche indiquant et définissant quelques grands<br />
caractères de la fonction paternelle et de la fonction maternelle.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Jean Marc GHITTI<br />
u Aphrodite MORALI<br />
q Dates : Du 06 au 10/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Roland BADIOU<br />
INTER ou INTRA<br />
LE GÉNOGRAMME :<br />
Psychogénéalogie et orientation vers l’avenir<br />
CONDITIONS D’INSCRIPTION :<br />
Les stagiaires doivent impérativement s’inscrire aux 2 niveaux de<br />
cette formation, afin de pouvoir poursuivre, lors du second module,<br />
le travail commencé en binôme avec le partenaire du 1 er module.<br />
q<br />
Public<br />
Toute personne engagée dans une relation d’aide, et/ou désirant avoir une<br />
meilleure connaissance de sa propre dimension transgénérationnelle.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Le génogramme est un diagramme qui représente l’image que le sujet a<br />
retenu de sa propre famille sur au moins trois générations. En tant qu’outil<br />
thérapeutique, il permet <strong>des</strong> remaniements profonds du vécu subjectif de<br />
cette image ainsi que <strong>des</strong> comportements qui en découlent : identifications,<br />
investissements de rôles, conflits de loyauté, etc... Bref, il permet d’échapper<br />
à la répétition. Cette approche classique est complétée par un travail inspiré<br />
du modèle <strong>des</strong> «Médecine Animals» <strong>des</strong> indiens d’Amérique du Nord, plus<br />
attrayant pour les enfants et les adolescents. En guidant l’autre, on acquiert<br />
un savoir-faire, et par la même occasion, un outil professionnel.<br />
q<br />
Contenu<br />
Module 1 :<br />
l Les théories de la transmission transgénérationnelle de l’identité et de la<br />
pathologie : scénarios et décisions de vie, choix inconscient du partenaire,<br />
les loyautés invisibles, lieu de survie et répétition de schémas.<br />
l L’apport <strong>des</strong> «Médecine animals» permettant une projection vers l’avenir :<br />
l’investissement <strong>des</strong> «Animaux-médecine» par les Indiens d’Amérique<br />
permet de découvrir son animal totem et choisir celui que nous deviendrons.<br />
l Cela facilite le travail avec les enfants et les adolescents.<br />
l Application du génogramme : les participants travailleront en dyade se<br />
guidant mutuellement et à tour de rôle pour construire leur génogramme.<br />
Le travail en dyade assure la discrétion et l’intimité nécessaires pour cette<br />
démarche.<br />
l Eléments de thérapie centrée sur la solution dans l’avenir.<br />
Module 2 :<br />
l Les participants s’organiseront selon les mêmes binômes déjà constitués<br />
lors du 1 er niveau. Seront répertoriés :<br />
Les difficultés rencontrées lors de son utilisation professionnelle.<br />
Les différents nœuds découverts après le 1 er stage (ou pendant), les<br />
questions qu’il suscite et les éléments à éclaircir.<br />
Les évènements de vie qui vous ont fait vous sentir démuni(e)s.<br />
Un complément théorique et pratique sera mis en place pour répondre aux<br />
difficultés. En binôme et avec l’aide de la formatrice, les participants s’exerceront<br />
à trouver <strong>des</strong> réponses à partir de la thérapie centrée sur les solutions<br />
et d’autres techniques laissant une large place à l’inconscient.<br />
Les stagiaires effectueront un 2 ème niveau de formation à la thérapie brève<br />
centrée sur l’avenir.<br />
q<br />
Objectif<br />
Module 1 :<br />
l Offrir aux participants un moyen de libérer leurs clients <strong>des</strong> schémas<br />
familiaux répétitifs.<br />
Module 2 :<br />
l Les participants recevront un complément de formation en accord avec les<br />
difficultés et les besoins apparus lors de l’utilisation du génogramme<br />
auprès de leur public.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Module 1 :<br />
Evaluation continue à travers l’élaboration du génogramme en dyade.<br />
Module 2 :<br />
évaluation continue à travers le repérage <strong>des</strong> répétitions et les ressources en<br />
dyade.<br />
u Ana LUCO<br />
q Dates : Du 22 au 25/03 ou du 27 au 30/09/11 (module1)<br />
Du 14 au 16/06/11 ou du 06 au 08/12/11(module2)<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée M 1 : 28 heures - Coût : 788 e<br />
Durée M 2 : 21 heures - Coût : 589 e<br />
Coût Total : 1378 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
32
L’argent et le lien éducatif ou l’homme<br />
et ses monnaies d’échange<br />
q<br />
Tous travailleurs sociaux, ES, AS, ME, CESF, assistantes maternelles, chefs de<br />
service...<br />
q<br />
D’usage quotidien et trivial, instrument économique, l’argent est aussi prompt à<br />
déclencher autant <strong>des</strong> avidités aiguës que <strong>des</strong> rejets violents, quand ce n’est pas<br />
les deux à la fois. Forme prédominante du lien social dans le monde contemporain<br />
(l’inscription dans nos sociétés est impensable sans argent), il occupe une place<br />
de choix dans la régulation de nos liens avec autrui et intervient dans l’appréciation<br />
que nous avons de notre propre valeur. Nous partirons d’un présupposé : le système<br />
d’échange par le don fonde le lien social : le bien (l’argent ?) circule au service du lien.<br />
(Mr Mauss). Sur le terrain du travail social, si on considère la prise en charge comme<br />
un échange par le don, une série de questions se pose aux professionnels : Comment<br />
faire si la valeur <strong>des</strong> objets matériels ou symboliques échangés augmente au fur et à<br />
mesure de l’échange ? Comment pourrait-on se séparer ? Comment terminer ce qui<br />
apparaît comme une “histoire sans fin” ? On pourrait partie d’une hypothèse : Pour<br />
assumer son désir, il y a toujours un prix à payer. Mais de quel prix s’agit-il quand on<br />
se place dans un contexte d’assistance publique ?<br />
Comment le travailleur social peut-il manier l’argent dans les pratiques sociales ?<br />
Comment accompagner les personnes prises en charge individuellement à “payer<br />
leurs dettes” quand la demande de l’assistance induit un rapport de dépendance<br />
et de situations propices à la stigmatisation, à l’invalidation, à l’humiliation et à la<br />
honte ? Comment peut-on aborder le rapport personnel à l’objet “argent” sans produire<br />
d’injonction paradoxale ? Nous pouvons annoncer que les personnes prises<br />
en charge n’ont pas une dette vis-à-vis <strong>des</strong> professionnels : ils ont une dette vitale<br />
envers la société, ils ont à investir leur vie dans la communauté humaine. Pour<br />
l’intervenant social qui accompagne cette dette, il s’agit de faire en sorte que cet<br />
apprentissage s’accompagne de parole, que la dramaturgie de la demande urgente<br />
d’argent, par exemple, se manifeste par le logos et non par un acte pulsionnel brutal.<br />
Une <strong>des</strong> techniques pour y parvenir est celle du maniement du transfert. Alors les<br />
questionnements se déplacent : Comment déplacer l’action sociale de l’assistance à<br />
la responsabilité ? Comment accompagner un sujet à prendre en compte sa propre<br />
existence et donc en assumer le prix ? Mais en même temps, comment l’accompagner<br />
pour lui montrer sa propre défaillance ou sa propre imperfection ? comment<br />
arriver à lui faire prendre en partie conscience que le propre de l’homme est son<br />
imperfection, sans inhiber l’action, le faire, l’agir ?<br />
q<br />
l L’invention de la monnaie. Bref historique.<br />
l La théorie du don : la notion d’échange.<br />
l Les rapports d’argent dans la cure, selon la théorie psychanalytique.<br />
Différenciation entre cure analytique et accompagnement éducatif.<br />
l Le désir, le langage, l’argent.<br />
l Les notions de honte et d’assistance.<br />
l La question de la gratuité.<br />
l Apprendre à conserver la bonne distance dans la relation transférentielle.<br />
l Mesurer les rapports de proximité et de distance entre les professionnels et les<br />
usagers du point de vue de l’appartenance générationnelle, culturelle, sociale.<br />
q<br />
l Dégager et classifier <strong>des</strong> rapports sociaux plus ou moins proches selon la<br />
circulation <strong>des</strong> dons.<br />
l Dégager les niveaux de réciprocité qui peuvent décrire <strong>des</strong> degrés de solidarité<br />
et de distance sociale entre les personnes et les groupes (réciprocité<br />
positive, réciprocité équilibrée, réciprocité dans l’espoir du gain).<br />
l Alimenter la réflexion et la connaissance <strong>des</strong> acteurs sur <strong>des</strong> questions liées<br />
à leur quotidien professionnel concernant l’objet argent.<br />
l Identifier les paradoxes qui peuvent exister entre le personnel et le collectif.<br />
l Identifier les représentations, les fonctions et les responsabilités <strong>des</strong> acteurs<br />
dans un système d’action à travers l’objet argent.<br />
q<br />
Exposés et discussions. Présentation de situations professionnelles. Travail en<br />
petits groupes. Exposés théoriques et cliniques à partir de la pratique professionnelle.<br />
Étu<strong>des</strong> de textes et documents. Vidéo.<br />
q<br />
Synthèse individuelle <strong>des</strong> acquis théoriques et pratiques du stage.<br />
q<br />
33<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenantes cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Aphrodite MORALI u Annick LAINE u Joëlle MAUREL<br />
www.afore-formation.com<br />
EFT : Emotional Freedom Techniques<br />
(Technique de liberté <strong>des</strong> émotions)<br />
q<br />
Public<br />
Professionnels de la santé, <strong>des</strong> secteurs éducatifs, sociaux, engagés dans<br />
une relation d’aide individuelle ou auprès <strong>des</strong> familles : médecins, psychothérapeutes,<br />
psychiatres, psychologues, infirmiers, ai<strong>des</strong>-soignants, ai<strong>des</strong><br />
médicaux-psychologiques, éducateurs, assistants sociaux ou toutes personnes<br />
désirant acquérir les bases de la technique EFT.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Selon Gary Craig, fondateur <strong>des</strong> techniques EFT, l’apparition <strong>des</strong> émotions<br />
négatives est due à une perturbation du système énergétique. L’EFT traite<br />
ces perturbations en rééquilibrant la libre circulation énergétique dans le<br />
corps. Ce rééquilibrage s’effectue de façon très simple, par tapotements<br />
sur certains points d’acupuncture liés aux émotions, accompagnés d’une<br />
présence à l’état du mal-être. Cette méthode très simple, rapide, efficace et<br />
facile à apprendre donne <strong>des</strong> résultats de longues durées et apporte souvent<br />
un soulagement là où d’autres thérapies ont échouées. Cette pratique permet<br />
de traiter les émotions négatives telles que la peur, les phobies, la tristesse,<br />
la dépression, la colère, l’anxiété, la culpabilité, etc... mais également<br />
de résoudre <strong>des</strong> problèmes physiques ou de se défaire de certaines manies<br />
ou dépendances.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Enseignement de l’histoire de l’EFT et de la technique de base.<br />
l Acquisition <strong>des</strong> connaissances nécessaires à la pratique de l’EFT.<br />
l Ateliers clinique par la mise en place de séances concrètes d’EFT.<br />
l Analyses et partages suite aux ateliers.<br />
q<br />
Objectif<br />
Enseigner la technique de base de l’EFT et fournir suffisamment d’in<strong>formations</strong><br />
théoriques et pratiques pour que les stagiaires puissent l’utiliser dans<br />
leur quotidien.<br />
Évaluation<br />
q Dates : Du 03 au 07/10/11 q Dates : Du 23 au 25/11/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Chaque stagiaire sera capable d’utiliser la technique sur lui-même en autotraitement<br />
ou d’effectuer une séance EFT simple à quelqu’un qui en a besoin.<br />
Lieu : Toulouse (31)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
« Quand les éléphants se battent,<br />
c’est l’herbe qui souffre »<br />
q<br />
Le drame <strong>des</strong> enfants exposés à la violence conjugale. Nous explorons dans ce<br />
séminaire l’expérience interne <strong>des</strong> enfants exposés au violences conjugales,<br />
les conséquences dans leur vie adulte et les mo<strong>des</strong> d’intervention qui ne<br />
sont pas dommageables.<br />
q<br />
l Enfant nié, manipulé ou écrasé : trois expériences différentes.<br />
l Dynamiques défensives pour grandir malgré tout.<br />
l Troubles inhérents à chaque expérience, selon le genre sexuel.<br />
l Voies de dégagement : aller dans le sens de l’enfant.<br />
q<br />
l Mettre en lumière la réalité <strong>des</strong> enfants exposés à la violence entre leurs<br />
parents.<br />
l Dégager trois modalités d’expériences et la façon dont chacune d’elles peut<br />
affecter la croissance de l’enfant.<br />
l Différencier les dommages selon le sexe de l’enfant.<br />
l Dégager <strong>des</strong> axes d’intervention ciblés sur l’enfant, souvent hors le concours<br />
<strong>des</strong> parents.<br />
q<br />
Deux temps : un espace didactique, un espace expérientiel.<br />
GRANDIR AVEC UN PARENT FOU<br />
q<br />
Tout professionnel qui s’est un jour posé la question de la vie pour un enfant<br />
qui la partage avec un parent «fou».<br />
q<br />
l Le développement de la vie psychique et de l’identité chez l’enfant.<br />
l Les troubles dans son développement dès lors que les figures parentales<br />
sont « hors réalité».<br />
l Le recours à une forme d’auto tutorat : devenir son propre tuteur de développement,<br />
plutôt que s’appuyer sur les autres.<br />
l Les critères utiles pour une intervention sociale : soutenir l’enfant dans une<br />
situation familiale ou l’en dégager.<br />
l Notions basiques de la pathologie mentale : états psychotiques chroniques<br />
et aigus.<br />
q<br />
l Décrypter l’expérience de l’enfant qui fait face à une incohérence parentale<br />
manifeste.<br />
l Comprendre sa dynamique de développement et les ressorts qu’il va utiliser.<br />
l Différencier les situations auxquelles l’enfant peut faire face et celles qu’il<br />
ne peut gérer : les critères de placement.<br />
l Regarder comment soutenir l’enfant à se construire du Parent.<br />
q<br />
Nous irons d’une dimension théorique à une compréhension plus intime de<br />
cette forme d’expérience en «entrant dans l’expérience de ces enfants».<br />
q<br />
Chaque personne est invitée à prendre le temps de cinq minutes pour noter<br />
les trois concepts qui lui ont paru les plus probants et utiles dans sa réalité<br />
professionnelle. Ceci fait, chacune et chacun doit donner sa propre définition<br />
de ce concept, à sa façon, et en ses termes personnels. Enfin, un espace est<br />
laissé à toute question complémentaire qui permettrait d’intégrer davantage<br />
l’apport réalisé. Cette évaluation est donc individuelle, spécifique à chacun et<br />
centrée sur sa pratique.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
q Dates : Du 25 au 27/05/11<br />
Lieu : Besançon (25)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
Public<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Jean Luc TOURNIER<br />
Lieu : Besançon (25)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
L’accompagnement de la personne<br />
maltraitée et maltraitante<br />
q<br />
Public<br />
Toute personne en contact avec <strong>des</strong> enfants et adolescents dans un cadre<br />
privé ou institutionnel. Public ayant en charge <strong>des</strong> personnes maltraitantes.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Le problème de la maltraitance chez l’enfant est complexe parce qu’il repose<br />
fréquemment sur <strong>des</strong> éléments ou <strong>des</strong> attitu<strong>des</strong> visibles et parfois invisibles<br />
et surtout, la plupart du temps, sur <strong>des</strong> faits cachés qui remontent à plusieurs<br />
années. La maltraitance n’est pas nécessairement consciente chez l’enfant,<br />
qui habitué à un certain type de traitement estime que la façon dont il a été<br />
éduqué et élevé est normale. D’autant que quelquefois, un sentiment de honte<br />
voire de culpabilité chez la victime empêche le maltraité de reconnaître<br />
qu’il a été mal traité. La maltraitance est dans bien <strong>des</strong> cas multiformes<br />
parce qu’elle procède d’un double aspect : d’une part, les actes ou les<br />
propos exprimés par l’adulte ou l’institution maltraitant et d’autre part<br />
l’attitude et le comportement induits par l’enfant-victime. C’est pourquoi,<br />
il est essentiel d’apprendre à reconnaître les signes et les symptômes<br />
de la maltraitance chez l’enfant ainsi que ce qui se cache derrière. Il est<br />
aussi important de comprendre les pulsions, les antécédents, et les<br />
raisons souvent inconscientes qui se cachent chez le maltraitant. Estce<br />
simplement un effet pervers lié à une pathologie installée, et/ou un<br />
phénomène de répétition pas toujours nécessairement conscient ?<br />
q<br />
Contenu<br />
l Le concept :<br />
- Emergence du concept d’enfant-victime : de quoi parlons-nous ?<br />
- Apprendre à repérer les signaux envoyés par l’enfant.<br />
- Les mauvais traitements. Les vrais et les fausses pistes.<br />
- Les abus physiques et psychologiques. Les pièges de l’abus de langage.<br />
- Qui sont les maltraitants ? Comment le devient-on ? Peut-on s’en sortir ?<br />
- Quelle place occupe l’histoire et le passé chez le maltraitant ? Peut-on<br />
briser le scénario transgénérationnel ?<br />
- La résilience : mythe ou réalité ?<br />
l Psychologie et pratiques psychiatriques :<br />
- Le point de vue d’un psychologue sur les mauvais traitements psychologiques.<br />
- Les enjeux dans la maltraitance psychique à l’égard <strong>des</strong> enfants.<br />
- Les reproductions parentales.<br />
l Pratiques professionnelles :<br />
- La maltraitance psychologique : de la reconnaissance à l’intervention.<br />
- L’accompagnement de la personne maltraitante.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Comprendre, repérer et gérer les éléments afférant à la maltraitance d’un<br />
enfant. Savoir mettre en place une relation de bienveillance avec le jeune.<br />
Adapter son approche et son comportement avec une personne maltraitante.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
La pédagogie proposée se veut didactique et inductive. Elle s’appuie sur<br />
l’expérience de l’animateur et le vécu <strong>des</strong> participants à travers de nombreux<br />
échanges.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage. Evaluation individuelle.<br />
u Jean François ROUSSEL<br />
q Dates : Du 09 au 11/05/11 q Dates : Du 30/05 au 01/06/11<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
34
Violences et perspectives Comment faire face :<br />
travailler avec <strong>des</strong> «personnes difficiles»<br />
q<br />
Cette formation concerne les professionnels engagés (éducateurs, médecins,<br />
psychologues, enseignants, ai<strong>des</strong> médico-psychologiques, assistants<br />
sociaux...) désireux de comprendre l’expression de la violence sous différentes<br />
facettes afin de parfaire leur accompagnement de ce type de problématiques.<br />
q<br />
La violence peut se présenter sous différentes formes dans l’accompagnement<br />
du public accueilli. Elle peut avoir un effet de sidération et démobiliser<br />
les potentielles perspectives. On assiste alors éventuellement à un clivage :<br />
d’un côté de la violence, de l’autre <strong>des</strong> professionnels qui réfléchissent, sans<br />
que ces « deux mon<strong>des</strong> » se rencontrent. On peut aussi voir se <strong>des</strong>siner une<br />
relation bourreau- victime avec peu de perspectives de travail.<br />
Comment alors pouvoir se saisir de cela ? Que penser de ces agissements<br />
et de l’interaction avec les professionnels. Comment mieux comprendre la<br />
violence pour mieux pouvoir venir en aide à l’auteur de violence au-delà du<br />
clivage que cela peut produire ? Comment aussi permettre à la parole de<br />
refaire surface en lieu et place ? Finalement quel sens donner à la violence?<br />
q<br />
l Présentation et échange sur les attentes générales et/ou particulières <strong>des</strong><br />
participants.<br />
l Définition de la violence.<br />
l Différencier violence, agressivité et les théories qui accompagnent ces<br />
concepts.<br />
l Agressivité normale et pathologique.<br />
l Violence et interaction : point de vue systémique.<br />
l Repérer et définir crise et urgence.<br />
l Origines de la violence.<br />
l Repères éthologiques.<br />
l Les différents paliers : de l’agressivité à la violence.<br />
l Impacts de la violence : évocation <strong>des</strong> syndromes post-traumatique et comment<br />
prendre en charge après un acte violent la victime, la personne<br />
violente et dans l’équipe.<br />
l Gestion de conflits.<br />
l Place <strong>des</strong> émotions.<br />
l Représentations de la violence.<br />
l Comment se préserver en préservant son identité professionnelle.<br />
l Perspectives de travail dans l’accompagnement.<br />
l Réfléchir à la gestion de la violence à titre individuel et institutionnel.<br />
l Violence et société, violence et culture.<br />
q<br />
l Comprendre la violence et pouvoir se positionner dans <strong>des</strong> situations professionnelles<br />
en identifiant sa propre attitude.<br />
l Pouvoir transformer la violence et l’agressivité en information pertinente.<br />
l Pouvoir s’allier et s’engager dans un accompagnement préventif de la<br />
violence.<br />
l Ouvrir <strong>des</strong> perspectives autour de cette problématique.<br />
l Repérer et travailler l’impact émotionnel que les interactions violentes produisent<br />
sur le vécu professionnel afin de pouvoir prendre du recul.<br />
l Améliorer les compétences professionnelles en approfondissant leurs<br />
outils et leur intervention.<br />
q<br />
Apports théoriques issus de la psychanalyse, de la systémique et de<br />
l’approche sociologique. Discussions à partir de la pratique <strong>des</strong> professionnels.<br />
Analyse de situations professionnelles. Ateliers cliniques. Photolangage.<br />
Outils de lecture de la violence. Les apports seront centrés et adaptés aux<br />
besoins et attentes <strong>des</strong> participants par rapport à <strong>des</strong> situations concrètes<br />
vécues par eux.<br />
q<br />
Quotidiennement, les participants seront amenés à interroger leurs acquis<br />
durant la formation dans un formulaire individuel.<br />
q<br />
35<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Luis VASQUEZ<br />
u Aphrodite MORALI<br />
u Dalila HADDADI-Collet<br />
www.afore-formation.com<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Travailler avec <strong>des</strong> publics identifiés - et souvent stigmatisés ! Comme porteurs<br />
de «handicaps psychosociaux» peut effectivement donner lieu à <strong>des</strong><br />
situations professionnelles qualifiées de difficiles. Mais la première difficulté<br />
à laquelle se trouvent confrontés les acteurs sociaux éducatifs impliqués,<br />
n’est-elle pas justement de faire face aux difficultés que déclenchent en eux<br />
ces situations ?<br />
Faute de percevoir et de comprendre, en quoi une personne perçue comme<br />
«difficile» l’est d’abord (en outre du fait qu’elle nous apparaît comme telle en<br />
raison <strong>des</strong> difficultés dans lesquelles elle se débat) et surtout pour les difficultés<br />
qu’elle génère en nous, nous risquons de nous sentir incapables d’agir<br />
avec la pertinence et l’efficacité requises, au regard <strong>des</strong> objectifs définis par<br />
notre fonction et le cadre institutionnel dans lequel elle s’exerce.<br />
C’est pourquoi, nous posons comme point de départ du travail de réflexion<br />
et d’analyse menés en commun que constituera ce stage, la proposition suivante<br />
: ce à quoi il faut d’abord faire face dans une situation difficile, c’est<br />
à soi-même ! Car ce n’est qu’après nous être confrontés, avec empathie, à<br />
notre propre inconfort et y avoir puisé les in<strong>formations</strong> utiles pour retrouver<br />
ou simplement maintenir notre équilibre, que nous serons le mieux à même<br />
de faire face efficacement et de façon adéquate à ce qui nous est demandé<br />
dans une telle situation.<br />
q<br />
Contenu<br />
l La différence entre percevoir et interpréter, entre agir (en fonction <strong>des</strong><br />
objectifs liés à une situation) et réagir (à l’émotion générée par les perturbations<br />
engendrées par la situation).<br />
l Comment maintenir son équilibre dans les situations vécues comme émotionnellement<br />
perturbatrices.<br />
l Les attitu<strong>des</strong> aidantes ou limitantes dans les interactions.<br />
l L’articulation entre le cadre (loi, règles, limites...) et les objectifs d’une<br />
écoute compréhensive.<br />
l Suspension du jugement et assertivité versus passivité permissive et/ou<br />
rigidité agressive.<br />
l Les techniques de l’écoute compréhensive pour favoriser un dialogue visant<br />
la mobilisation <strong>des</strong> ressources et la satisfaction «réaliste» <strong>des</strong> besoins.<br />
l savoir s’accorder de l’auto empathie.<br />
l savoir accorder et manifester à l’autre de l’empathie.<br />
l Transmission de techniques issues de diverses métho<strong>des</strong> (PNL, AT, disciplines<br />
énergétiques...) permettant de réguler la charge émotionnelle générée<br />
par les situations vécues comme perturbatrices.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Réfléchir sur ce qui pour chacun caractérise les situations et personnes<br />
jugées comme «difficiles».<br />
l Acquérir <strong>des</strong> outils permettant de se confronter à <strong>des</strong> personnes dites<br />
«difficiles» ou «en difficulté» sans se laisser enfermer dans une relation<br />
épuisante et/ou stérile.<br />
l Comprendre l’importance du cadre et savoir prendre appui sur ce qui aide à<br />
mieux structurer la relation.<br />
l S’exercer avec les outils d’une communication efficace dans un contexte<br />
d’accompagnement social et/ou d’éducation.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Métho<strong>des</strong> actives favorisant la participation <strong>des</strong> stagiaires. Exercices visant à<br />
se familiariser avec le maniement <strong>des</strong> outils proposés. Alternances de temps<br />
de travail en groupe et de temps de réflexion individuelle. Partage et analyse<br />
d’expériences professionnelles en lien avec l’objet du stage.<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus et explorations<br />
effectués durant le stage. Evaluation individuelle.<br />
u Jacques LARIS<br />
q Dates : Du 14 au 18/03/11 q Dates : Du 23 au 27/05/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Quand j’avais 13 ans, je m’ai tué...<br />
SECRETS DE FAMILLE<br />
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
q<br />
Le suicide de l’adolescent :<br />
Le suicide est le meurtre de soi même, mais chez l’adolescent, il est aussi un<br />
sacré coup de pieds donné dans la fourmilière environnementale. Il percute,<br />
bouleverse et traumatise. Jusqu’à laisser en miettes.<br />
q<br />
l Historique rapide du suicide.<br />
l Eléments sociaux et cultures.<br />
l Les mo<strong>des</strong> d’entrée en suici<strong>des</strong>.<br />
l Le suicide au masculin, le suicide au féminin.<br />
l Le suicide velléitaire de l’adolescent.<br />
l Crise suicidaire, idéation suicidaire, tentative suicidaire et mortalité suicidaire.<br />
l La prise en charge de son environnement familial et amical.<br />
q<br />
l Définir la notion de suicide et son inscription dans le champ social.<br />
l Comprendre ce qui peut conduire un être humain à vouloir mourir.<br />
l Expliciter la nature particulière du suicide adolescent.<br />
l Envisager <strong>des</strong> mesures de prévention.<br />
l Réfléchir aux mesures de soutien de l’environnement après un tel acte.<br />
q<br />
Sujet sensible s’il en est, le suicide <strong>des</strong> ados requiert un respect particulier<br />
en même temps qu’une franchise de ton. Les deux seront présents sur ces<br />
deux journées. Approche sociologique, clinique et éducative.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Chaque personne est invitée à prendre le temps de cinq minutes pour noter<br />
les trois concepts qui lui ont paru les plus probants et utiles dans sa réalité<br />
professionnelle.<br />
Ceci fait, chacune et chacun doit donner sa propre définition de ce concept, à sa<br />
façon, et en ses termes personnels.<br />
Enfin, un espace est laissé à toute question complémentaire qui permettrait<br />
d’intégrer davantage l’apport réalisé.<br />
Cette évaluation est donc individuelle, spécifique à chacun et centrée sur sa<br />
pratique.<br />
Public<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenantes cf p.2<br />
Travailleurs sociaux, professionnels de la santé, personnels <strong>des</strong> services<br />
spécialisés, et toutes personnes impliquées dans le travail avec les familles<br />
et/ou dans une prise en charge individuelle d’enfants, d’adolescents, d’adultes.<br />
La notion de secret occupe depuis toujours une place importante au sein de<br />
la famille. Toutes les familles ont leurs secrets, et certains assujettissent au<br />
silence pendant plusieurs générations. Les enfants se construisent ainsi<br />
autour de ce qui est indicible et leurs comportements mettent en scène le<br />
secret familial, sans même savoir qu’il existe <strong>des</strong> choses gardées secrètes.<br />
On admet largement aujourd’hui que la vérité est moins nocive que le secret.<br />
Les professionnels qui accompagnent ces personnes qui cachent, sont<br />
confrontés à <strong>des</strong> questions essentielles : comment permettre et aider à la<br />
révélation ? Quels effets pour la famille ?<br />
Or, la recherche de vérité et de transparence à tout prix peut, a contrario,<br />
générer <strong>des</strong> effets néfastes et traumatiques. Faut-il tout dire ? devient une<br />
question centrale autour de laquelle les professionnels doivent travailler pour<br />
permettre aux personnes de préserver leur intimité et leur équilibre.<br />
l Module 1 : Quand le silence devient <strong>des</strong>tructeur<br />
Intimité et secrets. Aux origines du secret : honte et culpabilité. Les différents<br />
types de secrets. Secrets et relations familiales. Les effets du secret<br />
dans la communication. L’innommable, l’indicible et l’inavouable. Du secret<br />
aux symptômes. Le rôle du secret dans le traumatisme.<br />
l Module 2 : Motus ou bouche ouverte ?<br />
- De la genèse du secret à sa transmission entre générations.<br />
Comprendre le sens et la fonction du secret dans la dynamique familiale.<br />
Aborder le secret et sa transmission à travers les générations.<br />
- Quel travail possible avec les porteurs de secrets ?<br />
Réfléchir sur la fonction du maintien du secret dans l’économie psychique<br />
familiale. Maintien ou révélation du secret ? Evaluer les ressources et<br />
les freins dans chaque situation concrète. Comment envisager l’accompagnement<br />
à la révélation du secret, notamment dans les situations de maltraitance<br />
ou de violences sexuelles concernant <strong>des</strong> enfants. Les apports<br />
théoriques et cliniques fourniront un éclairage au débat organisé autour<br />
<strong>des</strong> secrets de famille. Les situations présentées par les participants viendront<br />
enrichir cette réflexion.<br />
l Connaître les différences conceptuelles entre les secrets, mensonges, non<br />
dits et pactes et se familiariser avec les différents types de secrets.<br />
l Comprendre la fonction de l’émergence et du maintien du secret pour<br />
chaque personne concernée.<br />
l Comment travailler avec une famille, ou avec l’un de ses membres, porteurs<br />
de secret, tout en préservant l’équilibre de la famille jusque là maintenu par<br />
la loi du silence.<br />
l Evaluer et faciliter la révélation du secret dans le cadre de nos interventions,<br />
si cela est nécessaire.<br />
l Repérer, comprendre et analyser les comportements et réactions suite à la<br />
révélation du secret.<br />
l Comment accompagner une famille, ou l’un de ses membres, dès lors que<br />
l’on devient soi-même détenteur et partie prenante du secret ?<br />
A partir de ce repérage, il s’agira d’ouvrir et d’intégrer ces prises en charge<br />
spécifiques dans la pratique professionnelle de chacun.<br />
Exposés théoriques et discussions. Analyse de situations. Visionnement et<br />
analyse d’un film. Ateliers cliniques.<br />
Questionnaire autour <strong>des</strong> secrets de famille et articulation avec sa pratique<br />
professionnelle.<br />
u Jean Luc TOURNIER u Catherine ROUX u Dominique ATLAN<br />
Lieu : Besançon (25)<br />
Durée : 14 heures<br />
Coût : 388 e<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
q Dates : Du 09 au 10/06/11 q Dates : Du 11 au 14/10/11<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
36
De la précarité à l’exclusion :<br />
quels symptômes, quelles pratiques<br />
cliniques ?<br />
q<br />
Les professionnels du secteur social, médical et paramédical en lien avec<br />
une population en situation de précarité : personnes isolées, étrangers,<br />
demandeurs d’asile, individus souffrant de troubles psychiatriques, bénéficiaires<br />
de minimas sociaux, individus en rupture sociale et/ou familiale, les<br />
sans abris, etc.<br />
q<br />
La notion de précarité issue d’un «malaise dans la civilisation» (comme la<br />
décryptait S. FREUD, dans son ouvrage de 1929), demeure une forme de<br />
souffrance psychologique singulière. Il s’agit d’une pathologie qui s’ancre,<br />
paradoxalement, dans le social et ses institutions, pourtant sensées faciliter<br />
l’inclusion et les liens de chacun <strong>des</strong> membres qui la compose, en prodiguant<br />
à «tous protection et bienfaits». Alors comment comprendre, à la suite de<br />
FREUD, que l’homme puisse s’exclure ou se sentir exclu, comme s’il devenait<br />
malade <strong>des</strong> institutions dont il est pourtant à l’origine ?<br />
Même si la notion de précarité nous semble familière aujourd’hui, les limites<br />
de cette «nouvelle pauvreté», de cette «pauvreté <strong>des</strong> temps modernes»<br />
restent souvent floues. L’actualité, la politique ou la télévision, nous en<br />
donnent une vision la réduisant au voyeurisme, à l’apitoiement voire à une<br />
stigmatisation empreinte d’insécurité. Ne voit-on pas couramment dans ces<br />
mêmes médias <strong>des</strong> reportages sur les «travailleurs pauvres» ? N’est-il pas<br />
coutumier de parler de précarité et de sa figure paroxystique, le SDF ? Quelle<br />
part revient à une construction journalistique pour faire peur aux spectateurs,<br />
quelle part relève d’une nouvelle réalité sociale ? Chacun peut-il devenir<br />
un jour SDF ou tomber dans la précarité - voire l’exclusion ? Dépasser les<br />
constats et les stéréotypes, est devenu une nécessité.<br />
Depuis près de 10 ans, la psychiatrie et la recherche se sont ouvertes à ce<br />
que l’on appelle aujourd’hui les cliniques de la précarité. Quelles sont-elles ?<br />
En quoi existe-t-il <strong>des</strong> cliniques de la précarité ? Par quels mécanismes<br />
devient-on malade d’une/de sa situation sociale ? Comment alors, en tant<br />
que professionnel, peut-on appréhender, accompagner, soigner, ceux qui<br />
se sentent victimes d’un monde qu’ils vivent comme ne les regardant plus,<br />
comme les ayant exclus et abandonnés ? Quels sont les dispositifs permettant<br />
le travail auprès <strong>des</strong> personnes en situation de précarité ?<br />
q<br />
l Faire émerger les représentations de chacun sur la pauvreté, la précarité,<br />
l’exclusion et l’accès aux soins pour les populations précaires.<br />
l Mieux appréhender ce qu’il se (re)joue dans le suivi social, médical, paramédical.<br />
l Trouver <strong>des</strong> ancrages professionnels permettant de faire face à l’usure<br />
potentielle provoqué.<br />
l Comprendre ce que signifie les incessantes ruptures de lien généralement<br />
constatées dans cette frange de la population.<br />
l Trouver <strong>des</strong> moyens créatifs pour remédier à ces ruptures.<br />
q<br />
Echange avec les participants et travail sur les représentations (support :<br />
Photolangage©). Exposés théoriques et cliniques sur la notion de précarité,<br />
de pauvreté et d’exclusion (supports : vidéos, articles, vignettes cliniques).<br />
Partage <strong>des</strong> pratiques pluridisciplinaires. Travail thématique en sous-groupes<br />
(supports : articles de presse).<br />
q<br />
Synthèse <strong>des</strong> concepts utilisés.<br />
q<br />
37<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2 q Intervenants cf p.2<br />
u Roselyne BOYET<br />
u Matthieu GAROT<br />
u Jean Louis DUMARTY<br />
www.afore-formation.com<br />
Héberger n’est pas interner.<br />
Mais héberger c’est aussi interner.<br />
q<br />
Public<br />
Tout travailleur social travaillant dans une structure d’hébergement.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Issue d’une longue histoire d’assistance, les structures d’hébergement sont<br />
confrontées à <strong>des</strong> problèmes majeurs de précarité. Elles ont <strong>des</strong> difficultés<br />
pour adapter leurs offres à la demande et sont soumises à de nouvelles<br />
dynamiques induites par le cadre législatif du secteur.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Historique <strong>des</strong> prises en charge d’enfants, d’adolescents et adultes.<br />
l L’institué, l’instituant : approche symbolique de l’institution.<br />
l Le questionnement <strong>des</strong> besoins de la personne, l’approche psychopathologique<br />
et psychiatrique.<br />
l Le concept d’individualisation et de diversité <strong>des</strong> réponses.<br />
l La gestion de la vie quotidienne : l’accueil, les réunions, la ritualisation du<br />
quotidien.<br />
l Les placements séquentiels, les différents mo<strong>des</strong> d’hébergement.<br />
l Le travail avec les adolescents.<br />
l Le travail avec les familles.<br />
l La pluridisciplinarité et le travail en réseau.<br />
q<br />
Objectif<br />
Nous essaierons pendant ce stage de retrouver le sens que l’on doit donner<br />
à une structure d’hébergement en travaillant tout à la fois sur la symbolique<br />
de l’institution, sur l’approche par les besoins de la personne accueillie et de<br />
sa famille (ou représentants légaux) et sur la dimension «thérapeutique»<br />
de l’institution.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Apports théoriques, témoignages professionnels et étu<strong>des</strong> de situations<br />
cliniques.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Décrire les apports conceptuels et les perspectives ouvertes par ces journées<br />
de réflexion en terme de changement ou de maintien de ce qui est produit quotidiennement<br />
dans les établissements ou les services éducatifs ou médicosociaux.<br />
u Roland BADIOU<br />
q Dates : Du 26 au 28/09/11 q Dates : Du 21 au 25/03/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Jean Marie FAURE<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
Comment accompagner les parents ?<br />
q<br />
Tout professionnel de la relation d’aide, tous les intervenants sociaux auprès<br />
<strong>des</strong> familles, <strong>des</strong> couples, <strong>des</strong> individus.<br />
q<br />
Devenir parents s’origine dans <strong>des</strong> modèles reçus et intégrés que nous<br />
utilisons comme référence. La compétence parentale n’existe pas d’emblée,<br />
elle s’active grâce aux différentes interactions au sein de la famille. Être<br />
parent «c’est pas un métier», les parents sont souvent dans le doute, ils<br />
se retrouvent isolés, fragilisés, assaillis de deman<strong>des</strong>, de questions et de<br />
responsabilités qui les submergent.<br />
Les professionnels de l’aide sociale sont au carrefour de plusieurs missions :<br />
l’accompagnement <strong>des</strong> parents, le soutien à la parentalité, parfois dans le<br />
cadre de la protection de l’enfance. Ils doivent conjuguer avec ces différents<br />
objectifs, les missions du service et la singularité <strong>des</strong> situations rencontrées.<br />
Ils sont de plus en plus appelés pour guider et accompagner les parents en<br />
difficultés au plus près de leurs ressources et de leurs compétences.<br />
Changer son approche <strong>des</strong> défaillances parentales à la compétences <strong>des</strong><br />
familles, conduit les professionnels à rechercher <strong>des</strong> outils et <strong>des</strong> moyens<br />
pour intervenir dans les situations complexes.<br />
q<br />
l La parentalité : quelles tâches pour les parents.<br />
l Le lien d’attachement, sa formation et son évolution selon l’âge.<br />
l Les différentes modalités d’attachement et leurs conséquences.<br />
l Repèrer et activer la compétence <strong>des</strong> familles.<br />
q<br />
l Découvrir et approfondir la théorie de l’attachement et de l’accordage affectif.<br />
l Elargir sa compréhension <strong>des</strong> compétences parentales et leurs implications.<br />
l Adapter son approche aux familles accompagnées.<br />
l Guider les parents dans la découverte de leurs compétences parentales.<br />
q<br />
Apports théoriques et discussion en groupe. Réflexion autour de situations<br />
professionnelles. Jeux de rôle. Document vidéo.<br />
q<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> concepts contenus dans la formation.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Catherine ROUX<br />
FEMMES SOUS EMPRISES<br />
Les violences psychologiques dans le couple<br />
q<br />
Public<br />
Tout intervenant social, médical, judiciaire, ou thérapeute confronté à de telles<br />
situations.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Deux profils <strong>des</strong> hommes abuseurs : les durs et les doux. Accent mis sur le<br />
profil d’un abuseur doux.<br />
l Définition de l’emprise, l’abus psychique, la mise sous influence et de la<br />
dépendance psychologique.<br />
l Les étapes successives de la mise sous emprise.<br />
l Les ressorts utilisés : rupture du registre communicationnel, captation,<br />
injonctions unilatérales, mise sous transe (véritable processus hypnotique).<br />
l Les conséquences somatiques, psychiques et spirituelles chez les femmes<br />
victimes.<br />
l Les outils de dégagement de la mise sous emprise.<br />
l Le contre-transfert chez l’intervenant.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Explorer les rouages psychologiques du phénomène de mise sous emprise.<br />
l Mettre à jour la clinique de l’auteur de cette violence psychologique.<br />
l Présenter les modèles communicationnels, relationnels et psychologiques<br />
pour assurer une telle emprise.<br />
l Dévoiler les conséquences pour la femme victime d’une telle influence<br />
psychique.<br />
l Echanger, partager et développer <strong>des</strong> mo<strong>des</strong> d’intervention qui soutiennent<br />
la femme victime sans l’enfoncer, pour ne pas ajouter un abus social à<br />
l’abus psychologique.<br />
l Elargir le cadre de référence <strong>des</strong> intervenants sociaux : dans violence<br />
psychologique, il y a violence. Et sous l’emprise se cache l’abus.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Nous ouvrirons <strong>des</strong> pistes de travail à partir de situations concrètes<br />
apportées par les participants, relayées par une définition au plus juste de la<br />
problématique évoquée et étayées par <strong>des</strong> éléments théoriques adéquats.<br />
Nous ferons mention de la dimension contre transférentielle, ce qui suppose<br />
une relative implication <strong>des</strong> participants.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Elle se fera en cours de formation, par la mise en situation professionnelle dans<br />
<strong>des</strong> jeux de rôles.<br />
u Marie Jo TOURNIER MARTELET<br />
q Dates : Du 20 au 21/01/11 et le 31/03/11 q Dates : Du 16 au 18/05/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Besançon (25)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
38
L’ECRITURE BIOGRAPHIQUE ET RECITS DE VIE<br />
SOUFFRANCE AU TRAVAIL<br />
q<br />
Il est parfois difficile de dire et encore plus difficile d’écrire ou de faire écrire<br />
un vécu, une vie. Oser raconter sa vie, sa famille, son quotidien ou simplement<br />
l’histoire qui manipule, c’est prendre le risque d’être lu et détrompé<br />
mais c’est aussi avoir la volonté de transmettre, de laisser une empreinte en<br />
respectant la vie de ceux et celles qui font partie de l’histoire.<br />
q<br />
l Chaque stagiaire a une vie personnelle faite de famille, de collègues de<br />
travail, d’ami-e-s. Nous nous servirons de ce potentiel pour expérimenter<br />
l’acte d’écrire sa propre histoire, d’identifier ce qui est de «mon» histoire et<br />
ce qui est de l’histoire collective.<br />
Nous utiliserons arbre généalogique fictif ou «vrai» pour explorer les<br />
différentes approches du récit individuel et nous explorerons <strong>des</strong> extraits de<br />
biographies et d’autobiographie d’auteur-e-s (V. Hugo, D. Buzzati, A. Gavalda...)<br />
pour considérer la différence avec le récit de vie (Bobin, Del Castillo...)<br />
q<br />
l Savoir ouvrir les tiroirs où <strong>des</strong> morceaux d’histoires sont rangés.<br />
l Reconnaître le désir ( le sien ou celui d’autrui) de raconter pour témoigner.<br />
l Reconnaître le désir ( le sien ou celui d’autrui) de raconter pour transmettre.<br />
l Connaître les techniques du récit de vie (écrire et faire écrire).<br />
q<br />
Le premier jour sera théorique. Les jours suivants seront consacrés à la<br />
recherche historique, à la construction de l’arbre généalogique et enfin aux<br />
techniques d’interview. Chacun de ces temps sera ponctué par <strong>des</strong> moments<br />
d’écriture.<br />
q<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage. Evaluation individuelle.<br />
q<br />
39<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenants cf p.2<br />
www.afore-formation.com<br />
Argumentaire<br />
Nous espérons généralement de notre activité professionnelle qu’elle nous<br />
apporte diverses gratifications, non seulement sur le plan matériel, financier,<br />
mais également sur le plan moral, par la reconnaissance et la valorisation<br />
de nos aptitu<strong>des</strong> et compétences nous permettant de pouvoir nous exprimer<br />
vraiment dans notre travail, d’y donner le meilleur de nous-même, voire<br />
même de nous y épanouir. Ces attentes légitimes, à l’évidence, sont cependant<br />
souvent contrariées par différents facteurs dont l’accumulation peut<br />
rendre la vie professionnelle difficile, voire problématique, et qui entraînent<br />
<strong>des</strong> conséquences fâcheuses tant pour les individus (fatigue, surmenage,<br />
manque de motivation et de reconnaissance, sentiment d’inutilité pouvant<br />
mener jusqu’au désespoir) que pour la collectivité (absentéisme, déstructuration<br />
<strong>des</strong> services, frais de santé). Ce processus qui se déroule dans la<br />
durée, et comme à l’insu de nous-même, est ce qu’on appelle le «burn out»<br />
ou syndrome d’épuisement professionnel.<br />
l Apprendre les techniques de relaxation faciles à utiliser en situation, et<br />
permettant de soulager le stress.<br />
l Comprendre les processus menant à l’épuisement professionnel :<br />
mécanismes inconscients et bénéfices secondaires de ces mécanismes<br />
qui nous maintiennent dans un état de mal-être.<br />
l Repérer les leviers psychologiques à utiliser pour sortir d’une problématique<br />
de souffrance au travail et s’engager sur un chemin de créativité.<br />
l Développer le sens de la responsabilité vis-à-vis de soi même, de ses collègues<br />
et de sa hiérarchie.<br />
l Savoir reconnaître les symptômes du burn out.<br />
l Analyser ses origines, c’est-à-dire porter à la conscience les facteurs<br />
personnels et environnementaux qui y mènent (que l’on désigne par le terme<br />
de «stresseurs»).<br />
l Elaborer <strong>des</strong> stratégies réalistes pour sortir de schémas comportementaux<br />
négatifs et anxiogènes.<br />
l Devenir acteur de son propre changement en se donnant les moyens de<br />
vivre son activité professionnelle de manière plus sereine, plus équilibrée.<br />
Alternance d’apports théoriques à partir d’une grille de lecture originale intégrant<br />
notamment les concepts principaux de la psychanalyse et de mises en<br />
situation par l’entremise de différents supports : groupes de parole, séances<br />
de relaxation, mais aussi utilisation de questionnaires-tests, visionnage de<br />
séquences filmées, technique du photo-langage...<br />
A partir d’un exemple concret d’épuisement professionnel soumis à l’analyse<br />
<strong>des</strong> participants, réalisation d’un exercice final individuel par écrit, permettant<br />
de synthétiser l’ensemble <strong>des</strong> contenus et explorations effectuées durant le<br />
stage et de confirmer leur intégration.<br />
u Rachida LAAKROUCHI u Danièle Andrieu u Sylvain PECH<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
q Dates : Du 21 au 25/03/11 q Dates : Du 21 au 25/03/11<br />
Lieu : Toulouse (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CLINIQUE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
Un(e) chef(fe) qui assure !<br />
La gestion <strong>des</strong> relations depuis<br />
une fonction de leAder-ship<br />
q<br />
Formation ouverte aux cadres, aux responsables d’établissements.<br />
q<br />
Occuper un poste de responsabilité au sein d’une institution, d’une organisation<br />
est pour nombre d’observateurs une tâche à haut risque politique,<br />
social, psychique... La complexité de cette fonction dans une société qui<br />
semble privilégier «la performance» et «l’urgence» met le leader dans une<br />
posture paradoxale : Gérer la capacité à tolérer l’immaîtrisable de l’homme<br />
c’est-à-dire son irrationalité profonde tout en essayant de ne pas lâcher sur<br />
l’interrogation du sens de l’action entreprise avec ses collaborateurs . Il s’agit<br />
aussi de donner une direction dans un certain réel. Tâche certes impossible<br />
mais indispensable pour que l’action collective puisse se faire. C’est ce paradoxe<br />
que peut-être le chef doit assumer...<br />
Cette formation invite les chef(fe)s à réfléchir et élaborer cette place tierce et<br />
paradoxale mais nécessaire pour le «vivre ensemble» d’une organisation et<br />
plus largement d’une société.<br />
Nous proposons un cycle qui s’organise sur une année, à raison de deux<br />
journées trimestrielles.<br />
q<br />
Chaque session sera organisée autour d’un thème, qui sera défini en fonction<br />
<strong>des</strong> besoins spécifiques <strong>des</strong> participants. À titre d’exemple nous pourrions<br />
aborder :<br />
l La question du pouvoir, du désir et <strong>des</strong> responsabilités dans les institutions.<br />
l Les enjeux éthiques dans les organisations modernes.<br />
l Les différentes structures de fonctionnement dans les organisations en<br />
lien direct avec la place et le rôle <strong>des</strong> leaders dans ces structures (charismatiques,<br />
bureaucratiques, coopératives, technocratiques...).<br />
l La transmission <strong>des</strong> valeurs de l’Économie Sociale et Solidaire.<br />
l La conduite du changement et le don.<br />
q<br />
l Interroger le sens et la posture du chef(fe).<br />
l Repérer sa place et son rôle de leader dans une organisation.<br />
l Développer ses compétences à gérer <strong>des</strong> relations tendues, difficiles,<br />
conflictuelles depuis une position de leader.<br />
l S’autoriser à occuper une place et donc en assumer la responsabilité de son<br />
«style» de leader.<br />
l Analyser les situations de changements et questionner les modalités<br />
d’accompagnement<br />
q<br />
Il s’agit d’interroger la complexité de la posture de chef(fe) et d’en mesurer<br />
sa juste place.<br />
Nous proposons donc «d’utiliser» le groupe de formation pour sortir de<br />
l’isolement que souvent les responsables <strong>des</strong> structures subissent.<br />
La relation humaine constitue le cœur de cette formation.<br />
Il s’agit d’élaborer la fonction de diriger depuis soi-même et non depuis un<br />
modèle extérieur à soi tout en questionnant le contexte de la post-modernité<br />
et <strong>des</strong> politiques actuelles.<br />
A partir de vignettes cliniques, nous dégagerons la problématique pour élaborer<br />
collectivement <strong>des</strong> options d’interventions. Des apports théoriques alterneront<br />
avec <strong>des</strong> jeux de rôle voir <strong>des</strong> mises en situation selon la dynamique<br />
du groupe. Des observations durant les inter-sessions seront proposées.<br />
q<br />
Chaque stagiaire rédigera une situation puis la soumettra au groupe.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
L’ANIMATION DE GROUPE<br />
Public<br />
Les professionnels qui ont à gérer <strong>des</strong> groupes.<br />
Intervenantes cf p.2 q Intervenantes cf p.2<br />
La notion de groupe est très ambiguë. Toute réalité sociale peut être habillée de<br />
cette notion, souvent privilégiée pour caractériser les phénomènes collectifs. Mais<br />
comment faire lorsqu’on l’utilise aussi bien pour une nation entière que pour un<br />
ensemble de dix personnes ? Et la taille ne résout pas tout : il est <strong>des</strong> groupes<br />
de dix personnes où la communication est impossible car chacun campe sur ses<br />
positions, et <strong>des</strong> groupes beaucoup plus importants où la discussion est libre, où<br />
la communication est plutôt authentique. En outre, au-delà de sa taille, de la nature<br />
<strong>des</strong> échanges qui s’y déroulent, de manifestations visibles et rationnelles, le groupe<br />
existe aussi par ses affects et son inconscient. Dans ce sens, il faut prendre en<br />
compte dans le concept de groupe, à la fois le sujet et le collectif, chacun pris dans<br />
son histoire et sa singularité. Didier Anzieu explique que la situation de groupe provoque<br />
«une régression au sadisme oral, une angoisse corrélative de la perte de<br />
l’identité personnelle et une recherche compensatoire de fusion avec l’image de<br />
la bonne mère. Elle est souvent pour les participants un miroir qui les renvoie à<br />
ce fantasme enfantin, à savoir l’image de leur propre corps morcelé». Il décrit le<br />
groupe comme étant «un appareil psychique groupal, une enveloppe où circulent<br />
les pulsions, où s’établissent <strong>des</strong> mécanismes de défense et où se construisent<br />
<strong>des</strong> représentations et <strong>des</strong> significations».<br />
l Contextualisation de la notion «groupe» ; travailler les differentes formes de<br />
groupe :<br />
Définitions et étymologie de la notion du groupe, les résistances historiques<br />
que nous avons face au groupe. Le groupe en fonction de sa taille et la question<br />
de sa cohésion. Les trois présupposés de base selon Bion : dépendance,<br />
combat-fuite, couplage. Exposé <strong>des</strong> différentes catégories fondamentales (la<br />
foule, la bande, l’association, les coulisses <strong>des</strong> associations : les réseaux ; le<br />
groupe primaire, le groupe restreint, le groupe secondaire, le groupe large).<br />
l Le groupe comme un processus : les étapes, sa progression :<br />
L’objectif est aussi de repérer et de se repérer en tant qu’animateur dans ces<br />
différentes étapes de la progression de la vie d’un groupe. Les six phases<br />
évolutives du groupe en tant que système (selon Mc Kenzie) : engagement,<br />
différenciation, individuation, transfert, réciprocité, résolution. La notion<br />
d’engagement dans la situation d’animation de groupe. L’ effort d’empathie et<br />
l’effort d’authenticité.<br />
l L’animation du groupe au quotidien. développer les techniques : la place de<br />
l’animateur :<br />
Les caractéristiques de l’animateur. (Gérer un système. Intervenir ou ne pas<br />
intervenir. Être directif ou non-directif. Adopter une position “«méta». Repérer<br />
les fonctions fondamentales qui émergent de l’activité d’un groupe et de son<br />
leader). Acquérir une méthodologie de la conduite et d’observation : les<br />
fonctions d’animateur de groupe.<br />
l Repérer ce qui rend difficile la communication entre les membres du groupe<br />
et soi-même dans le cadre d’animation de groupe :<br />
La notion de transfert, distance et communication. La territorialité, la proxémique.<br />
L’interaction. Un ensemble de règles, la déférence, la tenue, l’évitement...<br />
Identifier les barrières personnelles, affectives, physiques à la communication<br />
(verbale et non-verbale). Envisager la culture comme un filtre dans ma relation<br />
aux autres. Comprendre la demande pour faciliter l’expression <strong>des</strong> personnes.<br />
l Prendre conscience de ses propres représentations et émotions dans la<br />
situation d’animation de groupe.<br />
l Prendre une distance par rapport à l’émotivité et la réactivité dans <strong>des</strong><br />
situations professionnelles problématiques en tant qu’animateur de groupe.<br />
l Des éclairages théoriques de façon à alimenter la réflexion et la connaissance<br />
<strong>des</strong> acteurs sur <strong>des</strong> questions liées à leur quotidien professionnel.<br />
l Identifier et comprendre les types d’attitu<strong>des</strong> habituelles que les participants<br />
ont en situation d’animation de groupe.<br />
l Acquérir et mettre en place une méthode lors de l’entretien de groupe.<br />
Des jeux de rôle, ou exercices pour les phases d’identification, <strong>des</strong> travaux de<br />
groupes pour les phases de synthèses, <strong>des</strong> étu<strong>des</strong> de cas pour les phases<br />
d’appropriation.<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus.<br />
u Annick LAINÉ u Aphrodite MORALI u Annick LAINÉ u Aphrodite MORALI<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
q Dates : Du 24 au 25/03 - 16 au 17/06 - 29 au 30/09 - 01 au 02/12/11 q Dates : Du 18 au 21/10/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 8 jours<br />
Coût : 1568 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
40
Handicap - Gérontologie<br />
Service à la personne
L’impensable et le lien : Le paradigme du «polyhandicap»<br />
Q Q Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE<br />
q<br />
u<br />
CONTENU<br />
Ce cycle de formation peut être suivi dans sa totalité, mais aussi par modules séparés.<br />
Les professionnels du secteur social, médical et para médical : AMP, éducateurs,<br />
moniteurs, orthophonistes, kinésithérapeutes, infirmiers, médecins,<br />
psychologues...<br />
q<br />
Y a-t-il une spécificité du «polyhandicap» ? Pourquoi utilise-t-on ce terme<br />
pour désigner ce champ, même si l’appellation tend à se modifier ces dernières<br />
années, en utilisant par exemple : personnes en situation d’handicap ?<br />
Le handicap et ses représentations sociales, c’est une longue histoire que<br />
cette formation entend mettre en perspective.<br />
Tout d’abord pouvons-nous faire le constat qu’une <strong>des</strong> caractéristiques<br />
majeures de ces populations est la communication non verbale. Du coup<br />
se pose la question de l’interprétation de la part <strong>des</strong> professionnels qui<br />
accompagnent ces personnes. Comment interpréter les actes <strong>des</strong> personnes<br />
«sans dériver», sans aliéner l’autre ? Comment, aussi, accompagner dans<br />
les gestes «techniques» professionnels quotidiens (kinésithérapie, gestes<br />
médicaux, nursing,.. ), essentiels pour la personne handicapée et souvent<br />
prioritaires, et être dans le lien avec l’autre sous le signe du respect ?<br />
Ainsi, dans cette formation, les métho<strong>des</strong> d’intervention et d’observation<br />
seront réinterrogées. Nous poserons également <strong>des</strong> questions sur <strong>des</strong><br />
connaissances spécifiques et peut-être indispensables à avoir en tant que<br />
professionnel, notamment sur les notions et les échelles de douleur et de<br />
souffrance. Quelles postures peut-on, comme accompagnant, avoir face<br />
à ces singularités? Qu’est-ce que j’observe et comment étayer mon acte<br />
d’accompagnement? Et pouvons-nous observer le comportement d’un sujet ?<br />
Et de quelles manières ? L’interprétation est indispensable, mais à condition<br />
d’avoir le souci de ne pas vouloir faire du bien à tout prix et d’être critique, voire<br />
méfiant, vis-à-vis de toute interprétation hâtive que tout un chacun peut<br />
faire. Comment accompagner les professionnels dans cette difficile tâche de<br />
maintenir le lien, malgré une communication qui ne passe pas par la parole<br />
mais par la sensorialité ? Comment maintenir le désir de la rencontre, le désir<br />
du travail ? Et comment la famille, en tant que groupe, joue-t-elle un rôle dans<br />
la construction du soin ? Voici quelques questions que ce cycle de formation<br />
entend mettre en travail.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Il s’agit d’une formation interactive et participative :<br />
Articulation d’exposés, présentations d’enquêtes et étu<strong>des</strong> de documents.<br />
Partages de pratiques, travaux en groupes, étu<strong>des</strong> de cas et jeux de rôle.<br />
Exercices corporels et mises en place <strong>des</strong> exercices sur la base <strong>des</strong> émotions.<br />
q<br />
Les stagiaires auront à constituer un dossier de formation qui comportera à la<br />
fois un travail individuel et collectif. Ce dossier comportera :<br />
Les fiches de lecture à partir d’une liste d’ouvrages proposée.<br />
Un travail de synthèse et d’enquête.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Marie Jeanne VERCHERAT<br />
u Francine LORIN-BLASQUEZ<br />
u Martine GABRIEL<br />
u François Xavier FÉNEROL<br />
Contextualisation du champ du handicap :<br />
Approche sociohistorique et législative :<br />
l Les représentations sociales du handicap. L’impensable.<br />
l Les nouvelles lois qui régissent le secteur (la loi de 2005, scolarisation<br />
<strong>des</strong> enfants... ).<br />
l Les responsabilités <strong>des</strong> professionnels, les droits <strong>des</strong> usagers.<br />
l Un enjeu : l’accompagnement «à la carte» et le travail collectif.<br />
q Dates : Du 04 au 06/04/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
u Dominique SISTACH<br />
u Madeleine BADIOU<br />
u Françoise INFANTE<br />
INTER ou INTRA<br />
u<br />
CONTENU<br />
u<br />
u<br />
u<br />
Comment observer ?... en institution<br />
l Les différentes cultures professionnelles, le médical, l’éducatif, le<br />
pédagogique, le psychologique. Une coopération. Les procédures ontelles<br />
un sens ? Comment appréhender le diagnostic ? La question <strong>des</strong><br />
«grilles». Le quantitatif et le qualitatif.<br />
l Peut-on observer le comportement d’un sujet ?<br />
l L’importance du geste professionnel. (Ergonomie).<br />
l La douleur et ces échelles, approche d’éducation fonctionnelle.<br />
l Qu’est-ce qui est acquis et non acquis ? L’accompagnement à la<br />
régression, voire à la mort.<br />
q Dates : Du 14 au 17/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
La Question de la famille<br />
CONTENU<br />
l Le désir de la famille.<br />
l L’annonce du handicap.<br />
l Quelle place donner à la famille ?<br />
l Lien institution, famille, enfant.<br />
q Dates : Du 12 au 15/09/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
Soutenir le goût du travail et la rencontre avec<br />
l’autre<br />
CONTENU<br />
l Le corps humain : un corps fait humain par un discours, par une<br />
façon de le parler.<br />
l Le désir, par delà la violence initiale de la rencontre.<br />
l Des histoires, d’un côté, sans parole ?<br />
l La nécessaire fiction de l’échange : y mettre du sien, non sans<br />
perte pure.<br />
q Dates : Du 17 au 19/10/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
La communication non-verbale<br />
et le développement de la sensorialité<br />
CONTENU<br />
l L’importance du geste technique.<br />
l Le travail du corps.<br />
l L’ outil «musique». L’ outil «expression corporelle et théâtre».<br />
q Dates : Du 05 au 09/12/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
Coût total : 3722 e<br />
INTER ou INTRA<br />
INTER ou INTRA<br />
INTER ou INTRA<br />
INTER ou INTRA<br />
42<br />
www.afore-formation.com 42
Du Geste au signe,<br />
«Une communication signée»<br />
q<br />
Tout professionnel du secteur médico-social, en contact avec <strong>des</strong> personnes<br />
en situation de handicap mental ou de pluri-handicaps qui ont une parole et<br />
une communication déficientes.<br />
q<br />
Comment améliorer et/ou augmenter la communication <strong>des</strong> sujets s’exprimant<br />
peu ou ne parlant pas ? Quels moyens pouvons-nous mettre en place<br />
pour rendre une communication personnelle compréhensible et partageable<br />
par un plus grand nombre de personnes ?<br />
Bien <strong>des</strong> enfants, <strong>des</strong> jeunes et <strong>des</strong> adultes en situation de handicap sévère<br />
accèdent difficilement au langage oral, mais leur désir de communication<br />
est souvent bel et bien présent. Comment les encourager à exprimer leurs<br />
désirs, leurs sentiments, leurs besoins ?<br />
Un grand nombre de moyens augmentatifs de communication existe (pictogrammes,<br />
photos, pointage de mots, logiciel de communication et gestes...)<br />
Cette formation mettra l’accent sur les communications gestuelles comme<br />
moyens alternatif et/ou augmentatif de communication. Plus particulièrement,<br />
«La communication signée» qui propose de stimuler la communication<br />
et l’expression en soulignant ou en accentuant un mot clé par un geste codé<br />
(«un signe» emprunté à la langue <strong>des</strong> signes).<br />
q<br />
l Que faisons-nous quand nous communiquons ? Quels besoins remplit la<br />
communication ?<br />
l Que se passe-t-il avant le langage ? Du geste à la parole.<br />
l Les causes possibles de la déficience communicative et langagière.<br />
Les différentes compétences indispensables. Stimulation <strong>des</strong> habilités<br />
cognitives et langagières.<br />
l Les métho<strong>des</strong> alternatives et augmentatives de communication.<br />
Diverses métho<strong>des</strong>.<br />
l Les communications gestuelles et le handicap mental.<br />
l La langue <strong>des</strong> signes, une langue complexe.<br />
l La communication signée. Pourquoi ce nom? Les avantages éducatifs et<br />
les limites.<br />
q<br />
l Permettre aux intervenants de saisir l’importance <strong>des</strong> fonctions de la<br />
communication et de réaliser pleinement l’intérêt de compenser par les<br />
moyens appropriés les diverses formes de déficience du langage oral.<br />
q<br />
Allers retours entre <strong>des</strong> apports théoriques et <strong>des</strong> illustrations d’enfants<br />
stimulés par <strong>des</strong> moyens divers pour augmenter leur communication. Présentation<br />
vidéo d’un travail spécifique de «communication signée» mené<br />
avec deux adolescents. Prise en compte et intégration <strong>des</strong> expériences et<br />
vécus <strong>des</strong> participants. Monter un projet de communication signée dans son<br />
milieu professionnel.<br />
q<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de la formation (concepts acquis). Articulation<br />
avec l’exercice futur de sa profession (projet d’application personnelle dans son<br />
espace professionnel).<br />
q<br />
43<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
www.afore-formation.com<br />
handicap et culture<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Isabelle PIANARO-MALEZIEUX<br />
q<br />
Public<br />
Tout professionnel qui s’interroge sur la spécificité de la relation avec les<br />
personnes handicapées.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Nous proposons un stage court en complément ou pas de la formation<br />
«Connaître les personnes handicapées». Il s’agit d’un module où nous ouvrirons<br />
la réflexion sur la perception du handicap en fonction <strong>des</strong> critères culturels.<br />
Avec quel regard d’autres cultures voient-elles le handicap et qu’est ce qui<br />
conditionne notre propre regard sur cette question ? En utilisant le mot<br />
handicap nous avons tendance à oublier à la fois l’origine de ce mot, ses<br />
racines culturelles et les normes qui le définissent. L’acceptation d’une<br />
certaine normalité ne nous permet plus d’interroger le modèle qui la conçoit.<br />
Nous vous invitons à une réflexion qui permettra de visiter notre vision du<br />
handicap et peut être à interroger certaines de nos postures tout autant que<br />
celles <strong>des</strong> personnes handicapées.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Les identités personnelles et professionnelles à la rencontre <strong>des</strong> personnes<br />
handicapées : la construction <strong>des</strong> normes culturelles.<br />
l Les fondamentaux culturels :<br />
Identification <strong>des</strong> processus et <strong>des</strong> matrices qui façonnent nos réponses<br />
face au handicap.<br />
L’identité culturelle : processus d’appartenance et de structuration <strong>des</strong><br />
identités.<br />
Identité et processus de désocialisation : <strong>des</strong> sociétés communautaires<br />
aux sociétés individualistes, regard culturel sur la construction de l’identité.<br />
L’identification <strong>des</strong> violences symboliques et <strong>des</strong> menaces à l’identité<br />
personnelle et professionnelle : prise de conscience et repérage.<br />
l Les passerelles possibles : interroger les mo<strong>des</strong> opératoires mis en œuvre.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Interroger les co<strong>des</strong> culturels qui construisent la vision du handicap.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Pédagogie participative et interactive. Simulations, jeux de rôles collectifs<br />
pour les phases d’identification et d’appropriation. Analyse en sous-groupe,<br />
restitution et apports théoriques pour les phases de synthèse. Etude de cas<br />
<strong>des</strong> participants pour les phases d’appropriation.<br />
q<br />
Évaluation<br />
A l’issue de la formation les personnes seront capables de décoder en situation<br />
professionnelle les concepts suivants : violences, symboliques, menaces<br />
à l’identité, mécanismes de défense, dans le rapport aux personnes atteintes<br />
d’un handicap.<br />
u Christine BONNOT<br />
q Dates : Du 16 au 20/05/11 q Dates : Du 04 au 05/04/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 14 heures<br />
Coût : 388 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE
Q Q Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE<br />
Handicap(s), déficience(s), psychose(s)... :<br />
<strong>des</strong> catégories à la pratique<br />
q<br />
Tous travailleurs sociaux, ES, ME, EJE, AS, assistantes maternelles, animateurs,<br />
médiateurs culturels et sociaux, enseignants, psychologues.<br />
q<br />
Un même usager du secteur médico-social peut être qualifié de malade mental<br />
ou de psychotique, mais aussi, désormais, de handicapé - ou plus précisément<br />
de personne en situation de handicap, ou encore de handicapé mental,<br />
et maintenant de déficient, ou de déficient mental, sans évoquer l’apparition<br />
récente d’une nouvelle notion à examiner de près, celle de handicap psychique...<br />
Et les praticiens de se demander qui sont vraiment les résidents et de quoi<br />
sont-ils affectés ? Peuvent-ils avoir ou peuvent-ils être tout cela à la fois ?<br />
Cela change-t-il d’ailleurs quelque chose dans et/ou pour les pratiques<br />
relationnelles elles-mêmes ? Et comment le savoir ?<br />
Ainsi, pour nous orienter dans cette profusion de termes et dans leurs effets<br />
dans les institutions et dans les pratiques, nous prendrons appui sur deux<br />
séries de réflexion.<br />
Nous nous demanderons d’abord ce qu’est une catégorie ou un concept, en<br />
particulier dans le secteur médico-social, et en quoi il se différencierait d’un<br />
mot commun. Nous verrons alors comment, pour identifier ce que désigne<br />
une catégorie ou un concept, il faut d’abord en faire l’histoire, c’est-à-dire<br />
repérer à quoi il s’est intéressé et ce qu’il a tenté de problématiser, mais<br />
aussi qui s’y est intéressé et dans quels buts, au moment de sa fabrication<br />
puis tout au long de son existence. Pour cela, et à titre de modèle, nous<br />
examinerons le couple conceptuel normal / pathologique.<br />
Nous nous demanderons ensuite quels usages pragmatiques faire de telle ou<br />
telle catégorie - maladie mentale, psychose, déficience, ... - en fonction de ce<br />
qui est visé : un repérage clinique dans une rencontre ; l’évaluation politique<br />
d’un désavantage social ; la mesure scientifique d’un écart à une norme de<br />
santé... Nous essayerons ainsi de défricher les champs de pertinence <strong>des</strong><br />
catégories de maladie mentale mais surtout de psychose, de handicap au<br />
sens large, de déficience et de handicap dit psychique.<br />
q<br />
l Approche anthropologique, historique et clinique <strong>des</strong> concepts de normal et<br />
de pathologique, et du concept de handicap.<br />
l Réflexion(s) sur les usages et les enjeux du concept de handicap à partir de<br />
situations professionnelles concrètes.<br />
l Théorisation <strong>des</strong> pratiques à l’aide <strong>des</strong> concepts de handicap, de comportement<br />
et de sujet.<br />
q<br />
l Comprendre les enjeux sociaux, politiques et cliniques de la formation et de la<br />
diffusion <strong>des</strong> concepts du pathologique et de celui de handicap en particulier,<br />
et ouvrir à une réflexion plus générale sur les conceptions et les pratiques du<br />
symptôme.<br />
l Elaborer et conceptualiser les pratiques professionnelles à partir du concept<br />
de handicap et en référence à d’autres concepts.<br />
q<br />
Conférence et enseignements conceptuels. Travail à partir de récits de situations<br />
de pratique(s) professionnelle(s) par les professionnels eux-mêmes,<br />
élaboration et conceptualisation à partir de ces récits. Discussion et analyse<br />
collective <strong>des</strong> rapports entre pratique(s) et théorie(s), entre acte(s) et<br />
concept(s).<br />
q<br />
Bilan individuel et groupal à partir d’une synthèse <strong>des</strong> apports et d’une<br />
réflexion sur la trajectoire de formation parcourue.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenant cf p.2<br />
u Stéphane PAWLOFF<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
La loi 2005 sur les droits <strong>des</strong> personnes<br />
handicapéEs<br />
q<br />
Public<br />
Managers et acteurs du secteur social et éducatif (personnels d’encadrement<br />
et travailleurs sociaux, personnels de l’éducation nationale et <strong>des</strong><br />
collectivités territoriales) confrontés dans leurs pratiques à <strong>des</strong> problématiques<br />
d’interprétation et d’application <strong>des</strong> textes juridiques.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
La loi de 2005 portant sur les droits <strong>des</strong> personnes handicapés constitue un<br />
achèvement et paradoxalement, une introduction à la complexité juridique<br />
en ce domaine. La loi achève l’indétermination statutaire d’un public<br />
«invisibilisé » socialement et par ailleurs, elle achève par voie de conséquences<br />
l’indéterminisme statutaire <strong>des</strong> personnes handicapées. Cependant, si<br />
désormais le handicap vient constituer l’un <strong>des</strong> pivots de l’action sociale,<br />
confirmant le principe que la protection sociale largement décroissante pour<br />
l’usager commun se renforce par effet de compression sur les publics spécifiés,<br />
elle n’ouvre pas pour autant une clarté d’action administrative pour le<br />
traitement d’un public hétérogène. Si la loi définit le handicap par une atteinte<br />
de la personne, importante et durable, dans l’une ou l’autre de ses capacités<br />
humaines essentielles, elle ne lève pas pour autant l’impératif de définition du<br />
handicap par son espace, soit par les conditions environnementales du handicap.<br />
Si le texte semble clair, il n’en demeure pas moins déséquilibré par son<br />
dualisme théorique, pratique et idéologique. Même si cet équivoque semble<br />
avoir été déterminé par la recherche d’un consensus complexe, elle reste<br />
imprécise dans certains de ses contours, et surtout semble abandonner<br />
la prise en charge de certaines victimes (certains handicaps mentaux et les<br />
victimes de dépendance notamment). La principale innovation de la loi est la<br />
création d’un droit à compensation qui doit permettre de compléter les autres<br />
prestations sociales pour couvrir réellement l’ensemble <strong>des</strong> besoins de la<br />
personne handicapée. La difficulté, porte ici, et c’est un nouveau paradoxe,<br />
sur les traitements inégaux qu’elle impose. Déjà rien ne lève les ambiguïtés<br />
de la départementalisation <strong>des</strong> actions, qui on le constate imposent <strong>des</strong><br />
traitements différenciés selon les territoires. La solidarité territoriale<br />
républicaine s’effaçant progressivement, ce phénomène n’est pas plus fort,<br />
mais simplement plus visible. Mais surtout, dans le fond, la prise en charge<br />
se faisant sous le double impératif de la nature du handicap et <strong>des</strong> conditions<br />
socioéconomiques de la victime, les différences de traitement sont<br />
par essence le sens même de la réforme. Car pour l’essentiel, les prestations<br />
traditionnelles aux personnes handicapées sont simplement reconduites<br />
ou dénominalisées. Au final, le domaine spécifique, mais central concerne<br />
l’application de la loi aux enfants et adolescents handicapés.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Intégrer la complexité du droit pour mieux comprendre les résolutions juridiques<br />
contemporaines qui n’apparaissent pas rationnellement à l’entendement.<br />
Intégrer la capacité d’analyse <strong>des</strong> usages du droit : trouver les niveaux<br />
d’applicabilité de la règle ; faire la part <strong>des</strong> choses entre l’impératif d’application<br />
et la souplesse d’appréciation.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Développement <strong>des</strong> thèmes généraux abordés sous la forme de deman<strong>des</strong><br />
formulées par les stagiaires, de manière à les impliquer individuellement et<br />
ainsi à les sensibiliser à la connaissance à intégrer comme mode opératoire ;<br />
mise en contexte historique et sociologique <strong>des</strong> in<strong>formations</strong> fournies ;<br />
présentation <strong>des</strong> problématiques principales sous forme de contextualisation<br />
précise, non tant par le principe <strong>des</strong> exemples, que par l’énonciation de mise<br />
en situation que les acteurs sociaux perçoivent mieux et au final, échangent<br />
entre eux, selon le principe de l’autoformation. Dans le fond, l’assimilation du<br />
texte doit permettre de réutiliser toutes les potentialités sociales du texte<br />
juridique et ainsi, de transformer les outils inertes du droit en objets et en<br />
objectifs sociaux. Matériel pédagogique : polycopié complet de la formation.<br />
Suivi pédagogique : le formateur fournit son adresse mail pour correspondre<br />
avec les stagiaires sur le suivi de l’action de formation in situ.<br />
q<br />
Évaluation<br />
L’évaluation correspond à un processus de travail permanent durant la formation<br />
: la participation et la réponse du public, tant en termes de compréhension<br />
que d’analyses ; également, les interrogations et leurs pertinences permettent<br />
de mesurer constamment le niveau continu de compréhension ; enfin, au-delà<br />
<strong>des</strong> échanges avec le formateur, le comportement collectif et individuel <strong>des</strong><br />
auditeurs constituent une ressource d’in<strong>formations</strong>, d’acceptation, d’hésitation<br />
ou de rejet de la formation.<br />
q<br />
Intervenant cf p.2<br />
u Dominique SISTACH<br />
q Dates : Du 28 au 30/09/11 q Dates : Du 07 au 09/02/11<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com 44
La maltraitance Des personnes<br />
handicapées, un sujet tabou<br />
q<br />
Tout professionnel intervenant dans le secteur du handicap et médico-social.<br />
q<br />
Comme le reste de la population, les personnes handicapées, elles aussi<br />
bénéficient d’une forte augmentation de leur espérance de vie. En 1930 cette<br />
espérance était de 20 ans environ pour tout handicap 10 ans environ pour les<br />
personnes trisomiques. Actuellement : 70 ans pour tout handicap 50 ans pour<br />
les personnes trisomiques. «Une personne handicapée vieillissante est une<br />
personne qui a entamé ou connu sa situation de handicap (quelle qu’en soit<br />
la nature ou la cause) avant que de connaître les effets d’un vieillissement. La<br />
situation de handicap a donc précédé le vieillissement». Dr Bernard AZEMA.<br />
Source les personnes handicapées vieillissantes : espérances de vie et de<br />
santé ; qualité de vie : Une revue de la littérature. Aujourd’hui la plupart <strong>des</strong><br />
professionnels acceptent d’aborder la question <strong>des</strong> bonnes pratiques afin de<br />
prévenir <strong>des</strong> comportements inadaptés ou maltraitants et cette question est<br />
bien souvent intégrée dans l’analyse du fonctionnement interne et résulte<br />
d’une démarche active de formation à la bientraitance. Toutefois, il convient de<br />
se pencher sur le sens du mot bientraitance quand souvent la vieillesse, et/ou<br />
le handicap sont synonymes de déchéance et de maladie d’Alzheimer. Sans<br />
doute faut-il s’interroger sur les principes et les valeurs humaines qui soustendent<br />
le travail en gérontologie, en gériatrie ou dans le secteur du handicap.<br />
Les professionnels sont eux aussi parfois démunis, l’organisation du travail<br />
ne leur permet pas toujours d’envisager leur action de manière empathique.<br />
Il s’agit donc, d’aider les professionnels à envisager et à mettre en œuvre un<br />
nouvel équilibre dans leurs relations avec les personnes handicapée quelques<br />
soit leur dépendance, dans le respect et la bienveillance de soi, de l’autre et<br />
d’adopter une attitude authentique d’empathie.<br />
q<br />
l Concept et définition, pré requis, culture du respect :<br />
identifier les valeurs qui sous tendent l’action <strong>des</strong> professionnels, repérer les<br />
situations de maltraitance au regard <strong>des</strong> recommandations de l’ANESM,<br />
l’organisation du travail, et l’esprit d’équipe comme outil de prévention à la<br />
maltraitance...<br />
l Repérer la réalité de la maltraitance <strong>des</strong> personnes handicapées :<br />
l’absence de considération <strong>des</strong> personnes handicapées, «victimes de<br />
l’intolérance sociale», l’impact <strong>des</strong> représentations erronées, engendrant<br />
la peur, le rejet, la mise à l’écart.<br />
l A quel moment peut-on parler de maltraitance ? Profils de maltraités/<br />
maltraitant : complexité <strong>des</strong> liens entre handicap et maltraitance : lequel<br />
<strong>des</strong> deux entraîne l’autre ? repérage de divers indicateurs (institutionnels,<br />
organisationnels, individuels, familial...<br />
l La prise en compte <strong>des</strong> liens familiaux :<br />
la personne handicapée dans les relations avec la famille, la place de la famille<br />
dans l’accompagnement <strong>des</strong> soins.<br />
l Pour mieux communiquer être à l’écoute <strong>des</strong> émotions :<br />
repérer les différentes émotions, soigner la relation par les outils de la communication<br />
non.<br />
q<br />
l Cette formation s’attache à aider les professionnels à prendre en compte<br />
l’environnement <strong>des</strong> personnes dépendantes et à construire de nouvelles<br />
relations basées sur l’expression <strong>des</strong> émotions avec les personnes accueillies<br />
ou aidées pour leur donner une place de partenaire dans l’accompagnement<br />
afin de leur offrir <strong>des</strong> conditions de vie en accord avec leurs besoins et leurs<br />
attentes. Réfléchir sur la mise en application <strong>des</strong> notions de respect, droit,<br />
dignité, comprendre les concepts de bientraitance, bienveillance, compassion,<br />
reconnaître les différentes formes de maltraitances, identifier et prévenir les<br />
situations à risques, acquérir <strong>des</strong> attitu<strong>des</strong> individuelles et collectives de «bientraitance»,<br />
comprendre l’importance <strong>des</strong> émotions dans la relation d’aide.<br />
q<br />
L’expérience professionnelle et ses mises en situation sont valorisées en complémentarité<br />
d’apports théoriques d’analyse <strong>des</strong> pratiques ou d’étu<strong>des</strong> de cas à<br />
partir de documents, de DVD et d’ouvrages «C.Rogers, P. Fustier, Guy Tardieu...<br />
q<br />
Une première évaluation individuelle est réalisée à la fin du stage, celle-ci permet<br />
de mesurer la satisfaction de chaque stagiaire à l’égard de la formation. A partir<br />
d’une situation concrète, chaque participant est invité à repérer les éléments de<br />
maltraitance et à formuler <strong>des</strong> éléments de bonnes pratiques.<br />
q<br />
u Marie Jeanne VERCHERAT<br />
45<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2<br />
q Dates : Du 21 au 25/03/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
Comprendre et accompagner<br />
les personnes âgées souffrant de maladie<br />
d’Alzheimer et apparentées<br />
q<br />
l Les différentes démences ou syndrome cognitivo-mnésique :<br />
- La maladie d’Alzheimer.<br />
- Les démences dites «apparentées».<br />
l Connaître et comprendre les troubles :<br />
- Les troubles neurologiques.<br />
- Les troubles cognitifs.<br />
- Les troubles du comportement.<br />
l Les spécificités de l’intervention au domicile (si nécessaire).<br />
l Les aidants naturels :<br />
- spécificités de la famille (ébauche d’analyse systémique).<br />
l L’ accompagnement adapté :<br />
- Évaluation <strong>des</strong> capacités de la personne.<br />
- Évaluation de ses besoins, de ses désirs.<br />
- Évaluation <strong>des</strong> pertes de la personne.<br />
l Les outils d’accompagnement<br />
- Élaboration du projet de soins adapté aux résultats d’évaluation.<br />
- Le repas, recherche d’équilibres (nourriture, plaisir, rythme, refus...).<br />
- Plan de soins et projet de vie, démarche relationnelle dans le soin.<br />
- Recueil de l’histoire de vie de chaque patient et la recherche <strong>des</strong> causes <strong>des</strong><br />
comportements perturbés.<br />
- Place et rôle de chacun : patient, famille, soignants, bénévoles.<br />
- L’importance <strong>des</strong> transmissions pluridisciplinaires.<br />
- Lutte contre les a prioris, les attitu<strong>des</strong> <strong>des</strong> accompagnants.<br />
- Les modifications de l’environnement.<br />
- Les précautions.<br />
l L’animation-stimulation dans tous les actes de la vie quotidienne<br />
Les spécificités de l’animation avec <strong>des</strong> personnes atteintes de pathologies<br />
démentielles.<br />
Les bases d’un projet d’animation personnalisé : évaluation <strong>des</strong> capacités<br />
résiduelles <strong>des</strong> résidents, l’histoire de vie et les outils de recueil de données.<br />
Apports sur les différents types d’activités en fonction <strong>des</strong> sta<strong>des</strong> d’évolution<br />
de la maladie : physiques, d’expression et de communication, cognitives,<br />
spirituelles, d’arts plastiques, socioculturelles et domestiques.<br />
La conduite d’une activité : les conditions de réussite, l’animation du groupe,<br />
la gestion <strong>des</strong> difficultés.<br />
q<br />
l Actualiser les connaissances acquises sur cette maladie.<br />
Mieux comprendre le psychisme de la personne.<br />
Adapter les attitu<strong>des</strong> et la prise en charge en soins au quotidien.<br />
Favoriser le maintien de l’autonomie.<br />
Rechercher à identifier les besoins et désirs de chaque personne accompagnée.<br />
Élaborer un projet d’accompagnement quotidien individualisé (soins,<br />
animations) avec la personne, son entourage et les intervenants.<br />
Intégrer l’animation-stimulation adaptée à tous les moments de la vie<br />
quotidienne du patient.<br />
Découvrir <strong>des</strong> outils et <strong>des</strong> techniques d’animation et <strong>des</strong> ateliers adaptés.<br />
q<br />
Données théoriques. Réflexions et échanges entre les stagiaires. Étu<strong>des</strong> de<br />
cas. Diaporama - Film vidéo.<br />
q<br />
Contenu<br />
La synthèse de la formation sera réalisée par chaque participant par l’élaboration<br />
d’un outil tentant de résoudre une situation embarrassante dont il aura<br />
été témoin dans son travail, ou par l’élaboration d’une fiche animation incluant<br />
toutes les notions acquises au cours du stage.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Elisabeth LAURENT<br />
q Dates : Du 05 au 07/09/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE
Campus numérique Domosia.<br />
Q Q Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE<br />
La formation Domosia est conçue pour <strong>des</strong> structures employeuses d’ai<strong>des</strong> à domicile déterminées à agir pour<br />
la professionnalisation de leurs personnels.<br />
Prévention <strong>des</strong> risques professionnels à domicile. Formation à distance avec journées de rassemblement.<br />
q<br />
Personnels de l’aide à domicile. Travaillant en petits groupes, ces personnels<br />
oeuvrent ensemble à la mise en place de nouvelles pratiques de prévention.<br />
q<br />
q<br />
Contenu<br />
12 séquences de 2 heures de formation à distance :<br />
l Module 1 - Risques physiques.<br />
l Module 2 - Risques infectieux et chimique.<br />
l Module 3 - Risques liés au stress et vieillissement.<br />
l Module 4 - Risques liés au stress et maladies du vieillissement, handicap.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Les ai<strong>des</strong> à domicile sont soumises à un certain nombre de risques identifiés<br />
par <strong>des</strong> étu<strong>des</strong> :<br />
- Les risques liés à l’organisation du travail comme le risque lié à la conduite,<br />
aux rythmes irréguliers de travail, lié à l’isolement <strong>des</strong> intervenantes.<br />
- Les risques physiques liés à l’organisation du domicile et à la manutention<br />
<strong>des</strong> personnes ajoutés aux risques de chute, risques électriques, risques<br />
chimiques liés aux produits d’entretien utilisés et aux risques biologiques et<br />
infectieux<br />
- Les risques liés à la charge mentale et émotionnelle en raison de la confrontation<br />
à la souffrance, aux maladies, aux handicaps, à la solitude et à la fin de<br />
vie <strong>des</strong> personnes aidées.<br />
L’obligation est faite à l’employeur d’identifier les risques liés à la profession<br />
et de mettre en place les conditions de la prévention.<br />
Pré-requis :<br />
Un ordinateur connecté à internet, une pratique courante<br />
de la souris, une salle calme dédiée pour le temps de la<br />
séance de formation.<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Marie Carmen HURARD<br />
q Dates : Mars <strong>2011</strong> à Décembre <strong>2011</strong><br />
Lieu : au sein de l’établissement, en petits groupes +<br />
journées de rassemblement au plus près <strong>des</strong> structures<br />
inscrites.<br />
Durée : 26 heures pour les participants au groupe<br />
et 77 heures pour les correspondantes.<br />
Coût : pour le groupe :<br />
1 correspondante et 3 stagiaires : 2.500 TTC e<br />
1 correspondant et 4 stagiaires : 2.800 TTC e<br />
12 correspondantes et 36 stagiaires : 18.720 TTC e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Objectif<br />
l Identifier les différents types de risques professionnels encourus.<br />
l Mettre en commun les pratiques <strong>des</strong> unes et <strong>des</strong> autres et décrire les<br />
améliorations possibles.<br />
l Elaborer une banque de bonnes pratiques de prévention <strong>des</strong> risques<br />
professionnels.<br />
q<br />
La formation se déroule en partie à distance au sein de chaque structure :<br />
elle est suivie en groupe coordonné par une personne désignée comme la<br />
«correspondante de la formation» devant l’écran d’ordinateur, et en partie en<br />
présentiel lors de journées de regroupement <strong>des</strong> correspondantes.<br />
La correspondante bénéficie du tutorat par un formateur tout au long de la<br />
formation à distance.<br />
La formation est basée sur l’analyse <strong>des</strong> pratiques de chacune et l’élaboration<br />
de bonnes pratiques de prévention.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
A la fin de chaque module, un questionnaire permet une évaluation individuelle<br />
<strong>des</strong> connaissances acquises. Il est disponible en ligne<br />
L’attestation de formation précise, si le stagiaire a satisfait aux évaluations de<br />
connaissances.<br />
q Dates : Septembre <strong>2011</strong> à Juin 2012 à raison d’une séance<br />
de 2h par quinzaine (hors congés scolaires).<br />
Lieu : au sein de l’établissement, en petits groupes +<br />
journées de rassemblement au plus près <strong>des</strong> structures<br />
inscrites.<br />
Durée : 26 heures pour les participants au groupe<br />
et 77 heures pour les correspondantes.<br />
Coût : pour le groupe :<br />
1 correspondante et 3 stagiaires : 2.500 TTC e<br />
1 correspondant et 4 stagiaires : 2.800 TTC e<br />
12 correspondantes et 36 stagiaires : 18.720 TTC e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com 46
Campus numérique Hygienosia.<br />
Prévention du risque infectieux en établissement<br />
EHPAD et Maison d’Accueil Spécialisée<br />
Formation à distance avec journées de rassemblement<br />
Campus numérique Hygienosia.<br />
Prévention du risque infectieux associé<br />
aux soins à domicile<br />
Formation à distance avec journée de rassemblement.<br />
CLINIQUE<br />
q<br />
Personnels soignants et personnels de l’entretien de l’environnement et<br />
personnel hôtelier contribuant au maintien de l’hygiène dans la structure.<br />
Travaillant en petits groupes, ces personnels oeuvrent ensemble à la mise en<br />
place de la politique d’hygiène de l’établissement.<br />
q<br />
q<br />
10 séquences de 2 heures de formation à distance :<br />
l État <strong>des</strong> lieux, tenue vestimentaire, hygiène <strong>des</strong> mains, micro-organismes<br />
et risque infectieux, applications aux soins (toilette, soins urinaires),<br />
l Applications aux soins (pansements, chambres implantables), gestion du<br />
linge et <strong>des</strong> déchets, entretien de la chambre et du matériel, précautions<br />
complémentaires, risque professionnel, hygiène <strong>des</strong> repas.<br />
q<br />
l Connaître et appliquer les précautions standard et les précautions complémentaires<br />
d’hygiène.<br />
l Prendre en charge un résident infecté et éviter l’épidémie.<br />
l Reconnaître une situation de risque infectieux et prendre les bonnes<br />
décisions.<br />
l Adopter une attitude de prévention adaptée à la situation.<br />
q<br />
La formation se déroule en partie à distance au sein de chaque structure :<br />
elle est suivie en groupe coordonné par une personne désignée comme la<br />
«correspondante de la formation» devant l’écran d’ordinateur, et en partie en<br />
présentiel lors de journées de regroupement <strong>des</strong> correspondantes.<br />
La correspondante bénéficie du tutorat par un formateur tout au long de la<br />
formation à distance.<br />
La formation est basée sur l’analyse <strong>des</strong> pratiques de l’équipe et l’élaboration<br />
de procédures d’hygiène.<br />
q<br />
Deux questionnaires disponibles en ligne, l’un au début et l’autre à la fin,<br />
permettent une évaluation individuelle <strong>des</strong> connaissances acquises.<br />
L’attestation de formation précise si le stagiaire a satisfait aux évaluations<br />
de connaissances.<br />
q<br />
47<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
En 2008, l’étude de l’Observatoire du risque infectieux en gériatrie (ORIG)<br />
constate que les maladies infectieuses constituent un problème majeur dans<br />
les institutions gériatriques et avance le chiffre de 9,86% de prévalence <strong>des</strong><br />
infections associées aux soins. Ces structures hébergent, dans un espace<br />
collectif <strong>des</strong> personnes particulièrement susceptibles aux infections.<br />
Le programme de formation Hygienosia permet la mise en œuvre d’une<br />
politique d’hygiène globale spécifiquement adaptée aux établissements<br />
médico-sociaux EHPAD ou MAS.<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Pré-requis :<br />
Un ordinateur connecté à internet, une pratique courante<br />
de la souris, une salle calme dédiée pour le temps de la<br />
séance de formation.<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Marie Carmen HURARD<br />
q Dates : Mars <strong>2011</strong> à Décembre <strong>2011</strong> à raison d’une séance<br />
de 2h par quinzaine.<br />
Lieu : au sein de l’établissement, en petits groupes +<br />
journées de rassemblement au plus près <strong>des</strong> structures<br />
inscrites.<br />
Durée : 22 heures pour les participants au groupe<br />
et 63 heures pour les correspondantes.<br />
Coût : pour le groupe :<br />
1 correspondante et 2 stagiaires : 1.900 TTC e<br />
1 correspondante et 43 stagiaires : 2.200 TTC e<br />
1 correspondant et 4 stagiaires : 2.500 TTC e<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
IDE et ai<strong>des</strong>-soignantes exerçant à domicile. La formation est suivie en petits<br />
groupes, ce qui permet d’élaborer collectivement de nouvelles pratiques et<br />
mettre en place une politique d’hygiène globale au sein du SSIAD.<br />
q<br />
Le Ministère de la Santé a redéfini les «infections nosocomiales». Elles sont<br />
devenues «infections associées aux soins». Le risque infectieux est en effet<br />
présent lors de tous les soins quel que soit le lieu où ils sont prodigués.<br />
Les IDE et AS qui interviennent à domicile doivent connaître et appliquer<br />
rigoureusement les règles d’hygiène pour ne pas contaminer le patient<br />
mais aussi pour se protéger elles-mêmes et leur famille du risque infectieux<br />
professionnel. Le programme de formation Hygienosia permet la mise en<br />
œuvre d’une politique d’hygiène globale spécifiquement adaptée aux établissements<br />
médico-sociaux EHPAD ou MAS.<br />
q<br />
Contenu<br />
10 séquences de 2 heures de formation à distance<br />
l État <strong>des</strong> lieux, tenue vestimentaire, hygiène <strong>des</strong> mains, micro-organismes<br />
et risque infectieux, applications aux soins (toilette, soins urinaires),<br />
l Applications aux soins (pansement, chambres implantables), gestion <strong>des</strong><br />
déchets, entretien du matériel, précautions complémentaires, risque<br />
professionnel.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Connaître et appliquer les précautions standard et les précautions complémentaires<br />
d’hygiène.<br />
l Prendre en charge un résident infecté et éviter l’épidémie.<br />
l Reconnaître une situation de risque infectieux et prendre les bonnes<br />
décisions.<br />
l Adopter une attitude de prévention adaptée à la situation.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
La formation se déroule en partie à distance au sein de chaque SSIAD :<br />
elle est suivie en groupe coordonné par une personne désignée comme la<br />
«correspondante de la formation» devant l’écran d’ordinateur, et en partie en<br />
présentiel lors de journées de regroupement <strong>des</strong> correspondantes.<br />
La correspondante bénéficie du tutorat par un formateur tout au long de la<br />
formation à distance.<br />
La formation est basée sur l’analyse <strong>des</strong> pratiques de l’équipe et l’élaboration<br />
de procédures d’hygiène.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Évaluation<br />
Deux questionnaires disponibles en ligne, l’un au début et l’autre à la fin, permettent<br />
une évaluation individuelle <strong>des</strong> connaissances acquises.<br />
L’attestation de formation précise si le stagiaire a satisfait aux évaluations<br />
de connaissances.<br />
Pré-requis :<br />
Un ordinateur connecté à internet, une pratique courante<br />
de la souris, une salle calme dédiée pour le temps de la<br />
séance de formation.<br />
u Marie Carmen HURARD<br />
q Dates : Mars <strong>2011</strong> à Décembre <strong>2011</strong> à raison d’une séance<br />
de 2h par quinzaine.<br />
Lieu : au sein de l’établissement, en petits groupes +<br />
journées de rassemblement au plus près <strong>des</strong> structures<br />
inscrites.<br />
Durée : 22 heures pour les participants au groupe<br />
et 63 heures pour les correspondantes.<br />
Coût : pour le groupe :<br />
1 correspondante et 1 stagiaire : 1.600 TTC e<br />
1 correspondante et 2 stagiaires : 1.900 TTC e<br />
1 correspondante et 3 stagiaires : 2.200 TTC e<br />
1 correspondant et 4 stagiaires : 2.500 TTC e<br />
INTER ou INTRA<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE
Q Q Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE<br />
L’HOSPITALISATION A DOMICILE<br />
q<br />
L’offre de soins à domicile est en pleine expansion. L’Hospitalisation A Domicile<br />
(HAD), interface Hôpital-ville, répond déjà en partie aux besoins de prise en<br />
charge, à leur domicile, <strong>des</strong> patients présentant une pathologie aigüe et grave<br />
nécessitant <strong>des</strong> soins techniques ou lourds.<br />
En lui donnant la possibilité d’intervenir dans les structures telles que les<br />
EHPAD, les ESAT, les SSIAD, la loi HPST incite les structures HAD à s’ouvrir sur<br />
d’autres cultures, à les côtoyer au quotidien.<br />
La nécessité d’un langage commun entre professionnels s’impose, qui<br />
reconnaisse et respecte les compétences de chacun, pour la meilleure prise en<br />
charge du patient. Les différents partenaires ont besoin d’être accompagnés<br />
dans cette dynamique.<br />
q<br />
l Les apports de la loi HPST en relation avec les unités HAD :<br />
L’HAD, une hospitalisation classique. L’accueil possible <strong>des</strong> internes en<br />
médecine. L’appellation HAD «protégée».<br />
Les Agences Régionales de Santé :<br />
- Le décloisonnement hôpital/champ ambulatoire/champ médico-social.<br />
- La coordination entre les différents dispositifs de santé libéraux et les<br />
HAD du même territoire de santé.<br />
L’assouplissement du circuit du médicament. Les relations HAD/CPAM -<br />
obligation de contractualiser avec <strong>des</strong> établissements exerçant une activité<br />
de soins au domicile. L’assouplissement <strong>des</strong> rémunérations <strong>des</strong> professionnels<br />
libéraux.<br />
l Les différents secteurs sanitaires <strong>des</strong> HAD :<br />
Public, privé d’intérêt collectif, privé à but non lucratif, privé à but lucratif.<br />
l Les lieux d’exercice :<br />
Le domicile, sa symbolique, les proches, les professionnels habituels...<br />
Les «autres» domiciles : définition, mission, publics accueillis : EHPAD<br />
(depuis 2007), structures pour enfants ou adultes handicapés, établissements<br />
assurant une activité de soins à domicile : SSAD, SSIAD...<br />
l Les points communs, appuis entre professionnels.<br />
l Rappel du rôle de l’HAD, de ses règles propres, de son positionnement dans<br />
chaque situation.<br />
l Les conditions de la réussite en HAD.<br />
l La communication :<br />
Règles habituelles de la communication. Partage <strong>des</strong> in<strong>formations</strong> entre<br />
professionnels de secteurs différents. Connaissance de l’utilisation <strong>des</strong><br />
outils de communication. Informatisation et traçabilité, sécurisation,<br />
confidentialité. Enjeux de la télésanté.<br />
q<br />
l Connaître l’H.A.D., l’EHPAD, le SSIAD, l’ESAT et les situer dans l’offre sanitaire<br />
décrite dans la loi HPST.<br />
l Comprendre les enjeux <strong>des</strong> partenariats sanitaire/social.<br />
l Établir <strong>des</strong> contacts, créer <strong>des</strong> liens de coopération entre interlocuteurs du<br />
territoire.<br />
l Adapter les stratégies et pratiques à ces partenariats.<br />
l Les mettre à profit pour le mieux être du patient pris en charge dans son<br />
environnement habituel.<br />
q<br />
Exposés, diaporamas. Étu<strong>des</strong> de cas, individuelles ou équipes, restituées en<br />
collectif. Échanges entre participants.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Un exercice écrit de synthèse <strong>des</strong> contenus acquis sera demandé à chaque<br />
participant, qui se positionnera dans son réel rôle professionnel au sein du<br />
dispositif de prise en charge d’un patient en HAD.<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Élisabeth LAURENT<br />
q Dates : Du 07 au 08/11/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 14 heures<br />
Coût : 388 e<br />
INTER ou INTRA<br />
FORMATION A L’ACCOMPAGNEMENT<br />
DE FIN DE VIE<br />
q<br />
Argumentaire<br />
La loi de 2002 a renvoyé les professionnels de la santé et du travail social<br />
au droit fondamental du patient ou du résident en établissement du secteur<br />
sanitaire et social, pris en compte dès le moment de l’accueil par une prise<br />
en charge négociée, adaptée et continue. Comme tout moment de la vie du<br />
résident ou du patient, la fin de vie en institution relève d’un accompagnement<br />
spécifique mobilisant les équipes dans une dimension humaine et<br />
organisationnelle particulière. C’est le sens de cet accompagnement qu’il<br />
convient de clarifier avec les équipes, la démarche à mettre en œuvre, la<br />
relation à établir avec la personne en fin de vie et son entourage, la capacité<br />
à gérer cette étape ultime avec le résident ou le patient et sa famille pour<br />
permettre l’apaisement et la sérénité nécessaires à la personne en fin de vie<br />
comme aux aidants.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Identifier les problématiques du personnel en situation d’accompagnement<br />
de la personne âgée en fin de vie. Gérer ses émotions.<br />
l Identification <strong>des</strong> problématiques de la famille face à l’accompagnement de<br />
fin de vie. La place de la famille dans l’institution.<br />
l Approche culturelle de la fin de vie. Approche historique. Les deuils au long<br />
de la vie. Les attitu<strong>des</strong> par rapport à la mort.<br />
l Le cadre règlementaire, les textes et chartes.<br />
l Les rôles dans l’équipe pluri-disciplinaire et l’organisation.<br />
l Les sta<strong>des</strong> de la fin de vie. Identifier et comprendre les étapes de la fin de<br />
vie. Les trois modèles du processus de deuil ou <strong>des</strong> sta<strong>des</strong> du mourir<br />
(Bowlby, Monbourquette et Kübler - Ross).<br />
l Savoir écouter et observer. Les besoins de la personne âgée en fin de vie.<br />
Ses relations à l’environnement humain et matériel : les mécanismes de<br />
défense. Comprendre les attitu<strong>des</strong> <strong>des</strong> personnes âgées.<br />
l Les modalités de communication et d’intervention favorables à un accompagnement<br />
adapté au besoin de la personne âgée en fin de vie en institution.<br />
La personne âgée en fin de vie en institution et sa famille.<br />
l La relation d’aide pour accompagner une personne en fin de vie : définition,<br />
finalité et fonctionnement.<br />
l L’entretien d’aide : présentation. Les mo<strong>des</strong> de communication (verbal et<br />
non verbal), l’importance de la communication non-verbale, les approches<br />
privilégiées à développer et à adapter (le toucher, l’odorat,..).<br />
l La reformulation comme technique de base dans la relation d’aide. Intégrer<br />
et situer l’utilisation <strong>des</strong> techniques dans les divers mo<strong>des</strong> d’échanges de<br />
l’entretien d’aide. Identifier et comprendre les effets régulateurs de l’accompagnement<br />
de la fin de vie et du décès, comment anticiper pour mieux gérer<br />
les crises, les facteurs de stress, les phénomènes d’épuisement et<br />
comment y faire face.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Acquérir les connaissances et les compétences techniques et comportementales<br />
pour accompagner la personne âgée en fin de vie et sa famille<br />
dans le cadre du service de soins palliatifs ou non. Approche individuelle et<br />
institutionnelle.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Métho<strong>des</strong> participatives et interactives permettant aux participants de valoriser<br />
leur expérience et d’analyser leurs pratiques. Apports théoriques, exposés<br />
et diaporama remis sous forme papier aux participants. Références aux<br />
théories <strong>des</strong> besoins (Maslow, Virginia Henderson,...) et aux modèles développés<br />
par Elizabeth Kübler - Ross, Bowlby et Monbourquette, aux approches<br />
de Carl Rogers et de Porter, à la méthode de Thomas Gordon, à l’approche de<br />
Jacques Salomé. Formation progressive permettant l’appropriation <strong>des</strong> pratiques<br />
développées par les participants. Exercices spécifiques aux techniques<br />
de communication présentées. Positionnements individuels. Référence et<br />
appuis <strong>des</strong> textes et de la réglementation relative à l’application de la loi<br />
2002-2 et de ses décrets, ainsi qu’à la loi relative aux droits <strong>des</strong> mala<strong>des</strong> en<br />
fin de vie et aux chartes.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Sur la base d’un cas connu décrire la démarche que l’on choisirait d’adopter en<br />
prenant en compte l’environnement physique et humain et en mettant l’accent<br />
sur les problèmes identifiés et comment on préconise de les traiter.<br />
q<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Monique GARCIA<br />
q Dates : Du 14 au 16/03/11<br />
Lieu : Montpellier (34)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com 48
L’art brut pour communiquer<br />
avec <strong>des</strong> personnes âgées désorientées<br />
q<br />
Tout professionnel du secteur gérontologique sensibilisé par l’art, étant amener<br />
à conduire un atelier d’animation auprès de personnes âgées désorientées :<br />
animateurs, infirmières, aide-soignantes, ai<strong>des</strong> médico-psychologiques,<br />
agents hospitaliers.<br />
q<br />
L’art pictural est un mode de communication universel, il offre la possibilité<br />
de témoigner, d’exprimer <strong>des</strong> émotions, de laisser une trace. Cela convient<br />
bien aux personnes âgées désorientées, qui s’adonnent à l’art sans préjugé,<br />
sans retenue, sans avoir eu forcément accès à une culture artistique, en pratiquant<br />
un art brut. Il est donc tout à fait judicieux d’être à même de pouvoir<br />
animer un tel atelier, de l’évaluer et d’en justifier sa pérennité.<br />
q<br />
l Les ateliers de peinture :<br />
La relation entre art et thérapie ou l’art au service du soin.<br />
L’expression artistique : l’imaginaire, l’inconscient, la spontanéité.<br />
Le regard, le toucher, l’implication corporelle.<br />
Le mécanisme d’extériorisation <strong>des</strong> sensations.<br />
l L’expression par l’art, l’art brut :<br />
Le désir d’esthétique, la sensibilité, le plaisir, l’évasion, la communication,<br />
le jeu, l’échange, le partage.<br />
l Conception d’une séance collective et conduite de séances :<br />
Composition <strong>des</strong> groupes, évaluation <strong>des</strong> capacités, les ai<strong>des</strong> techniques,<br />
le matériel, déroulement d’une séance, processus d’évaluation.<br />
l Bases d’exercices adaptables aux personnes âgées désorientées ; étude<br />
et ressenti :<br />
Pédagogie <strong>des</strong> arts plastiques, le laisser agir, l’intervention, le soutien.<br />
Types d’exercices et méthode de travail. Différentes techniques. Etude<br />
pratique avec travail personnel de chacun.<br />
l Préparation de l’atelier (au fil <strong>des</strong> séances) :<br />
Définir <strong>des</strong> objectifs. Se donner les moyens pour évoluer. Adapter le rythme<br />
<strong>des</strong> séances. Adapter la constitution <strong>des</strong> groupes. Evaluer les séances.<br />
q<br />
l Connaître les principes de l’art brut.<br />
l Concevoir et conduire un atelier d’expression par la peinture, adapté aux<br />
personnes âgées désorientées.<br />
l Permettre à la personne âgée de s’exprimer différemment.<br />
l Aborder la créativité sous formes d’exercices adaptés, facilement utilisables<br />
dans un atelier thérapeutique à médiation peinture.<br />
q<br />
Pédagogie active et participative faisant appel à l’expérience <strong>des</strong> participants.<br />
Apports théoriques et méthodologiques. Découverte du matériel<br />
utilisable en peinture pour les personnes désorientées. Exercices d’application<br />
faisant appel au ressenti personnel de chacun. Mise en situation d’animation<br />
d’un groupe.<br />
Apports théoriques :<br />
Des données théoriques permettront aux stagiaires de comprendre le processus<br />
de création afin de faire émerger la créativité chez <strong>des</strong> patients<br />
«régressés».<br />
q<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
q<br />
49<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Nicole LAIREZ-SOSIEWICZ<br />
q Dates : Du 21 au 23/11/11<br />
Lieu : -Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
L’animation auprès <strong>des</strong> personnes âgées<br />
q<br />
Public<br />
Tout professionnel du secteur gérontologique étant amené à animer un<br />
public de personnes âgées : animateurs, infirmier(e)s, aide-soignantes, aide<br />
médico psychologiques, agents...<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Lorsqu’il est annoncé aux soignants qu’ils devront «faire de l’animation» ils<br />
sont souvent déroutés. Comment peut-on faire de l’animation ? il y a dans cette<br />
expression une connotation à réaliser quelque chose. Il faut faire quelque chose<br />
qui empiètera sur le temps de travail déjà lourd de charges. Et puis, faire quelque<br />
chose qui semble être en dehors du soin, sort du cadre technique. Cette chose<br />
appelée «animation» quelle est-elle ? Certains se disent que peut être le relationnel<br />
entre dans le cadre de l’animation, d’autres pensent qu’il faut aller au<br />
delà et que le relationnel n’est pas de l’animation mais du soin. Pour d’autres,<br />
faire de l’animation c’est réaliser quelque chose de ses mains, occuper les<br />
personnes âgées. Voilà l’imagination <strong>des</strong> soignants mise à rude épreuve, le mot<br />
même d’animation si ambigu s’ajoute au peu de temps pour préparer, pour l’animation<br />
en question, face à un public âgé hétérogène. L’animation c’est en effet<br />
beaucoup de choses comme la prise en compte du résident, le partage, l’écoute,<br />
la communication, c’est en tout état de cause un état d’esprit, c’est sûrement<br />
aller vers un mieux vivre de la personne âgée, une amélioration de sa qualité<br />
de vie.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Connaître la personne âgée :<br />
Qu’est-ce que vieillir ? Qui est la personne âgée ? La vieillesse, une population<br />
à risques. Les différentes pathologies liées au vieillissement, définition<br />
et vocabulaire. Les troubles du comportement, l’aspect cognitif. Les différentes<br />
démences. La maladie d’Alzheimer, incidences sur la vie quotidienne.<br />
l Communiquer avec une personne âgée :<br />
L’approche relationnelle avec une personne âgée, l’identité et le rôle social<br />
de la personne âgée. L’observation de l’autre pour mieux communiquer,<br />
l’écoute <strong>des</strong> messages. La place de la parole, la communication non verbale.<br />
La réponse de l’animation - relation face à la démence.<br />
l Qu’est-ce que l’animation?<br />
Réflexion sur l’animation. L’animation dans les gestes quotidiens, évaluer<br />
les handicaps de la personne âgée. Les besoins, les désirs, comment les<br />
évaluer, les différentes formes d’animation. L’animation thérapie, l’animation<br />
occupationnelle, la notion de plaisir, maintenir l’autonomie avec l’animation.<br />
l Le projet d’animation :<br />
Comment adapter une animation selon le degré de dépendance de la<br />
personne âgée ? Faire le lien soin - animation dans la prise en charge de la<br />
personne âgée ? L’importance de l’équipe. La coordination en animation.<br />
L’importance <strong>des</strong> familles et <strong>des</strong> bénévoles. Faire un constat et changer<br />
ses habitu<strong>des</strong>. L’animation dans le projet de vie.<br />
l Les ateliers d’animation<br />
Les outils de motivation. La création d’ateliers d’animation, les objectifs, la<br />
mise en place, le fonctionnement. Les ateliers spécifiques pour les personnes<br />
âgées désorientées. Adapter l’animation au degré de dépendance. La place<br />
<strong>des</strong> sens dans l’animation. L’animation contre le repli sur soi, l’incompréhension,<br />
l’intolérance.<br />
l Le bilan d’animation :<br />
Le projet d’animation personnalisé. Pourquoi faire une animation ? Pourquoi<br />
y-a-t-il <strong>des</strong> échecs? Quelle solution envisager? L’animation et l’agressivité, les<br />
«cas difficiles». Les grilles d’évaluation. Comment les utiliser?<br />
q<br />
Objectif<br />
l Savoir identifier les besoins et les désirs <strong>des</strong> personnes âgées en matière<br />
d’animation. Evaluer l’autonomie <strong>des</strong> personnes âgées pour une meilleure<br />
utilisation de l’animation. Etre capable d’utiliser l’animation pour le maintien<br />
<strong>des</strong> acquis de la personne âgée. Pouvoir mettre en place et faire fonctionner<br />
<strong>des</strong> ateliers d’animation auprès de personnes âgées dépendantes.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Définition <strong>des</strong> attentes <strong>des</strong> participants. Apports théoriques. Mise en situation.<br />
Travaux en sous-groupes, analyse en groupe. Etude de cas. Analyse de documents<br />
vidéo. Chaque thème sera étudié et approfondi en fonction <strong>des</strong> besoins<br />
et de la demande <strong>des</strong> participants. L’animation sera participative et active.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un projet d’animation personnalisé, synthétisant l’ensemble <strong>des</strong><br />
différents modules.<br />
q<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Nicole LAIREZ-SOSIEWICZ<br />
q Dates : Du 15 au 18/03/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
COMMUNICATION - MANAGEMENT<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE
Q Q Q Q Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE<br />
Formation à la Bienveillance<br />
q<br />
«L’idéal thérapeutique est quelque chose d’exigeant et la pratique gériatrique<br />
va en permanence prendre en défaut l’image de soignant idéal pour renvoyer<br />
à une image de mauvais soignant» Louis Ploton. Aujourd’hui la plupart<br />
<strong>des</strong> professionnels acceptent d’aborder la question <strong>des</strong> bonnes pratiques<br />
afin de prévenir <strong>des</strong> comportements inadaptés ou maltraitants et cette<br />
question est bien souvent intégrée dans l’analyse du fonctionnement<br />
interne et résulte d’une démarche active de formation à la bientraitance.<br />
Toutefois, il convient de se pencher sur le sens du mot bientraitance<br />
quand souvent la vieillesse est synonyme de déchéance et de maladie<br />
d’Alzheimer. Sans doute faut-il s’interroger sur les principes et les valeurs<br />
humaines qui sous-tendent le travail en gérontologie et en gériatrie. Les<br />
professionnels sont eux aussi parfois démunis, l’organisation du travail ne<br />
leur permet pas toujours d’envisager leur action de manière empathique.<br />
Il s’agit donc d’aider les professionnels, à envisager et à mettre en œuvre un<br />
nouvel équilibre dans leurs relations avec les personnes accueillies ou aidées<br />
quelle que soit leur dépendance. Promouvoir une éthique et une approche<br />
humaniste de l’accompagnement <strong>des</strong> personnes hébergées en institution où<br />
accompagnées à domicile, nécessite d’être en accord avec soi-même, d’avoir<br />
suffisamment de sécurité intérieure et de confiance en soi. Il convient d’être<br />
dans le respect et la bienveillance de soi, de l’autre et d’avoir une attitude<br />
authentique d’empathie.<br />
q<br />
l Concept et définition, pré requis, culture du respect :<br />
Identifier les valeurs qui sous-tendent l’action <strong>des</strong> professionnels. Repérer<br />
les concepts de bientraitance, de situations de maltraitance. Comprendre<br />
et reconnaître les phénomènes vieillissement et du handicap et ses répercussions<br />
sur l’image de soi de la personne âgée. Repérer les situations mal<br />
traitantes au regard <strong>des</strong> recommandations de l’ANESM. Les outils d’accueils<br />
(contrat de séjour, livret d’accueil...) sont-ils explicites sur la question du<br />
risque et <strong>des</strong> libertés ? Appréhender la réalité de sa responsabilité dans le<br />
refus de soins. L’organisation du travail, la cohérence et l’esprit d’équipe<br />
comme outil de prévention à la maltraitance.<br />
l La prise en compte <strong>des</strong> liens familiaux :<br />
La personne âgée dans les relations avec la famille. La place de la famille<br />
dans l’accompagnement <strong>des</strong> soins. Le respect <strong>des</strong> cultures et <strong>des</strong> habitu<strong>des</strong><br />
de vie de chacun.<br />
l Pour mieux communiquer, être à l’écoute <strong>des</strong> émotions :<br />
Être à l’écoute de ses propres émotions pour savoir entendre et mieux<br />
communiquer.<br />
l Soigner la relation par les outils de la communication non verbale : le<br />
toucher, le regard, les attitu<strong>des</strong> empathiques.<br />
l Penser une organisation du travail qui favorise la relation d’aide pour que<br />
l’acte technique soit accepté.<br />
q<br />
l Cette formation s’attache à aider les professionnels à prendre en compte<br />
l’environnement <strong>des</strong> personnes dépendantes et à construire de nouvelles<br />
relations basées sur l’expression <strong>des</strong> émotions avec les personnes accueillies<br />
ou aidées pour leur donner une place de partenaire dans l’accompagnement<br />
afin de leur offrir <strong>des</strong> conditions de vie en accord avec leurs besoins et leurs<br />
attentes.<br />
- Réfléchir sur la mise en application <strong>des</strong> notions de respect, droit, dignité.<br />
- Comprendre les concepts de bientraitance, bienveillance, compassion.<br />
- Reconnaître les différentes formes de maltraitances.<br />
- Identifier et prévenir les situations à risques.<br />
- Acquérir <strong>des</strong> attitu<strong>des</strong> individuelles et collectives de «bientraitance».<br />
- Comprendre l’importance <strong>des</strong> émotions dans la relation d’aide.<br />
q<br />
L’expérience professionnelle et ses mises en situation sont valorisées en<br />
complémentarité d’apports théoriques d’analyse <strong>des</strong> pratiques ou d’étu<strong>des</strong><br />
de cas à partir de documents, de DVD et d’ouvrages «C.Rogers, P. Fustier...».<br />
q<br />
Une première évaluation «à chaud» est réalisée à la fin du stage, celle-ci<br />
permet de mesurer la satisfaction <strong>des</strong> stagiaires à l’égard de la formation.<br />
Une évaluation «à froid» est recommandée 3 à 6 mois après la fin de la<br />
formation, elle permet de mesurer l’impact de la formation sur les pratiques<br />
professionnelles.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Marie Jeanne VERCHERAT<br />
q Dates : Du 27/06 au 01/07/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Coordonnateur(trice) développement<br />
de réseau local - LICENCE PROFESSIONNELLE<br />
Inscrite au Répertoire National <strong>des</strong> Certifications<br />
Professionnelles<br />
q<br />
Objectif de la licence<br />
L’objectif de la licence professionnelle Coordonnateur développement de<br />
réseau local est de former <strong>des</strong> intervenants sociaux dans le domaine associatif<br />
à vocation sociale et de loisirs, et au sein <strong>des</strong> services enfance et jeunesse<br />
<strong>des</strong> communes. Ces professionnels devront être capables de participer à un<br />
réseau social local, de le gérer et de le développer en s’appuyant sur une double<br />
expertise :<br />
l La prise en compte et la dynamisation de réseaux urbains ou ruraux dans<br />
leurs dimensions historique, économique et sociale.<br />
l La conduite de projets adaptés au contexte dans une dynamique de<br />
développement local.<br />
La spécificité principale de l’assistant de développement local est d’être<br />
capable de fédérer dans l’action l’ensemble <strong>des</strong> partenaires, internes et<br />
externes. Il se situe dans une logique transversale vis-à-vis <strong>des</strong> intervenants<br />
<strong>des</strong> champs professionnels concernés.<br />
Cette formation se construit sur l’agencement de quatre fonctions<br />
à professionnaliser :<br />
- diagnostic local<br />
- conduite de projets<br />
- publics, communication et négociation<br />
- gestion et management.<br />
Des professionnels du champ de l’intervention sociale participe<br />
activement à la formation aux côtés <strong>des</strong> enseignants du département<br />
de sociologie.<br />
u<br />
Ce professionnel, occupant <strong>des</strong> positions intermédiaires dans l’organisation,<br />
peut prétendre aux métiers suivants :<br />
l Agent de développement local (23211)<br />
l Conseiller / conseillère en développement local<br />
l Responsable de projet d’animation et de développement<br />
l Chargé/chargée de mission développement, social, économique et culturel<br />
l Chargé/chargée de mission (développement local)<br />
l Animateur/animatrice de régie de quartier (chef de projet social)<br />
l Formateur-accompagnateur / formatrice accompagnatrice d’insertion<br />
(action sociale)<br />
l Formateur-accompagnateur / formatrice accompagnatrice d’insertion (à<br />
dominante action sociale) - 23151<br />
l Coordonnateur social /coordonnatrice sociale - 23112<br />
l Animateur social /Animatrice sociale maison de retraite<br />
l Animateur social /Animatrice sociale en foyer d’hébergement<br />
l Co<strong>des</strong> <strong>des</strong> fiches rome les plus proches : 23211 - 23112 - 23151<br />
u<br />
Métiers actuels et futurs visés<br />
A quels publics d’étudiants la licence<br />
professionnelle s’adresse-t-elle ?<br />
La licence professionnelle Coordonnateur de développement de réseau local<br />
s’adresse essentiellement à <strong>des</strong> étudiants venant de :<br />
l DEUG Sciences Humaines et Sociales, Droit, AES, Sciences économiques.<br />
l DUT Carrières sociales, GEA, GACO...<br />
l DEUST options compatibles avec le champ de cette licence professionnelle.<br />
l BTS Economie sociale et familiale.<br />
l Etudiants issus d’autres filières de formation (de niveau DEUG, BTS ou DUT,<br />
ou pouvant bénéficier de validation d’acquis de l’expérience) et pouvant<br />
justifier d’une expérience associative bénévole ou salariée en lien avec <strong>des</strong><br />
institutions sociales ou du travail social.<br />
l Titulaires d’un diplôme ou titre homologué par l’Etat au niveau III ou reconnu<br />
de même niveau par une réglementation nationale.<br />
Un stage d’une durée de 14 semaines est prévu.<br />
Pour les étudiants en formation continue, possibilité d’effectuer le stage<br />
selon <strong>des</strong> conditions fixées entre le tuteur de stage, le formateur référent<br />
et l’étudiant. Le projet tutoré devra obligatoirement se dérouler sur un autre<br />
terrain.<br />
A - une première période de 6 semaines<br />
B - une seconde période de 8 semaines<br />
www.afore-formation.com 50
Culture - Développement<br />
durable et Citoyenneté
Q<br />
CLINIQUE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
La relation éducative entre autorité<br />
et respect<br />
q<br />
Nos sociétés occidentales traversent une «crise» de légitimité <strong>des</strong> différents<br />
lieux de l’autorité. L’affirmation croissante d’un besoin de reconnaissance de<br />
la part <strong>des</strong> populations. se manifeste dans un contexte socio-économique<br />
incertain, d’inégalités et de conflits sociaux où chacun cherche à se faire sa place<br />
dans un monde concurrentiel. Le respect et l’autorité sont <strong>des</strong> questions morales<br />
ou de droit, elles sont aussi politiques. Mais alors que le respect sous-entend<br />
l’égalité entre les hommes et la réciprocité du droit, l’autorité repose sur une<br />
relation d’inégalité sinon «librement» consentie, du moins légitime. Nous les<br />
prendrons donc comme analyseurs et symptômes de la crise du vivre ensemble.<br />
Il ne s’agit pas d’évaluer <strong>des</strong> métho<strong>des</strong> éducatives mais de voir comment ces<br />
notions interviennent dans la relation éducative dans <strong>des</strong> situations de grande<br />
hétérogénéité culturelle <strong>des</strong> publics, où <strong>des</strong> conflits de norme opèrent et<br />
doivent être gérés dans le respect <strong>des</strong> besoins et de l’identité d’autrui, sans<br />
remettre en cause la mission éducative et ni l’autorité légitime, entre liberté<br />
et égalité, entre intérêt individuel et bien être collectif.<br />
q<br />
Nous nous interrogerons à partir de différents axes problématiques :<br />
l Comment le renouveau du respect et de l’autorité désigne <strong>des</strong> institutions<br />
sociales (famille, école, travail, hôpital, cité...) comme défaillantes dans leur<br />
mission inclusive (particulièrement à l’endroit <strong>des</strong> jeunes) et leur garantie du<br />
pacte républicain.<br />
l L’ autorité est-elle nécessaire à l’avènement du respect ? le respect est-il utile<br />
à l’établissement de l’autorité ?<br />
l L’ irrespect et l’affrontement de l’autorité sont-ils aussi une forme d’apprentissage,<br />
de socialisation et de civisme ?<br />
l Le respect opère-t’il en régulateur dans les interactions sociales et les négociation<br />
<strong>des</strong> conflits sociaux ou interindividuels ?<br />
l La place, le rôle, du travailleur social. Quelles figures de l’autorité :<br />
le chef charismatique, le chef bureaucratique et le leader ?<br />
q<br />
l Réfléchir sur ces notions et les limites de leur caractère universel tant au<br />
niveau global et théorique qu’au niveau du vécu professionnel.<br />
l Se situer par rapport à ces notions : savoir ce qu’on met derrière, ce qu’on<br />
en attend, l’usage qu’on en a. Comment on répond ou non aux injonctions <strong>des</strong><br />
politiques, de l’institution et du public.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Alternance d’exposés théoriques, présentations d’enquêtes et étu<strong>des</strong> de<br />
documents, partages de pratiques et étu<strong>des</strong> de cas.<br />
Apports d’outils conceptuels et méthodologiques issus de la philosophie,<br />
du droit, <strong>des</strong> sciences de l’éducation ou sciences politiques et surtout de<br />
la sociologie. Notions de reconnaissance, respect, (H. Arendt, M. Badinter,<br />
A. Honneth, J. Rancière) négociation, autorité (Weber), leadership (A. Smith) de<br />
communautarisme ou de multiculturalité (C. Taylor), lobbying, discrimination,<br />
justice sociale (Rawls)... Des apports seront donnés sur les débats publics et de<br />
société relayés dans la presse nationale autour <strong>des</strong> et à l’appui d’enquêtes<br />
de terrains.<br />
Travaux en groupes à partir d’exposés de situations pratiques rencontrées<br />
par les stagiaires et de questions concrètes, pouvant être illustrées par <strong>des</strong><br />
jeux de rôle ou <strong>des</strong> mises en situation. Les stagiaires sont surtout amenés<br />
à identifier leur mode d’appropriation et d’usage de ces valeurs et à évaluer<br />
leurs actes en accord avec elles.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage. Evaluation individuelle.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Intervenantes cf p.2<br />
u Catherine GAUTHIER<br />
q Dates : Du 14 au 18/11/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Aphrodite MORALI<br />
INTER ou INTRA<br />
Juger :<br />
Pour une éthique de la fonction judiciaire<br />
q<br />
Les futurs ou actuels magistrats. Les professionnels qui travaillent en lien<br />
avec le tribunal soit pour éclairer la décision judiciaire, soit pour exécuter <strong>des</strong><br />
mesures judiciaires. Tous ceux qui, en tant que citoyens, s’intéressent au<br />
fonctionnement de l’institution judicaire.<br />
q<br />
Juger n’est pas la pure et simple application de la loi car le juge garde un large<br />
pouvoir d’appréciation sur les situations qui lui sont confiées, un pouvoir<br />
discrétionnaire. La Révolution française, animée par une conception légicentriste,<br />
aurait voulu réduire les juges à n’être que <strong>des</strong> machines à appliquer<br />
le texte de la loi. Mais, peu à peu, la magistrature a recouvré de nombreuses<br />
prérogatives et le Législateur rédige ses textes de telle sorte qu’il fait une<br />
large part à l’interprétation jurisprudentielle. Du coup, la fonction judiciaire,<br />
exercés par <strong>des</strong> professionnels, se pose comme une fonction régalienne au<br />
cœur de la République et en contradiction avec l’idée démocratique d’une<br />
justice citoyenne.<br />
A partir de là, on se demandera comment il est possible de définir une éthique<br />
démocratique susceptible d’encadrer le pouvoir de décision <strong>des</strong> juges. On<br />
étudiera d’abord ce qu’il en est de l’interprétation, qui est à la fois interprétation<br />
<strong>des</strong> textes de loi et interprétation <strong>des</strong> situations humaines. En revenant<br />
au fondement théologique et philosophique de l’herméneutique, on interrogera<br />
ce qui pourrait être le fondement d’une herméneutique judiciaire.<br />
Ensuite, on se demandera si la fonction judiciaire est essentiellement une<br />
fonction de décision. On caractérisera ce modèle décisionniste en faisant<br />
l’histoire et en développant les conséquences socio-politiques. On mettra en<br />
évidence un autre modèle pour penser la fonction judiciaire, dans le lequel le<br />
juge n’est que l’organisateur d’un processus de décision qui se mène hors lui.<br />
On l’illustrera sur l’exemple de la médiation.<br />
q<br />
l Eclairage par l’histoire de la relation entre la loi et la puissance judiciaire.<br />
l Etu<strong>des</strong> de certains juristes contemporains, et notamment de l’œuvre de<br />
Dworkin.<br />
l Présentation de l’herméneutique et de son rôle dans le travail juridique.<br />
l Présentation <strong>des</strong> concepts de philosophie politique susceptibles d’éclairer<br />
la procédure et la place que chacun y tient.<br />
q<br />
l Mieux comprendre l’habitus judiciaire et sa différence avec celui du travail<br />
social et <strong>des</strong> professions de santé.<br />
l Permettre un meilleur partenariat entre le tribunal et les services qui lui<br />
sont liés.<br />
l Favoriser les processus alternatifs du règlement <strong>des</strong> conflits et transformer<br />
le sens <strong>des</strong> procédures.<br />
q<br />
Public<br />
Exposés historiques <strong>des</strong> gran<strong>des</strong> évolutions de la fonction judiciaire. Exposés<br />
théoriques sur les outils philosophiques nécessaires à poser ce problème.<br />
Etude analytique de cas concrets de procédures traditionnelles et de processus<br />
alternatifs. Jeux de rôle ou d’écriture.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Chaque stagiaire, en partant d’une situation rencontrée, imaginera et écrira<br />
comment un autre processus de règlement du conflit aurait été possible et<br />
établira une évaluation comparée de la procédure judiciaire et du processus<br />
alternatif.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Jean Marc GHITTI<br />
q Dates : Du 12 au 16/12/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Dominique SISTACH<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
52
Culture, cultures et interculturalité<br />
q<br />
Toute personne travaillant dans un contexte de diversité culturelle importante<br />
est soumise quotidiennement à la confrontation entre plusieurs systèmes<br />
de valeurs et co<strong>des</strong> de communication. Or, le décodage n’est jamais simple,<br />
car la perception de la figure de l’autre subit toujours <strong>des</strong> dé<strong>formations</strong>. Nous<br />
regardons la différence à travers nos propres prismes, instaurant notre monde<br />
comme mesure de base de tous les autres. Mais nous sommes en même<br />
temps incapables de penser l’autre autrement qu’à travers nos stéréotypes,<br />
l’enfermant dans une catégorie préfabriquée de «l’étranger». Plus l’écart<br />
culturel est grand et les connaissances superficielles, plus les stéréotypes<br />
sont simplifiés et plus ils sont forts : ils représentent <strong>des</strong> modèles «prêts à<br />
penser», immédiatement disponibles en cas d’incompréhension ou de tension<br />
vis-à-vis de l’autre. Ce sont <strong>des</strong> représentations dont l’on n’est jamais<br />
complètement libéré, malgré une image de soi tolérante et ouverte. L’ethnocentrisme<br />
et la pensée stéréotypée sont donc <strong>des</strong> phénomènes naturels<br />
et inévitables, mais l’incapacité de gérer ces phénomènes peut générer<br />
chez le professionnel de l’incompréhension et un profond malaise, pouvant<br />
amener à <strong>des</strong> situations pathogènes, allant nécessairement au détriment <strong>des</strong><br />
objectifs professionnels, provocant de multiples erreurs dans l’évaluation<br />
<strong>des</strong> besoins et la mise en œuvre d’actions inadéquates.<br />
q<br />
l Histoire et impact <strong>des</strong> processus migratoires en France.<br />
Développement sur les réalités sociologiques de l’immigration et son<br />
évolution sur le territoire.<br />
l Culture et interculturalité.<br />
Présentation de ce qu’est la culture au sens anthropologique et dynamique,<br />
de ce que sont les situations d’interculturalité ; définition et caractéristiques<br />
de la communication en situation interculturelle<br />
l Exercices pratiques et analyse <strong>des</strong> situations.<br />
Analyse de situations amenées par les participants ; apports théoriques<br />
complémentaires en fonction de ce qui ressortira <strong>des</strong> situations.<br />
q<br />
l Une formation à l’interculturel, si elle doit donner quelques in<strong>formations</strong><br />
élémentaires sur les différentes cultures étrangères, ne peut se contenter<br />
de cette approche. Elle doit aussi intégrer une mise à distance de sa propre<br />
culture et une réflexion sur les processus cognitifs, psychologiques et identitaires<br />
mobilisés par la rencontre entre cultures. L’ouverture à l’autre différent<br />
implique un apprentissage où l’on découvre l’autre, mais aussi où l’on<br />
se découvre soi-même, où l’on arrive à prendre conscience de sa culture, de<br />
ses valeurs, de ses modèles, liés aux différentes appartenances qui nous<br />
constituent.<br />
q<br />
Méthode active de formation participative pour adultes, qui s’appuie sur une<br />
implication <strong>des</strong> stagiaires :<br />
Apports de connaissances théoriques amenés par les intervenants en alternance<br />
avec <strong>des</strong> étu<strong>des</strong> de cas apportés par les participants s’appuyant sur<br />
une grille d’analyse.<br />
Alternance de travail en petits et en grand(s) groupe(s). Echanges, débats.<br />
Remise d’un dossier composé de documents de travail, d’une bibliographie<br />
et d’articles permettant aux participants de prolonger le travail réalisé en<br />
formation.<br />
q<br />
Bilan oral collectif permettant d’apprécier les acquis de la formation à partir<br />
de critères construits collectivement. Bilan individuel effectué à partir d’une<br />
grille d’évaluation faisant ressortir les effets sur la pratique professionnelle.<br />
q<br />
53<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenants cf p.2 q Intervenantes cf p.2<br />
www.afore-formation.com<br />
Addictions, dépendances et... attachements.<br />
Quel lien avec le monde social ?<br />
Argumentaire<br />
L’addiction est un terme largement utilisé par les professionnels pour désigner<br />
une série de phénomènes.<br />
Les intervenants sociaux ont à faire à <strong>des</strong> publics hétérogènes dans <strong>des</strong><br />
situations très diversifiées. Il est intéressant de voir ce qui se cache<br />
derrière ce terme et son usage, et de comprendre les différents signaux que la<br />
société nous adresse à travers les addictions et les conduites compulsives.<br />
Celles-ci font douter <strong>des</strong> facultés de certains à s’émanciper d’un contrôle<br />
social et d’un environnement contraignants voir aliénants.<br />
Il faut alors repérer une meilleure prise en compte du sujet dans sa dimension<br />
singulière mais en lien avec le contexte social contemporain.<br />
Ce contexte social souvent désigne, voire construit le dépendant.<br />
Le champ de l’intervention sociale doit être vigilant face à cet «étiquetage»<br />
collectif qui détermine les comportements individuels et sociaux. La dépendance<br />
crée parfois <strong>des</strong> liens... et <strong>des</strong> attachements.<br />
l Nous aborderons d’abord la question de la dépendance à partir <strong>des</strong> notions<br />
de désir, pulsion, manque et jouissance et la place de l’intervenant social<br />
comme tiers, voire comme inter-dépendant.<br />
l Nous définirons et analyserons l’addiction à partir de trois catégories :<br />
- L’addiction «classique» aux produits (psychotropes et médicaments), à<br />
la nourriture, aux jeux vidéo ou à la télévision. Nous verrons ce qui distingue<br />
l’addiction de la dépendance.<br />
- L’addiction et la question de l’intimité. L’objet de l’addiction est ici une<br />
personne, une catégorie d’individus ou une fonction, une institution :<br />
l’addiction au sexe, à la mère, à l’épouse, au professeur, à l’éducateur, au<br />
psychologue, au soignant... très fortement liée à la question de l’autonomie<br />
de l’individu et de ses capacités réflexives dans une société où priment<br />
l’épanouissement de l’individu, le «culte de la performance» et celui du<br />
corps.<br />
- L’addiction aux lieux : vu jusqu’alors sous le signe de l’intime et du privé<br />
l’addiction sera confrontée à <strong>des</strong> mo<strong>des</strong> d’attachements excessifs et<br />
aliénants relevant du public et du groupe : (le quartier, la cité), <strong>des</strong> lieux<br />
contraignants généralement perçus comme subis (la prison, l’hôpital<br />
psychiatrique).<br />
l L’objectif sera de discuter la notion d’addiction, entre habitu<strong>des</strong>, rituels,<br />
compulsions..., au-delà de la prise de produits.<br />
Les participants seront amenés à comprendre ces comportements et<br />
revisiter le regard qu’ils portent sur leurs propres observations de ce genre<br />
de situations.<br />
Objet culturel complexe, phénomène social fortement imbriqué aux différentes<br />
dimensions de l’individu, nous avons choisi une approche sociologique du<br />
phénomène complémentaire de l’analyse médicale. Notre souci est d’offrir<br />
<strong>des</strong> outils de problématisation autres que ceux utilisés habituellement et<br />
mobilisables dans la pratique, sur le terrain ou en équipe.<br />
Apports théoriques de la sociologie et de l’anthropologie avec éclairage sur<br />
les notions et outils de la psychanalyse.<br />
Analyse de documents divers s’appuyant sur <strong>des</strong> étu<strong>des</strong> de cas. Travail sur<br />
les supports de définitions, de classifications et sur les brochures de prévention<br />
en santé publique.<br />
Travail à partir de documents audiovisuels (photos, films documentaires ou<br />
de fictions) sélectionnés pour leurs qualités pédagogiques.<br />
Mise en situation et récits de pratiques, jeux de rôles.<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage. Evaluation individuelle.<br />
u Ariella ROTHBERG u Jacques BAROU u Catherine GAUTHIER u Aphrodite MORALI<br />
q Dates : Du 14 au 18/03/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
q Dates : Du 21 au 25/11/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
CLINIQUE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
MANGER EST UNE SOURCE DE PLAISIR...<br />
q<br />
Toute personne concernée par l’alimentation <strong>des</strong> enfants et adolescents. Maîtresse<br />
de maison, personnel éducatif, animateurs, assistants maternels, cuisiniers, veilleurs<br />
de nuits...<br />
q<br />
Si se nourrir est nécessaire pour vivre voir survivre, et si manger est une source<br />
de plaisir, la prise en charge d’enfants et adolescents en institution impliquerait une<br />
double éducation à la santé et au plaisir de manger. Ayant la responsabilité d’enfants<br />
et d’adolescents, les équipes <strong>des</strong> institutions doivent leur assurer le bien être et subvenir<br />
à leurs besoins fondamentaux stipulés dans la charte internationale <strong>des</strong> droits<br />
de l’enfant. Les repas préparés par les maîtresses de maison sont partagés par<br />
les enfants avec les éducateurs. Une cohérence d’équipe s’avère donc nécessaire<br />
autour de ces repas éducatifs pour assurer une bonne santé, physique et mentale, à<br />
l’enfant ou l’adolescent. Par éducatif nous entendons non seulement l’éducation au<br />
goût, à l’équilibre alimentaire qui peut être individualisé, mais aussi éducation à la<br />
responsabilisation de sa santé, à la découverte et à l’ouverture au monde à partir de<br />
plats exotiques, au respect de l’autre et de sa différence grâce à <strong>des</strong> régimes spécifiques<br />
médicaux ou culturels. Nombre de nutritionnistes ne déclarent-ils pas que<br />
l’alimentation est le premier facteur déterminant pour la santé de l’individu ? Ainsi le<br />
professeur Joyeux, cancérologue à Montpellier invite les mala<strong>des</strong> qui le consultent<br />
à revisiter leurs habitu<strong>des</strong> alimentaires pour améliorer leur santé voir pour guérir.<br />
Les besoins et l’équilibre alimentaire variant selon les âges, dans une institution<br />
accueillant <strong>des</strong> enfants de 0 à 21 ans, les repas sont forcément variés puisqu’ils doivent<br />
correspondre aux besoins de tranches d’âge différentes. Dans une institution<br />
pour enfants et adolescents, les repas sont alors paradoxalement <strong>des</strong> moments de<br />
rencontres collectives et <strong>des</strong> rappels de «moments familiaux». Il peut s’agir alors<br />
d’un moment de satisfaction, voire de sécurité pour l’enfant ou adolescent content<br />
de retrouver «son groupe», il peut également éprouver de la tristesse et ou de la<br />
nostalgie <strong>des</strong> vrais repas familiaux. La nourriture peut être alors un moyen de compenser,<br />
un moyen de manifester ses émotions, ses angoisses, sa colère voir sa<br />
révolte envers soi-même ou envers les autres, sans forcément concerner la maîtresse<br />
de maison ou l’éducateur. Les comportements alimentaires sont <strong>des</strong> indicateurs sur<br />
la santé physique ou psychique de l’individu. Ainsi un enfant anorexique, boulimique,<br />
obèse ou celui qui manifeste un véritable plaisir ou dégoût envers certains aliments<br />
doit être pris en considération. L’acte de se nourrir étant un acte de relation intime<br />
«mettre à sa bouche» et un acte de relation à l’autre dans son propre corps, les<br />
équipes se doivent d’être attentives aux troubles alimentaires qui peuvent survenir.<br />
L’atelier cuisine est une activité créatrice qui peut être proposée aux enfants<br />
régulièrement ; elle permet d’initier à la préparation <strong>des</strong> repas et la transmission<br />
du plaisir de «faire à manger». C’est aussi l’occasion de sensibiliser et informer sur<br />
l’alimentation, la diététique, le corps, d’aborder <strong>des</strong> questions individuelles mais<br />
aussi la question de l’alimentation mondiale et de l’équilibre alimentaire au niveau<br />
de la planète, pour responsabiliser l’enfant ou l’adolescent en tant qu’individu et en<br />
tant que citoyen du monde. Chaque enfant étant unique et l’absorption de nourriture<br />
étant un élément de distinction, la préparation <strong>des</strong> repas doit prendre en compte<br />
certes l’équilibre alimentaire mais aussi les besoins affectifs et culturels. D’où<br />
l’importance de la communication et de la coopération entre les éducateurs, les<br />
maîtresses de maison, les cuisiniers pour la confection <strong>des</strong> repas. Un projet autour<br />
de l’alimentation pourrait s’articuler sur une semaine du goût de manière à créer<br />
une dynamique institutionnelle autour de cette question vitale de la nourriture.<br />
q<br />
l La diététique selon les âges de la vie et les comportements alimentaires, les<br />
tableaux d’équilibre alimentaire, la gestion du quotidien, les besoins fondamentaux<br />
<strong>des</strong> enfants et adolescents, les pathologies : anorexie, boulimie, obésité... La<br />
responsabilité de la santé de l’enfant, comment expliquer aux enfants les notions<br />
d’équilibre alimentaire, le sens <strong>des</strong> repas, l’éducation alimentaire partagée, la complémentarité<br />
<strong>des</strong> interventions, les ateliers cuisine, la semaine du goût.<br />
q<br />
l Éduquer les enfants et adolescents à la santé alimentaire.<br />
l Définir les enjeux de l’équilibre alimentaire.<br />
l Améliorer l’équilibre alimentaire.<br />
l Accompagner les pathologies liées à l’alimentation.<br />
l Contextualiser les pratiques alimentaires à travers l’histoire.<br />
l Développer un travail de coopération entre les maîtresses de maison, les équipes<br />
éducatives, les cuisiniers.<br />
l Présenter un projet cohérent institutionnel autour de la santé alimentaire du public.<br />
q<br />
Public<br />
Apports théoriques. Travail de réflexion. Echanges à partir <strong>des</strong> pratiques professionnelles,<br />
de documents, de dossier de presse. Jeux de rôles. Bibliographie.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisations indivuelles d’exercices adaptés selon les profils <strong>des</strong> stagiaires. Présentation<br />
individuelle d’un projet relatif à l’alimentation.<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Annick LAINÉ<br />
u Selma TOZANLI<br />
q Dates : Du 10 au 14/10/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Aphrodite MORALI<br />
INTER ou INTRA<br />
Comprendre et accompagner<br />
la sexualité en institution<br />
q<br />
Ce stage repose sur le postulat de base que la question de la sexualité dans<br />
les institutions d’éducation mérite d’être mise dans la perspective de la question<br />
de l’éducation à la santé, voire de l’éducation tout court.<br />
S’interroger sur la sexualité en institution, c’est prendre le risque de «poser<br />
une question» qui «pose problème» et face à laquelle on prend trop rarement<br />
le temps de «se poser», faute, bien souvent, d’outils permettant de<br />
l’appréhender dans la réalité de ses enjeux et richesses de ses dimensions,<br />
sans appréhension et préjugés réducteurs.<br />
Nous envisagerons donc la sexualité humaine en tant que «fait social<br />
total». A la fois à la base <strong>des</strong> alliances entre les groupes et les générations<br />
qui fondent la société et en assurent la reproduction, la sexualité humaine,<br />
en raison même de toute la charge sociale et symbolique qu’elle véhicule, est<br />
en même temps perçue comme génératrice de désordre et comme menace<br />
pesant sur cela même qu’elle permet d’instituer, le lien socialisé.<br />
Pour autant, nous étudierons et réfléchirons à la place de la question de la<br />
sexualité dans le cadre institutionnel éducatif sans la réduire (ainsi que c’est<br />
trop souvent le cas) aux risques et aux problèmes auxquels elle est associée,<br />
mais en la réalignant sur les aspects existentiels, émotionnels et relationnels<br />
qu’elle mobilise et qui sont également au centre de la démarche éducative.<br />
q<br />
l Approche socio-anthropologique de la sexualité : loi symbolique et interdits<br />
fondamentaux ; identité sexuelle et genre, orientations et pratiques sexuelles ;<br />
les lois sociales et les pratiques sexuelles ; les modèles familiaux.<br />
l Les dimensions biologiques et psycho-sexuelles du développement<br />
physiologique : pério<strong>des</strong> de l’enfance, de l’adolescence et de l’ «adulescence».<br />
l Les pratiques à risques : mo<strong>des</strong> et conditions de transmission du VIH et <strong>des</strong><br />
autres IST ; les moyens de contraception et la prévention <strong>des</strong> contaminations :<br />
le dépistage et les outils de protection.<br />
l Principes et enjeux d’une démarche d’accompagnement en éducation à la<br />
sexualité : institutionnalisation de la sexualité et sexualité en institution ;<br />
la question de l’attention au public en question (la contrainte, l’indifférence<br />
et le déni) ; la question de l’intimité, du privé et du public.<br />
q<br />
l Comprendre la construction de la sexualité humaine à travers ses dimensions<br />
culturelles, sociales et individuelles<br />
l Reconnaître et analyser les représentations à travers lesquelles se filtre la<br />
perception de la «sexualité».<br />
l Comprendre les enjeux de la prévention et de l’éducation dans le domaine<br />
de la sexualité.<br />
l Se familiariser avec les métho<strong>des</strong> de prévention et d’éducation à la sexualité.<br />
l Réfléchir aux moyens de faire de cette question un élément positif de<br />
l’accompagnement éducatif.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Métho<strong>des</strong> actives favorisant la participation <strong>des</strong> stagiaires. Alternances de<br />
séquences consacrées aux apports théoriques et méthodologiques et de<br />
temps de réflexions et d’échanges. Partage et analyse d’expériences professionnelles<br />
en lien avec l’objet du stage.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Réalisation d’un travail individuel sur la façon dont les éléments apportés par<br />
le stage pourront être adaptés aux spécificités institutionnelles <strong>des</strong> stagiaires<br />
et intégrés à leurs pratiques professionnelles.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Intervenant cf p.2<br />
u Jacques LARIS<br />
q Dates : Du 06 au 10/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
54
santé et culture<br />
q<br />
Cadres supérieurs, cadres de proximité représentant les secteurs soignant<br />
(médecin, infirmière, puéricultrice, manipulateur radio, ...) et/ou administratif<br />
(secrétaires, personnel d’accueil...).<br />
q<br />
Notre société évolue dans un contexte multiculturel, immigration (ancienne<br />
ou nouvelle), flux humains et de produits avec l’extérieur. Ce constat paraît<br />
banal, les conséquences le sont bien moins. Au quotidien, nous passons d’un<br />
monde à l’autre. Nos normes, nos comportements sont interrogés : où suis-je ?,<br />
chez moi ou chez l’autre ?<br />
Les conséquences sont multiples pour les institutions, les personnes qui se<br />
trouvent livrées à elles-mêmes quant aux réponses qu’elles peuvent apporter.<br />
Ce stage a donc pour but de comprendre ces mécanismes, d’observer les<br />
situations de «chocs culturels» et de réfléchir ensemble au positionnement<br />
adapté dans la relation à la maladie et aux soins.<br />
q<br />
Créer une dynamique de groupe permettant de travailler dans la confiance<br />
et la convivialité.<br />
l Mutualiser les problématiques professionnelles rencontrées pour se situer.<br />
A partir de situations vécues, nous essayerons de dégager :<br />
- Les thématiques récurrentes, les cas exceptionnels et leurs enjeux.<br />
l Prendre conscience de l’influence de la culture sur les comportements :<br />
- Travailler les valeurs et leurs manifestations concrètes selon les cultures.<br />
- Comprendre la logique <strong>des</strong> antagonismes.<br />
- Elaborer une définition matricielle de la culture.<br />
l Connaître <strong>des</strong> repères socio-culturels pour comprendre les supports et les<br />
enjeux identitaires de la confrontation <strong>des</strong> identités culturelles :<br />
- Etudier les notions ; d’espace : espace public, espace privé, relation au<br />
corps, rites de salutation ; d’information : implicite orale, explicite écrite ; de<br />
temps : le temps gère la relation ou la relation gère-t-elle le temps ? d’autorité :<br />
représentation forte ou faible de l’autorité traditionnelle, charismatique, de<br />
compétences, fonctionnelle ? d’avenir : tolérance ou non vis-à-vis de<br />
l’imprévisibilité de l’avenir ? Influence <strong>des</strong> croyances dans l’attitude face à<br />
la maladie ; d’identité : communautaires ou individualiste ? de masculinité :<br />
système symbolique régissant les représentations du masculin et du féminin .<br />
l Réfléchir ensemble aux actions possibles pour réduire les écarts culturels :<br />
- Savoir distinguer les affrontements symboliques entre cultures, le choc<br />
culturel sans ou avec intentionnalité, l’affrontement symbolique à l’intérieur<br />
d’une culture, la violence non intentionnée ou intentionnée ?<br />
- Réfléchir aux types de réponses possibles selon les cas.<br />
q<br />
l Cheminer dans la relation entre différences culturelles et pratique du soins<br />
pour réfléchir aux espaces intermédiaires possibles ou non permettant de<br />
préserver l’équilibre entre les identités personnelles et culturelles, institutionnelles<br />
et professionnelles.<br />
q<br />
Pédagogie très participative et interactive. Simulations et jeux de rôles<br />
collectifs pour les phases d’identification. Analyses en groupe complétées<br />
par <strong>des</strong> apports théoriques pour les phases de synthèse. Construction de la<br />
grille de décodage à partir d’éléments recueillis tout au long du stage. Vérification<br />
de l’appropriation de l’outil par <strong>des</strong> étu<strong>des</strong> de cas <strong>des</strong> participants.<br />
q<br />
Appropriation de l’outil de décodage sur les situations vécues par les participants.<br />
Utilisation <strong>des</strong> ressources repérées en formation pour proposer <strong>des</strong><br />
alternatives de comportement et de résolution de ces situations.<br />
q<br />
55<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Christine BONNOT<br />
www.afore-formation.com<br />
NOS PRATIQUES SOCIALES ET ÉDUCATIVES<br />
INTERROGÉES PAR LE MODÈLE<br />
DU DÉVELOPPEMENT DURABLE<br />
q<br />
Public<br />
Cette formation s’adresse à tous les acteurs sociaux (professionnels, élus<br />
ou administrateurs) qui souhaitent donner, redonner ou plus simplement<br />
réinterroger le «sens» qu’ils donnent ou souhaitent donner à leur activité<br />
et ce au travers du prisme que représente le paradigme du «développement<br />
durable».<br />
q<br />
Argumentaire<br />
1975 - 2005, 30 ans de Crise...déjà. Cette dégradation continue de nos conditions<br />
de vie et d’avenir qui génère chaque jour plus de précarité, de pauvreté,<br />
d’exclusion, de fracture sociale, de communautarisme, mais également, de<br />
marchandisation et de financiarisation économique et de dégradation de<br />
notre environnement... nous confronte chaque jour un peu plus à la peur du<br />
lendemain. Ce malaise, aggravé par la crise du capitalisme financier, n’épargne<br />
aucune société industrialisée. Toutes sont en proie à la même démoralisante<br />
incertitude du lendemain qui vide de son sens l’activité humaine. Après les<br />
«trente glorieuses», puis «les trente piteuses», nos démocraties modernes<br />
vont donc devoir relever pour les décennies à venir un défi majeur : quel sens<br />
allons nous vouloir donner aux activités humaines, quel sens vouloir volontairement<br />
donner à ce «vouloir vivre ensemble», à cette «culture partagée de<br />
l’avenir», quel contrat social pour quel équilibre social constructeur de «mieux<br />
vivre pour tous».Travailler à une compréhension partagée de la crise, analyser<br />
les stratégies que l’ensemble <strong>des</strong> Français ont déployées pour s’adapter à cette<br />
dernière, élaborer collectivement un nouveau référentiel d’accès au «bien<br />
être» pour l’individu et les collectifs sociaux, décrypter le sens, les sens qui<br />
se cachent encore trop peureusement derrière le paradigme du «développement»,<br />
qu’il soit social, économique ou environnemental, durable, vivable,<br />
équitable ou locale... sont les tâches qui attendent tous les professionnels et<br />
plus largement tous les citoyens qui veulent librement participer, dans une<br />
démarche de création d’intelligence collective, à ré-enchanter nos espaces<br />
de vie sociale et donc nos pratiques professionnelles.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Proposition d’une lecture structurelle, macroscopique et systémique de la<br />
crise avec l’analyse de ses effets déconstructeurs du «bien être social».<br />
l Le développement durable, une révolution culturelle pour un nouveau contrat<br />
social adapté au XXI ème siècle ? Le développement, une nouvelle culture<br />
portée par un mouvement social souhaitant combler le «vide de sens» et<br />
ré-enchanter le monde par un projet culturel, politique, social, économique<br />
et environnemental, porteur d’une utopie humaniste qui remet au cœur de<br />
son projet «l’homme, les hommes et leur bien être».<br />
l Comment réfléchir les impacts que ne manquent pas de produire les expérimentations<br />
de développement durable tant sur les mo<strong>des</strong> d’intervention de<br />
l’Etat que sur les mo<strong>des</strong> de gouvernance de nos organisations professionnelles,<br />
associatives...<br />
l En conclusion, le changement est-il souhaitable ? Est-il possible ? Si oui,<br />
comment l’aborder, comment le mettre en œuvre dans nos activité professionnelles<br />
ou bénévoles quotidiennes ? Quelles expériences exittent-il<br />
déjà ? Comment intégrer toutes ces questions dans nos projets institutionnels,<br />
professionnels, associatifs... ?<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Exposés théoriques. Tables ron<strong>des</strong> de personnes engagées. Débats, confrontations<br />
d’idées, travail sur ses représentations. Identification <strong>des</strong> espaces<br />
d’expérimentations possibles.<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’une synthèse écrite en fin de formation permettant au stagiaire<br />
de mettre en perspective les contenus abordés en formation au regard <strong>des</strong><br />
pratiques professionnelles qui sont les siennes. L’objectif est de mesurer<br />
l’impact de la formation sur les représentations mentales que le stagiaire a de<br />
sa pratique professionnelle.<br />
u Philippe VIAL<br />
q Dates : Du 21 au 25/03/11 q Dates : Du 05 au 08/09/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
CLINIQUE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
ANIMATION DES GROUPES D’USAGERS Travail social et territoire :<br />
le développement social local<br />
q<br />
Travailleurs sociaux ou médico-spciaux en charge d’un groupe d’usagers.<br />
q<br />
La loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale, vient de rappeler les droits<br />
<strong>des</strong> usagers déjà traduits depuis longtemps dans les <strong>formations</strong>, les référentiels<br />
de compétences et les pratiques professionnelles <strong>des</strong> travailleurs<br />
sociaux. Ces pratiques de prise en charge, d’accompagnement et d’animation,<br />
face à la détresse croissante <strong>des</strong> publics, la complexité <strong>des</strong> situations et<br />
l’enchevêtrement <strong>des</strong> logiques d’intervention, se doivent d’être entretenues,<br />
développées mais aussi d’évoluer.<br />
q<br />
l Approches historique, socio-politique, institutionnelle, systémique et transactionnelle<br />
de la relation professionnels-usagers.<br />
l Le rôle du travailleur médico-social dans une intervention collective avec<br />
<strong>des</strong> usagers : 1. le respect de l’usager, sujet de droit 2. l’élargissement du<br />
nouveau champ du social 3. le développement <strong>des</strong> pratiques collectives 4.<br />
le travailleur médico-social bien en phase avec le groupe d’usagers : appréhension<br />
juste <strong>des</strong> environnementaux et <strong>des</strong> fondamentaux 5. le travailleur<br />
médico-social engagé dans <strong>des</strong> postures inédites.<br />
l Connaissance <strong>des</strong> groupes et fonctionnement <strong>des</strong> groupes : facteurs d’ordre<br />
opératoire et fonctionnel, facteurs socio-affectifs, les processus d’interaction,<br />
changement et résistance au changement, phénomènes significatifs,<br />
prévention/gestion <strong>des</strong> conflits.<br />
l La méthodologie à la mise en place d’un groupe : connaissance du groupe<br />
(d’individus différenciés) et analyse <strong>des</strong> besoins/deman<strong>des</strong>, facteurs<br />
de cohésion, architecture <strong>des</strong> objectifs, matrices de communication/de<br />
relation/d’interaction.<br />
l Les techniques d’animation d’un groupe : notions de rôle et de style,<br />
leadership et influence sociale, communication verbale/non verbale,<br />
estime de soi, relation d’aide, écoute active, PNL.<br />
l Les limites de la prise en charge collective du groupe d’usagers : contre le<br />
risque d’être submergé, contre le risque de judiciarisation.<br />
q<br />
q<br />
Partir de l’expérience diversifiée <strong>des</strong> stagiaires dans un cadre d’échange, de<br />
réflexion et de co-formation avec analyse <strong>des</strong> situations et <strong>des</strong> besoins. Minibibliothèque<br />
sur place. Support de cours important.<br />
q<br />
Sous la forme d’une synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de formation (éléments<br />
de connaissance, concepts acquis et pratiques d’intervention) et d’un projet<br />
d’application personnelle dans sa situation professionnelle.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
l Cette formation a pour objectifs :<br />
- D’appréhender la grande variation de la pratique professionnelle avec les<br />
usagers, fondée sur la proximité, la mutualité, la nécessité de relations et la<br />
co-production de projets.<br />
- D’apporter un soutien en répondant aux questions et en apportant une formation<br />
technique spécifique.<br />
- De donner <strong>des</strong> outils conceptuels et opérationnels ainsi que <strong>des</strong> méthodologies<br />
de compréhension, d’accompagnement et d’animation qui s’appuient sur <strong>des</strong><br />
logiques de groupe, de projet et de développement.<br />
- De s’inscrire dans un processus permanent de communication, de relation et<br />
d’échange, nécessaire afin de travailler à éviter tout éloignement entre l’appréhension<br />
du monde <strong>des</strong> institutions, <strong>des</strong> professionnels et celle <strong>des</strong> usagers.<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Raymond BICHET<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
q<br />
Public<br />
Travailleurs sociaux, animateurs, chargés de mission/chefs de projets,<br />
coordinateurs dispositifs, dirigeants bénévoles.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Le développement social local se présente aujourd’hui comme l’une <strong>des</strong><br />
perspectives les plus novatrices <strong>des</strong> politiques territoriales. En effet, ce<br />
dispositif - son concept et ses métho<strong>des</strong> - s’affirme un peu partout comme<br />
une démarche particulièrement vectrice de toutes les initiatives rendues<br />
nécessaires pour renforcer l’action sociale locale en réponse à l’amplification<br />
<strong>des</strong> problèmes sociaux.<br />
q<br />
Contenu<br />
- Prérequis : «Connaissance du monde territorial».<br />
Organisation administrative : aménagement du territoire, déconcentration<br />
et décentralisation.<br />
l Intégrer au travail social la dimension du développement :<br />
Impact de la décentralisation - état <strong>des</strong> lieux du «social» et perspectives -<br />
concept de «développement social local» - enjeux politiques, axiologiques<br />
et organisationnels.<br />
l Une configuration nouvelle du travail social :<br />
Espaces/dynamiques/techniques de travail à instaurer entre les missions<br />
d’assistance, d’accompagnement et de développement - référentiel de<br />
compétences plus stratégique : diagnostic, coopération, sociabilité, communication,<br />
négociation, interconnaissance.<br />
l Elaboration d’un projet de développement social local :<br />
La question du territoire pertinent - diagnostic local partagé - participation/<br />
implication <strong>des</strong> habitants (génératrice de lien social) - partenariat actif et<br />
mobilisation forte de l’ensemble <strong>des</strong> acteurs - harmonisation et/ou fusion<br />
<strong>des</strong> dispositifs.<br />
l Méthodologie de projet et actions collectives :<br />
Etude diagnosticale - hypothèses théoriques et opérationnelles - architecture<br />
<strong>des</strong> objectifs - phasage du projet - pilotage du projet - communication -<br />
information - évaluation dynamique.<br />
l Coopération entre les différents niveaux :<br />
Régions, départements et intercommunalités : modalités de coopération,<br />
articulations entre politiques et programmes, dispositifs et actions, expérimentations.<br />
l Conduire le développement dans le social :<br />
Le travail social impliqué dans un mouvement d’ouverture, de réorganisation<br />
stratégique et opérationnelle et de (re)professionnalisation.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Apports théoriques, de techniques et de métho<strong>des</strong>. Analyse de situations.<br />
Réflexions et échanges à partir <strong>des</strong> situations professionnelles <strong>des</strong> participants.<br />
Travaux en sous-groupes. Bibliographie importante à consulter sur place. Support<br />
de cours.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Sous la forme d’une synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de formation (éléments de<br />
connaissance, concepts acquis et pratiques d’intervention) et d’un projet d’application<br />
personnelle dans sa situation professionnelle.<br />
u Raymond BICHET<br />
q Dates : Du 31/01 au 04/02/11 q Dates : Du 28/11 au 02/12/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Objectif<br />
Impliquer les acteurs dans une démarche de développement social local,<br />
afin :<br />
l De les aider à réfléchir sur l’extrême complexité <strong>des</strong> processus à l’oeuvre<br />
dans la prise et l’engagement <strong>des</strong> responsabilités dans le domaine social<br />
particulièrement dans un contexte de décentralisation.<br />
l De les amener à prendre la mesure de l’enjeu de cette forme d’intervention<br />
et en apprécier la signification et la portée - et sous la bannière de ce<br />
processus novateur, les guider et les accompagner dans l’élaboration sur<br />
un territoire pertinent d’une approche globale, cohérente et multi-partenariale<br />
<strong>des</strong> politiques d’action sociale.<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
56
L’Insertion par l’Activité Economique (IAE) :<br />
un nouveau mode d’intervention au service <strong>des</strong><br />
professionnels de l’action sociale et éducative<br />
q<br />
Public<br />
Conseillers en Insertion Sociale et Professionnelle au sein de Structure de<br />
l’Insertion par l’Activité Economique (SIAE), de Misions Locales (ML), de Plan<br />
Locaux pour l’Insertion et l’Emploi (PLIE), de Missions pour l’Information la<br />
Formation et l’Emploi (MIFE)... Tous professionnels de l’intervention sociale<br />
qui souhaitent découvrir, renforcer ses connaissances ou développer <strong>des</strong><br />
partenariats ou <strong>des</strong> projets liés à l’insertion par l’activité économique.<br />
Les mots et les cinq sens<br />
q<br />
Argumentaire<br />
En situation professionnelle, vouloir rendre compte de l’oralité c’est prendre<br />
le risque de la fluctuation de l’information. Pour que l’écriture vienne au<br />
secours de l’oralité, il s’agit d’interroger les mots avant et après les avoir écrit.<br />
Les perceptions aussi infimes soient-elles, doivent être repérées pour être<br />
transmises sans trahir la signification. L’écrit devient vecteur d’une information<br />
complète, sans déperdition quand les 5 sens ont été mis à contribution.<br />
CLINIQUE<br />
q<br />
Depuis maintenant une vingtaine d’années, à l’intersection <strong>des</strong> champs de<br />
l’économie et du social, <strong>des</strong> professionnels de l’intervention sociale expérimentent<br />
de nouvelles formes d’action sociale et éducative : «l’insertion par<br />
l’activité économique». Au travers <strong>des</strong> Ateliers Chantiers d’Insertion (ACI),<br />
<strong>des</strong> Associations Intermédiaires (AI), <strong>des</strong> Entreprises de Travail Temporaire<br />
d’Insertion (ETTI), <strong>des</strong> Entreprises d’Insertion (EI), c’est un ensemble de<br />
nouvelles pratiques d’intervention sociale que vient de légitimer l’Etat. Cette<br />
légitimation s’est opérée d’une part au travers <strong>des</strong> résultats issus du Grenelle<br />
de l’insertion et d’autre part la loi de décembre 2009 qui redéfinie à la fois les<br />
missions de l’IAE ainsi que ces modalités de conventionnement et de financement.<br />
Acteurs <strong>des</strong> politiques publiques de l’emploi et de l’inclusion sociale,<br />
acteurs économiques à part entière et agent de développement local, les<br />
structures d’insertion par l’activité économique ont su en vingt ans s’imposer<br />
dans le champ <strong>des</strong> politiques sociales comme un complément, voir une alternative,<br />
à <strong>des</strong> mo<strong>des</strong> d’intervention plus historiques.<br />
Apparue en même temps que le chômage de masse, l’insertion par l’activité<br />
économique postule que l’accès à l’emploi, qui demeure un droit constitutionnel,<br />
peut aussi représenter un véritable outil pédagogique pour construire<br />
<strong>des</strong> parcours d’insertion sociale et prendre en charge la multitude <strong>des</strong> difficultés<br />
que rencontrent les personnes en voie de marginalisation.<br />
q<br />
l Histoire de l’évolution de la «question sociale» <strong>des</strong> politiques sociales et<br />
<strong>des</strong> mo<strong>des</strong> d’intervention sociale de la fin du XIX è à nos jours.<br />
l 1975-2009, la longue naissance, formalisation puis reconnaissance du<br />
champ de l’IAE à côté ou en parallèle <strong>des</strong> politiques publiques de l’emploi et<br />
de lutte contre l’exclusion.<br />
l Les gran<strong>des</strong> familles au sein de l’IAE, objectifs, mo<strong>des</strong> de fonctionnement,<br />
financements, ...<br />
l Les acteurs nationaux chargés de représenter le secteur de l’IAE auprès<br />
<strong>des</strong> instances politiques, gouvernementales et administratives Françaises<br />
et leurs mo<strong>des</strong> d’intervention.<br />
l Métho<strong>des</strong> et outils de l’accompagnement social et professionnel <strong>des</strong><br />
personnes prises en charge par les Structures de l’Insertion par l’Activité<br />
Economique.<br />
l Le conseiller en insertion sociale et professionnelle, une nouvelle figure du<br />
travail social.<br />
q<br />
Exposés théoriques. Présentation d’expériences. Débats, confrontations<br />
d’idées, échanges sur les pratiques. Identification <strong>des</strong> espaces d’expérimentations<br />
possibles.<br />
q<br />
Réalisation d’une synthèse écrite en fin de formation permettant au stagiaire<br />
de mettre en perspective les contenus abordés en formation au regard <strong>des</strong><br />
pratiques professionnelles qui sont les siennes. L’objectif est de mesurer<br />
l’impact de la formation sur les représentations mentales que le stagiaire a de<br />
sa pratique professionnelle.<br />
q<br />
57<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Philippe VIAL<br />
www.afore-formation.com<br />
q<br />
Contenu<br />
l A partir de propositions d’écriture expérimentées depuis de nombreuses<br />
années par la formatrice, nous utiliserons notre matériel naturel, le corps et la<br />
pensée, pour produire un discours écrit, compréhensible par l’autre différent.<br />
. Les 5 sens seront sollicités, fruits, matières, etc..<br />
. Les mots : sonores et silencieux.<br />
. Création de textes.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Le temps sera divisé en trois :<br />
Temps théorique (Rolland Barthes, Annick de Souzenelle, Michel Cosem,<br />
Ron Kuka...). Temps d’expérimentation <strong>des</strong> sens (végétaux, liqui<strong>des</strong>, soli<strong>des</strong><br />
etc...). Temps d’écriture, lectures et échanges. Les stagiaires repartiront<br />
avec une bibliographie et <strong>des</strong> documents pédagogiques qui leur permettront<br />
de continuer à mettre en pratique, tant dans leur vie professionnelle que<br />
personnelle.<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage. Evaluation individuelle.<br />
u Rachida LAAKROUCHI<br />
q Dates : Du 19 au 21/09/11 q Dates : Du 09 au 13/05/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
Objectif<br />
l Expérimenter l’impact <strong>des</strong> mot sur les sens.<br />
l Reconnaître l’information.<br />
l Adapter les perceptions à l’écrit.<br />
l Produire du texte personnel et professionnel.<br />
Lieu : Toulouse (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT
Q<br />
CLINIQUE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
Q<br />
Le métier de secrétaire au cœur de<br />
logiques culturelles, fonctionnelles<br />
et relationnelles. Comment se situer ?<br />
q<br />
Les secrétaires, assistances en lien avec tous les services de l’institution et<br />
le public<br />
q<br />
Les secrétaires <strong>des</strong> secteurs sociaux ou médico-sociaux sont au carrefour<br />
de la réalité <strong>des</strong> familles, les logiques <strong>des</strong> collègues et leur propre représentation<br />
de la mise en oeuvre de leur métier. Elles vivent au quotidien les<br />
difficultés de l’action sociale, sans toujours de formation spécifique. Cette<br />
formation fera le point sur la place de la secrétaire dans l’institution en combinant<br />
: l’accueil en lien avec tous les services, les facteurs fonctionnels ou<br />
relationnels qui favorisent ou non la complémentarité entre les acteurs afin<br />
de pouvoir proposer <strong>des</strong> changements lors de leur retour dans l’institution.<br />
q<br />
Accueil centré sur le thème permettant la confiance, l’égalité de la parole,<br />
l’adhésion à l’objectif et à la démarche.<br />
l Travailler sur l’identite professionnelle pour faire emerger les differences et<br />
les complementarites.<br />
- Repérer le sens de ma fonction et faire émerger la vision <strong>des</strong> collègues et<br />
du public accueilli pour mieux rejoindre la finalité de l’institution.<br />
- Faire émerger les lieux privilégiés <strong>des</strong> dysfonctionnements.<br />
- Les notions de métiers «noble» et métiers «vils» et les valeurs motrices<br />
de l’action dans la culture française et le quotidien professionnel.<br />
l S’approprier <strong>des</strong> outils de decodage et de resolution de problemes relationnels<br />
ou organisationnels.<br />
Identifier et s’approprier <strong>des</strong> «indicateurs culturels» permettant de<br />
comprendre les enjeux <strong>des</strong> dysfonctionnements dans la communication<br />
ou sur le plan de l’organisation.<br />
q<br />
q<br />
Echanges structurés autour d’outils permettent la distanciation, la révélation<br />
<strong>des</strong> vécus et le partage avec les autres. Animation <strong>des</strong> apports théoriques<br />
concluant les productions <strong>des</strong> sous-groupes. Exemples et analyses de situations<br />
vécues ou par les participantes<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Objectif<br />
A l’issu du stage les personnes seront capables de :<br />
l Positionner leur fonction à l’intérieur du cadre global de fonctionnement de<br />
l’institution.<br />
l Repérer les supports et les enjeux <strong>des</strong> dysfonctionnements entre services, entre<br />
collègues.<br />
l Connaître <strong>des</strong> repères culturels fondateurs de l’identité pour améliorer leur<br />
relation aux autres et leurs modalités d’organisation.<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
A partir <strong>des</strong> éléments de diagnostic vus en stage chaque participant proposera<br />
un programme <strong>des</strong> principales modifications qu il ou elle souhaite opérer<br />
dans sa pratique et dans les rapports qu il ou elle entretient avec collègues<br />
et hiérarchie.<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenants cf p.2<br />
Travail en réseau, pratique de coopération<br />
u Christine BONNOT u Annick LAINÉ u Sylvain ABRIAL<br />
q Dates : Du 19 au 22/09/11 q Dates : Du 03 au 07/10/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Travailler en réseau est devenu une nouvelle méthodologie du travail social,<br />
mettant en relation quasi permanente <strong>des</strong> équipes complémentaires autour<br />
d’une personne ou d’une famille, pour une mission déterminée. Démarche<br />
transversale, le travail en réseau dépasse les organisations hiérarchiques<br />
et verticales. Il s’agit bien d’un nouveau maillage territorial, qui suppose la<br />
reconnaissance et le respect <strong>des</strong> positions <strong>des</strong> acteurs. La spécificité du<br />
travail en réseau provient du libre choix de participer ou d’activer le réseau<br />
en vue d’un objectif commun partagé et de l’acceptation de la différence de<br />
points de vue. Il fait appel à la coopération. La coopération est le maître mot<br />
dans toute situation de projet collectif. C’est également un concept que l’on<br />
retrouve à l’échelon institutionnel, interétatique.<br />
Parle-t-on de la même chose quand il s’agit d’œuvrer ensemble ?<br />
Fonctionne-t-on dans une logique de réseau opérationnel, de partenariat, est<br />
on aussi coopératif que l’on veut bien l’entendre ?<br />
Quelle identité collective fait on émerger quand on travail en partenariat, en<br />
quoi cela bouscule-t-il nos pratiques, nos mo<strong>des</strong> de fonctionnement ?<br />
Comment appréhender de nouvelles manières d’œ uvrer ensemble et de nouveaux<br />
fonctionnements professionnels tels que le travail à distance, la coopération<br />
transversale, ainsi que les nouveaux mo<strong>des</strong> de coopération adaptés<br />
aux nouveaux outils technologiques ?<br />
Le travail en réseau s’inscrit dans une ouverture interculturelle au bénéfice<br />
de l’usager mais aussi du professionnel qui, non seulement découvre et<br />
apprend au contact <strong>des</strong> partenaires mais également se voit reconnu dans<br />
sa spécificité professionnelle. Le réseau est un outil de travail qui diminue<br />
les risques de la toute puissance de l’intervenant. C’est un lieu d’échanges ;<br />
d’information et un lieu de partage de la pratique. Afin d’en comprendre les<br />
enjeux et les spécificités, nous vous proposons une approche plurielle du<br />
phénomène.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Définition du concept.<br />
l Typologie <strong>des</strong> réseaux.<br />
l Institution, partenariat et réseau : différences et similitu<strong>des</strong>.<br />
l La place de chacun dans le réseau.<br />
l La méthode du réseau.<br />
l Les conditions de réussite.<br />
l Les dérives à identifier.<br />
l La coopération : une pratique efficace.<br />
q<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Apports théoriques avec bibliographie et supports pédagogiques. Partage et<br />
analyse d’expériences du terrain. Mises en situation.<br />
q<br />
Objectif<br />
l Définir le travail de partenariat entre équipes complémentaires.<br />
l Intégrer, animer, entretenir, créer un réseau.<br />
l Comprendre ce que coopérer veut dire.<br />
l Repenser la notion de «faire ensemble» et la gestion de projets collectifs.<br />
l Se donner <strong>des</strong> indicateurs de qualité d’un travail partenarial.<br />
l Comparer les différentes situations de coopération repérées à différents<br />
niveaux de la société à celles vécues dans notre quotidien professionnel.<br />
Évaluation<br />
Réalisation individuelle d’une cartographie du réseau professionnel.<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
58
Communication<br />
Droit et Gestion
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
Les écrits professionnels dans le travail<br />
social “Une complexité abordable”.<br />
La méthodologie de l’écriture professionnelle<br />
q<br />
Les professionnels du social et médico-social.<br />
q<br />
La pratique d’écriture n’est pas un acte spontané. Elle concerne quelques<br />
points importants à soulever : l’appropriation <strong>des</strong> contraintes sociolinguistiques,<br />
l’examen <strong>des</strong> places que les acteurs occupent dans un système<br />
d’action concret d’échange, le désir de ne pas lâcher sur ce que le scripteur<br />
en tant que sujet veut transmettre dans cet échange. Il s’agit donc, dans<br />
un prémier temps, pour comprendre la complexité de l’écriture au sein du<br />
travail social de repérer les différents types de l’écrit et tenter de les articuler.<br />
L’ensemble de ces mo<strong>des</strong> d’écriture est articulé et a de multiples facettes.<br />
Qu’il s’agisse d’écrire <strong>des</strong> fiches d’observation pour garder en mémoire un<br />
événement, d’écrire pour partager <strong>des</strong> in<strong>formations</strong> avec <strong>des</strong> collègues dans<br />
un cahier de liaison, d’écrire un rapport de synthèse pour les partenaires,<br />
d’écrire une note d’observation ou un rapport pour le juge ou l’organisme<br />
de tutelle, ou encore, écrire pour une information ou une communication à<br />
l’usager, à la famille, d’écrire un contrat de séjour individualisé, d’écrire un<br />
projet éducatif ou un projet pédagogique, nous sommes en présence d’un<br />
réseau d’écriture qui constitue la toile de fond sur laquelle évolue tous les<br />
acteurs institutionnels.<br />
Les nouvelles lois qui régissent le secteur social, notamment la loi de 2002,<br />
réclament <strong>des</strong> écrits, pour ponctuer l’action éducative et évaluer les pratiques<br />
<strong>des</strong> professionnels. En effet, le temps d’écriture permet, en amont, une<br />
réflexion, une analyse et une mise à distance <strong>des</strong> événements survenus<br />
dans un contexte particulier. Ecrire dans le travail social, c’est aussi laisser<br />
une trace, inscrire, dans l’histoire d’une personne, un moment de sa vie<br />
qu’elle pourra peut être consulter un jour. Si la situation décrite est complexe,<br />
le travailleur social se doit de veiller à ne pas stigmatiser la personne en<br />
employant <strong>des</strong> termes susceptibles d’être interprétés à contresens. Ecrire,<br />
c’est permettre à l’autre de lire ce que j’écris.<br />
q<br />
l Le sens <strong>des</strong> écrits professionnels du secteur social.<br />
l La contextualisation <strong>des</strong> écrits du secteur social.<br />
l Les questions de l’écriture : à qui ? pourquoi ? comment ?<br />
l Les imaginaires qui freinent l’acte de l’écriture.<br />
l La responsabilité juridique <strong>des</strong> écrits.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Développer une réflexion sur les écrits professionnels du secteur social.<br />
l Comprendre les enjeux de la communication écrite.<br />
l Délier l’écriture.<br />
l Repérer sa place de scripteur.<br />
l Adapter l’écrit à la demande de l’interlocuteur.<br />
l Respecter les exigences contextuelles.<br />
l Améliorer une technique d’écriture.<br />
q<br />
Quelques exercices simples permettront d’entamer une réflexion dynamique<br />
à l’issue de laquelle nous viserons une meilleure appropriation <strong>des</strong> processus<br />
d’écriture.<br />
Nous questionnerons les difficultés qui peuvent se présenter dans l’approche<br />
de l’écriture dans le travail social, en prenant appui sur <strong>des</strong> productions écrites<br />
telles qu’elles se présentent dans la pratique.<br />
Ainsi à partir d’expériences professionnelles et d’outils méthodologiques<br />
nous mettrons en place :<br />
une réflexion à partir d’éléments théoriques et pratiques, une lecture <strong>des</strong><br />
écrits en groupe, un travail de réécriture à partir d’écrits anonymés apportés<br />
par les stagiaires ou la formatrice.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation finale individuelle d’écrits professionnels à partir <strong>des</strong> écrits de chaque<br />
stagiaire et <strong>des</strong> apports de la formation<br />
Comprendre, Interpréter, Parler<br />
Intervenantes cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Annick LAINÉ<br />
u Dominique HOLLE<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Aphrodite MORALI<br />
u Muriel CROS<br />
q Dates : Du 16 au 20/05/11 q Dates : Du 16 au 19/05/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Les échanges verbaux constituent la base <strong>des</strong> bonnes relations interindividuelles<br />
et de l’efficacité du travail au sein du monde professionnel que ce<br />
soit en communication interne ou externe. Souvent considérées comme<br />
«allant de soi», les formes de communication sont rarement envisagées pour<br />
elles-mêmes laissant perdurer d’innombrables sources de malentendus :<br />
de la simple «mauvaise compréhension» aux malentendus les plus graves...<br />
Elaborer une réflexion profonde et se donner l’opportunité de mieux maîtriser<br />
les fonctionnements en action dans tout acte de communication devient<br />
un impératif dans un monde où l’on a trop souvent tendance à confondre<br />
«informer» et «communiquer». La linguistique ne fournit pas de «recettes<br />
toutes faites», <strong>des</strong> «boîtes à outil» pour une quelconque «technique» qui<br />
conduirait à un idéal de manipulation communicationnelle ; elle permet en<br />
revanche de mieux appréhender la complexité <strong>des</strong> mécanismes mis en jeu<br />
dans toute action de communication et c’est en cela qu’elle peut s’avérer très<br />
utile à l’individu dont la profession repose plus ou moins sur les mots qu’il<br />
échange avec les autres.<br />
q<br />
Contenu<br />
l La Linguistique représente l’une <strong>des</strong> sciences qui s’est spécialisée dans<br />
l’analyse de ces questions et a développé certains appareils conceptuels<br />
généraux propres à s’appliquer à tout type de communication.<br />
Les éléments conceptuels du stage seront issus <strong>des</strong> théories et auteurs<br />
suivants :<br />
- La théorie du Signe (base de la linguistique).<br />
- Théorie de la communication : Dan Sperber.<br />
- Un schéma de la communication : Jean-Blaise Grize.<br />
- Les relations lexicales : Alain Rey.<br />
- Les fonctions du langage : Roman Jakobson.<br />
- L’implicite et les compétences nécessaires à tout acte d’interprétation :<br />
Catherine Kerbrat-Orecchioni.<br />
q<br />
l L’objectif de ce stage est de fournir aux stagiaires les moyens de mieux<br />
appréhender les mécanismes en action dans tout processus de communication.<br />
Comment comprenons-nous ce que l’on nous dit ? Comment les<br />
autres comprennent-ils ce que nous disons ? Quels sont les mécanismes<br />
interprétatifs mis en jeu ? Comment fonctionne le langage ? Comment<br />
réinvestir l’ensemble de ces savoirs sur les fonctionnements de la parole<br />
dans sa pratique professionnelle ?<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Trois types principaux d’énoncés seront envisagés et analysés : énoncés<br />
«in vivo» produits dans le stage, énoncés fixés sur <strong>des</strong> supports vidéos et<br />
mots écrits.<br />
- Analyse comparée <strong>des</strong> interprétations <strong>des</strong> stagiaires à certains énoncés :<br />
les possibles signifiés.<br />
- Analyse de discours enregistrés (vidéos) : décryptages <strong>des</strong> stratégies du<br />
locuteur et <strong>des</strong> possibles interprétations de l’interlocuteur.<br />
- Analyse linguistique de publicités publiées en magazines : analyse <strong>des</strong><br />
mécanismes d’élaboration du sens (le mot, le préconstruit culturel et l’inférence).<br />
Le stage fera ainsi alterner les moments de transmission <strong>des</strong> connaissances<br />
et les mises en situation sous la forme d’exercices très variés basés sur de<br />
nombreux supports.<br />
De nombreux échanges et débats seront suscités pour enrichir les analyses<br />
personnelles.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de la formation (concepts acquis) et articulation<br />
avec l’exercice futur de sa profession (projet d’application personnelle dans<br />
son espace professionnel).<br />
Lieu : Aix-en-Provence (13)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
60
Relations aux Mots - Relations aux Mon<strong>des</strong><br />
q<br />
Dans les situations professionnelles quotidiennes, l’utilisation du langage<br />
est souvent réduite aux fonctions purement informatives ou prescriptives<br />
comme si le langage était un instrument de transmission totalement neutre.<br />
Vouloir améliorer sa compétence communicationnelle nécessite de questionner<br />
sa relation individuelle au langage et de se positionner en tant que sujet<br />
porteur de paroles. Ainsi les relations que nous entretenons avec les mots<br />
déterminent de façon profonde notre relation avec les différents mon<strong>des</strong><br />
dans lesquels nous évoluons et, réciproquement, notre façon de nous situer<br />
dans le monde détermine notre façon de parler.<br />
q<br />
l Le stage articule les théories de la linguistique et divers champs d’expériences<br />
individuelles : travail sur le corps et la voix, relation de soi aux<br />
objets, double marionnette/locuteur.<br />
l Toutes les dimensions du signe seront abordées et explorées avec une<br />
préférence pour les aspects concrets, sensibles et matériels du signifiant :<br />
- dimension orale : le son, la voix, le «dire»...<br />
- dimension écrite : la graphie, la forme...<br />
- incorporation : l’objet, la marionnette, l’autre, soi.<br />
l Les travaux et réalisations d’artistes : poètes, acteurs, chorégraphes,<br />
écrivains, performeurs... fourniront les sources et exemples <strong>des</strong> processus<br />
créatifs qui seront utilisés durant le stage.<br />
Parmi ceux-ci on citera : Apollinaire - Julien Blaine - Andy Goldsworthy<br />
Valère Novarina - Georges Pérec - Pina Bausch - Jacques Roubaud - Ghérasim<br />
Luca - André du Bouchet...<br />
q<br />
q<br />
61<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Comprendre les éléments fondamentaux de la Communication.<br />
l Explorer les dimensions signifiantes du langage et du corps.<br />
l Développer <strong>des</strong> solutions imaginatives face à <strong>des</strong> situations concrètes de<br />
communication.<br />
l Réfléchir à comment adapter les contenus du stage à sa pratique professionnelle.<br />
q<br />
Le stage fera se succéder temps théoriques, exercices pratiques et réflexions.<br />
Les apprentissages et explorations se feront sous forme individuelle, en<br />
binômes ou en petits groupes. Chaque proposition, individuelle ou collective,<br />
sera appréhendée et commentée par le groupe. Plusieurs outils d’enregistrements<br />
seront utilisés tout au long du stage et seront rassemblés dans un cd<br />
collectif final contenant <strong>des</strong> photos, <strong>des</strong> enregistrements de voix, <strong>des</strong> vidéos<br />
d’exercices pratiques (donné à chaque stagiaire à la fin du stage).<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage. Evaluation individuelle.<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Muriel CROS<br />
q Dates : Du 20 au 23/06/11<br />
Lieu : Marseille (13)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
u Michaël CROS<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
Méthodologie et conduite du Projet<br />
Individualisé.<br />
Rôle et fonction du référent, coordonnateur<br />
q<br />
Tout professionnel du secteur social et médico-social intervenant dans le<br />
processus de personnalisation de l’accueil et de l’accompagnement <strong>des</strong><br />
enfants, adolescents ou adultes.<br />
q<br />
La personnalisation <strong>des</strong> accueils et <strong>des</strong> accompagnements est une obligation<br />
rappelée par la loi de 2002-2 et la loi du 11/02/2005. Associer l’usager à<br />
l’élaboration, au suivi et à l’évaluation de son Projet (et les parents/représentants<br />
légaux s’il y a lieu) est un <strong>des</strong> droits garantis par la Charte nationale <strong>des</strong><br />
droits et libertés qui concourt à la prévention <strong>des</strong> risques de maltraitance en<br />
institution. C’est surtout un levier pour conforter la personne dans sa qualité<br />
de sujet et de citoyen.<br />
La personnalisation <strong>des</strong> prises en charge confronte les professionnels <strong>des</strong><br />
établissements et services à <strong>des</strong> difficultés éthiques, méthodologiques,<br />
organisationnelles et de relations avec leurs partenaires.<br />
Exercer la fonction de référent relève d’une dimension clinique qui nécessite<br />
une régulation avec «l’équipe pluridisciplinaire ; elle est souvent couplée à la<br />
dimension technique d’assemblier» de tous les praticiens et de leurs bilans<br />
d’observations, dans un travail en lien étroit avec le chef de service.<br />
q<br />
l Les étapes de la méthodologie du Projet Personnalisé.<br />
- L’évaluation <strong>des</strong> deman<strong>des</strong> et besoins <strong>des</strong> usagers en fonction de leurs<br />
problématiques ; modalités de recueil <strong>des</strong> observations et <strong>des</strong> in<strong>formations</strong>.<br />
- La détermination <strong>des</strong> objectifs généraux et spécifiques de l’accueil et de<br />
l’accompagnement <strong>des</strong> personnes : leur traduction en un plan d’actions et<br />
d’attitu<strong>des</strong> avec estimation <strong>des</strong> ressources humaines et <strong>des</strong> moyens à<br />
mobiliser.<br />
- La procédure de suivi, d’évaluation, de ré-orientation, de sortie de l’établissement<br />
ou service.<br />
l La conduite participative du Projet Personnalisé.<br />
- La notion et la fonction essentiellement clinique de «référent» (relations<br />
à la personne accueillie ou accompagnée) et ses régulations.<br />
- La notion et la fonction essentiellement technique de «coordinateur de<br />
Projet» («assemblier» <strong>des</strong> professionnels) ; articulation avec le Chef de<br />
service, ...<br />
- L’association de la personne et de ses parents, s’il y a lieu, à toutes les étapes<br />
du Projet Personnalisé.<br />
- La place accordée aux partenaires dans le processus d’élaboration du<br />
Projet Personnalisé.<br />
q<br />
Métho<strong>des</strong> actives avec mutualisation <strong>des</strong> pratiques, techniques et outils<br />
utilisés par les participants. Apports théoriques et méthodologiques. Exercices<br />
et construction d’outils.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l S’approprier la méthodologie d’élaboration du projet personnalisé.<br />
l Apprendre à lier «méthodologie» et «conduite» d’un projet.<br />
l Réfléchir aux implications de la fonction de référent.<br />
l Se doter d’outils pour la fonction de coordinateur de projet.<br />
q<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Un écrit individuel sur table en fin de formation : analyse critique d’un projet<br />
personnalisé (anonyme) proposé aux stagiaires par le formateur avec<br />
formulation de propositions d’amélioration.<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Jean Pierre COIFFEY<br />
q Dates : Du 17 au 20/01/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
u Yvan FAUCHON<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
Développer son intelligence émotionnelle<br />
pour mieux gérer son stress en situation professionnelle<br />
et harmoniser ses relations au travail<br />
q<br />
Les émotions et le stress qu’elles génèrent sont au centre de nos relations à<br />
nous-mêmes et autres, que ce soit dans le cadre de nos activités professionnelles<br />
ou personnelles.<br />
Malgré la popularité que connaît aujourd’hui la notion «d’intelligence émotionnelle»,<br />
nous sommes forcés de constater que dans leur ensemble la<br />
plupart de nos contemporains demeurent tout aussi «illettrés» dans ce<br />
domaine du développement humain que nos ancêtres étaient analphabètes<br />
avant que ne se mette en place la scolarisation pour tous !<br />
Stress, peur, angoisse, anxiété, trac... autant de mots sur <strong>des</strong> maux qui nous<br />
font «signe» sur ce qui se joue en nous entre ce qui veut s’exprimer, l’émotion<br />
et ce qui le comprime, le stres(se)..<br />
Malheureusement, nous manquons le plus souvent <strong>des</strong> outils adéquats pour<br />
pouvoir prendre en compte et utiliser ces messages. Faute de quoi, nous<br />
nous épuisons, en pure perte la plupart du temps, à ne pas nous laisser<br />
«troubler» par ce que nous identifions comme une menace pesant sur<br />
notre rationalité objective, alors que, bien au contraire, l’émotion, lorsqu’elle est<br />
régulée est une inestimable source de compréhension et de clarté.<br />
q<br />
l Eléments de grammaire émotionnelle : sensations, émotions, affects,<br />
humeurs, sentiments...<br />
l Différence entre «stress» et «stressor».<br />
l Le rapport entre le stress et les émotions<br />
l Eléments de la biologie <strong>des</strong> émotions : processus neuro-chimiques et<br />
physiologiques qui accompagnent les émotions.<br />
l Les filtres et les mécanismes qui médiatisent notre perception du monde<br />
et notre rapport aux autres.<br />
l Les présupposés, les attitu<strong>des</strong> de base et les outils de la communication<br />
bienveillante.<br />
l Exercices de mises situation et d’apprentissage à la fois ludiques et cadrés.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Acquérir <strong>des</strong> outils utiles pour développer son intelligence émotionnelle et<br />
réguler son stress en situation professionnelle.<br />
l Comprendre le pouvoir de l’auto-empathie et de l’empathie pour faire face aux<br />
situations professionnelles difficiles.<br />
l Apprendre à observer sans évaluer toute attitude ou comportement<br />
d’usagers ou collègues.<br />
l Apprendre à reconnaître les besoins et les attentes que manifestent les émotions<br />
(les nôtres et celles de ceux avec qui nous sommes en interaction).<br />
l Reconnaître sa responsabilité à l’égard de ses propres émotions, quels que<br />
soient la situation professionnelle ou les interlocuteurs.<br />
l Apprendre à exprimer ses émotions de façon satisfaisante pour soi et pour les<br />
autres de façon à rester centré sur les objectifs de sa fonction tout en respectant<br />
ses valeurs et celles de l’institution.<br />
l Apprendre à accueillir une demande et à y répondre de façon appropriée au<br />
cadre et au contexte.<br />
l Apprendre à formuler une demande de façon appropriée, en tenant compte du<br />
cadre (type de situation professionnelle) et du contexte (paramètres de l’interaction).<br />
q<br />
Métho<strong>des</strong> actives favorisant la participation <strong>des</strong> stagiaires. Alternances de<br />
séquences consacrées aux apports théoriques et d’exercices visant à se<br />
familiariser avec le maniement <strong>des</strong> outils proposés. Temps de partages et<br />
d’analyses d’expériences professionnelles en lien avec l’objet du stage.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un travail de réflexion individuelle sur la façon dont les éléments<br />
apportés par le stage pourront être adaptés aux spécificités institutionnelles<br />
<strong>des</strong> stagiaires et intégrés à leurs pratiques professionnelles.<br />
Intervenant cf p.2<br />
u Jacques LARIS<br />
q Dates : Du 09 au 13/05/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Améliorer ma qualité d’éCOUTE<br />
et d’expression<br />
q<br />
Savoir prendre du recul avec l’individu que nous sommes pour mieux servir la<br />
fonction que nous représentons, améliorer ma capacité d’accueil et d’écoute<br />
dans un entretien, prendre l’initiative d’un échange plus perspicace et positif,<br />
trouver une réelle synergie avec l’interlocuteur en étant plus conscient de<br />
tout ce qui «se joue» dans cette interdépendance.<br />
Le corps et les attitu<strong>des</strong> corporelles étant le premier vecteur de l’échange,<br />
l’aspect non-verbal de la communication sera approfondi, ainsi que la mise à<br />
distance <strong>des</strong> pensées et <strong>des</strong> émotions pour une meilleure présence à l’enjeu<br />
du moment. L’écoute active et le travail sur l’expression verbale seront développés<br />
pour l’élaboration d’une communication de qualité.<br />
q<br />
l L’accueil et l’écoute dans la conduite d’entretien :<br />
Resté centré en moi-même et orienté vers l’autre, compréhension et<br />
interprétation, la manière de «dire», le questionnement, la synchronisation,<br />
comment anticiper, écouter, reformuler, le ressenti, l’écoute active.<br />
l Les enjeux d’une communication plus «consciente» :<br />
Ma façon de communiquer (points forts, points faibles), la notion de cohérence,<br />
les différentes zones d’interaction, la prise de recul, le recentrage<br />
intérieur, le langage corporel, harmoniser mes schémas comportementaux,<br />
les liens pensées-émotions envisagés par les quatre éléments.<br />
l Mieux gérer les situations délicates :<br />
Les différentes attitu<strong>des</strong> de défenses, développer «l’assertivité», mieux<br />
gérer les sollicitations simultanées (savoir partager son attention),<br />
comment m’adapter au point de vue de l’autre en exprimant le mien.<br />
l Gestion du stress :<br />
Définir mon «profil stress», le stress perçu et les réactions disproportionnées,<br />
savoir gérer le stress en situation, la visualisation positive, la prévention du<br />
stress.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Comment avoir une attitude en synergie avec l’interlocuteur.<br />
l Savoir susciter la participation active de l’interlocuteur pour un entretien<br />
efficace.<br />
l Mieux gérer les tensions provoquées par <strong>des</strong> situations délicates.<br />
l Valoriser l’image de soi pour se sentir plus performant.<br />
l Savoir mieux gérer mes émotions.<br />
l Acquérir <strong>des</strong> outils concrets pour gérer le stress.<br />
q<br />
Alternance de théorie, d’exercices pratiques, de jeux de rôles, d’auto tests et<br />
d’exploration commune d’expériences vécues. Venir avec une tenue confortable<br />
et un tapis de sol (couverture, serviette...).<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Expérimentation de la théorie par la réalisation d’exercices périodiques<br />
pendant toute la durée de la formation. Application individuelle du contenu<br />
et <strong>des</strong> interpellations du stage avec un accompagnement personnalisé, par<br />
la mise en pratique finale de situations issues du contexte professionnel,<br />
suivie d’une évaluation avec chaque stagiaire. Le désir réel de se mettre en<br />
expérience est indispensable pour que chacun soit acteur de son changement.<br />
La mise en disponibilité est progressive et sécurisante.<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Francine LORIN-BLAZQUEZ<br />
q Dates : Du 15 au 18/03/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
62
Optimiser sa communication dans<br />
l’affirmation de soi et le respect<br />
de l’autre<br />
q<br />
Tout acte de communication performant implique la capacité de garder une<br />
distance avec ce qui est vécu, en comprenant l’enjeu de ce que l’on renvoie<br />
tout en restant ancré en soi même. Mieux connaître la façon de se percevoir<br />
et d’entrer en interaction avec un interlocuteur pour augmenter son efficacité<br />
professionnelle dans l’acte de communiquer sera l’enjeu de ce stage. A<br />
travers une exploration approfondie de ses deux aspects, verbal et non-verbal,<br />
nous aborderons <strong>des</strong> points importants utiles au «communiquant», tels que<br />
la gestion de l’agressivité verbale et du stress, la relation avec le «dit», la<br />
notion d’intention et de recentrage intérieur.<br />
q<br />
l Connaissance de soi.<br />
Comment garder contact avec moi-même en étant «face» à l’autre, mon<br />
profil personnel de «communiquant», mes croyances restrictives, l’image<br />
de soi (comment je me perçois et je suis perçu), la notion de «distance» et<br />
de relation, comment harmoniser mes schémas comportementaux.<br />
l Optimiser la communication non verbale.<br />
Le langage corporel comme axe d’une communication plus consciente, les<br />
différentes zones d’interaction, la notion de cohérence, le ressenti, le<br />
recentrage intérieur.<br />
l Améliorer la communication verbale.<br />
La prise de contact, la façon de parler (l’intonation, le rythme, le débit, la<br />
respiration, l’intention derrière la parole) l’entretien, la relation avec un<br />
auditoire, comment développer la «fluidité mentale».<br />
l Mieux gérer l’agressivité verbale.<br />
Les différentes attitu<strong>des</strong> de défenses, développer l’assertivité, l’écoute<br />
active, l’attention divisée pour mieux gérer les sollicitations simultanées,<br />
m’adapter à l’autre en exprimant mes besoins.<br />
l Gestion du stress.<br />
Le mécanisme du stress, définir mon «profil stress», le stress perçu et les<br />
réactions disproportionnées, savoir gérer le stress en situation, la prévention<br />
du stress.<br />
q<br />
q<br />
63<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Devenir plus conscient <strong>des</strong> différents enjeux dans l’acte de communiquer.<br />
l Cerner mes points forts et mes points faibles dans ma façon d’entrer en<br />
communication.<br />
l Mieux s’exprimer devant un auditoire.<br />
l Comment m’adapter à un interlocuteur.<br />
l Acquérir une meilleure confiance en moi pour gérer les situations délicates.<br />
l Savoir mieux gérer mes émotions dans mon espace professionnel.<br />
l Acquérir <strong>des</strong> outils concrets pour gérer le stress.<br />
q<br />
Alternance de théorie, d’exercices pratiques, de jeux de rôles, d’auto tests et<br />
d’exploration commune d’expériences vécues. Apprendre un petit texte de<br />
son choix, d’une dizaine de lignes qui ne soit pas un poème ni un conte et<br />
avec lequel on se sente «en amitié». Venir avec une tenue confortable et un<br />
tapis de sol (couverture, serviette...).<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Expérimentation de la théorie par la réalisation d’exercices périodiques<br />
pendant toute la durée de la formation. Application individuelle du contenu<br />
et <strong>des</strong> interpellations du stage avec un accompagnement personnalisé, par<br />
la mise en pratique finale de situations issues du contexte professionnel,<br />
suivie d’une évaluation avec chaque stagiaire. Le désir réel de se mettre en<br />
expérience est indispensable pour que chacun soit acteur de son changement.<br />
La mise en disponibilité est progressive et sécurisante.<br />
www.afore-formation.com<br />
LA GESTION DU TEMPS<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Francine LORIN-BLAZQUEZ<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Monique GARCIA<br />
q Dates : Du 20 au 24/06/11 q Dates : Du 31/01 au 01/02/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Le problème du temps se pose dans toutes les organisations, l’accélération<br />
générale <strong>des</strong> changements, s’ajoutent à la complexification <strong>des</strong> mo<strong>des</strong><br />
de gestion, <strong>des</strong> contraintes de l’environnement. Les outils spécifiques ne<br />
suffisent pas à réguler la gestion du temps dans le travail, dans le quotidien<br />
et dans l’articulation entre la vie privée et la vie professionnelle.<br />
Il reste en effet un facteur essentiel, la personne humaine, et un facteur de<br />
méthode : la formation intervient sur ces deux facteurs.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Identifier et différencier les problèmes de la gestion du temps (facteurs<br />
internes et facteurs externes).<br />
l Organisation et gestion du temps : les enjeux, différencier urgence et<br />
importance, les techniques de hiérarchisation de l’activité et gestion du<br />
temps (planifier, anticiper, suivre, s’adapter), comment générer <strong>des</strong><br />
processus d’efficacité, les lois et les principes de la gestion du temps. Les<br />
situations chronophages.<br />
l Le temps et l’espace de travail. Les outils de la gestion du temps :<br />
les plannings, les agendas, les outils électroniques et numériques.<br />
l Gestion du temps et relation aux autres, la communication et le travail<br />
efficace en équipe.<br />
l Gestion du temps et gestion du stress : les impacts respectifs, les effets<br />
de levier.<br />
l Auto - diagnostic et contrat personnel de changement.<br />
l Option managers (en addition) :<br />
- Comment déléguer, décider, corriger.<br />
- Pilotage de l’équipe et gestion efficace du temps.<br />
- La gestion du temps et de l’information.<br />
q<br />
l Acquérir les mo<strong>des</strong> de comportement, d’organisation, de pensée, qui favorisent<br />
une bonne gestion du temps, qui permettent l’efficacité dans ce que l’individu<br />
entreprend, la juste priorisation <strong>des</strong> tâches, une optimisation de l’énergie et du<br />
temps investi au travail, dans une approche de court terme, moyen terme et<br />
long terme.<br />
l Acquérir <strong>des</strong> outils et <strong>des</strong> métho<strong>des</strong> pour une gestion du temps efficace,<br />
équilibrante, et structurante, personnellement et professionnellement.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Il sera recommandé aux participants d’apporter leurs propres outils de<br />
gestion du temps pour qu’ils aient l’opportunité d’en faire la critique et de<br />
les faire évoluer. Métho<strong>des</strong> interactives et participatives. Cours et exposé,<br />
travaux en sous-groupes et mises en situation. Exercices spécifiques pour<br />
la sensibilisation puis pour la mise en pratique. Utilisation du matériel audiovisuel<br />
pour la formation, les mises en situation et les exercices pratiques<br />
ainsi que de supports spécifiques fournis par le CEDECSE. Grilles de positionnement<br />
individuel et grilles d’évaluation. Un moment de synthèse en fin<br />
de journée et remise d’un livret comprenant l’essentiel <strong>des</strong> contenus de la<br />
formation.<br />
q<br />
Objectif<br />
Évaluation<br />
Utilisation d’un outil de la gestion du temps vu en formation pour planifier un<br />
projet ou une période en application sur un cas au choix du stagiaire.<br />
Lieu : Montpellier (34)<br />
Durée : 14 heures<br />
Coût : 388 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION
L’animation de réunion<br />
Prise de parole en public<br />
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
q<br />
Les réunions font partie de la vie de chacun : familiales, associatives, sportives,<br />
citoyennes, professionnelles... Nous nous réunissons pour s’informer,<br />
parler, se former, négocier, décider... et aussi s’affronter, réguler <strong>des</strong> tensions...<br />
Nous y passons beaucoup de temps ; nous leur reprochons souvent d’y<br />
perdre notre temps, d’être inefficaces, ennuyeuses, insuffisamment<br />
productives. Pourtant elles sont la clé de la réussite et de la performance <strong>des</strong><br />
équipes et <strong>des</strong> organisations. L’animation de réunion est une compétence<br />
à partager et à développer au sein de toutes les équipes professionnelles.<br />
Elle contribue à la cohésion et à l’efficacité <strong>des</strong> équipes et <strong>des</strong> groupes. La<br />
fonction essentielle de l’animateur consiste à gérer le processus du groupe.<br />
Le chef d’entreprise ou le président d’association performant y consacre une<br />
part importante de son énergie, l’homme politique davantage encore. Plus sa<br />
responsabilité s’accroît, plus le leader délègue le contenu pour se consacrer<br />
au processus. Une réunion, c’est :<br />
- un groupe de personnes ayant, chacune, une ou plusieurs fonctions (adhérent,<br />
administrateur, président, technicien,...).<br />
- un lieu où le groupe se réunit, soit physiquement, dans une salle, soit<br />
symboliquement (conférence téléphonique, visio-conférence).<br />
- un cadre statutaire, réglementaire ou contractuel qui définit la légitimité de<br />
la réunion et fixe les règles et les rites (A.G., C.A., Bureau, équipe).<br />
- un sens : pourquoi (motif de la réunion), pour quoi (but), pour qui...<br />
- une tâche : ce qu’on fait ensemble (le contenu = la production, la décision...)<br />
comment on le fait (ordre du jour, processus de production et de décision,<br />
techniques d’animation...).<br />
- un lien : l’énergie qui relie les membres du groupe ensemble. Ce lien est fait<br />
de valeurs partagées, d’intérêts communs, de désirs... en particulier le désir<br />
d’appartenance.<br />
- un processus relationnel : tout ce qui se passe entre les personnes au cours<br />
de la réunion et qui n’apparaît en général pas dans le compte rendu, en particulier,<br />
la compétition et la coopération.<br />
q<br />
l Qu’est-ce qu’un groupe, qu’est-ce qu’une réunion ? le sens, le lien, la tâche.<br />
l Distinguer contenu et processus.<br />
l Fonctions de l’animation.<br />
l Importance du contrat.<br />
l Principes et règles de fonctionnement.<br />
l Conditions d’efficacité d’une réunion : préparer, animer, suivre.<br />
l Ajuster le mode de conduite en fonction de la maturité professionnelle du<br />
groupe.<br />
l Comment préparer une réunion ?<br />
l Comment ouvrir une réunion ?<br />
l Prendre une décision en groupe.<br />
l Prévenir et gérer les tensions et conflits : comment réguler ?<br />
l Différents types de compte rendu.<br />
l Comment évaluer une réunion ?<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Situer les différents types de réunion.<br />
l Distinguer processus et contenu.<br />
l Identifier les différentes étapes de la réunion : avant, pendant, après.<br />
l Améliorer sa compétence d’animation.<br />
l Réunir les conditions d’efficacité <strong>des</strong> réunions.<br />
q<br />
Nous mettons en œuvre une méthode participative qui s’appuie sur les<br />
connaissances, les pratiques et les questions <strong>des</strong> apprenants. Nous<br />
alternons apports méthodologiques et étu<strong>des</strong> de cas. Une enquête auprès<br />
<strong>des</strong> inscrits, par questionnaire écrit, dans les 4 semaines qui précèdent la<br />
formation permet au formateur d’ajuster sa prestation et aux apprenants,<br />
de se mettre en position d’apprendre. Le vécu-même du groupe est objet<br />
d’observation et contribue à l’apprentissage.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Chaque participant identifie pour lui et/ou sa structure les pistes de progrès<br />
au sein de son établissement. Des outils méthodologiques permettent la<br />
mise en oeuvre dans sa pratique professionnelle.<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Michel JUS<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
u Francine LORIN-BLAZQUEZ<br />
q Dates : Du 14 au 16/06/11 q Dates : Du 27 au 29/09/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Dans toute communication, la notion de «rôle» est essentielle, pour mieux<br />
gérer ce qui se joue à l’intérieur de soi. On retrouve également ces «pré-requis<br />
lors d’un examen ou d’une présentation orale. La même «alchimie» étant<br />
à l’œuvre dans l’orateur et le comédien, cette formation utilisera donc en<br />
partie <strong>des</strong> outils simples et efficaces empruntés à l’art théâtral, ainsi que <strong>des</strong><br />
techniques individuelles et collectives de communication. Il s’agit d’apporter<br />
à toute personne en relation avec un auditoire une plus grande efficacité de<br />
la prise de parole dans son enjeu verbal mais aussi non verbal, l’expression<br />
du corps étant le vecteur indissociable d’une communication de qualité. Le<br />
propos n’est pas de former <strong>des</strong> acteurs, mais bien d’acquérir une maîtrise du<br />
rôle que chacun investit devant un public quel qu’il soit.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Mise en disponibilité.<br />
Préparation physique, concentration, anticipation du stress, relation à l’environnement,<br />
écoute du ressenti intérieur.<br />
l L’aspect non verbal.<br />
«L’intention derrière la parole» (la notion d’état intérieur), la relation avec le<br />
«dit», développer son sens de l’écoute et du ressenti, conscience corporelle,<br />
l’enjeu <strong>des</strong> attitu<strong>des</strong> corporelles et du regard, savoir respirer pour «tenir» la<br />
parole.<br />
l L’aspect verbal.<br />
Travail sur la voix - tonalité, intonation, débit, rythme, diction, placement<br />
- entendre et s’entendre parler, développer sa fluidité verbale et mentale.<br />
Maîtrise du temps de parole, prise de parole et interactivité (s’exprimer<br />
mais aussi faire s’exprimer).<br />
l «L’interprétation» et l’improvisation.<br />
Savoir improviser, observer l’auditoire et s’en inspirer, faire vivre son message<br />
et communiquer une émotion choisie, savoir mobiliser sa créativité et son<br />
imagination.<br />
l La gestion du stress.<br />
Anticiper et gérer le stress «in situ», faciliter la récupération.<br />
q<br />
l Acquérir les outils nécessaire à l’approfondissent d’une parole incarnée et<br />
vivante.<br />
l Développer une expression conciliant la parole et le corps.<br />
l Garder une stabilité physique et émotionnelle «in situ».<br />
l Mieux appréhender un auditoire.<br />
l Savoir donner la parole.<br />
l Savoir lire <strong>des</strong> notes ou un texte en public.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Transmission d’outils concrets, adaptés à la problématique de chacun <strong>des</strong><br />
participants. Travail corporel et vocal, techniques de respiration, gestion du<br />
stress et <strong>des</strong> émotions, relation entre l’auditoire et l’orateur, improvisations,<br />
mises en situations. Apprendre un petit texte de son choix, d’une dizaine de<br />
lignes, qui ne soit pas un poème ni un conte, avec lequel on se sente «en<br />
amitié». Préparer les gran<strong>des</strong> lignes d’un sujet ou d’un thème motivant<br />
(de préférence professionnel) à développer en public. Venir avec une tenue<br />
confortable.<br />
q<br />
Évaluation<br />
La mise en pratique constante est le moteur de la formation. Application<br />
individuelle du contenu et <strong>des</strong> interpellations du stage avec un accompagnement<br />
personnalisé, par une mise en situation finale issue du contexteprofessionnel,<br />
suivie d’une évaluation avec chaque stagiaire. Le désir réel de se<br />
mettre en expérience est indispensable pour que chacun soit acteur de son<br />
changement. La mise en disponibilité est progressive et sécurisante.<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
64
Conditions de collaboration président / directeur<br />
q<br />
Argumentaire<br />
La bonne entente et la clarification <strong>des</strong> rôles et <strong>des</strong> responsabilités entre<br />
les administrateurs et les salariés de l’association, de l’entreprise ou de la<br />
coopérative sont la garantie de son dynamisme et de son développement.<br />
Cette clarification commence au sein du binôme président/directeur.<br />
En effet, le binôme président/directeur constitue la base de la coopération<br />
entre les équipes. Si ce binôme dysfonctionne, c’est l’ensemble de l’édifice<br />
qui est en danger.<br />
En dehors du dispositif légal qui pose le cadre général <strong>des</strong> responsabilités,<br />
il revient donc à chaque binôme de préciser les rôles et les responsabilités<br />
respectives : «Qui fait quoi entre nous ? Comment on fait<br />
ensemble ? Comment on communique ? Comment et quand on travaille<br />
ensemble ? etc.»<br />
L’un ou l’autre, président ou directeur, doit prendre l’initiative de cette clarification<br />
: préciser les processus de décision, les délégations et leurs limites,<br />
le mode d’information et de travail, les relations entre eux, etc. Il s’agit de<br />
préciser le contrat de délégations au sein du binôme.<br />
Par exemple, la fonction employeur et le management révèlent le besoin de<br />
clarification :<br />
- le président de l’association est l’employeur responsable juridique.<br />
- le directeur est chargé de la gestion du personnel.<br />
Entre les deux fonctions, il y a de multiples in<strong>formations</strong> ou tâches qui<br />
doivent être partagées et traitées sinon il y a le risque de disfonctionnements<br />
ou d’incompréhensions rapidement préjudiciables pour l’organisation.<br />
Cette clarification est nécessaire pour le management, mais aussi pour<br />
toutes les fonctions nécessaires à la réalisation de la mission :<br />
- La gestion économique et financière.<br />
- La production et le suivi <strong>des</strong> résultats.<br />
- Les relations extérieures.<br />
- La communication, etc.<br />
q<br />
l Cette formation permettra à chaque binôme de clarifier les modalités de<br />
décision, de délégation et de communication entre eux, puis au sein la<br />
structure.<br />
Autour <strong>des</strong> 3 gran<strong>des</strong> délégations :<br />
- Délégation de représentations.<br />
- Délégation de gestion économique et financière.<br />
- Délégation de gestion du personnel.<br />
q<br />
Un questionnaire, envoyé à l’avance, stimulera la réflexion de chacun pour<br />
optimiser le travail collectif. Le formateur partira <strong>des</strong> attentes au travers de<br />
l’enquête préparatoire. Il s’appuiera sur les connaissances du groupe.<br />
Il mettra en œuvre <strong>des</strong> techniques actives et efficaces (travail individuel,<br />
tours de table...) que les participants pourront modéliser pour les utiliser<br />
dans leurs propres responsabilités. Des exposés théoriques courts peuvent<br />
alterner avec <strong>des</strong> phases d’échanges.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Chaque participant ou binôme identifie au fur et à mesure de l’avancée de la<br />
formation, les pistes de progrès et de clarification pour le binôme. Des outils<br />
méthodologiques serviront d’appuis pour mettre en œuvre le contrat de<br />
délégation au sein de la structure.<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
q<br />
l Le principe de l’association comme expression de la démocratie.<br />
l La mise en œuvre de la relation président /directeur : mode de relation,<br />
d’information réciproque, de travail.<br />
l La distinction lieux de réflexion et de décision.<br />
l Le contrat, outil essentiel de la mission, du mandat, du fonctionnement<br />
d’équipe...<br />
l Le leadership et le processus de décision.<br />
l Les conditions de la délégation.<br />
l La motivation : contribution et rétribution.<br />
l Gestion <strong>des</strong> conflits.<br />
65<br />
Contenu<br />
www.afore-formation.com<br />
q<br />
Intervenant cf p.2<br />
u Michel JUS<br />
q Dates : Du 07 au 09/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
comment prévenir et gérer<br />
la souffrance au travail ?<br />
q<br />
Confrontés à la souffrance au travail , perceptible à travers de nombreux<br />
signes (fatigue, surmenage, manque de motivation, sentiment d’inutilité,<br />
dépression ou agressivité) que faire ?<br />
Quels éléments tout manager doit il prendre en compte, et quelle stratégie<br />
peut-il mettre en place, pour résoudre à son niveau les problèmes (personnels,<br />
relationnels ou autres) qui se posent dans son équipe et maintenir ainsi la<br />
cohésion du groupe et son efficacité ?<br />
q<br />
l Identifier les besoins fondamentaux <strong>des</strong> individus (besoin d’appartenance,<br />
désir d’accomplissement, de reconnaissance...)<br />
l Repérer les signes, visibles ou cachés, du burn out chez l’individu et à<br />
travers ses conséquences pour le groupe.<br />
l Comprendre les processus y conduisant (psychologiques, relationnels,<br />
conjoncturels).<br />
l Repérer les leviers à utiliser pour sortir d’une problématique de souffrance<br />
au travail, induire une dynamique de changement, aller vers un management<br />
participatif.<br />
l Développer le sens de la responsabilité face à soi-même , son équipe, ses<br />
collègues et sa hiérarchie.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Savoir reconnaître les symptômes du burn out (syndrome d’épuisement<br />
professionnel).<br />
l Repérer ses origines : les éléments de stress dans la vie personnelle et la vie<br />
du groupe.<br />
l Elaborer <strong>des</strong> stratégies de médiation et de remédiation, de gestion et de<br />
dynamisation du groupe.<br />
q<br />
Alternance d’apports théoriques à partir d’une grille de lecture originale<br />
situant le concept de «management» dans une vision «écologique» de<br />
la relation à l’autre et de mises en situation par l’entremise de différents<br />
supports : groupes de parole, séances de relaxation, mais aussi utilisation de<br />
questionnaires-tests, visionnage de séquences filmées, technique du photolangage...<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
A partir d’un exemple concret d’épuisement professionnel soumis à l’analyse<br />
<strong>des</strong> participants, réalisation d’un exercice final individuel par écrit,<br />
permettant de synthétiser l’ensemble <strong>des</strong> contenus et explorations effectuées<br />
durant le stage et de confirmer leur intégration.<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Danièle ANDRIEU<br />
q Dates : 04 au 08/04/11<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Sylvain PECH<br />
INTER ou INTRA<br />
Reconnaître, prévenir et gérer les<br />
conflits<br />
q<br />
Tout personnel social, éducatif et médical concerné par les conflits dans leur<br />
vie professionnelle.<br />
q<br />
Les conflits constituent une <strong>des</strong> causes majeures de l’affaiblissement<br />
d’un établissement, d’un service ou d’une équipe jusqu’à parfois la crise.<br />
Car comme nous l’expérimentons, par ailleurs, dans notre vie personnelle,<br />
familiale ou sociale, travailler avec d’autres nous conforte à <strong>des</strong> situations<br />
de désaccords, de divergences d’intérêts, d’affrontements ; à toutes sortes<br />
donc de situations conflictuelles cachant <strong>des</strong> réalités très disparates. Cette<br />
formation privilégie l’acquisition d’une démarche et l’utilisation d’outils<br />
adaptés à chaque situation de conflits existants ou futurs. Mais n’oublions<br />
jamais que gérer les conflits, c’est d’abord les anticiper.<br />
q<br />
l Connaissances du conflit sous toutes ses formes :<br />
typologies, classifications, causes, conséquences, rôles <strong>des</strong>tructeur/<br />
constructeur, justifications, représentations, victimisation...<br />
l Le conflit :<br />
source de développement et d’évolution : à condition d’en maîtriser les<br />
mécanismes.<br />
l La violence occupe une partie du conflit :<br />
violences multiples et complexes, mode d’expression, analyseurs...<br />
l L’institution «en crise» :<br />
conflits multidimensionnels et violences silencieuses...<br />
l Processus du conflit :<br />
nature, détection, indices, phases, caractéristiques, composantes...<br />
l Mettre en commun ses problèmes :<br />
pour contribuer à rompre l’isolement professionnel et réguler collectivement<br />
<strong>des</strong> situations de conflits, de tensions et de stress au travail...<br />
l Des outils de réflexion et d’expérimentation :<br />
- changements institutionnels, organisationnels, managériaux et relationnels.<br />
- affirmation/estime de soi, écoute active, meilleure aptitude à la communication,<br />
responsabilité, respect et tolérance.<br />
- régulation <strong>des</strong> conflits, analyse/évaluation, coopération, négociation,<br />
médiation, transaction.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Repérer les facteurs menant aux conflits, distinguer la nature <strong>des</strong> différents<br />
types de conflits, prévenir et gérer de manière efficace les situations<br />
conflictuelles.<br />
l S’affirmer dans une relation difficile, proposer <strong>des</strong> attitu<strong>des</strong>, <strong>des</strong> techniques<br />
et <strong>des</strong> outils de résolution et s’entraîner à les pratiquer.<br />
q<br />
Apports théoriques, réflexion et échange d’expériences/cas concrets, mises<br />
en situations pratiques. Mini bibliothèque sur place à consulter. Support de<br />
stage complet.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Sous la forme d’une synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de la formation (éléments<br />
de connaissance et techniques de résolution) et d’un projet d’application<br />
personnelle dans sa situation professionnelle.<br />
Intervenant cf p.2<br />
u Raymond BICHET<br />
q Dates : Du 24 au 28/01/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
66
CONDUIRE LE CHANGEMENT<br />
q<br />
Les institutions sont plus que jamais en prise avec le changement <strong>des</strong> organisations,<br />
de leur cadre règlementaire et <strong>des</strong> impacts à gérer à tous les niveaux<br />
dans les établissements : évolution <strong>des</strong> métiers, changement de technologie,<br />
changement d’habitu<strong>des</strong>, changement de façon de travailler...<br />
Il s’agit de savoir comment vivre au mieux le changement permanent, jusqu’à<br />
comment l’initier. Il s’agit aussi d’accompagner les équipes, les collaborateurs,<br />
dans cette expérience, d’aider pour construire dans le sens du développement<br />
et de l’enrichissement collectif.<br />
Pour conduire le changement, il faut pouvoir en être acteur, et, pour cela,<br />
comprendre ses propres réactions face au changement afin de mieux comprendre<br />
les autres et d’être en mesure de les soutenir efficacement.<br />
Cela fait partie intégrante de la fonction management.<br />
q<br />
l Types et natures de changements, les origines et les effets du changement.<br />
l Les processus du changement. La perception du changement et les cycles.<br />
l Analyser le changement dans son organisation et ses enjeux (référence<br />
aux contextes <strong>des</strong> participants).<br />
l Les changements et les acteurs, champs de force et dynamique du<br />
changement Les freins, les résistances. Les leviers de la conduite du<br />
changement.<br />
l Conduite du changement et plan d’action.<br />
l Conduite du changement et conduite de projet.<br />
q<br />
q<br />
67<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Etre en capacité de mettre en place les conditions favorables pour la mise en<br />
œuvre <strong>des</strong> changements et de les accompagner.<br />
q<br />
Les approches théoriques et pratiques du changement. Les outils du<br />
diagnostic et les outils de gestion pour la conduite du changement. Applications<br />
sur les cas présentés par les participants. Articulation avec les modules<br />
du cycle management.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Plan d’action pour la conduite d’un changement. Présentation individuelle du<br />
projet.<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Monique GARCIA<br />
q Dates : Du 24 au 26/01/11<br />
Lieu : Montpellier (34)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
LE PROJET D’ETABLISSEMENT,<br />
LE PROJET DE VIE...<br />
q<br />
«S’il est une question qui nous concerne tous, c’est bien celle <strong>des</strong> conditions<br />
dans lesquelles nous vivrons nos dernières années». Un projet d’établissement<br />
n’est pas seulement une obligation prévue par la réglementation, il<br />
donne la possibilité aux équipes de réfléchir à leur pratique professionnelle<br />
afin que leurs actions ne soient pas seulement de maintenir la vie mais de lui<br />
donner du sens. Il est également l’occasion pour les personnes hébergées<br />
d’exprimer leurs besoins. La démarche projet d’établissement a pour finalité<br />
de penser le travail <strong>des</strong> professionnels en tenant compte de la personne âgée<br />
en tant qu’individu et citoyen. Elle permet de créer les conditions les plus<br />
adaptées à la vie en institution par <strong>des</strong> réalisations concrètes qui répondent<br />
aux attentes <strong>des</strong> personnes et à leur niveau de dépendance. En cherchant<br />
d’abord dans les ressources internes de la structure par la valorisation <strong>des</strong><br />
métiers de la gérontologie, en définissant les valeurs de référence et en<br />
repensant l’organisation du travail.<br />
q<br />
l Compréhension de l’environnement.<br />
- Les concepts et la terminologie, de la démarche projet de vie et de soins<br />
- La méthodologie de la démarche (pré-requis, objectifs, acteurs, moyens,<br />
engagement,...).<br />
- L’environnement de la démarche : aspects réglementaires et législatifs,<br />
contexte actuel et démarches qualité.<br />
- Conception d’indicateurs et de critères d’évaluation.<br />
l La démarche méthodologique de construction de projet.<br />
- Repérage <strong>des</strong> valeurs et <strong>des</strong> missions au service qui sous-tendent<br />
l’accompagnement le respect du droit <strong>des</strong> personnes, ainsi que les finalités<br />
et les intentions pour l’avenir.<br />
- Compréhension du regard porté sur les résidents (citoyens et/ou mala<strong>des</strong>)<br />
et sur la vieillesse.<br />
- Des notions d’autonomie et de handicap, et d’incapacité.<br />
l Du projet global au projet particulier :<br />
- Le projet de soins.<br />
- Le projet d’accompagnement au quotidien : (projet social, animations,<br />
communication, nuit, famille...).<br />
- Le projet de vie individualisé.<br />
l L’accompagnement au quotidien «projet de vie».<br />
- Les actions permettant de recenser les besoins <strong>des</strong> personnes : (enquête<br />
de satisfaction...).<br />
- La coordination entre les membres du personnel pour améliorer l’accompagnement.<br />
- Le recensement <strong>des</strong> procédures réglementaires : accueil - fin de vie -<br />
soins - famille...<br />
l Formalisation et communication.<br />
- Le livret et la procédure d’accueil.<br />
- Le règlement de fonctionnement.<br />
- Le projet d’établissement...<br />
q<br />
Les stagiaires seront conduits à se responsabiliser et à devenir acteurs de<br />
leur propre projet par <strong>des</strong> : discussions et approfondissement de situations<br />
vécues en complémentarité d’apport théoriques, <strong>des</strong> travaux de réflexion<br />
à partir de textes et d’articles, d’exercices d’application en sous-groupes,<br />
d’apports didactiques.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Acquérir une démarche méthodologique pour construire le projet de service<br />
à domicile ou en établissement.<br />
l Élaborer <strong>des</strong> outils pour assurer la mise en œuvre au quotidien, et dans<br />
la durée, de leur projet.<br />
l Permettre son appropriation par l’ensemble <strong>des</strong> professionnels.<br />
q<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation individuelle de fiches-action en fin de formation.<br />
Intervenante cf p.2<br />
u Marie Jeanne VERCHERAT<br />
q Dates : Du 21 au 25/03/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
Responsabilité dans les secteurs sociaux<br />
et médico-sociaux<br />
q<br />
Tous les acteurs du secteur social ou médico-social, notamment les<br />
travailleurs sociaux, les personnels administratifs et d’encadrements.<br />
q<br />
l Quand on parle de responsabilité, on s’engage dans un vaste domaine. Dans<br />
les établissements sociaux et médico-sociaux elle peut être diverse. Alors<br />
en premier lieu nous nous questionnerons sur ce que l’on entend par<br />
responsabilité, quels termes, quelles situations illustrent le mieux le thème<br />
que nous allons étudier. Chacun à sa place peut voir sa responsabilité engagée,<br />
elle n’est pas exclusive <strong>des</strong> seuls responsables ou établissements. Ainsi,<br />
la connaissance par tous les intervenants <strong>des</strong> règles de base est un gage<br />
de protection juridique. Nous envisagerons principalement la responsabilité<br />
<strong>des</strong> différents intervenants envers les usagers, notamment au travers de<br />
l’évolution législative qui nous est offerte par la loi du 02 janvier 2002 et de<br />
celles qui ont suivi par la suite.<br />
l Il s’agira alors d’énoncer ces nouveaux droits et libertés et de voir comment<br />
ils trouvent à s’appliquer dans les secteurs en question. Nous ne ferons<br />
cependant pas l’économie d’étudier, à travers quelques points très précis,<br />
la responsabilité de l’établissement envers ses salariés.<br />
l Nous verrons les fondements juridiques de la responsabilité civile mais<br />
également sa mise en œuvre qui nécessite l’accumulation de plusieurs<br />
éléments qui sont la faute, le dommage et le lien de causalité entre les<br />
deux. A travers la jurisprudence, nous verrons quelle interprétation les<br />
juges en font. On ne fera pas l’économie, s’agissant de la responsabilité<br />
pénale, d’énumérer les diverses incriminations qui visent non seulement<br />
les personnes morales mais aussi les personnes physiques. La responsabilité<br />
sociale quant à elle consiste à étudier principalement deux situations :<br />
l’obligation d’adaptation et l’obligation de sécurité <strong>des</strong> personnels, sans<br />
oublier les sanctions à la violation du Code du travail. Enfin, la mise en<br />
œuvre de la responsabilité nécessite la saisine <strong>des</strong> tribunaux, nous<br />
verrons alors comment le système judiciaire se met en marche.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Contenu<br />
l Cerner les fondements juridiques de la responsabilité civile, pénale, administrative<br />
ou sociale.<br />
l Différencier la responsabilité <strong>des</strong> établissements (personne morale) de<br />
celles <strong>des</strong> personnels (personne physique) et plus précisément la responsabilité<br />
de chacun suivant la position qu’il occupe dans l’établissement.<br />
q<br />
Exposés oraux et débats alterneront avec les présentations vidéos. Nous<br />
analyserons également <strong>des</strong> exemples concrets de mise en oeuvre de la<br />
responsabilité tant civile, pénale que sociale.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
L’évaluation consistera en un exercice pratique autours <strong>des</strong> thèmes abordés.<br />
Dans un premier moment, plusieurs groupes (binôme, trinôme) seront<br />
formés et travailleront chacun sur une situation différente en lien avec leur<br />
activité professionnelle. Dans un deuxième moment, autours <strong>des</strong> réponses,<br />
s’instaurera un débat entre les stagiaires et le formateur. A travers cette<br />
exercice, il s’agira de revenir sur l’ensemble de la formation.<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Dominique HOLLE<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
Les lois «Bas» et «Sarkozy», protégeant<br />
l’enfance et prévenant la délinquance.<br />
u Dominique SISTACH<br />
q Dates : Du 05 au 09/09/11 q Dates : Du 24 au 26/01/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Public<br />
Managers et acteurs du secteur social de l’enfance (personnels d’encadrement<br />
et travailleurs sociaux) confrontés dans leurs pratiques à <strong>des</strong> problématiques<br />
d’interprétation et d’application <strong>des</strong> textes juridiques.<br />
q<br />
q<br />
l Intégrer l’historicité du droit pour mieux comprendre les résolutions juridiques<br />
contemporaines qui n’apparaissent pas rationnellement à l’entendement.<br />
Intégrer la capacité d’analyse <strong>des</strong> usages du droit : trouver les niveaux d’applicabilité<br />
de la règle ; faire la part <strong>des</strong> choses entre l’impératif d’application et la<br />
souplesse d’appréciation.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Développement <strong>des</strong> thèmes généraux abordés sous la forme de deman<strong>des</strong><br />
formulées par les stagiaires, de manière à les impliquer individuellement et<br />
ainsi à les sensibiliser à la connaissance à intégrer comme mode opératoire ;<br />
mise en contexte historique et sociologique <strong>des</strong> in<strong>formations</strong> fournies ;<br />
présentation <strong>des</strong> problématiques principales sous forme de contextualisation<br />
précise, non tant par le principe <strong>des</strong> exemples, que par l’énonciation<br />
de mise en situation que les acteurs sociaux perçoivent mieux, et au final,<br />
échangent entre eux. Dans le fond, l’assimilation du texte doit permettre<br />
de réutiliser toutes les potentialités sociales du texte juridique, et ainsi,<br />
de transformer les outils inertes du droit, en objets et en objectifs sociaux.<br />
Matériel pédagogique : polycopié complet de la formation. Suivi pédagogique :<br />
le formateur fournit son adresse e-mail pour correspondre avec les stagiaires<br />
sur le suivi de l’action de formation in situ.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Protéger l’enfance et prévenir la délinquance infantile sont les nouveaux<br />
termes et terrains législatifs de notre temps. Les lois «Bas» et «Sarkozy»<br />
ont, en 2007, entériné un processus plus profond et plus complexe : il s’agit<br />
pour l’essentiel d’une généalogie contemporaine du traitement juridique<br />
de l’enfance. Inexistence juridique, il est depuis la première moitié du XIX e<br />
siècle, l’enjeu de résolution de la lutte <strong>des</strong> classes, par les effets de division<br />
de la classe bourgeoise à son sujet. Les raisons hygiénistes et morales<br />
ont poussé à sa protection, et ont permis en retour la division de la classe<br />
prolétarienne.<br />
Les lois de 2007 sont contradictoires, et non seulement dans l’exposé de<br />
leurs objectifs propres, que dans les ruptures qu’elles établissent en brisant<br />
la formulation doctrinale qu’elles sous-entendaient. Il ne s’agit plus, comme<br />
avec l’ordonnance de 1945, de protéger <strong>des</strong> enfants qui avaient connu<br />
<strong>des</strong> maltraitances, comme de prévenir d’éventuels actes de délinquance,<br />
et ainsi de protéger la société dans son ensemble. Désormais, les textes<br />
présentent de manière distincte <strong>des</strong> populations que l’on veut différentes : la<br />
victime et le déviant. Les deux textes ont pourtant en commun d’insuffler un<br />
mouvement institutionnel joint : ce que l’État dénomme comme problème,<br />
il ne prétend pas le résoudre. Ce sont les autorités territoriales qui se répartissent<br />
les tâches. La protection est à la charge <strong>des</strong> Conseils généraux et la<br />
prévention de la délinquance est à la charge <strong>des</strong> Communes et/ou <strong>des</strong> groupements<br />
intercommunaux créés à cet effet. Une fois épuisées toutes les voix<br />
d’action administrative, c’est l’ordre judiciaire qui ressort comme le garant<br />
et l’accusateur de l’enfance. La judiciarisation de l’enfance est là encore une<br />
constante à développer. Enfin dernier point, et non <strong>des</strong> moindres, les deux<br />
textes transforment les conditions de circulation de l’information entre les<br />
travailleurs sociaux, les représentants territoriaux et les services judiciaires<br />
de l’État. Le président du Conseil général et le maire deviennent collecteur<br />
d’in<strong>formations</strong> sensibles sur l’état de la population infantile. La loi «Bas» a<br />
repris les préconisations <strong>des</strong> professionnels, et équilibre les nécessités de<br />
secret partagé et de confidentialité par ailleurs essentiels. À l’inverse, la loi<br />
«Sarkozy» n’impose pas ces limites et remet profondément en cause le<br />
secret professionnel.<br />
Évaluation<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de la formation (concepts acquis) et articulation<br />
avec l’exercice futur de sa profession (projet d’application personnelle<br />
dans son espace professionnel).<br />
Lieu : Narbonne (11)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
68
Les fondamentaux du Droit social<br />
«Cycle théorique et pratique de Droit social<br />
et relations de travail»<br />
q<br />
Tout responsable du secteur social ou médico-social. Tout personnel <strong>des</strong><br />
Ressources humaines du secteur social ou médico-social.<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Contenu<br />
l Cette formation permettra d’aborder les thèmes essentiels du Droit social,<br />
dont la connaissance est impérative pour tout responsable du secteur social<br />
et médico-social.<br />
Ainsi seront développés :<br />
- La formation du contrat de travail : Bien choisir et sécuriser le contrat de<br />
travail, ses différentes formes, ses éléments (Durée, horaires, fonctions,<br />
salaire...).<br />
- L’exécution du contrat de travail : période d’essai, modifications du contrat<br />
de travail, la suspension du contrat de travail.<br />
- La rupture du contrat de travail, en particulier le licenciement : Mise en<br />
œuvre <strong>des</strong> règles encadrant le licenciement.<br />
Cette formation est conçue pour répondre à <strong>des</strong> besoins concrets, aussi<br />
l’interactivité sera favorisée, ainsi que la mise en pratique.<br />
Objectif<br />
l Formation, ou actualisation, <strong>des</strong> connaissances <strong>des</strong> participants concernant<br />
les thèmes fondamentaux du Droit social.<br />
l Permettre aux participants de comprendre la législation sociale, et avoir les<br />
moyens de répondre rapidement aux questions juridiques qu’ils peuvent se<br />
poser sur les sujets essentiels du Droit social.<br />
l Actualisation <strong>des</strong> connaissances juridique et jurisprudentielles.<br />
Méthodologie<br />
Exposé théorique, développement <strong>des</strong> connaissances juridiques à assimiler<br />
Analyse de cas et situations apportés par les participants. Discussion.<br />
TRAITEMENT JURIDIQUE - COMPTABILITE ET<br />
FISCALITE DES ORGANISATION DE L’ESS.<br />
q<br />
Tout acteur de l’ESS en responsabilité <strong>des</strong> obligations administratives et<br />
financières, tous responsables de projets et les porteurs de projet.<br />
q<br />
Public<br />
Depuis 2000, la comptabilisation <strong>des</strong> contributions volontaire sen nature,<br />
<strong>des</strong> fonds dédiés s’avèrent encore en <strong>2011</strong> complexes et la mise en œuvre<br />
s’avère encore laborieuse. Depuis le 6/09 2009, les associations doivent<br />
déposer leurs comptes annuels, selon le plan comptable <strong>des</strong> associations,<br />
le rapport du commissaire au compte et leur compte sur le site du JO dès<br />
lors qu’elles disposent de subventions annuelles supérieures à 150 000€.<br />
Certaine associations sont assujetties à l’utilisation d’une nomenclature de<br />
comptes spécifiques. D’où la nécessité d’une maîtrise <strong>des</strong> textes et de leurs<br />
applications<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Juridique :<br />
a) association :<br />
- Les types d’associations.<br />
- le contrat d’association.<br />
- la rédaction <strong>des</strong> statuts et du règlement intérieur, les formalités.<br />
- Les adhérents.<br />
- Les organes de représentation et de direction.<br />
- L’assemblée générale.<br />
- La responsabilité.<br />
b) les fondations.<br />
c) les coopératives, SCOP-SCIC.<br />
l Comptabilité :<br />
- Principes et règles comptables d’établissement <strong>des</strong> comptes.<br />
- Organisation <strong>des</strong> comptabilités et métho<strong>des</strong> d’évaluation.<br />
- Comptes annuels : bilans et compte de résultat.<br />
- Budget, contrôle budgétaire.<br />
- Spécificités <strong>des</strong> associations.<br />
- Le contrôle <strong>des</strong> comptes.<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
q<br />
q<br />
69<br />
Évaluation<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> acquis vus pendant la formation.<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u Philippe JABOT<br />
Lieu : Montpellier (34)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
www.afore-formation.com<br />
u Paul MOIROUX<br />
q Dates : Du 07 au 09/11/11 q Dates : Du 06 au 09/12/11<br />
INTER ou INTRA<br />
l Fiscalité :<br />
- Fiscalité <strong>des</strong> associations : critère de lucrativité, alternatives fiscales,<br />
traitements <strong>des</strong> subventions, mescènat et dons.<br />
- Fiscalités spécifiques aux coopératives (SCOP et SCIC.<br />
- Fiscalité <strong>des</strong> entreprises : impôt sur les résultats IS, sur les échanges<br />
économiques, TVA, impôts locaux, taxes pro et sur les salaires.<br />
q<br />
l Prise en compte <strong>des</strong> contextes juridiques, administratifs et financiers pour<br />
mettre en œuvre un projet et être en mesure de le conduire, de le réaliser.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Apports théoriques et méthodologiques. Applications pratiques. Exercices en<br />
groupe.<br />
q<br />
Évaluation<br />
Exercices individuels/étu<strong>des</strong> de cas.<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
La fonction de secrétaire - S’affirmer<br />
à sa juste place et mettre les justes limites en<br />
fonction de son <strong>des</strong>criptif de poste<br />
q<br />
Les secrétaires dans le secteur social, médico-social... Le Fonction de secrétaire<br />
est souvent une fonction pivot dans l’institution. Un poste exigeant où<br />
l’on veut pouvoir compter sur la secrétaire en toutes circonstances, qu’elle<br />
soit à la fois une personne autonome qui sait gérer les priorités, organiser<br />
son travail... Le secrétariat est souvent un lieu où l’on aime se ressourcer<br />
mais où la secrétaire a parfois du mal à mettre les limites, à ne pas se faire<br />
envahir par l’autre, par ses deman<strong>des</strong>. Elle fait alors passer les besoins <strong>des</strong><br />
autres avant les siens, ce qui la met parfois en difficulté par rapport aux<br />
tâches qu’elle doit assumer. Cette fonction est délicate. Sa grande conscience<br />
professionnelle (elle voudrait faire les choses parfaitement et faire plaisir à<br />
tout le monde), sa grande sensibilité sont à la fois ses atouts et ses points<br />
de vulnérabilité.<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Permettre à la secrétaire :<br />
l De mieux gérer les communications difficiles, d’identifier ce que signifie<br />
développer sa capacité à se positionner de manière adéquate.<br />
l De comprendre les freins à l’affirmation de soi, d’identifier ce qui permet de<br />
développer sa capacité à exposer ses opinions de manière directe et non<br />
agressive.<br />
l D’identifier ce que signifie gérer ses émotions, son stress, ne pas se laisser<br />
envahir par la peur, la colère...<br />
q<br />
La formation est une alternance entre le travail sur les situations professionnelles<br />
<strong>des</strong> participants et l’apport de concepts pour mieux gérer sa relation à<br />
l’autre en situation professionnelle.<br />
q<br />
Contenu<br />
l L’ identité de secrétaire : être fier d’être secrétaire :<br />
- Travail sur les représentations de son rôle et les impacts sur son positionnement<br />
professionnel.<br />
- Travail sur la délimitation de sa fonction, de ses responsabilités à partir de<br />
sa fiche de poste.<br />
l Les obstacles et les leviers pour s’affirmer dans les relations professionnelles :<br />
- Analyse <strong>des</strong> difficultés rencontrées au quotidien pour s’affirmer dans son<br />
poste.<br />
- Mesurer le niveau d’estime de soi et son assertivité (sa capacité à s’affirmer<br />
dans les relations).<br />
- Les 3 piliers à l’estime de soi - les composantes de la confiance en soi.<br />
l La communication «assertive» avec ses collègues, avec sa hierarchie,<br />
avec les familles :<br />
- Les conditions d’une communication assertive, pour oser dire non, faire<br />
<strong>des</strong> deman<strong>des</strong>, négocier une aide, donner son avis, faire vivre sa <strong>des</strong>cription<br />
de poste.<br />
- Identifier les différentes transactions dans une communication, les pièges<br />
à éviter.<br />
- Mieux repérer les comportements de manipulation, d’emprise, apprendre<br />
à s’en protéger.<br />
l La compréhension et la gestion <strong>des</strong> émotions, du stress :<br />
- La gestion de ses émotions, de son stress : ce que çà signifie concrètement.<br />
- La fonction <strong>des</strong> émotions et l’attitude à avoir, face à une personne, qui<br />
exprime ses émotions.<br />
- Différence entre gérer sa culpabilité et assumer ses responsabilités.<br />
- Les processus émotionnels en période de changement (restructuration,<br />
changement de loi..).<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de la formation et présentation de l’application<br />
<strong>des</strong> concepts dans son espace professionnel, à partir d’une situation relationnelle<br />
issue de son quotidien.<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Sylviane DUBERNET<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
LE RÔLE DES SERVICES GÉNÉRAUX DANS<br />
LA MISSION ÉDUCATIVE :<br />
«et si l’on parlait de nos métiers autrement»<br />
u Christine BONNOT<br />
q Dates : Du 04 au 08/04/11 q Dates : Du 05 au 09/09/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Public<br />
Tout personnel <strong>des</strong> services généraux.<br />
q<br />
La cuisine c’est préparer et servir <strong>des</strong> repas, mais c’est aussi surprendre,<br />
faire plaisir, donner de soi.<br />
L’entretien c’est assurer la propreté et l’hygiène, mais c’est aussi rentrer dans<br />
l’intimité <strong>des</strong> jeunes et <strong>des</strong> adolescents.<br />
Le jardinage c’est aménager un espace, mais c’est aussi offrir un cadre de vie<br />
agréable et harmonieux. Le gardiennage c’est veiller à la sécurité, mais c’est<br />
aussi maintenir un lien permanent...<br />
Autrement dit nos métiers contribuent à fixer <strong>des</strong> points de repères fondamentaux<br />
dans la vie <strong>des</strong> enfants et <strong>des</strong> jeunes accueillis dans nos institutions.<br />
Dès lors il devient intéressant d’oser en parler !<br />
q<br />
q<br />
l Valoriser le travail accompli par ces services.<br />
l Renforcer l’articulation entre ces services et tous les autres services.<br />
l Améliorer la capacité de communication de ces personnels.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Pédagogie participative et interactive. Jeux de rôle pour les phases d’identification.<br />
Travaux de groupe et apports théoriques pour les phases de synthèses.<br />
Résolution de situations <strong>des</strong> participants pour les phases d’appropriation.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Voir mon métier sous ses différentes facettes :<br />
- Repérer ce qui fonde le sens de mon métier.<br />
- Faire émerger les représentations de mon rôle dans la finalité de l’institution<br />
et par rapport au public accueilli.<br />
- Identifier les aspects techniques et relationnels de mon métier.<br />
- Travailler sur la place que j’occupe parmi d’autres au sein de l’institution.<br />
l Identifier mes ressources et mes comportements dans ma relation aux<br />
autres :<br />
- Définir les barrières personnelles, affectives, physiques à la communication.<br />
- Reconnaître la place de l’émotion dans la relation.<br />
- Savoir accompagner son émotion pour mieux comprendre les situations.<br />
- Connaître <strong>des</strong> repères culturels pour comprendre les facteurs.<br />
favorisant ou handicapant la complémentarité dans les équipes pluridisciplinaires.<br />
l Développer <strong>des</strong> relations équilibrées dans le respect mutuel :<br />
- Savoir écouter et prendre en compte la demande.<br />
- Savoir exprimer ses besoins.<br />
- Pratiquer une technique de communication qui considère mes besoins,<br />
ceux <strong>des</strong> autres et arriver à un consensus mutuel.<br />
Évaluation<br />
A l’issue de cette formation les personnels <strong>des</strong> services généraux auront une<br />
meilleure maîtrise <strong>des</strong> moyens de communication permettant d’équilibrer<br />
leur place au sein de l’institution et de revaloriser leurs métiers et fonctions.<br />
On obtient également une meilleure approche de la mission de l’institution.<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
70
Informatique
MAITRISER LA SUITE MS OFFICE<br />
pour ses applications bureautiques<br />
Formation à la bureautique libre<br />
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
q<br />
Toute personne ayant à utiliser un outil bureautique afin de créer <strong>des</strong><br />
documents textes ou <strong>des</strong> tableaux.<br />
q<br />
La suite Microsoft Office est un grand classique de l’informatique bureautique<br />
avec son logiciel de traitement de texte WORD, son tableur EXCEL, son client<br />
de messagerie OUTLOOK et son logiciel de présentation POWERPOINT. Elle est<br />
un outil incontournable de l’organisation informatique <strong>des</strong> entreprises et associations.<br />
Énormément de personnes l’utilise chaque jour mais apprendre<br />
à maîtriser les logiciels qui la composent permet d’augmenter l’efficacité de<br />
son travail de bureau et peut, en outre, optimiser votre organisation.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
l Savoir utiliser efficacement la suite Microsoft Office dans ses tâches bureautiques<br />
quotidiennes<br />
q<br />
Pratique intensive <strong>des</strong> logiciels. Etu<strong>des</strong> d’exemples. Etude de cas. Discussions.<br />
Analyse et synthèse <strong>des</strong> étapes de la création. Mise en situation.<br />
Analyse et évaluation de la formation.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Le traitement de texte word (7 h).<br />
Utiliser le logiciel de traitement de texte word. Interface du logiciel, organisation<br />
du texte, insertions, mo<strong>des</strong> payages-portraits, mise en forme.<br />
l Le traitement de texte word (3h30).<br />
Tableaux, enregistrements, publipostage, impression.<br />
l Le tableur excel (3h30).<br />
Utiliser un tableur excel, interface du logiciel, mise en forme, tableaux de<br />
calculs.<br />
l Le tableur excel (7 h).<br />
Aller plus loin dans les formules, exporter un tableau dans word. Importer<br />
<strong>des</strong> fichiers dans excel, créer un tableau base de donnée pour le publipostage,<br />
mise en page, enregistrement, impression, les graphes.<br />
l Le client de messagerie outlook : (7 h)<br />
Introduction, envoi / reception d’e-mail, gestion <strong>des</strong> messages electroniques,<br />
planifier ses rendez-vous.<br />
l Le logiciel de présentation powerpoint (7 h).<br />
Introduction, création d’une diapositive, gestions <strong>des</strong> diapositives,<br />
le diaporama, intégration d’objets extérieurs à powerpoint.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
q<br />
Toute personne ayant à utiliser un outil bureautique afin de créer <strong>des</strong><br />
documents textes ou <strong>des</strong> tableaux.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Parce qu’ils sont généralement gratuits et parce qu’ils portent un esprit<br />
humaniste de partage du savoir, les logiciels libres sont en train de s’imposer<br />
durablement, tant dans la sphère privée que professionnelle. Il existe<br />
aujourd’hui de nombreuses suites bureautiques sous licence libre qui n’ont<br />
plus rien à envier à leurs homologues payants. Apprendre à les utiliser au<br />
quotidien permet de réaliser d’importantes économies et permet en outre de<br />
vivre une passionnante aventure informatique.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
l Savoir utiliser 5 logiciels de bureautique sous licence libre.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Pratique intensive <strong>des</strong> logiciels. Etu<strong>des</strong> d’exemples. Etude de cas. Discussions.<br />
Analyse et synthèse <strong>des</strong> étapes de la création. Mise en situation.<br />
Analyse et évaluation de la formation.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Surfer sur Internet avec Mozilla. Navigateur libre (3h30).<br />
Logiciel de courrier et d’agenda électronique Thunderbird, envoi / reception<br />
d’e-mail, gestion <strong>des</strong> messages électroniques. Planifier ses rendez-vous<br />
avec l’agenda électronique.<br />
l Utiliser un logiciel de traitement de texte libre : Open Office Writer (3h30).<br />
Interface du logiciel, organisation du texte.<br />
l Utiliser un logiciel de traitement de texte libre : Open Office Writer (7 h).<br />
Insertions automatiques, mo<strong>des</strong> paysages-portraits, publipostage, mise en<br />
forme, tableaux, enregistrements sous writer, impression.<br />
l Utiliser un tableur libre : OpenOffice Calc (7 h).<br />
Interface du logiciel, mise en forme, tableaux de calculs, mise en page.<br />
l Utiliser un tableur libre : OpenOffice Calc (3h30).<br />
Impression, les graphes.<br />
l Utiliser en synergie les 4 outils abordés (3h30).<br />
Recherche d’in<strong>formations</strong> sur Internet avec Mozilla, envois et réception<br />
d’e-mail avec Thunderbird, rédaction d’une lettre avec OpenOffice Writer,<br />
établissement d’un tableau avec OpenOffice Calc.<br />
Objectif<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
q<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u CYBER ODYSSEE SCOP<br />
Lieu : Taluyers (69)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u CYBER ODYSSEE SCOP<br />
q Dates : Du 19 au 23/09/11 q Dates : Du 31/01 au 04/02/11<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Taluyers (69)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
72
Communication Graphique<br />
PERFECTIONNEMENT INFORMATIQUE<br />
q<br />
Public<br />
Toute personne souhaitant apprendre à créer <strong>des</strong> documents de communication<br />
agréables et efficaces.<br />
q<br />
Public<br />
Toute personne ayant effectué le stage d’initiation ou ayant déjà une pratique<br />
de l’informatique et désireux de ne pas en rester là.<br />
CLINIQUE<br />
q<br />
Savoir bien présenter un document, tant en matière de communication interne<br />
que de communication externe, est un atout. Un document clair, accessible,<br />
graphiquement agréable est un outil efficace de persuasion. Très utile<br />
quand on a à présenter un projet ou une structure.<br />
q<br />
q<br />
q<br />
73<br />
Argumentaire<br />
l Savoir utiliser <strong>des</strong> logiciels de création graphique afin de produire <strong>des</strong> documents<br />
de communication clairs, accessibles et agréables.<br />
q<br />
Pratique intensive <strong>des</strong> logiciels. Etu<strong>des</strong> d’exemples graphiques. Etude de cas.<br />
Discussions. Analyse et synthèse <strong>des</strong> étapes de la création. Mise en situation.<br />
Analyse et évaluation de la formation.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Enumération <strong>des</strong> différents outils informatiques utiles à la communication<br />
graphique (7 h).<br />
Recenser les différents logiciels libres disponibles. Les logiciels classiques :<br />
Photoshop, Illustrator. Les logiciels libres : Gimp, Inkscape.<br />
l Savoir retoucher une image pour valoriser un document de communication<br />
(7 h).<br />
Aborder le logiciel Photoshop. Découverte de l’interface Photoshop, barre<br />
d’outil et de menu. Utilisation <strong>des</strong> outils <strong>des</strong>sins. Utilisation de différentes<br />
techniques de détourage.<br />
l Savoir retoucher une image pour valoriser un document de communication<br />
(7 h).<br />
Aborder le logiciel Photoshop. Utilisation de la palette effet. Utilisation de<br />
filtre. Utilisation <strong>des</strong> calques. Découverte d’un équivalent libre : Gimp.<br />
Savoir le télécharger et l’installer.<br />
l Créer un document de communication efficace avec un logiciel de mise en<br />
page et de <strong>des</strong>sin vectoriel. Aborder le logiciel Illustrator (7 h).<br />
Présentation <strong>des</strong> différentes possibilités du logiciel. Espace de travail.<br />
Palettes interactives à onglet. Menus contextuels. Création de texte avec<br />
utilisation d’effets spéciaux. Utilisation <strong>des</strong> fonctions et typos. Incrustation<br />
d’images dans un texte. Le <strong>des</strong>sin vectoriel. Outil plume. Courbes de Bézier.<br />
Utilisation <strong>des</strong> formes géométriques. Utilisation <strong>des</strong> différents outils et <strong>des</strong><br />
dé<strong>formations</strong>.<br />
l Créer un document de communication efficace avec un logiciel de mise en<br />
page et de <strong>des</strong>sin vectoriel. Aborder le logiciel Illustrator (7 h).<br />
Importation <strong>des</strong> fichiers. Différents formats de fichiers à importer : Paint,<br />
Pict, Postcript. Utilisation de la fonction Clipart d’Adobe. Utilisation <strong>des</strong><br />
différents filtres. Ajustement <strong>des</strong> couleurs. Utilisation du nuancier.<br />
Différences RVB, CMJN. Utilisation de la quadrichromie. Colorisation <strong>des</strong><br />
images TIFF noir et blanc. Gestion de la couleur et <strong>des</strong> formats de couleur<br />
lors de l’impression. Gestion <strong>des</strong> couleurs suivant finalité du document :<br />
impression ou écran. Enregistrement et exportation <strong>des</strong> documents.<br />
Différents formats : AI, PDF et autres supports d’exportation. Insertion de<br />
liens hypertextes. Illustration et sauvegarde d’une illustration pour Internet.<br />
Différents formats d’exportation pour Internet. Découverte d’un équivalent<br />
libre : InkScape. Savoir le télécharger et l’installer.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u CYBER ODYSSEE SCOP<br />
Lieu : Taluyers (69)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
www.afore-formation.com<br />
u CYBER ODYSSEE SCOP<br />
q Dates : Du 09 au 13/05/11 q Dates : Du 22 au 25/03/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
q<br />
l Approfondir les connaissances <strong>des</strong> principaux logiciels de bureautique :<br />
Word, Excel mais aussi Outlook et Powerpoint.<br />
l Optimiser l’utilisation d’Internet.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Les participants seront amenés à réaliser un jeu en commun et seront placés<br />
à la place de leurs publics afin de savoir ensuite réutiliser leur expérience et<br />
leurs compétences acquises. Discussions. Etude de cas. Analyse et synthèse<br />
<strong>des</strong> étapes de la création. Mise en situation afin de retranscrire le savoir<br />
acquis. Analyse et évaluation de la formation.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Rappels <strong>des</strong> diverses fonctions de Windows, améliorations.<br />
Perfectionnement au traitement de texte Word et présentation de son<br />
homologue libre Writer (7 h).<br />
Rappel <strong>des</strong> différences et points communs entre Word et Writer. Rappel de<br />
la notion de logiciel libre. Rappel <strong>des</strong> différentes phases de l’élaboration<br />
d’un document. Maîtrise <strong>des</strong> couper-copier-coller. Documents complexes<br />
contenant <strong>des</strong> colonnes, <strong>des</strong> tableaux, <strong>des</strong> <strong>des</strong>sins. Traitement <strong>des</strong> entêtes<br />
et <strong>des</strong> pieds de page. Mettre un logo en en-tête. Les notes de bas de<br />
page. Créer <strong>des</strong> arborescences, chapitres et sommaires. Impression<br />
d’étiquettes et de publipostage (mailing). Insérer <strong>des</strong> éléments venant<br />
d’Internet avec Copier Coller.<br />
l Perfectionnement au tableur Excel et présentation de son homologue libre<br />
CALC (7 h).<br />
Rappel <strong>des</strong> différences et points communs entre Excel et Calc. Rappel <strong>des</strong><br />
différentes phases de l’élaboration d’un document. Rappel <strong>des</strong> caractéristiques<br />
d’une feuille de calcul. Outils de mise en forme <strong>des</strong> cellules. Formules<br />
de calcul.<br />
l Les fonctions conditionnelles. Implémenter les dates avec actualisation<br />
automatique. Créer <strong>des</strong> graphiques. Initiation du langage Visual Basic pour<br />
créer <strong>des</strong> tableaux complexes. Initiation à la croisée dynamique (7 h).<br />
l Exemples d’utilisation du logiciel Outlook et présentation de son homologue<br />
libre Thunderbird (7 h).<br />
Rappel <strong>des</strong> différences et points communs entre Outlook et Thunderbird.<br />
Récupération du courrier. Paramétrages du courrier. SMTP et POP. Carnet de<br />
contacts. Gestion d’un agenda.<br />
l Exemple d’utilisation du logiciel Powerpoint et présentation de son homologue<br />
libre Impress (7 h).<br />
Rappel <strong>des</strong> différences et points communs entre Powerpoint et Impress.<br />
Les notions de diapositives et d’animations. Créer un diaporama attrayant<br />
pour présenter un projet ou une activité. Récapitulatif <strong>des</strong> compétences<br />
acquises.<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
Lieu : Taluyers (69)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE
Formation «atelier de création d’un jeu<br />
vidéo en 3D»<br />
INTERNET<br />
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
q<br />
Educateurs et animateurs.<br />
q<br />
Le jeu vidéo est désormais au cœur de la vie <strong>des</strong> enfants et ados. Utiliser<br />
le jeu vidéo dans un projet pédagogique créatif (il s’agit ici de créer son<br />
propre jeu) permet de sensibiliser le public, de manière ludique et attrayante,<br />
à diverses thématiques plus vastes (par exemple l’environnement, la citoyenneté,<br />
etc). De joueur passif, l’enfant devient, à travers ce type d’atelier, un<br />
véritable créateur. Par la réalisation de son jeu, il va pouvoir traiter de thèmes<br />
divers. Cette formation offre aux éducateurs les compétences nécessaires à<br />
l’encadrement de ce type d’ateliers ludiques et attrayants.<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Enumération <strong>des</strong> différents outils informatiques utiles à l’atelier jeu vidéo.<br />
Recenser les différents logiciels libres disponibles pour ce type d’atelier.<br />
Présentation du moteur de jeu vidéo en 3D. Présentation du logiciel de<br />
retouche d’image (7 h).<br />
l Savoir retoucher une image afin d’en faire un élément de maping. Apprendre<br />
à utiliser le moteur de jeu en 3D. Les bases de la modélisation 3D. Créer un<br />
univers (7 h).<br />
l Créer un personnage. Le maping. La caméra. Animer une scène (7 h).<br />
l Apprendre à mettre en commun les éléments constitutifs du jeu. Savoir<br />
former <strong>des</strong> équipes coopératrices pour faire avancer le projet de jeu.<br />
Travailler à partir d’un thème. Formation du scénario à partir du thème.<br />
Savoir orienter le jeu et l’atelier en relation avec le thème à aborder. Savoir<br />
encadrer une séance de jeu en réseau sur le jeu créé (7 h).<br />
l Récapitulation <strong>des</strong> compétences acquises. Reprendre les étapes de l’atelier :<br />
création d’image puis modélisation 3D à partir du thème et scénario.<br />
Echange de compétences et d’avis pour aller plus loin. Présentation de<br />
bibliographie et de liens pour télécharger les logiciels utiles (7 h).<br />
Objectif<br />
l Savoir encadrer un atelier de création de jeu vidéo en 3D dans son projet<br />
pédagogique auprès <strong>des</strong> publics enfants et ados.<br />
Méthodologie<br />
Les participants seront amenés à réaliser un jeu en commun et seront placés<br />
à la place de leurs publics afin de savoir ensuite réutiliser leur expérience et<br />
leurs compétences acquises. Discussions. Etude de cas. Analyse et synthèse<br />
<strong>des</strong> étapes de la création. Mise en situation afin de retranscrire le savoir<br />
acquis. Analyse et évaluation de la formation.<br />
q<br />
Toute personne ayant à utiliser et à perfectionner l’outil multimédia et souhaitant<br />
créer un site Internet.<br />
q<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Une formation générale à la communication dans ses aspects historiques et<br />
culturels doit apporter une connaissance fondamentale pour appréhender<br />
avec compétence le domaine de la communication sur le Web.<br />
Cette série de travaux dirigés assure une formation plus artistique qui peut<br />
permettre une nouvelle approche du multimédia.<br />
q<br />
q<br />
l L’objectif est de former le public dans les domaines de la création spécifique<br />
de sites multimédias, tant sur le plan de la communication (services<br />
communication <strong>des</strong> organisations, <strong>des</strong> entreprises, <strong>des</strong> communes,<br />
collectivités territoriales) que sur le plan artistique.<br />
q<br />
Il s’agit d’une méthodologie participative et interactive :<br />
Compréhension de l’architecture client-serveur. Acquisition <strong>des</strong> notions de<br />
base de l’algorithmique et de la programmation web.<br />
Compréhension <strong>des</strong> enjeux et contextes de communication spécifique au web<br />
dans l’entreprise, connaissances historiques <strong>des</strong> nouveaux médias dans l’art<br />
et le mouvement artistique.<br />
Maîtrise <strong>des</strong> étapes de l’écriture à la production d’une œuvre multimédia et de<br />
son intégration dans un site Internet. Gestion de projet web, etc.<br />
Une place importante sera accordée à <strong>des</strong> applications à travers le logiciel de<br />
création multimédia Dreamweaver.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Qu’est ce que le web<strong>des</strong>ign ?<br />
l Le processus de création d’un site web.<br />
l Le processus de création d’un <strong>des</strong>ign web.<br />
l Le langage graphique, langage HTML, PHP, MySQL...<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage. (Evaluation individuelle).<br />
Q<br />
q<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel synthétisant l’ensemble <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
q<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenant cf p.2<br />
u CYBER ODYSSEE SCOP<br />
Lieu : Taluyers (69)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Khaled ZOUARI<br />
q Dates : Du 23 au 27/05/11 q Dates : Du 16 au 20/05/11<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
74
Techniques Educatives
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
Matière théâtre : créateur de sens<br />
Le monde n’a peut être pas de sens,<br />
il nous est donné de lui en trouver un.<br />
q<br />
ES, ME, AMP, animateurs socioculturels, rééducateurs, personnels soignants<br />
et ai<strong>des</strong>.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Ce stage vous permet d’acquérir un outil supplémentaire dans votre relation<br />
éducative. Le fait d’expérimenter soi même la matière théâtre fait prendre<br />
conscience de ce qui peut se jouer et émerger lors de telles séances. Vous<br />
allez pratiquer différents exercices avant de pouvoir transmettre ce savoir<br />
pour en faire un atout au sein de votre structure de travail.<br />
q<br />
q<br />
l Se positionner dans son rôle de soignant à travers un outil différent :<br />
le théâtre.<br />
l Adapter ces exercices à <strong>des</strong> publics handicapés physiques et mentaux.<br />
l Expérimenter, apprendre la mise en espace d’un atelier, même avec peu<br />
de moyens.<br />
l Utiliser vos propres talents artistiques pour créer de nouvelles propositions.<br />
q<br />
Cette méthode est essentiellement active avec exercice physique, vocal<br />
et créatif. Analyse <strong>des</strong> expériences <strong>des</strong> participants, tour à tour acteurs et<br />
animateurs.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Le corps qui parle, les gestes qui parlent :<br />
Travail sur le corps, la respiration, le massage, la visualisation.<br />
l Comment dire? Comment se dire? :<br />
Travail sur l’acte de parole, différentes métho<strong>des</strong> corporelles pour s’exprimer<br />
oralement en partant de soi, de sa créativité.<br />
l L’image de soi face aux autres ou comment affirmer son identité ?<br />
Travail <strong>des</strong> émotions, approche et lecture en scène, le monologue à travers<br />
le texte.<br />
l Soi et les autres, comment entrer en contact? :<br />
Travail en cercle, l’improvisation comme base de départ.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Les participants devront prendre en charge le groupe ou une partie du groupe<br />
si celui-ci est trop important et mettre en pratique <strong>des</strong> exercices qu’ils auront<br />
au préalable expérimentés durant la semaine de stage. Cette validation sera<br />
suivie pour chacun d’un temps de parole avec d’éventuelles rectifications ou<br />
apports supplémentaires de ma part.<br />
Matière théâtre : créateur de sens<br />
Créer un spectacle vivant<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Sofie Terrade-Maurel<br />
Lieu : Marseille (13)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Sofie Terrade-Maurel<br />
q Dates : Du 23 au 27/05/11 q Dates : Du 20 au 24/06/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Public<br />
ES, ME, AMP, animateurs socioculturels, personnels soignants et ai<strong>des</strong>.<br />
q<br />
Ce stage vous permet d’approfondir <strong>des</strong> connaissances de cette matière<br />
théâtrale soit que vous pratiquez déjà en tant qu’outil de relation comme<br />
médiation éducative dans le cadre de votre travail ou que vous auriez rencontrée<br />
lors d’un stage précédent. Vous allez à partir de supports écrits (textes libres,<br />
livres) ou visuels (films documentaires) créer un spectacle vivant.<br />
Un atelier ne serait complet sans la «fameuse» représentation finale face à<br />
un public. Nous devons en tant que meneur d’atelier rendre compte de notre<br />
travail, c’est aussi un moment essentiel pour les personnes que vous accompagnez.<br />
Avoir dans sa valise <strong>des</strong> exercices, <strong>des</strong> techniques pour animer un<br />
atelier est important, mais savoir agencer le tout pour en faire un spectacle<br />
vivant me semble primordial pour la pérennité de votre atelier.<br />
q<br />
q<br />
l Se positionner dans son rôle de soignant à travers un outil différent :<br />
le théâtre.<br />
l Rendre attractif un lieu pour y créer une représentation.<br />
l Utiliser au mieux les compétences de chacun si minimes soit elles.<br />
l Expérimenter, apprendre le processus de création d’une présentation publique<br />
avec <strong>des</strong> personnes en difficulté.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
A partir du support choisi que vous aurez amené, nous dégagerons ensemble<br />
quelques idées principales sous forme d’écrits qui serviront à déclencher la<br />
direction de votre action, la ligne directrice vers laquelle vous allez créer.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l L’écriture :<br />
A travers différents exercices d’écriture, vous aurez une base solide pour<br />
faire émerger l’essentiel de votre support choisi (livre ou film).<br />
l La dépendance, l’indépendance, la liberté individuelle :<br />
Travail sur l’émotion à partir du jeu <strong>des</strong> positionnements dans l’espace.<br />
A partir de vos écrits, trouvons les différents possibles pour une meilleure<br />
mise en scène du corps de l’acteur.<br />
l Symbolique et imaginaire :<br />
Travail sur l’instinctif et l’imaginaire impulsé par la voix et le corps.<br />
Chaque support amène avec lui un symbole, à nous de le découvrir et de<br />
construire autour un imaginaire.<br />
l Les objets et nous, autre regard :<br />
Modifier la perception que l’on a de l’objet, mise en espace d’un lieu et de<br />
ses objets quotidiens.<br />
Évaluation<br />
La validation sera un temps où les participants seront invités à présenter à<br />
deux ou à plusieurs leur création, travail issu de la semaine de stage.<br />
Lieu : Marseille (13)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
76
Atelier Corps Créatif<br />
A la recherche de son clown<br />
q<br />
Le Corps / L’esprit. Pourquoi les dissocier ? Comment imaginer qu’ils puissent<br />
se mettre en mouvement - s’animer par le geste ou par la pensée - indépendamment<br />
l’un de l’autre ? À partir de plusieurs techniques de danse-théâtre,<br />
ce stage propose d’explorer la notion d’imaginaire du corps. Il ne s’agit pas de<br />
devenir danseur ou comédien mais de développer ses capacités créatives à<br />
travers un corps et un esprit réassociés.<br />
q<br />
q<br />
l Acquérir <strong>des</strong> techniques d’improvisation en danse-théâtre.<br />
l Amener chacun à jouer avec ses «images de soi», y compris celles qui ne<br />
lui sont pas familières.<br />
l Développer le mode coopératif entre les participants, sans perdre le lien<br />
avec leur propre imaginaire.<br />
l Travailler sur différents types de relations : la relation <strong>des</strong> corps entre eux,<br />
d’un corps aux objets inanimés, d’un corps à l’espace et aux sons qui<br />
l’environnent.<br />
l Analyser comment réinvestir le contenu du stage : comment animer un<br />
atelier «corps créatif» dans son cadre de travail ?<br />
q<br />
- Alternance entre <strong>des</strong> phases de mise en jeu du corps (en groupe, ou individuellement),<br />
<strong>des</strong> phases d’observation attentive et bienveillante <strong>des</strong> autres<br />
(comment faire un retour à quelqu’un ?), et <strong>des</strong> phases d’analyse-réflexion<br />
autour du thème du stage (à partir de supports vidéos, écrits, sonores,...).<br />
- «plasticité» du stage en fonction du nombre de participants, de leur implication<br />
et de l’évolution de l’imaginaire du groupe (en complément du contenu<br />
du stage cité plus haut).<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Echauffement et préparation physique à partir du corps de chacun.<br />
l Exercices d’improvisations à partir de plusieurs supports :<br />
masques, marionnettes, objets, vidéo.<br />
l Sensibilisation à l’univers de différents artistes du monde du spectacle, de<br />
la performance ou <strong>des</strong> arts plastiques (vidéos, images, textes,...).<br />
l Réflexion sur les méthodologies et publics possibles pour mettre en place<br />
un atelier Corps Créatif.<br />
l Mise en situation d’animation d’un exercice d’imaginaire du corps préparé.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’un exercice final individuel ou en petit groupe élaboré à<br />
partir <strong>des</strong> différentes explorations traversées durant la formation. Evaluation<br />
individuelle.<br />
q<br />
Animateurs socio-culturels, éducateurs, travailleurs sociaux, personnels<br />
soignants. Toute personne désireuse de progresser dans la connaissance de<br />
soi, dans la relation aux autres et désireuse de créer du lien.<br />
q<br />
Public<br />
Un clown sommeille en chacun de nous. Ce stage a pour but de le réveiller<br />
et de le révéler. Le ou la clown, contrairement à l’acteur de théâtre, n’a que<br />
faire <strong>des</strong> références rationnelles, il n’y a pas chez lui de psychologie du<br />
personnage, il peut passer sans transition de la gaieté à la tristesse, du coq<br />
à l’âne. C’est une manière d’être. Pierre Etaix en donne une belle définition :<br />
«le clown est un solitaire qui cherche <strong>des</strong> solidaires». Le clown n’est pas figé<br />
dans une époque, il n’est pas socialement situé. Il agit comme un miroir grossissant<br />
<strong>des</strong> relations humaines car sa vérité vient de sa faculté de mettre en<br />
scène ses propres défauts, d’accepter ses limites, de déjouer ses appréhensions<br />
et ses angoisses. Il crée son univers avec sa logique propre, avec ses<br />
règles (c’est quand il les rompt que naît le rire), il puise dans son imaginaire<br />
qui doit être fécond. Peu importe d’où il vient et où il va , il vit la situation dans<br />
l’instant, il est et il agit.<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Au fil du travail le stagiaire construira son personnage de clown. Il trouvera sa<br />
dégaine, sa voix, ses tics et obsessions, son langage verbal, son langage<br />
gestuel, son rapport aux objets, sa relation aux autres. Il deviendra tantôt le<br />
clown blanc, celui qui incarne le savoir, tantôt l’auguste qui incarne l’imaginaire<br />
qui sont deux aspects d’une même entité. Le clown se nourrit de toute<br />
pratique artistique, la maîtrise d’un instrument, (l’apporter au stage si ce n’est<br />
pas un piano à queue !) le chant, la danse... sont <strong>des</strong> atouts pour le jeu clownesque.<br />
Ne savoir rien faire aussi ! Des techniques spécifiques pour comprendre la<br />
mécanique du rire seront proposées : construire <strong>des</strong> gags, <strong>des</strong> situations<br />
clownesques, détourner <strong>des</strong> objets de leur sens premier... Ce stage n’est<br />
pas un condensé de recettes pour devenir clown en trois jours, c’est une<br />
porte qui ouvre sur <strong>des</strong> possibles souvent insoupçonnés.<br />
Objectif<br />
l Privilégier un état d’esprit d’ouverture où le «ratage» devient un art et non<br />
une sanction. (Rire de soi c’est rire avec et non contre les autres).<br />
l Mettre à distance <strong>des</strong> tensions et conflits.<br />
l Favoriser la détente, le lâcher prise, le rapprochement.<br />
l Découvrir que, chacun peut à sa manière faire jaillir du rire et en retirer un<br />
bien-être physique et psychique.<br />
Méthodologie<br />
Apprentissage <strong>des</strong> techniques de base dans un esprit ludique de découverte<br />
et de plaisir. Improvisations et construction de situations théâtrales. Approche<br />
concrète <strong>des</strong> différents styles de langage corporel. Confrontation <strong>des</strong> expériences<br />
et <strong>des</strong> points de vue.<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
q<br />
77<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Michaël CROS<br />
Lieu : Marseille (13)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
www.afore-formation.com<br />
u Reine Marguerite BAYLE<br />
q Dates : Du 03 au 07/10/11 q Dates : Du 09 au 13/05/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Évaluation<br />
Présentation individuelle et collective de scènes de jeu clownesque.<br />
Lieu : Portel <strong>des</strong> Corbières (11)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Du son à la musique<br />
q<br />
Tous professionnels <strong>des</strong> secteurs du champ social, éducatif et médical.<br />
q<br />
Public<br />
L’atelier musical est un espace-temps privilégié dans une rupture du quotidien<br />
de la relation patients-soignants. C’est aussi une expérience de possibilités<br />
relationnelles grâce au support de la musique.<br />
Comment la musique peut-elle être le pont entre le langage infra verbal et<br />
langage verbal ? La résonance du corps sonore, musique de soi, musique de<br />
l’autre. Comment saisir ou subir notre environnement dans le «toucher» du<br />
son? Dans certains lieux d’accompagnement, le quotidien est riche en matière<br />
sonore et :<br />
... l’impensé est pourtant vécu. La musique permet alors la mise en mots, et en<br />
corps, de l’insensé (F. Jacquemot , Musicothérapeute....).<br />
Qu’est ce qui est de soi, qu’est ce qui est de l’autre? Quel jeu, enjeu relationnel<br />
dans cet espace temps, entre...?<br />
Que peut être un atelier musical avec ses possibilités. Théorie de Winnicott<br />
sur l’espace transitionnel d’improvisation, d’interprétation, pour faire place à la<br />
création... C’est de la sensation que nous vient l’idée (Platon).<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Qu’est-ce que la musique? ce qui la distingue du bruit, du son. Le corps<br />
sonore, les sons du dehors, du dedans et leur place vibratoire, dans les<br />
perceptions primaires in-utéro... Du souffle au son.<br />
l Perception du corps instrument, expression du ressenti <strong>des</strong> sensations...<br />
se frotter à l’autre par le son... Du son à ma voix, de la voix du «loup...» à la<br />
perception <strong>des</strong> harmoniques. L’accord comme empilement harmonique et la<br />
perception corporelle de la justesse.<br />
l Perception du corps musicien, du cri au chuchotement, du chant à la parole,<br />
la voix parlée, la justesse harmonieuse entre mon intention, mon émotion,<br />
ma pensée, et mon besoin de dire.<br />
l Le quotidien en institution : sa partition, ses bruits ambiants, son impossible<br />
entendu dans la musique de l’enfant qui crie... ses accords, ses désaccords,<br />
ses temps d’harmonisation avec sa résonnance dans les dits, ou les non<br />
dits...<br />
l L’activité musicale : médiatrice pour une communication, sa mise en place,<br />
son cadre, son contenu, ses possibilités pour faire lien dans un accordage<br />
relationnel, dans <strong>des</strong> moments de plaisir, de relation partagée.<br />
l Création, écriture d’une partition, d’un paysage sonore.<br />
Objectif<br />
l Développer ses capacités d’écoute.<br />
l Saisir et analyser la place de l’environnement sonore immédiat.<br />
l Penser, aménager argumenter, <strong>des</strong> supports pour <strong>des</strong> espaces de vie musicale<br />
et sensorielle auprès <strong>des</strong> personnes en difficultés relationnelles.<br />
DU MASQUE AU THEATRE<br />
Fabrication et Jeu<br />
q<br />
Public<br />
Tous les acteurs du champ social, éducatif et médical.<br />
q<br />
Nous nous situons dans une pédagogie interactive à la croisée <strong>des</strong> chemins<br />
artistiques et thérapeutiques où chacun puisera dans cette approche du<br />
corps expressif matière à enrichir sa pratique professionnelle et matière à<br />
s’enrichir personnellement.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Le jeu du masque : vivons heureux, vivons masqués ! Porter un masque c’est<br />
donner la parole au corps qui se mettra au service du masque car le masque a<br />
son style et son langage. «Il faut éclater notre visage sur notre corps entier»<br />
conseillait Jean Louis Barrault. Jouer masqué est une expérience extraordinaire<br />
de libération car oubliant sa propre subjectivité l’acteur, aussi néophyte<br />
soit-il, se lâche et son corps révélé et réveillé se met en action.<br />
Nous découvrirons différents types de masques qui seront mis à disposition<br />
<strong>des</strong> stagiaires : le masque neutre, le demi-masque typé, le masque entier de<br />
caractère.<br />
Nous aborderons par demi-journée les techniques corporelles de base qui<br />
permettront de jouer ces masques individuellement et collectivement.<br />
Avec le masque neutre ce sera l’apprentissage de la grammaire du geste :<br />
attitu<strong>des</strong>, statuaire mobile, pantomime, le larvaire...<br />
Avec le masque de caractère ce sera une initiation à la Commedia dell’arte<br />
avec ses personnages types : Arlequin, Colombine, Pantalon... ainsi qu’une<br />
découverte de masques de caractère modernes créés pour <strong>des</strong> spectacles.<br />
A partir d’improvisations et de canevas établis nous construirons <strong>des</strong> sketches<br />
qui nous mettrons en scène pour les finaliser.<br />
l La fabrication : dès le début de la semaine nous consacrerons la demi-journée<br />
à la fabrication, ainsi chacun pourra fabriquer au minimum un masque qu’il<br />
pourra jouer puis emporter.<br />
Les techniques de fabrication sont nombreuses, nous avons choisi les moins<br />
coûteuses et les plus abordables à réaliser dans le temps qui nous est<br />
imparti : papiétage, toile de jute.<br />
Objectif<br />
l Découvrir les potentialités du corps en jeu et le plaisir de s’exprimer.<br />
l Vivre avec <strong>des</strong> partenaires une expérience de jeu commune à partager.<br />
l Favoriser l’écoute et la relation à autrui.<br />
l Accepter le travail d’improvisation et la prise de risque.<br />
l Développer le potentiel créatif de chacun.<br />
l Optimiser la fluidité <strong>des</strong> relations dans le cadre professionnel.<br />
l Maîtriser <strong>des</strong> techniques d’apprentissage de jeu corporel et de fabrication<br />
de masques.<br />
l Fournir les outils pour animer un atelier d’expression gestuelle.<br />
Q<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
q<br />
Chaque journée de la semaine se répartira entre les deux intervenants. Le<br />
matin avec Madeleine Badiou musicothérapeute et l’après-midi avec Myriam<br />
Djemour «formatrice en voix». La progression au cours du stage permettra<br />
les échanges et les analyses sur les mises en situation, ainsi que sur le<br />
cheminement vers les conditions de création musicale, d’expression au sein<br />
d’une institution.<br />
q<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Ecriture et présentation d’un pré de trames, d’un projet d’atelier musical, pour<br />
une application personnelle dans son espace professionnel.<br />
Méthodologie<br />
Intervenantes cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Myriam DJEMOUR u Madeleine BARIL-BADIOU u Reine Marguerite BAYLE<br />
Répartition par demi-journée du temps de travail entre le fabrication et le jeu<br />
du masque. Apprentissage <strong>des</strong> techniques de base théorique et pratiques dans<br />
un esprit ludique de découverte et de plaisir. Confrontation <strong>des</strong> expériences<br />
et <strong>des</strong> points de vue.<br />
q Dates : Du 09 au 13/05/11 q Dates : Du 20 au 24/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Portel <strong>des</strong> Corbières (11)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
q<br />
q<br />
Évaluation<br />
Fabrication de masque et présentation d’un projet d’animation d’atelier.<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
78
ATELIER D’ECRITURE :<br />
de l’expérimentation à la pratique<br />
q<br />
Educateurs, animateurs, personnels soignants, praticiens intervenants<br />
auprès de publics en difficulté.<br />
q<br />
q<br />
q<br />
79<br />
Public<br />
Argumentaire<br />
Cet atelier d’écriture se veut un espace d’apprentissage, d’expérimentation<br />
et d’échanges où le stagiaire pourra s’immerger et exprimer sa créativité. Il<br />
donnera <strong>des</strong> outils et ouvrira <strong>des</strong> pistes pour que chaque participant puisse<br />
inventer ses propres repères selon les objectifs qu’il s’est fixé en fonction<br />
du public auquel il s’adresse. Le désir d’écrire existe, il n’y a qu’à l’attiser et<br />
l’assouvir...<br />
De la contrainte naîtra la liberté. Pour faciliter le jaillissement, les écrivants<br />
se verront proposer <strong>des</strong> techniques, <strong>des</strong> ouvertures, <strong>des</strong> consignes. Georges<br />
Perec suggère quatre points cardinaux qui vont du maximum d’expression<br />
personnelle au maximum de contrainte : MOI (l’expression), L’IMAGINAIRE (les<br />
histoires), LE MONDE (la représentation), LE LANGAGE (les contraintes).<br />
Ainsi chacun pourra creuser un sillon imprévu au sein d’un groupe devenu un<br />
espace transitionnel. Dans l’atelier d’écriture, la socialisation a une fonction<br />
motrice. C’est dans sa perspective que le travail prend un sens. Malgré ses<br />
appréhensions ou son insatisfaction quant au résultat, l’écrivant dira son<br />
écrit. L’oralisation agit à la façon d’un révélateur, elle déroule ce qui a travaillé<br />
dans l’écriture : un matériel inconscient ou réprimé ou refoulé sur lequel la<br />
pensée pré-consciente aurait repris ses droits. La production d’écrit devient<br />
l’expression d’une fantasmatique collective et l’instrument d’une pratique<br />
sociale.<br />
Au cours d’une matinée, une psychologue interviendra sur les thématiques<br />
du processus de médiation, de la mise en groupe et de l’objet médiateur<br />
«écriture» afin d’ouvrir une réflexion sur les processus psychiques que<br />
suscite l’écriture groupale.<br />
Les différents types de dispositifs (ateliers à création ou groupes thérapeutiques<br />
à médiation) constituent avant tout un espace de partage et de rencontre<br />
dans un espace-temps groupal. Nous pourrons alors élaborer quelques<br />
points de repères quant à la place et à la fonction <strong>des</strong> animateurs par rapport<br />
au processus de médiation au sein de ces groupes.<br />
Techniques d’écritures :<br />
- Les «starters» ou comment démarrer.<br />
- Jeux sur les mots.<br />
- Mini récits.<br />
- Le rôle <strong>des</strong> consignes.<br />
- L’intertextualité, le cut-up, les «bris-collages».<br />
- Les stimuli de l’imaginaire.<br />
- Les supports : iconographie, musique, théâtre.<br />
- Le rapport au monde.<br />
- Le poétique.<br />
Bases théoriques :<br />
- Le groupe.<br />
- Le processus de médiation.<br />
- Les fonctions de l’objet médiateur «écriture».<br />
- La place et fonction <strong>des</strong> animateurs.<br />
Animer un atelier d’écriture :<br />
- L’écriture en solo et à plusieurs.<br />
- La lecture collective.<br />
- Le rôle de l’animateur.<br />
- L’écoute, cadrage, empathie et éthique.<br />
L’expérimentation ou l’aventure d’écrire :<br />
- A partir <strong>des</strong> démarrages, <strong>des</strong> jeux, <strong>des</strong> consignes, les stagiaires expérimenteront<br />
les chemins balisés de l’écriture. Ils découvriront leur créativité<br />
et le plaisir que procure l’acte d’écrire. Ils repartiront avec leur production<br />
d’écrits.<br />
- La médiation sera expérimentée dans la lecture collective<br />
Évaluation<br />
Présentation individuelle d’un avant-projet d’atelier écriture en fonction de<br />
l’espace professionnel.<br />
Intervenantes cf p.2<br />
u Reine Marguerite BAYLE<br />
q Dates : Du 24 au 28/01/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Anne Sophie WAHRENBERGER<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
ANIMER DES ATELIERS DU RIRE EN INSTITUTION<br />
q<br />
Et si le rire, c’etait du sérieux !? Proposer un atelier du rire en institution, pourquoi<br />
? Le «Rire ensemble» aide la construction d’un groupe, d’une équipe,<br />
cela renforce le sentiment d’appartenance tout en facilitant l’intégration <strong>des</strong><br />
nouveaux membres.<br />
Parce que s’ouvrir à l’énergie du rire permet d’amener rapidement détente et<br />
lâcher-prise.<br />
Parce qu’au-delà <strong>des</strong> multiples effets bénéfiques sur l’état de santé général<br />
(physique et psychologique) de chacun, le rire est aussi un moyen de recréer<br />
du lien avec soi et avec les autres, de reprendre et/ou renforcer sa confiance<br />
intérieure et de développer <strong>des</strong> capacités à s’exprimer et à entrer en relation<br />
avec les autres. Rire «sans raison ni jugement», au-delà <strong>des</strong> conventions, est<br />
une bonne occasion de se relier à l’énergie du cœur qui ouvre la porte à la bienveillance<br />
et à la joie.<br />
Animer un atelier favorisant le rire, comment ?<br />
Un atelier du rire dure en moyenne une heure. Mais, selon les objectifs, le<br />
cadre et le temps dont on dispose, ces séances peuvent aussi être plus courtes<br />
(45 mn) ou prendre la forme de plusieurs séquences dont la mise bout à<br />
bout avoisine les 90 mn.<br />
La séance est une alternance d’exercices empruntés aux disciplines énergétiques<br />
(Yoga, Qi gong etc.) et de jeux visant à créer l’espace propice à l’exploration<br />
du rire ensemble, sans autre motif sérieux que le plaisir de se sentir<br />
libre de laisser s’exprimer notre enfant inteRieur.<br />
A la fois tonifiant et ludique, l’atelier se termine généralement par une<br />
«méditation du rire» : un temps de relaxation qui permet à chacun/e de se<br />
recentrer sur la source d’énergie au centre de soi d’où jaillit le «rire spontané»,<br />
le «fou rire», expression de la simple joie d’être en vie.<br />
q<br />
q<br />
l Comprendre les mécanismes du rire et connaître leurs répercussions sur<br />
notre santé physique et psychologique.<br />
l Expérimenter de façon active les principes et bienfaits du «rire sans raison» .<br />
l Analyser les différentes séquences qui composent un atelier du rire.<br />
l S’initier et s’exercer aux différentes techniques mobilisées dans l’animation<br />
d’un atelier du rire.<br />
l Construire le programme de son propre atelier du rire.<br />
l S’entraîner à l’animation d’un atelier du rire.<br />
q<br />
Démarche pédagogique tenant compte <strong>des</strong> possibilités et <strong>des</strong> attentes <strong>des</strong><br />
stagiaires. Alternance de phases didactiques, réflexives et d’expérimentations<br />
directes. Alternance de travail en groupe et de travail individuel permettant à<br />
chacun de construire progressivement son propre «atelier du rire» .<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Les bienfaits du rire sur l’équilibre physique, mental et émotionnel.<br />
l Les différentes séquences d’un atelier du rire.<br />
l Exercices simples à base de techniques respiratoires, d’étirements,<br />
d’ancrage, de mouvements de détente et de recentrage, de jeux mobilisant<br />
le rythme, le son et l’expression ludique.<br />
l Bases de l’animation bienveillante et de la dynamique de groupe.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Réalisation du plan de déroulement de son propre atelier du rire. Animation<br />
de séquences d’atelier du rire.<br />
Intervenant cf p.2<br />
u Jacques LARIS<br />
q Dates : Du 28/03 au 01/04/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
la technique de la Mosaïque<br />
q<br />
A l’intention <strong>des</strong> acteurs du milieu social et médico-social désirant développer<br />
une activité manuelle créatrice auprès d’un public âgé ou de personnes en<br />
réinsertion sociale.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
Cette formation s’adresse aux personnes désireuses d’entreprendre un<br />
stage d’initiation à la mosaïque d’art dont l’acquis est transférable en situation<br />
professionnelle, auprès de personnes en difficulté. La mosaïque est un<br />
art ayant partie liée avec les métiers du bâtiment, mais elle permet aussi<br />
de développer <strong>des</strong> capacités techniques et <strong>des</strong> habiletés propres à en faire<br />
une activité ergothérapeutique. Il faut en trouver la raison principale dans le<br />
processus de fabrication d’une mosaïque. En effet, la tâche première consiste<br />
en la casse <strong>des</strong> matériaux avant leur recomposition sous la forme d’une image.<br />
La réponse thérapeutique s’inscrit donc dans le champ de la déconstruction/<br />
reconstruction de la matière ; en cela, ce processus est la projection symbolique<br />
<strong>des</strong> tensions intérieures de la personne. La réalisation d’une mosaïque<br />
suppose de la patience ; ainsi, savoir supporter activement en exerçant son<br />
endurance et savoir attendre sont deux qualités propres à aider par exemple,<br />
un public en réinsertion sociale. Sur le plan pratique, un échange sur le vif<br />
entre le formateur et le stagiaire permet d’ancrer dans le geste juste ce que<br />
l’esprit comprend. C’est dire en somme que réponse thérapeutique et technique<br />
fusionnent dans le même acte créateur. La mosaïque peut donc contribuer<br />
au maintien <strong>des</strong> capacités psychomotrices; elle peut aussi être un<br />
vecteur de réhabilitation psychique.<br />
q<br />
q<br />
l Approche de la connaissance <strong>des</strong> matériaux.<br />
l Initiation à la coupe <strong>des</strong> tesselles.<br />
l Initiation à la pose <strong>des</strong> tesselles au ciment-colle.<br />
l Réalisation d’un travail en marbre et granit de 30 x 30 cm maximum.<br />
q<br />
Choix du motif de réalisation dans les ouvrages mis à disposition. Transfert du<br />
motif selon la technique du poncif. Choix <strong>des</strong> matériaux. Casse <strong>des</strong> matériaux.<br />
Réalisation du nuancier. Pose <strong>des</strong> tesselles. Nettoyage.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Le stagiaire n’aura d’autre souci que celui de «se couler dans la peau» du<br />
mosaïste en suivant les différentes étapes qui conduisent à la réalisation<br />
d’une mosaïque, composée de cubes de marbre et de granit retaillés,<br />
appelés tesselles. Ce faisant, il découvre comment «fonctionne» une mosaïque,<br />
par le déploiement <strong>des</strong> rythmes et <strong>des</strong> mouvements, par l’association <strong>des</strong><br />
matières et <strong>des</strong> textures, se construit une image, pierre après pierre.<br />
l Depuis le choix du motif jusqu’à sa réalisation, en passant par la préparation<br />
<strong>des</strong> matériaux, le stagiaire maîtrise l’intégralité d’un processus, tout à<br />
la fois artisanal et artistique. Les matériaux et le support de réalisation<br />
sont fournis. L’outillage est prêté.<br />
l Seuls sont employés <strong>des</strong> matériaux traditionnels : marbre et granit ainsi<br />
que <strong>des</strong> outils traditionnels : marteline et tranchet.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Le stagiaire remettra au formateur un rapport de stage détaillant les différentes<br />
étapes de réalisation de son travail. Cette synthèse a vocation double : le<br />
contrôle par le formateur <strong>des</strong> progrès réalisés par le stagiaire d’une part et<br />
la réalisation d’un mémento auquel le stagiaire pourra se reporter utilement,<br />
d’autre part. C’est aussi une base de discussion pour le bilan du stage, dans<br />
l’optique de son application en milieu professionnel.<br />
Animer un atelier créatif a base<br />
de matériaux de récupération<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Yves DECOMPOIX<br />
Lieu : Thonon-les-Bains (74)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Nicole LAIREZ-SOSIEWICZ<br />
q Dates : Du 23 au 27/05/11 q Dates : Du 24 au 26/05/11<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Public<br />
Professionnels de la santé et <strong>des</strong> secteurs éducatifs, sociaux, engagés dans<br />
une action d’animation auprès <strong>des</strong> enfants, <strong>des</strong> adolescents, <strong>des</strong> personnes<br />
âgées, <strong>des</strong> personnes fragilisées...<br />
q<br />
Quel atelier mettre en place auprès d’un public fragilisé ?<br />
Un atelier créatif, stimulant l’imaginaire, permettant l’utilisation de matériaux<br />
connus, faciles à trouver, «recyclables». Un atelier qui ne demande pas<br />
nécessairement de connaissances artistiques mais de la créativité. Un<br />
atelier qui permettra aux personnes fragilisées de s’exprimer.<br />
Notre époque est à la récupération, à l’économie. La créativité s’enrichit<br />
d’objets ayant un vécu émotionnel, pour une nouvelle utilisation.<br />
L’enfant, l’handicapé, la personne âgée, tout être humain peut très facilement<br />
sans technique compliquée exprimer son monde intérieur et peut communiquer<br />
avec l’autre par <strong>des</strong> supports autres que la parole. Il transforme un<br />
élément sans vie en quelque chose de significatif pour lui, pour l’autre.<br />
q<br />
q<br />
l Acquérir <strong>des</strong> techniques à l’aide de différents matériaux.<br />
l Aborder la créativité sous formes d’exercices adaptés.<br />
l Pouvoir animer un atelier créatif.<br />
l Permettre aux participants de ce type d’atelier, de développer leur créativité,<br />
de trouver un moyen d’expression, de communiquer.<br />
l Découvrir et utiliser <strong>des</strong> matériaux originaux.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Apports théoriques. Des données théoriques permettront aux stagiaires de<br />
comprendre le processus de création afin de faire émerger la créativité chez<br />
<strong>des</strong> patients «régressés». L’approche du volume et l’équilibre, les possibilités<br />
d’assemblage seront également abordées.<br />
Appropriation <strong>des</strong> différents matériaux, utilisation <strong>des</strong> outils.<br />
Les stagiaires seront mis en situation afin de s’approprier les matériaux, les<br />
outils et d’en comprendre leur utilisation, leurs possibilités.<br />
Exercices individuels et en sous-groupes : expérimentation, création.<br />
Les stagiaires réaliseront <strong>des</strong> œuvres collectives et individuelles dans les<br />
différentes techniques apprises au cours de cette formation. Ils seront mis<br />
en situation afin de pouvoir encadrer un groupe de patients enfants et/ou<br />
adultes.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Première étape.<br />
L’expression artistique, les différentes formes d’art : du figuratif à l’abstrait.<br />
De la surface plane au volume; le plein et le vide. Nous sommes tous <strong>des</strong><br />
artistes : développons l’imaginaire, l’inconscient, la spontanéité.<br />
l Deuxième étape.<br />
Chercher autour de soi : la découverte, le tri, l’appropriation de la matière,<br />
<strong>des</strong> matériaux originaux. Les outils, l’expérimentation : les objets divers et<br />
les possibilités d’utilisation.<br />
l Troisième étape.<br />
Le métal, le plastique, le carton, les textiles, le verre, le papier, le bois, la pierre :<br />
comment les utiliser ? Le mécanisme d’extériorisation <strong>des</strong> sensations : de<br />
l’idée à la création.<br />
l Quatrième étape.<br />
Le plaisir, le jeu, la communication, l’échange, le partage.<br />
l Cinquième étape.<br />
Préparation de l’atelier, le rythme du patient, la restauration de la confiance<br />
en soi l’animation de l’atelier. L’évaluation de l’atelier.<br />
Évaluation<br />
Synthèse écrite <strong>des</strong> contenus de la formation (concepts acquis) en articulation<br />
avec le projet d’application personnelle dans son espace professionnel.<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
80
ANIMER UN ATELIER CERAMIQUE :<br />
stage de sculpture raku<br />
q<br />
Tout public, sans niveau requis, animateurs socio-culturels, éducateurs,<br />
travailleurs sociaux, personnels soignants.<br />
q<br />
Public<br />
La pratique artistique du modelage de l’argile est une activité à la fois<br />
épanouissante, par la richesse de l’expression qu’elle permet, et apaisante,<br />
par le contact avec la terre.<br />
Ce stage permet non seulement de développer une écoute, un regard, du<br />
recul par rapport à l’œuvre façonnée de ses mains, de savoir mettre en place<br />
un atelier modelage-terre, mais aussi d’acquérir <strong>des</strong> techniques soli<strong>des</strong><br />
concernant la mise en œuvre d’objets céramiques.<br />
q<br />
q<br />
l Pouvoir équiper et animer un atelier de modelage de l’argile s’adressant à<br />
<strong>des</strong> adultes ou à <strong>des</strong> enfants.<br />
l Acquérir de soli<strong>des</strong> connaissances en céramique.<br />
l Résoudre les problèmes techniques du modelage, du séchage et <strong>des</strong> différents<br />
types de cuisson.<br />
l Conduire une cuisson dite «primitive» en extérieur et cuire en «raku».<br />
q<br />
Les stagiaires réalisent leurs propres modelages à partir de croquis, de<br />
maquettes, ou du contact direct avec la matière ; chaque réalisation est<br />
suivie individuellement. Outre les matériaux et outils mis à leur disposition,<br />
(différentes argiles chamottées, deux fours, une croûteuse...), c’est chaque<br />
œuvre elle-même qui posera les problèmes dont les solutions seront élaborées<br />
ensemble. Dans les temps de pause, on visionnera <strong>des</strong> courts métrages, où<br />
l’on voit travailler différents céramistes et sculpteurs.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Techniques du façonnage au colombin, à la plaque, à la «boulette» et dans<br />
la masse.<br />
l Le modelage : comment évider une sculpture d’argile, ou monter en creux,<br />
l’étayer, utiliser une potence.<br />
l Notions d’anatomie : travail sur le visage, le corps.<br />
l La composition <strong>des</strong> terres à raku, qu’est-ce qu’une fritte, un émail, un engobe ?<br />
l Cuisson primitive (avec paille et petit bois) <strong>des</strong> pièces façonnées le lundi.<br />
l Emaillage, cuisson raku (technique venue du Japon, aboutissant à <strong>des</strong><br />
émaux craquelés ou lustrés) et enfumage.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Rappel par chaque stagiaire de l’ensemble <strong>des</strong> outils et matériaux nécessaires<br />
à la mise en place d’un atelier céramique, et bref exposé oral sur le déroulement<br />
possible d’une séance. (Evaluation individuelle).<br />
LA MARIONNETTE :<br />
un outil de médiation privilégiée<br />
« la marionnette... ce n’est pas un acteur qui parle,<br />
c’est une parole qui agit » P. Claudel<br />
q Argumentaire<br />
La marionnette, depuis <strong>des</strong> civilisations, a traversé le temps et nous transmet<br />
l’histoire, l’oral, le rêve, la culture... Cet objet affectif, ludique, permet de dire,<br />
de s’exprimer, de jouer, de s’affirmer, d’être. Elle est à l’écoute de l’autre, la<br />
communication. Elle est spontanéité, poésie, rêve et rencontre avec l’imaginaire.<br />
Elle est langage et accompagnement.<br />
«La marionnette... ce n’est pas quelqu’un qui parle, c’est une parole qui<br />
agit» P. Claudel.<br />
q<br />
q<br />
l Aller à la rencontre de la création d’une marionnette, représentation et lien<br />
avec le corps, écoute <strong>des</strong> sensations.<br />
l Découvrir l’objet marionnette comme moyen de parole, d’expression, de<br />
communication : outil éducatif et/ou de médiation.<br />
l Laisser aller son imaginaire et aller vers l’affirmation de soi.<br />
l Exprimer son jeu («je») par la manipulation.<br />
l Susciter un processus de réflexion personnelle et collective <strong>des</strong> problématiques<br />
rencontrées par la médiation de l’outil marionnette.<br />
l Proposer une analyse <strong>des</strong> situations rencontrées dans <strong>des</strong> espaces éducatifs<br />
et thérapeutiques.<br />
q<br />
Méthodologie<br />
Fabrication d’une marionnette avec le souci d’une démarche personnelle<br />
visant à l’expression de soi pour un meilleur support du jeu (je) et de la<br />
connaissance de l’outil. Utilisation de cette marionnette comme outil bien<br />
défini : travail sur l’identité et prise en compte de sa dimension éducative<br />
et/ou thérapeutique (médiation). Travail corporel, improvisations et mises en<br />
situations de jeu. Possibilités de créations donnant d’autres formes particulières<br />
d’utilisation. Travail en Castelet grandeur nature (aire de jeu). Travail<br />
d’échange et d’analyse <strong>des</strong> situations de jeu vécues (partage du vécu), au<br />
travers d’une dynamique de groupe, dans le respect et la confidentialité.<br />
q<br />
Contenu<br />
l Création d’une marionnette à tige à main prenante, <strong>des</strong>tinée à être objet de<br />
manipulation et de jeu.<br />
l Pratique et acquisitions techniques propres à la marionnette :<br />
l’objet, le castelet, l’aire de jeu (cadre)...<br />
l Travail sur l’expression par la présentation du personnage-marionnette, son<br />
identité.<br />
l Jeu et improvisation, expression corporelle, expression de la voix, liées au<br />
travail avec l’objet - marionnette.<br />
l Liens et réflexions avec <strong>des</strong> données théoriques ; analyse <strong>des</strong> situations de<br />
jeu et significations personnelles, sociales, thérapeutiques (approche<br />
analytique) de ce moyen d’expression.<br />
l Echanges sur <strong>des</strong> questionnements ou <strong>des</strong> préoccupations particulières<br />
rencontrés par les participants.<br />
l Evaluation et validation <strong>des</strong> acquis en fin de formation avec projet d’application<br />
dans son espace professionnel.<br />
Objectif<br />
Évaluation<br />
Evaluation individuelle avec bilan <strong>des</strong> acquis et projet d’application dans son<br />
espace professionnel.<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
q<br />
81<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Marie DREUX<br />
Lieu : Monistrol-sur-Loire (43)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
www.afore-formation.com<br />
u Claude RESSEGUIER<br />
q Dates : Du 06 au 10/06/11 q Dates : Du 07 au 11/02/11<br />
INTER ou INTRA<br />
L’atelier est situé à SAUVETERRE DE COMMINGES dans le hameau du BARRY, en pleine nature,<br />
dans le piémont pyrénéen (10 km de St Gaudens et 90 km de Toulouse-Haute-garonne).<br />
Dans cette ancienne fermette commingeoise, un atelier de création, une salle d’expression<br />
avec castelet, <strong>des</strong> lieux propices aménagés pour favoriser une ambiance de création et<br />
d’expression et de détente, accueillent les stagiaires. Les repas de midi sont pris sur<br />
place et favorisent échanges et communication, (non-compris dans le coût du stage).<br />
Hébergements aux alentours (hôtels, chambres d’hôtes, gîtes). Dans un rayon de 4 à<br />
10 km (voir liste d’hébergements proposés). (possibilité d’aller chercher les stagiaires<br />
en gare de St Gaudens).<br />
Lieu : Sauveterre de Comminges (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
La peinture et sa trace<br />
«la peinture est un poème qui se voit...»<br />
L.de Vinci<br />
q<br />
Professionnels de la santé, <strong>des</strong> secteurs éducatifs et sociaux, de l’éducation,<br />
de l’animation et toute personne souhaitant découvrir ces outils d’expression<br />
et de médiation.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
«La peinture est un poème qui se voit...» De Vinci.<br />
Explorer librement la matière et l’outil, laisser aller son imaginaire et vivre<br />
l’acte créatif: joie de la trace, liberté de la forme, plaisir de la couleur, écoute<br />
<strong>des</strong> sensations, découverte du geste et rencontre avec soi même.<br />
q<br />
q<br />
l Mettre en place un atelier d’expression et réfléchir sur ce qui se joue dans<br />
une création plastique.<br />
l Entrer dans un acte créatif et s’ouvrir à l’expression :<br />
- Mettre les sens en éveil.<br />
- Exprimer un instant de soi.<br />
- Laisser émerger émotions et sensations.<br />
- Oser le mouvement, la trace, la couleur.<br />
l Organiser un espace créatif : lieu, temps, espace, forme.<br />
l Réfléchir à la transmission et à la mise en place d’un atelier éducatif ou<br />
d’une prise en charge médiatisée.<br />
q<br />
Utilisations de différents espaces, techniques et moyens picturaux. Jeux<br />
d’expression individuels et collectifs à partir de la matière, de la couleur, de la<br />
forme, de l’observation. Créations dans lesquelles le geste, le mouvement, la<br />
dynamique du corps et le lâcher prise vont permettre l’expression picturale.<br />
Réflexions sur l’adaptation à différents publics.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Découverte d’approches picturales à travers <strong>des</strong> consignes de création et<br />
de jeu.<br />
l S’approprier et travailler le cadre, le contenant, la limite.<br />
- un espace (lieu, ambiance, situation, environnement...).<br />
- une surface (espace concret, les limites, le cadre...).<br />
- un outil : le corps dans différentes exploitations : la main, les doigts, le<br />
souffle, le geste...<br />
- un objet : pinceau, éponge, brosse, couteau...autres objets de la nature ou<br />
de l’environnement : feuille, sable, caillou...<br />
l S’exprimer par le mouvement, le rythme, la gestuelle.<br />
l Mettre en mots la trace et la peinture.<br />
l Apports et références théoriques (Anzieu,Winnicott,Stern).<br />
l Evaluation et validation <strong>des</strong> acquis en fin de formation et projet d’application<br />
dans son espace professionnel.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Evaluation individuelle avec bilan <strong>des</strong> acquis et projet d’application dans son<br />
espace professionnel.<br />
Le conte et sa parole<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Claude RESSEGUIER<br />
Lieu : Sauveterre de Comminges (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Il était une fois le conte... il est aujourd’hui, il sera demain,<br />
Ainsi va le conte... vivant de mots et d’images,<br />
De paroles et d’émotions...<br />
Le conte, passeur d’impression, de sensation, d’émotion, de sentiment.<br />
Public<br />
u Claude RESSEGUIER<br />
q Dates : Du 16 au 20/05/11 q Dates : Du 17 au 21/10/11<br />
q<br />
Professionnels de la santé, <strong>des</strong> secteurs éducatifs et sociaux, de l’éducation,<br />
de l’animation et toute personne souhaitant découvrir ces outils d’expression<br />
et de médiation.<br />
q<br />
Il était une fois le conte... Il est aujourd’hui, il sera demain. Ainsi va le conte...<br />
vivant de mots et d’images, de paroles et d’émotions. Lien entre civilisations,<br />
cultures, histoires, il dit, transmet et accompagne : le conte, passeur<br />
d’impressions, de sensations, d’émotions, de sentiments, donne un sens à<br />
la rencontre.<br />
q<br />
l S’ouvrir au conte et transmettre sa parole.<br />
l Réfléchir sur la fonction du conte.<br />
l Développer l’approche, la découverte, le sens de cet outil éducatif et/ou de<br />
médiation.<br />
l Pratiquer le conte : apprendre à conter, donner vie à la parole du conte.<br />
l Réfléchir au lien à faire entre le conte et d’autres médiations à la relation et<br />
à l’expression, à la communication.<br />
l Cibler l’atelier-conte en fonction du public visé.<br />
l Support théorique (Propp, Lévi-Strauss, Bettelheim... Jung).<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
- Travail corporel (avec outil vidéo et photo) :<br />
- La voix, le son et la mélodie. Le visage et les expressions. Le mouvement, la<br />
gestuelle du corps et son utilisation. L’état de détente corporelle.<br />
- Jeux d’improvisation autour du mot, de la phrase, du texte, de l’image.<br />
- Création d’un conte et contage (utilisation de supports tels que l’image,<br />
l’objet, la marionnette, la musique...).<br />
- Analyse <strong>des</strong> situations autour du conte (partage du vécu) au travers d’une<br />
dynamique de groupe.<br />
- Echanges d’expériences éducatives ou thérapeutiques rencontrées dans le<br />
cadre d’un travail de professionnel.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
Évaluation<br />
L’atelier est situé à SAUVETERRE DE COMMINGES dans le hameau du BARRY, en pleine nature,<br />
dans le piémont pyrénéen (10 km de St Gaudens et 90 km de Toulouse-Haute-garonne).<br />
Dans cette ancienne fermette commingeoise, un atelier de création, une salle d’expression<br />
avec castelet, <strong>des</strong> lieux propices aménagés pour favoriser une ambiance de création et<br />
d’expression et de détente, accueillent les stagiaires. Les repas de midi sont pris sur<br />
place et favorisent échanges et communication, (non-compris dans le coût du stage).<br />
Hébergements aux alentours (hôtels, chambres d’hôtes, gîtes). Dans un rayon de 4 à<br />
10 km (voir liste d’hébergements proposés). (possibilité d’aller chercher les stagiaires<br />
en gare de St Gaudens).<br />
q<br />
l Transmission orale, mythe, légende, classification <strong>des</strong> contes.<br />
l La fonction du conte et l’organisation: la pensée, la composition, le message.<br />
l La structure du conte : création d’un conte et technique de contage.<br />
l Le conte, l’imaginaire et le symbolisme.<br />
l Création d’un conte et technique de contage.<br />
l Pratique, technique, indication et organisation d’un atelier conte pour une<br />
pratique éducative et/ou une utilisation de médiation.<br />
l Evaluation et validation <strong>des</strong> acquis de la formation avec projet d’application<br />
dans son espace professionnel.<br />
Evaluation individuelle avec bilan <strong>des</strong> acquis et projet d’application dans son<br />
espace professionnel.<br />
Lieu : Sauveterre de Comminges (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
82
Normalité et anormalité,<br />
une question d’enfermement<br />
q<br />
Public<br />
Public adulte soignant et toutes personnes travaillant au contact de l’autre<br />
dans le social.<br />
TABLE GARNIE ET SON DÉCOR<br />
q<br />
Public<br />
Tout personnel médical, social, éducatif et divers services souhaitant s’initier<br />
ou se perfectionner à ces techniques de travail.<br />
CLINIQUE<br />
q<br />
q<br />
l Permettre à chacun de nourrir sa réflexion, son imaginaire sur l’autre,<br />
la normalité et l’anormalité.<br />
l Mieux se connaître et apprendre à mieux se maitriser dans une situation<br />
difficile.<br />
l Découvrir son potentiel humain et artistique sur scène et dans la vie.<br />
l Améliorer l’écoute et la communication.<br />
l Apprendre à se détendre et se concentrer.<br />
l Identifier les diverses formes d’enfermement.<br />
l Faire le jeu de l’expression en réussissant à affaiblir la répression.<br />
q<br />
Echauffement : propositions simples d’exercices physiques : respirer, poser<br />
la voix, avoir <strong>des</strong> réflexes...<br />
Jeu de théâtre, de mise en situation, d’improvisations.<br />
Exercices ludiques qui permettent à tous d’aborder l’écriture et le jeu sans<br />
être spécialiste.<br />
Propositions de textes littéraires, de photos comme base de travail afin de<br />
nourrir la réflexion.<br />
S’exercer aux métamorphoses de la volonté ou comment s’aventurer dans<br />
un texte.<br />
Retrouver un esprit neuf en s’écartant <strong>des</strong> schémas d’écriture habituels.<br />
q<br />
q<br />
83<br />
Argumentaire<br />
Corinne Pradier (auteur) et Valérie Vivier (comédienne) proposent un atelier<br />
écriture et jeu sur le thème de la normalité, de l’autre soi-même cet étranger<br />
de la frontière. Ce faisant, elles s’interrogent sur l’enfermement : qu’est-ce<br />
qu’être enfermé dans un corps (handicap, apparence...) dans une obsession,<br />
un souvenir, une incompréhension, une habitude, une norme...<br />
Quelle frontière existe-t-il entre normalité et anormalité ? Qu’est ce que la<br />
norme ? Que veut-elle dire et ne pas dire ? Est-elle toujours souhaitable ?<br />
La perçoit-on forcément ? Quelle part de folie, de fragilité, de fracture habitent<br />
en chacun de nous ? Comment les choses basculent elles ou croit-on<br />
qu’elles basculent ? Autant de questions qui conduisent à aborder également la<br />
thématique du masque social, de l’apparence ?<br />
D’un point de vue pratique, les deux intervenantes agissent de manière<br />
complémentaire de façon à stimuler l’imaginaire, la liberté d’expression et de<br />
mouvement. Leurs propositions se répondent et se nourrissent l’une l’autre<br />
de l’écriture vers la mise en scène ou l’inverse.<br />
Comment une scène jouée, quotidienne ou autre, peut développer l’imaginaire<br />
de l’écrivant et qu’est ce que l’écriture ménage comme espace de jeu ?<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Questionnaire ou proposition d’écriture individuelle permettant à chacun de<br />
situer ce stage dans son parcours.<br />
Intervenantes cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Corinne PRADIER u Valérie VIVIER u Catherine OLAGNIER<br />
q Dates : Du 08 au 10/02/11 q Dates : Du 14 au 17/06/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 21 heures<br />
Coût : 589 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Bouillé Saint-Paul (79)<br />
Durée : 28 heures<br />
Coût : 788 e<br />
www.afore-formation.com<br />
q<br />
Possibilité de construire et élaborer un atelier «créatif» exploitant la découverte<br />
du végétal utilisé à deux fins :<br />
- Culinaire - Décor floral<br />
Exploitation de la technique de cet atelier en vue de se l’approprier, de le<br />
maîtriser, et de le transmettre avec ses pairs ou personnes accueillies.<br />
q<br />
q<br />
l Donner du plaisir autour d’une table joliment préparée par la combinaison<br />
<strong>des</strong> végétaux en ornement et en culinaire :<br />
- Créer l’envie d’un partage.<br />
- Découvrir et utiliser les éléments naturels non traités dans notre entourage.<br />
l Travailler les éléments simples comme fleurs et fruits de jardins de<br />
saison, avec mélanges d’éléments secs naturels dans l’environnement<br />
de l’atelier et orchestrer tous ces accessoires créant ainsi une harmonie<br />
visuelle et gustative.<br />
Au terme de ce stage un travail d’équipe s’est construit et s’achève par une<br />
mise en scène autour d’un thème selon saison et deman<strong>des</strong> personnelles<br />
au sein de ces quatre jours d’atelier.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
- Mise en oeuvre :<br />
Démontration par la formatrice et ensuite chaque stagiaire prépare et<br />
réalise à son tour les compositions,<br />
Corrigé et soutien individuel,<br />
Echanges et suggestions avec l’ensemble du groupe.<br />
- Cueillette de certains végétaux non traités chimiquement, (feuilles, fleurs,<br />
baies, racines ...).<br />
- Préparation et transformation à deux usages : Culinaire et Décor Floral :<br />
Culinaire : confit sucré et salé, coulis, découpage, séchage... base d’accompagnement<br />
<strong>des</strong> mets salé ou sucré, mise en scène dans l’assiètte.<br />
Décor floral : approche du monde végétal par les fleurs, les plantes, les<br />
feuillages, les mousses, les branchages et accessoires de la nature.<br />
- Mise en scène de table de fête avec thèmes différents selon les saisons que<br />
chacun va préparer afin de clôturer par le partage gustatif, olfactif, visuel...<br />
- Décor de table classique, à thème ou personnalisé sans oublier les buffets<br />
en coordination avec les mets culinaires.<br />
- Découverte de l’association culinaire et visuelle :<br />
Par leur couleur, exemple : violette, soucis, pâquerette, rose, œuf ...<br />
Par les condiments utilisés à la fois culinaires et décor, exemple : coulis,<br />
cristallisation...<br />
Comment exploiter ces techniques acquises sur le terrain professionnel.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Le déroulement s’effectue par la présentation du programme, avec une<br />
écoute et échanges <strong>des</strong> souhaits de chaque stagiaire.<br />
l Découverte et cueillette <strong>des</strong> végétaux floraux et comestibles.<br />
l Conditionnement pour l’utilisation.<br />
Évaluation<br />
Réalisation individuelle de compositions culinaires et florales.<br />
INTER ou INTRA<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
Q<br />
LE THÉATRE<br />
En un jeu possible dans un parcours<br />
q<br />
Cette formation s’adresse aux travailleurs sociaux qui s’interrogent sur les<br />
pratiques artistiques et culturelles comme lien social possible pour <strong>des</strong><br />
personnes au parcours fragile, voire chaotique, en panne momentanément<br />
dans leur vie. Travailleurs sociaux qui ont expérimenté ce travail sous une<br />
forme ou une autre, qui souhaitent mettre en place ce type d’action, qui<br />
veulent comprendre ce travail, qui souhaitent diversifier leur mode de prise<br />
en charge. Aucune formation théâtrale n’est demandée sur ce module.<br />
q<br />
q<br />
Public<br />
l Se mettre en jeu soi-même au sein d’un groupe pour re découvrir le potentiel<br />
créateur propre à chaque individu, en mesurer les effets et par ricochets<br />
comprendre les enjeux de la pratique théâtrale est un objectif nécessaire<br />
pour atteindre l’objectif principal, c’est-à-dire : engager une réflexion active<br />
sur l’utilisation du théâtre dans le champ médico social et d’être en<br />
capacité d’accompagner <strong>des</strong> projets artistiques et sociaux.<br />
q<br />
Fondée sur un travail collectif empreint de respect et de non jugement, la<br />
méthode pédagogique sera active et participative. Une alternance de mises<br />
en jeu, d’apports théoriques sera proposée. Les échanges d’expériences ou<br />
de projets nourriront la réflexion commune. Une bibliographie sera disponible.<br />
q<br />
Contenu<br />
Le travail s’articulera autour de 3 axes :<br />
l Des temps d’ateliers d’initiation de pratique théâtrale (conscience de<br />
l’espace/le rapport à soi et au partenaire de jeu/le regard/la voix/le texte/<br />
le développement de l’imaginaire/l’utilité du spectateur...). Ces mises en<br />
situations seront adaptables en fonction du groupe.<br />
l Des apports seront donnés pour construire ce type de projet (modalités<br />
de fonctionnement, budget, durée, difficultés, atouts). En s’appuyant sur<br />
diverses expériences théâtrales menées avec <strong>des</strong> adultes et <strong>des</strong> adolescents<br />
seront abordées et analysées, les fonctions du théâtre.<br />
l Des temps de discussion ponctueront le travail pour favoriser les allers<br />
retour entre ce temps de formation et les champs professionnels.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Elle se fera sur 2 niveaux : collective/individuelle et orale/écrite :<br />
Collective : création collective en fin de session d’une courte forme théâtrale<br />
définie entre l’intervenant et le groupe acteurs. Cela mettra en actes la capacité<br />
de se mettre en jeu et d’en mesurer les enjeux.<br />
Une prise de parole motivée pour donner son avis sur la session et les ouvertures<br />
possibles ou non dans le milieu professionnel.<br />
Individuelle : une évaluation écrite qui prendra en compte les acquis, les<br />
ressentis du stagiaire et les répercussions dans une pratique professionnelle.<br />
DE LA NATURE à LA SCULPTURE<br />
DU REGARD A LA MAIN<br />
q<br />
Public<br />
Tous les acteurs du champ social, éducatif et médical.<br />
q<br />
L’atelier se déroule dans un «village-paysage» du Languedoc Roussillon où les<br />
vents, la mer, les étangs, la garrigue seront les complices de notre démarche.<br />
La nature sera en effet le support de notre créativité dans une démarche<br />
écologique. Le travail se fera dans une maison en pierres avec jardin et<br />
verger propices au travail en plein air.<br />
q<br />
q<br />
l Porter un regard créatif sur notre environnement naturel.<br />
l Découvrir et exploiter son potentiel de création manuelle.<br />
l Développer son imaginaire individuellement et collectivement.<br />
l Fournir <strong>des</strong> outils pour une pratique d’art plastique.<br />
l Susciter une réflexion autour de la dynamique de groupe à partir de cet<br />
outil-médiation.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
L’approche sera expérimentale, pratique, technique et ludique.<br />
Des matériaux et outils seront mis à disposition pour la réalisation de<br />
formes uniques :<br />
Argile, pâte à modeler, douelles de tonneau en chêne, béton cellulaire...<br />
Gouges, massette, ciseaux à bois...<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Collecte de matériaux.<br />
Première étape d’observation : nous affûterons notre regard pour découvrir<br />
et collecter <strong>des</strong> éléments naturels : bois flotté, lichens, écorces, cailloux,<br />
plantes, ossements et <strong>des</strong> éléments de rebuts qui seront nos matériaux de<br />
base pour travailler. Viendra ensuite le temps de les étudier, de les assembler,<br />
de les «coudre» ensemble.<br />
l Modelage et sculpture.<br />
Deuxième étape d’apprentissage : nous aborderons le modelage de l’argile et<br />
la taille directe du bois à l’aide d’une massette et de gouges. Nous chercherons<br />
à créer du lien entre cette matière façonnée et le matériau brut trouvé. De<br />
ce rapprochement naîtra une œuvre composite originale. Chaque participant<br />
créera une œuvre personnelle et participera à la réalisation d’une œuvre<br />
collective.<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’une œuvre personnelle et collective.<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
q<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenante cf p.2<br />
u Marie Claude THEODAS<br />
u Reine Marguerite BAYLE<br />
q Dates : Du 03 au 07/10/11 q Dates : Du 12 au 16/09/11<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
Lieu : Portel <strong>des</strong> Corbières (11)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
84
GESTION DU STRESS GRÂCE à LA RELAXATION<br />
ET L’EXPRESSION PICTURALE<br />
q<br />
Performance, rapidité efficacité sont sollicités chez tous les travailleurs au<br />
dépens souvent d’un corps souffrant et malmené. Il existe un clivage corps<br />
esprit dans nos sociétés, or ils ne sont pas indépendants l’un de l’autre. Le<br />
stress nous empêche d’avoir un fonctionnement harmonieux, il nous fatigue<br />
et retentit de façon péjorative sur notre entourage : collègues et public<br />
concerné ; l’apprentissage de la relaxation et <strong>des</strong> techniques d’expression<br />
picturales sont <strong>des</strong> moyens spécifiques et pertinents d’améliorer la gestion<br />
du stress et de mieux communiquer .<br />
La relaxation vise la conquête ou le renfort de l’équilibre entre nos émotions,<br />
nos pensées et nos comportements , elle a pour but d’amener le schéma<br />
corporel à plus de réalité vécue, de développer les éléments positifs du passé,<br />
du présent et du futur et d’apprendre à voir les choses comme elles sont, avec<br />
réalisme et efficacité dans l’action. L’état régressé ouvre <strong>des</strong> possibilités<br />
de créativité profon<strong>des</strong> et vraies dans une société basée sur la consommation<br />
il y a invitation à devenir acteur et créateur de sa vie.<br />
q<br />
q<br />
l Mieux gérer le stress et les émotions qu’il suscite : colère, peur, tristesse.<br />
l Evoluer en souplesse en déployant un jeu (je) conscient et créatif.<br />
l Canaliser, évacuer les tensions et les transformer grâce à l’expression picturale.<br />
l Se relaxer en utilisant la méthode appropriée au temps dont on dispose au<br />
but que l’on s’est fixé et à l’environnement tel qu’il est.<br />
q<br />
Alternance d’apports théoriques appropriés et de séances de relaxation en<br />
intégrant <strong>des</strong> ateliers d’expression picturale.<br />
q<br />
q<br />
85<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Séances de relaxation dans différentes positions : assis, allongé, debout,<br />
dynamique ou passive avec techniques respiratoires variées et travail<br />
sur l’imagerie mentale afin de mieux gérer son temps, son stress, ses<br />
projets, sa relation aux autres.<br />
l Verbalisation du ressenti par la parole et l’expression picturale.<br />
l Travail du cadre, du contenant, de la limite.<br />
l Apports et références théoriques (techniques de Schultz, Ajiuraguerra,<br />
etc.. notion de médiation, enveloppes corporelles, identité, imaginaire et<br />
créativité).<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
à la fin du stage les participants seront capables de proposer une séance de<br />
relaxation avec application <strong>des</strong> contenus développés dans le stage (induction<br />
appropriée au projet, diminution du tonus musculaire, exercice respiratoire et<br />
imagerie mentale).<br />
Intervenantes cf p.2<br />
u Danièle Andrieu<br />
q Dates : Du 06 au 10/06/11<br />
Lieu : Cabrières (34)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Katharina Petersen<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
CHANT, THÉATRE ET COMMUNICATION<br />
q<br />
Tous les acteurs du champ social, éducatif et médical.<br />
q<br />
q<br />
La semaine se répartira entre les trois intervenants :<br />
Sabine Cartaillac : chanteuse et professeur de chant.<br />
Reine Marguerite Bayle : comédienne et metteur en scène.<br />
Olivier Nunge : psychologue et formateur.<br />
Il s’agit d’une «form’action» qui nécessite une participation active <strong>des</strong><br />
stagiaires en les invitant à présenter <strong>des</strong> situations concrètes.<br />
Les techniques proposées : <strong>des</strong> exercices pratiques, <strong>des</strong> travaux de groupe,<br />
<strong>des</strong> improvisations, <strong>des</strong> constructions de situation théâtrale, <strong>des</strong> jeux vocaux,<br />
du chant individuel et du chant choral. L’essentiel <strong>des</strong> apports théoriques se<br />
fait sous forme d’exposés synthétiques.<br />
q<br />
Public<br />
Devenir celui qui parle aux gens et pas seulement celui qui parle devant les<br />
gens. La voix est le reflet de qui nous sommes, de notre histoire, de notre<br />
scénario de vie. Timbre, grain, couleur... ses spécificités sont uniques et<br />
parlantes.<br />
Votre voix vous ressemble-t-elle? Vous trahit-elle ? Révèle-t-elle <strong>des</strong> tensions?<br />
Laisse-t-elle passer vos émotions? Traduit-elle votre pensée? Est-elle libre<br />
ou bridée ?<br />
Plus qu’un travail sur la voix nous proposons un travail sur soi par la voix au<br />
cours d’un voyage dont chant et théâtre sont les moyens de transport. Il n’est<br />
pas nécessaire d’avoir pratiqué le chant, la musique ou le théâtre pour profiter<br />
pleinement de ce stage.<br />
q<br />
q<br />
Objectif<br />
Grâce à <strong>des</strong> exercices, <strong>des</strong> jeux, <strong>des</strong> apports théoriques nous allons :<br />
l Augmenter la présence à soi.<br />
l Améliorer la concentration.<br />
l Créer son espace vocal unique et personnel.<br />
l Développer son souffle.<br />
l Donner la pleine dimension de sa voix dans un corps en mouvement.<br />
l S’enraciner pour faire circuler l’énergie.<br />
l Explorer l’univers vibratoire <strong>des</strong> sons.<br />
l Retrouver l’enfant qui est en soi.<br />
l Communiquer, s’ouvrir aux autres, se relier.<br />
l S’accorder, chanter ensemble, célébrer la vie.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Se fixer en début de stage <strong>des</strong> objectifs personnels.<br />
l Se préparer physiquement à la prise de parole.<br />
l Maîtriser respiration, articulation, diction.<br />
l Utiliser l’instrument que nous sommes pour faire passer le message en<br />
libérant l’attitude corporelle.<br />
l Savoir poser et placer sa voix, utiliser différents registre vocaux.<br />
l Gérer ses émotions pour s’exprimer en public.<br />
l Gérer le trac.<br />
l Gérer son stress pour communiquer plus aisément.<br />
l Savoir utiliser la communication verbale et non verbale.<br />
l Savoir se mettre en scène.<br />
l Explorer la relation à l’autre.<br />
l Distinguer l’être du paraître.<br />
l Se situer par rapport au regard de l’autre.<br />
l S’estimer, avoir confiance en soi, s’affirmer.<br />
l Conter, expliquer, enseigner, animer, repérer son style d’expression orale.<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
A l’issue de la formation les stagiaires seront en mesure de présenter une<br />
séquence théâtrale, d’interpréter une chanson en individuel et en groupe.<br />
Intervenants cf p.2<br />
u Reine Marguerite BAYLE<br />
u Sabine CARTAILLAC<br />
q Dates : Du 27/06 au 01/07/11<br />
Lieu : Portel <strong>des</strong> Corbières (11)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
u Olivier NUNGE<br />
INTER ou INTRA<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE
Conte, marionnette,<br />
objet animé pour le petit enfant<br />
RELAXER L’AUTRE ET l’OUVRIR à SA CRÉATIVITÉ<br />
Q<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
CLINIQUE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
Q<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
Q<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
q<br />
Le conte, la marionnette, leurs paroles respectives accompagnent le petit<br />
enfant et l’aident à comprendre les étapes qui l’amènent vers l’autonomie.<br />
Ces merveilleux outils transitionnels vont lui donner du plaisir par le jeu et<br />
la parole, lui permettre d’être dans l’échange, la communication, le lien, de<br />
découvrir et comprendre le monde...<br />
q<br />
q<br />
l Découvrir la marionnette et le conte comme moyen d’expression, de<br />
communication et de lien pouvant convenir au développement de l’imaginaire<br />
du tout petit.<br />
l Réflexion sur l’utilisation de l’outil marionnette avec le très jeune enfant.<br />
l Propositions dans le choix, la création de la marionnette et l’approche de<br />
l’enfant.<br />
l Réalités sur l’objet miroir (travail sur la relation mère-enfant).<br />
q<br />
Fabrication de personnages adaptés au jeune enfant. Mise en situation de jeu<br />
avec la prise en compte de l’espace, du temps, de la parole, du mouvement,<br />
de la fonction de l’outil marionnette et de la parole du conte. Découverte et<br />
utilisation de l’aire de jeu ; travail en castelet grandeur nature. Echanges et<br />
partage du vécu. Travail théorique avec vidéo projecteur et caméscope.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Création de marionnettes adaptées aux jeunes enfants (forme, dimension,<br />
aspect, couleur).<br />
l Utilisation de l’outil support à la relation, au lien.<br />
l Travail sur l’expression, l’importance de la parole, du mouvement.<br />
l Théorie : notion de l’espace transitionnel (Winnicott) et développement<br />
psycho-affectif de l’enfant.<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Evaluation et validation <strong>des</strong> acquis en fin de formation avec projet d’application<br />
dans son milieu professionnel.<br />
q<br />
Face à divers publics en difficulté, la mise en place d’ateliers de relaxation a<br />
<strong>des</strong> effets bénéfiques au niveau corporel et psychologique. Cette technique<br />
va donner une place privilégiée au corps qui est souvent malmené, non<br />
respecté et pas «habité» pleinement. Il s’agit de retrouver du plaisir dans<br />
ses sensations, se renarcissiser, mettre en place <strong>des</strong> limites dans un cadre<br />
contenant, pouvoir laisser se déployer son imaginaire et mettre <strong>des</strong> mots sur<br />
<strong>des</strong> ressentis dans une ambiance de confidentialité pour un meilleur équilibre.<br />
Il sera proposé une expression avec différentes médiations faisant appel aux<br />
5 sens pour une libération <strong>des</strong> tensions et un mieux être.<br />
q<br />
q<br />
l Comment mettre en place un atelier de relaxation : travail du cadre et <strong>des</strong><br />
objectifs ; indications, contre indications, précautions.<br />
l Permettre à un groupe de mieux gérer le stress et les émotions qu’il suscite :<br />
colère, peur, tristesse etc...<br />
l Mettre en place <strong>des</strong> outils favorisant une expression de soi authentique<br />
dans une dimension de créativité<br />
l L’adjonction d’une dimension artistique permettra d’extérioriser le ressenti<br />
dans un cadre contenant et dans une interaction stimulante avec les autres<br />
participants.<br />
q<br />
Objectif<br />
Méthodologie<br />
La formation sera une alternance entre <strong>des</strong> temps théoriques (concepts de<br />
la psychanalyse - Anzieu, Winnicott), <strong>des</strong> temps de relaxation (dirigé sur<br />
une ou plusieurs personnes) et <strong>des</strong> temps de création.<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l S’approprier les différentes techniques de relaxation : le tonus musculaire,<br />
la respiration la place de l’imaginaire ,les liens avec la créativité.<br />
l Construire un projet de relaxation : individuel ou collectif ? adapté au but<br />
l Travailler les techniques d’approche <strong>des</strong> 5 sens avec exercices appropriés<br />
autour du toucher, de la vue et de l’image, <strong>des</strong> sons et de l’écoute, <strong>des</strong><br />
odeurs et <strong>des</strong> saveurs.<br />
l Exprimer sa créativité en utilisant différents supports (peinture, sculpture,<br />
autres..).<br />
l Apprendre à faire <strong>des</strong> liens entre le domaine de l’expression, les ressentis<br />
corporels et émotionnels.<br />
Évaluation<br />
Evaluation individuelle <strong>des</strong> acquis de la formation et projet d’application dans<br />
son milieu professionnel.<br />
Q<br />
Q<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE<br />
q<br />
Intervenante cf p.2 q Intervenantes cf p.2<br />
u Claude RESSEGUIER u Claude RESSEGUIER u Danièle ANDRIEU<br />
q Dates : Du 06 au 10/06/11 q Dates : Du 09 au 13/05/11<br />
Lieu : Sauveterre de Comminges (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
L’atelier est situé à SAUVETERRE DE COMMINGES dans le hameau du BARRY, en pleine nature,<br />
dans le piémont pyrénéen (10 km de St Gaudens et 90 km de Toulouse-Haute-garonne).<br />
Dans cette ancienne fermette commingeoise, un atelier de création, une salle d’expression<br />
avec castelet, <strong>des</strong> lieux propices aménagés pour favoriser une ambiance de création et<br />
d’expression et de détente, accueillent les stagiaires. Les repas de midi sont pris sur<br />
place et favorisent échanges et communication, (non-compris dans le coût du stage).<br />
Hébergements aux alentours (hôtels, chambres d’hôtes, gîtes). Dans un rayon de 4 à<br />
10 km (voir liste d’hébergements proposés). (possibilité d’aller chercher les stagiaires<br />
en gare de St Gaudens).<br />
Lieu : Sauveterre de Comminges (31)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
www.afore-formation.com<br />
86
Le Rap, un art à portée de toutes les mains<br />
Créer un atelier de Rap<br />
q<br />
Travailleurs sociaux, éducateurs et animateurs.<br />
q<br />
Public<br />
La musique occupe souvent une place privilégiée dans notre vie, et plus<br />
particulièrement chez les jeunes. Elle les réunit et les accompagne à chaque<br />
instant, reflète leurs humeurs, leurs états d’âme.<br />
Aujourd’hui, le succès du Rap et son impact sur notre société sont une<br />
évidence. Si cette musique a réussi à séduire une grande partie de la population,<br />
les jeunes en demeurent les plus gros consommateurs et les principaux<br />
acteurs. Le Rap est un témoin de notre époque, avec ses propres co<strong>des</strong> : ceux<br />
de la rue, ceux de la jeunesse.<br />
La culture Hip-Hop a justement été créée pour échapper à la rue, aux<br />
ban<strong>des</strong> et aux drogues. C’est un mouvement positif, dont le but premier était<br />
de transformer la passivité en énergie créative, de cibler son agressivité pour<br />
la rendre constructive.<br />
Le Rap est par conséquent un <strong>des</strong> outils les mieux adaptés pour créer du lien<br />
avec les jeunes et installer une dynamique, à la fois individuelle et collective.<br />
C’est un art à portée de toutes les mains, une musique intuitive qui offre<br />
pleinement la possibilité d’exprimer ses pensées et ses émotions. C’est aussi<br />
une musique structurée, donc structurante, qui exige de l’investissement et<br />
du travail. Développer un projet, ayant pour objectif la création de morceaux<br />
de Rap, permet ainsi de proposer à un groupe de jeunes un cadre attractif qui<br />
rend possible la parole, les échanges et le développement de soi.<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l Analyse du Rap à travers l’écoute de morceaux sélectionnés dans un large<br />
répertoire.<br />
l Projection de documentaires et de films sur le Hip-Hop.<br />
l Apprentissage théorique et mise en pratique sous forme d’ateliers :<br />
- de la composition rythmique et mélodique d’une instrumentale,<br />
- de l’écriture d’un texte : travail sur la rime, le flow, la phase,<br />
- de l’interprétation d’un texte : travail sur la voix, le souffle, le corps et les<br />
émotions.<br />
l Utilisation <strong>des</strong> outils informatiques pour la création musicale, l’enregistrement<br />
<strong>des</strong> voix et le mixage final d’un morceau :<br />
- définition d’un «home studio» classique,<br />
- pratique sur un logiciel enregistreur / séquenceur / multipiste,<br />
- manipulation d’instruments virtuels à l’aide d’un clavier MIDI,<br />
- utilisation d’un microphone pour la prise de voix.<br />
Objectif<br />
l Connaître la culture Hip-Hop, ses disciplines, son histoire et son évolution.<br />
l Maîtriser chaque étape de la réalisation d’un morceau de Rap :<br />
- Création d’une instrumentale (musique) à partir d’outils informatiques.<br />
- Ecriture et interprétation d’un texte.<br />
- Enregistrement <strong>des</strong> voix et mixage.<br />
L’aventure de la Bande Dessinée :<br />
un <strong>des</strong> meilleurs support pour un travail<br />
de groupe !<br />
q<br />
Ouvert à tout professionnel ayant le désir et la possibilité d’animer <strong>des</strong><br />
ateliers Ban<strong>des</strong> Dessinées pour les usagers de son institution.<br />
q<br />
Public<br />
Elevée au rang du 9 ème art, la Bande Dessinée fabrique <strong>des</strong> micro sociétés,<br />
<strong>des</strong> «héros aventuriers» ou «héros quotidiens», un monde construit par<br />
<strong>des</strong> adultes pour <strong>des</strong> enfants, <strong>des</strong> adolescents, <strong>des</strong> adultes. Messagère,<br />
révélatrice de l’Histoire, quotidienne ou imaginaire, la Bande Dessinée invite<br />
à communiquer autrement. Les Ban<strong>des</strong> Dessinées privilégient le langage<br />
oral et l’action et apparaissent d’accès plus facile, aux lecteurs réfractaires,<br />
de part la combinaison <strong>des</strong>sin-texte. En effet, le <strong>des</strong>sin n’est pas son seul<br />
composant : le synopsis, le scénario, les décors (travail sur l’unité de lieu et<br />
de temps, narration par les décors, les décors impliquant <strong>des</strong> émotions...)<br />
le héros (sa psychologie, son milieu social, ses qualités et ses défauts, son<br />
style vestimentaire...), les personnages secondaires, les bulles (leurs<br />
formes, leur placement, sens de lecture...) mais encore :<br />
Le texte dans les bulles (les différents styles...) la mise en page, les plans de<br />
vue, le crayonné, l’encrage, la mise en couleurs. Plusieurs façons d’aborder<br />
chaque étape... Il s’agit d’un travail coopératif, à la fois individuel et<br />
collectif. De plus l’informatique permet, aussi dans ce domaine, de gagner<br />
du temps, de faire de nouvelles choses. Autour d’une histoire, d’un thème,<br />
d’une anecdote, vivez l’aventure de la création d’une BD pour animer <strong>des</strong><br />
ateliers Ban<strong>des</strong> Dessinées. Depuis longtemps la BD fait rire, sourire, pleurer,<br />
elle sait même être pédagogique : Oui «La Bande Dessinée peut être éducative»<br />
(A.Roux).<br />
q<br />
q<br />
q<br />
Argumentaire<br />
Contenu<br />
l L’ historique de la BD.<br />
l Analyse philosophique et sociologique.<br />
l Les différents styles (humour, Manga, thriller, science-fiction, aventure<br />
épique...).<br />
l Approche <strong>des</strong> différentes techniques.<br />
l Ecriture du scénario.<br />
l Etude <strong>des</strong> personnages etc... (cf «Argumentaire»).<br />
l Création d’une petite BD.<br />
l Et (éventuellement) diffusion sur le net.<br />
Objectif<br />
l Apprendre une autre façon de communiquer.<br />
l Permettre aux participants d’initier et d’animer un atelier Ban<strong>des</strong> Dessinées.<br />
l La création d’une bande <strong>des</strong>sinée original et unique.<br />
Voici donc l’un <strong>des</strong> meilleurs supports pour un travail de groupe, une<br />
expérience nouvelle, et inédite.<br />
Méthodologie<br />
Enseignements théoriques et pratiques.<br />
CLINIQUE<br />
HANDICAP - GERONTOLOGIE<br />
SERVICE A LA PERSONNE<br />
CULTURE - DEVELOPPEMENT<br />
DURABLE ET CITOYENNETE<br />
COMMUNICATION<br />
DROIT ET GESTION<br />
q<br />
Groupe limité à 7 personnes maximum. Acquisition <strong>des</strong> connaissances<br />
théoriques à l’aide de supports papier, audio et vidéo. Mise en pratique de la<br />
théorie sous forme d’ateliers créatifs basés sur l’échange et l’interaction.<br />
q<br />
q<br />
87<br />
Méthodologie<br />
Évaluation<br />
Evaluation individuelle à partir <strong>des</strong> ateliers de mise en pratique <strong>des</strong> contenus<br />
et explorations effectués durant le stage.<br />
Intervenant cf p.2 q Intervenants cf p.2<br />
u Laurent PIRBAY u Annick LAINÉ u Frédéric LEPAGE<br />
q Dates : Du 05 au 09/04/11 q Dates : Du 14 au 18/11/11<br />
Lieu : Besançon (25)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
www.afore-formation.com<br />
INTER ou INTRA<br />
q<br />
Évaluation<br />
Réalisation d’une petite BD en groupe.<br />
Lieu : Saint-Etienne (42)<br />
Durée : 35 heures<br />
Coût : 968 e<br />
INTER ou INTRA<br />
TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE
Bulletin d’inscription<br />
l Nom :<br />
l Prénom :<br />
l Fonction :<br />
l Adresse personnelle :<br />
l Tél :<br />
l E-mail :<br />
u Code réservé à AFORE<br />
l Titre du stage :<br />
l Nom et adresse du service ou de l’établissement :<br />
Coordonnées personne référente :<br />
l Tél :<br />
l E-mail :<br />
l Nom et adresse de l’association gestionnaire : (si différent<br />
du service)<br />
l Tél :<br />
l E-mail :<br />
Nos stages sont sérieux et productifs mais aussi conviviaux.<br />
Nous vous invitons donc à apporter une spécialité culinaire nonalcoolisée<br />
de votre région à partager avec les autres stagiaires.<br />
Un mois avant le début de votre stage, nous vous ferons parvenir<br />
la convocation avec tous les renseignements nécessaires (hôtels,<br />
plans, etc...). Au cas où la programmation connaîtrait <strong>des</strong> modifications<br />
indépendantes de notre volonté nous vous informerions<br />
dès que possible.<br />
l Du : au :<br />
l Durée :<br />
l Coût :<br />
Une réduction de 10 % est consentie aux stagiaires s’inscrivant<br />
dans le cadre du D.I.F. sur présentation de justificatif.<br />
Je désire recevoir une convention de formation.<br />
Je verse la somme représentant 15% du coût du stage à titre d’arrhes,<br />
le solde devant nous parvenir 15 jours au moins avant le début<br />
du stage. Pour <strong>des</strong> raisons de comptabilité nous souhaitons<br />
recevoir un seul chèque par stagiaire.<br />
Le chèque bancaire ou postal doit être libellé à l’ordre d’AFORE.<br />
Cachet de l’établissement :<br />
Signature du Stagiaire : Signature du Responsable :<br />
Ce bulletin est à renvoyer dès l’acceptation de votre demande de stage par votre institution à :<br />
SCOP de formation AFORE - 2, rue de Lodi - 42000 Saint-Etienne - Téléphone : 04 77 59 36 50 - Fax : 04 77 59 36 59<br />
n° de déclaration d’existence : 82 42 01678 42 - N° de SIRET : 479 940 413 00020<br />
Mode d’emploi<br />
q L’inscription<br />
Vous pouvez vous inscrire soit en remplissant le bulletin d’inscription<br />
(sur cette page) soit sur notre site : www.afore-formation.com<br />
Nous vous recommandons de nous faire parvenir votre inscription<br />
le plus tôt possible, avec les arrhes.<br />
q Attestation<br />
Chaque stage donne lieu à une attestation de formation en deux<br />
exemplaires : l’une <strong>des</strong>tinée à votre employeur et l’autre pour<br />
vous-même.<br />
q Le réglement<br />
Votre inscription devra être accompagnée d’un chèque d’arrhes<br />
bancaire ou postal représentant 15 % du coût total du stage. Si le<br />
stage doit être annulé par manque de stagiaires nous procéderons<br />
à son remboursement.<br />
q Clôture <strong>des</strong> inscriptions<br />
Le stage est complet lorsqu’il réunit 12 stagiaires selon les stages.<br />
Renseignez-vous si vous décidez de vous inscrire au dernier moment.<br />
Si l’effectif du stage est complet, nous créerons alors une<br />
liste d’attente pour programmer un deuxième stage.<br />
88<br />
q Annulation<br />
En cas d’annulation de votre part dans un délai de moins<br />
de 10 jours, nous serons amenés à conserver les arrhes au<br />
titre <strong>des</strong> frais administratifs, sauf situation de force majeure<br />
dûment justifiée. En cas d’annulation de notre part, nous<br />
vous permettons de vous inscrire aux mêmes conditions et<br />
au même coût à un autre stage de votre choix. Nous vous<br />
transmettrons la liste <strong>des</strong> stages confirmés.<br />
www.afore-formation.com 88