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2015, MTM 46
Ce livre porte sur la culture alimentaire byzantine, sa constitution et la manière dont elle se différencie des cultures alimentaires juive, musulmane et chrétienne occidentale. Il se penche sur ses sources d’inspiration puisqu’elle opère une synthèse entre les exigences religieuses du christianisme et les recommandations diététiques de la médecine grecque. Le choix des aliments, la préparation de la nourriture, comme sa consommation lors de repas, obéissent à des règles qui changent à travers le temps ; or, durant les onze siècles de son existence, le monde byzantin a connu de profonds changements religieux, culturels et politiques. Il est entré en contact avec des populations ayant leurs propres traditions culinaires ou leurs interdits alimentaires et il a donc été soumis à des influences diverses. La culture alimentaire byzantine naît d’une rencontre entre les traditions culinaires du monde romain, les habitudes alimentaires des différentes populations du monde méditerranéen et les nouvelles règles de l’éthique alimentaire chrétienne, favorisant la frugalité, voire l’ascèse en matière d’alimentation. Le christianisme byzantin modifie les habitudes alimentaires, non pas à la manière de l’islam ou du judaïsme en établissant une liste d’aliments et de boissons interdits, conduisant à une modification des productions agricoles, mais en créant une éthique alimentaire chrétienne dans laquelle le jeûne tient une place prépondérante. Le livre étudie la mise en place d’un calendrier du jeûne, faisant alterner des périodes festives et des périodes de restrictions alimentaires. Le milieu monastique fait naître un régime ascétique rigoureux qui doit faciliter la maîtrise du corps, dans la recherche d’une proximité spirituelle avec Dieu, égale à celle des anges. La création d’un régime alimentaire ascétique par les moines a une forte influence sur le reste de la société byzantine, parce que la vie monastique y est perçue comme la voie royale pour entrer au Paradis. La société byzantine médiévale suit une version adoucie, plus modérée de cette ascèse alimentaire, qui est toutefois devenue une norme du comportement chrétien, rejetant le gourmand et, encore plus, le glouton parmi les pécheurs. Ce livre analyse la manière dont la religion s’est insérée dans l’alimentation en bénissant ou en sacralisant certains aliments, par exemple dans le rituel eucharistique. Histoire religieuse et histoire sociale se combinent donc dans ce travail pour essayer de comprendre comment s’est élaborée cette culture alimentaire byzantine que les étrangers de passage perçoivent comme différentes de la leur au Moyen Âge et dont les Byzantins eux-mêmes ont conscience quand ils critiquent leurs voisins, en particulier les Latins.
La nourriture est un thème très important de la littérature monastique. Les moines doivent trouver la juste mesure entre trop et trop peu. Dans les monastères cénobitiques, on constate des ajustements en fonction du niveau social et de l'attente des moines concernant la table.
Liste des articles sur les sujets d'hagiographie, culte des saints, monachisme, histoire de l'enfance et de la famille 1) « Syméon Stylite l'Ancien entre puanteur et parfum », Revue de études byzantines, 63, 2005, p. 71-96. 2) « Syméon Stylite le jeune (521-592); un cas de sainte anorexie? », Kentron, 19, 2003, p. 179-203. 3) « L’hagiographie des stylites syriens au Moyen âge », éd. Rigo, Turnhout : Brepols (à paraître) 4) « L’image du mauvais moine dans le monde proto-byzantin : remnuoths et sarabaïtes », Zvornik RadovaVizantološkog instituta, 46, 2009, p. 11-25. 5) « Entre admiration et rejet: les prouesses ascétiques orientales dans la littérature latine du 4e siècle », dans Interactions, emprunts, confrontations chez les religieux (Antiquité tardive - fin du XIXe siècle), éd. S. Excoffon, D.-O. Hurel, A. Peters-Custot, Saint-Etienne, p. 49-60. 6) « Methods for the analysis of Incomplete Data and Its Application to Monastic Settlements in Italy (IVth-VIth century), avec Y. Caseau, CAA (Computer Applications and Quantitative Methods in Archaeology), 1994, p. 113-121. 7) « La lettre de Jésus à Abgar d'Edesse », Les apocryphes chrétiens des premiers siècles: mémoire et traditions, éds. P. M. Humann et J. N. Pérès, Paris, 2009, p. 15-45. 8) « La lettre de Jésus à Abgar d'Edesse: appropriations et transformations », Remanier, Métaphraser: fonctions et techniques de la réécriture dans le monde byzantin, éds. S. Dusanic, B. Flusin, Belgrade, 2011, p. 13-43. 9) « La trasmissione nel rituale costantinopolitano », dans Costantino I. Encyclopedia costantinana sulla figura e l'immagine dell'imperatore del cosidetto edito di Milano (313-2013), t. II, Rome, 2013, p. 333-345. 10) « Les Moines », Histoire générale du christianisme des origines au XVe siècle, éds. J.-R. Armogathe, P. Montaubin, M.-Y. Perrin, Paris, 2010, p. 438- 457. 11) “L'Eglise byzantine et l'usure: commentaire de Zônaras au canon 17 de Nicée I”, dans B. Caseau, V. Déroche, B. Moulet, "Evêques, clergé, Etat et société locale", Economie et société à Byzance (VIIIe - XIIe siècle). Textes et documents, éd. S. Métivier, Paris, 2007, p. 234-235. 12) « La vie religieuse » (avec M.H. Congourdeau), Le monde byzantin. II. L'Empire byzantin (641-1204), éd. J.C. Cheynet, Paris, 2006, p. 383-410. 13) « Conclusions », Les Pères de l’Eglise et la chair : entre incarnation et diabolisation, les premiers chrétiens au risque du corps, Actes du Ve colloque de La Rochelle, Royan, 2012, p. 447-454. 14) « La Mystique à Byzance », Histoire du Christianisme, éd. A. Corbin, Paris, 2007, p. 259-264. 279-285 15) « Hélène, entre christianisme et paganisme », Le Monde de la Bible, Hors série: Constantin et l'édit de Milan, 2013, p. 30-33. 16) « Ordinary Objects in Christian Healing Sanctuaries », Objects in Context, Objects in Use. Material Spatiality in Late Antiquity, éds. L. Lavan, E. Swift, T. Putzeys, Leyde, 2008, p. 625-654 (Late Antique Archaeology 5) 17) « Les hôpitaux byzantins: modernité et flexibilité », Les établissements hospitaliers en France du Moyen âge au XIXe siècle. Espaces, objets et populations, éd. S. Le Clech-Charton, Dijon, 2010, p. 221-234. 18) « Childhood in Byzantine Saints Lives », dans Becoming Byzantine. Children and Childhood in Byzantium, éds. A. Papaconstantinou et A. M. Talbot, Washington, 2009, p. 127-166. 19) « Stratégies parentales concernant les enfants au sein de la famille: le choix de la virginité consacrée », dans Parenté et stratégies familiales dans l'Antiquitétardive (IIIe-VIe siècle), éds. Ch. Badel, Ch. Settipani, Paris, 2012, p. 247-264. (378-396) 20) « La place des enfants dans les églises d’Orient (3e-10e siècles) », Famille, violence et christianisation au Moyen Age, Mélanges offerts à Michel Rouche, Études réunies par M. Aurell et Th. Deswarte, Paris : Presses universitaires de la Sorbonne, 2005, p. 15-27. 21) « Too Young to be Accountable: is 15 years old a Threshold in Byzantium? » à paraître dans Coming of age. Adolescence and Society in Medieval Byzantium, éd. D. Ariantzi, Vienne 415-423 22) « An aspect of the Actuality of Basil: the Proper Age to Enter Monastic Life », Studia Universitatis Babesh-Bolyai. Theologia catholica, 3, 2009, p. 21-33. « Un aspect de actualitate la Sf. Vasile: vârsta adecvată pentru intrarea în viața monahală », dans Sfântul Vasile cel mare teologie şi monahism, éds. S. Zetea, Sr V. Bolfă et A. Tat, Târgu-Lăpuş, 2009, p. 59-74. (traduction en roumain du précédent) 23) « Christianisation de la famille», Histoire générale du christianisme des origines au XVe siècle, éds. J.-R. Armogathe, P. Montaubin, M.-Y. Perrin, Paris, 2010, p. 415-438. 24) Introduction au livre Les réseaux familiaux. Antiquité tardive et Moyen Âge, Paris, ACHCByz, 2012. (Monographies 37) 25) « Familie und Haushalt: soziale und wirtschaftliche Aspekte », A paraître dans "Byzanz“, Der Neue Pauly, Supplemente 11, hrsg. von Falko Daim
M.-P. Horard-Herbin & B. Laurioux (Éd.), Pour une histoire de la viande. Fabrique et représentations de l’Antiquité à nos jours. Presses Universitaires de Rennes & Presses Universitaires François-Rabelais.
LA CONSOMMATION DE VIANDE COMME MARQUEUR DE L'IDENTITÉ CHRÉTIENNE AD INTRA ET AD EXTRA2017 •
Nous postulerons que la consommation de viande a fonctionné et fonctionne encore comme un marqueur de l’identité chrétienne ad extra, en permettant au chrétien de se démarquer des « autres extérieurs » formés par toutes les religions que le christianisme a successivement rencontrées, et ad intra, en permettant à certains Chrétien·nes de se démarquer des « autres intérieurs » formés des Chrétien·nes théologiquement différents. Car si les manières dont les Chrétien·nes s’alimentent diffèrent selon les temps, les lieux et les cultures, elles diffèrent aussi selon les théologies, par exemple en fonction de la place que l’on attribue aux plantes et aux animaux dans la création divine, mais aussi selon la manière de lire la Bible juive ou la valeur accordée au pain et au vin de la communion. De fait, les deux « autres » (l’autre extérieur et l’autre intérieur) sont souvent difficiles à distinguer et la condamnation d’un autre extérieur vise souvent tout autant un autre intérieur et la condamnation d’un autre intérieur vise souvent tout autant un autre extérieur.
B. Caseau, Les réseaux familiaux, In Memoriam E. Patlagean - A. Laiou
LES MÉCANISMES RITUELS DE LA PARENTÉ SPIRITUELLE DANS LES MONASTÈRES BYZANTINS* rites de commémoraison et nourritures funèbres (iv e -xii e siècle2012 •
Giles Constable remarquait que parmi les habitants de l'Occident à la période médiévale, les moniales et les moines possédaient sans nul doute le mode de vie le plus fortement rythmé par des cérémonies et par des rituels 1. La remarque semble encore mieux s'appliquer au koinobion byzantin, et l'on peut même parler, comme nous allons le montrer ici, d'existence ritualisée. Le maître des rituels semble moins le supérieur du monastère que le typikon, livre portant les prescriptions disciplinaires et liturgiques, qui façonne aussi bien le quotidien que les événements exceptionnels de la communauté. Timothée, auteur de l'Hypotypose du monastère de la Théotokos Évergétis, éclaire ce qui préside à sa rédaction : en plus de la description de la sainte liturgie, il veut fournir « tout le reste de votre manière de vie, en ce qui concerne à la fois l'âme et le corps » afin que les moines puissent vivre sans erreur 2. La dimension sacralisante du typikon et sa fonction rituelle sont soulignées par le fait que le livre était lu solennellement par les novices puis par la communauté monastique entière, parfois plusieurs fois par an. Pour la Théotokos Évergétis, le typikon du fondateur doit être lu au début de chaque mois pendant le repas commun, pour le profit spirituel des moines, sacralisant d'autant la règle du fondateur 3. Pour le monastère fondé par Michel Attaliate à Constantinople, la forme testamentaire va de pair avec un profond souci de sauvegarder l'indépendance du monastère qui se présente comme une fondation familiale. * Le sujet a été choisi pour honorer la mémoire de ma directrice, trop tôt disparue, Évelyne Patlagean, qui aurait sans doute accueilli de manière taquine l'approche peu politisée ici adoptée. En effet, malgré l'étendue de ses domaines de recherche, ses réflexions sur l'hagiographie et la liturgie italo-sicilienne, malgré aussi sa prise en compte des questions sociales et de l'histoire des juifs, Évelyne Patlagean en était arrivée à la conclusion que vers le politique tout convergeait, et qu'hors du politique, l'histoire faisait des détours. Cependant, comme l'une de ses nombreuses qualités était d'autoriser à ses étudiants, autant qu'à elle-même, la plus grande liberté intellectuelle, j'espère que ce traitement ne lui aurait en définitive pas déplu. 1. G. Constable, The ceremonies and symbolism of entering religious life and taking the monastic habit from the fourth to the twelve century, dans Segni e riti nella chiesa altomedievale occidentale, 11-17 aprile 1985 (Settimane di studio del Centro italiano di studi sull'alto medioevo 33), Spoleto 1987, p. 771-834, ici p. 772. 2. Hypotypose de la Théotokos Évergetis (abrégé ensuite EvHyp), l. 7-12 ; éd. et trad. : P. Gautier, Le typikon de la Théotokos Évergétis, REB 40, 1982, p. 5-101, ici p. 15. 3. EvHyp 43, p. 91, l. 1311.
2015 •
Résumé Tandis que le repas occupe une place importante dans la vie religieuse juive, chrétienne ou musulmane, il appert que la pratique du jeûne y occupe elle aussi une place centrale. Qu’implique cette prescription au plan théologique ? Comprend-elle une exhortation à renoncer à nourrir l’organisme, à mépriser ce monde ? Ou bien a-t-elle au contraire pour fonction de nous préparer à célébrer les fruits de la Création au cours d’un repas ? De nous permettre de mieux apprécier la saveur d’un « dé-jeûner » ? J’explore dans cet article les implications théologiques du jeûne dans le judaïsme, le christianisme et l’islam. J’étudie les écrits de certaines figures spirituelles (mystiques, moines, ascètes) relatifs à cette pratique et je m’efforce de comprendre quelle relation au corps, à la Création, à la vie et à la mort induit le jeûne dans les trois religions étudiées. Abstract Whereas the meal occupies an important place in Jewish, Christian or Muslim religious life, it appears that fasting also occupies a central place in these traditions. What does this religious obligation imply theologically ? Is fasting an exhortation to forego feeding the body, to scorn this world ? Or, on the contrary, is fasting a practice preparing us to celebrate the fruits of Creation during a meal ? To better appreciate the taste of a « break-fast » ? In this article, I will explore the theological implications of fasting in Judaism, Christianity and Islam. I will study the writings of some spiritual figures (mystics, monks, ascetics) related to this practice and try to understand what relationship fasting induces with the body, Creation, life and death in each of these three religions.
1) « L’abandon de la communion dans la main (IVe–XIIe s.) », Mélanges Gilbert Dagron, Travaux et Mémoires, 14, Paris, 2002, p.79-94. 2-17 2) « L’Eucharistie au centre de la vie religieuse des communautés chrétiennes (fin 4e -10e siècle) », Eucharistia, éd. P. Brouard, Paris, 2002, p.125-143. 18-35 3) « La communion du soldat et les rites religieux sur le champ de bataille » (avec J.C. Cheynet), Pèlerinages et Lieux saints dans l'Antiquité et le Moyen Âge. Mélanges offerts à Pierre Maraval, éds. B. Caseau, J.C. Cheynet et V. Déroche, Paris, 2006, p. 101-119. 36-54 4) « Sancta sanctis : Normes et gestes de la communion entre Antiquité et haut Moyen âge », Pratiques de l’eucharistie dans les Églises d’Orient et d’Occident, (Antiquité et Moyen Âge), éds. N. Bériou, B. Caseau et D. Rigaux, Paris: Institut des Études Augustiniennes, t. 1, Paris, 2009, p. 371-420. 55-104 5) « Autour de l'autel: le contrôle des donateurs et des donations alimentaires », Donations et Donateurs dans le monde byzantin, Actes du colloque international de l’Université de Fribourg (13-15 mars 2008), éds. J.-M. Spieser et E. Yota, Paris, 2012, p. 47-73. 105-131 6) « Les chrétiens et la pratique du jeûne durant l’antiquité et les débuts du Moyen âge », Communio, t. 39, Jeûne et eucharistie, p. 47-58. 132-138 7) « Monastères et banquets à Byzance », Pratiques et discours alimentaires en Méditerranée, de l’Antiquité à la Renaissance, éds. J. Leclant, A. Vauchez, M. Sartre, Cahiers de la Villa “Kérylos”, n. 19, Paris, 2008, p. 223-269. 139-186 8) « Byzantium », Companion Food to the Ancient World, éds. J. Wilkins, R. Nadeau, Oxford, Wiley Blackwell, 2015, p. 365-375. 9) “Le cérémonial imperial”, Economie et société à Byzance (VIIIe - XIIe siècle). Textes et documents, éd. S. Métivier, Paris : Publications de la Sorbonne, 2007, p. 19-32. 203-216 10) « Le tabou du sang à Byzance : observances alimentaires et identité », Pour l'amour de Byzance. Hommage à Paolo Odorico, éds. Ch. Gastgeber, Ch. Messis, D. I. Mureşan, F. Ronconi, Frankfurt am Main, 2013, p. 53-62. 217-226
L'alimentation est une nécessité vitale au même titre que la respiration. Pourtant, « il ne suffit pas qu'un aliment soit mangeable pour qu'il soit mangé » et la manière de se nourrir obéit, entre autres, à des règles composées par l'homme et propres à chaque civilisation, voire à chaque communauté. Ces prescriptions, plus ou moins expresses, plus ou moins conscientes, imposent ou influencent les divers régimes alimentaires dont le végétarisme est l'un des modèles. Dans une acception très générale, le végétarisme se trouve opposé à l'alimentation carnée. Toutefois, aujourd'hui comme hier, le végétarisme ne peut être appréhendé comme un genre de vie unique et homogène, tant dans ses sources que dans ses objectifs, tant dans ses fondements que dans ses pratiques. Le pluriel s'impose donc pour évoquer ce qui se concrétise néanmoins, au sein de nombreuses sociétés, par des pratiques comparables. Si un certain nombre de pratiques végétariennes s'adosse à des prescriptions d'origine religieuse, les fondements mais aussi les contenus de ces règles diffèrent. Derrière une abstinence similaire, certaines pratiques se fondent ainsi sur une exigence mortifiante tandis que d'autres s'appuient sur le respect de toute vie. Qu'en est-il du christianisme ?
2014 •
Du desert au paradis. Introduction à la Théologie Ascetique
Du desert au paradis. Introduction à la Théologie Ascetique2018 •
Antiquité Tardive
Daniel Albrecht, Katharina Waldner (Hrsg.), “Zu Tisch bei den Heiligen...” Askese, Nahrung und Individualisierung im spätantiken Mönchstum2019 •
2017 •
2014 •
2019 •
Le patrimoine religieux du Québec. Éducation et transmission du sens
LES GOÛTS DU MATRIMOINE RELIGIEUX2009 •
2019 •
2012 •
La sociabilité à table : convivialité et commensalité à travers les âges, dir. M. Aurell, O. Dumoulin, F. Thelamon, Rouen, 1992, p. 119-129.
Le roi mangeur et les élites à table1992 •